▿ Métier : Archéologue, aventurier, professeur, autrefois agent pour le gouvernement durant la guerre, troublemaker notoire toujours dans de sales histoires pour la préservation de celle avec un grand H… Indy a plusieurs cordes à son arc ! Etre un thésard planqué dans une bibliothèque, très peu pour lui. Enfin ça… C’était avant qu’il soit dans le coma depuis environ trois ans.
▿ Quartier : Dans un lit du Grey Sloan Memorial Hospital, dans le quartier de Baker Street Avenue, qui commence à sacrément lui mettre le dos en vrac depuis le temps qu’il est allongé dessus.
▿ Côté cœur :
« There were a few. But they all had the same problem. They weren't you, honey. »
« Why don't you stick around, Junior? »
« I don't know. Why didn't you, Dad? »
Sujet: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Mer 6 Sep - 20:11
Henry Walton "Indiana" Jones Jr.
Votre personnage
▿ âge : Dans son monde, il commence à sérieusement accuser ses soixante-dix ans, trainant difficilement cette carcasse bien cabossée et qui a tant essuyé au gré de ses aventures. Dans ce nouveau monde, il eut la chance (ou pas) de rajeunir de dix ans. C’est toujours ça de gagné… ▿ date de naissance : Natif du cancer, Henry Jr voit le jour le 1er juillet 1899 à Princeton dans le New Jersey. En revanche, ses papiers dans cet univers affichent une tout autre date, celle du 1er juillet 1963. Sacré bon dans le temps ! ▿ métier : Véritable couteau suisse, Indiana a été tour à tour archéologue, professeur dans cette discipline à l’université, soldat et agent secret pour divers pays, mais essentiellement les États-Unis. La jonction de ses activités lui a permis de vivre bon nombre d’aventures aussi haletantes que dangereuses. ▿ statut civil : Aux dernières nouvelles, il est divorcé de Marion Jones, née Ravenwood. Au diable ces foutus papiers ! Il n’a pas besoin de ça pour se considérer comme étant encore et toujours marié à elle… La situation n’est pas au beau fixe entre eux et malgré ses nombreuses conquêtes dans sa jeunesse, pas une seule seconde Indiana n’a cessé de l’aimer. ▿ orientation sexuelle : Il ne s’entiche que des courbes féminines, même si celles de sa femme sont celles qui l’obsèdent depuis un paquet d’années. ▿ traits de caractère : Energique · Sportif · Mélomane · Cynique · Se donne un genre froid · Déterminé · Compatissant · Loyal · Intègre · Respectueux, notamment envers la connaissance, l’histoire et la préservation des cultures · Ophiophobe · Erudit · Courageux · Intrépide · Téméraire · Séducteur · Indépendant · Caractériel · Sarcastique · Bourru · Bougon · Bagarreur · Arrogant · Très curieux. ▿ groupe : Films. ▿ ton univers : Indiana Jones.
Vous derrière l'écran
▿ Pseudo/prénom : Skywalcino. ▿ Age : 26 ans. ▿ Comment avez-vous connu le forum ? : C'est une très longue histoire. ▿ Un petit mot ? Je sors un peu de ma zone de confort en prenant ce personnage. J'espère que je saurais lui rendre honneur et que je serais à la hauteur des attentes. (Sinon faut pas hésiter à me taper sur les doigts ) ▿ Avatar : Harrison Ford. ▿ Avez-vous pris un scénario ? : Oui, celui de @Mutt H. Jones. ▿ Crédits images : Blondie Serpy Queen. (avatar) ⊹ hamelinsnightmare. (gifs)
Code:
[b]▿ @"Indiana H. W. Jones" (pris)[/b]
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[b]@"Violet Harmon"[/b] : [i]Winter Anderson & Scorpius Malefoy & Michael Langdon & Tom Jedusor & Indiana H. W. Jones.[/i]
(A remplir uniquement si vous avez des doubles comptes)
Dernière édition par Indiana H. W. Jones le Mar 19 Sep - 0:23, édité 4 fois
Indiana H. W. Jones
▿ Ton univers : Indiana Jones.
▿ Date de naissance : 01/07/1963
▿ Age : 60
▿ Métier : Archéologue, aventurier, professeur, autrefois agent pour le gouvernement durant la guerre, troublemaker notoire toujours dans de sales histoires pour la préservation de celle avec un grand H… Indy a plusieurs cordes à son arc ! Etre un thésard planqué dans une bibliothèque, très peu pour lui. Enfin ça… C’était avant qu’il soit dans le coma depuis environ trois ans.
▿ Quartier : Dans un lit du Grey Sloan Memorial Hospital, dans le quartier de Baker Street Avenue, qui commence à sacrément lui mettre le dos en vrac depuis le temps qu’il est allongé dessus.
▿ Côté cœur :
« There were a few. But they all had the same problem. They weren't you, honey. »
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Mer 6 Sep - 20:11
Il était une fois...
Prenez cette démarche comme vous le voulez, mais je ne crois pas qu’elle soit particulièrement narcissique… Bon, peut-être un peu. Mais j’estime que j’ai eu une vie assez remplie pour la juger assez intéressante pour la consigner dans ce carnet. Eh quoi ! On sait jamais ? Même pour moi, si un jour je perds la tête, j’aurais plaisir à relire ses lignes. Parce que j’ai aimé ma vie. Réellement. Malgré certaines périodes compliquées, malgré… ce qui est arrivé à mon fils. J’aurais aimé qu’il ait ce carnet, pour qu’il sache tout ce qu’il n’a pas pu connaitre de moi, quand je n’avais pas conscience de son existence, et surtout qu’il sache qu’il n’a pas été qu’un sale gosse à mes yeux.
Bon, commençons par le commencement. Je suis né à Princeton dans le New Jersey. Mes parents, Henry et Anna, avaient l’air d’être un couple soudé, qui s’aimait du moins et qui n’avait pas trop de soucis. Peut-être que ce sont mes souvenirs brumeux et mon œil d’enfant qui me donne cette sensation, mais je ne me souviens pas d’avoir été malheureux à cette époque-là. Susie est arrivée ensuite, mais elle est morte malheureusement trop tôt. On n’a jamais trop parlé d’elle, et c’est un regret de ma part. Je ne sais pas de ce qu’il en est pour mon père, mais je n’ai jamais voulu réveiller des souvenirs possiblement douloureux en posant des questions. Puisque mes parents étaient des gens très occupés, j’ai grandi en compagnie d’un malamute de l’Alaska, Indiana. Oui, ça vient de lui mon surnom. Ma façon à moi de lui rendre hommage comme il m’a supporté pendant un paquet d’années et qu’il a comblé bien des moments de solitude. Parce que dès que ma mère mourut en 1912, mon père m’a laissé me débrouiller seul. Oh, il était toujours dans ma vie et à la maison, mais totalement absent émotionnellement parlant. Je compensais autrement : j’étais un gamin très curieux, inventif et assez extraverti pour m’entourer d’un bon nombre d’amis avec lesquels je faisais les quatre cents coups. C’était une période douce à laquelle je pense souvent.
Si je me souviens bien, j’ai vécu ma première aventure en 1910, ou quelque chose comme ça. C’était en Égypte, au Caire, plus précisément. Mon père donnait un cours à l’université et ma tutrice, Miss Seymour, et moi avions donc beaucoup de temps à tuer. C’est d’ailleurs à ce moment-là que mon amour pour l’archéologie est né, en voyant Thomas Lawrence, un ami de Miss Seymour rencontré par hasard sur place, ouvrir une tombe. C’est lui aussi qui, dès le départ, a réfréné mes possibles envies de profits vis-à-vis des trésors qu’on trouvait, me poussant à voir l’archéologie comme quelque chose qui devait être préservée, mais aussi montrée au monde pour qu’il saisisse l’importance de l’histoire et de sa transmission. C’est à ses côtés que j’ai visité la Vallée des Rois, avec l’autorisation de mon père bien sûr ! Dommage que je ne me souvienne pas de ce que j’ai foutu du carnet que j’avais et dans lequel j’avais consigné toutes mes petites recherches au cours de la visite. Le plus intéressant pour moi fut lorsque nous nous apprêtions à visiter la tombe de Kha qui avait possiblement maudit le campement. Ça a effectivement failli mal tourner quand on s’est pris du gaz empoisonné en pleine figure en rentrant dans une chambre du tombeau. Puis il y eut un mort, ce qui sema la panique au sein du camp, mais Lawrence, Miss Seymour et moi-même sommes restés pour mener l’enquête. Bien qu’on a fini par savoir qui était le tueur, il nous a échappé avant qu’il ne puisse être arrêté. Je ne sais pas ce qui est advenu de ce type puisqu’on a dû partir pour le Maroc ensuite, la destination suivante dans la tournée mondiale de mon père pour ses livres. J’y ai vécu beaucoup d’aventures, je me suis mis dans un tas de pétrins et j’ai rencontré un paquet de gens comme ce fut le cas également en Afrique de l’Est toujours sous domination britannique à cette époque, à Paris, Florence… Bref, étant enfant et glissant doucement dans l’adolescence, j’avais déjà vu les trois quarts du monde. Chacun de mes voyages m’a impressionné tant par les cultures rencontrées que par la magnificence des paysages et de la richesse de la faune et de la flore. Même en tant qu’adulte et presque vieillard, je ne me lasse toujours pas de la beauté de cette planète, encore plus depuis que j’en ai visité les lieux les plus secrets.
Je n’ai jamais cessé de voyager et je crois que, même grabataire, je n’arrêterais pas. Pourquoi faire alors qu’il m’est toujours arrivé des trucs incroyables ? Vous croyez que ça arrive tous les jours d’être, par exemple, impliqué dans la révolution mexicaine ? Je ne vais pas mentir, bien des fois, j’ai cru que j’allais y passer au cours de mes aventures, mais je trouvais toujours un moyen de m’en sortir. J’ignore si c’est par chance ou juste parce que j’ai toujours été débrouillard. C’était une époque de ma vie incroyablement riche, qui nécessiterait trois ou quatre journaux comme celui-ci (au moins) pour tout raconter.
Puis la Première Guerre mondiale a éclaté. Je me suis engagé dans l’armée belge en 1916, j’ai participé entre autres à la bataille de Somme et j’ai été fait prisonnier de guerre par l’armée allemande. Sans surprise (sinon je ne serai pas en train d’écrire ses lignes), j’ai été libéré et j’ai continué de participer à l’effort de guerre même si j’avais largement pu rentrer chez moi un milliard de fois. J’ai toujours eu un sens du devoir développé et ça n’était pas mon genre, surtout d’abandonner en cours de route. J’ai servi d’espion aussi pour la France et la Belgique au court de cette guerre. C’était mouvementé, dangereux. Mais je ne regrette pas. C’est une expérience professionnelle comme une autre après tout, non ? (Je crois que j’aime un peu trop l’adrénaline. Une fois qu’on y goûte, c’est terminé.) En tout cas, la guerre n’a fait qu’accroître mes envies de protection envers l’histoire et ses trésors. La guerre prit fin en 1919, pour mon plus grand soulagement, mais d’autres estimaient en revanche que ce n’était que le début des problèmes. On m’a quand même proposé un poste au ministère des Affaires étrangères à l’issue du conflit, mais je dois avouer qu’un métier de bureaucrate ne m’a jamais intéressé, surtout avec aucune transmission de savoir à la clé. J’avais toujours ce vieux rêve d’être archéologue en tête alors j’ai déposé mon dossier d’inscription à l’université de Chicago à la place.
Mon retour aux États-Unis était très loin d’être heureux. Déjà, j’ai appris une fois sur place que la petite copine que j’avais au lycée s’était mariée avec mon rival d’alors (ça fout un coup à l’ego oui) et le pire, c’est que je me suis coltiné mon père froid comme un glaçon, toujours en colère. Il a mal pris mon engagement dans la guerre. Eh quoi ! J’étais grand, je faisais bien ce que je voulais. Être caché derrière des livres et ne rien faire, ça n’était pas mon truc. C’était peut-être prétentieux et arrogant de ma part d’être parti contre son avis en pensant que je pouvais faire plus grand et grandiose que lui, mais j’avais besoin de lui prouver des choses étant donné qu’il n’avait que peu d’intérêt pour moi depuis la mort de maman. De toute manière, lui et moi, on a jamais su se parler. Dès que ça ne touchait pas à l’archéologie ou à l’histoire, on était complètement à l’ouest. Je l’aime, mais il est compliqué. (Je ne suis pas non plus un exemple de simplicité, mais bref, ça n’est pas le sujet.) Il n’a pas bien pris non plus que je n’aille pas à Princeton et que je persiste dans la voie de l’archéologie alors qu’il aurait mieux aimé que je me dirige vers des études d’histoire ou de linguistique. Pas de ma faute si on m’a refusé ces cursus à Yale, Harvard ou encore à Northwestern ! M’enfin, j’ai passé les portes de l’université de Chicago en 1920 et j’ai commencé mes études sous le tutorat d’Abner Ravenwood et Charles Kingston. C’est aussi à cette époque que j’ai rencontré Marion. Mais elle n’a pas du tout attiré mon attention comme elle ne devait pas avoir plus de onze ans. En parallèle de mes études, j’avais un petit boulot de serveur au Colosimo’s Restaurant. Si vous vouliez bien manger et écouter le meilleur du Jazz, c’était là-bas qu’il fallait se rendre. En dépit de quelques soucis financiers, parce que mon père ne m’aidait pas spécialement, j’ai pu continuer mes études. J’étais de plus en plus proche d’Abner qui n’était pas qu’un simple mentor à mes yeux — il comblait le vide que mon père avait laissé. Je le répète, j’aime mon père, mais Abner a fait bien plus pour moi que lui durant ces années qui ont participé à faire de moi l’homme que je suis aujourd’hui.
En 1922, nouvelle aventure. En compagnie de Charles Kingston, mon second tuteur et de Magnus Völler, un camarade de classe, nous sommes partis pour le Panama à la recherche d’une sphère de Jade supposée conduire au Bâton de Moïse. Ce fut très intéressant et enrichissant si on oublie la trahison de Völler qui a tenté de voler la boule des mains de Kingston. Je lui ai quand même sauvé la vie quand il est tombé dans un piège du temple. Bon, cette histoire lui a quand même valu une exclusion de l’université dont je suis sorti diplômé au mois de juin de la même année. Je suis ensuite parti pour La Sorbonne suivre un cursus en linguistique, histoire de me rapprocher un peu de mon père en suivant une des voies qu’il avait envisagée pour moi. Il n’a pas dit grand-chose, mais le peu qu’il avait laissé échapper montrait qu’il était d’accord. Étant donné que je maîtrisais déjà beaucoup de langues à cette époque et que j’avais toujours eu un naturel curieux, j’étais premier de ma classe. Malgré ce choix d’étude propice aux heures passées principalement en bibliothèque, j’ai réussi à être embarqué dans des aventures notamment en Grèce avec mon professeur Belecamus qui avait le projet secret de renverser le monarque en place ; en Iraq où un salopard répondant au doux nom de Belloq a volé puis vendu des trésors des tombes royales. En plus, il ne s’est pas gêné pour plagier l’un de mes travaux et s’en est approprié tous les lauriers sans que je ne puisse prouver le plagiat ! Sur MON travail !! (« Mon » était écrit en très grosses lettres, souligné plusieurs fois au point que le papier était presque perforé.) Puis je suis passé à autre chose en Egypt en 1923 où je suis parti sur la trace des secrets des Pyramides de Gizeh. Je sors diplômé de La Sorbonne en 1925.
Je pars ensuite aider Abner sur une expédition. Je dois avouer que, pour une fois, je n’avais que très peu d’intérêt pour les activités que nous menions avec mon mentor puisque toute mon attention, cette année-là, était dirigée sur sa fille, Marion. Elle était jeune à cette époque, mais elle m’a tout de suite époustouflé autant par son mordant que sa maturité. Dès le départ, elle avait un sacré caractère ! C’est bien la seule que j’appréciais (et que j’apprécie encore) qui me rentre dedans comme elle a toujours su le faire. Visiblement, elle en avait strictement rien à carrer que je sois plus âgé qu’elle. Si elle voulait piquer, elle le faisait. Puis, en plus de tout ce qu’elle dégageait, elle était incroyablement magnifique. J’en ai eu pourtant des histoires et des conquêtes, mais des comme elle… Ça ne vous arrive qu’une fois dans votre vie. Notre histoire était passionnée et passionnelle dès le début. Difficile de le cacher à son père tant ça crevait les yeux ce qu’il se passait entre nous. J’avais beaucoup de mal à me détacher d’elle et je crois que c’était bien la première fois que j’étais aussi dépendant de quelqu’un même si je ne le montrais absolument pas. J’ai ma fierté. Mais je crois qu’elle le savait, qu’elle a fini par le savoir en tout cas, au fil des années que j’étais une sorte de bateau à la dérive sans elle. Mais notre histoire ne plaisait pas vraiment à Abner, enfin, c’est l’impression que j’avais. Alors j’ai dû partir, prendre mes distances, mais ce n’était pas la seule raison comme notre expédition touchait à sa fin. À ce moment-là, j’ai toujours considéré Marion comme une parenthèse. Avec le recul des années, je peux aisément affirmer que je me voilais clairement la face. C’est pourquoi mon mariage avec Deirdre l’année suivante peut paraître anecdotique, d’autant plus qu’elle est malheureusement morte peu de temps après dans un crash, mais elle a malgré tout compté. Elle me manque parfois, me demandant quel genre de femme elle aurait pu devenir en vieillissant, mais jamais autant que Marion m’a manqué.
Je sillonnais le monde sans relâche, jamais sans ressentir une seule once de lassitude. J’ai par exemple était mis sur la piste de l’Arche de Noé, de la dernière corne de licorne ou encore sur celle de l’El Dorado. J’ai même une histoire au sujet de la pierre philosophale et d’un œuf de dinosaure, si ça vous intéresse. La chose principale à retenir, c’est que mes aventures m’ont donné mille et une occasions de piller les trésors inestimables et légendaires qui se dressaient sur ma route, mais j’ai toujours été animé par le désir pur de protéger ses richesses. J’ai mes défauts, mais pas celui de voler ce qui appartient à l’histoire. Fallait bien que j’entretienne mon vieux rêve d’enfant après tout. Bon, ça m’a pas empêché de croiser plusieurs fois la route de ce foutu Belloq, mais ça n’a pas gâché mon plaisir de parcourir la planète. En 1933, je me pose un peu en devenant enseignant au sein du département d’archéologie de Princeton. Ma bougeotte me reprend cependant très vite. Par contre, je n’ai jamais dissocié mes exploitations de l’enseignement — j’aime les deux à parts égales, impossible de privilégier l’un ou l’autre. Transmettre reste quelque chose de très important dans mon métier, surtout pour inculquer certaines valeurs à cette future génération d’archéologues.
En 1934, c’était aussi une sacrée histoire. Au départ, je me trouvais en Chine pour faire un échange. Les cendres de Nurhachi, le premier empereur de la dynastie Manchu, contre un diamant, le Peacock’s Eye, qui appartenait autrefois à Alexandre le Grand et que je cherche depuis 1919. Comme rien ne va jamais normalement avec moi, ça s’est ÉVIDEMMENT mal passé parce que le type voulait les cendres sans me donner le diamant. C’est mal me connaitre de croire que je me serai tiré sans mon dû, d’autant plus que j’ai pris des risques pour embarquer les cendres avec moi ! Alors forcément une bagarre a éclaté, j’ai failli crever à cause d’un poison, puis j’ai réussi à me tirer au bras de Willie, une chanteuse présente sur place. C’est elle d’ailleurs qui m’a sauvé la vie avec l’antidote. Elle était incroyablement irritante (c’est pour éviter de dire casse-couille, m’enfin, voilà, je l’ai dit), mais particulièrement agréable à regarder. Bref, je digresse. Avec Willie on s’échappe, on s’embarque dans un avion et on finit par se crasher en Inde parce qu’il n’y a plus de pilote à bord (je pourrais aller dans les détails, mais même pour moi, ça n’est pas intéressant à raconter, déjà que j’avais un emmerdement sur les côtes en la présence de Willie. Pas besoin de surcharger l’histoire en détail comme elle va en être un gros.) Ah, j’ai oublié de préciser qu’on était accompagné de Demi-Lune, un gamin bien sympa et débrouillard qui a croisé notre route quand on prenait la fuite en Chine. Ça n’était pas prévu, mais une fois en Inde, on se retrouve à aider un village qui a été dépossédé d’un artefact sacré qui maintenait un certain équilibre naturel pour les cultures et l’eau. Ça nous amène sur la piste d’une secte hindoue, les thugs, qui pratiquait des sacrifices humains au nom de la déesse Kali. La suite de l’histoire est assez brumeuse comme je me suis retrouvé sous l’influence des pouvoirs du gourou de la secte. J’étais… Comme dans une sorte de transe, mais fort heureusement, Demi-Lune, Willie et moi, nous avons réussi à déjouer les plans de la secte, à libérer un paquet d’enfants réduit en esclavage pour leur compte et à récupérer l’artefact du village que les Thugs avaient volé.
Je ne parlerai pas de l’histoire brève que j’ai eue avec Willie. Elle n’a pas beaucoup d’intérêt comme je suis rapidement reparti sur les routes et, malheureusement pour elle, elle n’a été qu’une femme de passage. J’en avais une autre dans la tête.
Et cette autre, je la croise à nouveau deux ans plus tard dans le fin fond du Népal alors que je suis à la recherche de l’Arche d’Alliance, espérant mettre la main dessus avant les nazis. Pour la connaitre, je ne m’attendais pas à ce que Marion me reçoive les bras grands ouverts, surtout vu la manière dont je suis parti dix ans plus tôt, mais est-ce que je m’attendais à ce qu’elle me foute un pain ? Alors, ça… Si ça avait été un type qui me l’avait mis, croyez-moi que je lui aurai rendu aussi sec. Mais Marion ? Traitez-moi de cinglé si vous voulez, mais ça m’a fait l’aimer encore plus. C’était une vraie sauvage, une rebelle dans son genre et elle avait aucune idée de l’effet que ça avait sur moi — j’ai toujours aimé les femmes de caractère, mais elle… Ça allait au-delà. Le fait qu’elle soit partie avec moi sur les traces de l’Arche d’Alliance avait confirmé une chose : je voulais passer le restant de ma vie avec elle. J’ai failli la perdre en plus quand les nazis nous ont mis la main dessus et qu’on ne savait pas si on allait mourir quand ils ont eu l’idée conne de vouloir ouvrir l’Arche. Fort heureusement pour nous (pas pour eux par contre), ça s’est bien terminé. Puis nous nous sommes retrouvés comme si je l’avais quitté la veille, comme si les dix années de séparation n’avaient pas existé. (Non, je ne vais pas raconter dans les détails ce qu’il s’est passé entre elle et moi, ALLEZ MOURIR !!) Marion ne m’a pas quitté ensuite. Elle m’a suivi sur certaines aventures, on a eu des hauts et des bas, comme tout couple, mais on finissait toujours par se retrouver. Comme deux aimants, vous voyez ? On a même failli se marier, une fois, en 1937. Mais j’ai fait le con. J’ai brisé les noces en pensant qu’elle méritait mieux qu’un mari qui passerait la moitié de son temps aux quatre coins du globe plutôt qu’avec elle. Je ne savais pas qu’elle était enceinte de Mutt à ce moment-là. J’ai perdu bien plus que l’amour de ma vie avec cette décision de merde, j’ai aussi perdu vingt ans avec mon fils, vingt ans que je n’ai jamais pu rattraper, vingt années décisives et charnières pour un jeune homme. J’ai toujours reproché à mon père de m’avoir laissé sur le côté à la mort de ma mère, mais j’ai infligé la même chose à Mutt avec ma décision qui n’avait pas de sens. Même si je n’étais pas au courant que Marion était enceinte, je crois que c’est quelque chose que je ne me pardonnerai pas. J’ai aussi perdu la confiance de mon vieil ami, Harold Oxley, en partant une énième fois comme un lâche et en ne prenant pas mes responsabilités. Honnêtement, je croyais sincèrement faire le bien en laissant à Marion la chance d’avoir quelqu’un de plus fiable que moi, même si tous les deux, c’était l’évidence même.
Je n’ai de toute manière malheureusement pas eu le temps de m’appesantir sur cette histoire ou ma tristesse comme je suis bien vite reparti en expédition l’année suivante, notamment quand j’ai appris la disparition de mon père alors qu’il était ENCORE sur les traces du Graal. Je vais pas vous mentir, je m’en fichais un peu de le trouver alors que c’est L’ARTEFACT sur lequel tout archéologue digne de ce nom souhaite mettre la main dessus. Mais moi je m’inquiétais plus pour mon père. Sur l’état dans lequel je le retrouverai (si je le retrouvais un jour). Mon inquiétude s’est accrue quand j’ai su qu’il y avait encore ces foutus nazis dans l’histoire ! Fort heureusement je l’ai retrouvé en un seul morceau. Fort heureusement on a mis la main sur le Graal avant les nazis après moult péripéties. L’avantage de cette mission, c’est qu’elle m’a permis de me rapprocher un peu de mon père alors que notre lien s’était sacrément étiolé avec les années. Il y avait encore une certaine distance entre lui et moi, parce qu’on ne pouvait pas réparer autant d’années d’errance aussi facilement, mais l’avoir vu sur les rives de la mort… Ça m’a fait quelque chose. Ça m’a malheureusement rappelé qu’il n’était pas éternel. D’ailleurs, il décèdera en 1951, tout comme mon ami le plus proche, Marcus Brody. Autant vous dire que cette année a été plus que rude pour moi et que je ne m’étalerais pas dessus comme je n’aime pas du tout en parler. Il me manque tous les deux atrocement et j’ai beaucoup de regret par rapport à mon père.
Bref, avant ça, la Deuxième Guerre mondiale a éclaté un an plus tard. Encore une fois, je me suis engagé, pas en tant que soldat, mais en tant qu’espion pour le compte de l’armée américaine. J’avais une haine féroce contre les nazis et fascistes de toute autre nature qui voulaient détruire non seulement une partie du monde avec leurs idées mortifères de fanatique, mais aussi s’approprier l’histoire et la remodeler selon leurs dogmes décadents et ça, en tant que protecteur de protecteur du patrimoine de la planète, il en était absolument hors de question. M’engager pour mon pays était une évidence et je tentais de mener aussi bien que possible les missions qui m’étaient confiées. Les années qui suivirent la fin de la guerre étaient plus tranquilles. Il y avait juste Basil (Shaw, un vieil ami que je n’ai pas mentionné jusqu’ici) qui était obsédé par l’Antikythera, un artefact qui, une fois complet, permettait de voyager dans le temps en exploitant des failles. Il m’avait fait jurer de le détruire. J’ai promis, mais je ne l’ai pas fait. C’est la dernière fois que je l’ai vu, ainsi que ma filleule, Helena Shaw.
Ma tranquillité prit fin en 1957, mais ce fut pour la bonne cause. Le fait que je doive courir après une Russe foldingue obsédée par les artefacts paranormaux devint un simple détail dans cette histoire. Parce que cette quête m’a permis de rencontrer Mutt. C’est d’ailleurs lui qui m’a demandé de l’aide en premier alors que je m’apprêtais à partir pour Leipzig. Il voulait que je retrouve sa mère qui avait mystérieusement disparu au Pérou alors qu’elle était sur les traces du père de Mutt, parti à la recherche du Crâne de Cristal d’Akator égaré dans la cité perdue de l’El Dorado. Selon Mutt, je connaissais sa mère. Et c’était l’un de ses arguments majeurs pour tenter de me convaincre, chose qu’il réussit à faire. J’avais bien fait d’accepter puisque j’allais découvrir plus tard que cette histoire de disparition et le Crâne de Cristal d’Akator étaient liés à la Russe (qui le cherchait activement) et que la mère de Mutt n’était nulle autre que… Marion. Cette mission n’a pas été la plus importante et la meilleure de ma carrière parce que j’y ai croisé une civilisation extraterrestre, mais parce que j’ai su que j’étais père. Et que mon fils n’était nul autre que le gamin qui était venu chercher mon aide. Je ne vais pas mentir, ça m’a fait un choc de l’apprendre de manière aussi abrupte. J’ai toujours tellement bougé que je n’avais jamais réellement envisagé d’être père un jour. Avec Mutt, étrangement, le lien est venu tout de suite. Sûrement parce qu’on vivait quelque chose d’important ensemble (il m’a énormément aidé pendant la quête du crâne !) et puis, il faut dire… Il était très attachant. Il avait beaucoup de qualités de sa mère et beaucoup de moi aussi, surtout ce côté effronté et débrouillard, et c’était… plutôt amusant de voir devant moi ce que Marion et moi avons fait de mieux. Je regrette simplement d’avoir reproduit sur lui les mêmes erreurs que mon père avait commises avec moi. J’ai exactement fait ce que je lui ai reproché toute ma vie — ne pas être démonstratif, entre autres. De lui dire clairement que je l’aimais. Je sais, c’est très cliché, mais c’est pourtant la vérité. Cette aventure ne m’a pas seulement permis de connaitre et d’aimer mon fils, elle m’a aussi donné l’occasion de retrouver l’amour de ma vie et de me marier avec elle, une fois de retour au pays, dès que nous avions remis le Crâne de Cristal à sa place et que nous nous sommes débarrassés des Russes.
On aurait pu vivre heureux comme ça, ensemble, pendant des dizaines d’années jusqu’à ce que, Marion et moi, on s’éteigne paisiblement. Mais ça serait bien trop simple pour quelqu’un comme moi qui ai mené depuis tout petit une existence mouvementée et périlleuse. Quand Mutt s’est engagé au Vietnam, j’ai pris ça comme une énième provocation de sa part tout comme mon père avait pris mon engagement dans l’armée belge comme une lubie de ma part. Je m’en veux que l’une de mes dernières interactions avec mon fils soit cette dispute sans intérêt qui n’a eu que pour seul effet de creuser la distance entre nous. Alors que j’aurai du lui dire que je ne voulais pas qu’il parte parce que j’étais terrifié à l’idée qu’il lui arrive quelque chose, de le perdre, de ne plus le revoir. Puis, toute once de lumière a disparu de ma vie quand — (Un grand trait au stylo ponctue cette phrase, signe d’un trouble manifeste chez l’auteur. Impossible pour lui d’écrire que son fils est mort au front parce que l’écrire matérialiserait une réalité encore trop dure à encaisser pour lui. Le dire était une chose, les mots s’envolaient dans le vent, l’écrire en revanche… c’était rendre la chose définitive et forcerait Indiana Jones à se confronter à cette réalité qu’il niait. Il reprit plus loin, en sautant plusieurs lignes.)
Mon fils a décidé de partir pour un très long voyage sans billet retour et ça a anéanti sa mère. Ça m’a anéanti aussi, mais que pouvais-je lui dire pour l’empêcher de partir voyager alors que j’ai fait la même chose pendant toute mon existence ? (A noter que l’auteur de ce journal est encore dans le déni complet de la mort de son fils. Il n’arrivera à verbaliser la chose qu’avec Helena Shaw, sa filleule.) Mon mariage avec Marion n’y a pas survécu et la suite n’a été qu’une longue descente aux enfers. Alors oui, c’était sympa de recevoir ce cadeau moisi de la part de mes collègues pour mon départ en retraite (non, je l’ai foutu à la poubelle dès que j’ai pu, ça va pas ou quoi.) Oui, c’était sympa de recevoir la visite complètement désintéressée (toujours pas) de ma filleule que je n’avais pas vue depuis trois siècles pour me parler des vieilleries de son père, dont ce foutu Antikythera. Oui, c’était sympa de lui montrer que je ne l’avais pas détruit pour ensuite qu’elle me le vole, qu’on se fasse poursuivre par la CIA, que je me retrouve encore embarqué dans des histoires en Europe avec des nazis et des fanatiques aux fesses qui n’avaient que pour seul but de rassembler l’Antikythera pour voyager dans le temps. Voyager dans le temps… Si seulement… Si seulement ça pouvait me ramener mon fils. J’y ai songé. Ça aurait foutu une pagaille pas possible dans les lignes du temps, mais est-ce que j’en avais quelque chose à faire ? Mon fils me manquait. Mon fils me manque toujours. Savoir que j’avais une chance de le revoir, ne serait-ce qu’une seule seconde… Ouais, j’étais tenté. Alors oui j’ai aidé Helena a retrouvé la seconde partie qui était dissimulée dans la tombe d’Achimède qui, jusqu’ici ; n’avait été mise en lumière par absolument personne, mais n’est pas Indiana Jones qui veut : je trouve tout et j’ai toujours tout trouvé. J’étais à deux doigts d’accéder à mon envie de revoir mon fils, juste deux secondes, deux petites secondes dans cette faille spatiotemporelle qui se serait ouverte… Mais je n’ai pas pu réaliser mon rêve le plus cher, parce que les nazis, en la personne de Jurgen Voller, nous ont pris l’artefact en plus de nous révéler leur envie de profiter des failles afin de faire revivre le Troisième Reich. Pas d’issue pour moi — je suis fait prisonnier. Une fois la faille trouvée par l’Antikythera, on m’emmène dans un des avions prévus pour traverser la faille sans savoir que Helena avait réussi à s’y accrocher. On passe la faille, mais à cause d’un problème de calcul qui n’a pas pris en compte la dérivation des continents, nous n’atterrissons pas au temps du Troisième Reich, mais plutôt au beau milieu du siège de Syracuse en 212 avant Jésus-Christ. Pardon pour la vulgarité, mais c’était la merde. Étant rejoint par Helena à bord de l’avion, celui-ci finit par se crasher à cause de l’action conjointe des Grecs et des Romains. Fort heureusement, Helena et moi arrivons à nous en sortir avant, à saut de parachute. Une fois au sol, je suis sérieusement blessé. J’en oublie presque qu’on rencontre Achimède parce que… Je m’en fiche. À quoi bon ? Je n’avais plus Marion à mes côtés ni Mutt. Je n’avais aucune raison de retourner dans ma ligne temporelle. J’étais seul comme les pierres avec les fantômes de mon passé et mes erreurs du passé qui me hantaient. Je tergiversais, affirmait mon envie de mourir ici. Pourtant, le temps pressait parce que la faille temporelle était en train de se refermer, et Helena voulait partir. Elle n’arrêtait pas d’essayer de me convaincre de la suivre, sans succès. Je voulais rester là, mourir au milieu de l’histoire sans penser aux conséquences sur la temporalité. Mais elle était plus têtue que moi. La suite des événements est un peu brumeuse (elle m’a frappé ?) puis… plus rien.
Le journal de Henry « Indiana » Walton Jones Jr. s’arrête ici. Il a été écrit pour tromper son ennui le temps de sa captivité durant ses premiers mois en ville. En effet, après le violent coup de point que Helena Shaw lui a donné pour le forcer à emprunter à nouveau la faille et ainsi retourner dans leur univers, il a été victime des effets d’une mystérieuse Lune rouge au cours du trajet. Il n’a pas cherché à s’adapter à cette nouvelle vie, même s’il avait compris qu’il était dans un tout autre monde régi par des lois presque similaires au sien, mais avec des subtilités. Percer les secrets de cette fameuse Lune rouge devenait son Graal à lui. Pendant un peu moins d’un an, il mena des recherches intensives, étant presque sur le point de toucher au but ! Mais cela attira l’attention des mauvaises personnes — kidnapping, séquestration, interrogatoires musclés pour savoir ce qu’il fabriquait… Un petit groupe de personnes ne souhaitaient pas que les secrets de la Lune rouge soient révélés. Indiana Jones ignorait depuis combien de temps ils le retenaient en otage, perdant tout repère dans la pièce minuscule dans laquelle il était confiné quand on ne le maltraitait pas. Il ne verra pas le moment où il en sortira puisqu’il sera retrouvé en pleine forêt, dans un état critique, par des badauds. Depuis 2020, il se trouve dans le coma, ignorant que son réveil et tout proche et surtout… que les deux amours de sa vie, Marion et son fils, ainsi que son père sont également ici.
Dernière édition par Indiana H. W. Jones le Mar 19 Sep - 0:22, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Mer 6 Sep - 20:14
Rebienvenue !! Un de mes crushs d'enfance omg, je suis trop contente de le voir sur le forum ! (trop heureuse pour Mutt aussi)
Betty Cooper
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Mer 6 Sep - 20:16
Re bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
Bughead
Tierney Adler
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Mer 6 Sep - 21:52
Rebienvenue, j'ai très hâte de voir ce merveilleux personnage sous ta plume
"I need you, Villanelle."
Mutt H. Jones
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Jeu 7 Sep - 19:16
Rebienvenue parmi nous
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With a purposeful grimace and a terrible sound He pulls the spitting high-tension wires down Helpless people on subway trains Scream, bug-eyed, as he looks in on them He picks up a bus and he throws it back down As he wades through the buildings toward the center of town.+ aeairiel.
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Invité
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Jeu 7 Sep - 20:55
Rebienvenue !!! Il a pris quelques rides depuis la dernière fois que j'ai vu ses films
Invité
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Jeu 7 Sep - 21:35
rebienvenue
Henry Jones Sr
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Ven 8 Sep - 6:44
Junior !! mon fils !!
On avait tellement hâte qu’il sorte du coma, le petit Indy
Rebienvenue avec ce plus que bon choix !
Invité
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Ven 8 Sep - 13:53
Tu fais un si bon choix de personnage, depuis le temps qu'on espérait un Indy sur le forum !!! Et tu le joueras si bien Rebienvenue
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Ven 8 Sep - 19:11
Yeah !!! Indy ! Super personnage !
Amuse toi bien avec ^^
Nicolas Brown
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Ven 8 Sep - 20:33
Re-bienvenue !!
Quelle belle idée de perso ! Indy est tellement iconique !
Bonne chance pour la rédaction de ta fiche !
Invité
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Sam 9 Sep - 10:54
le fameux et grandiose indiana ! le seul et l'unique ! trop contente de le voir débarquer.
rebienvenue sur le forum et bon jeu à toi !
Invité
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Dim 10 Sep - 11:58
Rebienvenue sur le forum
Kathani Sharma
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Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Dim 10 Sep - 21:27
OH MY GOD INDIANA JONES Excellent choix, tellement... Re-bienvenue parmi nous
and now we are alive
je t'ai cherchée partout, même ailleurs. je t'ai trouvée, où que tu sois, je m'endors dans tes regards. même sans toi, je ne serai plus jamais seul, puisque tu existes quelque part. @marclévy ≈vous revoir › alaska.
Betty Cooper
▿ Ton univers : Riverdale
▿ Date de naissance : 29/06/2001
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▿ Métier : Etudiante en journalisme
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur : En couple avec le roi des Serpents Jughead Jones
▿ Métier : Archéologue, aventurier, professeur, autrefois agent pour le gouvernement durant la guerre, troublemaker notoire toujours dans de sales histoires pour la préservation de celle avec un grand H… Indy a plusieurs cordes à son arc ! Etre un thésard planqué dans une bibliothèque, très peu pour lui. Enfin ça… C’était avant qu’il soit dans le coma depuis environ trois ans.
▿ Quartier : Dans un lit du Grey Sloan Memorial Hospital, dans le quartier de Baker Street Avenue, qui commence à sacrément lui mettre le dos en vrac depuis le temps qu’il est allongé dessus.
▿ Côté cœur :
« There were a few. But they all had the same problem. They weren't you, honey. »
« Why don't you stick around, Junior? »
« I don't know. Why didn't you, Dad? »
Sujet: Re: (( indiana )) — .・✧ it belongs in a museum ! Mar 12 Sep - 21:32
Oui si tu veux.
Bughead
Indiana H. W. Jones
▿ Ton univers : Indiana Jones.
▿ Date de naissance : 01/07/1963
▿ Age : 60
▿ Métier : Archéologue, aventurier, professeur, autrefois agent pour le gouvernement durant la guerre, troublemaker notoire toujours dans de sales histoires pour la préservation de celle avec un grand H… Indy a plusieurs cordes à son arc ! Etre un thésard planqué dans une bibliothèque, très peu pour lui. Enfin ça… C’était avant qu’il soit dans le coma depuis environ trois ans.
▿ Quartier : Dans un lit du Grey Sloan Memorial Hospital, dans le quartier de Baker Street Avenue, qui commence à sacrément lui mettre le dos en vrac depuis le temps qu’il est allongé dessus.
▿ Côté cœur :
« There were a few. But they all had the same problem. They weren't you, honey. »
« Why don't you stick around, Junior? »
« I don't know. Why didn't you, Dad? »