▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
▿ Quartier : Lockwood hill avec sa mère Marion, et Klaus Hargreeves
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Klaus rit… de bonheur, de plaisir… le résultat d’un maëlstrom d’émotions trop puissantes pour être contenues. Il ne s’était pas attendu à ça, ne s’était pas préparé à tant ressentir en même temps. Il a cette impression nette que ses émotions se sont naturellement transmises à Mutt, et réciproquement, comme si en ne faisant qu’un, ils étaient bel et bien devenus un… C’est presque impossible à expliciter, quelque chose qui s’apparente à une expérience ni plus ni moins que mystique et dont Klaus savoir les effets, le corps encore un peu tremblant, troublé par tout ce qu’il vient de ressentir. Il ne s’attendait vraiment pas à être emporté à ce point. Il ne s’était pas imaginé qu’il vivrait les choses de cette manière. Il sait que s’il dit les choses en ces termes, il va probablement passer pour l’immense hippie de service (qu’il est) mais il lui est difficile de dissimuler son émotion. Elle se lit sur les traits de son visage… et Klaus se sent soulagé de constater que le même bonheur semble rayonner sur le visage de son amant. Il n’est pas le seul à avoir ressenti cela… ils sont deux. Et ils seront toujours deux dorénavant.
Lui aussi semble chercher ses mots… et ne finalement pas les trouver quand il essaie de décrire le moment qu’ils viennent de partager. C’était… c’était… Klaus sourit en même temps qu’il songe à tous les adjectifs qu’il aurait probablement utilisés : mystique, magique, grandiose, exceptionnel, unique… tous correspondent plus ou moins mais aucun d’eux ne suffit vraiment à retranscrire ce qu’ils ont éprouvé l’un et l’autre – ce qu’ils éprouvent, à l’évidence, l’un envers l’autre.
« Oui, les mots on s’en fout », confirme Klaus toujours en riant.
Parce que c’est vrai, les actes importent plus que les mots, et en acte, ils se sont prouvés à quel point ils tenaient l’un à l’autre, ils se sont prouvés à quel point ils étaient unis par quelque chose de fort et de galvanisant, le genre de chose qui ne peut être réduite seulement à de simples considérations physiques. Non, il était tout naturellement question d’autre chose, un quelque chose qu’ils ont savouré et expérimenté dans sa plus parfaite expression.
« Même si tu le voulais, Mutt Jones, tu n’y arriverais plus », affirme Klaus quand Mutt lui fait cette promesse qui lui va droit au cœur, celle de ne jamais le lâché. « Je suis accroché à toi. » Accroché et complètement accro. Klaus s’est trouvé une nouvelle drogue, et c’est certainement la plus planante à laquelle il ait jamais touché. « Moi aussi j’ai jamais ressenti ça. »
Il hésite quelques secondes, se contentant de caresser lentement le torse de son amant avec tout autant de tendresse que de dévotion.
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Il n'a jamais senti une telle euphorie. Il ne s'était jamais senti aussi bien et aussi aimé. Il était clairement à sa place avec cet homme dans ses bras et il ne changerait rien au monde. Rien n'est encore gagné pour le jeune homme mais il trouve en Klaus ce qu'il avait cherché durant toute sa vie. Et quand il prononce ces mots qu'il avait tant voulu lui dire. Quand Klaus passe le pas en premier, un sourire encore un peu plus large s'affiche sur le visage de Mutt alors qu'il le regarde autant amoureusement.
" Moi aussi je t'aime. " Dit-il à mi-voix dans un souffle.
Il sait qu'en passant ce pas, ca serait définitif. Ils seraient liés. Le Mutt d'il y a quelques mois aurait pris peur. Mais pas celui-ci. Parce qu'il avait passé des mois loin de Klaus. Des mois qui avait été nécessaire pour pouvoir autant apprécier ces retrouvailles et qu'il comprenne qu'il était important pour lui. Klaus Hargreeves fait parti de sa vie, aujourd'hui et pour toujours.
Il reste longuement à le regarder, ses doigts glissant sur les courbes de son visage. Il voudrait que le temps dure une éternité et peut être était-elle en train de durer cette éternité. Mais peut être faut-il penser à demain ?
" Qu'est ce qu'on fait maintenant ? " Demande-t-il l'air ailleurs et légèrement inquiet. Rester à Memphis ? Partir ailleurs ? Il ne sait plus ce qu'il veut. TOut ce qu'il souhaite, c'est resté près de Klaus. Mutt voit le futur comme un brouillard épais. Peut être ne devrait-il pas y penser. Et l'idée de retourner à la maison... est encore pire. Il avait peur de ce que diraient ses parents. Déjà qu'ils seraient furieux de sa petite fugue improvisée. (qui dure trop longtemps déjà) Alors s'il ramène un mec en leur avouant qu'il est plus qu'un pote... Peut être devrait-il vivre le moment présent au lieu de s'en faire autant.
Moses.
I'm tired of being what you want me to be. Feeling so faithless, lost under the surface.
Don't know what you're expecting of me Put under the pressure of walking in your shoes.
Il a le souffle court, et encore toutes les peines du monde à réduire au calme les battements de son cœur, exceptionnellement chaotiques. Il avait envie de calmer son souffle saccadé, et en même temps, il n’avait pas envie de se débarrasser de cette sensation, parce que c’était un tout… un tout délicieux, agréable, confortable…. Un tout absolument incomparable. Il avait envie d’en profiter un maximum, parce que c’était beaucoup trop agréable… C’était fou tant c’était évident, mais c’était parfait pour la même raison. Klaus Hargreeves était amoureux, et il ne voulait pour rien au monde que le déserte ce sentiment qui lui donnait le sentiment, littéralement, de nager dans une piscine de nuages. Klaus avait prononcé ces mots d’amour sur le ton de l’évidence, parce que c’était un constat auquel il n’était pas capable d’échapper… C’était ainsi… Il était amoureux de Mutt Jones, et il n’avait pas la moindre envie de le nier et de s’en cacher, alors que c’était une des émotions les plus fortes et les plus essentielles qu’il ait jamais ressenties de toute son existence. C’était trop bon, trop exceptionnel, trop fort. Il n’avait pas la moindre intention de mettre de côté ou de minimiser des émotions qu’il lui semblait si essentiel d’éprouver dans ces proportions bien précises, sans gêne ni la moindre honte.
Son sourire s’agrandit au point de lui dévorer la moitié du visage, quand Mutt, en retour, lui répond dans un souffle qu’il l’aime aussi, d’un ton si certain qu’il est impossible pour Klaus d’en douter ne serait-ce qu’un seul instant. Klaus prend le temps de contempler les prunelles de son amant, de chercher dans son regard un signe d’angoisse ou d’hésitation, mais il ne découvre rien de tel dans ses yeux où il aime perdre les siens… C’est comme s’il s’était lui aussi senti écrasé par le poids de cette exceptionnelle certitude. Et c’est vrai… L’évidence fait peur, mais l’évidence en même temps est ce qu’il y a de meilleur. Pendant de longues secondes, le silence accompagne cette évidence, ponctué de caresses lascives et de souffles repris.
« Maintenant ? » répète Klaus.
Oui, il faut y réfléchir. Klaus n’a pas tant envie d’être rappelé si rapidement à la réalité, mais il n’a tout de même pas le choix, et il le sait pertinemment. Il est préférable de ne pas se contenter de contempler la situation et de s’en contenter. Ils ont à parler. Ils ont à mettre les choses au clair, autant l’un que l’autre.
« Maintenant… Où tu vas… je te suis… Je pourrais… crécher quelque part, pas loin de chez toi et… on se verra quand tu voudras, et personne n’aura besoin de le savoir. Ou bien… » Il réfléchit à toute vitesse. « Je deviens ton super coloc… avec, tu sais… » Il rit chaudement. « … tous les avantages en bonus. »
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Qu'est ce qu'on fait maintenant ? Oui, la question restait vaste... Elle soulevait un tas de questions. Que faire ? Mutt avait trouvé une perle rare en Klaus mais l'avenir pouvait se montrer bien sombre pour eux. Klaus lui répond simplement. Vivre près de lui, vivre avec lui. Celà fait sourire Mutt qui glisse en même temps ses doigts sur son visage d'un geste tendre. Il n'échangerait le sourire que son amant a sur son visage pour rien au monde. Il lui réchauffe le coeur. Il aurait envie de le voir sourire de la sorte pour l'éternité.
" Si mon quatre étoiles te plait... Je savais que mon clic clac arriverait à te charmer. " Dit-il malicieux mais il veut se montrer plus ouvert, plus imaginatif concernant la suite. " Tu peux continuer de me payer en nature le loyer. Ca me va tout à fait. " Ajoute-t-il avec malice.
" Ce que je voulais dire... " Il reprend un peu son sérieux. " Je sais pas si j'ai envie de rester ici. J'ai envie de découvrir une nouvelle vie. Loin... " Peut être était-ce sa peur qui lui donnait envie de fuir, il la ressent de nouveau. " Je suis en train de me poser tellement de questions... Rien que là, j'ai peur que le quartier entier ait entendu nos ébats qui n'étaient pas du tout... discrets. Mais à Memphis ca craint moins qu'à New-York... Pas de brigade des mœurs. " Son regard se perd un instant. " Et si on quittait le pays ? On pourrait être totalement libre et à deux. " Il a besoin de se sentir en sureté. Qu'ils se sentent tous les deux en sureté. " J'ai pas envie que... " Qu'ils leur arrivent malheur ? Il connait les histoires sur ces couples hors normes dans cette société qui finissait bien souvent très mal. Et avec ce qu'il avait vécu plus jeune... C'était un traumatisme qui revenait à la surface. " Amérique du sud ? L'Europe ? " Reprend-t-il, déjà parti loin de cet endroit mentalement.
Moses.
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« Je t’avais dû que j’étais sûr que c’était le lit le plus confortable du monde. »
Il ne l’est pas, et à la longue, ce clic-clac lui userait peut-être les lombaires, mais Klaus pourrait difficilement s’en moquer plus royalement, pour être honnête. Parce que ce qui lui importe, ce n’est vraiment pas la qualité de cet endroit (et quand on a dormi sur le bitume en pleine rue, ce qui lui est arrivé tout un tas de fois, on s’épargne de faire sa mijaurée), c’est la présence de celui en présence de qui il se sent si bien, et qu’il n’a vraiment pas envie de lâcher d’une semelle, sous aucun prétexte. Il rit doucement quand Mutt lui fait comprendre son approbation en suggérant qu’il pourra continuer de lui payer son loyer en nature. Pour l’instant, ça lui convient… Klaus ne doute tout de même pas du fait qu’à la longue, les choses pourraient bien changer, et Mutt se montrer beaucoup moins conciliant à son sujet.
Klaus songeait que Mutt voudrait probablement, un jour ou l’autre, se rapprocher de sa famille, mais ce n’est pas ce qu’il lui laisse entendre… car même s’il affirme ne pas vouloir rester ici, il semble avoir à l’esprit des horizons beaucoup plus vastes. Ses considérations ne sont cempendant pas orientées par ses propres rêves, uniquement par ses peur d’être surpris ou d’être mal jugés. Cela déplaît à Klaus, mais il ne dit rien, il comprend. Quitter le pays ne signifie pas qu’ils seront libres… Il y a des pays qui les traiteront encore plus mal que les Etats-Unis…
« Hmm… », répond Klaus d’un air songeur. Où est-ce qu’il se verrait vivre exactement ? Certainement pas en Amérique du Sud. Peut-être à tort, il n’en a qu’une vision très resserrée autour des conflits entre gangs et ce genre de joyeusetés qui ne donnent pas nécessairement envie de pousser le trip plus loin, il faut être honnête. « L’Europe c’est pas mal… même si je sais pas toi, mais je parle pas un mot de français, d’espagnol où je sais pas quoi. » Il sourit. « Ah si, je sais dire fellation en espagnol, tu sais comment ça se dit ? » il reprend pour alléger une atmosphère qu’il sent s’appesantir.
Il voit à quel point les angoisses de Mutt sont prégnantes, en l’occurrence. Ça ne lui plaît pas, mais c’est malgré tout on ne peut plus compréhensible, et au-delà de compréhensible, même.
« On ira où tu voudras. » il ajoute en caressant doucement son bras avec un tendre sourire. « Moi ça m’est égal, du moment que je suis avec toi. »
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Mutt se détend un peu dans un large sourire quand Klaus parle du fait qu'il ne parle pas un seul mot étranger. Mutt sait se débrouiller malgré sa dégaine de loubard. Il était plutôt bon en français et il gérait l'espagnol. Clairement, c'était une fuite. Il devrait plutôt rentrer à la maison au lieu de fuir un peu plus loin dans ce monde. A vrai dire, s'il avait pu quitter cette planète il l'aurait fait. Il éclate de rire quand Klaus lui demande s'il sait dire le mot fellation en espagnol.
" Je te laisse m'instruire. Je veux l'entendre de ta bouche. " Dit-il en riant doucement. " Bon, je sais parler français et un peu espagnol. Mais normalement, beaucoup de gens parlent anglais. J'ai vécu à Londres un moment. "
Ils iront où le vent les porte. Mutt ne veut surtout pas se retrouver seul de nouveau. C'est ce dont il avait peur. Il resserre son bras autour de Klaus pour le tenir tout contre lui. L'air ailleurs, mais accroché à lui. Il avait peur, ca se sentait dans sa façon d'être. Il était terrifié mais il voulait s'accrocher à Klaus. Il finit par l'avouer dans un souffle.
" J'ai peur... "
Il ferme les yeux et essaye de faire partir cette peur sourde. Il avait peur que celà se termine mal. Qu'on lui arrache Klaus. Il avait peur de souffrir de son côté. Il aimait Klaus plus que tout. C'était si violent comme révélation et c'est normal qu'il pouvait se sentir ébranlé par cela. Il aimerait effacer ce monde pour en créer un autre à leur image. Un monde où tout se passerait bien. La vérité, c'est que ca ne se passerait pas comme ca et leur périple allait surement virer au fiasco. Il le voyait comme ca, car toute sa vie ca avait été ça.
Moses.
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« Tu veux que je devienne ton professeur de langue, hmm ? » plaisante Klaus, le regard pétillant, avant de rire de concert avec celui qui, dorénavant, il le sait, fera partie de sa vie pour toujours. « Ça me plaît. »
Bon, d’accord… si vraiment Klaus devait concrètement apprendre les langues étrangères à Mutt, ils seraient tous les deux mal barrés, et certainement pas adaptée au fait de vivre à l’étranger. Si Mutt, comme il le dit, parle un peu français et espagnol, il a probablement un niveau cent fois plus acceptables que le sien.
« Oh, t’as vécu à Londres ? Qu’est-ce que tu était allé faire à Londres ? » l’interroge Klaus, ne dissimulant rien de la curiosité qui l’anime. « Ouais, beaucoup de gens parlent anglais, mais pour trouver du boulot, faut bien s’adapter. Ou bien on se trouve un couple de petits vieux étrangers et on vit à leurs crochets. »
Klaus laisse ses idées partir dans tous les sens, décidant de s’en amuser plus qu’autre chose. Pourtant, s’ils prennent sérieusement la décision de partir, ils doivent observer tous ces détails avec beaucoup plus de précision que c’est le cas pour le moment. Il aime bien les imaginer tous les deux dans un quelconque pays exotique, et il a envie de penser qu’ils ne seront rien d’autre qu’heureux. Il en est même absolument convaincu. Bien sûr qu’ils seront heureux tous les deux, où qu’ils seront. Klaus veut croire que tout ira bien dans le meilleur des mondes, peu importe où ils iront.
« J’aimerais bien aller à Paris… On pourrait se pinter au vin et faire l’amour du soir au matin. »
Pas qu’ils aient besoin, en réalité, de se rendre en France pour cela, mais Klaus aime bien fantasmer largement cette situation… C’est plus simple que de songer au fait que sa mise en application concrète risque fort de poser beaucoup de soucis. Il y a de quoi s’inquiéter, parce que leur avenir est clairement obscur, et toute cette situation a naturellement de quoi les angoisser. C’est Mutt qui, le premier, verbalise cette angoisse. En trois mots seulement, trois mots qui en disent long. Il a peur… Klaus aussi a peur… Mais ses airs inconséquents laisseraient supposer le contraire. Il veut se dire qu’ils verront au jour le jour… mais tout ceci est nouveau, c’est normal que cela les perturbe. Ils sont comme au bord du précipice. Et ils n’ont pas la moindre idée de ce qui va les attendre.
« Je sais », répond Klaus en caressant doucement la joue de Mutt. « Moi aussi, tu sais ? Mais tout va bien se passer, je te le promets. »
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Mutt rit un peu plus quand Klaus pousse le vice plus loin en parlant d'être son professeur de langue. Bon, leur humour ras des pâquerette risque de prendre certaines envolées.
Mutt parle vaguement du fait qu'il ait vécu à Londres. En fait tout s'explique vu que son beau père était Anglais. Il fait un signe de tête avant de lui expliquer la situation. " Mon beau père était Anglais. J'y ai vécu quand j'étais vraiment qu'un gosse t'sais. Je m'en souviens pas super bien. Mais ca va, heureusement que j'ai pas gardé leur accent pompeux. Je me vois mal parler comme eux. " Dit-il en se moquant gentiment de l'accent british. C'est vrai qu'en voyant le blouson noir qu'il était, celà aurait déconné. Mais Mutt était bien plus américain qu'anglais. Et puis Colin n'avait pas été son vrai père, même s'il l'a appris tardivement.
Mutt sourit tendrement quand Klaus lui parle de Paris. Pourquoi pas... Même s'il sait aujourd'hui qu'Indiana a fait ses études à la Sorbonne. Il n'avait pas envie de suivre les traces de son père mais peut être que prendre de la distance lui ferait du bien. Peut être qu'il pourrait songer à retourner à l'université... Loin de cette pression. Il ferait ce qu'il voulait, sans pour autant s'opposer aux délire parental.
Il resserre doucement son étreinte et se niche contre Klaus quand celui-ci lui avoue sa peur en retour. Ils étaient ensemble après tout. Mutt tire la couverture sur eux alors qu'ils commencent à se rafraichir après leurs ébats. Mutt tombait de sommeil et tout ce qu'il voulait, c'était s'endormir dans les bras de cet homme qu'il aime plus que tout.
" On verra ca demain à deux. Je suis fatigué. Et je me sens bien... " Dit-il dans un souffle en glissant ses doigts dans les boucles de Klaus un air endormi sur le visage. " Je ne te lâche plus... Je t'aime... "
Puis il s'endort doucement, leurs corps enchevêtrés dans ce doux cocon qui n'appartient qu'à eux.
Moses.
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