▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
Oui une vraie bonne surprise, pas les surprises ou des baignoires passent par le plafond par exemple. Mutt glisse sa main sur celle de Klaus qui est sur sa cuisse. Il lui jette un regard malin alors qu'un sourire équivoque s'affiche sur son visage.
" On va faire la déco... Et après on aura le loisir de faire tout ce qu'on veut. "
C'était pas comme s'ils ne passaient pas leur vie à se rouler des pelles et à s'envoyer en l'air de toutes les manières possibles. Il avait même cette impression que tous les prétextes étaient bon, et plus le temps passait, plus les prétextes devenaient nombreux.
" Pour une fois qu'elle ne découvrira pas un trou dans son plafond. " Dit Mutt ironique. Il fait une légère grimace à ce souvenir là. Il pourrait ne pas l'énoncer mais il avait besoin de le dire.
Mutt se marre à la suite de ce que Klaus dit simplement parce qu'il a une image absolument incroyable en tête et il lui fait part rapidement.
" J'espère que tu ne parles pas de baiser, manger de la brioche et décorer le sapin en même temps. Car même si on est des bêtes de sexe, je suis pas sûr qu'on arriverait à faire tout ça en même temps. "
Son imagination continuant à lui jouer des tours rien qu'en l'énonçant, il continue de rire. Sa main glisse entre les doigts de Klaus pour garder sa main dans la sienne tout le long du trajet. Est-ce que Mutt était heureux ? Avec Klaus, toujours... Même si parfois, il faisait sa tête de lard, même si parfois, ca pouvait devenir compliqué...
Ils arrivent doucement jusqu'à la maison, ils vont tout déballer et commencer à installer tout ca. Clairement vu ce qu'ils ont foutu en vrac dans leur sacs de courses, peut être qu'il y aura de merveilleuses surprises à la clef.
Moses.
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feat. Mutt
On ne va pas se mentir, ça fera probablement du bien à Marion de rentrer chez elle, pour une fois, et de constater que les deux phénomènes qu’elle héberge n’auront pas fait une énième connerie. Ce serait pas mal, pour une fois, de lui faire une surprise qui serait vraiment bonne. Marion a du caractère, elle ne se laisse pas faire si facilement, mais Klaus devine sans mal que, par moments, elle doit vraiment se sentir au bout du rouleau et ne plus en pouvoir… Cette fois, tout ira bien, cette fois, Klaus et Mutt feront les choses bien… Enfin… Peut-être est-ce présomptueux que de l’affirmer ? Avec les deux phénomènes qu’ils sont tous les deux, on peut tout aussi bien s’attendre, et à juste titre, à ce qu’ils fassent tout foirer dans les grandes largeurs, en réalité. Il n’est pas encore trop tard pour cramer le sapin et mettre le feu à la maison – mais on va partir du principe que non, hein. Oui, ils vont faire la déco… et après ça… Klaus retapissera l’intérieur de Mutt (oui, la poésie, la finesse, la subtilité, ne me remerciez pas pour l’élégance de la métaphore, je vous prie).
Klaus s’évite toute remarque quand Mutt évoque le trou au plafond. Ouais, il y a pensé à celle-là, mais il a préféré ne pas en parler – pour une raison évidente, il n’a pas la moindre envie de se remémorer ça… Vraiment aucune envie… Alors il préfère ne pas rebondir sur le sujet. Mutt va bien, là, dans la mesure où il est susceptible d’aller bien, en tout cas… Klaus n’a aucune envie de réveiller chez lui l’un ou l’autre trauma… Ces derniers ne sont pas enfouis, ils sont là, toujours prêts à affleurer à la surface, et il n’a pas la moindre intention d’entretenir ça s’il le peut.
« Alors non, très cher pervers, je ne parlais pas du tout de faire des choses peu catholiques devant notre beau sapin roi des forêts à la verdure majestueuse. Qu’est-ce que tu peux avoir l’esprit mal placé, chéri… », fait mine de s’offusquer Klaus, comme s’il était vraiment susceptible d’être choqué par une telle proposition. Bien sûr que non, il est loin d’être choqué, en réalité. Tout ceci aurait même plutôt tendance à lui donner des idées… peu recommandables… Et là, Marion regretterait une fois de plus de ne jamais savoir sur quoi elle finira par ouvrir sa porte. « Même si j’ai presque envie de le prendre comme un défi », ajoute-t-il avec malice… Je pourrais t’étaler du chocolat partout sur ton corps et y tremper ma brioche… »
Faites-le taire, par pitié… Bref, quoi qu’il en soit, il n’est pas sérieux du tout, pas totalement en tout cas. Et quand ils arrivent à la maison, Klaus est bien décidé à tout déballer et à tout décorer. Il a quand même envie de faire les choses bien, et plus encore d’admirer le résultat ensuite. Alors qu’il déballe se sac, son doigt ripe sur quelque chose de pointu, et il se blesse légèrement.
« Outch ! » Klaus extirpe l’objet incriminant du sachet, pour faire le plus malheureux des constats. « Chéri… je crois bien qu’on a décapité le Petit Jésus ! »
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Mutt ne peut s'empêcher de rire grassement aux commentaires de son cher et tendre en le regardant avec malice. D'accord, le sujet de conversation volait au ras des pâquerettes. Mais ca n'était pas un truc qu'on allait changer chez eux. Ils sont définitivement irrécupérables.
" T'as peur de traumatiser le sapin en fait ? Tu es quelqu'un de bien Klaus Hargreeves Jones. C'est pour ca que je t'ai épousé. " Continue-t-il sur le même ton. Il avait relevé le menton un sourire sur les lèvres, il continue innocemment. " Tu dis ça mais je sais déjà que tu t'imagines la façon dont ca pourrait se faire, j'ai pas raison ? "
Son sourire s'élargit et il continue de rire doucement. Klaus continue sur sa lancée, en poussant l'imagination perverse encore un peu plus loin. " Il commence à y avoir beaucoup de facteurs à prendre en compte. Ca sonne vraiment comme un défi... " Il plisse les yeux pour se tourner vers Klaus d'un air de défit avant de se reprendre et de s'exclamer. " NON ! On ne fera pas tout ça. Nous connaissant, ca va finir en feu de sapin et tout un bordel inimaginable. Alooors... On décore et aprèèèès... On avisera pour prendre le goûter de la manière qui nous conviendra. "
Ils arrivent à la maison et décharge la voiture. Mutt s'occupe à installer le sapin alors que Klaus vide les sacs. Indy est allongé et observe ses maitres avec attention. Il entend une petite exclamation venant de Klaus, Mutt se tourne vers lui et constate la décapitation du petit Jesus.
" Fais voir... " Il revient vers lui et constate les dégâts. " Soit on le rapporte au magasin pour le changer - pas aujourd'hui, de toute on a jusqu'au 25 Décembre pour le faire - soit j'essaye de le recoller. " (et c'est là qu'on se demande comment le sujet avec Viktor arrive. TOUT EST LIE) Il pose ensuite son regard sur la petite entaille de Klaus. " Je vais devoir jouer les infirmières, c'est ca ? " Ca n'était pas grand chose. Mutt fait bien entendu exprès d'attraper le doigt de Klaus pour glisser ses lèvres dessus pour aspirer la goutte de sang qui avait perlé, tout en le regardant d'un air coquin. Il regarde le sapin encore vide du coin de l'oeil, et grimace en retrouvant l'usage de ses lèvres.
" J'ai envie de dire que ca sera la faute du p'tit Jesus mais... Ca serait pas Catho de tout foutre sur son dos. "
Il reporte le doigt de Klaus à ses lèvres en reprenant son affaire et en cherchant ouvertement celui-ci.
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feat. Mutt
« Moi qui pensais que tu m’avais épousé uniquement pour mon corps de rêve », plaisante Klaus avec un fin sourire quand, sous le prétexte qu’il n’avait pas l’intention d’exposer leur sapin à un spectacle indécent, Mutt suggère qu’il est quelqu’un de bien. La vraie question, c’est quand est-ce qu’ils vont reprendre leur sérieux, ces deux-là ? Très clairement, il semblerait que ce ne soit pas pour tout de suite. L’un comme l’autre sont incapables de ne pas rebondir sur les propos de l’autre, et comme il faut s’y attendre quand il s’agit d’eux, ce n’est jamais très distingué – pour quoi faire en même temps, hein ?
La lueur qui brille dans le regard de Klaus en dit long en effet sur ce qui se trame dans son esprit pervers à la pensée de tout ce qu’ils pourraient faire, quand bien même il prétend qu’ils seront sages comme des images tous les deux. Oui, l’idée en plus que tout ceci sonne un rien comme un défi n’aide absolument pas, mais il n’est certainement pas question non plus d’aller jusqu’à un énième débordement, surtout si ce doit être Marion, ensuite, qui doit réparer les pots cassés. La pauvre subit déjà bien assez, il n’est franchement pas nécessaire d’en rajouter, clairement pas. Et ce n’est absolument pas l’intention de Klaus qui, bien que rattrapé par son imagination débordante (toujours quand il est question de s’envoyer en l’air – beaucoup moins quand il est question d’autres sujets), veut surtout faire plaisir à sa belle-mère à l’approche de Noël. Il a bien conscience de tous les efforts que cette dernière fournit pour toute la famille, et il a clairement envie de se montrer à la hauteur. Alors oui, déjà, ils vont tout décorer, et ensuite… ensuite… ils verraient bien, mais les connaissant, ça a tout de même de bonnes choses de ne pas être très beau à voir – à moins d’aimer les spectacles particulièrement graphiques, et qui ne laissent pas beaucoup de place à l’imagination.
Et c’est déjà le début des conneries, puisque le Petit Jésus de la crèche se retrouve finalement décapité… Il fallait s’attendre à ce qu’il y ait de la casse, mais il y a quand même quelque chose d’assez ironique dans le fait que ce soit le Petit Jésus qui en a plein la gueule. Si Klaus décidait d’y voir un signe de quoi que ce soit, probablement qu’il déciderait d’en faire des montagnes.
« Vas-y, un coup de superglu et on y verra que du feu. On va pas s’emmerder à retourner en boutique », affirme Klaus avec enthousiasme, parce que dans tous les cas, lui qui n’est pas croyant du tout se fiche un peu de remplacer le petit Jésus par un jouer de Kinder surprise s’il le faut.
Klaus sourit plus largement quand Mutt recueille le sang qui a coulé sur son doigt du bout des lèvres pour lui suggérer de jouer les infirmiers.
« Ecoute, il est mort pour nos péchés, on est plus à ça près », se marre Klaus, qui n’éprouve aucun scrupule à blasphémer un maximum. « Bon, c’est pas tout ça mais on devrait VRAIMENT se mettre au boulot sérieusement, tu ne crois pas. Ce que tu peux te laisser distraire, chérie. »
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Quand ils se retrouvaient à deux, c'était bien souvent qu'ils n'arrivaient pas à se concentrer sur quelque chose de sérieux. Ils avaient tendance à se chercher mutuellement et ca finissait clairement dans des positions (au sens propre comme figuré, encore celà dépend de la position qu'ils décident de prendre ces deux là) inconfortables.
Mutt a un large sourire tout en cherchant Klaus qui lui rétorque qu'il se laisse distraire. Il prend un faux air offusqué alors qu'un sourire malicieux se glisse sur ses lèvres. " Distraire ? Tu es ma principale distraction... Je dirai bien que c'est ta faute. Toujours ta faute. " Il se mord la lèvre inférieure tout en continuant avec un grand sourire.
Puis il se recule, l'air mutin, tout en continuant de faire face à Klaus, avec une idée bien précise en tête. " Très bien... " Il glisse ses mains en bas de son t-shirt pour le retirer et le laisser tomber au sol dans un signe provocateur. " De la provocation ? On parle de ce type de provocation aussi ? " Il attrape une boule dans un sac qu'il accroche au bout de son doigt avant de la glisser sur une branche du sapin. " C'est lui qui faut habiller... Pas moi... " Continue-t-il avec un faux air innocent, alors que cette fois, il retirer le bouton de son jean en détachant bien son geste, avant de faire glisser son pantalon en bas de ses jambes, se retrouvant en caleçon en face de Klaus. " Ca reste de la déco de Noël. Et vu qu'on a déjà décapité le p'tit Jesus, je crois qu'on est déjà foutu. Je t'avais dit que je pouvais être très vilain... Très très vilain... " Ses doigts glissent sur l'élastique de son caleçon qu'il fait glisser en prenant incroyablement son temps pour qu'il finisse lui aussi en bas de ses chevilles avant qu'il ne s'en libère totalement. " Décoration de Noël version Adam. Ca sonne très biblique au final. " Dit-il en prenant la pause près du sapin une guirlande dans les mains, et nu comme un vers. " Tu me diras ce que tu penses du sapin hein ? Clairement ! S'il y a des trous... S'il manque des trucs... On devrait peut être poser la guirlande électrique avant. " Reprend-t-il, une lueur malicieuse dans le regard, comme si le fait de s'être dévêtu n'était qu'une simple distraction dans leur ambition de décorer le salon. Ses mains se posent sur ses hanches et tout en montrant le haut de l'arbre ensuite de son index, il reprend. " Tu sais ce qu'on a oublié ? L'étoile ! "
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feat. Mutt
« Tu ne peux pas m’accuser de tous les maux de la terre, tu les sais, ça ? » le taquine Klaus contre les lèvres de Mutt, un sourire malicieux sur le visage. En réalité, ce n’est clairement pas une bonne chose qu’ils soient à ce point une distraction l’un pour l’autre, loin s’en faut, mais quand ils ne font que plaisanter ensemble, c’est différent, et ce qu’ils se disent, sous couvert de plaisanterie, c’est qu’ils ne peuvent pas se passer l’un de l’autre, tout simplement.
Ceci dit, et même si la tentation est particulièrement grande de sauter sur son époux, là, tout de suite, sans penser à rien d’autre, Klaus accepte tout de même de faire un petit effort, et par conséquent de ne pas en rajouter plus que nécessaire en poussant le vice jusqu’à ce qu’ils ne sachent faire autrement l’un et l’autre que de craquer. Oh, bien sûr, ils finiront bel et bien par craquer, il est assez évident qu’ils ne sauront pas s’en empêcher tous les deux, mais d’abord, offrir à Marion le plaisir de découvrir une maison belle et décorée doit être leur priorité, et ils peuvent bien faire ça pour elle, pas vrai ? Oui, ils le peuvent, et même, à ce stade, c’est un devoir.
Et ce n’est pas en parlant de se mettre au boulot qu’ils iront plus vite – le drame de la vie de Klaus, ça, très clairement, mais c’est définitivement plus fort que lui au final. Oui, sauf que Mutt ne lui facilite pas la tâche du tout alors qu’il retire son T-shirt sous son nez. Comment voulez-vous qu’il résiste à son corps parfaitement sculpté et à ses abdominaux de rêve ? Il n’a jamais été capable d’y résister, ce nest clairement pas demain la veille que ça arrivera. Décorer un sapin quasi à poil, ça c’est une nouveauté, et bon sang comme il lui devient impossible de se concentrer sur le roi des forêts comme toute son attention est à présent concentrée sur le roi de son cœur.
« Tu prends des risques, chéri, tu vas finir avec des épines à des endroits indus de ton anatomie, et tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même », fait-il en prétendant ne pas être complètement émoustillé par le corps à présent parfaitement nu de son homme. Bien sûr, c’est un mensonge éhonté : Mutt lui est plus attirant que jamais en cet instant. Il dépose quelques décorations çà et là, mais il ne saurait pas du tout dire s’il les accroche à des endroits appropriés tant son regard est naturellement attiré vers son mari, qui sait y faire pour le provoquer comme il le fait en cet instant. « Cette maison a assez d’une étoile sans en rajouter une deuxième », affirme Klaus, en parlant de lui-même, bien sûr, avant de faire glisser ses doigts le long du ventre nu de son homme, qui en cet instant le rend proprement dingue, au point qu’il sent son être entier s’enflammer, dans les grandes largeurs. « Oups… », fait-il en se hasardant toujours plus bas. « Je crois que je me suis trompé de boules. »
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" C'est pas grave. " Fait Mutt en haussant les épaules d'un air tout à fait innocent (si on oublie le côté nu de la chose). " Au pire, j'ai un assistant qui viendra me les retirer. " Il continue de décorer le sapin en même temps qu'il parle. " J'aime prendre des risques dans la vie ! " Dit-il d'un air profond et philosophe.
Il voit bien que Klaus lutte, il le voit se rapprocher. Mutt rit doucement quand il parle de l'étoile et lui jette un regard malin. " Je vais quand même éviter de t'accrocher en haut du sapin... Je te préfère dans mon lit, ma petite étoile de ma vie... " Le sapin se remplit mais les deux n'étaient clairement pas à ce qu'ils faisaient. Alors est-ce que tout semble bien réparti ? J'ai un gros doute là dessus. Mutt sent les mains de Klaus se faire baladeuse pour glisser plus bas. Sa réflexion fait marrer Klaus.
" Evite d'accrocher cette décoration dans le sapin... Je pense que tu en as encore besoin de celles là. "
Clairement, c'était un couple de pervers notoires vu de l'extérieur mais c'était aussi leur dynamique de couple. Ca en devenait même un jeu à ce niveau là. Mutt se tourne vers Klaus, rapproche son visage et observe ses traits avec une envie non dissimulée, des guirlandes dans les mains. " Huuum... On est vraiment pas sage... " Il rit doucement. " Ca me donne envie de jouer... Celui qui craque le premier a un gage. " Bon c'est déjà mal parti à vrai dire. " Tous les coups sont permis bien entendu... " Mutt glisse ses doigts dans le creux du coup de Klaus alors qu'il lorgne sa nuque tout en disant d'un air séducteur. " Tu sais que j'ai pleins d'idées stimulantes pour qu'on fête noël comme il se doit ? J'suis sûr que tu veux savoir lesquelles... " Il a ses lèvres alors proches des siennes, et joue à l'attirer un peu plus vers lui pour qu'il l'embrasse et craque complètement. Qu'il perde pied avec son but... Car c'était bien ca le jeu. Mutt se faisait une joie de les stimuler.
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feat. Mutt
Klaus n’est tout de même pas entièrement convaincu du fait que Mutt sera toujours aussi souriant s’il doit se prendre des épines à des endroits vraiment sensibles de son anatomie, mais quoi qu’il en soit, et même si les deux sont en roue libre totale, ce n’est pas pour autant qu’ils ne peuvent pas faire preuve d’un minimum de prudence. Pas trop non plus, mais juste ce qu’il faut quand même pour ne pas commettre une de ces erreurs desquelles ils seraient incapables de revenir.
« Ça, j’avais déjà remarqué », confirme Klaus avec un sourire mutin quand Mutt observe qu’il a toujours aimé prendre des risques de la vie. En effet, le jeune homme a déjà pu s’en rendre compte. Pour le meilleur parfois, et à d’autres moments pour le pire. Lui accorder une place de choix dans sa vie et le demander en mariage avait probablement été l’un des grands risques de son existence étant donné ses antécédents, et pourtant, il l’avait bel et bien fait, et en fin de compte, il n’avait plus hésité un seul instant.
Klaus sourit doucement quand Mutt affirme qu’il va quand même éviter de l’accrocher en haut du sapin… Ma petite étoile de ma vie, qu’il l’appelle… Klaus trouve ça mignon, en réalité. Il ne peut s’empêcher de sourire niaisement à cette formulation. Lui aussi se préfère très clairement dans le lit de son âme sœur qu’avec une cime d’épineux dans le derrière.
« Tu sais bien que je suis toujours branché nouvelles expériences, mais celle-là aura vraiment du mal à passer », ajoute-t-il en contemplant le sommet du sapin comme s’il envisageait véritablement la chose – rassurez-vous, il est capable d’aller vraiment trop loin et d’envisager les scénarios sexuels les plus alambiqués et les plus fantasques, mais même lui a ses limites – plus ou moins… Là, c’est surtout les limites de la physique et du bien-être qui le rappellent à l’ordre.
C’est vers Mutt, nu comme un vers, que toute son attention se focalise à présent, au diable les décos et les guirlandes, il a juste beaucoup trop envie de lui. Mais quand Mutt pimente le jeu en le mettant au défi de résister, tout de suite, ça change la donne.
« Tu perds ton temps », fait Klaus d’un ton mutin tout en prenant la guirlande de Mutt des mains pour l’accrocher au sapin, savourant au passage la caresse des doigts de son mari contre sa nuque. « Moi aussi j’ai plein d’idées », fait-il à quelques centimètres de ses lèvres. « Et je suis sûr qu’elles sont meilleures que les tiennes », ajoute-t-il en se reculant d’un pas, surtout pour se donner de meilleures chances de ne pas craquer. « Tu vas me supplier de les connaître, et tu sais le mieux dans tout ça ? C’est que je te ferai craquer sans retirer une seule couche de vêtements. » Il enroule une des guirlandes autour de son cou à la manière d’un boa.
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Et c'était parti pour ce jeu totalement puéril et inutile (car on sait tous qu'un des deux finira forcément par craquer si ce n'est les deux.) Mutt s'amuse, clairement ca n'était pas méchant. Et puis, on pourra mettre tout ca aussi sur le dos de l'euphorie de la fin d'année... De Noël qui approche... Bon, clairement non, en fait, ils sont tout le temps "euphorique" en présence de l'un et de l'autre. Soyons honnête.
Et ils se cherchent, Klaus s'approche du visage de Mutt, lorgne sur ses lèvres sans les embrasser. Mutt sent le fin filet de sa respiration contre sa peau. Oui, y'a pas à dire, ca allait être compliqué. Mutt se mordille la lèvre inférieure en observant Klaus reprendre un peu de distance. " Ha ouais ? " Dit-il pris par le défi. Il se marre doucement. " Je demande à voir... " Ajoute-t-il. " Et je suis plus coriace que j'en ai l'air. Je sais me tenir. " C'était l'hôpital qui se fout de la charité alors que Mutt est clairement à poil dans le salon. Mutt cherche aussi de quoi faire craquer Klaus.
Il trouve dans les affaires la fameuse couronne qu'on met à la porte et c'est avec conviction qu'il se l'attache pour que l'objet tombe bien évidemment devant son entrejambe. Bon en passant ca n'est pas bien confortable ca gratte mais c'est pour la bonne cause. En réalité ca ne cache pas grand chose. Il recule pour prendre une pose assez grotesque et théâtrale devant Klaus.
" T'en penses quoi ? " Il se retient de ne pas rire en gardant un faux air sérieux. Faisant en sorte que Klaus ait le regard qui plonge vers son anatomie. " Ca donne envie de toquer à la porte non ? " Dit-il en faisant un léger mouvement de bassin alors que tout gigote en même temps. " Si tu toques, je te dirais ce qu'il y a derrière cette porte. Je te dirai peut être toutes les idées coquines que j'ai en tête. " Il ne manquerait clairement plus que sa mère arrive pour parfaire ce tableau incroyable. Le chien est lassé, il dort déjà dans son coin. En même temps, cette pauvre boule de poils en a assez vu pour toute une vie. " Et ne me demande pas comment ca arrive à tenir si bien. Ca s'appelle la magie de Noël ! "
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feat. Mutt
Klaus affiche un rire des plus sceptiques quand Mutt affirme qu’il est plus coriace qu’il en a l’air et qu’il sait se tenir. Non, aucun des deux n’est coriace, et aucun des deux ne sait se tenir, c’est ça la vérité, et Klaus le sait pertinemment. C’est d’ailleurs presque pathétique à ce stade parce que clairement, n’importe quel individu normalement constitué devrait être capable de se tenir calme dans une situation aussi banale que de décorer un sapin, mais apparemment, il faut quand même que l’un des deux finisse à poil et que tous les deux se provoquent mutuellement parce qu’ils brûlent d’envie de se prendre, ici, maintenant, sans demander leur reste.
Klaus essaie de se focaliser sur ses propres décorations, surtout pour détourner les yeux de son corps de rêve, mais forcément, Mutt ne lui facilite pas la tâche, loin de la, alors qu’il vient accrocher une couronnes de Noël sur la zone la plus sensible de son anatomie. Klaus, qui ne s’attendait définitivement pas à un tel spectacle au moment de tourner le regard, éclate d’un rire fort qui verse dans l’hilarité, alors qu’il essuie une larme de rire qui a commencé à couler le long de sa joue.
« C’est la chose la moins sexy que j’aie jamais vu, mon amour, et en plus ça doit être hyper inconfortable », se marre-t-il franchement. « Mais je suis admiratif de ton talent d’imagination. »
Pour le coup, il dit vrai. Il a beau avoir envie de Mutt en toutes circonstances, dans ce genre de moment, il est plus mort de rire qu’excité, quand bien même la vue offerte sur la virilité de son homme a de quoi titiller ses sens.
« Je suis sûr que tu es très à l’aise avec cette couronne magique qui te gratte les parties, je m’en voudrais de te la retirer ou de soulager tout ça », ajoute-t-il d’un ton amusé, mettant au défi son mari de réclamer qu’il la lui retire.
Mais il le connaît, ils se connaissent, il est assez évident que ce ne sera pas aussi simple, en aucun cas, même. Ils ont beau être tous les deux passablement excités et ne pas savoir vraiment se tenir, ils sont aussi tous les deux de grands joueurs, même quand ils ne parient rien du tout, et qu’au final, la récompense semble surtout appartenir à celui qui craquera le premier. Ils sont tous les deux sur un pied d’égalité, quelque part, à ce titre… Mais ils sont surtout mal barrés, parce que leurs conneries les engagent sur un terrain dangereux. Eux qui veulent juste faire une belle surprise à Marion… Une surprise, ça on peut pas dire le contraire, mais belle, c’est autre chose…
« Parce que t’as l’intention de la garder, pas vrai ? Elle te va si bien. »
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Au moins ca avait le don de faire rire Klaus de bon coeur. Ce qui amusait particulièrement Mutt et bien entendu, comme un gosse, il continue dans son délire à se dandiner pour amuser la galerie. " Quoiiii ? " Dit-il dans un air faussement offusqué. " J'pensais que tu pouvais me trouver sexy dans toutes les situations ! " Il reprend la pose.
Klaus le cherche et Mutt lui fait de petits yeux. Oui, ca gratte et alors ? Il ne se laissera pas si facilement avoir. Le but était de focaliser l'attention de Klaus plus bas, ce qui semblait en partie fonctionner. Heureusement que le ridicule ne tue pas avec ces deux là. Mutt se rapproche de nouveau de Klaus en faisant une moue.
" Mouais mouais... " Dit-il peu convaincu en essayant de chercher autre chose. Il ramasse alors des guirlandes et se rapproche de Klaus. " De toute façon, c'est toi le mec stylé dans l'histoire, alors viens... " Il glisse les guirlandes dans les mains de Klaus et lui fait un sourire coquin. " Je trouve que le sapin est assez décoré, aloooors... " Il montre son corps. " Régale toi à mettre tes mains partout ! " Il se rapproche encore un peu, sa bouche arrivant à la hauteur de sa joue. " J'suis sûr que t'en meurs d'envie ma petite étoile. Refais moi ma déco. En plus je commence à avoir froid comme ca... Tu ne voudrais pas que je me choppe un vilain rhume avant Noël ?" Son regard capte quelque chose qui brille dans les cheveux de Klaus, un morceau de guirlande... Alors il glisse ses doigts dans ses cheveux en prenant bien son temps. " Et pour tout t'avouer. " Dit-il en chuchotant près de son oreille. " Cette couronne me gratte affreusement, et je n'attends qu'une chose... Que tu me la retires... " Bon d'accord, de son côté, Mutt par son jeu, commençait aussi de ne plus en pouvoir et cette proximité près de l'homme qu'il aime commençait à lui donner de vilaines idées.
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feat. Mutt
« Oui, je te trouve particulièrement sexy dans n’importe quelle situation, et d’ailleurs, tu es si sexy que je te conseillerais d’adopter ce style tous les jours », fait-il avec un sourire. « Mais c’est pas suffisant. Tu penses bien qu’à force de te trouver sexy constamment, j’ai dû inventer des stratagèmes pour ne pas te sauter dessus à tout bout de champ… fermer les yeux et imaginer que tu es une vieille grand-mère toute fripée aux seins qui tombent… et encore, crois-moi que c’est pas toujours suffisant », plaisante Klaus qui, tant qu’il plaisante justement, peut passer outre l’envie réelle qu’il a de lui sauter dessus. C’est que oui, il est vraiment joueur, plus joueur qu’on ne pourrait parfois le soupçonner, et même s’il avait envie de craquer, il n’a pas envie d’être celui qui craquera le premier.
Mais c’est vraiment difficile de lui résister quand il le provoque si ostensiblement, avec ses sourires coquins… quand il lui parle de mettre ses mains partout… et oui, bien sûr qu’il a envie de le prendre ici, maintenant, contre le sapin – oups, non, mauvaise idée. Il en a toujours envie quand il est question de Mutt, mais là encore, c’est beaucoup trop simple. Klaus fait genre de rien, malgré tout, et se recule d’un pas à chaque fois que Mutt s’avance vers lui.
« On parlait de chocolat et de brioche, il serait temps de s’y mettre, tu crois pas. » Il tourne vers lui un regard brûlant. « Je meurs de faim, en plus. »
Et clairement, quand il prononce ces mots, il est assez évident que ce n’est pas spécialement de brioche qu’il a faim… pour ce qui est d’accumuler les double sens pas subtiles, on peut le dire sans craindre de se tromper, Klaus et Mutt sont vraiment des maîtres en la matière… ils sont même désespérément forts pour ça… et y a pas spécialement de quoi s’en vanter, très clairement, c’est juste que c’est un fait, un fait qui devient indéniable dans les moments où ils se provoquent comme ils sont en train de le faire en cet instant.
« Enfin… bien sûr, si tu me supplies à genoux de retirer cette couronne et si tu daignes m’avouer que tu la trouves particulièrement inconfortable et que tu as envie que je laisse traîner mes mains baladeuses partout sur ton corps… » Il laisse s’écouler un temps de pause éloquent en même temps qu’il jauge Mutt de bas en haut, de haut en bas, sans envisager de faire preuve de la moindre pudeur. « Peut-être – et je dis bien peut-être – que je considèrerais la possibilité de mettre un terme à ton terrible supplice. »
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
" Tu m'imagines vraiment en grand mère ? " Dit-il en éclatant de rire avec une tête perplexe. " En fait, je ne veux pas savoir. " Dit-il toujours hilare. Il voit bien Klaus essayer de reculer à chaque fois. Mutt le cherche par ces gestes là, en essayant de le faire imaginer des choses pour le faire craquer.
En vérité, il avait du mal à se tenir mais c'était son égo qui tenait la barque à ce moment là. " Et bien je t'en prie monsieur le cuistot ! J'ai hate de te voir cuisiner... " Continue-t-il sur les phrases lourdes de sens. (et particulièrement peu élégante) C'est qu'ils savaient y faire tous les deux. Le regard malicieux de Mutt continue d'essayer de faire flancher Klaus par la même occasion.
Au final, à le voir reculer, Mutt agrippe un passant de son pantalon pour qu'il arrête de le fuir. Il y passe une guirlande pour ensuite l'accrocher à lui pour le tenir près de lui.
" Arrête de t'enfuir, j'te vois. Tu partiras nulle part. T'es un moi. " Lui dit-il malin. " C'est comme ca, c'est le mariage. T'es obligé. "
Il le jauge et essaye de lui faire plier le genou pour qu'il cède. Mutt fait de petits yeux. Il est tenté de céder à vrai dire. Alors il laisse un temps en l'observant longuement en retour. Bon l'idée de se soumettre devant lui était particulièrement excitante pour le coup. Parce que c'était Klaus et à Klaus, il est tenté de céder à tout. Et en même temps...
" Si je me mets à genoux, c'est pour te faire d'autres choses mon amour. Mais t'es trop habillé pour ca. " Lui dit-il avec un sourire vainqueur, tout en levant un sourcil coquin. " Alors nah... " Il regarde sa couronne. " C'est pas grave, j'ai déjà connu plus irritant. " Bon en vrai, ca le gratte quand même. " Et de toute manière je te tiiiiiens... " Il tire sur la guirlande et se rapproche de lui avant de passer ses deux bras sur ses épaules en le regardant dans le blanc des yeux, collant son corps au sien. " Tu sais que quand on faim il faut se rassasier... " Dit-il son visage proche du sien. Une de ses mains glissent dans ses cheveux. Il pose son front contre le sien. Bon, il se laisse doucement aller. " J'ai envie de toi... " Dit-il dans un souffle, laissant ses lèvres proches des siennes. " Retires moi cette putain de couronne Klaus avant que je me tape de l'urticaire. " Ajoute-t-il un léger sourire aux lèvres avec humour.
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.
You're my sunshine when everything seems to be dark
feat. Mutt
« Même en grand-mère, tu restes sexy, je crois que ça doit être ta malédiction », fait Klaus avec un léger sourire, qui décide de glisser sous le tapis toutes les paroles qu’il aurait pu ajouter en apprenant à Mutt qu’il avait déjà mis plus d’une petite vieille dans son lit, et que ces dernières pouvaient s’avérer particulièrement surprenantes… La force de l’expérience, on va dire.
Et il doit arrêter de se laisser bercer par des pensées à ce point si dangereuses… Au final, leur préparer du chocolat, c’est doublement une bonne idée. Déjà, il en a très envie, mais surtout, il va pouvoir se sortir ses pensées les plus obscènes de la tête. Ou pas. En fait, il est évident qu’il n’en sera pas capable. C’est comme ça, on pourra les traiter d’obsédés autant qu’on voudra – et on aura bien raison, mais ça ne changera absolument rien, très clairement.
« Ah, c’est mes vêtements, le problème, je vois », fais Klaus d’un ton mutin alors que son époux tire sur la guirlande autour de son cou afin de la rapprocher de lui. Avec une telle proximité qu’il est impossible de ne pas craquer. Forcément, quand ses lèvres sont à quelques millimètres des siennes, il devient clairement criminel de ne pas craquer… Du moins selon les critères particulièrement tordus de Klaus Hargreeves… qui sont certainement les critères également tordus de Mutt Jones, parce que eux aussi ont ça en commun.
Mutt rend la chose intenable, son corps collé au sien, sa main dans ses cheveux, son souffle contre son visage… hey, il est humain, à la fin ! Evidemment qu’il ne peut que craquer dans de telles circonstances.
« On est bien d’accord que c’est moi qui ai gagné », souffle Klaus d’un ton joueur.
Mais il n’attend pas de réponse de la part de Mutt pour briser le mince espace entre leurs lèvres et l’embrasser avec la plus grande passion. Une de ses mains vient se loger au creux de son cou, l’autre libère le pauvre Mutt de cette couronne qu’il aurait presque honte de déposer où que ce soit à présent, et en profite pour déposer quelques caresses sur la virilité de son amant, dont il devine déjà l’excitation.
« Maintenant, toi, aide-moi à me débarrasser de mes vêtements », ajoute-t-il avec un léger rire. « Je suis beaucoup trop habillé, c’est ridicule. »
On pourrait probablement en dire autant de toute cette situation, tant ils ont l’art de mettre leur plaisir en scène de manière toujours plus décadente. Ils ne comptent certainement pas s’arrêter en si bon chemin, par ailleurs.
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
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" Je ne sais même pas si un mot peut suffire. " Dit Mutt dans un sourire. Il fallait surement le ressentir le vivre. Certains les jugent déjà, il sait qu'il peut insupporter à d'autres. Mais ils se fichaient bien de ce que le monde pensait d'eux et de leur amour.
Ils continuent de profiter encore un moment du calme revenu et de la présence essentielle de l'autre. Et oui, la vérité, c'est qu'ils étaient bien trop occupé à se chercher l'un et l'autre que vérifier leur décoration de sapin leur était passé par dessus la tête. Puis vient le temps d'arrêter leur bêtise et ils se rhabillent, en cherchant leurs affaires dispersés un peu partout.
Mutt est en train de se rendre compte du bordel qu'ils ont foutu, et son regard ne sait pas où il doit se poser clairement. Sa mère va les tuer... Enfin... Il y a la déco de Noël pour lui apporter des étoiles dans les yeux. Mais à côté, ils avaient fait une superbe nouvelle déco.
Il va doucement vers le salon pour observer le sapin. La vérité c'est qu'ils ont quand même fait du bon boulot, malgré le fait qu'ils aient été un peu distrait. " Alors, fais gaffe, je peux devenir jaloux du sapin. Quoi que... " Il se marre doucement. " Je suis pas sûr que l'embrasser soit la meilleure idée au monde. Il est plus du genre piquant que tendre. "
Mutt désigne du pouce et au dessus d'une épaule la cuisine derrière lui.
" Par contre y'a une autre déco dont on devrait s'occuper. " Il grimace. Bon, c'est un peu sa faute aussi. " Clairement je suis pas sûre que maman soit très contente de voir la cuisine dans un tel état. "
Il se dirige vers le placard à balais et commence à fouiller. A une époque, il n'aurait pas été foutu de se démerder, mais c'était avant de vivre trois ans tout seul chez lui et devoir s'adapter. Il trouve l'aspirateur et de quoi nettoyer les surfaces. Il tend le saut à Klaus. " Allez, à deux, je suis sûr que ca sera ni vu ni connu. " Il en profite pour lui voler un baiser.
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.