All good things come to an end

feat. Peter

Les chiens s’agitent inhabituellement devant la porte. Will ne perçoit nulle agressivité dans leur comportement, davantage quelque chose qu’il assimilerait à de l’impatience stricte. Qui que soit la personne qui se trouve sur leur palier, cette présence leur est réconfortante et amicale. C’est donc aussi sereinement qu’il sait l’être quand lui est imposée une interaction sociale qu’il n’avait pas anticipée que Will, seul chez eux à cette heure, vient ouvrir à celui qu’il découvre dans l’encadrement de la porte. Une silhouette familière.

« Peter. » Une fine esquisse de sourire, comme en fleurissent rarement sur le visage du si souvent taciturne Will Graham, étire ses lèvres en même temps qu’il s’écarte afin d’offrir au jeune homme de faire un pas à l’intérieur, les chiens sur ses talons. « Ça faisait longtemps. »

C’est presque un reproche… En fait, ce n’est peut-être un, désavoué par celui qui le formule. Cela fait effectivement longtemps que Will et Peter n’ont pas eu l’occasion de parler, tous les deux. Peter s’est éloigné. Will l’a laissé faire à contrecœur, non parce qu’il appréciait de le voir déserté progressivement sa vie, mais parce que la part la plus rationnelle et la plus humaine de lui avait tout à fait conscience du fait que cela valait mieux. Peter était l’anomalie dans l’harmonie familiale, celui qui ignorait leurs secrets… celui qui, surtout, ne les aurait pas supportés s’il en avait connaissance… C’est probablement, contradictoirement, pour cette raison qu’Hannibal avait pris plaisir à manipuler sa présence dans leur vie. Pour tester ses limites, son éventuelle appétence pour des ténèbres dissimulée derrière une exceptionnelle rigueur morale.

Oui, pour son propre bien, il est préférable que Peter ait pris ses distances avec Will, mais à mi-mots, ce qu’il dit sans le dire, c’est que sa présence lui a sincèrement manqué. Quelles que soient les raisons, les motivations de Peter, sur lesquelles il ne l’interroge pas pour commencer, il veut croire qu’elles ont un fondement contre lesquelles il était absurde de lutter.

« Tu prendras un thé ? un café ? J’ai bien peur de ne pas avoir de soda au réfrigérateur. » La simple vision d’une bouteille de Coca dans son frigo parfaitement rangé serait une violente insulte au bon goût d’Hannibal, sans l’ombre d’un doute.

Il attend de connaître la réponse de Peter, tout en se servant pour lui-même une tasse de café bien serré, la troisième de sa journée. Et ce n’est qu’une fois que Peter a choisi son propre poison qu’il reprend la parole et s’enquiert des raisons de la présence de Peter sous son toit.

« Alors… je suppose que tu avais quelque chose à me dire ? »

Il attend, prudemment, son regard le sonde de biais, sans jamais le regarder dans le blanc des yeux, comme s’il pouvait lui être possible, de la sorte, d’entendre et comprendre les intentions de Peter.

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feat. Peter

« Non, tu as bien fait de venir », répond Will quand Peter s’excuse d’avance de peut-être déranger et de ne pas l’avoir informé de son arrivée.

Ce sont d’infimes détails, en réalité. Quoique Will n’apprécie pas particulièrement que l’on sonne à sa porte sans s’être annoncé en temps normal, ceci exigeant de sa part un effort de sociabilisation auquel il n’avait pas été préparé (et qu’Hannibal n’apprécie pas nécessairement cela non plus, parce que de la part de beaucoup, l’initiative ne saurait être perçue que comme un manque de politesse), Peter fait exception à la règle. Peter fait exception à beaucoup de règles, en réalité. Will ignore ce qui l’aura motivé à venir, une impulsion, le fait de se trouver dans le coin, une motivation plus profonde, peut-être… il est seulement heureux qu’il soit là… preuve que ce fil ténu qui les relie ne s’est pas purement et simplement brisé, par un concours de circonstances qu’aucun deux n’aurait été capable d’appréhender. La compagnie de Peter ne lui sera jamais désagréable ou incommodante, bien au contraire. Mais elle est devenue rare, et ce n’est, au fond, de la faute de personne.

Leur café servi, Peter rentrer dans le vif du sujet, et sans rien avoir explicité encore, Will songe qu’il aurait probablement préféré qu’il soit présent parce qu’il serait seulement passé à l’improviste. Non, il a en réalité quelque chose à lui dire. Il s’est vu offrir un travail… voilà la raison de sa présence. Il va quitter son poste, réduisant à peau de chagrin le nombre de leurs interactions futures, qui n’étaient déjà pas bien grandes en réalité, car même s’ils travaillaient au même endroit, ce n’est pas pour autant qu’ils se voyaient tant que cela.

Ce Mr Stark, Will le connaît. Parce que Peter leur en avait parlé, et parce qu’il a eu vent de sa présence en ville presque par hasard, mais avait deviné alors que s’il en prenait conscience, il ne faudrait pas longtemps pour que Peter fasse de même. De ce qu’il a entendu à son sujet, c’est un homme brillant, mais qui lui a aussi semblé particulièrement arrogant. Assez naturellement, presque intuitivement, Will ne l’a pas aimé. Il l’aime encore moins, en cet instant, mais il s’efforce d’afficher l’expression la plus neutre possible. Il ne sert à rien d’être en colère. Il ne sert à rien d’être… jaloux ? La vie suit son cours. Et ce qui est à présent est probablement le mieux. Pour eux tous.

« Tu veux que je t’aide à rédiger ta lettre de démission ? » Il esquisse un fin sourire. « Je ne suis pas vraiment doué pour les mots, Hannibal saura probablement y faire mieux que moi. » Il baisse les yeux sur le fond de sa tasse à café, dont il boit une nouvelle gorgée. « Monsieur Stark a de la chance de t’avoir. » Dans son entreprise, dans sa vie. « Tu as eu raison de saisir cette opportunité. Elle t’ira comme un gant. »

Mieux que tout ce qu’il aurait éventuellement pu lui proposer.

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feat. Peter

L’ombre d’un sourire passe sur le visage de Will et s’efface rapidement. Les remerciements que lui adresse son interlocuteur, Will le sait, ne concernent pas seulement la perspective de l’aider à rédiger une lettre de démission en bonne et due forme. Il le remercie pour de nombreuses autres choses, et sans doute en partie pour le rôle qu’il a tenu dans sa vie ces derniers mois… Du moins… Les mois avant ces quelques mois au cours desquels ils ne s’étaient quasiment plus parlé. Will estime que ces remerciements ne sont pas nécessairement mérités. Sans cette distension naturelle, qu’aucun des deux n’avait vraiment voulu mais qui s’était malgré tout produite, Peter aurait probablement fini par regretter d’avoir un jour croisé la route d’Hannibal Lecter et de Will Graham. Cela ne rend pas le constat moins amer pour autant. Il l’est. Il l’est même terriblement… Parce que le remercier d’une manière qui semble si globale… cela a presque la saveur douce-amère d’un au revoir.

« Si vous avez besoin d’un garant, pour la maison, pense à moi », dit-il alors que Peter évoque son envie de s’acheter un endroit où Regulus et lui pourraient vivre, loin de la vie qu’ils avaient jusqu’ici menée sur le campus, où Peter n’a probablement plus vraiment sa place.

Sur ce point, il est ravi pour eux. Il n’avait ni d’estime, ni de sympathie pour Harry Osborn (dommage, il a pas fini d’en entendre parler)… Il n’est pas totalement convaincu d’en avoir beaucoup plus pour Regulus Black… mais ce dernier semble bel et bien satisfaire au cœur de Peter, et c’est, en fin de compte, le plus important. Si tous les deux ont ensemble des rêves, des ambitions et des projets qu’ils savent caresser de concert et harmonieusement alors… c’est probablement pour le mieux.

« Enfin, je suppose que Tony Stark fera un garant bien plus remarquable », il ajoute, le regard fuyant, préférant tant qu’à faire ne pas se répandre sur ce sujet bien spécifique.

Quant à leurs projets à eux ? Will songe sans mal, entre deux gorgées de café, qu’il en est très peu dont il pourrait parler librement avec Peter sans que ce dernier ne s’en retrouve horrifié – à très juste titre. Le tenir à l’écart, consentir à cette mise à distance naturelle autant que douloureuse, c’est aussi dresser un mur plus solide entre lui et sa monstruosité, qui n’aurait probablement jamais tenu bon autrement.

« Le mariage est toujours d’actualité, même s’il est vrai que nous avons accumulé les contretemps, et tu seras bien sûr toujours le bienvenu si tu désires y assister le moment venu. » Il marque une pause. « Pour le reste… la vie suit son cours. »

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feat. Peter

Le sourire que Peter affiche au moment pour Will d’évoquer son mariage futur (et constamment retardé) est suffisamment sincère pour faire oublier – plus ou moins – au concerné son amertume… Certains silences en disent plus long que des mots, il serait absurde de vouloir rivaliser avec Tony Stark, et encore plus avec May. Peter a trouvé un noyau solide et stable, ce que Will et Hannibal n’auraient pu que prétendre lui offrir. Ce n’est pas agréable, certes, mais c’est sans doute mieux ainsi, au fond. Donc autant se concentrer sur ces restes de complicité qu’on ne peut pas leur ôter. Inviter Peter au mariage est une évidence, Will songe néanmoins qu’après cela, et même si ça lui fend le cœur, il faudra probablement laisser Peter vivre sa vie, loin des problèmes qu’il pourrait lui causer… et réciproquement… comme si c’était si simple.

« Ce n’est rien de grave. Des soucis administratifs, des imprévus professionnels, rien que tu ne puisses arranger », dit-il évasivement au sujet de ces contre-temps.

Et bien sûr, il ment : il est avant tout question d’ultimatums, du retour de vieux ennemis et de l’apparition de nouveaux, d’une nécessité pour l’heure de faire profil bas tant que d’anciennes promesses n’auront pas été tenues afin de s’assurer que l’harmonie fragile d’une famille à part ne soit pas briser. Il est tout de même sincère sur le dernier point. En effet, il n’y a rien que Peter puisse arranger.

« Je ne suis pas vraiment… adepte des grandes réunions de famille », remarque Will dans un premier lieu (parce que c’est le cas). Mais il ne veut pas non plus saper les efforts de Peter alors que ce dernier essaie malgré tout de recoller des morceaux qui, en fait, ne se sont pas vraiment brisés… Juste distordus, en réalité. « Mais après tout… » Il esquisse un fin sourire. « Je serai ravi de rencontrer ta tante. »

C’est le cas, dans une moyenne mesure. Peter lui en a tant parlé, il est au fond logique qu’il finisse par faire sa connaissance. Et au fond, il peut reconnaître être curieux.

« Je suis heureux pour toi tu sais », il dit tout de même, parce que ce point lui paraît essentiel à souligner, pour que ne transperce pas seulement la tristesse d’un père qui a le sentiment qu’on lui arrache sa progéniture. « Que tout se passe aussi bien pour toi. »

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feat. Peter

Certains mondes ne sont pas faits pour se côtoyer. Le chaos qui en résultera naturellement ne saurait être considéré comme acceptable ou supportable. Peter agit en tout enthousiasme et en toute innocence, mais il ignore à quel point il serait préférable pour lui de préserver sa tante du sillage de Will Graham et Hannibal Lecter. Will voudrait qu’il ne le découvre jamais, mais il a l’intuition que ce tour inévitable des circonstances leur pend au nez… Et n’a probablement jamais été plus proche d’advenir.

Will s’abstient de tout commentaire, il se contente d’écouter Peter. Sincère, il l’est quand il se satisfait du bonheur du jeune homme, qu’il ne veut pas voir souffrir (quand bien même il voit difficilement comment la chose pourrait ne pas arriver). Il lui apprend que May, dans le futur, avait perdu la vie. Le visage indéchiffrable du profiler ne laisse pas vraiment transparaître la nature des émotions que ces révélations lui inspirent, mais lui-même est plus attentif au ressenti de Peter, à vrai dire… à ce que la perte tragique de sa tante, même s’il ne l’a pas, à proprement parler, vécue, a pu susciter d’émotions en lui.

« Je suis désolé de l’apprendre, pour May… Si tu as besoin d’en parler… je sais qu’Hannibal sera probablement plus disposé, mais… »

Il veut pouvoir garder ce rôle d’oreille attentive, même s’il n’est pas certain que ce rôle lui convienne encore tout à fait dans ces nouvelles circonstances.

« Je vois où tu veux en venir », il répond, très sincère, quand Peter s’embrouille quelque peu dans son discours, et veut lui faire comprendre que rien n’est jamais acté sur cette île. Elle peut donner, et elle a donné beaucoup à Will, en vérité – bien plus qu’il ne le mériterait… mais elle peut également reprendre beaucoup. Plus encore qu’on ne le soupçonnerait. Il le sait, et il navigue dans cet océan d’incertitudes avec plus de prudence qu’il ne le devrait sans doute… Comme une façon de se sentir en sécurité… autant que possible, du moins. « Tu es la voix de la sagesse, Peter », il reprend simplement.

Ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il tiendra compte de ses conseils… L’amour, c’est aujourd’hui et maintenant, peut-être, mais demain importe également, et Will ne cessera probablement jamais de se torturer de questionnements et de considérations qui l’empêcheront plus concrètement de se projeter dans cet idéal romantique où il serait tentant, parfois, de se jeter à corps perdu.

« Déjà, laissons passer les fêtes. » Il marque une pause. « A ce sujet… Je vais avoir besoin de ton accord en amont concernant le cadeau que j’envisage de t’offrir », reprend-t-il pour changer, pas franchement subtilement, de sujet.

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feat. Peter

Will savait qu’il n’avait pas besoin d’être particulièrement explicite pour que Peter comprenne. Chaque fois qu’ils ont passé du temps ensemble, Will a pu constater à quel point son protégé se sentait proche de ses chiens, et combien il pouvait remettre sur le tapis le fait qu’il regrettait de ne pas en avoir… Will le sait, bien sûr, de même qu’il envisageait de réaliser le rêve de Peter depuis un moment, déjà…

Un rêve facile à réaliser. Un don qui n’exige rien, quelque chose de pur et de simple, à mille lieue de toutes ces autres considérations complexes qui finiront peut-être un jour ou l’autre par les diviser. Oui, Peter a parfaitement deviné, et le sourire qu’il affiche en cet instant, d’une oreille à l’autre, en dit très long à ce sujet.

« Je pense qu’il ne sera plus si réticent face à ton enthousiasme », observe-t-il simplement.

Et surtout, Will se fiche un peu de l’opinion de Regulus Black, pour être honnête (ça, c’est fait). Certes, il ne l’a jamais rencontré, il s’est contenté de rencontrer Harry le sosie, mais c’était suffisant pour lui.. de manière générale, la situation avec Harry lui a laissé entendre qu’il valait mieux qu’il se garde de s’intéresser à la vie personnelle de Peter à moins que ce dernier ne l’attende de sa part. Ce cadeau, c’est à Peter qu’il le fait, et c’est Peter qui doit prendre sa décision (oui, c’est le même Will qui doit constamment faire du chantage à la compromission avec Hannibal qui dit ça, mais on va dire que chacun balaie devant sa porte).

« Et il est probable qu’il ne m’apprécie pas outre mesure dans tous les cas », ajoute-t-il d’un ton lucide, parce que Will n’est pas exactement le genre d’homme que l’on apprécie à coup sûr… Peter étant une étrange exception à la règle. « J’attendais un accord de principe de ta part, disons, mais j’apprécie de constater que ton opinion n’a pas changé. »

C’est une sorte de lien qu’il lui propose. Si les relations entre eux doivent naturellement se distendre, ce cadeau leur servira de connecteur… Peut-être même… de prétexte, d’une certaine manière. Un prétexte pas vraiment dissimulé, et dont ils connaîtront tous les deux la symbolique et la valeur. Car même en de telles circonstances, oui, les symboles continuent d’avoir leur importance.

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feat. Peter

Will hoche la tête quand Peter suggère qu’ils prennent l’air. Ce ne sera pas du luxe, en effet, et ce ne sont définitivement pas ses chiens qui diront le contraire. Il a suffi que ces mots soient prononcés par Peter pour que les canidés s’agitent et frétillent sur place. Il ne faut dont en définitive que quelques minutes pour que le duo sorte, accompagné d’une nuée de toutous. Durant quelques minutes, ils profitent seulement du silence et de l’air frais, mais cela ne dure pas. Le jeune homme est préoccupé, de toute évidence, mais l’avantage d’être avec Peter, ce dernier sait s’exprimer quand il a quelque chose sur le cœur, et mettre des mots sur ses préoccupations… Ce genre de personnalités ont quelque chose d’étrangement réconfortant, même si elles sont, de toute évidence, aux antipodes de la sienne.

Alors il l’interroge, sur sa relation avec ses parents, sur leur ouverture d’esprit. Ces questionneements lui décochent un léger sourire, une fine esquisse cynique. On ne peut pas dire que la relation de Will avec sa famille ait jamais été fusionnelle.

« Je n’ai plus vraiment de souvenirs de ma mère », commence-t-il en haussant les épaules. « Quant à mon père… nos interactions étaient limitées à des sujets très spécifiques. C’était mieux ainsi. »

Est-ce que son père aurait approuvé Hannibal ? Probablement pas, mais Will n’a jamais réellement réfléchi à cette question, ni n’y a jamais accordé une grande importance. Ce qui n’est pas le cas de Peter, dont Will comprend sans mal l’appréhension et les doutes qu’il ressent à l’idée que Regulus ne veuille surtout pas qu’il rencontre ses parents. Peter veut être apprécié, à tout prix, et il ne veut pas passer outre l’approbation de ses parents.

« Je comprends ton désir d’être accepté au sein de sa famille, et ta frustration à l’idée que Regulus cherche à t’en protéger, mais… » Il marque une pause. Il n’est probablement pas le mieux placé pour dispenser le moindre conseil, en réalité. « La famille est importante, certes, mais elle ne se définit par les liens du sang que dans une moindre mesure. On choisit sa famille. En te choisissant, Regulus a quelque part choisi la sienne, non ? » suggère-t-il sans pouvoir présumer pour autant de ce qu’est véritablement le point de vue de ce Regulus… Il n’est pas certain de vouloir le connaître par ailleurs.