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Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien. ☕ Mutt W. Jones

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Anonymous

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Sam 18 Déc - 0:35

@Mutt W. Jones
Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien.

Par acquis de conscience, Martin avait décidé de prendre rendez-vous avec un ophtalmologue pour vérifier que la vue de son œil droit ne diminuait pas, étant donné qu'il faisait le travail de deux yeux. Il n'avait pas spécialement de maux de tête ou autre, mais il était vrai que de temps en temps le soir, son œil commençait à lui dire merde et ne plus supporter la lumière. Il souhaitait également en profiter pour faire contrôler le gauche et demander si une chirurgie pourrait améliorer sa condition actuelle. Son rendez-vous était prévu en pleine après-midi dans un hôpital des plus classiques. Après avoir attendu une dizaine de minutes dans une petite salle d'attente pleine, un homme de son âge vint le chercher. Dans le bureau il eut le droit à un examen qui lui sembla complet. On lui testa la réfraction, le champ visuel, on en profita pour lui faire une ophtalmoscopie, un examen à la lampe à fente, une tonométrie, et d'autres choses dont il ne retint pas le nom. A la fin de l'examen, il eut comme conclusion par le spécialiste : " Pour l'instant votre œil droit est en bonne santé, rien ne me choque en tout cas sur ce que j'ai pu observer. Mais il est tout à fait normal que vous ressentiez une gêne le soir à cause de la fatigue : votre œil force toute la journée. Néanmoins, il faudrait le surveiller régulièrement. Je crains qu'au fil du temps, votre vu ne se détériore plus vite qu'une personne en pleine capacité visuelle. Quand à votre œil gauche, on parle dans votre cas de cécité absolue. Aucun traitement n'est envisageable. Des recherches prometteuses sont en cours, mais je ne préfère pas vous donner de faux espoirs."

Le rendez-vous s'était terminé sur cette conclusion. Martin n'avait pas traîné ensuite. A l'accueil il avait donné de fausses informations le concernant, notamment un chèque complètement faux. La consultation coûtait suffisamment cher pour qu'on lui dise ce qu'il savait déjà. Martin avait juste besoin d'une confirmation médicale. Il emprunta des couloirs et des escaliers complètement différents qu'en venant, et évita soigneusement les ascenseurs. Il prit une sortie qu'il ne connaissait pas, et serait obligé de faire le tour de l'hôpital pour retrouver sa bécane. Dehors, il enfila son bomber noir et attrapa son paquet de clopes. Un vice qu'il avait repris et qu'il n'arrivait plus à arrêter. Mais en marchant il s'était rendu compte qu'il avait oublié son briquet. Alors il jura à voix basse dans sa langue natale. « Joder de mierda. » - Putain de merde.

Mais un peu plus loin un homme fumait, et simplement de dos Martin l'avait reconnu : il s'agissait de son mécano, celui qui lui avait vendu la moto qu'il utilisait, et qu'il lui faisait la révision de temps en temps : Mutt. Martin n'avait aucun problème pour réparer les petits soucis de sa bécane quand c'était le cas. Il se contentait des manœuvres obligatoires pour garder son véhicule. Mutt était un type sympas, le courant passait bien entre les deux hommes, c'est pour cela que jamais il n'a tenté de le carotter. Mais leur relation s'arrêtait pour l'instant là. Martin se permit toutefois de se rapprocher de lui et de lui administrer une claque amicale dans le dos. « Jones ! » S'exclama-t-il en roulant le J à la manière espagnole, c'est-à-dire en prononçant Rrrrrronèss. C'était voulu. « Tu tombes bien gamin, j'avais besoin de ça, merci ! » Martin avait mis une cigarette dans sa bouche et avait rapproché son visage de celui de Mutt pour allumer sa clope avec celle de son mécano. Il se recula ensuite, tira une grosse bouffée, et c'est à ce moment là qu'il remarqua la mine de Mutt. Il avait l'air au fond du trou. « Tu tires une de ces gueules ! Tu devrais essayer la fellation pour décompresser, y'a rien de mieux. Et je sais de quoi je parle ! » Il voulait juste détendre l'atmosphère. Le braqueur posa une main sur l'épaule du plus jeune. Il se doutait que quelque chose de grave était arrivé étant donné qu'ils étaient devant un hôpital. « Tranquilo, je plaisante. Tu veux me raconter ? Vide ton sac, ça fait du bien. C'est comme les couilles. » Il retira sa main pour la glisser dans poche. « Je te paie un verre, suis-moi. » Ce n'était pas une proposition, Martin avait soif.

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Mutt H. Jones

Mutt H. Jones

Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien. ☕ Mutt W. Jones  OEfo-1
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▿ Métier : Il est en seconde année de Master en histoire et archéologie à l'université. / En stage universitaire au musée d'histoire naturelle en recherche et restauration.
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Sam 18 Déc - 22:02


VIDER SON SAC, C'EST COMME VIDER SES COUILLES : ÇA FAIT DU BIEN.
Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien. ☕ Mutt W. Jones  Tumblr_m5zbll3nlF1qaxi9so1_250Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien. ☕ Mutt W. Jones  68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f5342386e4c475573756a524541673d3d2d3836393836333334372e31363038353433363338346565333733333531303434343933302e676966

Mutt avait les épaules larges, il pouvait supporter beaucoup mais il commençait à être à bout. En même temps avec tout ce qu'il se passait dans sa vie, comment lui reprocher ? L'arrêt cardiaque de Klaus le soir de Noël... Heureusement que Five était passé, car il était parti en panique totale... Lui qui pensait qu'il pouvait tout gérer... Mais les addictions de Klaus avaient été trop puissantes pour un sevrage si radical. Il aurait dû consulter un spécialiste mais il avait voulu jouer les grands comme toujours...

Puis cette récente découverte à l'hôpital. Son père était bel et bien ici, mais dans un état médical incertain. Si ca n'est pour résumer qu'il est dans un coma. Les médecins restent encore vague sur son cas... De quoi l'enchanter au plus au point... Comme vous pouvez vous en douter.

Mais il essayait encore de garder la tête hors de l'eau, mais il se sentait brisé de partout. Ses défenses étaient au plus bas... Ca aurait pu être pire qu'il n'arrêtait pas de se dire. Klaus, ca allait maintenant non ? Il restait encore quelques jours en observation. Son arrêt cardiaque n'était pas anodin et ils devaient faire une batterie de tests. Il était aussi très jeune pour faire ce genre de choses alors ca inquiétait les médecins. Et puis... Ils ont du avouer ses addictions aussi... Ca pouvait avoir visiblement un rapport. Mais en attendant... Et son père était aussi en vie après tout ?

Mutt avait eu besoin de sortir, fumer, prendre l'air... Il n'avait pas menti à Klaus en lui disant qu'il allait faire un tour pour se changer les idées. Même si avoir la chaleur réconfortante de son petit ami l'aidait au plus haut point à tenir. Ses mots rassurants, sa présence... Heureusement que Klaus était là.

De son côté, Mutt avait pris la décision de prendre une consultation avec un psy. Il en avait fait la promesse à Klaus et il ne voulait pas se défiler. Sachant qu'il sentait fort bien qu'il était en train de vriller... Petit à petit mais... la descente était rude. Pour tout le topo psychologique, vous pouvez largement ajouter la culpabilité de Mutt dans l'état de Klaus. Il aurait dû le forcer à aller voir un médecin et ne pas tout gérer seul... Ca avait été idiot.

En train de prendre une bouffée de nicotine, qui n'était là que pour calmer le soucis un instant, l'esprit dans le vague... Bien ailleurs, et n'arrivant pas à se détacher de ses préocupations... Il entendit une voix familière et un accent qui ne trompait pas.

Mutt redressa la tête et se tourna vers l'espagnol. Un client du garage. Martin Berrote. Mutt tenta un sourire ravi de le voir -car c'était la cas- mais son regard le trahissait...

" Salut Martin ! " Lui lance-t-il la voix un peu roque par manque de sommeil de ces derniers jours. Il vient près de lui pour lui taxer une clope et se la griller avec lui. Mutt l'observe.

Il aimait bien cet homme. Il faisait parti de ces mecs qui en imposaient par leur présence et leur charisme. Le genre de mecs que Mutt pouvait admirer. Il aimerait être comme Martin. Il semblait pouvoir affronter le monde entier sans que rien ne le perturbe.

Ne comprenant pas tout de suite la blague sur la fellation, Mutt haussa les sourcils avant de tenter de sourire. Ouais, c'était pas gagner.

" Dure journée... Enfin s'il n'y avait que la journée, ca serait bien. " Lui avoue-t-il. " Je suppose que ca va aller... "

Il n'en était pas si sur au final. Il rit à la manière de s'exprimer de l'homme.  Mutt était assez brute de décoffrage quand il s'y mettait aussi. Mais notre garçon ne savait pas trop s'il devait vraiment se confier ou pas mais quand Martin l'invite à prendre un verre. -sur le ton de l'ordre- Il finit par capituler.

" D'accord... Mais pas de fellation, je suis déjà maqué et fidèlement maqué... " Lui avoue-t-il en le suivant et en essayant de déconner un peu en retour. Il finit le reste de sa cigarette et laisse son mégot dans un caniveau. Il sort juste son téléphone pour annoncer à Klaus qu'il prendra un peu plus de temps. Il doit... faire une course ? Est-ce qu'il était en train de mentir ? Il ne voulait pas inquiéter Klaus qu'il n'allait pas bien au point de vouloir aller picoler avec un de ses clients pour se confier.

" Tu faisais quoi ici ? Si c'est pas indiscret ? " Lui demande-t-il en rangeant son téléphone. " Ouais... T'as posé la question avant. " Il prend une grande inspiration. " J'ai... mon petit ami qui est à l'hosto là... Et j'ai découvert que mon père aussi... Comme on dit jamais deux sans trois alors j'attends la suite là. Bien que si on compte les frais d'hosto qui vont suivre... Je ne te cache pas que je risque d'être dans la mierda, comme on dit chez toi. "


Moses.



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Lun 20 Déc - 19:33

@Mutt W. Jones
Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien.

Les deux hommes marchant côte à côte s'engagèrent à l'extérieur de l'enceinte de l'hôpital, en quête d'un bar. Au loin Martin avait vu le Central Perk, mais malheureusement ce lieu ne conviendrait guère car de mémoire pour Martin, il s'agissait d'un simple café. Si les boissons chaudes étaient agréables en ces températures hivernales, le braqueur avait soif d'alcool. C'était également réconfortant et apaisant d'une certaine manière. « Je connais un bon bar italien. » L'alcool était sa seule compagnie en cette période festive, et il n'y avait aucune heure pour la consommer pour lui. Et en ce moment que ce soit Thanksgiving, Noël, et même le nouvel an, il avait préféré pour cette année passer les fêtes dans son coin. Il n'avait dans tous les cas personnes pour festoyer, comme chaque année depuis son arrivée ici. Peut-être qu'au nouvel an il irait le passer au Lux pour se bercer d'un bonheur illusoire le temps de s'amuser dans une orgie. Cet endroit était pour lui une bulle intemporelle qui lui faisait oublier tous ses tracas. « Je te raconterai. Peut-être. » Dit-il simplement pour esquiver sa question pour l'instant. Mentir, dire la vérité, que faire ? Il se laissait le trajet pour prendre une décision, et d'abord laisser parler Mutt.

« La mierda hein... Je connais, j'ai longtemps été dedans. » Il était arrivé au mégot de sa cigarette peu de temps après Mutt et il sortit de sa poche un petit cendrier rétractable avec un couvercle. « Et quand tu crois que tu es sorti d'affaire, le destin te chie encore plus à la gueule. Y'a qu'à voir cette ville, ça fait trois putains d'années que je suis bloqué ici comme tout le monde. » Sa dernière phrase n'était qu'un murmure, puis un soupire. « Panta Rhei, gamin. » Facile à dire il faut avouer, la preuve est que la douleur de Martin ne passait pas. Il ne posa pas plus de questions ensuite, en réalité il se fichait de savoir ce que son copain et son père avaient. Des hémorroïdes, une mauvaise chute, ça ne changeait pas la fin de l'histoire. « Si tu veux t'en sortir avant d'être dans la véritable merde, et je te parle de ton portefeuille, y'a pas trente-six mille solutions. » Il s'était arrêté pour choper Mutt par les épaules d'un bras, et de son autre main il pointa une bijouterie au loin. Il avait baissé d'un ton pour que seul Mutt puisse l'entendre. « Bague panthère de Cartier. 285 diamants pour 2.39 carats, émeraudes, onyx. 45 500$ l'unité, trois exposé en vitrine, sans parler de la réserve. Ce n'est pas assez ? Les colliers sont à 54 000$, les bracelets à 67 000$. » Puis Martin l'avait lâché et s'était décalé pour rire fortement. Était-il sérieux ?

Arrivé dans le bar, il n'y avait quasiment personne. Deux-trois personnes à cette heure-ci, pas plus. C'était un petit bar sympas, tamisé, décoré avec des écriteaux humoristiques et bien souvent en référence à des groupes de musique rock. Martin s'était alors raclé la gorge et il se mit à parler italien pour se faire entendre dans tout le bar. « Ciao Emilio ! Servimi lo stesso prescelto, due bicchieri per favore ! ... » - Salut Emilio ! Sers nous la même chose, deux verres s'il te plait ! Puis il posa sa voix pour cette fois-ci s'adresser à Mutt. « ... Du Fernet-Branca noyé dans du vin, le meilleur de la ville, je me sens comme chez moi ici. Tu m'en diras des nouvelles. » Il était bien argentin, pas italien. Mais boire un alcool de chez lui était suffisant. Alors qu'il faisait un clin d'oeil à Mutt, un petit homme trapu dans la cinquantaine sorti des cuisines, joyeux de voir Martin. Il l'embrassa, et serra énergiquement la main de Mutt. « Questo è Mutt, non picchiarlo troppo. » - Je te présente Mutt, ne le malmène pas trop. Dit-il dans un rire léger que le propriétaire partagea avec lui. « Emilio, un ami de longue date. » S'empressa-t-il de glisser. Ami, c'était vite dit ! De longue date aussi d'ailleurs. Emilio était, derrière son apparence fort sympathique, un vendeur d'armes illégales et de drogue. Martin était surement son client le plus fidèle quand il s'agissait d'acheter des armes !

La table choisie était isolée des autres et de là où ils étaient, ils pouvaient entendre la musique sortir d'une radio dans la cuisine. Kiss Of Fire d'Hugh Laurie. Martin avait retiré sa veste qui échoua sur le dossier de sa chaise et dévoila sa chemise et son nœud papillon. En s'asseyant il posa ses clopes et son téléphone sur la table. Quand il chercha son portefeuille pour anticiper le payement des boissons, il retrouva son briquet qu'il pensait perdu au fond de sa poche. « Estuviste allí, bribón. » - Tu étais là, coquin. Une remarque pour lui même en espagnol cette fois-ci, sa langue natale. Mais son accent argentin ne trompait pas ses origines. Martin posa les coudes sur la table et il joignit les mains pour y poser son menton, la tête légèrement penchée sur le côté. « Je suis un pirate... Tu m'as demandé tout à l'heure ce que je faisais à l'hôpital. Je suis aveugle d'un oeil, et l'autre devient faiblard. » Il haussa les épaules comme pour dire "C'est la vie" . C'est à ce moment-là que ce Emilio débarqua avec deux verres et des soucoupes de cacahuètes et de chips. Il tapota le dos de Martin en lui disant que sa commande était arrivée. Martin lui tendit alors une liasse de billets et lui dit : « Merci, tu peux garder la monnaie alors. »

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Mutt H. Jones

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Sam 25 Déc - 19:46


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Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien. ☕ Mutt W. Jones  Tumblr_m5zbll3nlF1qaxi9so1_250Vider son sac, c'est comme vider ses couilles : ça fait du bien. ☕ Mutt W. Jones  68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f5342386e4c475573756a524541673d3d2d3836393836333334372e31363038353433363338346565333733333531303434343933302e676966

Mutt ne savait pas ce qu'il faisait. Mais ca faisait un moment que sa vie partait à volo alors un peu plus un peu moins... Suivre cet homme qu'il connaissait à peine... Enfin, il l'aimait bien Martin. Et puis, s'il n'avait pas invité Klaus chez lui au bout d'une demi heure ensemble, il n'aurait jamais vécu ce qu'il vivait aujourd'hui.

Mais il comprenait Martin, ils se retrouvaient vraiment tous bloqués ici à devoir se démerder comme ils le pouvaient. Ca n'était pas évident... Et oui, niveau merde ca s'enchainait pas mal pour le pauvre Mutt qui commençait à arriver à saturation, même s'il avait de larges épaules.

" Mouais mais pour le moment, j'ai pas besoin d'encore plus de merde... " Souffle-t-il entre ses dents. Plus pour lui-même que pour Martin.

Le nez baissé alors qu'il marche à ses côtés, les paroles suivantes de Martin ont le don d'attirer son attention. Il ne le cache pas en relevant la tête et observe son interlocuteur qui enchaine rapidement sur la bijouterie du coin. Mutt reste un instant silencieux avant d'ajouter:

" Sauf que tout ça, je m'en fous, c'est pas à moi... " Où voulait-il en venir ? Il ne comprenait pas bien pour l'heure. Mutt n'avait pas l'esprit d'un braqueur ou d'un cambrioleur. Les préceptes de sa mère n'étant vraiment toujours pas loin. Ce qui ne lui appartenait pas, il ne devait pas le prendre, un point c'est tout. Il en avait fait des conneries dans sa vie mais voler... C'était pas un truc qu'il avait dans le sang et pourtant... Il ne se doute pas de ce qui est en train de se magouiller.

Les mains dans les poches, Mutt suit Martin. Il pose son regard dans l'endroit, il n'y a pas grand monde mais le bar est agréable. Il entend alors Martin parler en italien au type au bar. Mutt pouvait moufter un mot sur deux mais pas assez pour comprendre ce qu'il racontait. Il allait vraiment devoir se remettre aux langues correctement... Enfin... Si un jour il sort d'ici. Mutt observe cet homme qui semblait le surprendre de minutes en minutes.

Il avait l'air si sûr de lui, si déterminé à aller de l'avant. Il n'en fallait pas plus à Mutt pour que sa confiance s'ouvre de plus en plus. Il avait clairement besoin d'une personne sur qui s'épauler et il était paumé.

" Vous parlez Italien ? " Bravo Einstein. " Vous connaissez pas mal de langues. Avec mes études, j'en apprends pas mal mais je préfère aller sur le terrain... Bon ici c'est un peu mort. Je parle espagnol vous savez ? Français... Allemand... " Reprend Mutt pour ne pas passer pour un con. " Vous venez d'où au fait ? Je vous ai jamais demandé. " Finit-il par lui demander curieux.

Il s'assit tout en continuant d'observer Martin. Il laissa tomber sa veste et imita Martin sans s'en rendre compte. Il sortit son portable et ses clopes. Martin lui explique alors ce qui lui est arrivé, Mutt plissa un peu les yeux et acquiesça.

" Ho merde... " Lance-t-il compatissant. " Je suis désolé pour vous ! Et ils ne peuvent rien faire ? Vous vous êtes fait ca comment ? " Mutt était d'un naturel très curieux, donc il enchainait les questions. Le garçon fit un signe de tête gratifiant lorsque le dit Emilio leur déposa leurs boissons. Il observa alors la scène, les mains sur ses genoux, comme un gosse au final. Est-ce qu'il venait de lui payer sa boisson ? Cette liasse ? Ce mec n'avait pas de soucis d'argent et comment il faisait ?

" Merci... " Dit-il timidement avant de reposer ses coudes sur la table et de jouer avec son verre nerveusement entre ses doigts. Les lèvres de Mutt tressaillirent, une question sur les lèvres, il n'arrivait décidément pas à se retenir alors il la posa avec une exclamation pour faire passer son humour. " J'espère que nos verres ne coutent pas la liasse que vous venez de donner... Sinon, il est sympa son pourboire. Normal qu'il vous aime bien. " Il porte rapidement le verre à ses lèvres, il but une gorgée et ne s'attendit pas à ce que l'alcool soit aussi fort, il se retint de tousser.


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