▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
Le sujet du futur s'était imposé de lui même face à Klaus. Ils étaient au calme, au chaud, et ils se sentaient si bien. Mutt avait envie d'en parler. Car ca restait important pour eux. Ils étaient mariés aujourd'hui. Ils allaient vivre toute leur vie ensemble. Mutt comptait bien respecter ses engagements envers Klaus jusqu'à ses vieux jours. De toute manière, ils n'arrivaient pas à vivre loin de l'autre.
Mutt a un sourire en coin quand Klaus lui affirme qu'il l'aidera financièrement. Bon, il lui avait toujours dit mais il n'avait jamais vraiment vu la couleur de l'argent. Mais il s'en fichait. Avec son travail, il pourra bien rapporter assez d'argent pour deux. Assez pour être heureux en tout cas.
" Du moment, que je ne te retrouve pas à faire des choses que je n'aimerai pas que tu fasses ou enfin... " Dit-il en rajoutant un sourire à la fin. " T'as pas à... te foutre la pression là dessus, tu le sais. " Dit-il en passant ses doigts entre deux mèches de cheveux. " Je sais que j'ai fait pas mal de faux départ, mais je tiens à ce que tu sois heureux. Qu'ON soit heureux. "
Il éclate de rire quand Klaus reprend son expression de faire l'amour déjà tout le temps. Bon sur ce coup là, ils n'avaient pas attendu l'approbation de personne. Mais ils aimaient ça. L'un et l'autre. Se retrouver intimement, partager cet instant. Il ne voyait pas le mal et même si c'était faire l'amour une centaine de fois par jour. Qu'y a-t-il de mal ?
" J'ai bien entendu cette requête du bucheron dans cette cabane au fond d'un bois. Dis toi que ca n'est pas irréalisable mon amour. " Il marque une pause et continue dans un sourire malin. " Note qu'entre nous, la cabane au milieu des bois ca serait pas mal. Ca éviterait aux voisins des insomnies et de nous détester pour le bruit qu'on peut faire. "
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.
« Comment oses-tu ? » fait mine de s’affliger Klaus, la main sur le cœur, quand Mutt affirme qu’il n’est pas question qu’il fasse du travail si il devait se retrouver à faire des choses qu’il ne voudrait pas qu’il fasse. Il est trop excessif dans son comportement pour être pris au sérieux, mais la vérité, c’est que Mutt a de très bonnes raisons de penser que, si Klaus devait réussir à gagner sa vie, ce serait probablement d’une manière… peu honorable.
Que ce soit en revendant des objets chourrés çà et là, en dealant ou… en se lançant dans une charmante arnaque avec Nathan en mourant pour traîner de pauvres types en justice… Rien de tout ceci n’est franchement légal ou admirable… mais c’est ce qu’il saurait faire de mieux. Cela dit, il n’a pas envie de décevoir Mutt, il voudrait, même, que ce dernier soit fier de lui. Alors il fera ce qu’il faudra, un point c’est tout.
« Mais c’est promis, je trouverais un truc bien. Bon, pas le mode costard-cravate – même si ça m’irait trop bien, faut avouer – mais on va trouver. » Il caresse doucement les cheveux de son mari, cette chevelure qu’il adore tant. « On sera heureux. On est heureux. »
C’est le cas. Oui, Mutt a raison, il y a eu tout un tas de faux départ, et par la même, il y a eu beaucoup de larmes, mais Mutt et Klaus sont plus forts que tout ça. Et à la fin, c’est toujours leur bonheur qui prime quoi qu’il advienne. Alors Mutt et Klaus peuvent se projeter sereinement et se sentir vraiment bien… Ils peuvent être bien parce qu’ils sont ensemble, tout simplement. Ils en sont capable.
« Merci de prendre ma requête en considération », répond Klaus en riant franchement quand Mutt lui assure avoir bien entendu son souhait de couper du bois en sa compagnie, en jouant les bûcherons canadiens du dimanche avec l’homme de ses rêves. Et il rit de plus belle après que Mutt lui ait adressé une remarque on ne peut plus pertinente. Effectivement, tant qu’à faire, il serait probablement une très bonne chose qu’ils investissent un endroit isolé pour épargner la patience et les oreilles de leurs éventuelles voisins, eux qui sont capables de hurler leur plaisir de manière quasi constante… au point même d’agacer profondément tout un chacun. « J’avoue. Et puis Indy sera tellement heureux ! Il pourra gambader partout, courir après les écureuils… », reprend-il en poussant le plus loin possible son petit fantasme de type Petite maison dans la prairie. « Tu es le meilleur, Charles Ingalls. »
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
" De toute manière, je ne te vois absolument pas en mode costard-cravate Bien que... " Dit-il le détaillant d'un air gourmand. " J'aimerai bien te voir dans cette tenue pour pouvoir te déshabiller ensuite. " Dit-il en glissant un doigt sur son sternum avec un sourire pervers. " On est heureux... " Ajoute-t-il. " Et si tu le souhaites, je peux t'aider à chercher. Bien entendu, je ne t'impose rien. " Mutt connaissait sa proportion à se mêler un peu trop de certaines affaires quand il avait une ouverture. Et Klaus commençait à connaitre sa détermination. Il pourrait être capable de lui sortir dès le lendemain, une liste aussi longue que son bras de jobs. " Promis t'as le droit de me donner la fessée si je dépasse certaines limites. " Ajoute-t-il pour détendre la requête.
Il sait bien ce qui peut les attendre prochainement pour eux. Même s'ils ne trouvent pas cette fameuse cabane pour y loger à longueur d'année. Un petit week end retiré de tout en mode bucheron... Oui, c'était une idée fantastique et de fantasme qu'il gardait dans le coin de son esprit.
" Tu pourras me donner un coup de main pendant que je couperai le bois. " Dit-il avec ce sous entendu du coup de main qui serait porté sur ses parties intimes.
Oui, ils avaient le chien aussi. Une maison avec un grand jardin ne serait pas du luxe. Voir Klaus se projeter avec cet air serein et heureux sur le visage, ca n'a pas de prix pour Mutt qui le voit détendu. C'est une petite victoire pour Mutt, car ce sont ces moments où il n'est pas sujets à ses angoisses qui apporte aussi de la joie à son entourage. Quand Klaus prononce le nom d'un certain Charles Ingalls, Mutt fronce les sourcils.
" Je ne connais absolument pas cette référence mais j'espère que Charles est aussi sexy que je le suis. "
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.
Klaus affiche un sourire qui se veut à la fois énigmatique et séducteur quand Mutt affirme qu’il serait bien incapable de le voir en costume-cravate. Soyons honnête, la seule occasion au cours de laquelle Klaus Hargreeves daignerait bel et bien s’habiller en pingouin (car oui, même lors de leur mariage, il avait été bien évidemment hors de question de se contenter d’un vague costume sans personnalité – et puis quoi encore ?), ce serait dans le cadre d’un jeu de rôle.
Pour le reste, Klaus Hargreeves est définitivement quelqu’un de trop libre et de trop excentrique pour céder à ce qui, à ses yeux, passe pour la consécration du conformisme. Bon, ça ne l’empêche pas de trouver ce genre de costume très seyants chez les autres, et à coup sûr il lui plairait beaucoup chez Mutt, mais clairement, on ne le verrait pas de sitôt s’ennuyer derrière un bureau à attendre que le temps passe tout en s’acquittant d’un travail naturellement avilissant – pour le coup, merci mais non perci, clairement.
« Bon, rien que pour toi, je mettrais un costard. Je serais un connard de trader qui rentrera retrouver son homme après une dure journée de travail, et toi tu seras à mes petits soins et tu t’efforceras d’apaiser toutes mes tensions », résume-t-il avec un sourire en coin qui en dit long sur ce qu’il pense de ce petit jeu : à savoir que sa seule perspective l’amuse déjà follement : bien sûr qu’il ne pourrait qu’être partant. « Et je dirais pas non à un peu d’aide », affirme Klaus quand Mutt lui suggère de l’aider à chercher un taf, même si ce n’est pas lui rendre service car Mutt en aura probablement assez rapidement marre de le voir échouer entretien d’embauche sur entretien d’embauche.
Bon, il se cherchera quelque chose d’un peu plus concret et moins fantasmagorique que leur petit trip en mode « Petite maison dans la prairie », mais on va dire qu’ils se comprennent, quoi, même si Mutt, une fois de plus, témoigne du décalage de référence entre eux. Ah, tous ces films et toutes ces séries qu’il ne connaît pas ! Au fil du temps, Mutt s’efforce de faire sa culture en la matière, mais tout de même, y a du pain sur la planche.
« Roooh, j’aurais juré que c’était suffisamment vieux pour que tu la connaisses, celle-là. » Loupé, Klausy. Il rit franchement. « Prépare-toi pour des heures de pop-corns et de visionnages intensifs parce que je refuse que tu vives une année de plus sans connaître Charles Ingalls. Tu verras, tu vas l’aimer, je fantasmais sur lui quand j’étais gosse », il affirme avec un mélange d’autorité et d’assurance.
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
Mutt esquisse un sourire et ses yeux brillent d'excitation alors que Klaus continue sur cette petite lancée imaginative d'un potentiel scénario coquin. Ca n'est clairement pas pour déplaire au jeune homme qui imagine déjà toute la scène sans difficulté.
" Je pourrai t'attraper par la cravate pour t'embrasser fougueusement et ne plus te lâcher, monsieur le tradeur. " Lui souffle-t-il en s'approchant de ses lèvres. " C'est un jeu qui me plairait carrément. "
Ceci étant dit et affirmé. Il n'y a plus qu'à prévoir un jour où leur fantasme pourra être assouvi. Klaus ne refuse pas, à côté de ca, de l'aide que Mutt lui propose pour trouver un travail.
" Faut qu'on voit ce qui te plait et on fera une liste ? On cherchera ensemble. Je veux que tu sois heureux et épanoui. " Dit-il en glissant une main tendre dans ses cheveux, son regard encré dans le sien. " Après je te force pas à bosser, tu le sais bien. Je pense qu'on peut se débrouiller. Tout ce que je veux, c'est notre petite maison avec nos deux noms sur la boite aux lettres. Un petit jardin cosy avec une belle terrasse pour inviter notre famille et nos amis à un barbecue. Pouvoir me glisser dans tes bras après de longues journées fatigantes. "
Mutt rit doucement quand Klaus lui parle de la petite maison dans la prairie qu'il n'a pas encore vu passer à la télévision. Les années 50-60 n'ont pas eu ce privilège de visionner ce grand moment de TV.
" Tu sais très bien comment se termine nos visionnages. " Dit-il malin. " Mais il va falloir que je sois à la hauteur alors... Si je veux réaliser ton fantasme de jeunesse... " Ses lèvres finissent par retrouver de nouveaux les lèvres de Klaus et il lui donner un baiser passionné. Ces lèvres qui le font vriller doucement à chaque fois que les siennes viennent s'y perdre.
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.
Un sourire décore le coin des lèvres de Klaus, séducteur et séduit, alors que Mutt, tout contre sa bouche, suggère qu’il pourrait toujours attraper par la cravate ce tradeur fictif qu’il s’empresserait très probablement de déshabiller. Vraiment, le travail ne vaut que pour les jeux de rôle qui en découlent. C’est un constat que Klaus a fait il y a bien longtemps, et on ne lui fera pas penser autre chose quoi qu’il advienne, c’est une certitude.
« D’accord, on fera ça mais… Pas tout de suite ? Là je veux juste penser à toi », dit-il en souriant.
Il ne se dérobe pas au sujet, contrairement à ce que les apparences pourraient laisser penser. Oui, il a tendance à fuir ses responsabilités, ou à faire en sorte de ne pas avoir de responsabilités, en réalité. Mais pas là. Même si ce ne sera pas simple, et qu’il n’est pas du tout certain qu’aucun travail sera susceptible de lui convenir sur le long terme, Klaus n’a pas la moindre intention de laisser couler. Il doit bien trouver un moyen de se rendre utile. Il ne veut pas un boulet que Mutt se traîne au pied. Même si ce dernier se montre très patient envers lui, ce n’est pas pour autant que Klaus n’a pas conscience des immenses limites de son comportement je m’en-fouttiste. Et c’est vrai, Klaus Hagreeves se fout de plein de choses. Mais il se soucie aussi de plein d’autres… Et Mutt est en tête de liste à coup sûr.
« Tu me forces pas, mais tôt ou tard, ça t’agacera, je sais. Puis je me force pas, j’ai envie… Profites-en tant que c’est le cas », ajoute-t-il en riant et en décidant, cette fois, de ne pas pousser plus loin le sujet.
Il préfère largement se complaire dans ses rêves, des rêves qu’il veut voir tous se concrétiser, un à un. Il a envie qu’ils savourent la possibilité de vivre la parfaite petite vie de famille, comme on le voit dans les séries télé sur ces femmes au foyer américaines qui s’entretuent. Ouais, ça c’est définitivement le rêve. Ça c’est définitivement le pied.
« Franchement, si t’es excité par la Petite maison dans la prairie… je peux plus rien pour toi », s’amuse Klaus en riant de plus belle avant de laisser ses lèvres à la portée de celles de son fiancé. En vrai, il s’en fiche, et contrairement à ce qu’il affirme, il est loin d’avoir regardé cette série assidument. Mais dans l’esprit, il aime juste… tout ce que ça laisse suggérer. Tout ce que ça met en perspective. « Je commence à avoir froid. Ça te dit de sortir du bain et de nous emmitoufler dans la couette ? Tant pis pour le jacuzzi de homard. »
▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
Oui, ca n'était pas le moment de penser à chercher du travail pour Klaus. Après tout, ils étaient nus comme des vers dans un bain moussant. Il y aurait d'autres moments et d'autres endroits bien plus appropriés pour celà.
Peut être que ca l'agacera de ne pas le voir travailler. Peut être pas... A vrai dire, Mutt avait du mal à se projeter au niveau de ses ressentis... Il craignait toujours que quelque chose leur arrive à tous les deux. Mais c'est bien normal avec tout ce qu'ils vivaient ensemble depuis près de deux ans. Mais une chose restait sûre: ils s'aimaient et s'aimeraient jusqu'à la fin de leur vie.
" Au pire, tu promèneras Indy. Et tu deviendras le parfait dog sitter du quartier. " Dit-il amusé mais pas mécontent de son idée.
Mutt rit de plus belle quand Klaus se fout de lui s'il se sent excité par la petite maison dans la prairie avant d'ajouter.
" Ha bon ? Il ne se passe rien d'excitant dans cette fameuse petite maison dans la prairie ? "
Le sous-entendu est marqué. Et il sait que Klaus le captera. Il ne sait pas du tout à quoi s'attendre avec cette série après tout. Il ne pouvait faire que des suppositions sur Charles et cette fameuse petite maison alors bon... son imagination fait le reste.
Klaus lui avoue qu'il commence à avoir froid. Mutt entend sa demande et se décolle de lui doucement pour se relever. Il sort en premier et attrape une grande serviette moelleuse. Il l'ouvre pour accueillir son mari dedans. " Viens que je te réchauffe. " Dit-il malin. " Ca n'est que la première partie du réchauffage. La suite arrive bientôt. " Il dépose un baiser dans le creux de son cou avant d'attraper une serviette pour lui et s'essuyer. Il continue ses baisers dans le creux de sa nuque trop tenté par la chair de Klaus nu pour ne pas y succomber.
" Tant pis pour le homard, c'est de ton homard que j'ai envie de m'occuper là tout de suite. "
L'élegance on repassera mais elle était facile. Il pousse avec délicatesse Klaus vers la chambre, ses bras autour de lui.
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.
« Je suis pas sûr qu’Indy acceptera de me payer autrement qu’en léchouilles », répond Klaus en se marrant quand Mutt suggère qu’il se change en dog-sitter pour Indy. Ce qu’il fait déjà. Klaus n’est pas forcément capable d’assumer de trop grandes responsabilités, mais étrangement, quand il est question d’Indy, et même s’il peut lui arriver d’avoir la flemme, il se débrouille comme un chef. En même temps, c’est un fait, il adore passer du temps en sa compagnie. Rien ne lui fait plus plaisir, véritablement. « Y a qu’Indy que j’aime suffisamment fort pour braver le froid et la pluie en cas de petits besoins… vraiment, ce serait catastrophique de me laisser m’occuper des chiens du voisinage », ajoute-t-il avec un léger rire, et d’un ton très sincère.
Pour ce qui est de la Petite maison dans la prairie, il n’est probablement pas nécessaire de s’y attarder trop longuement. Quitte à faire rattraper des classiques à Mutt, autant lui montrer Titanic, Matrix ou Rush Hour plutôt qu’une gamine qui se viande au sommet d’une colline à chaque générique (ouais, c’est tout ce qu’il a retenu au sujet de cette série).
« Bah… je crois qu’ils coupent du bois… et ils élèvent peut-être des chèvres, mais je suis pas sûr. » Il se marre de plus belle. « Ouais, bon, je me souviens pas trop en fait. »
Et à force de raconter des conneries, l’eau commence à gentiment se refroidir, si bien que le corps de l’autre n’est pas suffisant à servir de bouillotte naturelle. Klaus se contente de se redresser en même temps que Mutt avant de se laisser enrouler dans cette serviette chaude et moelleuse. Il se laisse réchauffer, une lueur ravie aux lèvres avant que cette dernière ne se soude aux siennes. Bientôt, Mutt vient embrasser le creux de son cou, et Klaus soupire d’aise. Bon sang ce qu’il adore ça ! Il adore ça plus que n’importe quoi d’autre.
« Encore ? » répond Klaus en souriant. « Moi je te suggérais juste d’aller dormir », ajoute-t-il, toujours tout sourire, alors que Mutt affirme que c’est de son homard qu’il veut s’occuper, là, tout de suite (oui, on est plus à une métaphore incroyablement subtile près, avec eux). Le pire, c’est que c’est vrai. Klaus envisageait bel et bien, en toute innocence, de se blottir dans les bras de son mari.
Mais bon… Si Mutt se sent d’attaque pour un nouveau round, ce n’est certainement pas Klaus qui va le retenir. Klaus aura toujours envie de Mutt, quoi qu’il advienne, et il serait bien incapable de lui dire non.