▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :
― Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.” Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
― “We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
••• ❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞
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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
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••• « It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :
▵ LAME IVDU TAROT ○ L'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—
AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE
—⥼ ※ ⥽— « We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-
« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )
« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.
People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )
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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••
▴ WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)
▴ WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)
▴ WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)
▴ WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)
▴ WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)
▴ WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)
▴ WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)
notes go here! they look best at two lines but you can go wild if you want since they start to scroll~
RÉUNION DES CHEFS D’ÉTATS-MAJORS CONJOINTS. LOCAUX DE L'IMPERIAL INSPECTORATE HQ (NAVAL INTELLIGENCE HEADQUARTERS), DISTRICT FÉDÉRAL DE CORUSCANT CITY. -14 BBY (( NSFW ))
“I can be your reckless, you can be my stain. I can be your heartache, you can be my shame. When you're feeling reckless, when you're feeling chained. When there's nothing left but pain. Welcome to my dark side. We're gonna have a good time. Acting like I'm heartless, I do it all the time. That don't mean I'm scarless, that don't mean I'm fine. But you'll see, when someone else makes you this way. Oh, I'll drain your life 'til there's. Nothing left but your blood shot eyes. Oh, I'll take my time 'til I show you how I feel inside.” ( DARK SIDE •• BISHOP BRIGGS )
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TRIGGERS : MASTURBATION, EXHIBITION, ACTE SEXUEL PUBLIC
Encore un énième meeting ayant pour objectif de glorifier la figure d’autorité du Grand Moff Tarkin. Orson Krennic soupire discrètement, tout en venant tapoter le bout de ses phalanges contre les bordures métalliques d’une immense table circulaire. Combien sont-ils exactement ? Cinq ? Six ? Le Grand Moff se trouve en tête de table, perdu dans un long discours ennuyant à mourir. Krennic s’ennuie (se fait chier) comme un rat mort. Il considère que ce meeting est une perte de temps. Bien entendu, c’est Wilhuff Tarkin qui l’a ordonné. Wilhuff Tarkin l’ennuie toujours… Comme il est attirant, lèvres closes, silencieux et aussi stoïque qu’une statue. La mort lui siérait si bien. (au secours) Pendant que Krennic réfléchit à ce jour funeste, la voix du Grand Moff s’élève non loin de lui. Il s’est apparemment levé. Il marche désormais dans la pièce, longeant la table circulaire et les impériaux hauts gradés qui s’y trouvent attablés, devant leurs datapads respectif. La voix de Tarkin se rapproche, au point qu’elle lui semble émaner de près de son oreille… Il est dans son dos. Un long frisson vient presque immédiatement lui parcourir l’échine. Ce souffle, cet accent impérial très snob, cette eau de Cologne musquée… Wilhuff Tarkin l’attire. C’est incongru, cet homme est même le mal incarné, mais il l’attire. Krennic grommèle quelque chose, lèvres pincées en une moue désapprobatrice et dents serrées. Il est fou de rage. Pas contre le Moff, – ou plutôt, oui, un peu. Il lui en veut de le rendre aussi émotionnel. Orson Krennic est fou de rage envers lui-même. Comment peut-il éprouver des sentiments aussi gênants pour ce sombre connard ? Un rictus se dessine sur le côté gauche de sa bouche. Un rictus de contrariété, de frustration. Il se déteste tellement d’éprouver ces frissons désagréables qui nourrissent en lui le fantasme fou de caresser le corps du Moff sous ses vêtements. Il se hait à un point inimaginable en sentant une chaleur agréable et familière grandir, puis se propager pour s’installer entre ses cuisses. Sous les plis de son uniforme, sous son pantalon noir. Wilhuff Tarkin fait naître une grosseur, d’abord légère, puis de plus en plus conséquente et handicapante. Orson Krennic grimace de plus belle, en se dandinant dans sa chaise d’acier, pour calmer ce trop plein d’hormones. Rien n’y fait. Le simple frottement de ses cuisses contre son entrejambe ne fait qu’accentuer son mal-être. Pourquoi faut-il qu’une chose pareille lui arrive dans un moment comme celui-ci ? (parce que c’est un AU et que je décide)
Krennic croise les bras contre son torse. Ses doigts gantés d’un très beau cuir noir viennent effleurer les bords épais de son uniforme blanc immaculé. De son index, il vient jouer avec l’un des cylindres de code qui ornent les poches extérieures de sa veste épaisse, de chaque côté, au niveau des épaules. C’est insupportable, vraiment… Il ne peut rien y faire. Il ne peut aller aux toilettes ou dans ses quartiers se débarrasser de cette lancinante tension. Elle brûle sa peau sous ses vêtements, elle obsède toutes ses pensées au point d’occulter le débriefing du Grand Moff Tarkin sur les dernières avancées du projet de la Death Star. Ce sujet le concerne, mais Krennic ne réalise pas qu’il a une carte à jouer. Par moments, le Grand Moff lui jette des regards électriques. Krennic demeure silencieux, voire complètement ailleurs. Bras toujours croisés et visage baissé vers la surface lisse de la table, ses yeux dévisagent son entrejambe en toute discrétion, – ou presque. La seule présence du Moff le met dans tous ses états. D’habitude, il parvient à taire ses érections, jusqu’à les faire diminuer suffisamment longtemps pour aller se soulager seul. Mais pas là. Là, quelque chose ne fait qu’amplifier sa tension. Ce quelque chose est l’aspect public de la situation ; ce contexte l’excite complètement. Il ne lui reste qu’un seul moyen d’exploiter cette situation des plus cocasses. Cela le tue de l’admettre, mais toutes ses pensées gravitent autour de la simple image de sa ceinture débouclée, sous la table, et de sa braguette dézippée. Il hésite quelques secondes, probablement de longues minutes. Ses doigts gantés de cuir effleurent son ventre timidement, en dessinant des arabesques, non loin de son bas-ventre. Progressivement, ils descendent et s’engouffrent sous la veste blanche. Krennic tend l’oreille, durant ses tentatives osées. Le Grand Moff parle encore. Ils sont tous occupés. Tous les regards sont tournés vers Wilhuff Tarkin. Il peut le faire. Cela ne durera que quelques minutes seulement. Il fait sa petite affaire, et bon débarras. Il pourra ensuite pleinement se concentrer sur la fin du meeting. Krennic déglutit, de plus en plus tendu. Pendant une fraction de seconde, il rejette cette idée. Il recule, en se disant qu’il ne peut le faire. La peur d’être repéré est si grande… elle exacerbe son désir sexuel dans le même temps. C’est la situation qui le rend dingue. Krennic ne peut plus penser à rien. Ce meeting l’ennuie. Il ne le comprend plus. Son cerveau s’est déconnecté au profit de pensées d’une obscénité rare et violente.
Pendant que Tarkin s’étend longuement sur le développement du projet de super-arme de l’Empereur, les doigts d’Orson, – ceux de sa main gauche, se glissent plus bas encore, jusqu’à se mettre à déboucler en toute discrétion la boucle argentée de la ceinture de son pantalon d’uniforme noir. Il dézippe ensuite sa braguette en essayant de faire le moins de bruit ou de mouvements possibles. Il la tient de son index et de son pouce, très lentement. Une fois ceci fait, le directeur impérial vient écarter les pans épais de son pantalon, mais pas complètement, afin de pouvoir tout remettre en place au moindre signe suspect. Il écarte juste ce qu’il faut de tissu, pour accéder facilement à son sous-vêtement, qu’il tire maladroitement dans la précipitation, jusqu’à atteindre sa virilité incroyablement dure. Comme du marbre. C’est là qu’il réalise à quel point il a besoin de se soulager maintenant. Le simple fait de caresser sa hampe brûlante de son pouce gantée le fait frissonner. Sa verge se couvre de léger spasmes musculaires, désireuse d’être prise longuement et plus franchement en main. Il étouffe un soupir d’aise, en l’entourant de ses doigts épais, une fois s’être débarrassé de son gant gauche. Le contact peau contre peau est bien plus agréable. Alors qu’il commence à aller et venir, tout en la saisissant dans toute sa longueur avec fermeté, Krennic pense à ce qu’il se passera le moment venu d’exulter. Se salir ou prendre le risque de tapisser le sol de métal de ses œuvres. Il n’aura pas le choix. Personne ne doit savoir, alors il pense distraitement se terminer dans son pantalon. C’est le cadet de ses soucis, maintenant qu’il opère de délicieux gestes salvateurs, au point d’en gémir. C’est si bon. Il a attendu ça depuis des heures. L’impérial se mord la joue pour réprimer ses soupirs ou ses gémissements. Il se la mord si fort, que le goût métallique du sang vient tapisser sa bouche. D’avant en arrière, lentement, puis de plus en plus frénétiquement – oui, c’est merveilleux. Il se sent partir en un clin d’œil. Encore quelques caresses, plus sous cet angle et… et il exultera. Il se retiendra de crier. Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour qu’on ne perçoive pas le moindre son suspect.
Mais… Il en oublie quelque chose. Son visage. L’expression de son visage trahit cet enthousiasme obscur, ce plaisir qu’il se procure à lui-même, un visage rougi, moite et contracté. Plus le plaisir monte et plus ses lèvres se pincent pour se mordre, plus ses sourcils se froncent en une grimace inexpliquée, plus ses yeux se voilent d’obscurité et de désir à l’approche de l’orgasme. Ses pupilles se dilatent en un temps record. Il tremble même. Tout son corps tremble, du moins, la face cachée sous la table. Ses bras, ses jambes, son bassin même, qui bouge au même rythme que sa main et… Il le regarde. Non, c’est une blague ? Wilhuff Tarkin vient d’interrompre son discours pour l’observer avec un intérêt qu’il ne peut expliquer. Ce regard est indéchiffrable. Krennic ne peut s’arrêter maintenant, non, pas alors qu’il se trouve à deux doigts de connaître l’apogée de son orgasme. Un plaisir encore jamais atteint, en public. Un fantasme. Il continue, tout en essayant de demeurer impassible et tranquille au fond de la salle de réunion. Personne ne le regarde sauf lui. Le Grand Moff l’observe. Leurs pupilles s’affrontent et se toisent – celles de Krennic expriment l’ampleur de sa lubricité. Tandis que sa main gauche tremble, en essayant de se faire jouir le plus vite possible, sa lèvre inférieure marmonne des mots. Inaudibles. Le fait qu’ « il » le regarde amplifie son désir d’exploser ici et maintenant. Parce que c’est lui. Parce que c’est pour lui qu’il le fait. Parce que toutes ses pensées sont focalisées sur lui… Lui et seulement lui. Il le défi de loin de son regard bleu océan. Il le défi de faire quelque chose, de dire quelque chose pour l’en empêcher. Tarkin ne peut savoir. Tarkin ne peut se douter un seul instant de ce qui se joue sous la table. Non ? Krennic affiche un regard dur, imperturbable, pleinement concentré sur sa tâche. Il y est presque, oui. Si près… et pourtant si loin.
ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato) ஃ
Wilhuff Tarkin
▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 17/10/1975
▿ Age : 49
▿ Métier : Homme politique, à la tête de son propre parti.
Tout en longeant la table circulaire à laquelle siègent parmi les plus hauts gradés de l’Empire, Tarkin toise chacun d’entre eux de toute sa hauteur, lui debout, eux assis, savourant l’ascendant évident qu’il sait avoir sur eux en cet instant. C’est avec une satisfaction et une fierté non dissimulées qu’il accapare la parole et s’écoute discourir, ravi de faire valoir leurs récents progrès en même temps que d’adresser à tous une piqûre de rappel – qu’il estime toujours nécessaire – concernant la place de chacun au sein de l’organigramme impérial. Certains sont attentifs ou font mine de l’être, d’autres sont intimidés, d’autres encore… gardent une expression indéchiffrable, sur laquelle le Grand Moff ne prend pas le temps de s’attarder. Qu’importe que l’on désapprouve son autorité du moment qu’on la lui reconnaît.
Quand arrive le sujet de la Death Star et de son avancée, c’est naturellement sur l’architecte Krennic que se porte l’attention de Tarkin. Krennic semble le regarder sans le voir. Confus pour commencer par l’expression singulière de son visage, il y reconnaît bientôt quelques signes caractéristiques, comme autant d’indicateurs de ce qui se joue sous la table… Si Tarkin met un certain temps avant de parfaitement comprendre la situation, c’est qu’il ne s’imagine pas que Krennic puisse véritablement être capable de s’abandonner à des élans si primaires en pleine réunion. Force lui est de constater néanmoins que c’est le cas, et que c’est le regardant que Krennic s’abandonne à ce plaisir grossier et solitaire. Tarkin en éprouve un sentiment de… pouvoir ? De toute-puissance, oui. Il comprend avoir l’ascendant sur le plaisir – et en l’occurrence sur la réputation d’Orson Krennic. Il pourrait s’il le voulait décider de l’humilier, d’exposer au grand jour ses actes inexcusable. Il peut décider de le faire chanter, aussi… Les possibilités sont infinies, et le Grand Moff les trouve toutes particulièrement excitantes… Oui, l’idée d’humilier publiquement Krennic a quelque chose d’infiniment satisfaisant… Mais ce ne serait cependant pas assez pour assouvir d’autres fantasmes autrement plus brûlant qui le concernent. Des fantasmes sordides, que le comportement de Krennic révèlent en cet instant au grand jour.
« Nous en avons fini », affirme-t-il en s’adressant à la cantonade, détachant enfin son regard perçant de l’architecte de l’Etoile de la Mort. La réunion aurait pu encore durer très longtemps, en réalité. Il y avait encore un certain nombre de points que Tarkin se serait fait un plaisir de soulever, mais qu’il décide finalement de garder pour plus tard. L’essentiel a été dit, et il sera toujours temps d’organiser une nouvelle réunion plus tard. « Vous pouvez disposer », fait-il à l’adresse de l’assemblée qui n’envisage pas de protester, sûrement ravis de constater que le meeting aura finalement duré bien moins longtemps que ce qu’ils avaient présumé de prime à bord. « Sauf vous, directeur Krennic. Je veux m’entretenir avec vous. En privé », ajoute-t-il en transperçant une nouvelle fois Krennic de son regard le plus vif.
Il attend silencieusement que tout le monde soit parti, dans un raclement de chaises et le brouhaha de conversations grommelées. Il attend de s’être assuré que les lieux aient été totalement désertés pour reprendre la paroles, adressant à Krennic un fin sourire carnassier qui ne devrait rien lui dire qui vaille.
« J’ai pour habitude d’affirmer qu’il faut toujours achever ce que l’on entreprend », décrète-t-il finalement une fois assuré de se trouver seul à seul avec l’architecte. Tarkin dépose ses mains à plat sur la table face à laquelle Krennic est encore assis et se penche dans sa direction. « Levez-vous. »
Ce n’est pas une recommandation, c’est un ordre qu’il lui donne. Son ton est sévère, impérieux, il ne tolère aucune forme de contestation. Orson Krennic fera ce qu’il lui demande, un point c’est tout. Il n’a pas le choix et doit le savoir… Tarkin a l’ascendant sur la situation, et compte bien en abuser autant qu’il l’estimera nécessaire.
« Je veux que vous finissiez ce que vous avez commencé. Si vous l’osez. »
Aucun de ses propos n’est explicite, mais son regard et le ton de sa voix ne trompent pas, pas un seul instant, et Krennic ne pourra avoir aucun doute à ce sujet : Tarkin sait. Non seulement il sait, mais il compte bien abuser de ce qu’il a découvert pour le garder à sa merci. Il veut le voir, docilement, le regarder dans le blanc des yeux tout en s’abandonnant à ce plaisir honteux dont il savourait silencieusement les prémices à l’insu de tous quelques instants auparavant.
(c) DΛNDELION
Orson C. Krennic
▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :
― Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.” Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
― “We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
••• ❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞
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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
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••• « It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :
▵ LAME IVDU TAROT ○ L'EMPEREUR
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AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE
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-(O)rson (C)allan (K)rennic-
« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )
« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.
People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ I used to rule the world.
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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )
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it's his everything.
it's the death star.
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▴ WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)
▴ WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)
▴ WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)
▴ WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)
▴ WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)
▴ WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)
▴ WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)
notes go here! they look best at two lines but you can go wild if you want since they start to scroll~
RÉUNION DES CHEFS D’ÉTATS-MAJORS CONJOINTS. LOCAUX DE L'IMPERIAL INSPECTORATE HQ (NAVAL INTELLIGENCE HEADQUARTERS), DISTRICT FÉDÉRAL DE CORUSCANT CITY. -14 BBY (( NSFW ))
“I can be your reckless, you can be my stain. I can be your heartache, you can be my shame. When you're feeling reckless, when you're feeling chained. When there's nothing left but pain. Welcome to my dark side. We're gonna have a good time. Acting like I'm heartless, I do it all the time. That don't mean I'm scarless, that don't mean I'm fine. But you'll see, when someone else makes you this way. Oh, I'll drain your life 'til there's. Nothing left but your blood shot eyes. Oh, I'll take my time 'til I show you how I feel inside.” ( DARK SIDE •• BISHOP BRIGGS )
—⥼ ※ ⥽—
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TRIGGERS : MASTURBATION, EXHIBITION, ACTE SEXUEL PUBLIC
Lorsque le Grand Moff Tarkin met subitement un terme à leur réunion, c’est avec un certain étonnement, qu’Orson Krennic accueille cette décision inattendue. Il estime secrètement qu’ils ont encore beaucoup de points à aborder, ne serait-ce qu’au sujet de l’Etoile de la Mort, et pourtant… Pourtant, Wilhuff Tarkin décide de mettre un terme à leurs discussions pour une raison qui le dépasse secrètement. Il ne dit rien, et s’en réjouit fortement. La pression devenait beaucoup trop forte et il se sentait prêt… prêt à se libérer ici et maintenant, sur le sol d’acier de la salle de réunion des chefs d’État-Major. Il s’apprête alors à ranger son attirail, lorsque la voix froide à l’accent aristocratique, – typique des nobles d’Eriadu, s’élève dans la salle de réunion en acier. « Sauf vous, directeur Krennic. » Suite à sa requête, un regard vif transperce l’expression presque apeurée de Krennic à cet instant. Sauf vous, directeur Krennic… Sauf vous, directeur Krennic… Ce doit être une mauvaise plaisanterie, se dit-il, l’une de ses mains encore dissimulée sous la table, positionnée au niveau de son entrejambe découverte. « Gouverneur… » bredouille Krennic d’une voix hachée, par le plaisir auquel il s’est apprêté à s’abandonner à l’insu de tous, quelques instants plus tôt, mais surtout d’effroi. Tarkin ne peut pas savoir, n’est-pas ? Que lui veut-il, dans ce cas ?
Il ne dit plus rien, muet comme une carpe en attendant que le verdict tombe. Ou la sentence, en l’occurrence. Il écoute Tarkin parler du fait que l’on doit toujours achever ce que l’on entreprend, et ces belles paroles sonnent étrangement justes concernant Krennic. Il comprend alors le terrible drame, ce qui est sur le point de se jouer entre eux désormais. Il comprend… que Tarkin le berce de sous-entendus, une fois seul à seul dans l’immense salle de réunion réservée au haut commandement impérial. Orson n’est pas dupe. Il ne peut y avoir de hasard malsain derrière les phrases de Tarkin. Cela l’embarrasse, mais pas seulement. Une montée d’adrénaline le fait durcir dans la partie la plus sensible de son anatomie, qui s’est jusqu’alors, tenue relativement tranquille. Il se sentait redescendre, quelques instants plus tôt, au moment de quitter la réunion, mais Tarkin sait comment raviver sa flamme. Quelques sous-entendus bien placés, une proximité tendancieuse avec seulement une table séparant leurs corps, un air chargé en électricité, un regard aussi intense que pénétrant, et le voilà de nouveau au garde à vous.
Tarkin s’approche d’un bond, mains contre la table. La sienne. Il baisse alors les yeux pour contempler la largeur de ces mains puissantes, viriles, aux doigts noueux. Orson ne bouge pas d’un cil. Il ne peut pas, paralysé comme il est. Paralysé par la peur, par la honte que Tarkin puisse avoir découvert le pot-au-rose. Il déglutit péniblement, fébrile. Ses doigts tremblent contre sa virilité de nouveau brûlante et nue. Une pensée lui vient naturellement à l’esprit : rezipper la braguette de son pantalon d’uniforme noir, remettre sa ceinture en cuir bien en place le plus discrètement possible et faire comme si de rien n’était, mais… Comment le faire, sans éveiller les soupçons, sans se dévoiler, maintenant que Tarkin le dévore littéralement des yeux avec un regard assassin, à quelques centimètres de lui ? Il verrait forcément le mouvement de sa main sous la table, vers son entrejambe, et alors, il comprendrait tout. Tout et il le virerait. Ou pire, il l’humilierait. Krennic déglutit en espérant que cela ne soit qu’un odieux malentendu. « Je partage vos valeurs, monsieur le Gouverneur. Je suis également partisan du fait que nous devons toujours terminer ce que nous avons entrepris, quoi qu’il en coûte. » marmonne-t-il d’une voix aussi sucrée qu’un pot de miel. Il roule certaines lettres de son accent typique des vieilles colonies. Il espère pouvoir duper Tarkin par son ton chaud et enjôleur, ses paroles serviles et son attitude hautement hypocrite. Il le dupera, il fera mine de rien, il jouera son jeu. Peut-être que ce n’est qu’un malentendu, après tout ?
Oui… Krennic se rassure mentalement. Il a mal compris la chose. Le Grand Moff ne peut pas savoir. Comme il est en train de réaliser un interdit, son esprit lui joue des tours, voilà tout. C’est ce qu’il se persuade quelques secondes, à peine une minute, avant que la voix de Tarkin ne donne un ordre clair et imperturbable : « Levez-vous. ». Là, son sang se glace. Tarkin, sombre bâtard. Tarkin se joue de lui. Tarkin sait. C’est obligé. Orson est tétanisé, incapable de remettre sa braguette et son sous-vêtement sans lui désobéir. Il entrouvre les lèvres, stupéfait, et se met à bafouiller quelques mots d’une voix étrangement plus aigüe qu’en temps normal. « Gouverneur, nous… ne devions pas discuter de choses de nature privée, j'entends, s’agissant du projet ? Je suppose que c’est pour cette raison que vous m’avez gardé avec vous dans cette salle. N’est-ce pas ? » Il l’interroge avec une lueur d’espoir dans le regard, qui se heurte bien rapidement à un mur. Tarkin ne rigole pas. Tarkin est sérieux. Tarkin ne l’a pas gardé au chaud pour lui parler du projet. Tarkin a apparemment d’autres plans pour lui. Orson comprend qu’il est piégé, au moment d’ancrer ses orbes voilés par le désir et la curiosité dans ceux de Tarkin. Il doit se lever et dévoiler son plus honteux secret. Il n’a pas le choix. Ne pas se lever sera d’autant plus suspect, et si Tarkin sait, cela risque de le mettre dans une colère folle. Orson parie donc sur l’honnêteté et la transparence, pour une fois dans sa vie. Peut-être alors que le Moff se montrera conciliant et jettera l’éponge sur ses… incartades insolentes. Il pose ses deux paumes à plat sur la table, non loin de celles de Tarkin, et entreprend de se lever le plus lentement possible, en y mettant clairement de la mauvaise volonté. Quel sombre enfoiré…
Krennic ne quitte pas une seconde son interlocuteur des yeux, jusqu’à lui apparaître habillé de son uniforme, mais la ceinture débouclée, les plis de son pantalon d’uniforme ici et là, son boxer foncé tiré vers l’avant et son imposante érection sous les yeux. Une virilité exposée au grand jour, parcourue de veines foncées, au bout rougeoyant comme le sang et humide d’un début de semence, fruit de son plaisir solitaire. Il sent son sexe se contracter sous le regard du Moff, alors qu’un long frisson lui traverse la colonne vertébrale. « Je peux tout vous expliquer. » prétend-il, nerveux. « J’ai des douleurs chroniques, au niveau des nerfs et… » Oui, bien sûr. Prétexter n’importe quel problème de tension musculaire ne justifie en rien le fait de vouloir se soulager en public. Krennic est tout bonnement un exhibitionniste. Il s’ennuyait pendant la réunion, donc voilà le résultat. Le pire est sans doute à venir, car après avoir été contraint d’exhiber sa virilité, voilà qu’on lui demande de se soulager maintenant. « Maintenant ? » grogne-t-il, tremblant d’effroi. Krennic est choqué. Choqué, mais aussi troublé. Tarkin le désirerait-il secrètement ? Le Grand Moff en personne ? C'est beaucoup trop d'honneur. C'est comme être dans les petits papiers de l'Empereur Palpatine en personne. Pour le Grand Moff, Krennic est bien capable de jouir sur commande. Ce qui le frappe toutefois, c’est surtout l’excitation qu’il éprouve à l’idée de se masturber devant Tarkin, – l’objet de tous ses fantasmes. C’est pour lui, après tout, qu’il est allé aussi loin. « Gou… Gouverneur Tarkin, allons, ce n’est pas raisonnable. J’ai eu tort. Je comprends votre punition. Vous me forcez à me montrer, d'ailleurs... Je vous félicite, au passage, vous avez su lire dans l’expression de mon visage, mais… » Et encore, Tarkin a-t-il vraiment tout compris ? Qu’il se masturbait en pensant à lui, par exemple ? Et au sifflement rauque de sa voix, qu’il n’a eu de cesse d’imaginer lui susurrer des saloperies dans le creux de l’oreille, pendant que des frissons assiègent le bas de ses reins en rafale ? Encore une fois, le regard de Tarkin est déstabilisant. Pas propice à la négociation. « Ne me faites pas… ça. Ne me faites pas faire ça, Gouverneur. » implore-t-il, en prenant malgré ses supplications son sexe dans le creux de l’une de ses paumes. Il lui reproche de le forcer à se masturber en public, et pourtant, il s'exécute sans rechigner. Comme si... Comme si Krennic n'attendait en réalité que cela. Une vraie chienne en chaleur. Osera-t-il ? Ses doigts tremblent comme des feuilles, peu habitués à avoir un spectateur lors de ce genre de plaisirs honteux. « Pas devant vous… » précise Krennic, en se mordant la lèvre, pris dans la tourmente. Oh, si, devant vous... le supplie-t-il intérieurement, en jetant sur lui un regard voilé par l'obscénité de ses pensées. Forcez-moi... Encore et encore, Gouverneur... Krennic adore l'idée de le faire devant lui. Il en a rêvé tellement de fois, à vrai dire. Il proteste verbalement, mais il s’exécute dans le même temps. Sa main gauche va et vient sur son sexe chaud, se servant des premières gouttes d’un liquide translucide réparti sur le sommet, de manière à faciliter son ascension vers le plaisir suprême. Il mouille précipitamment ses doigts et accélère alors le rythme. C’est fou comme c’est encore mieux, comme le plaisir est décuplé, tandis que sa paume tremblante se glisse aisément, comme un couteau dans une motte de beurre ramollie. C'est fou comme la présence du Grand Moff lui fait frôler les portes du septième ciel. Ce simple échange de regards électrifiant lui hérisse les poils des bras. Krennic se noie dans le bleu magnétique des orbes froids et sévères de Wilhuff Tarkin. Cette vision exquise ne fait qu'accentuer son propre plaisir malsain, l'excitant au point d'être prêt à partir d'une seconde à l'autre devant lui. « Dites-moi d’arrêter, s’il vous plait, Gouverneur Tarkin… C’est… C’est trop bon. Dites-moi d'arrêter... Je vous en conjure... » confesse-t-il, le rouge aux joues. Une jolie teinte écarlate, soi-dit en passant. Ne me dites surtout pas d'arrêter... l'implore-t-il en pensée.
Orson essaie de résister à la jouissance, mais ses soupirs haletants et ses râles reconnaissables trahissent le degré de plaisir qu’il éprouve dans cet acte. Il ne lui faut que quelques coups encore et il exultera entre ses doigts, se répandant entièrement sur la surface lisse de la table. Orson se retient autant que possible, mais un premier gémissement s’échappe de sa bouche entrouverte. « Vous pensez être à l’origine de mon incartade ? » Tête rejetée en arrière, il ne s’arrête pas. Il est pris dans l’engrenage. Quoiqu’il en coûte, il veut jouir maintenant. « Parce que je vous regardais comme je vous regarde maintenant ? » Avec des yeux sombres, désireux. « Vous pensez que je pense à vous ? Vous pensez que je me touche en vous imaginant au-dessus de moi ? » Oui, clairement. Orson lui divulgue même inconsciemment un premier fantasme. Il ouvre alors la bouche pour afficher une expression béate, tandis que son corps se cambre davantage contre l’acier froid de la table ronde, en voulant s’y frotter. Il change alors de rythme, au moment de se terminer, sans jamais quitter les orbes de Wilhuff Tarkin des siens. Il se nourrit de leur intensité, de leur froideur et… d’une lueur autre, toute nouvelle, qu’il ne parvient pas exactement à identifier. Voir Tarkin en chair et en os le regarder dans moment d’intimité le met dans un état fou. Il brûle de lui arracher son uniforme parfait. « Je ne sais pas si… Je vais y arriver. » grommelle Orson, en serrant les dents, alors qu’il hésite encore à chevaucher son plaisir.
Krennic le contemple compulsivement, le regard chargé en désir. « Gouverneur… Aah… » Il est effrayé… mais il parvient toutefois à aller au bout. Jouissant dans un cri perçant, mêlé à un grognement. Orson exulte ses œuvres entre ses doigts gantés, mais surtout en inondant la table de réunion. Sa semence chaude et blanche enveloppe quelques endroits de la table qui se trouve face à lui et entre eux deux. Krennic n’en a franchement cure à cet instant. Il a tant pris de plaisir entre ses doigts. Il a joui en criant presque, grognant de satisfaction, toutes ses frustrations enfin envolées. Il explose au point d’en avoir la vue qui se brouille, recouverte de petites étoiles argentées durant quelques secondes. Orson ne chancèle pas, malgré le tumulte. Il ne bouge pas d’un iota, pas un seul muscle. Il demeure stoïque, debout devant le Grand Moff. Alors qu’il redescend des vibrations cosmiques d’un orgasme aussi fulgurant, vertigineux ou même électrique, la présence de Tarkin devant lui le ramène à la dure réalité. Il s’est fait jouir en pensant à lui. Ce qui lui reste de cet orgasme volé, c’est un violent sentiment de honte qui le prend aux tripes. Il grogne, en voulant remettre sa virilité en place, les doigts tâchés de ses propres œuvres. « C’est bon ? Vous avez eu ce que vous vouliez ? Vous avez bien joui ? Parfait, il se trouve que moi aussi. Vous m’avez bien humilié. J’ai compris la leçon, monsieur. Cela ne se reproduira plus jamais. » Dans l’enceinte de cette salle. Krennic ignore que Tarkin n’en a pas terminé avec lui. Il rezippe alors sa braguette après avoir rangé sa virilité, mais ne remet pas encore sa ceinture correctement ou son pantalon sur les hanches. Il le dévisage au contraire avec un regard aussi brûlant qu’ivre de contact charnel musclé. Il l’observe, les yeux assombris par ses pulsions primaires, mais également par esprit de compétition et de vengeance. Comment a-t-il pu le forcer à faire une chose pareille devant lui ? « Je ne voulais pas et vous m’avez forcé à le faire pour vos beaux yeux. Vous vous croyez aussi irrésistible ? » se moque-t-il en se montrant délibérément provoquant pour cacher sa honte et son enthousiasme pour avoir été ainsi humilié et malmené. Oui, il est irrésistible. Oui, il a fait cela pour lui, pour le satisfaire. Parce qu’il est secrètement attiré par Wilhuff Tarkin. « Vous croyez que je vous désire ? » se moque-t-il avec la fureur d’un ouragan, alors qu’il réajuste sa cape dans son dos, en espérant retrouver un semblant de dignité maintenant qu’il s’est complètement rhabillé. Oui, il le désire. Oui, il s’est touché la première fois en pensant à lui. Il rie, allégrement. Il rie même en grimaçant fortement. Krennic se montre détestablement sarcastique pour apaiser les plaies béantes faites à sa dignité.
ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato) ஃ
Wilhuff Tarkin
▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 17/10/1975
▿ Age : 49
▿ Métier : Homme politique, à la tête de son propre parti.
L’embarras qui se découvre sur le visage de Krennic au moment de comprendre avoir été pris sur le fait est des plus satisfaisants aux yeux du Grand Moff, qui pas un seul instant ne détourne son regard glacial de celui de l’homme confronté à ses plus bas instincts, qu’il avait pensé être en mesure de satisfaire ici même, sans que qui que ce soit ne s’en rende compte. Wilhuff Tarkin a toujours été un grand observateur, il n’aurait certainement pas pu passer à côté du regard brûlant du directeur qui, à présent, doit faire face à la réalité de ses décisions, et aux conséquences naturelles et logiques de ses actes, ô combien primaires. Krennic pense peut-être s’en sortir à bon compte, tout d’abord, mais cela ne dure pas, et quand son supérieur lui ordonne de se lever, il peut constater combien le ton de sa voix change. Il cherche à se rassurer, veux croire que d’autres raisons l’auront motivé à vouloir le garder plus longtemps captif de cette salle de réunion, mais les signes ne trompent pas, et Tarkin ne fait pas dans le mystère, il exprime très concrètement ce qu’il souhaite, dans l’intention directe et évidente d’être exaucé.
Une fois debout, Krennic n’est plus en mesure de prétendre ou de faire illusion. Tous les indices coïncident dans une seule et même direction : sa ceinture débouclée pendouille aux deux extrémités de son pantalon déboutonné… Si ces indices n’étaient par ailleurs évidents, l’érection plus que visible et exposée de Krennic se chargeraient de combler les vides d’une histoire qui n’a guère besoin de cela pour s’écrire presque toute seule et sans équivoque aucune. Tarkin, sans discrétion ni pudeur, s’attarde longuement sur la virilité exposée de son interlocuteur, qu’il détaille longuement d’un regard électrique. L’expression de son visage, neutre au possible, ne laisse rien transparaître, il semble seulement faire un constat mental d’une situation qu’il savait déjà. Il ne relève finalement les yeux que quand Krennic se promet de tout lui expliquer… Ce sont des explications peut convaincantes qu’il cherche d’abord à convoquer pour justifier son attitude des plus inexcusable… Il va assumer ses actes, mais pas seulement… Tarkin veut pousser l’humiliation jusqu’au bout… Comme une manière de le mettre à l’épreuve et de le rabaisser, certes – comme une manière de se rincer l’œil également, c’est évident, même s’il sait se composer des airs indifférents et sait faire comme si de rien n’était, convoquant l’exhibitionnisme latent de son interlocuteur dans l’intention de le pousser plus encore dans ses retranchements.
Krennic proteste… Ou plutôt, il fait mine de protester, mais cela ne dure définitivement pas longtemps. Ses mots et ses actes semblent en contradiction totale. Tarkin ne répond rien, il se contente de regarder Orson dans le blanc des yeux sans le lâcher un seul instant du regard, prenant plaisir à voir son visage grimacer légèrement à mesure que monte le plaisir, et un voile de satisfaction pure se déposer sur ses prunelles claires. Krennic prend son pied, pas seulement parce que Tarkin l’y force mais parce que cette obligation sordide, fixée par Tarkin, lui plaît, ce dernier en est à présent convaincu. Quand il affirme ne pas vouloir faire cela devant lui, ses mains s’agitent davantage au niveau de son bas-ventre, et le rythme de ses caresses obscènes s’accélère. Ses protestations semblent encourager ses gestes plutôt que de les empêcher.
Tarkin oppose à ses remarques, à ses réflexions, à ses soupirs et gémissements une impassibilité de façade, qui en réalité dissimule autre chose. Cette situation l’excite terriblement. Il ne le dit pas, ne le montre pas, mais cette situation, inédite et sulfureuse, l’excite considérablement. Bras croisés, il attend, il attend qu’Orson s’abandonne, il attend jusqu’au moment de le voir et de l’entendre jouir dans un cri libérateur, fort heureusement étouffé par les murs insonorisés de la salle de réunion (les choses sont bien faites, quand même. Il le regard et ne dit toujours rien, attendant que Krennic redescende de cet acmé orgasmique auquel les circonstances lui avaient permis d’accéder. Oui, il a eu ce qu’il voulait, il est ravi de cette petite séance d’humiliation improvisée… Mais si Tarkin veut être complètement honnête… Il est resté sur sa faim. Et il veut bien évidemment en réclamer plus à présent. Il va bien évidemment en réclamer davantage, indifférent aux sarcasmes de son subordonné qui sont, il le sait, le seul moyen que ce dernier a trouvé à sa disposition afin de réduire au silence ses pensées et ses envies les moins avouables. Malgré tout, Tarkin s’en fait la promesse : cette pièce sera le lieu de toutes ses confessions, y compris les plus indécentes… Surtout les plus indécentes. Tarkin se délecte de la honte de Krennic. Et il n’a pas l’intention de s’arrêter là.
« Il faudra nettoyer ça… », fait-il d’un ton glacial en contemplant la tache laissée au sol par les œuvres de Krennic. « Vous lècherez bien le parquet pour nettoyer votre humiliation, n’est-ce pas ? » Il reste à sa place, l’air toujours aussi impassible, comme si tout ce qui venait de se passer n’avait guère d’importance, était anecdotique, accessoire… et pourtant, il ne donnera pas à Krennic l’occasion d’oublier ce moment. « Je ne crois rien, je me contente de constater. » Il marque une pause. « Allons, nous sommes entre nous. Votre pudeur est excessivement déplacée au vu des circonstances. Vous êtes bien en droit d’évoquer les fantasmes que je vous inspire. Que vous reste-t-il encore à perdre de dignité, après tout ? »
(c) DΛNDELION
Orson C. Krennic
▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :
― Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.” Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
― “We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
••• ❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞
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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVEL ✧ James Luceno)
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••• « It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :
▵ LAME IVDU TAROT ○ L'EMPEREUR
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AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE
—⥼ ※ ⥽— « We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-
« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )
« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.
People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )
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it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
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▴ WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)
▴ WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)
▴ WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)
▴ WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)
▴ WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)
▴ WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)
▴ WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)
▴ WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)
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RÉUNION DES CHEFS D’ÉTATS-MAJORS CONJOINTS. LOCAUX DE L'IMPERIAL INSPECTORATE HQ (NAVAL INTELLIGENCE HEADQUARTERS), DISTRICT FÉDÉRAL DE CORUSCANT CITY. -14 BBY (( NSFW ))
“I can be your reckless, you can be my stain. I can be your heartache, you can be my shame. When you're feeling reckless, when you're feeling chained. When there's nothing left but pain. Welcome to my dark side. We're gonna have a good time. Acting like I'm heartless, I do it all the time. That don't mean I'm scarless, that don't mean I'm fine. But you'll see, when someone else makes you this way. Oh, I'll drain your life 'til there's. Nothing left but your blood shot eyes. Oh, I'll take my time 'til I show you how I feel inside.” ( DARK SIDE •• BISHOP BRIGGS )
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TRIGGERS : MASTURBATION, EXHIBITION, ACTE SEXUEL PUBLIC
« Nettoyer ça ? » répète Krennic, hébété. C’est une blague, pas vrai ? L’impérial glisse ses doigts le long du col de sa veste blanche d’uniforme réglementaire. Il tire largement dessus, comme pour se donner plus de latitude. Il a besoin d’air, cette situation est étouffante pour eux. « Vous me demandez vraiment de… me mettre à genoux et de poser ma langue sur ce sol ? » répète Krennic, craignant que ce soit vrai. Wilhuff Tarkin ne peut lui imposer une chose pareille. « Il en est hors de question. » affirme-t-il avec autorité et insolence. Krennic fait un caprice, mais un caprice légitime. Tarkin lui demande trop, c’est une humiliation qu’il estime ne pas mériter. (FORCE LE) Il ne lui cédera pas, il ne se mettra pas à genoux, il ne lèchera pas le sol de la salle de réunion pour le bon plaisir malsain et sadique du Grand Moff. « Je ne suis pas un putain de chien, Gouverneur. Vous m’avez demandé de faire ça ici, c’est votre responsabilité. » Krennic s’emporte, hautain et arrogant. « J’en ai vu assez. » Il cherche une échappatoire. Il remet sa braguette convenablement, son pantalon sur ses hanches, et entreprend ensuite de refermer la boucle de sa ceinture. « Je ne vous laisserais pas continuer à m’humilier pour votre plaisir sadique et détraqué. Je ne ferais rien de tout ceci. Je ne vous donnerais pas le plaisir de vous rire de moi. J’ai certes commis une imprudence et j’estime l’avoir suffisamment payée. Je me suis humilié une première fois devant vous, c’est largement assez, ne pensez-vous pas ? » se défend Orson, déboussolé. Il est partagé entre ses désirs malsains, qui lui soufflent de céder à toutes les folies du Grand Moff, y compris celle de s’agenouiller et de lécher le sol sous ses yeux, mais aussi entre l’envie de foutre le camp aussi vite que possible. « Me donnez-vous la permission de prendre congé, à présent ? » l’implore-t-il du regard, alors que le son de sa voix reste encore dans le contrôle. L’impérial veille à ne pas trembler, à ne pas frémir, à ne pas montrer de la faiblesse devant lui. Alors qu’au fond, Orson n’est plus qu’un brasier ardent. « S’il vous plait, Gouverneur. » Il insiste poliment en réalisant être allé probablement trop loin en voulant faire acte de rébellion. Tarkin le lui fera regretter. L’idée de se faire rétrograder effleure son esprit et devient rapidement une obsession. Non, le Grand Moff ne peut le punir de la sorte… Ou peut-être bien que si, après tout ? Le corps rigide, stoïque de tout son être, Krennic fait bonne figure. Il déglutit un peu sèchement, et se racle enfin la gorge, avant de reprendre sur un ton beaucoup plus servile : « Ne m’obligez pas à faire une chose pareille et encore moins… vous dévoiler certains fantasmes. » Il comprend rapidement, d’après le regard décidé et glacial du Grand Moff, qu’il ne peut faire tout ce qu’il veut et où il veut. Orson doit alors regagner son respect, après cette petite séance d’humiliation, en confessant certaines choses. Il espère qu’ainsi, la curiosité malsaine du Grand Moff sera suffisamment satisfaite pour le laisser partir sans en reparler à l’avenir. « Car, hum, oui. Certains vous concernent. » admet-il, les poings serrés dans son dos. « Ils vous ennuieraient. » se défend Krennic, incapable de jeter sa dignité au feu aussi facilement. « J’ai encore une dignité, monsieur le Gouverneur. Je me suis certes… abandonné sous vos yeux, mais c’est absolument tout ce que je m’autoriserais à faire. Je suis plus que… ce que vous croyez que je suis. Je ne suis pas votre paillasson. Je suis un haut dignitaire de l’administration impériale, quelqu’un que vous devez respecter, autant que je vous respecte. Quelqu’un qui réalise, en ce moment, un miracle. L’Etoile de la Mort… est un miracle, Gouverneur. Que vous y croyez ou non, j’en suis l’instigateur et le créateur. Je ne suis pas n'importe lequel de vos subordonnés. L’honneur que j’ai de mon travail, l’estime que j’ai de moi-même m’empêchent de me jeter à vos pieds, comme n’importe quel imbécile sans valeur… » Orson essaie de lui faire entendre raison. (ça y est il a pété son cable, il se rebelle le petit chiot) « Si votre intention, derrière tout cela est… de me séduire, Gouverneur… Loin de moi l’idée de vous imposer des choses, bien entendu, eh bien… Peut-être que vous pourriez vous y prendre… autrement. Si vous me désirez autant que je vous… Je veux dire, comme je pense que c’est le cas. Vous devriez changer vos manières à mon égard et me traiter avec tous les égards que je mérite étant donné ma position et mon nom. » se corrige-t-il, en se mordant la lèvre inférieure devant lui, un peu trop sensuellement. Krennic se flagelle mentalement, il a bien failli lui lâcher un précieux aveu. Il fait l’offusqué, mais en réalité… Il adore ce que veut lui faire subir Tarkin. Oui, il veut lécher le sol à ses pieds, oui, il veut se faire humilier sous ses yeux, oui il veut jouir encore et encore devant lui… Oui, il veut être son paillasson, son chien, tout ce qu’il voudra, mais non, il ne lâchera aucune de ces confidences à l’intéressé aussi facilement. Non, il ne dévoilera pas ses fantasmes sans se battre pour les garder pour lui. « Je tiens au peu de dignité qu’il me reste, Gouverneur. Vous n’obtiendrez rien de moi sous de simples sous-entendus. » Mensonges. Krennic cherche à le provoquer, tout simplement. Il cherche à se sentir au pied du mur. Il veut que Tarkin ne lui laisse aucun autre choix que de confesser encore et encore tous les fantasmes que le Grand Moff lui inspire. « Si vous voulez tant m’exhorter quelque chose, faites mieux que ça. Osez donc me menacer, si vous en avez l’imprudence. » ironise-t-il en affichant un petit sourire satisfait, terriblement arrogant.
ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato) ஃ
Wilhuff Tarkin
▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 17/10/1975
▿ Age : 49
▿ Métier : Homme politique, à la tête de son propre parti.
Lire l’incompréhension la plus totale dans les yeux clairs d’Orson Krennic est probablement l’une des choses les plus jouissives au monde pour Tarkin qui découvre bien vite dans la manière dont il peut se jouer des attentes et des envies de son interlocuteur quelque chose de plus excitant qu’il ne l’aurait présumé de prime abord. A la seule idée de le voir se mettre bel et bien à genoux et de lécher le sol à ses pieds, il se sent étrangement durcir. Rien ne laisse deviner l’étendue de son excitation, néanmoins. Sa mine reste impassible et son regard d’une froideur d’iceberg alors qu’il interpelle son subordonné des yeux. En un regard, il lui laisse entendre qu’il ne sera pas décisionnaire de ce qui se passera ensuite entre eux. S’il exige d’Orson Krennic qu’il se mette à genoux, alors Orson Krennic devra se mettre à genoux, un point c’est tout, tel le chien qu’il prétend ne pas être, tel le chien qu’il veut qu’il soit, à son service et à son service seul. Il continuera de l’humilier, oui, car tel est son bon plaisir, et qu’il ne se voit pas s’arrêter en si bon chemin… d’autant qu’il devine qu’en dépit de ce qu’il peut bien affirmer, Krennic n’est peut-être pas aussi réfractaire à cette idée qu’il le prétend… Il a nettement trahi ses tendances exhibitionnistes un peu plus tôt, et Tarkin entend à présent jauger l’ampleur de ses… déviances… quelle que puisse être leur nature.
« Ce sera assez quand j’aurais décidé que ça l’est », répond Tarkin d’un ton sans appel alors qu’il voit son interlocuteur chercher à se dérober à cette scène… Oui, ses paroles disent une chose, mais sa fébrilité laisse suggérer quelque chose de différent. Il peut le lire dans son regard, cette lueur qui brille dans ses beaux yeux bleus, quelque chose du désir malsaine. Il ne faudra pas grand-chose pour qu’Orson lui cède. Et Tarkin fera le nécessaire pour. Dans tous les cas, il n’a pas la moindre intention de lui laisser ne serait-ce qu’un semblant de choix.
Non, il ne donne pas à Orson la permission de prendre congé, et quand ce dernier insiste en se fendant d’un « s’il vous plaît », Tarkin se sent plus désireux de le garder plus longtemps encore sous son autorité. La manière dont il a prononcé ces mots, la façon dont il l’appelle « gouverneur », avec une déférence et une servilité extrême… Il ne faut rien de plus pour lui faire visualiser les scénarios les plus innommables et les plus obscènes… Et Wilhuff Tarkin entend les expérimenter tous avec celui qui a d’ores et déjà trahi la nature tendancieuse des sentiments contradictoires qu’il lui inspire. Il compte bien user et abuser de ces nouvelles connaissances pour tenir son subordonné à sa botte – très littéralement, et sans aucune réerve.
« Il est trop tard pour ça, Krennic », répond Tarkin quand son interlocuteur le supplie de ne pas l’obliger à lui dévoiler certains fantasmes. « Je t’obligerai à tous les révéler. Du plus anodin au plus honteux. »
Et il est bien possible que certains de ces fantasmes inavouables soient entièrement partagés par celui qui pour rien au monde ne s’autoriserait à l’avouer, il en est même parfaitement hors de question en vérité. Ainsi en a décidé Wilhuff Tarkin néanmoins. Les fantasmes de son interlocuteur n’auront dorénavant aucun secret pour lui… d’autant qu’il le croit sans mal quand Krennic affirme que certains le concernent… Et Tarkin est convaincu qu’il ne sera absolument pas ennuyé, bien au contraire.
« Tu as encore une dignité, mmh ? Eh bien, il est temps d’y renoncer », répond Tarkin en restant indifférent aux tentatives de rébellion de son interlocuteur. Il emploie même le tutoiement afin d’instaurer un rapport d’autorité entre eux plus flagrant encore. Ce dernier fera très exactement ce que Tarkin attend de lui, il n’aura tout simplement pas le choix, et Tarkin n’entend définitivement pas transiger sur la question. « Tu me dois obéissance c’est bien compris ? » ajoute-t-il sévèrement avant d’avancer d’un pas vers Krennic. Il le darde de son regard le plus menaçant. Il punira son arrogance comme il devine qu’Orson n’attend que cela de lui. Ses doigts caressent quelques secondes sa gorge avant de se refermer sur son cou avec une certaine violence. « Alors maintenant, tu vas lécher le sol, et plus vite que ça, ou bien je ferai état de ta petite « incartade » à qui de droit, et tu pourras dire adieu à ce poste qui compte tant pour toi. »