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DANS CE PETIT TABLEAU, TU TROUVERAS TOUS LES LIENS UTILES QUAND TU ES EN TRAIN DE RP.
▿ N'oubliez pas de recenser
vos personnages dans le bottin des personnages


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(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.

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Anonymous

Invité



Jeu 21 Avr - 0:14


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.

Tes yeux jetaient un rapide et dernier coup d'oeil au langage informatique devant toi, comme pour t'assurer qu'aucune faille ne vienne s'imiscer dans ce système. Tout semblait parfait. Non. Tout était parfait. Tu le savais, la réussite était assurée et ça, ça te rassurait. Il faut dire que c'était pas très surprenant, car pour l'instant tu avais fait un sans faute Shara. Tout tes tests avaient été positif, et c'est probablement pour ça que tu avais eu cette promotion qui t'étais tombée dessus il y a quelques jours à peine. Ce soir, c'était le moyen de prouver que le choix avait été judicieux malgré ton jeune âge et ton expérience qui était bien moins impressionnante que celle de certains de tes collègues. Cette promotion avait fait parlé d'elle, un peu trop d'ailleurs parce que personne, toi la première, ne s'y était attendu. Personne n'avait pensé que toi, Shara Bey, ancienne protégée de Galen Erso et scientifique à l'avenir brillant aurait été promu aussi rapidement quand certains attendaient ça depuis plusieurs années. Autant dire que tu prenais ça au plus grand sérieux, et plus les jours passaient, plus tu t'habituais à tes nouvelles responsabilités. C'était pourtant difficile de se faire respecter, surtout quand certains t'avaient encore connue qu'en tant que doctorante à rechercher les informations nécessaires pour une thèse qui avait mit des années à faire et qu'aujourd'hui, tu donnais toi même des ordres à ces mêmes personnes qui, pour certains, avaient le double de ton âge. Beaucoup, Galen en premier, avait avoué voir en toi un potentiel presque inédit et autant dire qu'avoir de tels retours de la part d'un homme que tu avais tant admiré t'avait énormément touché. Le destin tragique qu'il avait rencontré te hantais encore et tout les jours, tu te battais pour pouvoir lui faire honneur. Il avait été une des têtes de ce projet, tu te devais de le rendre fier et tu comptais y arriver.

Tu appuies sur la touche 'entrée' du clavier, te permettant alors de pouvoir valider ces dernières données et tu jettes un rapide coup d'oeil à ta montre. Plus que quelques minutes, une ultime vérification, un potentiel débrief en tête à tête et tu pourrais rentrer te détendre. Tu rêvais déjà de ce bain bien chaud et mousseux que tu prendrais qui te faisait envie depuis plusieurs jours mais dont tu n'avais jamais trouvé le temps pour le faire. Ce soir, c'était le moment idéal et tu profiterais sans doute pour travailler sur une autre partie du projet en même temps. Difficile à dire, mais tu avais la fâcheuse tendance à toujours ramener du travail chez toi. En même temps que faire d'autre ? Tu n'avais personne avec qui partager tes soirées, elles se ressemblaient toute. Alors, soit tu restais travailler jusqu'à tard le soir, soit tu ramenais du travail chez toi, t'aidant ainsi à faire passer le temps. Concrètement, tu ne décrochais jamais, et c'est peut-être pour ça que tu connaissais tout par coeur et que tu assurais autant dans ton travail. Car tu passais peut-être plus de temps qu'il n'y avait d'heures dans une journée dessus. L'objectif de toute une vie, une création divine qui viendrait rétablir un ordre certain dans cette galaxie en conflit permanent. Tu y croyais tellement que l'investissement en valait le coup, et tu savais qu'une fois ce projet abouti, ta réputation ne serait plus à faire. Probablement que tu décrocherais un des meilleurs postes disponible. Tu y comptais bien dans tout les cas.
Un baillement s'échappe d'entre tes lèvres, preuve ultime d'une fatigue évidente. Tu t'avances vers ton second, un homme d'une quarantaine d'année qui, à lui même, représentait l'incarnation parfait d'une société patriarchale et mysogine. La simple idée d'être sous les ordres d'une femme le rendait fou, et c'est peut-être pour ça qu'il s'était récemment mis en tête de tout faire pour te saboter, connaissant la réputation de votre supérieur direct. – Le Directeur Krennic serait là d'une minute à l'autre pour vérifier l'avancée du projet. Je vais me chercher un café, je compte sur toi pour garder un oeil sur l'équipe. Assures toi que personne ne touche à rien, d'accord ? Tu demandes, plus sur un ton réthorique qu'autre chose. Il te réponds positivement, et toi, tu le remercie d'un grand sourire avant de quitter enfin la salle pour te diriger vers la machine à café du bout du couloir. Si ce café était immonde, il te gardait éveiller et ça, c'était le principal surtout lors d'évènement aussi important. C'que t'ignore, Shara, c'est que pendant ce laspe de quelques minutes, ton second en profite pour modifier le code que tu avais mis si longtemps à créer. Un travail fastidieux, des heures de sommeils en moins pour t'assurer du bon fonctionnement de celui-ci, qui venait d'être saboté par une simple petite manipulation, une simple balise retirée et un échec était désormais certain.
Tu reviens, pleine d'assurance, certaine que cette étape là est terminée. Et tu observes chaque employés, passant dans les rangs comme pour s'assurer que tout le monde est à son poste, à faire le travail nécessaire. C'était une telle pression et pourtant, tu adorais ça. Avoir tout ces gens sous ton aile, que tu dirigeais toi. Tu étais loin d'être tyranique, bien au contraire, tu faisais un nombre incalculable de concession et d'effort pour que ton équipe soit au mieux. Tu étais grande le genre à privilégier un environnement saint car tu avais confiance en ton équipe et que tu ne voulais pas avoir des nouveaux tout les deux jours. De ce fait, tu te devais de prendre soin d'eux. L'ancien chef des opérations se foutaient, mettant une pression monstres sur vour et toi, tu voulais éviter de reproduire cette erreur. Tu sirotes une longue gorgée de ta boisson avant de poser ce mug et d'observer ton équipe, prête à faire un rapide débrief. Tu repètes les mêmes consignes, longues et lassante mais tu tenais toujours à ce que tout soit carré. Tu préférais répété et te dédouaner en cas de n'mporte quel soucis plutôt que de prendre le risque d'oublier un soir et qu'on te le reproche. Au moins, si un employé fautait, il en serait responsible.

L'heure continue de tourner et enfin, la grande aiguille atteint le 30. Tu retiens ton souffle tandis que les portes coulissantes s'ouvrent dans cet éternel bruit feutré pour enfin faire place à celui que tous attendaient. Cet homme, à la carrure si imposante, au charisme qui t'hypnotisais et te fascinais autant qu'il t'effrayait. Orson Krennic n'était pas le genre d'homme qu'on croisait à tout les coins de rue, en fait, il était unique et c'est peut-être ce qui le rendait si spécial à tes yeux. Un modèle, une inspiration que tu visais peut-être un peu trop à impressionner, mais tu espérais un jour, pouvoir prétendre à un poste aussi prestigieux que le sien. Tu viens alors remettre une rapique mèche de cheveux derrière ton oreille alors que tu t'avances, d'un pas assuré vers lui. – Directeur. Tu dis pour le saluer, lui offrant ton sourire le plus chaleureux et le plus sincère. Tu pourrais rester là, des heures à l'observer, car cet aura t'hypnotisais comme personne ne t'avait jamais hypnotisé. Il avait un effet sur toi qui était inexplicable, mais encore une fois, tu misais sur le fait qu'il t'intimidait tout particulièrement. – Comme je vous l'avais promis, la simulation est totalement prête et fonctionnelle. Si ça correspond à vos attentes nous n'aurons plus besoin que du financement pour lancer l'étape de construction. Tu déclares, de ce ton toujours aussi posé et plein d'assurance. Tu t'arrêtes donc derrière l'ordinateur que tu usais quelques minutes plus tôt, affichant alors sur l'écran holographique les détails de la simulation que tu es prête à lancer. Sans avoir conscience des modifications qui viennent d'avoir eu lieux dans ton dos, tu lances simplement celle-ci tandis que tout défile sur l'écran afin de simplement montrer le fonctionnement du rayon laser permettant ainsi l'alimentation de son ultime arme. Et alors que tout semblait se dérouler par merveille, le système d'alimentation explose sous vos yeux.
Ca n'est ici que numérique, puisque c'est sur cet écran que ça apparait. Et là, un nombre incalculable de voyant rouge s'allume sur ce même holographisme, t'obligeant à tirer sur l'écran de l'ordinateur. – Ca marche pas. Tu dis plus pour toi même qu'autre chose. Pourtant, c'est audible et tes doigts commencent à pianoter beaucoup trop freinétiquement, tentant une rectification rapide sans apercevoir le manquement au code. – Pourquoi ça marche pas ? Tu demandes en observant alors tes employes tandis que tu t'acharnes à chercher une solution et qu'aucun ne semble pouvoir te venir en aide, tout aussi surpris que toi. le résultat se répète alors et le même mot apparait constamment : echec.
Tu sens la panique s'emparer de toi, t'es incapable de savoir quoi faire. Le rictus au coin de ton second est visible, mais toi, tu ne le remarque absolument pas car tu es trop occupé à chercher tes mots, à chercher quoi dire. Parce qu'on s'le dise : ça te retombera dessus. – Directeur Krennic, je … heu; je vous garantis que … tu cherches désemparément tes mots, tu joues avec tes doigts. Pourtant, tu abandonnes, préférant alors ne pas débattre pendant dix ans, désemparée et terrifiée à l'idée d'avoir déçu un tel modèle, une telle figure que tu admirais tellement et qui, sans savoir pourquoi ou comment, avait un effet sur toi que tu étais incapable d'expliquer mais sa présence te rendait totalement folle, voilà pourquoi ne pas le décevoir était tout aussi important. Seulement, jamais, ô grand jamais, tu avouerais une telle chose parce que ta carrière était tout et que tu refusais de tout risquer pour un simple crush de gamine.
Tu baisses les armes, fixant alors tes pieds un peu confuse. – J'ai probablement dû faire une erreur avec le code. Alors que non. Parce que tout le monde te connaissait Shara : tu ne faisais aucune erreur de codage. En l'occurence, même si tu te savais irréprochable dessus tu tentais aussi de protéger ton équipe. Tu accepterais les sanctions, qu'elles qu'elles soient. Mais tu espérais surtout ne pas être démunies de tes fonctions pour avoir oser déranger celui qui semblait croire en toi. Tu voulais pas l'décevoir, mais tu protégerais aussi ton équipe car c'était aussi ton boulot. Une situation délicate dont tu ignorais comment te sortir. Personne ne prend la parole, te laissant alors prendre la faute, et tu crains sa réaction, car sa réputation n'est plus à faire.
Tous des laches, dans l'fond. Rien que pour ça, probablement qu'ils mériteraient de perdre leur emploi mais t'étais pas comme ça Shara. Tu comprenais que des erreurs pouvaient survenir, seulement, celles-ci te retombaient dessus. Tu regardes d'ailleurs rapidement les membres de ton équipe qui ne semblent pas trop comprendre. Personne ne semble prêt à se dénoncer, alors tu acquiesces d'un simple signe de tête. Tes prunelles brunes se redressent enfin vers ce supérieur qui pourrait presque t'effrayer car tu crains sa réaction – et pourtant, jamais, depuis que tu avais débuté il n'avait jamais vraiment levé la voix sur toi, chose étonnante puisque son tempérament le suivait partout. Mais en voyant que personne ne semble prêt à se dénoncer, tu prends une grande inspiration, prête à l'affronter, simplement. – Je me rattraperais en passant la soirée ici. Je vais décortiquer ce code et ensuite voir ce qui semble poser problème. Je peux vous affirmer que demain matin le problème sera résolut et que nous serons prêt pour une nouvelle simulation. Tu tentes de ne pas montrer que tu es anxieuse, tu gardes toute ta contenance, parce que c'est c'que Galen aurait probablement fait. Petit sourire inquiet tandis que tu reviens mettre une mèche de cheveux rebelle derrière ton oreille, éternel signe d'anxiété. – Autorisation de libérer mon équipe pour ce soir? Tu demandes. Persuadé d'être fautive, il n'y avait aucune raison pour que ton équipe empatisse pour toi. – Et si vous voulez qu'on discute de mon erreur, je me porte à votre disposition. Je suis prête à assumer les conséquences de mon inattention. Bon. Ton bain bien chaud ça sera définitivement pas pour ce soir non plus. T'attends probablement encore une longue nuit de travail qui se concluera par uniquement quelques heures de sommeil. Mais ainsi soit-il, tu auras tut le temps de te détendre quand ce projet sera enfin abouti. Car il aboutirait ce projet, d'une manière où d'une autre, qu'importe les années que ça prendrait. Tu y arriverais, et tu le rendrais fier, trop fier d'avoir bel et bien misé sur toi pour ce rôle que tu prenais bien trop au sérieux.   


(c) mars.


Dernière édition par Shara Bey le Sam 23 Avr - 8:24, édité 1 fois
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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—⥼ ※ ⥽—

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Jeu 21 Avr - 5:36




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“no longing for the moonlight, no longing for the sun, no longer will I curse the bad I've done. f there's a time when the feelings gone, I wanna feel it. you can holler, you can wail. you can blow what's left of my right mind. you can swing, you can flail. but I'll never give you up. if I ever give you up, my heart will surely fail. you can blow what's left of my right mind. ” (future starts slowthe kills)

writing music: future starts slow ▴ the kills
notes: le début de nos péripéties auesques  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY

« Bonjour directeur. » Des voix résonnent en écho dans les couloirs d’acier. Krennic déambule, accompagné de deux officiers impériaux et d’un death trooper qui se tient à distance. L’expression de son visage est fermée, et de légers cernes décorent le dessous de ses yeux bleu océan. Krennic n’a pas passé une nuit très agréable. Sa communication holonet avec Wilhuff Tarkin et ses lectures nocturnes des derniers rapports ne lui ont laissé que quatre heures de sommeil. Il était surtout particulièrement excité par la présentation, qu’il n’a pas eu le courage de taire les avancées de son équipe scientifique. Son orgueil le perdra. La pression exercée par ses supérieurs et les retards dans la concrétisation du projet le rendent encore plus instable qu’il ne l’est déjà en temps normal. Il s’est excessivement vanté, afin de justifier son choix de placer une femme à la tête de son équipe devant le Grand Moff Tarkin. Soi-disant que cette Shara Bey, protégée de Galen Erso, réaliserait des miracles entre ses mains. Et voilà qu’elle est bien sur le point de réaliser un prodige… Krennic est anormalement anxieux. Fébrile. Et si tout ne fonctionnait pas comme prévu ? Non, impossible. Shara Bey est le meilleur élément qu’il lui fut donné de voir depuis trente ans. Depuis Galen Erso. Galen… Son cœur se serre douloureusement en repensant aux circonstances tragiques de sa disparition. Tout est sa faute. Tout est à cause de lui. Tout est toujours à cause de lui. Krennic détruit tout ce qu’il touche et tout ce qu’il aime. C’est inévitable. C’est un homme dangereux. « Directeur Krennic. » Encore. En réponse aux regards baissés vers ses bottes noires, le directeur Krennic hausse négligemment les épaules. Ces soldats l’indiffèrent. Ces voix sont serviles et faibles. Elles pensent sans doute recevoir ses faveurs en dégageant autant de fausse loyauté. Orson Krennic est loin d’être dupe. Ce ne sont que des égos blessés, des biches apeurées, des hommes qui espèrent le poignarder au moindre aveu de faiblesse. On n’arrive pas au niveau qu’il est dans la haute administration impériale sans détruire des vies autour de soi. Orson Krennic exprime un certain magnétisme dans chacun de ses gestes, c’est un fait qui est porté à sa connaissance. Narcissique à souhait, il n’ignore pas l’effet que son uniforme blanc et de sa cape procure à son entourage. C’est même une fantaisie qu’il a imposé en arrivant dans la haute administration impériale. Beaucoup se demandent pourquoi le choix d’un uniforme blanc, alors que beaucoup d’autres sont dans les nuances de gris ou de vert. Son uniforme est un héritage du corps des membres du bureau de la sécurité intérieure de l’Empire, dont il semble toujours faire partie en tant que directeur du bureau spécial des armes avancées. Blanc. Une couleur dénotant dans l’obscurité et créant un intéressant jeu de contraste partout où sa cape passe. Blanc comme cet idéal de pureté d’âme qu’il revendique en agissant au nom de la cause impériale. Blanc comme l’espoir d’un monde meilleur, réunifié autour de la personnalité de l’Empereur Palpatine. Blanc comme les yeux révulsés de ses victimes. Tout ce qui est blanc est élégant, Orson incarne un symbole d’exceptionnalité. Il parade fièrement dans les couloirs de la station mobile, le dos droit, le menton fièrement levé et le regard rivé sur les lourdes portes du laboratoire de recherche de l’aile ouest.

Lorsqu’il s’approche des lourdes portes, un homme en uniforme semble l’attendre de pied ferme. Une fois le directeur arrivé à son niveau, il s’exprime dans une voix calme, mais tremblante. Krennic n’a pas l’apparence de quelqu’un bien luné aujourd’hui. « Vous êtes attendu au labo C. Tout est prêt pour la présentation, directeur. » Il hoche la tête, sans davantage de politesse et appuie sur le bouton, afin d’étirer les deux portes blindées dans un léger bruit d’aspiration. En entrant dans le laboratoire, toutes les têtes se tournent vers lui et les trois membres du cortège qui s’éclipsent spontanément dans un coin de la pièce. Krennic avance fièrement jusqu’au centre du laboratoire, sa cape s’engouffrant entre ses jambes sous ses pas. Shara Bey, cheffe de l’équipe scientifique vient l’accueillir avec une assurance qu’il trouve particulièrement touchante. Elle est dévouée, plus que le reste de ses équipes. Cela n’échappe pas à l’œil attentif d’Orson Krennic. Il ne montre rien devant eux, mais une contracture vient frapper son palpitant en la saluant. Shara Bey n’est pas n’importe quelle scientifique de son équipe, et les rumeurs sont peut-être infondées à leur sujet, mais elles ne le sont qu’à moitié. Ce qu’elles ignorent, c’est qu’il y a beaucoup de retenue dans l’expression de ses sentiments profonds.

« Mademoiselle Bey. » répond Krennic en inclinant légèrement sa tête, en prenant un timbre doux et chaud. Elle est timide, nerveuse et elle lui évoque ces magnifiques colombes, pleines d’élégance et de fragilités. Mademoiselle Bey. Pas docteur Bey. Mademoiselle Bey. Il appuie son « Mademoiselle » avec ce qui s’apparente le plus à un sourire sincère. Krennic est charmant. Toujours. Toujours avec Shara Bey. Derrière eux, des scientifiques se dévisagent avec une expression apparemment dégoutée. Des yeux roulent vers le plafond. Les hommes sont jaloux des femmes qui réussissent et ne peuvent qu’imaginer des choses sur le compte de ces dernières. Krennic est particulièrement sensible aux travaux de la doctoresse, non seulement parce qu’elle est la protégée de Galen, mais surtout parce qu’elle est excessivement brillante. Orson Krennic ne peut que saluer un pareil mérite. Il se met à faire quelques pas dans la pièce en attendant que les données soient rentrées dans les ordinateurs, analysant chaque ordinateur, chaque visage sur son passage. Ce qu’il put observer le fit négligemment sourire. Beaucoup de retenue, de nervosité et d’attentes irréalisables de la part de chacun des membres de son équipe scientifique. Eux aussi se montrent aussi fébriles que lui devant cette première simulation de tir. Orson esquissa un sourire narquois en rejetant les pans de sa cape d’un coup sec, pour lui permettre de croiser les bras contre sa poitrine. Lorsqu’on se tourna vers lui, dans l’attente de son feu vert, le directeur acquiesça d’un hochement de tête affirmatif en levant une main désinvolte vers eux. Les yeux rivés sur l’écran géant, l’impérial observa impatiemment la suite des évènements. Au bout de longues minutes, l’homme en cape constate que les choses dérapent furieusement et échappent au contrôle de la responsable du projet. Il l'entend marmonner cette même phrase à deux reprises : Ça marche pas. Krennic tourne la tête de droite à gauche en scrutant les visages des personnages présentes en quête d'indices. D'une réponse. D'un signe que l'un d'entre eux est au courant de ce qui est en train de se passer. Aucuns. Ces bons à rien. Krennic s'agite dans son coin, se balançant sur ses pieds, croisant et décroisant les bras, se tournant du côté de ses officiers, puis de la responsable des opérations. Ses sourcils se froncent puis se haussent, ses lèvres se pincent dans une moue boudeuse, sa tête se penche à droite puis à gauche, sa langue claque dans son palet. L'expression de son visage est sinistre, livide. Une lueur d'incompréhension brille dans ses yeux bleu océan. Tout chez lui transpire l’agacement, ce qui brûle en lui tel un feu qui le consume dangereusement est l'impatience. On l'a dérangé... pour ça ? Pour une fausse joie ? Krennic a juste l'impression qu'on se fout littéralement de lui. Lorsque Shara Bey se retourne, dans l'espoir de lui présenter ses plus plates excuses et lui fournir des explications, Orson prend fortement sur lui pour ne pas se noyer dans ses pulsions. Ce n'est pas l'envie qui lui manque.

« Une erreur ? » répète-t-il en clignant des yeux quelques fois, apparemment hébété. Alors là, c'est du jamais vu. Une erreur, une erreur, une erreur répète-t-il comme une ritournelle dans un coin de sa tête. On vient le faire appeler, on le prépare psychologiquement à la présentation du siècle, de sa vie même, pour une erreur. Pour une putain d'erreur. Incroyable. Il sent immédiatement une vague de chaleur émerger en lui et monter dangereusement jusqu'à embrouiller ses pensées. De la colère. Une colère grondante, sourde et enivrante qui se développe dans son cerveau, dans chaque fibre de son corps. « Une erreur d'inattention, vous dites ? Les bras m'en tombent ! » ironise-t-il avec ce cynisme si particulier qui est le sien, en espérant dédramatiser la situation, mais surtout contenir cette petite mèche à deux doigts de la combustion. Tout sauf ça. Ne pas exploser sur elle. Tous ses efforts de sympathie et de séduction seraient aussitôt ruinés. Le timbre de sa voix trahit malgré tout son irritation. Est-ce qu'elle se rend au moins compte de tous ses efforts ? Est-ce qu'elle a bien conscience qu'il essaie de conserver une certaine prestance, en se montrant courtois et charmant à son égard ? Un vrai gentleman. Clairement pas dans son mode de fonctionnement avec ses subalternes. Est-ce qu'elle se rend compte qu'elle bénéficie d'un traitement de faveur de sa part depuis tout ce temps ? Lorsqu'il y repense, c'est le trou noir. Un gros vide dans son esprit. Une putain d'erreur d'inattention. C'est encore pire que la première phrase. Une inattention. On le dérange pour une inattention. On ne domine pas une galaxie entière avec ce genre d'erreurs. On n'arrive pas au sommet de la hiérarchie de la haute administration impériale avec une inattention. Cette équipe, c'est lui qui l'a spécifiquement choisie et formée. C'est son équipe. Elle est comme une extension de sa propre personne, elle contribue à son rayonnement dans tout l'Empire. Si son équipe échoue, c'est lui qui échoue. C'est lui qu'on fustigera, qu'on démettra de ses fonctions, qu'on isolera. C'est sa propre carrière qui sera écourtée aussi violemment qu'une navette qui se crashe dans une planète. Ces gens-là sont sous sa responsabilité. Ses choix. Ses scientifiques. Son projet. Sa chute. Sa gloire. Non mais on est où, là ? Chez les débutants ? C'est donc ça, l'élite scientifique de l'Empire ? Il s’exclame dans sa tête, à deux doigts de monter dans les tons, un rien suffit maintenant à l’embraser comme un feu de forêt. Qui appuiera sur le détonateur ? Krennic répète mentalement la phrase de Shara Bey en craignant même d’avoir mal compris. Peut-être bien qu'il est devenu sourd à force de prêter attention aux imbéciles qui travaillent avec lui. Comme Tarkin. Une erreur. Une erreur ? Shara Bey vient de commettre une erreur, c’est impensable. Shara Bey ne commet jamais d’erreur, et encore moins après avoir eu l’assurance d’affirmer que le laser était enfin prêt. Tous retiennent leur souffle, en priant les étoiles de la galaxie pour ne pas subir encore les foudres orageuses du directeur Krennic. C’est une mauvaise plaisanterie ? Il observe scrupuleusement le visage de sa cheffe d’équipe, puis chacun des membres de ladite équipe sans prononcer le moindre mot. Orson essaie de rassembler ses esprits pendant un instant, avant de se changer en une putain de bombe à retardement.

« C'est donc cela ? Une erreur... » Énième répétition. Cette fois, Krennic est anormalement calme. Certains vous diront que c’est le calme avant la tempête. Son visage se tord en une moue indéchiffrable, un mélange d’agacement et d’amusement. Il eut un sourire narquois, et ses rides d’expression s’étirèrent dangereusement sous l’éclat de son rire. Un rire léger, aérien et cynique. Un peu peiné, en arrière-fond. Krennic est quelque part attristé de voir que l’engouement qu’il a ressenti pour cette simulation vient de s’évaporer en fumée. Il se sent presque frustré de n’avoir pu contempler les progrès de son équipe scientifique. On lui a vendu des chimères pendant des semaines, on l’a enthousiasmé au point qu’il s’en faisait une telle joie. Et on vient cruellement de lui arracher ce maigre espoir d’apporter les honneurs autour de son patronyme devant le Grand Moff Tarkin et l’Empereur Palpatine. Quelle déception. Orson Krennic est même plus que déçu. Tant d’engouement, d’excitation pour un silence pesant et un message d’erreur sur l’ordinateur. Il a bien envie de crier, de hurler, d’en prendre un pour taper sur l’autre, de les incendier bien comme il faut et de faire la fierté de la réputation explosive qui le précède. Orson Krennic a envie de beaucoup de choses, mais il est forcé d’admettre que cette situation est loin de convenir à ses aspirations. Non, du tout, cette situation est compliquée. Krennic est partagé entre l’explosion et le silence funeste. C’est loin de lui convenir, parce que la responsable, c’est elle. Parce que c’est elle qui vient de merder devant lui et tout le reste de son équipe. C’est elle, qui est venue se gargariser de vantardise sur les avancées prodigieuses du super-projet. C’est elle qui lui a promis une première simulation de tir aujourd’hui. C’est encore une fois elle qui se ratatine désespérément devant lui, sous le nez de toute son équipe scientifique. Cela aurait été n’importe qui d’autre, Krennic n’aurait eu aucune pitié à enfoncer le couteau dans la plaie. Cela aurait été une autre femme, Krennic l’aurait humiliée devant tout le monde, avant de la démettre de ses fonctions sans ménagement. N’importe qui d’autre. Mais elle... Shara Bey est intouchable. Il déteste constater un échec venant d’elle, c’est si décevant. Orson déteste de la voir aussi peu sûre d’elle, craignant ses réactions comme si elles étaient annonciatrices de l’apocalypse. C’est peut-être bien le cas finalement. Krennic est capable de détruire sa carrière si parfaite en un battement de cil. Tout le monde le sait, et voilà pourquoi tous ces lâches demeurent en retrait, ils craignent pour leur avenir dans l’Empire. Ils sont dans l’attente des réactions impulsives et instables du directeur Krennic. Pathétique, pense-t-il en serrant sa mâchoire.

« Je vois. » marmonne-t-il d’une voix faible, plus pour lui-même que pour son assemblée. Krennic décroise ses bras en faisant virevolter les pans fluides de sa longue cape immaculée au passage. Il place l’une de ses mains contre sa hanche et l’autre au niveau de sa tempe gauche, se massant doucement. Ces maux de tête, encore. Toutes ces tensions qui n’attendent que d’être soulagées, apaisées et confortées dans la vaine idée que tout peut encore s'améliorer. Une épée de Damoclès se trouve au-dessus de sa tête. Une pression immense repose sur ses épaules. Orson n’a pas le droit à l’erreur, ni maintenant, ni jamais. C’est pourquoi il recrute les meilleurs scientifiques, les meilleurs soldats, les meilleurs en tout afin de satisfaire ses hautes aspirations. Des aspirations insatiables, qui ne seront jamais comblées, parce qu’elles sont toujours démesurées. Krennic déploie des trésors de résistance mentale pour ne pas exploser devant un public apparemment traumatisé par l’aura dangereuse qu’il dégage. Après les derniers mots de Shara Bey plaidant pour le pardon du directeur et la responsabilité de ses actes, tous se turent. Tous patientèrent sagement en guettant les moindres faits et gestes d'Orson Krennic. L'intéressé patiente quelques minutes dans un silence de plomb. Un silence d'une rare solennité.  Tout dans l'air est lourd, il est lui-même empreint d'une certaine électricité. La présence de Krennic écrase celle de tous les membres de l'équipe scientifique. Orson soupire bruyamment, exaspéré. Il baisse ensuite la tête vers ses bottes parfaitement cirées pendant quelques secondes, ignorant pour la première fois comment se comporter publiquement à cause d'elle. Sa poitrine se soulève durement sous la bouffée d'air qu'il aspire afin de calmer ses nerfs. L'envie de tout casser est brûlante, elle le dévore de l'intérieur comme un rongeur devant un morceau de fromage. Krennic va-t-il exploser d'un instant à l'autre ? Contre qui, contre Shara Bey ? Quelque chose l'agace encore plus que cette bande de lâches, prête à jeter leur responsable dans la gueule du loup, c'est le fait de voir autant de... crainte et de résignation dans les yeux de Shara Bey. Cette image est détestable. Elle est prête à risquer sa carrière pour une erreur qui n'est probablement pas la sienne. Orson est contrarié, sans exactement en comprendre les raisons. Tout ce qui est clair dans son esprit, c'est qu'il n'accepte pas de la voir aussi suppliante devant lui. Pas de cette manière-là. Si elle doit implorer à genoux pour quoi que ce soit, qu'il s'agisse de quelque chose qui en vaille réellement la peine et dont elle est sincèrement responsable. Une pensée étrange s'engouffre quelques instants dans son esprit. Obscène. Il la balaie rapidement en considérant que ce n'est ni le moment ni le lieu pour se complaire dans ses fantasmes. Qu'elle le supplie... dans un certain sens, il n'est pas fermé à cette idée, tout dépend de ce qui est en jeu. « Sortez tous. » dit-il enfin, après avoir fait le vide dans son esprit et trouvé la décision qui s'impose à la situation. « Moi aussi, directeur Krennic ? Parce que nous devions discuter de la prochaine communication avec le Grand Moff Tark… » s’enquit l’un des scientifiques aspirant sans doute à prendre la place de Shara Bey à la tête de l’équipe. Krennic ne lui accorde pas même un regard, et s’exclame brutalement, le bras levé et légèrement tremblant : « J’AI DIT TOUT LE MONDE ! » Sa voix est forte, puissante, elle symbolise l’ampleur de son irritation. Orson Krennic est furieux. Orson Krennic est surtout furieux contre lui-même. « Sauf vous. Vous, restez. Tous les autres... DEHORS ! » précise-t-il en plantant ses deux orbes glaciers dans ceux de la doctoresse Shara Bey. Afin d'appuyer sa requête, son ton est légèrement élevé et autoritaire, mais son regard se fait étrangement doux, lorsqu'il se pose sur son jeune corps fébrile. Un étrange contraste. Elle se confuse en excuses, elle persiste à vouloir passer la nuit entre les quatre murs du laboratoire. Krennic est comblé de lire autant de détermination dans le regard de sa protégée, d'entendre autant de preuves du sérieux de son mental. C'est une travailleuse acharnée, une perfectionniste. Tout comme lui. Elle ne veut pas le décevoir, et quelque part, il en est touché. Le fait qu'elle soit prête à faire autant de sacrifices, alors qu'il est évident pour lui qu'elle n'est pas responsable de ce dysfonctionnement, absorbe ses pensées. Il y a quelque chose de grisant dans le comportement à la fois docile et téméraire de la jeune femme.

Une fois que toutes les personnes présentes se sont éclipsées, membres de l’équipe scientifique de Shara Bey et ses propres gardes du corps, Krennic soupire exagérément. « Bien, bien, bien… Que vais-je faire de vous ? » s’exclame-t-il en relâchant toute la nervosité dans ses épaules et dans sa nuque. Son ton est faussement dramatique, laissant présager une sanction à venir, alors qu'il n'en est rien. Cela l'amuse pendant un instant. Il aime lire cette forme de détresse dans ses yeux, elle est comme une demoiselle qu'il convient de secourir. Elle peut être si... vulnérable, tout en restant forte. Cette dualité l'émoustille fortement, même s'il ne laisse rien paraître de son degré de déstabilisation. Une tension est palpable dans l’air ambiant, électrique et dérangeante. Krennic s’éloigne de sa responsable d’équipe pour faire face à un immense écran géant, d’où les lignes de code sont reproduites, accompagnées de cet éternel message d’erreur. Il observe scrupuleusement ces chiffres, tout en soufflant durement, sur le ton du reproche : « Je suppose que vous connaissez les rumeurs. » Alors que le ton de sa voix est cinglant, le coin de ses lèvres se courbe en un léger sourire amusé. Un rictus que Shara Bey ne peut apercevoir de manière distincte, mais qui se reflète dans le reflet de l’écran géant. Orson fait allusion aux rumeurs scabreuses qui entourent sa récente promotion au rang de responsable de l’équipe scientifique de la Death Star. Un poste qui est amplement mérité selon Orson Krennic, et non pas seulement dû à son apparence fragile et séduisante. Shara Bey est la protégée du feu Galen Erso. Son héritière. Cette même Shara Bey lui a été conseillé par Galen de son vivant pour rejoindre l’équipe de recherche de la Death Star. Ce qu’il lui a laissé, un véritable génie, certes enfermé dans le corps d’une femme, mais qui s’en soucie véritablement ? Orson se moque bien du sexe de son responsable d’équipe, tant que celui-ci réalise exactement ce pourquoi il l’a engagé. Faire resplendir son nom en l’aidant à changer la face de tous les mondes. Apporter une paix universelle, artificielle à la galaxie. « Votre génie déchaîne les passions, ma chère. » dit-il après une courte pause, toujours dos à elle, ses bras se rejoignant dans le bas de sa colonne vertébrale. Dans un monde aussi misogyne et cruel, le choix d’une femme à la tête de l’équipe scientifique de la Death Star a bien évidemment fait pleurer dans les chaumières. Les rumeurs se sont propagées comme une traînée de poudre dans tous les centres de recherche habilités à travailler sur le super-projet d’arme de destruction massive. Certains détracteurs de Krennic ont tout simplement supposé qu’il se la tapait, voilà tout. Il n'en est rien, pourtant. Orson s'est toujours montré professionnel et charmant avec elle, sans une once de duplicité dans son comportement. Il est toutefois vrai, qu'elle bénéficie d'un traitement plus privilégié que ses collègues. Krennic aime justifier cet élan de générosité de sa part en vantant ses prouesses intellectuelles. Galen l'a choisie. Pendant quelques secondes, il se remémore les mots de ses hommes, qu’il a eu le grand déplaisir de surprendre au détour d’un couloir dans la station mobile. Krennic se tape cette pute de Shara Bey. Krennic ne lui hurle jamais dessus. Krennic est intenable après chacune des conférences, quand elle est là, c’est comme si quelqu’un d’autre prenait possession de lui… On s’en prend plein la figure, mais elle, elle s’en sort toujours avec les honneurs. Krennic couche avec elle, c’est clair et net. Pourquoi l’avoir placée cheffe de l’équipe du projet Death Star, selon eux ? Après tout, il ne serait pas le premier à promouvoir une femme dans un monde de brutes après avoir profité de ses charmes. Tarkin a bien fait la même chose avec sa maîtresse, qui fut à l’époque lieutenant dans la marine impériale.

« Vous m'avez menti, mademoiselle Bey. »
dit-il sur un ton presque trop… paternaliste pour ne pas être suspicieux. Shara Bey ment, c’est obligé. Shara Bey est parfaite, en toutes circonstances. Shara Bey ne peut le décevoir en aucune façon. Cette femme est supposée être la perfection incarnée, le choix de Galen Erso, sa cheffe d’équipe. « Lequel de ces idiots protégez-vous avec autant de ferveur ? » Une pointe de jalousie dans le son de sa voix, qu’il ne parvient pas à étouffer. Krennic n’a jamais été particulièrement doué pour dissimuler toutes ses émotions négatives, seulement les bonnes. Ses coups d’éclat et ses colères sont toujours mués par une force dévastatrice comprimée en lui, qu’il relâche de manière intempestive, comme les éclairs en plein orage. « Votre sens des responsabilités et votre loyauté sont d’inestimables qualités, mademoiselle Bey. Ce n’est pas ce qui me déçois, non, ce qui me déçois c’est le fait que vous n’essayez pas de vous défendre devant moi. Quelqu’un d’autre, ne connaissant pas votre réputation ou votre travail aussi bien que moi, vous aurait renvoyée sur-le-champ. » Il agite nonchalamment ses mains tout en parlant, massant ses tempes quelques secondes ou bien se reposant contre le canon du blaster accroché à sa ceinture. « Le fait est que vous ne faites jamais d'erreur aussi grotesque. Me prenez-vous vraiment pour un imbécile pour vous croire impliquée dans quelque chose d'aussi... » Orson ne termine même pas sa phrase, tant il est impacté par le peu de considération qu'elle semble vouer à son intelligence et à sa perspicacité. « Peu importe. » D'un mouvement de la main, il semble balayer quelque chose d'invisible devant lui, comme pour illustrer son propos. Orson ne trouve pas les mots pour décrire ce qu'il pense avec justesse. Une voix hurle dans sa tête de l'incendier sur place, comme avec n'importe qui d'autre.

En faisant volte-face, il se déplace d’un pas lent, mais décidé jusqu’à Shara. Sa cape vole derrière lui, ses bras s’alignent le long de ses hanches le petit talon de ses bottes noires claque de manière presque chronométrée, alors qu’il rompt les derniers centimètres séparent leurs corps. Lorsqu’il se trouve enfin devant elle, il en profite pour scruter, à la manière d’un laser de droïde, toutes les subtilités du visage de Shara. Il jauge l’état d’anxiété de sa responsable d’un simple coup d’œil, ce qui semble l’étonner, après toutes ses preuves de confiance. Il a tout fait pour contribuer à son bien-être à bord de la Death Star : les meilleurs scientifiques, les outils les plus performants, les laboratoires les plus sophistiqués, et même les plus beaux appartements pour une femme de son rang. Krennic a en effet installé Shara à deux corridors de ses propres appartements, il y a quelques semaines, en espérant secrètement qu’ainsi, ils seraient amenés à se rencontrer plus souvent dans les couloirs. Il a toujours veillé sur Shara, notamment sur la conduite de ses recherches. Tout était calculé, en réalité. Tout, absolument tout. Son poste, même si elle le méritait amplement. Ses appartements près des siens. Ses attentions, ses paroles encourageantes. Leurs discussions scientifiques enthousiastes dans les couloirs ou au centre de recherche. Leurs échanges instantanés sur leurs datapads respectifs, le soir souvent. Ses conseils dispensés de manière pédagogue, mais surtout intéressés. Krennic n’a jamais eu le besoin de justifier ses caprices à qui que ce soit, jusqu’à maintenant. Lui-même ignore ce qui lui a pris de convoiter l’idée folle qu’elle puisse le trouver sympathique. Qu’elle puisse même… s’éprendre de lui, tout comme il est épris d’elle.

« Vous pouvez vous confier à moi. »
chuchote-t-il d’une voix rauque, en levant la main pour effleurer doucement son visage de porcelaine. Il caresse, du coin de son index, la joue de la jeune femme. Lentement, dans un mouvement circulaire, jusqu’à prendre l’une de ses mèches rebelles entre deux doigts et la replacer correctement derrière son oreille. Exactement comme elle n'a cessé de le faire durant la présentation. Un tic nerveux qu'il a trouvé particulièrement candide, quoiqu'assez excitant. Elle est encore si innocente par rapport à lui. Cette proximité est presque salvatrice. Il l'avait toujours trouvée particulièrement belle, et venant d'un architecte, c'est un véritable compliment. La structure de son visage est harmonieuse, la ligne de ses lèvres et de son arc de Cupidon sont parfaitement bien dessinées. Une vraie oeuvre d'art. Quant à ses yeux, deux orbes vifs et intelligents. Orson les défient tout au long, sans interrompre ses caresses brèves mais précises. Elles ne sont pas intrusives, car il ne fait qu'effleurer sa peau doucement. Orson veille consciencieusement à ne pas dépasser les limites de leur fonction respective, tout en exprimant la sincérité de sa démarche avec une certaine pudeur. « Je ne m’énerverai pas. » Krennic apporte une précision nécessaire. C’est étrange de le voir se comporter aussi gentiment, après toutes ces rumeurs. Une part de lui convoite même leur concrétisation. Orson semble comprendre les aléas des travaux de Shara. Il n’est pas idiot, bien évidemment que ses subalternes craignent tous et toutes ses colères. Orson Krennic ne désire pas s’énerver contre elle. Crier, oui, mais contre quelqu’un d’autre, sur une âme innocente passant par-là, mais pas sur Shara Bey. Orson a envie de hurler. Intérieurement, il est tétanisé de devoir justifier ce léger retard à cet imbécile de Tarkin, mais il ne désire pas spécialement s’énerver sur elle. Il imagine déjà les mots cinglants de Tarkin et sa voix grinçante, sifflante, en train de lui reprocher tous les maux de la galaxie entière. Votre égo, Krennic, est un véritable problème au sein d’une équipe, l’entend-il dire avec un plaisir malsain. Vous me faites encore perdre du temps. Vous faites perdre du temps à l’Empereur. Vous faites perdre du temps au projet. Quand vous comporterez-vous enfin comme le directeur que vous êtes ? Les rides qui ornent le coin de ses lèvres se lèvent sous un rictus douloureux, amer. Tarkin ne ratera pas une seconde pour l’enfoncer encore plus, en profitant pour le confronter aux nombreux retards dans le développement de la super-arme. Cela prendra encore des années. Encore quelques années avant de briller devant eux. Sera-t-il encore de ce monde, à ce poste, d’ici-là ? C’est comme si ses supérieurs ne se souciaient pas de son avenir dans l’Empire. Plus qu’une impression, qu’une intuition poignante, c’est bien le cas. Orson Krennic est seul, comme il l’a toujours été.

« Loin de moi l’envie de traumatiser ma responsable des opérations. Nous travaillons ensemble sur ce projet, n’est-ce pas. »
Une interrogation qui n’en est pas réellement une, celle-ci sonne davantage comme une affirmation implacable. « Alors… Travaillons vraiment ensemble. » souffle-t-il à la manière d’une promesse. Orson est prêt à travailler de concert avec elle pour que cette ligne de code soit solutionnée avant que les premières lumières de l’aube ne viennent balayer l’atmosphère des planètes du système. « Il y a probablement quelque chose qui manque à votre configuration. Montrez-moi vos travaux. Nous réglerons ensemble ce fâcheux détail. » Orson marque une pause en remarquant qu’elle est toujours aussi stressée. « Ne tremblez pas devant moi. » Jamais devant lui. Pas de cette manière-là. Pas elle. Les autres, oui. « Je ne recherche pas votre peur. » Il ne désire pas qu’elle le craigne. Ce qu’il désire est bien plus… personnel. Si Shara Bey doit un jour trembler à cause de lui et pour lui, Orson veut que ce soit exclusivement de façon extatique. Pas une seconde, il ne l'a quittée des yeux pendant tout ce temps. Son regard est aussi intense que la force de ses convictions en leur projet commun. Orson relâche finalement cette fameuse mèche de cheveu, et laisse son bras étendu le long de son corps, dans l'attente qu'elle lui dévoile l'ensemble de ses lignes codées.


FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Anonymous

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Jeu 21 Avr - 11:29


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.

Tu étais incapable de dire pourquoi tu avais décidé de faire ça. De potentiellement remettre ton intelligence en question. Tu étais même incapable de dire d'où venait cette remise en question constante, ce manque éternel de confiance en toi et en ta propre personnalité. Tu avais des aptitudes, Galen les avaient vu, et toi même tu devais avoué être capable de faire des véritables exploits mais tu ne semblais absolument pas t'en rendre compte. Peut-être était-ce le fait que ton jeune âge et ton genre faisait toujours parler et que les doutes d'autruis commençaient à dépeindre sur toi. Dans l'fond, tu te disais que cette promotion, tu l'avais peut-être pas mérité, alors que tu avais des aptitudes qui dépassaient le commun des mortels. Et pourtant, tu n'avais rien d'extraordinaire, juste une manière de voir les choses d'une certaine manière, te rendant parfois un peu awkward. Et ce message d'erreur te surprenait tout autant que le reste puisque les premiers tests avaient été réalisés plsu tôt dans la journée et tout fonctionnait parfaitement. Pourquoi c'est comme ça ? Au moment de la démonstration, tout partait en vrille ? Tu réfléchissais, mais tu n'avais pas retouché au programme de tout l'après midi et tu n'avais pas quitté la salle une seule seconde sauf pour aller chercher ton putain de café.
Tu t'attends à tout. Au pire. A dire adieu à cette nouvelle vie qui se profile, à cette carrière qui s'offre à toi, à cet appartement absolument divin dans lequel tu te plaisais un peu trop, à tes fonctions. Tu te sens ridicule, humiliée et stupide d'avoir autant pu vanter cette réussite qui avaient sans doute été vantée en retour. Non seulement tu passais pour une idiote, mais tu faisais passer Krennic pour un idiot et ça, c'était probablement ce qui t'effrayait le plus. Te remettre en question, en doute, tu avais l'habitude. Mais pas quand il s'agissait de ton supérieur direct, et il n'avait, pour tout dire, jamais eu grand chose à te faire comme remarque. Tu étais tout, sauf le genre de personnes problématique, tu faisais ce qu'on te demandait de faire et ce pour quoi tu étais payé pour faire. Tu posais pas de question, car tu n'étais pas payé pour ça et surtout, tu avais une vision de l'Empire un peu utopique, un mal pour un bien et tu le servais bien trop fièrement. Il suffisait de voir cette vie que tu menais qui était loin d'être très contraignante, outre cette solitude pesante puisque personne ne semblait avoir vraiment envie de partager des moments avec toi, amicaux ou plus. Même lors de ta pause déjeuné, t'étais souvent toute seule, trop seule. Véritable petit rat de bibliothèque, tu te perdais ainsi dans tes lectures scientifiques et toute autre chose qui avaient cette manière de t'occuper et de ne pas paraître tristement seule. Lamentablement seule même. Mais là, c'était une première faute, ou en tout cas, vraie faute qui avait un enjeu énorme sur le reste de l'équipe, le directeur et surtout, toi. Tu te voyais déjà plier bagage et partir au tri du courier – et ça, c'est si tu avais d'la chance. D'ailleurs, tous semblent tout aussi surpris que toi, puisque les regards sont interloqués, qu'une seule ne semble pas être prise de court, mais t'es trop paniqué pour t'en rendre compte.

La tension se fait sentir. Partout. Au point que t'as terriblement mal derrière le crâne. Ton estomac se tord, tu pourrais presque dégueuler le café que tu as bu toute la journée – parce que oui, tu avais été tellement nerveuse que tu avais basiquement oublié de manger. En fait, ce travail te prenait tellement de temps et d'investissement que tu n'en dormais plus, tu oubliais de manger donc dans l'fond, c'était pas surprenant que les erreurs surviennent. Avec un mental qui n'était pas au meilleur de sa forme, forcément, ça compliquait les choses. Raison de plus pour laquelle tu allais te prendre un savon. T'avais même envie de pleurer, mais si il y a bien une chose qui, tu penses, énervera encore plus le tempérament d'Orson c'est bien de te victimiser. Alors tu ravales ces larmes qui menacent de couleur, appréhendant particulièrement le déferlement de haine et d'humiliation qui vont suivre.
Tu sursautes quand il hurle à tous de sortir. Ca te surprends autant que ça t'étonne, parce que des échos que tu en avais eu, c'était tout sauf le genre de chose qu'il ferait. Et tu ne semble pas être la seule, parce que échapper à une humiliation publique pourrait relevé d'un potentiel traitement de faveur. Alors ça t'blesse, de voir ces regards à ton égard. Y a même des mots qui sont murmurés entre deux de tes employés que tu perçois. Si elle est encore là demain, on saura tous pourquoi. Un sous-entendu plein de sens qui te blesse d'autant plus et qui te fait te sentir encore plus stupide. Probablement que t'es trop gentille Shara, et dans un monde comme ça, outre te faire bouffer, ça ne résultera en rien. La preuve.

Tu retiens ta respiration tout en fermant les yeux en attendant cette sanction qui menace sans doute de tomber. Tu sais pas à quoi t'attendre et ça t'effraie beaucoup trop. Cette tension palpable dans l'air te tends encore plus, mais tu attends, simplement, que ton jugement finisse par arriver. Que l'heure sonne, mais rien. Pas de crise de nerfs à ton égard, pas de voix trop autoritaire, rien. Juste lui, qui observe ton code. Tu ouvres de nouveau les yeux en tournant tes prunelles brunes vers lui, sans trop savoir à quoi il jouait, et pourtant, sa question te heurte en pleine face. – Je … Tu sais pas quoi dire, tu es tellement prise de court. Bien sûre que tu les connaissais, certains s'étaient même amusé à venir te demander ouvertement si ta promotion tu l'avais eu en passant sous le bureau. Tu en viens à sentir le rouge te monter aux joues, parce que tu avais tout sauf la dégaine de la demoiselle prête à tout pour avoir sa promotion. Ton attitude était loin d'être aguicheuse, tes regards loin d'être plein de sous-entendus, tu n'étais pas à courir après qui que ça soit, et tes tenues toujours parfaitement classe, sans jamais laisser voir une bretelle de soutient-gorge dépassé ou un décoleté trop plongeant. La raison pour laquelle ça te mettait aussi mal à l'aise était sans doute car tu avais surprise une ou deux fantaisie nocturnes, mais pour toi, c'était presque normal quand on croisant autant quelqu'un en une journée. Pourtant, t'avais presque l'impression que c'était écris sur ton visage que le protagoniste de ces fantaisies n'étaient autre que le superieur qui terrifiait autant qu'il fascinait. – Je vois pas de quelles rumeurs vous parlez. Le mensonge est probablement encore plus gros cette fois, car tu savais probablement mieux que personne ce qui se disait dans ton dos. Et si tu avais entendu ce murmure juste avant que le reste des employés partent, probablement que lui aussi. Tu veux juste pas en parler, encore moins avec l'autre protagoniste de ces rumeurs. La pression augmente d'un cran tandis qu'encore une fois, tu as l'impression d'avoir l'estomac au bout des lèvres. Tu te sens comme une brebie effrayée qui sait que son heure est venue, parce qu'à un moment où à un autre, ce loup viendra la bouffer pour n'en faire qu'une bouché.

Ses paroles s'enchaînent et toi, tu comprends pas, tu sais pas. T'as comme l'impression d'être étrangère à ta propre situation, comme si quelque chose s'était passé mais que tu n'avais pas été consciente. Accusée de mensonge est une chose, mais en avoir conscience en est une autre. – Directeur, je vous jure que je n'ai aucune idée de quoi vous parler. Et là encore, tu sembles perte ta contenance. Tu bafouilles comme une gamine alors que tu es toujours avec une éllocution absolument parfaite. Tu clignes plusieurs fois des yeux, cherchant un point de repère, quelque chose. Tu ne protégeais personne, car tu ignorais clairement que quelque chose s'était tramé pendant que tu avais le dos tourné. – J'ai pas énormément dormi ces derniers temps, je pense que le manque de sommeil a probablement affecté … Tu te stoppes dans ta phrase, réalisant qu'il était clairement inutile de débattre et de chercher des explications. Ca ne sauverait ni ton poste, ni ta réputation. En fait, tu aggravais peut-être ton cas. Tu restes silencieuse tandis que l'homme s'avance de toi, laissant alors sa main ganté venir effleuré ton visage. Un frisson parcourent tout ton corps tandis que tes prunelles se redressent vers lui, que tu les plonges dans les siennes et que peu à peu les défenses s'effondrent. Le simple fait qu'il vienne de lui même remettre une mèche de cheveux derrière ton oreille est signe qu'il est fin observateur. Tu ignores si ça relève de la manipulation ou d'un vrai acte d'affection, mais tu laisses les barrières s'effondrer. – Vous pensez réellement que quelqu'un aurait pu tenter de saboter mon travail ? Tu demandans un murmure, comme pour offrir à ce moment une touche d'intimité, une bulle qui se créerait sans vraiment le vouloir. C'était comme ça, peut-être car il était si hypnotisant, envoutant. Le pire c'est qu'il s'agissait de tes équipes, seule toi pouvait en être certaine mais malheureusement, tu refusais de croire que cette histoire de promotion pouvait rendre des gens si jaloux au point qu'ils tenteraient de foutre en l'air des semaines de travail acharnée. Tu repenses, vaguement à ton second qui, tu le sais, enviait cette promotion d'une si grande force. Tout le monde y croyais, toi la première et il avait encore en travers de la gorge que ça soit toi qui l'ait eu. Probablement était-il à l'origine de ces fameuses rumeurs, tentant de faire de toi une personne un peu trop opportuniste, espérant sans doute que ça remonte au Grand Moff Tarkin et qu'il s'occuperait de ton cas personnellement. Tu te pinces les lèvres, ne voulant pas le condamner et pourtant, c'était ton poste et réputation qui était en jeu. – J'ai quitté la salle juste cinq minutes avant votre arrivée. Autrement dis, si quelqu'un à voulu saboter tes codes, c'était le meilleur moment. Après les derniers tests, avant la présentation officielle. Tu fermes les yeux, réalisant alors peu à peu que encore une fois, tu avais sans doute été trop naïve. Et même si c'était vraiment une erreur de ta part, ne devrais-tu pas te battre pour garder ta place ? T'es encore jeune, ton avenir au sein de l'Empire ne se façonne que maintenant. Tu peux pas t'empêcher de penser comme un Impérial penserait : sauver sa peau avant celle des autres. Tu veux pas l'dire, mais tu l'dis. – J'ai laissé le laboratoire sous la direction de mon second pendant ces quelques minutes. Et un simple coup d'oeil sur les caméras permettrait de confirmer le fait qu'il s'est bien mis à saboter ton code. C'était pas une accusation, juste le fait que si quelqu'un aurait pu saboter quelque chose, c'était à ce moment là et pas un autre. Mais ça, tu le découvrirais probablement en temps et en heure et ça te rassurerait probablement de savoir que dans l'fond, si il perdait son poste, il l'aurait bien mérité.

La tension semble redescendre tandis que la bulle explose. Tu acquiesces d'un signe de tête avant de redresser tes yeux vers lui. Tu lui offre un petit sourire sincère avant de simplement attraper un datapad qui te permettait de tout contrôler à distance. Tu attends encore, tu sais que tu n'es pas encore tiré d'affaire mais avec un peu de chance les sanctions seraient bien moins grave. Tu l'exposes alors sur l'écran géant et tu observes les diverses lignes qui sont écrites devant toi, des lignes que toi même tu t'es tuée à rédiger. – J'ai passé des semaines dessus, voilà pourquoi un potentiel échec me surprend. Tout les tests effectués en début d'après midi étaient un véritable succès alors cet échec est bien trop surprenant, il vient vraiment de nul part.
Tu passes plusieurs minutes à tout éplucher, à tout regarder aux côtés de l'architecte de ce projet. Elles s'écoulent, lentement, et en parallèle tu termines un peu trop rapidement ton café qui te garde éveillé. Tu es toujours aussi tendue, tu le sens, et la manière que tu as de faire tourner ta tête démontre bien que tout chez toi semble être tendue. – Je comprends pas. Tu finis par simplement dire après de longues minutes d'analyse, laissant ton doigt glisser sur l'écran du datapad pour te permettre de faire defiler le code. – Tout est correct, il n'y a rien qui puisse … Tu te coupes dans ta phrase, ton coeur loupant un battement quand devant toi, l'essence même du problème se trouve. Une ligne qui voue le tout à l'echec. Une simple ligne. Qui, en vue de ton implication ne pouvait définivement pas venir de toi : et une partie de toi craignait qu'on remette ta parole en question. Tu serais ni la première à faire une telle tentative, ni la dernère et pourtant il n'en n'était rien. Toi, tu voulais vraiment la réussite de l'Empire et ce petit bijou pourrait être ta plus grande réussite.
Ton visage se décompose et tu t'laisses tomber sur ta chaise réalisant alors cette vérité qui t'avait faite douté mais que ton supérieur avait compris dés le début. – Quelqu'un a bien saboté mon code. Cette fois-ci, c'est une affirmation. Et ça t'fait mal. Tellement mal qu'on puisse te vouloir autant de mal. D'un côté, t'es rassurée, parce qu'au moins, tu as désormais la preuve que ce n'est pas de toi que venait le problème. De l'autre, t'es dégoûtée. Tu viens appuyer tes coudes contre le rebord de la table tandis que tes mains frottent ton visage. Et tu peux pas t'empêcher de rire légèrement, nerveusement. Comem une pression qui se relâchait enfin. Une pression qui pourtant ne s'arrête pas là, car c'est qu'une question de temps avant que ces éclats virent aux sanglots. C'est subtil, mais la pression subit ces dernières semaines, les montagnes russes d'émotions, font que forcément, la redescente est difficile. Pourtant, tu montres rien, t'essaie de rester discrète car tu veux pas qu'il pense que tu te victime ou que tu n'as pas les épaules pour. C'est juste que tes quatre heures par nuit commencent à vraiment piquer, tout comme le manque de nourriture évident. Tout redescends. Simplement. C'était loin d'être finie, mais au moins, cette partie qui t'avait pris des mois de recherches et de travail intensif était finie.  Seul avantage, tu pourrais sans doute mieux dormir ce soir – et prendre ton putain de bain.


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
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▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

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That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Ven 22 Avr - 4:25




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“no longing for the moonlight, no longing for the sun, no longer will I curse the bad I've done. f there's a time when the feelings gone, I wanna feel it. you can holler, you can wail. you can blow what's left of my right mind. you can swing, you can flail. but I'll never give you up. if I ever give you up, my heart will surely fail. you can blow what's left of my right mind.” (future starts slowthe kills)

writing music: future starts slow ▴ the kills
notes:  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  1235984971

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY

Orson Krennic est fier de Shara Bey. Réellement. Sincèrement. Ce n’est pas quelque chose qui est donné à tout le monde de faire sa fierté, lui, qui argue constamment être entouré d’incapables et de débutants. Shara Bey… Il reconnaît sincèrement ses compétences, tout comme ses capacités intelligentes hors du commun. La protégée de Galen Erso. Il l’a façonnée à son image, elle est d’une vivacité d’esprit imparable et d’un courage inestimable. Orson Krennic apprécie sincèrement Shara Bey. Voilà pourquoi entendre des mensonges de sa jolie bouche, constater qu’elle refuse d’admettre ce qui semble si évident entre eux est source d’agacement pour lui. Orson Krennic se moque bien des personnes qui l’entourent, c’est un putain d’égoïste. Son cœur est glacé, meurtrissant toutes les personnes qui l’entourent, faisant la fierté de la noirceur de son âme. Les ténèbres d’Orson Krennic ne laissent absolument rien au hasard. Galen Erso est mort par sa faute, sous le coup de l’un de ses innombrables caprices. Ce dont Galen Erso est coupable est tout simplement d’avoir découvert le véritable visage de son vieil ami, que tous ces idéaux de paix galactique n’étaient que des mensonges. Tout ce que l’Empire et tout ce qu’Orson Krennic veulent n’est absolument pas la paix dans la galaxie, mais bien l’asservissement de tous les peuples, de toutes les races, la destruction partielle ou totale de toutes les planètes qui refusant de courber l’échine au règne dictatorial de l’Empereur Palpatine. Une paix, certes, une paix artificielle. Plus qu’une paix. Un règne de terreur. Un règne qu’Orson Krennic attend avec une impatience presque fébrile. Et voilà que Shara Bey débarque dans son existence morne et terne, et voilà que Shara Bey semble même partager ses idéaux de grandeur et de suprématie. Shara Bey veut le rendre fier, elle veut l’aider à se hisser jusqu’au sommet de la haute administration impériale, elle veut concrétiser le projet Death Star autant que lui. Elle est absolument tout ce que Galen Erso n’était malheureusement pas assez à son goût. Elle ne veut surtout pas lire la déception dans l’océan de ses pupilles, cherchant simplement à combler ses attentes disproportionnées. Shara Bey est bien le meilleur élément de toutes ses équipes scientifiques, et cela n’a rien à voir avec cette attirance irréfutable qui l’obsède de mois en mois. C’est pourquoi, lorsqu’elle nie toute connaissance de ces fameuses rumeurs, Krennic est contrarié et étrangement amer. Il espérait qu’elle lui dirait oui, et pourquoi pas, qu’elle lui dirait même qu’elle fantasmait sur eux autant que lui. Parce que lui, lui, fantasme fortement sur elle. Ses rêveries nocturnes prennent toujours l’apparence de scènes torrides, qui s’impriment dans chaque recoin de son esprit pendant de longues heures au réveil. Le poids des désirs comprimé en lui est presque asphyxiant. Ses pensées vagabondent souvent à la nuit tombée, vers ce qu’il imagine du corps de Shara. Ses hanches fines, ses courbes rebondies, son visage harmonieux, ses yeux chocolat, son parfum. L’odeur de ses cheveux, de son shampooing fruité reste imprégné dans ses pensées, comme le symbole d’une certaine pureté dans l’expression de ses sentiments. Il imagine les frissons qui parcourraient son corps au contact de ses doigts nus, enfn débarrassés de ses gants. Il imagine aussi la douceur de sa peau sous ses baisers, la chaleur de son corps sous le poids du sien au-dessus d’elle. Mais dans tous les rêves qu’il a pu faire d’elle, dans toutes les pensées obscènes qui l’ont assiégé en pleine journée, c’est toujours lui qui amorce quelque chose entre eux. C’est toujours lui, en position de dominant, de tentateur, de décideur. Orson Krennic est un putain de maniaque du contrôle. Parfois, il lui arrive de se demander ce qu’il lui arriverait si ce n’était plus le cas, s’il perdait tout, ou bien si quelqu’un se mettait au-dessus. L’apocalypse, sans doute. Krennic est probablement légèrement, même complètement, obsédé par sa responsable des opérations. Les rumeurs qui circulent dans les couloirs lui conviennent, en réalité, puisqu’il s’imagine qu’il sera bien plus facile pour elle de céder à ses désirs en étant déjà plus ou moins convaincue que tout le monde les pense amants. Entre le fantasme et la réalité, il n’y a toujours qu’un pas. Orson Krennic n’est pourtant pas certain de vouloir le franchir maintenant, elle est si consciencieuse et dévouée à son travail. C’est un risque, celui d’être repoussé et blessé dans son égo surdimensionné en cas de non-réciprocité, mais surtout de perdre la dynamique merveilleuse qu’ils ont ensemble sur le plan professionnel. Son projet est important, plus important que tout au monde. Orson cherche à se convaincre qu’il n’a besoin de rien d’autre, même si son visage lui apparaît toujours dans un tourbillon de cheveux bruns. Orson Krennic a toujours été l’ami obsessionnel ou le supérieur tyrannique, et jusqu’à la fin, ses obsessions auront raison de ses capacités de réflexion. « Je ne vois pas de quelles rumeurs vous parlez. » Elle nie. Elle ose lui nier quelque chose d’irréfutable. C’est même le plus gros mensonge de l’année. Comme si Shara Bey ignorait ce que les gens disaient sur elle. Comme si elle n'avait jamais entendu parler de ces échos obscènes. Avant même que tout le monde s’en aille, les sous-entendus ont fusés et les mots d’une rare violence aussi. Krennic a entendu ces murmures, sans pour autant leur accorder plus d’attention qu’ils ne le méritent. Elle les a forcément entendus aussi, contrairement à tout ce qu’elle essaie de lui faire croire.  « Si elle est encore là demain, on saura tous pourquoi. » Ces mots se répètent encore maintenant dans son esprit. Tout le monde saura pourquoi. Écœurant. Ce ne sont que des médisances, des jalousies cruelles d’hommes sexistes qui se sentent clairement en situation d’infériorité devant elle. Shara Bey ne doit pas rougir de sa place, elle est simplement la meilleure. Elle est la meilleure aux yeux d’Orson Krennic. C’est un fin observateur, il a eu le loisir de remarquer la légère teinte cramoisie colorant les joues pâles de Shara Bey en prononçant ces derniers mensonges. Il s’est même délecté de cette seconde d’inattention, de vulnérabilité. Un malaise évident, probablement dû à ses sous-entendus. Il a adoré lire la gêne dans ses yeux, la honte sur son visage. Sans doute qu’à l’instant même où il a évoqué ces rumeurs, l’esprit de la jeune femme s’est vagabondé vers des pensées peu chastes. Parce que c’est ce qu’il a lui-même fait en soufflant ces quelques mots. Ces rumeurs s’illustrent merveilleusement bien dans son esprit. Et dans le sien ? C’est un premier pas, pour lui. C’est peut-être même finalement la preuve qu’il recherche. Un signe que tout n’est pas que dans sa tête. Un signe qu’elle aussi, elle est troublée par ces rumeurs, par la situation, par l’idée même d’un rapprochement physique entre eux. Si elle est troublée, c’est qu’il y a probablement quelque chose à creuser. Chaque coin de ses lèvres se retrousse en un sourire narquois. Krennic ne retient pas un léger ricanement, mais s’abstient de faire le moindre commentaire. Pas maintenant. Plus tard. Très bien. Si elle ignore de quelles rumeurs il veut bien parler, il compte aller dans son sens. Ils joueront ensemble une énième pirouette de déni. Ils joueront cette mascarade, même si cela lui coûte beaucoup d’ignorer le fond de ses pensées ou de ses désirs sur la question. Orson a l’impression d’évoluer avec les yeux bandés, ignorant si ses marques d’affection étranges ou ses traitements sont bien accueillis chez elle. Il a envie de croire qu’elle n’est pas aussi indifférente à ses charmes qu’elle ne semble l’être. Elle ne peut qu’avoir envie de lui, après tout, n’est-il pas le célèbre directeur Orson Krennic, un modèle, une véritable personnalité dans l’Empire ? Son égo n’encaisserait très certainement pas le choc.  

Il conserve une expression placide lorsqu’elle se perd dans ses balbutiements, apparemment prise au dépourvu. « Je vous demande simplement de ne pas me mentir. » dit-il un peu plus froidement qu’il ne veut le laisser paraître. « S’il y a bien une chose que je ne supporte pas, c’est que l’on défende l’incompétence. Si l’un des membres de votre équipe est responsable de cette erreur, donnez-moi son nom immédiatement. » Son nom, afin qu’il soit démis de ses fonctions, si ce n’est pire. Il commence à s’impatienter clairement. Ses doigts se referment dans ses poings, même s’il essaie de ne rien laisser paraître devant elle, son timbre de voix monte brusquement d’un ton. Orson est prêt à en découdre personnellement avec celui qui lui a fait perdre son temps. On lui a fait miroiter une avancée majeure dans le projet de la super-arme. Son projet. Le projet de toute une vie. Elle protège quelqu’un ou elle est l’objet d’un complot, c’est forcément l’une de ces hypothèses. Krennic pense intérieurement pour la seconde option, mais garde ses observations secrètes. Elle bafouille comme une enfant, et cela a presque le don de l’atteindre. De l’atteindre autrement qu’avec condescendance et colère, de l’atteindre en profondeur, dans ce qui lui reste de ses parts d’humanité. Il déteste les pleurnicheries, les lamentations, les protestations ou les excuses. Il dit toujours que les excuses sont des putains de prétextes pour déguiser une incompétence en une supposée erreur humaine. C’est même quelque chose qui le met dans un état de fureur, un de ces états qui est capable de le faire vriller en une fraction de seconde. Elle ne comprend pas. C’est le manque de sommeil. Tant de phrases qu’il a maintes fois entendu de la part de ses subalternes. Mais voilà, cette fois, il a bien envie d’y croire. Il a envie d’y croire parce que c’est elle et personne d’autre. Krennic ignore pourquoi est-ce qu’il s’efforce à conserver un semblant de calme devant elle, alors qu’elle l’assiège d’excuses et justifications médiocres. Une petite voix chuchote cruellement dans sa tête : Tu la veux, voilà tout. Krennic est amer. C’est une faiblesse qu’il refuse de laisser passer, un manque à combler qu’il refuse de remplir. Orson Krennic ne désire aucune âme en ce monde. Orson Krennic n’a besoin de personne. Comme si le fait de la désirer changeait brutalement tout. Comme si tous ces détails qui l’agaçaient tant chez les autres, chez ses subalternes, chez ces incompétents devenaient presque attrayants lorsqu’elle le faisait. Touchants. Oui, c’est bien le mot. Krennic trouve le comportement de la jeune femme excessivement touchant. Shara Bey est une femme forte, mais elle révèle devant lui sa part de vulnérabilité. Elle explose, se montre indécise. Et loin d’en être horrifié, il en est attiré. Toutes ces fragilités ne font que le plonger dans ses sentiments si tourmentés et confus. Toutes ces facettes ne font que le faire la désirer encore plus fortement, plus durement et plus obsessionnellement. Il imagine ses lèvres écrasées sur les siennes, cherchant à capturer plus de fébrilité, à s’emparer de toute parcelle d’innocence. Orson imagine la briser entre ses doigts, se noyer dans son âme jusqu’à mourir dans ses bras. Krennic se contente de l’observer silencieusement sous ses cils, avec une certaine suffisance. Elle se tortille devant lui comme une brebis apeurée, apparemment effrayée de ses réactions, mais surtout de son jugement. Sans doute attend-elle qu’il décide de la sanction appropriée, que le couperet tombe, qu’il tire le rideau de la scène. Cela le fait hausser un sourcil, trahissant son incrédulité. « Je ne comprends pas… » souffle-t-il sans interrompre le contact visuel. Ses yeux glaciers sont durs, mais une étrange lueur scintille en leur fond. Son rythme cardiaque est lent, tranquille. Sa poitrine ne se soulève plus furieusement, elle se distingue difficilement si on n’y prête pas attention, sa respiration est si basse. Les battements de son cœur sont maintenant calmes. Krennic semble avoir retrouvé une certaine sérénité, après le haussement de voix de tout à l’heure. Lorsqu’enfin, quelque chose semble se passer entre eux, Krennic s’engouffre dans la faille. Elle s’inquiète du fait qu’une âme mal intentionnée puisse saboter son travail. Krennic se fond en un soupir. « Comme je vous l’aie quelques minutes plus tôt… Vous déchaînez les passions autour de vous. » Et pas seulement les médisances ou les moqueries. Toutes les passions, y compris les siennes. Elle ne fait pourtant rien pour cela, elle se comporte toujours d’une manière professionnelle et ses tenues sont classes et élégantes. Elle n’est pas responsable. Elle incarne juste la perfection esthétique et intellectuelle à ses yeux. « Le prix du génie se paie généralement au centuple. » précise-t-il doucement, en se refusant de baisser le regard ou d’éloigner sa main de son oreille. Elle créé entre eux une bulle d’intimité qu’il se sent incapable de rompre. Il refuse de quitter cette bulle, ce moment suspendu dans le temps, ce moment de pure sincérité et de compréhension mutuelle. Comme une connexion spirituelle. Une seconde douce, légère et débarrassée de leurs masques réciproques, dans ce silence de plomb. Une seconde où il n’est plus le directeur Krennic et elle sa responsable scientifique. Une seconde où ils se retrouvent comme emportés dans un tourbillon de chaleur. Ses yeux expriment quelques instants toute la force de ses émotions. Elle est jeune, encore si jeune et son avenir dans l’Empire est plus que prometteur. Elle lui rappelle la fougue qu’il a lui-même déployée en commençant à franchir les échelons de l’administration. Shara Bey a bien raison de s’inquiéter pour son futur. Elle est perfectionniste et ambitieuse. Krennic raffole de son tempérament, aussi précis qu’une scie chirurgicale, tranchant dans les obstacles comme dans du beurre. Elle se laisse portée par ses ambitions et c’est de cette manière-là qu’elle s’illustrera dans l’histoire de la galaxie, tout comme lui. Ces spécificités font qu’elle est unique et parfaitement moulée pour lui, il prend alors conscience que leurs similitudes achèvent ses derniers scrupules. Il la veut, ici et maintenant : à son service, dans son équipe, et bien au-delà, une fois qu’il se sera hissé à un poste encore plus prestigieux. Son ascension ne s’arrêtera jamais. Moff. Grand Moff. Proche conseiller de l’Empereur. Krennic compte aller le plus loin possible et la faire aller tout aussi loin. Il la portera vers les portes de la gloire, en même temps que lui. Ensemble, ils pourraient réaliser de grandes choses. Ensemble, ils pourraient changer la face de la galaxie entière. Il compte l’emmener avec lui, le plus loin et le plus haut possible. Lorsqu’elle s’étend à quelques confidences sur son travail en arguant avoir vérifié le code quelques semaines auparavant, Orson ne peut masquer son ravissement. Il étouffe un léger rire, loin d’être moqueur, ému. « Si vous êtes certaine de votre travail, ne tremblez pas en l’affirmant devant moi. Vous ne serez pas sanctionnée pour votre perfectionnisme. » Un sourire sincère décore ensuite ses lèvres, faisant lever les petites rides en leur coin. Elle prouve une fois encore son perfectionnisme, mais sait-elle au moins qu’il en est complètement fou ? Krennic lui prodigue un conseil, elle est maligne mais tellement gentille. Beaucoup trop gentille, c’est ce qui la perdra. Elle est fragile. Comme une biche. Elle donne envie qu’on la protège, qu’on la guide, qu’on la conforte dans son intelligence, mais surtout qu’on l’encourage à asseoir son autorité devant le reste de son équipe. Krennic se sent généreux, suffisamment pour être cette personne-là. Une part de lui espère pouvoir être cette personne-là pour elle. « Vos inquiétudes sont infondées en ce qui vous concerne, je suis confiant quant à vos compétences. Vous ne devez pas votre place au fruit du hasard. Vous êtes une travailleuse acharnée. Vous méritez votre place dans cette station bien plus que n’importe qui d’autre. » Qu’elle en profite, ce ne sont pas des paroles en l’air. Ce ne sont pas des compliments creux ou qui n’ont pas de sens pour Orson Krennic. Il pèse même chacun de ses mots avec soin, ne pouvant dissimuler toute la fierté qu’elle lui inspire. Une certaine assurance s’échappe de sa voix, alors que la bulle entre eux commence à éclater. Ce sont des compliments que très peu de personnes peuvent se vanter d’avoir reçus de sa part. Orson est d’une exigence maniaque avec tous les membres de son équipe scientifique ou militaire. Il attache une importance presque compulsive à cet idéal de perfection, que lui seul est apte à définir.

« Voyons voir… » Krennic et sa responsable se tiennent devant l’écran gigantesque qui recouvre l’un des pans des murs du laboratoire scientifique. Les lignes de codes apparaissent, au rythme du doigté de Shara Bay depuis son précieux datapad. De temps à autres, il jette des coups d’œil furtifs à ses faits et gestes, dans l’attente d’une explication qui tienne la route. Les yeux bleus d’Orson scrutent chaque ligne en essayant de trouver le morceau de code qui pose une réelle difficulté. Enfin, Shara Bey s’exclame cette phrase si prévisible, et rassurante à la fois. « Quelqu’un a bien saboté mon code. » Krennic est loin d’être surpris par l’hypothèse du complot, c’est même ce qu’il a secrètement pensé ces dix minutes. Orson soupire, en réalisant que les égos des uns empiètent cruellement sur ses intérêts personnels. Ce n’est pas surprenant que la Death Star prenne autant de retard avec cette mauvaise cohésion dans l’équipe. Les égos des uns paralysent les efforts des autres, ce qui se répercute sur sa propre réputation. Krennic ne peut l’accepter. Il pense vaguement à opérer un véritable ménage dans ses équipes scientifiques d’ici peu de temps. Il marche ? Ça y est, il marche ? Les pensées de Krennic se précipitent vers cet espoir, emportées dans un tourbillon d’agitation. « Il marche, donc ? » souffle-t-il avec une excitation fébrile. Ce code marche. L’impérial est bouffi d’orgueil, dire que tout cela est possible grâce à son équipe, à ses choix stratégiques, mais surtout… grâce à elle. « Nous vérifierons les caméras de sécurité de l’intérieur du laboratoire pour le confirmer, mais il est évident qu’il recherche votre démission. » Krennic ne dissimule pas ses frustrations devant elle. Il est agacé, même fou d’apprendre que l’un des membres de son équipe est capable d’une pareille chose. Une trahison, à ses yeux. Ni plus ni moins. Une trahison qui méritera une sanction à la hauteur de son énervement. Krennic souffle furieusement, sa poitrine se soulevant dangereusement dans sa poitrine. Il vient éloigner les pans de sa cape pour dégager ses mains pour mieux les croiser. Ses lèvres sont pincées dans une moue sévère. « Que l’on mette en cause l’avancée de mon projet, tout simplement pour des conflits d’égo est simplement inadmissible. C’est un comportement que je ne peux tolérer dans mes équipes. » Krennic est contrarié par l’imprudence du responsable adjoint de son équipe scientifique. Il s’éloigne brusquement de Shara, non sans un dernier regard vers cet imposant écran mural plein de lignes de codes. Krennic est agité. Cet imbécile de responsable adjoint lui donne des envies de meurtre. Comment peut-on être stupide pour agir de la sorte ? Krennic grogne, obsédé par les imprudences de ses subalternes. Cet homme vient de lui faire perdre des heures précieuses et cruciales. Cet homme a voulu compromettre le succès de leurs travaux, ou plutôt, de ses travaux. Il est comme un rouage mal huilé dans une machine parfaitement pensée. Comment peut-on un seul instant compromettre son nom et ses projets pour une simple rivalité sexiste ? Krennic marque une pause, hésitant à poursuivre sur d’autres confidences, mais le regard soulagé et à la fois peiné de la jeune femme lui rend étrangement plus audacieux. « Il m’a déjà fait des allusions à votre sujet, auxquelles je n’ai jamais prêté attention. Ce qui est une preuve supplémentaire de son incompétence. Lorsqu’on est réellement brillant, mademoiselle Bey, on ne perd pas son temps à reprocher aux autres ce que l’on est incapable de faire soi-même. » Les bruits de couloir, les rivalités, et les jalousies des uns et des autres l’indiffèrent profondément. Orson n’est intéressé que par la réussite de ses projets. Shara Bey est la clé de sa super-arme de destruction massive. « Ne vous inquiétez pas. Il sera immédiatement démis de ses fonctions et je m’entretiendrais personnellement avec votre équipe pour que plus jamais une erreur comme celle-ci ne se reproduise sous mon commandement. » Autrement dit, Orson allait crier et hurler et donner des coups sur la table. Il allait en prendre un pour taper sur l’autre. Il allait se fondre dans une explosion et leur donner de vraies raisons d’être traumatisés. « Nous ne pouvons compromettre une seconde de plus la construction de la Death Star. Ce projet est d’une importance capitale aux yeux de l’Empereur. » Mais surtout des siens.

Krennic est si aborbé par son propre énervement, qu’il ne se rend pas compte que la tension entre eux semble redescendre d’un coup. Il est préoccupé par le son de ses pans, alors qu’il marche sans but dans le laboratoire, tout en maugréant intérieurement contre ces incompétents. Il est si absorbé par lui-même, qu’il met quelques secondes à remarquer que sa responsable s’est laissé retomber sur une chaise, non loin de là, apparemment en détresse nerveuse. « Mademoiselle Bey. » dit-il en s’approchant d’elle à pas feutrés, avant de poser son flanc contre le bord du bureau qui se trouve devant la scientifique. Orson l’observe silencieusement, alors qu’une nouvelle bulle se forme tout autour d’eux. Une bulle d’intimité et de respect. Elle éclate de rire, il sait que c’est nerveux. Ses rires se fondent ensuite en sanglots discrets, mais pas suffisamment pour que cela passe inaperçu. Pas devant lui. Orson fait attention aux détails, rien ne lui échappe. « Regardez-moi. » sa voix est calme, apaisante, mais on ressent toutefois une pointe d’autoritarisme dans le fond. Orson prend son menton entre deux doigts, l’index et le pouce, ces mêmes longs doigts gantés d’un très beau cuir noir. En un éclair, il réalise toute l’ampleur de son stress et de la pression qu’il a laissé reposer sur ses épaules. Ses exigences folles, ses caprices, ses désirs de perfection sont si puissants qu’ils balaient les esprits de tous ses subalternes. Elle est compétente, mais elle craque maintenant, sous ses yeux. Il ignore réellement quoi faire ou quoi dire. Elle est d’un côté si discrète en essayant vainement de dissimuler ses sanglots ou ses reniflements, pour ne pas l’accommoder. Orson sait qu’elle ne veut pas l’importuner, sans doute pense-t-elle qu’il est capable de crier pour une telle effusion de sentiments. Sans doute l’aurait-il fait. Mais pas maintenant. « Vous étiez la protégée de Galen Erso, sa meilleure étudiante, vous ne pouviez pas me décevoir. » murmure-t-il doucement. « Galen avait l’œil. Il vous a trouvé et il vous a recommandé à moi en sachant que vous me conviendriez parfaitement. Que vous conviendriez au projet. » Ces derniers mots, il les lui murmura à l’oreille en se penchant. Ses propos sont clairement mués par autre chose qu’une simple reconnaissance professionnelle. Elle lui convient sur tous les plans et elle n’imagine pas encore à quel point.  « Vous pouvez m’opposer une contradiction, sauf lorsqu’elle est aussi grotesque que celle d’aujourd’hui. Je ferme les yeux une fois mais pas deux, n’abusez pas de ma générosité. » Sa main caresse lentement le haut de son épaule, tandis que l’autre fait lever son visage vers le sien. Quelques millimètres seulement les séparent. Orson respire les effluves de son parfum, boisé et féminin. Elle sent tellement bon qu’il pourrait s’intoxiquer pendant des heures. « Les gens sont cruels. C’est la nature humaine. Nous vivons dans un monde cruel, voilà pourquoi nous devons terminer ce projet pour assurer le maintien de l’ordre et de la discipline dans toute la galaxie. » Maintenir l’ordre et la discipline. On passe de la paix au maintien de l’ordre et de la discipline. Orson Krennic confond sans sourciller la paix et la terreur, mais elle partage ses opinions et ses convictions sur la question, alors il ne lui cache rien, ce n’est pas comme avec Galen, qui lui s’est montré beaucoup trop sensible. Shara est… plus sauvage, mais elle est surtout en raccord avec ses idéaux de grandeur. Elle comprend, elle. Elle comprend que c’est un mal nécessaire. « Les femmes ont une place de moindre importance dans la société impériale. Vous devez vous préparer à ce que l’on vienne saboter vos travaux, encore une fois, et mettre en péril votre dignité. » Les mots de Krennic sont durs, mais ils reflètent la réalité. Il marque une pause, tout en jaugeant son interlocutrice de haut en bas. Orson guette ses réactions à la manière d’un laser de droïde. Il relâche ses doigts, non sans regrets, de son menton en la gratifiant d’une brève caresse. Il devine que sa peau doit être incroyablement douce sans le cuir de ses gants, l’envie de les enlever effleure son esprit quelques secondes. « Sous mes ordres, le moindre mal vous sera fait. Croyez-moi, mademoiselle Bey. Je désapprouve ces comportements. Tout ce qui m’importe, c’est ce que vous pouvez faire pour moi. » Orson la couve d’un regard plein de sagesse, tout en s’éloignant d’elle, avant de poursuivre en se voulant paternaliste : « Nous savons que nous sommes des cibles faciles, ma chère, parce que nous sommes doués d’une intelligence qu’ils envient jusqu'au plus profond de leur chair. Nous sommes voués à réaliser de grandes choses au nom de la cause impériale. Pour cela, il y a toujours un prix à payer. » Ce prix est malheureusement celui de la solitude. Krennic a bien remarqué que Shara n’avait pas vraiment d’amis ou d’amants. Lui-même en est dépourvu. On ne peut être sur tous les fronts. Il n’avait jamais ressenti de manque avant de l’avoir rencontrée. « Je ne devrais pas vous traiter différemment. J’ai sans doute inconsciemment contribué à ce qu’il s’est passé. Vous êtes simplement mon meilleur élément. » Mensonges, tout était calculé. Il a pris plaisir à contribuer à ces rumeurs en lui montrant qu’elle était différente par rapport aux autres. Elle l’est. Non par rapport à son sexe, mais parce qu’elle est plus compétente et qu’elle attire son œil alors que cela ne lui est pas arrivé depuis des décennies. Elle l’est à ses yeux, alors elle doit l’être pour tout le monde. « Vous auriez préféré que je hurle sur vous en public ? Shara, dites-moi comment vous auriez voulu que les choses se passent entre nous. » Shara. C’est la première fois qu’il l’appelle par son prénom. Il prend un certain plaisir à prononcer ces quelques syllabes, c’est un prénom très agréable en bouche. Féminin et puissant. Orson ne s’en lasse pas. Ce qu’il regrette toutefois, c’est qu’il ne peut le répéter sous peine de lever le voile sur ses intentions. Entre nous. Ces deux mots résument tous les sous-entendus discrètement insérés, ici et là, dans ses tirades.

« Vous m’avez l’air tendue. »
fait-il remarquer. Orson n’est pas doué pour réconforter les autres, la seule chose qu’il lui vient à l’esprit est évidente et décadente. De l’alcool. « Ahhh… J’ai ce dont vous avez besoin. » Orson soupire lascivement, ses lèvres se retroussant en un petit rictus. « Fêtons le fruit de vos efforts autour d'un verre, voulez-vous ? » En parlant, Krennic rejette les pans de sa cape en arrière, de part et d’autre de son corps, qui est toujours négligemment appuyé contre le meuble face à elle. « Je doute que vous ayez une bouteille d'alcool dans vos tiroirs. » Quelque chose s’éclaire sur son visage, une lueur de lucidité dans le bleu de ses yeux, et ses rides se lissent même sous l’effet de surprise. Orson se trouve brillant. Il détourne le regard de son interlocutrice quelques instants en faisant mine de chercher quelque chose dans la pièce. Puis, il reporte son attention pleine et entière sur elle, plantant ses deux orbes dans les siens avec intensité. Si un regard pouvait déshabiller, elle serait déjà intégralement nue devant lui. « Je vous aurais bien proposé un verre dans mes appartements, mais je ne souhaite pas empirer votre situation. À moins que… » Orson s’interrompt, perplexe. « Puisque vous dites qu’il n’y a aucune rumeur entre nous, et que tout est parfaitement normal, accompagnez-moi. J’ai de très bons alcools. Nous discuterons plus tranquillement, sans interruption. En toute discrétion, bien entendu. Loin de moi l’envie de propager des rumeurs sur nos échanges professionnels. Non pas qu’il y en ait déjà. » C’est une manière comme une autre de rejeter la responsabilité de cette décision sur elle.  Puisqu’il y en a déjà, qu’elle le rejoigne dans ses appartements ou non ce soir, cela ne changera absolument rien. Qu’ils discutent pendant des heures dans ce laboratoire n’améliorera rien. Qu’ils trinquent ensemble, ici ou dans ses appartements ne risquera pas de changer quoi que ce soit non plus. Orson s’en amuse, bien conscient des rumeurs qu’elle s’efforce autant de nier. Il n’a prononcé aucun mot en attendant le moment fatidique où il pourrait revenir sur le sujet. Il désire lui donner envie d’aller dans ses appartements. Il ne peut pas l’y contraindre, alors il espère sincèrement qu’elle acceptera cette sorte « d’after-work » déguisé. Ce qu’il a observé tout à l’heure, ce sont les caméras dissimulées dans le laboratoire, et c’est apparemment quelque chose qui le met mal à l’aise. Il n’ose se montrer trop tactile avec elle en ne sachant pas encore comment se positionner, et surtout, si elle serait prête à ce que les rumeurs se confirment. Lui laisser la potentialité d’une réunion secrète, dans ses appartements, pour discuter entre autres choses qu’il ne verbalise pas encore pour le moment, est en quelque sorte sa porte de sortie. Au bout de quelques secondes, Orson s’aperçoit de la gêne apparente de son interlocutrice. Un sourire s’installe progressivement sur ses lèvres. Narquois. Elle a voulu lui mentir, et il a accepté de jouer à son jeu. Il espère la contraindre à dévoiler ses pensées sur la question. « Vous avez travaillé durement sur ce code, et j'en suis satisfait, vous devriez relâcher un peu toutes ces tensions. » dit-il en penchant sa tête sur le côté, sans quitter son interlocutrice des yeux une seule seconde. Cette contemplation est pour lui un moment de paix dans une journée aussi chaotique. Bien évidemment ce qu’il vient de dire est déplacé compte tenu des rumeurs. Soi-disant, elle n’est au courant de rien. Cela ne peut donc lui causer du tort, puisqu’elle n’est supposément au courant de rien, et que rien ne se dit dans les couloirs. Orson sourit un peu plus à cette pensée.

FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Ven 22 Avr - 12:56


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.

La pression n'est pas toujours facile à gérer, et autant dire que les montagnes russes que tu viens de vivre n'aident pas. Ton petit corps est tendu, de la pointe des pieds jusqu'à la tête et cette crise si soudaine de larmes est dû à ça. Des heures de sommeil perdue, des sacrifices constants pour cette équipe qui ne semble vouloir que tes fonctions finissent par t'être arrachée si subtilement. C'est difficile à accepter quand on sacrifie littéralement tout pour son équipe, car la plupart ont une vie à côté, une famille à gérer, alors toi, t'as toujours été concilliante. Tu sacrifies ton propre temps personnel pour faire des heures en plus quand c'est nécessaire sans que ton équipe soit impactée. Parce que de toute manière, tu n'as rien chez toi, outre des livres. Mais personne ne t'attend, ne se réjouit de te voir rentrer, tu parles aux murs. Donc autant rendre se temps utile. Mais à force de ne jamais poser pieds à terre, on fini par, tel Icare, se brûler les ailes. Et des vacances tu en aurais bien besoin, mais qu'on s'le dise : tu es tellement indispensable à ce sujet que tu ne pourrais pas te reposer en songeant au fait que quelqu'un d'autre dirige les opérations et pourrait potentiellement tout faire foirer. Et t'as l'air pathétique, tu te sens pathétique. Tout semble partir en vrille autour de toi, outre ce projet qui est ton seul moteur quotidien. Même si tu es probablement trop naïve pour croire en la réelle motivation derrière, il n'empêche que tu restes une utopiste, pensant que cette paix finira par revenir d'une manière ou d'une autre. Il te faut une vraie nuit de sommeil, quelque chose qui te permettra d'enfin lever le pieds, mais tu sais, tu sens que dans tout les cas, même si tu réussis à te reposer c'est pas juste une nuit qu'il te faut, c'est tellement plus. Tu fantasmes tellement ton lit de temps en temps que s'en est presque indécent, et c'est pour cette raison que tu carbures à la cafeïne au point que ta collections de mug est particulièrement impressionnante. Le simple fait qu'on t'en offre pour ton anniversaire ou toute autre chose te fait toujours terriblement plaisir puisque dans l'fond, tu les utilises tellement.

Tu voulais avoir l'air discrète et probablement que tu l'es, et n'importe qui aurait été totalement indifférent à la situation, mais par Orson Krennic, alors quand il te demande de le regarder, tu redresses tes petits yeux embrumé vers lui. Ca t'rends un peu mal à l'aise, car encore une fois, une de tes faiblesses est probablement cette anxiété qui ronge ton quotidien. Galen l'avait bien compris et il avait toujours été une figure paternelle pour toi. Il avait toujours trouvé un moyen de calmer cette anxiété, trouvant les mots juste mais il avait été clair sur le comportement à adopter. Ses mots, à cet instant même, raisonnent dans ton crâne. Ta sensibilité est une arme Shara, et c'est ce qui fait ta force. Mais aussi sensible sois-tu, ne verses jamais une seule larme. Car ils trouveront le moyen de détourner cette force et de te faire croire que c'est une faiblesse. T'avais toujours réussi à appliquer ce conseil, t'éclipsant si besoin était pour piquer une crise de larmes dans les toilettes et en ressortir, toute pimpante, mais là, t'arrivait pas, là, tu craquais. Pourtant, à ta grande surprise, ce n'est pas des reproches, mais bien des mots plus ou moins encourageant qui sortent de la bouche du Directeur. Tu l'observes, de tes petits yeux tandis qu'il s'approche même pour venir murmurer. Cette bulle se recréer là, tout de suite, dans l'immédiat, et autant qu'elle t'apporte une chaleur réconfortante. Ton visage proche du sien, tu es assez proche pour que son parfum viennent prendre ton odorat en otage. Et forcément, qu'il insiste sur ce projet. Toi, tu te contentes juste d'le regarder silencieuse, captivée par ses prunelles et tu acquisces d'un simple petit signe de tête, comme une demoiselle qui est prise sous un charme inconnu. – Vous connaissez mon désir de terminer ce projet Directeur. Vous savez très bien que je ne vos laisserais pas tomber, qu'importe le temps que celui-ci prends à être finalisé. Et c'était véridique. Si tu devais passer la moitié de ta vie à le concrétiser, alors qu'il en soit ainsi. Si tu devais sacrifier encore un nombre incalculable d'heure de sommeil, tant pis. Tu dormiras quand tu seras morte.

Et tu continues de l'écouter, sans vraiment savoir, sans vraiment savoir quoi dire. Tout c'qu'il te dit, Galen te l'avait dit.Tu l'sais, mais ça reste difficile pour quelqu'un comme toi qui aime, tout simplement. Qui aime la compagnie d'autruis, qui aime l'amour et toute ces choses. La solitude, tu la vis mal, tellement mal, trop mal mais tu t'accroches à tes objectifs, tu t'accroches à cette carrière car dans tout les cas, c'est tout ce qui compte. Et pourtant, évidemment que pour une personne comme toi, vivre l'humiliation aurait été insupportable. – Non. Merci d'avoir gérer ça comme vous l'avez fait. Tu avoues toujours d'un petit air plein de malaise, baissant de nouveau les yeux. Puis tu remarques que tu ne sais pas quand est la dernière fois que tu as entendu ton prénom. Parce qu'entre cette solitude constante et tes responsabilités, ton nom ressortait principalement, mais ton prénom ? Personne ne l'employait et ça te manquait un peu. Par contre, l'entendre de lui avait, non seulement quelque chose de réconfort et de mélodieux. Tu sais pas pourquoi, mais tu sens bien que ça te laisse pas entièrement indifférente. Qu'il ne te laisse pas indifférente du tout en fait.
D'ailleurs, comment aurais-tu aimer que les choses se passent entre vous de manière générale ? Entre vous. C'est une question que tu ne t'es jamais posé, pourtant, tu t'es déjà surprise à imaginer des choses qui ont tout sauf leur place. Des choses si intimes, si excitante cependant, tu remets ça souvent sur cette solitude et le manque de contact physique qui joue et le fait qu'il est le seul à s'adresser à toi avec ce respect là. Mais qu'on s'le dise, quand des fantaisies apparaissent dans ton esprit, t'es pas certaine que c'est de respect dont tu as envie.

Et la proposition suivante a le don de te prendre de cours. Tu l'observes, la surprise se lisant sur tes traits, comme certaine d'avoir mal compris. Pourtant, il a raison, tu as besoin de te détendre, ça devient urgent pour le bien être de ta santé mentale et tu hésites, un cours instant. L'hésitation se lit dans ton regard tandis que tu pèses la puissance de ses mots. Tu sens une petite pointe de sarcasme concernant cette histoire de rumeurs et tu continues de réfléchir. Un choix s'offre à toi. Soit tu acceptes la proposition et tu trouves un moyen de passer une vraie bonne soirée, soit tu refuses et tu la passeras sans doute à tenter d'éviter un énième burn out. La sécurité voudrait que tu choisisses l'option numéro une, mais même si tu prétends ne rien connaître sur ces rumeurs, tu sais très bien ce qui se dit. T'es pas stupide. Et ils l'ont dit eux même, si tu es là demain, c'est qu'ils sauront pourquoi. Ils sauront pourquoi. Ils t'imaginent probablement en train d'te faire sauter de la manière la moins classieuse qu'il soit, à simplement hurler son prénom tout en demandant encore et toujours plus. Etrangement, tu sais pas si ça te dérangerait vraiment. Non, en fait, ça ne te dérangerait absolument pas. Qu'on s'le dise : écarter les jambes est peut-être quelque chose dont tu as besoin et pendant un cours instant tu te demandes si tu n'accepterais pas juste pour combler une envie qui n'est pas constante mais qui arrive en fonction de tes étatsd d'âmes. Tu balaies la tête de gauche à droite, déjà car tu serais incapable de faire un premier pas au risque de pas supporter le rejet mais pire encore tu pourrais mettre en péril ta carrière. Dans ta tête, un non est définis et clair. – Okay. Wait, c'est pas ce que tu voulais dire. Pourtant, tu te retrouves incapable de décliner l'invitation. En fait, t'es comme plus vraiment en contrôle puisque tes yeux le regardent droit dans les yeux, presque pleine de défit, admettant indirectement que vous vouliez sans doute la même chose et que ce verre n'était qu'un prétexte pour être en parfaite intimité.
Ainsi, tu te lèves, laissant glisser les pans de cette blouse de scientifique sur tes épaules pour enfin quitter officiellement tes fonctions pour la soirée. Tu attrapes ta tasse que tu termines d'une traite avant d'essuyer les quelques larmes qui terminaient leur route après cette petite crise d'anxiété. Tu reposes celle-ci avant de simplement attraper ta veste. – Après tout, comme vous l'avez dis, il n'y a rien à craindre. Car que tu sois avec lui ou pas, demain le mot circulerait. Quelle surprise, cette pétasse est encore en fonction. Elle a dû le pomper à s'en déboiter la mâchoire pour s'assurer qu'elle ne perdrait pas son poste. Et ce, même si tu passais ta soirée seule. Débattre ne servirait à rien, car qui tenterais-tu de convaincre ? Eux ? Ou toi ? Te convaincre qu'il ne se passerait jamais rien alors que tu avais secrètement déjà mis ton supérieur directe en protagoniste de tes fantaisies nocturnes les plus intimes et honteuse. Alors oui, ceux en dessous parleraient sans aucun doute. Mais au dessus ? Ils s'en foutaient sans doute tant que leur projet avançait et tout le monde l'avait compris : sans toi ce projet n'avancerait probablement pas. Pas probablement. Il n'avancerait tout bonnement pas. Tu reviens mettre une mèche de cheveux derrière ton oreille avant d'éteindre toute les lumières des laboratoires. Dans tout les cas, à cette heure-ci il n'y avait plus personne. Pas un seul pour avoir ses yeux qui pourraient confirmer avoir vu les deux protagonistes rentrer ensemble. Rien. Donc tu te savais plus ou moins à l'abris, même si tu savais que demain, ta présence se ferait plus que remarquer.
Une partie de toi appréhendait un peu, parce que tu ne savais pas à quoi t'attendre, l'autre partie, justement, trouvant cet inconnu excitant et voulait immédiatement en savoir plus.


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

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That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Sam 23 Avr - 1:47




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“no longing for the moonlight, no longing for the sun, no longer will I curse the bad I've done. f there's a time when the feelings gone, I wanna feel it. you can holler, you can wail. you can blow what's left of my right mind. you can swing, you can flail. but I'll never give you up. if I ever give you up, my heart will surely fail. you can blow what's left of my right mind.” (future starts slowthe kills)

writing music: future starts slow ▴ the kills
notes:  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  1235984971

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY

Lorsque Shara Bey consent à rejoindre ses appartements, Orson Krennic est excessivement satisfait. Il s’exclame alors d’une voix forte et enthousiaste : « Vous me faites très plaisir, ma chère ! » Il se détache ensuite du meuble. Leur conversation reste en suspens sur ces fameuses rumeurs. Comme elle le clame, il n’y a rien à craindre. Cela l’amuse doucement de la laisser le croire, peut-être bien qu’elle s’en convaincra au bout d’un moment. Les rumeurs les rattraperont toujours et Orson Krennic les acceptent volontiers. Il aime beaucoup l’idée qu’elle lui soit acquise, sienne, et que tous et toutes en aient pleinement conscience. Si des rumeurs doivent parvenir à ses oreilles, ce n’est sans doute pas lui qui les balaiera du revers de la main, bien au contraire. En quittant le laboratoire de recherche, Krennic s’écarte poliment pour lui permettre de passer devant lui. « Après vous. » dit-il en lui offrant son plus beau sourire enjôleur. Krennic se comporte de manière très charmante avec elle, comme toujours. C’est avec des arrière-pensées en tête qu’il s’éloigne du laboratoire de Shara Bey. Personne dans les couloirs. Personne ne saura, mis à part en visionnant les extraits des caméras éparpillées ici et là dans le vaisseau, qu’ils sont sortis et sont allés dans les appartements du directeur. Orson Krennic déambule dans les couloirs déserts fièrement, tout en jetant de temps à autre un coup d’œil vers sa responsable scientifique. Shara Bey incarne un idéal d’innocence et de pureté qui lui donne fortement envie de la corrompre de toutes les manières physiquement réalisables. Une fois avoir traversé toute l’aile ouest, les deux impériaux se retrouvent devant deux larges portes coulissantes que Krennic fit ouvrir d’une simple pression de sa main contre un mécanisme d’identification d’empreinte digitale. Encore une fois, il s’écarte pour lui permettre d’entrer la première dans ses appartements. Spacieux, bien rangés, impersonnels. Beaucoup de livres, des étagères métalliques pleines de livres classés par ordre alphabétique et par année de parution. Des bibelots, des souvenirs luxueux achetés ici et là dans toute la galaxie au rythme de ses voyages diplomatiques et militaires. Beaucoup d’objets imposant un certain standing d’homme fortuné et puissant, mais pas énormément de choses personnelles. Les appartements du directeur Krennic sont bien agencés, ce qui n’est pas surprenant venant d’un architecte coupable de certaines maniaqueries. Ses quartiers sont comparables à un appartement comme on en trouve des luxueux à Coruscant City. Encore une fois, il n’y a rien d’étonnant à cela, en qualité de commandant de la Death Star, ses quartiers au sein de la station mobile de combat ne peuvent qu’être grandioses et ostentatoires, comme leur architecte. « J’ai personnellement travaillé sur l’agencement, les pièces du mobilier et la structure ces appartements. Je les aie moi-même designés. » se vante-t-il en refermant les portes derrière eux. « Ils vous plaisent ? » Krennic ne pose pas cette question au hasard, bien qu’elle soit étrange, il tient à s’assurer que ses appartements l’attirent. Il fantasme surtout sur le fait qu’elle puisse consentir à revenir dans ses quartiers de manière régulière, et non pas juste cette nuit. En sachant cela, sa question est pertinente, car effectivement, il espère qu’ils lui plairont suffisamment pour lui donner envie de les visiter de nouveau. Lentement, son regard se tourne vers l'une des portes au fond à droite donnant sur sa chambre. Le sourire qui apparaît presque immédiatement illustre bien la teneur de ses pensées.

Tout en marchant dans la pièce, il l’invite à le suivre en glissant sa main dans le bas de son dos afin de la conduire dans l'immense salon. Ses mains s’égarent quelques secondes sur la ligne de sa colonne vertébrale, dissimulée sous les étoffe. Discrètement et toujours dans le respect des règles de la décence. Pour l'instant. Krennic lui signifie gentiment son envie de proximité avec légèreté. « J’ai quelque chose à vous montrer. » dit-il en désignant une table installée dans la pénombre, pleine de feuilles immenses avec des dessins et des annotations. Des croquis. Pas n’importe quels croquis, ces croquis sont le fruit de son imagination d’architecte de génie. Shara Bey est une privilégiée. Peu de personnes rentrent dans ses appartements privés, et encore moins ont eu le plaisir d’avoir de ses futurs projets. Krennic allume les lumières en espérant apporter un autre éclairage sur cet ensemble de croquis et de feuilles pleines de calculs mathématiques griffonnés ici et là. « N’hésitez pas, regardez. » Krennic agite ses mains gantées afin de l’encourager à se pencher vers la table basse pour observer d’un peu plus près ses croquis. « Je travaille sur quelques améliorations de la structure initiale. » La Death Star. Ces améliorations sont légères et esthétiques, mais pas seulement, elles révèlent surtout un fantasme. Krennic espère utiliser l’hyperespace afin de faciliter les angles de tir à très longue distance. Ce que la Death Star est pour l’instant incapable de faire, elle n’est même pas encore achevée, mais Krennic est ambitieux et a toujours trois coups d’avance.  Il considère le projet de base presque acquis, et se projette déjà sur les prochaines versions du design de la super-arme de destruction massive. « Qu’en pensez-vous ? » Krennic se trouve dans ce qui semble être un minibar, en train de farfouiller dans l’un de ses placards à la recherche d’une carafe et de verres. Ses lèvres s’étirent dans un sourire qui se veut charmeur, alors qu’il entreprend de servir une liqueur ambrée puissante dans deux verres de forme rectangulaire, faits dans un beau cristal luxueux. Pendant qu’elle étudie certains de ses croquis, Orson s’approche à pas feutrés, un verre dans chacune de ses mains. « Restez bien penchée. Regardez bien chaque détail. Qu’est-ce que ces croquis vous inspirent ? » dit-il dans un murmure. Orson adore la contempler ainsi penchée devant lui, sa belle paire de fesses parfaites légèrement surélevées lui donne des idées scabreuses. Il prend sa voix la plus rauque et chaude pour l’occasion, en espérant charmer sa très jeune responsable d’équipe scientifique. Krennic est désormais dans son dos, à quelques centimètres d’elle. Son souffle chaud se répand au niveau de la nuque de la jeune femme. Ses intentions en ce qui la concerne, et qui porte sur la suite de cette soirée, sont loin d’être innocentes. Il approche son visage de son oreille avant de lui chuchoter d’une voix rauque en son creux : « Vous aimez ce que vous voyez ? » Tout en parlant, Krennic présente poliment un verre de ce qui s’apparente fortement à du whisky. Un frisson traverse sa colonne vertébrale, alors que ses pensées sont très vite assiégées par des images obscènes. Cette invitation n'est pas anodine, il désire posséder le corps et l’âme de son employée. Il désire se noyer en elle, l’entendre crier son prénom sous ses coups de reins. Depuis qu’ils sont entrés dans ses appartements, il essaie de lui faire comprendre ce qu’il attend d’elle. Qu’elle consente à se donner à sa personne, dans toutes les positions imaginables. Shara ne le regrettera pas. Krennic est convaincu qu’il prendra soin d’elle.

Puis, ses mains se perdent sur les hanches parfaites de la scientifique, effleurant le tissu sous ses doigts gantés. Des caresses brèves et légères comme le vent, celles-ci trahissent d’ailleurs un certain flou sur ses intentions. Accident de sa part ou geste calculé ? Orson lui apporte la réponse quelques secondes plus tard : « Vous aimez ce que vous sentez ? » Ses lèvres brossent le contour de son oreille, dans un geste d’une infinie lenteur. Elles parcourent son cartilage de haut en bas. Un geste d’affection, doux et lascif. Orson Krennic rêve de sentir cette peau nue sous ses doigts, sans ses gants en cuir noir. Il fantasme même sur le fait d’enfoncer ses ongles dans sa chair blanche, et pendant que ses pensées divaguent, son bassin se loge contre sa croupe parfaitement rebondie. Le précieux blaster qui est accroché à sa ceinture effleure la hanche de la scientifique. Pendant qu’elle se décide, il vient porter son verre à ses lèvres et déguste un peu de sa précieuse liqueur. Loin de grimacer devant cette brûlure lorsqu’elle coule le long de sa gorge, il en redemande. Krennic est habitué au goût des alcools forts, c’est même ce qu’il préfère entre tous. « Ne parlez de ces dessins à personne. Ce sera notre petit secret. » Orson parle d’une voix parfaitement calme, mais avec une pointe d’autoritarisme dans le fond. Il plante ses yeux sur sa nuque, qu’il dénude en tirant ses mèches de cheveux sur le côté. Shara possède une très belle nuque. Fine, douce et aguicheuse. Parfaite pour ses baisers, suppose-t-il. Ce sera notre petit secret. Il n’est pas certain que Krennic fait référence aux croquis qui se trouvent devant eux.  

Krennic observe sa scientifique de son regard calculateur avec un fin sourire narquois niché à la commissure de ses lèvres. Orson espère provoquer des choses en elle ; que sa vue se trouble sur ses croquis, que sa peau devienne un véritable désert ardent. Sa voix se perd dans un grognement, alors qu’il délaisse son cartilage pour embrasser la zone sous son oreille, descendant jusqu’à sa nuque, tout en déposant sur son sillage des baisers légers et mouillés. Parfois, Orson mordille sa chair tendre, il savoure ce goût sucré qu’il garde en bouche quelques secondes. D’une main, l’impérial maintient sa taille contre la sienne. Il promène ensuite sa main le long de sa croupe du bout des doigts, lascivement. Puis, elle s’arrête à ses cuisses finement musclées, qu’il caresse par de légers mouvements circulaires. « Pourquoi m’avez-vous menti tout à l’heure, alors que nous savons tous les deux que vous avez connaissance de ces rumeurs. » souffle-t-il en terminant son verre d’une traite avec une certaine désinvolture. Elle est mignonne, gênée à l’idée d’en discuter avec lui. Orson s’amuse de cette pudeur. « Vous les entendez aussi bien que moi, elles sont pourtant infondées… J’exige une transparence parfaite entre nous. L'idée d'un rapprochement vous effraie tant que cela ? A moins que cela vous répugne tant que vous refusez de m'en parler de vive voix ? » D’un mouvement rapide, il attire le corps de la scientifique en arrière, afin qu’elle rencontre son bas-ventre. Avec autorité. Toujours. « Shara. » souffle-t-il en promenant son nez dans les cheveux bruns de cette sulfureuse créature. Shara, ce prénom, encore. Cette fois-ci, par rapport au laboratoire, il le susurre dans l’oreille en prenant sa voix la plus rauque. Il ne manque pas de partager un peu de la chaleur qui bouillonne en lui en frottant sa joue. Orson s'enivre de l’odeur délicieuse de son parfum, tout en renforçant sa poigne. Ses doigts tremblent terriblement d’envie. Orson la désire avec ardeur et passion, depuis des mois déjà. Orson dévore cupidement chaque parcelle chaude de son cou, en gardant son emprise sur son corps aux formes exquises. « Vous êtes une gentille fille, n’est-ce pas ? » chuchote-t-il en étouffant un léger rire contre sa nuque, celui-ci se transforme en vibrations. Krennic décide de mettre en pause ce moment d’intimité particulier, dans l’attente d’une réaction de sa part. Orson lui impose sa présence, depuis qu’elle a mis les pieds dans ses appartements. Bien que frustré, il acceptera de s’éloigner et de la congédier en cas de refus. Orson ne cassera pas l’harmonie régnant dans leurs rapports professionnels. Quoiqu’il en soit, il la désire fortement, les choses sont maintenant très claires.


FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Sam 23 Avr - 8:22


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.

Si tu devais imaginer les appartements d'Orson Krennic, c'est probablement comme ça que tu les aurais imaginé. Ca ne t'avait jamais traversé la tête, de savoir où il vivait et à quoi ressemblait son appartement mais maintenant que tu étais dans l'enceinte de ceux-ci, il ne pouvait pas y avoir meilleurs appartement à son image. Pourtant, ça avait tout de même légèrement impersonnel contrairement à tes appartements qui eux, étaient était décoré de pleins de choses, une étagère immense de livre de fiction ou de science, des plantes, de la couleur, partout, tout le temps. Ca restait austère, mais c'était l'éternelle image du Directeur donc en soit rien n'était surprenant dans toute cette histoire. Alors forcément, tes petits yeux détaillent chaque recoins pour tenter d'en savoir indirectement plus sur le directeur des opérations, mais en soit, ça restait compliqué, outre son éternel côté maniaque qui ressortait plus que de manière évidente, là, tout de suite.
Face à sa question, tu te retournes en acquiesçant légèrement. Le côté impersonnel lui faisait manquer un peu de chaleur et de confort mais ça n'était qu'un détail, en dehors de ça, l'appartement en lui même était absolument magnifique. Tu ne sais pas trop où donner de la tête tandis que tu continues de regarder autour de toi, tournant sur toi même, t'attardant sur chaque détails. Mais bien vite, il capte ton attention et te voilà le suivant, curieuse de savoir les choses qu'il peut bien vouloir te montrer et tu arrives bien vite sur une grande table recouverte de nombreux papiers. Du peu que tu vois, ça t'intrigue immédiatement, alors sans grande surprise, tu te penches en avant, esprit immédiatement captivé par des schémas divers et des formules en tout genre. Tu ignores à quel point tu es privilégier à ce moment même, mais tu l'es, t'es juste tout de suite captivé par ce qui se présente devant toi.

Et ainsi, tu regardes, simplement, fasciné par ce que tu vois sous tes yeux. Tu ignores ce qu'il se passe autour de toi, le fait qu'il soit en train de remplir des verres car toi, tu es bien trop occupé à observer tout ça. – C'est … fascinant. Tu dis d'une petite voix, passant d'une feuille à l'autre. Tout ce qui était décris mettait déjà ton cerveau en ébulition et tu reviens mettre une mèche de cheveux derrière ton oreille, loin d'être un signe de nervosité cette fois-ci. – De tels exploits seraient potentiellement réalisable ? Avec les bons moyens, tout était réalisable, donc probablement que oui. Et tu serais sans doute en charge de donner vie à ses idées, mais dans l'immédiat, tu étais juste fascinée. Pourtant, bien vite, tu sens un souffle dans ta nuque et ton regard se bloque sur un point invisible. Tu tentes de pas spécialement réagir et pourtant, tout ton poil s'hérisse, car la nuque est pour toi un endroit particulièrement sensible.Le verre apparaissant dans ton champs de vision, tu te redresses légèrement pour en boire une longue gorgée mais tu ne t'attendais pas à ce qu'il prenne un peu plus les dessus. Ses doigts venant effleurer ta hanche, ses mots dans ton oreille. Si tu restes immobile, tu n'es pas fermé, bien au contraire. Tu vas jusqu'à fermer les yeux pour mieux ressentir ses sensations qui sont encore parfaitement proportionnelles à ses gestes. Sa question parvient à tes oreilles et tu te mords l'intérieur de la lèvre. Evidemment que tu appréciais ces quelques gestes, aussi peu inocents soient-ils dans l'immédiat. – Je … tu t'apprêtes à répondre lorsque son bassin se colle contre toi, et tu viens à te demander si ce que tu sens est son blaster ou autre chose. T'es incapable de savoir, et tu serais presque tenter de passer ta main, mais tu t'abstiens, posant simplement ton verre sur la table et laissant tes doigts effleurer la surface de celle-ci, t'abandonnant totalement à lui. Tu gardes pourtant une certaine contenance, mais ça te fait un effet des plus rapide : tu n'as pas eu une proximité comme telle depuis tellement longtemps que tu pouvais partir au quart de tour, surtout si on s'en prenait à ta nuque qui te faisait constamment frissonner. Quand est-ce qu'un homme avait pu montrer un intérêt pour toi? Plus d'une fois, t'étais juste bien trop aveugle pour t'en rendre compte. Mais la notion de proximité t'étais inconnue depuis quelques années maintenant, et même si le manque avait fini par ne plus se faire ressentir, il arrivait que parfois, ça devienne insoutenable, principalement quand tu te réveillais d'un rêve ayant mis en scène des choses particulièrement suggestives, les derniers en date étant avec ton supérieur en guise de protagoniste. Généralement, tu prenais les devants, tentant de faire passer la frustration avec tes propres moyens, mais ça n'était jamais assez. Tu en voulais toujours plus que ce que tes doigts à toi pouvaient t'apporter. – Vous savez que vous pouvez compter sur ma discrétion. Tu renchéris, n'étant pas certaine de la vraie signification de ses paroles, pas entièrement certaine qu'il parle de ces fameux dessins. Mais tu supposes que oui, ton esprit détournant juste les informations lui même car bien trop occupé à se concentrer sur les sensations diverses que tu ressentais.

Pourtant, tu pouvais plus dire que tu n'avais pas conscience d'une attirance pour toi, et tu ne pouvais surtout pas nier une attirance mutuelle. Parce que si tu gardes un minimum de contenance, il suffit qu'il vienne dévorer la peau de ton cou avec ses lèvres pour que tu réagisses enfin un peu plus, vraiment plus. Tu fermes les yeux, ta tête basculant automatiquement pour lui laisser tout le terrain possible tandis que d'entre tes lèvres, s'échappe un soupire chaud de bien être. Ton rythme cardiaque s'accélère et il rebondit sur ces fameuses rumeurs. Tu pourrais lui répondre, tu voudrais lui répondre, tu cherches quelque chose à dire mais ton cerveau ne semble définitivement pas fonctionner normalement. Mais rien de tout ça. Ces rumeurs se voulaient embarrassante mais dans l'immédiat, il n'en n'était rien. Dans l'immédiat, tu voulais les concrétiser et chaque fois que ses doigts gantés glissaient sur des parcelles de ton corps toute recouvertes de tissus, ça te confortait dans cette idée. Parce que tu avais eu si peu de rapport intimes avec qui que ça soit, que tu partais tout de suite et qu'il s'agissait là comme d'une ancienne accro à une substance quelconque qui retombait dans ses pires travers. Non pas que tu avais un passif d'accro à quoi que ça soit, juste que les années de manque, de retenue et de frustration refaisaient surface. Ces sensations, tu les redécouvrais sans trop les découvrir. Tu sentais ton coeur taper contre ta cage thoracique, ton souffle se saccadant d'ores et déjà,
Puis comme il le disait c'était votre secret. Personne n'avait besoin de savoir même si tous en mourraient d'envie. Ils voulaient savoir si ces fameuses rumeurs étaient fondées, si une fois ton service terminée tu rejoignais vraiment ton supérieur dans ses quartiers pour partager une intimité quelconque et si jusqu'à présent la réponse était non, probablement que à partir de cette nuit, celle-ci serait oui. Surtout que tu avais tant de frustration passé à rattraper qu'une seule nuit ne serait pas assez, qu'importe le temps que vous passeriez à partager ce moment, qu'il s'agisse d'une fois de temps en temps ou de toute une nuit. Tu réalises là, maintenant tout de suite quelque chose : tu as faim Shara. Très faim, trop faim. Et ça te rendait presque mal à l'aise de montrer un aspect de toi bien différent de celui qui était connu jusqu'à présent mais c'était pourtant quelque chose de plus fort que toi, qui te rongeait de l'intérieur et tes entrailles avec. Tu sentais chaque parcelles de ton corps pulser en harmonie avec ton coeur qui palpitant, et surtout, tu sentais bien que les effets étaient loin d'être innocent te concernant. C'était si peu, et pourtant, tu commençais à partir parce que ça t'avait tellement manqué.

Tu attrapes, sans grande surprise, son verre pour le poser simplement à côté du tiens. Tu veux qu'il ait ses deux mains libres pour laisser celles-ci parcourir un peu plus ton corps. Totalement coller contre lui, ta tête en arrière, tu te cambre très légèrement contre lui, surtout dans le but de venir frotter ton bassin contre le sien, espérant créer une réaction qui te donnerait un avant-goût de ce qui pourrait t'attendre. Tu as chaud, terriblement chaud. Pourtant, tu ne portes qu'un simple jean et un chemisier et toute la journée les températures étaient agréable mais forcément, en vue de la situation, tu as trop chaud et tu veux t'en débarrasser. Mais pas tout de suite. Pas maintenant. Tu attends, simplement, un tout petit peu de savourer encore toute ces sensations. – Directeur. Tu murmures enfin à ton tours tandis que ta main se dirige vers sa main libre pour finalement l'attraper et la glisser doucement sous ton chemisier. Tu gardes ta main sur la sienne, comme pour mieux le guider et ce, d'une lenteur presque unique. Parce que tu voulais prendre ton temps, car les sensations étaient si divine, tellement agréable. Doucement, tu fait remonter celle-ci le long de ton ventre pour finalement venir arrêter ce mouvement sur ta poitrine, lui indiquant clairement que tu voulais sentir ses mains et ses doigts en action. Et tu poses ton autre main sur sa cuisse que tu remontes très légèrement avant de donner un legers coup de bassin en arrière. Ton visage se tourne alors vers le siens, se retrouvant à quelques centimètres uniquement. Assez pour sentir son souffle chaud contre ta peau, son parfum venir capturer tes narines. – Maintenant que vous le dites, il n'est pas impossible que j'eu échos d'un ou deux bruits de couloir. Tu murmures très légèrement, ses lèvres effleurant les siennes. Tu admets ainsi indirectement ton mensonge, te doutant que la situation ne pourrait tourner qu'en ta faveur car vous seriez sans doute tout les deux ravis de l'issue de cette soirée. – Mais je ne sais plus vraiment ce qu'elles disaient, peut-être pourriez vous me rafraichir la mémoire? L'invitation ultime. Preuve que toi aussi, tu en veux plus et que soudainement, tu t'en fou de c'qu'on pourrait dire sur toi. Tu t'amuserais peut-être même à leur donner raison, parce qu'à partir de maintenant, ces foutues rumeurs étaient fondées. Mais qu'importe. Car là tout de suite, tout ce qui compte c'est cet instant précis.Ta main continue de remonter, très légèrement, d'une lenteur sans nom dans l'ultime but de pouvoir créer tout autant de sensation chez lui qu'il en créer chez toi.


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

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That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

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it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Dim 24 Avr - 3:47




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“what of your own free will. bodies are writhing still. there in the moonlight with my head up help high. wish i could keep on walking by, but i find myself drawn to you. i let you do what you want to do. you had your wicked way. there on the site of the dancing flame.” (night of the dancing flameroisin murphy)

writing music: bad things ▴ jace everett ; night of the dancing flame  ▴  roisin murphy
notes:   (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973

TRIGGERS ALERT : Sexualité

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY

Lorsqu’il entend ces mots scabreux, lorsqu’il sent sa main se balader sur sa cuisse et lorsque son corps se détend progressivement contre le sien, Orson Krennic se sent emporté dans un tourbillon d’émotions vertigineuses. Un sourire narquois s’installe au coin de ses lèvres, en la sentant rejeter sa tête contre son épaule pour lui donner un accès libre et illimité à la peau de son cou et de sa nuque. Orson est complètement fou de cette femme. Elle est encore plus bandante que dans ses fantasmes. Shara Bey est exceptionnelle, en tous points de vue. Sa peau est douce, et bien qu’il porte des gants en cuir, il en est persuadé. Lorsqu’elle semble prendre les devants en prenant sa main dans la sienne pour l’engouffrer sous son chemisier fin, Orson se laisse faire, non sans un petit rictus suffisant. Il en était sûr. Il l’aurait parié. Shara a autant envie de lui qu’il brûle de lui arracher ses vêtements. Elle le veut, elle est en feu. Il le voit, il le sent à cette proximité. Sa bouche ne relâche pas ses ardeurs, embrassant chaque parcelle de la peau de son cou le plus lentement et sensuellement possible. Orson glisse alors ses mains contre la poitrine à moitié nue de la jeune femme. Il tâte sa lingerie des doigts, qu’il devine en aveugle être d’une très belle dentelle. Enfin, elle lui avoue la vérité. Elle se confesse dans un demi-aveu prévisible. Elle scande avoir eu un ou deux échos, et cela le fait doucement rire. Un rire léger et moqueur. Cette confession est si éloignée de la vérité qu’ils connaissent tous les deux. Orson s’amuse de ce petit jeu d’ingénue, c’est tellement audacieux de sa part de jouer à ces jeux avec lui. Quant à ses yeux bleus, ils brillent d’une lueur de pure lubricité. « Vous êtes une très mauvaise menteuse. » marmonne Krennic en prenant l’air contrarié, mais la situation excite fortement ses sens. « Vraiment très vilaine. » renchérit-il alors que ses narines frétillent légèrement d’excitation. Son parfum fleuri l’enivre et le conduit presque dans un état de transe, ce qui se traduit rapidement par une forte onde de chaleur au niveau de son bas-ventre. « Il me semble vous avoir déjà été clair sur mes intentions quant au sacro-saint principe d’honnêteté au sein de mes équipes, chère Shara. J’exige de la transparence sur chacune de vos pensées, de vos réalisations, de vos désirs et de vos envies. Vous me devez votre honnêteté pleine et entière. » Entre autres choses plus joyeuses… « Vos fantasmes m’appartiennent également. » Une précision qu’il prend soin d’apporter, en rêvant secrètement qu’elle lui dévoile les siens. Tout en parlant, il fait glisser ses longs doigts épais sur la courbe bien galbée de l’un de ses orbes laiteux. Le tissu l’encombre fortement, et sa réaction face à ce léger obstacle est sans appel. D’un coup sec, il fait descendre ce soutien-gorge jusqu’à son nombril. « Je déteste le mensonge. » Quelle ironie. Lui, qui prône les valeurs morales comme l’honnêteté et la transparence, soi-disant qui déteste le mensonge, alors qu’il se gargarise avec les siens, habilement déguisés en de magnifiques vérités. Tout ce que dit Orson Krennic est parole d’évangile et d’or, mais tout ce qu’il fait est cependant une autre histoire. Krennic renforce son emprise physique sur elle en enfonçant ses doigts dans la chair de ses hanches. Il savoure ses soupirs, ses râles, et cette chaleur qui commence à monter entre eux. L’architecte la désire profondément, avec une rare bestialité. Il tient à lui faire prendre conscience de l’intensité de son désir en serrant son corps.

Sa main se glisse ensuite dans une lente agonie vers l’entrejambe de sa scientifique, et d’un léger coup de doigt, il vient dézipper la braguette de son jean. Sans s’y attarder davantage, sans introduire ses doigts dans le tissu serré de son pantalon. D’un simple coup d’œil, il remarque la présence d’une jolie pièce de lingerie qui ressemble à de la dentelle. Cette vision n’est encore rien en comparaison au reste, mais elle foudroie son être tout entier en le plongeant dans ce besoin irrépressible de se consumer en elle. Krennic dézippe entièrement la braguette et écarte chaque pan de son jean pour exposer la dentelle de son dessous. Il effleure ensuite son intimité par-dessus son pantalon, en se refusant pour l’instant d’engouffrer sa main. Il désire la sentir se pâmer encore plus contre lui, laissant sa tête se reposer sur son épaule et ses mots se faire plus suppliants. Orson parcoure l’intérieur de ses cuisses avec ses doigts, remontant puis redescendant, tout en faisant basculer sa croupe contre son bassin pour les frotter en réalisant de légers mouvements circulaires. Des vibrations légères mais intenses. Il approfondit le rapprochement entre le bas de leurs corps, se plaisant de se tenir derrière elle, en position de supériorité et de domination physique évidente. Au bout d’un moment, l’envie de plus de proximité est si irrépressible qu’elle le fait recouvrir son intimité de femme de sa paume, et ses doigts s’agitent enfin plus franchement, mais toujours au-dessus de l’étoffe épaisse. Les détails de sa tenue vestimentaire lui apparaissent enfin à l’esprit comme une révélation soudaine : son pantalon est si moulant et accueillant. Pendant que ses doigts se frottent au tissu, Orson exulte en constatant l’émergence d’une source de chaleur, qui est le symbole de la force de son plaisir. Orson soupire lascivement contre son oreille, sans manquer de faire courir sa langue le long de son cartilage. En délaissant finalement son oreille, sa bouche vient se perdre encore dans son cou. La peau de Shara est si douce, fine et chaude à cet endroit, mais surtout mystérieusement sucrée. Ses baisers ne sont chastes seulement qu’en apparence, alternant entre morsure et suçon. Orson se moque de laisser des traces de son passage. Elle lui appartient, point final. Que l’on s’en aperçoive n’est que la cerise sur le gâteau, l’orgasme foudroyant.

Ses lèvres se plissent pour attraper un morceau de la peau au niveau de sa nuque et de l’aspirer entre ses dents. Quant à ses mains, loin d’être inactives, elles poursuivent leur exploration de son corps. Lorsqu’elle lui demande des précisions sur ces fameuses rumeurs, son sourire s’allonge encore plus. Orson revient à son oreille et s’exprime en prenant sa plus belle voix rauque : « Ahhh… J’ignore si vous êtes prête à en entendre davantage, moi-même suis profondément outré par la teneur de ces propos. » ironise-t-il. « Puisque vous insistez tant… » Orson pose sa bouche contre son oreille et prend une profonde inspiration de ce parfum terriblement entêtant. « Je vais vous dire ce qu’elles disent de vous. De nous. » chuchote-t-il suavement. Orson vient caresser son lobe du bout de sa langue, mordillant sa chair une fois sur deux. Il exerce une simple pression de ses dents, avec une douceur infinie, mais suffisamment forte pour embraser toutes les parties de son corps de femme. Les frissons qui viennent la parcourir n’échappent pas à sa vigilance. Orson ressent sa fébrilité comme la sienne. Elle est touchante, quelque chose d’extatique s’en échappe. Dans le fond de ses prunelles bleues, une lueur brille depuis plusieurs minutes, sauvage et provocante. Elle le désire autant que lui, elle veut se laisser mourir entre ses mains expertes. « On raconte que vous me rejoignez dans mes appartements tous les sens et que vous vous impliquez beaucoup dans notre projet. Vous aimez vraiment donner de votre personne, ce qui semble me convenir parfaitement. Ahhh oui... J’admets que je vous trouve très compétente dans vos domaines de spécialité. J’en découvre même de minute en minute... » Orson rigole du ton audacieux de ces rumeurs, qui sont désormais plus que fondées. Si elle savait depuis combien de temps il attendait que quelque chose se passe entre eux. « Vous aimez ma supériorité et que nos rapports soient dominés autant professionnellement qu’intimement. Vous aimez sentir ma voix à votre oreille, quand je vous raconte des saloperies obscènes, tout en vous prenant violemment, alors que vous criez mon prénom, mes mains partout sur votre corps. » Orson hausse un sourcil en jaugeant sa partenaire longuement, guettant ses réactions, la moindre rougeur ou preuve d’excitation. « Je dois dire qu’elles ne se trompent pas sur ce point. Regardez-vous. Regardez comment votre corps se pâme sous mes caresses. » fait-il remarquer.

« Dites-moi, chère Shara. Est-ce que vous mouillez vraiment autant qu’on le raconte lorsque je suis près de vous ? » Sans rougir, Orson prononce ces mots en riant de nouveau. Elle l’excite tellement. « Laissez-m’en attester personnellement… » promet-il en déposant un baiser au milieu de sa nuque, avant de chercher ses lèvres des siennes. « C’est mon plaisir en tant que directeur… » Ses propos sont pleins de sous-entendus sordides. Afin de palier ses paroles à ses actes, Orson reporte son attention sur sa braguette et sa culotte en dentelle, se frayant un chemin sous son jean, non sans difficulté. Sa main s’engouffre en cherchant une source de chaleur et d’humidité. Il recherche une preuve de sa dévotion. De ses doigts gantés, Orson vient se poser sur le centre névralgique de son plaisir en de légères caresses. De simples effleurement, mais suffisamment appuyés pour l’emporter dans un tourbillon. Afin de garder cette étreinte, son avant-bras se presse contre son ventre, pour l’attirer en arrière jusqu’à ce qu’il ne soit plus possible d’aller plus loin. Orson grogne en savourant sa virilité, serrée contre elle.  « Oh, décidément ! Cette soirée est pleine de surprises. C’est moi qui vous mets dans cet état ? » Flatté, il adore se rendre compte qu’on le désire sur tous les plans. L’impérial est même surpris que sa partenaire soit à ce point excitée, mouillée contre lui et à cause de lui. Orson reste sur son intimité sous sa pièce de lingerie, si légère, au point qu’elle doit certainement sentir ses doigts s’agiter en elle. Orson s’active de son index et de son pouce en voulant tremper le vêtement encore plus. Il la pénètre à travers, d’un, deux puis de trois doigts, tout en bougeant circulairement son pouce contre son point le plus nerveux. Guettant ses réactions, il plonge ses yeux en elle tout en la touchant de manière intime. Ce ne sera jamais assez plus. Puisqu’elle semble prendre autant de plaisir avec ses mains baladeuses, elles continuent, curieuses et malsaines. « Ahh j’en oublie une chose importante… elles racontent que vous êtes … » Ses doigts s’agitent contre sa lingerie en dentelle, jusqu’à ce que celle-ci soit complètement imprégnée de l’essence même de son plaisir. Une fois ceci fait, il l’écarte brutalement pour rencontrer sa peau nue et chaude. « Une vraie cochonne. Qui aime être touchée avec mes gants. » Orson se met à rire chaudement, tout en laissant les vibrations de son rire se perdre en frissons extatiques contre sa nuque. Qu’elle tremble, qu’elle brûle, qu’elle frissonne. Il aspire à lui faire connaître une pression telle qu’elle n’en a jamais connu dans sa vie.

Les pensées d’Orson flottent vers des scènes obscènes, alors qu’il réalise que ses fantasmes deviennent enfin réalité. Lorsqu’elle frotte le bas de ses reins contre son entrejambe, c’est le début de la fin. Orson entend les battements de son propre cœur siffler dans ses oreilles comme une agréable mélodie. Son rythme cardiaque monte d’un cran, alors que sa réputation se fait saccadée. Une douce sensation très agréable submerge notre impérial, cette tension grandissante le dépasse complètement. Elle lui donne envie de perdre le contrôle, follement et désespérément. Lorsqu’elle lui assène de légers soubresauts, c’est appuyer sur le détonateur de sa bestialité. Orson perd le contrôle de son propre corps, esclave de cette croupe parfaite et rebondie qu’il rêve de dénuder, ici et maintenant. Leurs corps sont collés, mais ce n’est pas suffisant. Ce n’est jamais suffisant. Orson grogne contre ses cheveux. Un grognement d’aise, signe qu’il est fortement épris de cette proximité physique. D’une main ferme, il vient appuyer sur sa hanche pour l’installer confortablement entre la ligne de ses fesses charnues. Palpant au passage cette chair, comme pour s’assurer de leur fermeté. Elle sent sûrement son excitation entre la ligne de ses fesses, à travers son jean, et ce n’est absolument pas son précieux blaster DT-29 cette fois-ci. Ce qu’elle lui fait est insupportable, si bien qu’il devient assez vite obsédé par l’idée de soulagement et d’explosion de ses sens. En elle, sur elle. Il l’imagine dans toutes les positions imaginables sans aucune interruption. Orson n’imagine pas qu’elle puisse le quitter, si elle s’en montre même suffisamment digne, il désirera la garder dans son lit, toute la nuit. Ce n’est pas quelque chose d’anodin pour lui, c’est une petite privilégiée. Shara est la cause de ses insomnies. Shara est son obsession malsaine et brûlante. Orson imagine la posséder entièrement, corps et âme.  C’est étrange, mais sa chaleur est réconfortante au point qu’il se surprend à la désirer entre ses draps au réveil. Elle est salvatrice, et c’est pourquoi Shara ne lui échappera pas. Elle restera, jusqu’à ce qu’il en décide autrement. Elle dormira dans ses draps en soie. Elle reviendra, tous les soirs après son service, exactement comme le sous-entendent les rumeurs. Lorsqu’il y pense, l’excuse est déjà toute trouvée : « que diraient les gens s’ils vous voyaient quitter mes appartements en pleine nuit, que vous ne m’aviez pas convenu ou que vous ne valiez pas suffisamment le coup pour que je vous garde dans mes draps. » Oh que si, elle en vaut le coup. Elle vaut carrément tous les coups qu’il a bien pu avoir. Ses soupirs sont comme des notes de musique à ses oreilles et sa chaleur l’enivre au point de perdre tout contrôle. C’est pourquoi cette fois-ci, Orson déploie des trésors de résistance physique et mentale pour s’empêcher d’arracher ses vêtements, de la basculer contre ses schémas, poitrine en avant et croupe en arrière, avant de la prendre aussi passionnément que sauvagement. Orson désire prendre son temps et elle semble le vouloir aussi. Orson et Shara sont en symbiose parfaite, connectés et ardents, comme deux âmes en manque. « Si j’en crois les rumeurs… vous écartez les cuisses pour que je vous besogne sur tous mes meubles... » Et c’est ce qu’il veut et compte lui faire. « Vous êtes vraiment prête à tout pour me plaire. » Orson illustre son propos par un coup de son bassin contre la main qui remonte sur son propre entrejambe, espérant qu’elle en fasse autant que lui. Ses lèvres se rapprochent encore des siennes et rompent les derniers millimètres qui les séparent pour l’embrasser langoureusement, presque cupidement. Son baiser est possessif et exigeant, à l’image du tourbillon vertigineux d’émotions qu’elle lui fait traverser en se tenant intimement proche de lui.


FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Anonymous

Invité



Dim 24 Avr - 11:17


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.




(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
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▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo4_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo6_400
(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo5_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oi27mmivlc1vjdt8po3_400

•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
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(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po3_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po5_r2_400
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in the end, our secrets destroyed us.

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oqug6tACpy1vjdt8po4_540
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FICHELIENSARCHIVAGE

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DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Ven 29 Avr - 1:08




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“what of your own free will. bodies are writhing still. there in the moonlight with my head up help high. wish i could keep on walking by, but i find myself drawn to you. i let you do what you want to do. you had your wicked way. there on the site of the dancing flame.” (night of the dancing flameroisin murphy)

writing music: bad things ▴ jace everett ; night of the dancing flame  ▴  roisin murphy
notes:   (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2973847420

TRIGGERS ALERT : Sexualité

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY



FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Anonymous

Invité



Dim 1 Mai - 8:59


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.




(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oj8zj5JFWh1ruej01o5_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oj8zj5JFWh1ruej01o7_400

“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  7p93

•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo4_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo6_400
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it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
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(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po3_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po5_r2_400
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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

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DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
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GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Mer 11 Mai - 22:41




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“what of your own free will. bodies are writhing still. there in the moonlight with my head up help high. wish i could keep on walking by, but i find myself drawn to you. i let you do what you want to do. you had your wicked way. there on the site of the dancing flame.” (night of the dancing flameroisin murphy)

writing music: bad things ▴ jace everett ; night of the dancing flame ▴ roisin murphy
notes: ça y est, on arrive aux choses sérieuses ! (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  1934759834

TRIGGERS ALERT : Sexualité

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY


Ces soupirs de plaisir et ces râles extatiques lui font rapidement perdre toute notion de temporalité ou d’espace. Il savoure pleinement les sensations qui renforcent sa position de bon amant. Ses doigts se promènent le long de ses cuisses, appréciant de sentir ces doux frissons qui parcourent ses pores. Cette peau douce est désormais aussi brûlante qu’une terre aride et désertique. En réponse, un sourire. Ses lèvres s’étirent d’excitation. Elle a adoré ce qu’il vient de faire et il a adoré sentir son corps s’abandonner sous son expertise. Alors qu’elle s’abandonne à sa jouissance, ses lèvres restent sur son intimité chaude. Elles l’embrassent, ici et là. Elles caressent le centre névralgique de son plaisir, cet amas de chair bombé et rougie par l’excitation. Du bout de sa langue, il caresse, lèche, savoure son goût. Il constate rapidement que chaque effleurement déchaine en elle une vague de frissons et de contractures. Lorsque ses tensions se relâchent, il ressent sa sensibilité comme la sienne. Pendant sa jouissance, il a continué ses caresses. Autant celles de sa langue, de ses lèvres que de ses mains sur ses cuisses. De sa langue, il est venu récupérer ses fluides pour les mêler aux siens. Ses doigts ont maintenu ses jambes, afin qu’elle ne puisse connaître aucune échappatoire. Il a adoré pénétrer ses murs de sa langue, cherchant chaque point sensible avec minutie. Chaque zone susceptible de déclencher en elle de nouveaux cris. Un nouveau frisson extatique. Par les étoiles, comme il raffole de ses cris, de ses mouvements de bassin. Elle crie son prénom, une fois, plusieurs fois. Cela le rend complètement épris du son de sa voix lorsqu’elle prononce son prénom avec autant de passion et de supplice. Il n’a jamais pensé connaître un tel état d’excitation avant ce moment. Orson a bien envie de la baiser vraiment, cette fois. Pas juste de sa langue en elle, tapissant ses parois intimes et humides. Il veut la baiser avec son membre. Il veut lui imposer sa virilité. Il veut sentir son intimité se contracter, se resserrer comme dans un étau autour de cette dernière. Il veut jouir enfin, en et sur elle. Il veut qu’elle lui appartienne corps et âme, marquer sa peau de cicatrices brûlantes, son nom au fer rouge sur chaque partie de son anatomie. Que toutes les fibres de son corps transpirent par sa faute. Orson est d’une possessivité dangereuse, parfois, même souvent. Il lui arrive de considérer les personnes comme des choses acquises qui n’ont besoin de rien d’autre, sauf de lui. Shara Bey est sa nouvelle lubie. Il veut se fondre en elle, toutes les nuits, et enfin donner libre cours aux fantasmes qui martèlent son cerveau depuis des mois. Elle l’obsède depuis longtemps, mais ce n’est qu’après de durs efforts que la récompense vient enfin d’écarter les cuisses devant lui. Krennic arque un sourcil, puis cligne des yeux de stupéfaction. Elle est si… chaude. Si offerte. C’est au-delà de toute ses aspirations, de ses attentes. Elle se donne sans conditions. Krennic adore ça. Cette sensation de pouvoir, d’autorité sur toutes les personnes qui se trouve en face de lui. Shara est une vraie petite chatte en chaleur. Il ne peut s’empêcher de laisser son esprit vagabonder vers des surnoms obscènes et affectueux. Un discret sourire narquois s’installe sur ses lèvres. Furtif et lubrique.

« Fuck me. » Deux mots qui résonnent mélodieusement à ses oreilles comme la promesse d’une soirée brûlante et passionnée. Deux mots, six lettres. Krennic ne se l’entendra pas dire deux ou trois fois. Cette vulgarité qui s’échappe des lèvres maquillées de sa scientifique l’excite fortement. Il adore qu’elle se montre aussi coquine et réceptive à ses caresses, ses baisers, ses coups de langue. Il raffole de sentir ces légers frissons se promener sur sa peau douce et sucrée. Il adore encore plus le fait d’être celui qui la transforme en cette véritable créature exquise, chaude et entreprenante. Puisque c’est ce qu’elle veut avec tant d’ardeur. Puisque c’est ce que son corps hurle désespérément. Lui-même n’en peut plus. Cette attente provoque une désagréable tension dans son bas-ventre, mais surtout dans son esprit obnubilé par Shara, son corps et ses gestes vicieux. « Oh well, well, well– my little kitten is angry. » dit-il en perdant ses mots dans un léger rire amusé. Ses lèvres se retroussèrent en un sourire narquois. Son sourire signature. Shara, Shara, Shara… Comme elle est excitante. « Yes, my dear– I will fuck you. Very hard. » souffle-t-il avec un timbre de voix brûlant de désir. Il lui fait cette douce promesse obscène, tout en observant avec délice la manière dont sa scientifique vient écarter les cuisses devant lui. Krennic illustre ses propos en laissant descendre ses mains le long de ses cuisses, pour les agripper sans douceur entre ses mains puissantes et fermes. Il va se laisser tenter et se fondre en elle, chaque fibre de son corps vibrant d’excitation à l’idée d’évoluer entre ses murs intimes et chauds. Il va la baiser comme elle le veut avec autant d’émotion. Il va la baiser fortement, profondément, pendant longtemps. Cette nuit qui s’annonce tumultueuse n’est pas près de leur accorder une petite heure de sommeil. Cela lui est bien égal, ce n’est pas dans le but de se reposer cette nuit qu’il l’a conviée dans ses appartements. Ce qu’il désire au fond de lui se lit distinctement dans ses prunelles claires. Une lueur ne cesse de briller depuis de longues minutes avec la même intensité, assombrissant le bleu de ses yeux en le drapant d’un léger voile obscurci par la force de ses désirs. L’attirance qu’il éprouve pour le corps de Shara est foudroyante, elle commande chacun de ses gestes sans qu’il ne puisse les contrôler. Il se sent comme un automate, motivé par ses instincts primitifs, dépossédé de toute capacité de réflexion, embrouillé de pensées d’une rare obscénité. Orson désire la rendre suppliante et gémissante pour lui. Il veut la faire ramper, crier, et se perdre dans les méandres de son plaisir. Cette communion de leurs corps et de leurs sens les emportera jusqu’au septième ciel, et bien au-delà. « I’m gonna fuck you so much that you will lose your voice. You will beg me for more, sweetheart. You will beg me for everything. » lui promet-il chaudement.

Krennic observe ses cuisses qui s’écarte davantage, son intimité trempée de désir reflète exactement ce qu’il veut au fond de lui. Une forme d’abandon totale. Elle est excitée, bien ouverte, et très accueillante. Orson se met à rire doucement, tout en laissant ses doigts gantés parcourir la ligne de l’intérieur de ses cuisses en lui déclenchant des frissons sur son sillage. « You’re fucking beautiful. » murmure-t-il d’une voix rauque. « And you’re fucking mine. » Son timbre est faible, enveloppé par ses désirs. Shara est magnifique, lorsqu’elle se montre aussi conciliante à l’idée de subir ses assauts (avec notre autre RP c’est clairement DEUX SALLES DEUX AMBIANCES). Elle le veut, et il n’y a rien de plus excitant qu’une femme suppliant d’être ravagée. « I never wanted to fuck a woman so badly before you. » confesse-t-il, les yeux assombris par les pulsions primaires qui s’engouffrent de plus en plus profondément. Orson dit vrai, c’est la première femme qu’il meurt d’envie de posséder aussi fortement. « That’s because you’re my whore now, are you ? » Orson s’en amuse comme un grand enfant. Bien sûr qu’elle est sa petite chienne, c’est ce que les rumeurs disent d’eux depuis des mois, de toute manière. Autant leur donner raison. Sans lâcher ses cuisses, il s’approche d’elle dans un geste lent, en voulant savourer chaque seconde de leurs ébats. Cela ne dure finalement que quelques secondes, parce que très vite, l’impatience qui caractérise sa personnalité vient prendre le dessus. Il a trop attendu, beaucoup trop. Maintenant, il veut la posséder. Il veut exploser. Krennic n’attend pas une seconde de plus avant de caresser son intimité de la sienne. Le bout de son membre vient caresse sensuellement l’entrée volcanique de sa partenaire. Cette chaleur le désarçonne tant qu’il en soupire d’aise, excité comme un adolescent. Il n’ose imaginer quelle agréable sensation cela peut être. Des frissons parcourent son échine, alors qu’il la pénètre brutalement. Elle est déjà suffisamment prête pour accueillir sa virilité, cette dernière est de toute manière sur le point d’imploser, faute de sollicitations. Krennic aurait voulu titiller sa jeune partenaire encore quelques minutes, en faisant mine d’entrer sans pour autant la délivrer, mais c’était beaucoup trop demander. « Fuck. » grogne-t-il, alors que la chaleur de ses murs intimes vient s’écraser sur son sexe. Il se sent agréablement glisser, comme la lame d’un couteau dans une motte de beurre ramollie par l’air ambiant. Son sexe est si confortable et pulsatile, dans cette antre chaude. Il a même l’impression de ne pas avoir ressenti de présence aussi agréable depuis des décennies. Elle le prend entièrement en elle, avec une facilité déconcertante, lui arrachant au passage un grognement presque plaintif. Krennic est submergé par ces sensations vertigineuses, celles-ci le font haleter et rendent sa respiration plus saccadée. Comme dans un étau, la pression se resserre au fil des secondes. L’envie de bouger en elle est alors irrésistible. Il s’exécute lascivement, dans un premier temps. Chaque seconde est précieuse. Krennic savoure pleinement cette humidité qui prend soin d’envelopper son membre jusqu’à la garde. Ses soupirs sont nombreux, et parfois, un gémissement se glisse entre deux. « You’re so tight, my dear. » lui reproche-t-il, en sentant que cette étroitesse est littéralement en train d’engloutir toutes ses bonnes résolutions. Comment peut-il encore espérer résister à l’envie de la ravager, et de jouir d’un coup ? Il n’y a rien d’étonnant à ce qu’elle soit contractée, et cela ne fait que confirmer ses soupçons. Shara ne semble pas avoir eu un homme entre ses cuisses depuis un certain temps. Krennic semble d’ailleurs réjouit. Il n’est pas le premier, mais il aime être celui qui intervient après une longue période d’abstinence. La douleur ressentie dans un premier temps pour s’être autant retenu se mue en d’agréables pulsations. Tout en bougeant à un rythme si lent que s’en est insupportable, il vient caller les jambes de la jeune femme contre ses hanches pour se dégager un meilleur angle de pénétration. Ses mains glissent à cause de ses gants et de la pellicule de sueur qui recouvre les cuisses. Orson rejette brusquement sa tête en arrière, afin de fixer un point invisible au niveau du plafond durant quelques minutes. Il s’efforce alors de réprimer ses faiblesses, et surtout cette envie irrépressible d’atteindre l’orgasme aussi vite. Elle est beaucoup trop excitante pour lui, et cette chaleur écrasante fait plier ses plus bas instincts. et de renforcer cette étreinte qu’il espère faire durer jusqu’à l’épuisement de leurs corps. Une fois suffisamment concentré sur sa cadence, il se met à l’accélérer au gré des gémissements de sa partenaire. Il veut la faire crier jusqu’à ce qu’elle en perde la voix. Puis, une fois lassé de cette position, ses mains agrippent ses hanches avec force pour s’en servir d’appui. Orson se laisse ensuite retomber sur elle, savourant la pression de ses mamelons contre le tissu rigide de son uniforme. « Not a virgin but… I appreciate. Now… It will only be for me, I’ve made myself clear, darling ? » grogne-t-il dans son cou, en mordillant la chair qui recouvre ses clavicules. Une pointe d’autoritarisme s’exprime clairement dans le son de sa voix, malgré son ton suave. Nul doute ne subsiste, il se montre menaçant sur ce dernier point, mais ses menaces sont exquises, lorsqu’elles sont prononcées avec l’ardeur de sa cadence sexuelle. Orson se met à dessiner la ligne osseuse du bout de sa langue, remontant ensuite le long de son cou, pour s’intéresser à son menton. Lorsqu’il relève son visage, c’est pour plonger son regard dans le sien. Krennic affirme le ton menaçant de son avertissement d’un coup de bassin un peu plus fort que les autres. Un coup sec, puissant et profond vient appuyer cette requête qu’il assimile dans un instant pareil à un ordre. Orson est dans un excès de possessivité. Il refuse qu’un autre homme puisse lorgner sur ce qu’il considère lui appartenir. Lorgner, toucher, ou pénétrer. Shara est sa propriété, sa scientifique, sa petite chaudière. C’est un homme qui refuse toute idée de collaboration sur le plan professionnel, ce n’est donc pas étonnant qu’il refuse également toute idée de partage dans une sphère plus intime et personnelle. « Scream. » ordonne-t-il. « Say my name. Again. Don’t ever dare to stop. » Chaque mot est prononcé sur un ton grave et accentué par les mouvements de plus en plus profonds de son bassin. Leurs corps ne font désormais plus qu’un, en pleine communion, dépendant chacun de la chaleur et de la friction de l’autre. « Do what you want but let me hear your beautiful voice. » Tout en l’encourageant à donner libre cours à ses pulsions et ses cris, ses hanches s’agitent avec une plus grande frénésie. Pas une seule fois, ses yeux bleu océan ne l’ont quitté. Pas une seule fois, Krennic n’a pas scruté chaque détail, chaque ride de son visage de porcelaine en espérant lire une expression de béatitude. Ses yeux plongent en elle, se noient dans le chocolat de ses pupilles, cherchent à la déshabiller de multiples façons, comme de percer son âme, par exemple. Krennic l’embrasse enfin, langoureusement et passionnément, après avoir suffisamment observé d’elle pour gonfler son égo surdimensionné.

PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Lun 16 Mai - 12:53


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @orson krennic.




(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo4_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo6_400
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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po3_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po5_r2_400
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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Sam 10 Sep - 3:42




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“no longing for the moonlight, no longing for the sun, no longer will I curse the bad I've done. f there's a time when the feelings gone, I wanna feel it. you can holler, you can wail. you can blow what's left of my right mind. you can swing, you can flail. but I'll never give you up. if I ever give you up, my heart will surely fail. you can blow what's left of my right mind. ” (future starts slowthe kills)

writing music: future starts slow ▴ the kills
notes: le début de nos péripéties auesques  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  2511686973

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPERIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY

Lorsqu’elle affirme qu’elle sera tout ce qu’il veut, Orson Krennic se sent comme embarqué dans un autre monde. Shara est la femme parfaite. Sauvage, mais pas trop. Docile et fanatique, certes, mais pas suffisamment pour l’ennuyer. Elle représente un équilibre parfait. Elle est surtout sienne. Krennic sent son égo monter en flèche, lorsque ce mot s’échappe des lèvres rouges de Shara près de son visage. Elle est sienne, c’est bien ce qu’elle lui dit, avant d’étouffer en vain ses gémissements, et se perdre dans ses premiers cris d’extase. Lorsqu’enfin, elle lui témoigne une marque d’affection, les battements de son palpitant s’accélèrent, et ce n’est pas seulement dû à l’acte auquel ils se livrent avec autant d’intensité. « Say it again. » chuchote-t-il au creux de sa gorge, sa langue lapant insidieusement la ligne de sa jugulaire, avant de remonter jusqu’à son menton, qu’il attrape entre ses dents. Say it again. Son prénom. Orson. Lorsqu’elle l’appelle par son prénom, c’est son être tout entier qui exulte. « Say it… » répète-t-il en haletant presque, les paupières à moitié closes, alors qu’il vient reposer sa tête dans le creux de son cou. De là, Orson hume son parfum jusqu’à l’ivresse et l’asphyxie. « It does not bother me. » confesse l’impérial, en sentant ses lèvres s’étirer en un rictus. Orson sourit avec cynisme et arrogance, mais il est sincère. D’autres le dérangent, mais pas elle. D’autres l’énervent, mais pas elle. Elle vient de salir ses schémas de son humidité et dans le creux de ses poings sous ses coups de reins violents et cupides, mais il n’entre pas pour autant dans une colère noire. Shara a le droit. Il réalise à cet instant, qu’il semble tolérer beaucoup plus de choses de sa part qu’il ne le pense de prime abord. Comme son prénom. « You say it in a way that turns me on. » Un léger rire ponctue son explication. Shara se rendra probablement compte du privilège qu'il lui concède, de cette marque sincère d'appréciation et de reconnaissance qu'il lui octroie en la laissant libre d’instaurer une bulle d'intimité entre eux. L'appeler par son prénom, c'est ouvrir une porte et non plus grimper sournoisement à la fenêtre. C'est un premier gage d'affection. Un début de confiance.

Shara a une manière si singulière de le dire pour la première fois entre eux. Qui plus est dans un moment pareil. Orson. Elle le prononce d’une manière si obscène que cela lui hérisse les poils des bras. Il adore, il en raffole. Ce n’est pas donné à tout le monde. Seul Galen Erso se permet autour de lui cette familiarité, du fait de leur très vieille et longue amitié depuis Brentaal IV. Personne d’autre ne s’est jamais senti aussi proche du directeur Krennic pour y être autorisé par ce dernier. Bien sûr, Orson Krennic adore qu’on l’appelle par son titre. « Directeur Krennic. » Un plaisir en soi. Un plaisir quotidien. Un signe de pouvoir, de magnificence et d’autorité. Orson est un homme profondément imbu de sa personne. Il aime qu’on souligne son autorité d’une main de maître, même dans l’intimité. Probablement surtout dans l’intimité, mais ce qu’il adore par-dessus tout, c’est l’entendre, elle. Elle… elle est la seule qu’il accepte de lui faire l’immense honneur de manquer à son devoir, en omettant son titre pour préférer l’utilisation du prénom que sa mère lui a donné à la naissance. Orson. Seule elle ne l’énerve pas. Seule elle peut l’employer avec lui. Dans l’intimité. Même au-delà. Il envisage vaguement, tout en la besognant avec encore plus de vigueur, à accepter d’être appelé de cette manière dans le cadre de leurs échanges privés, une fois les portes closes. Pas forcément pour une partie sulfureuse de jambes en l’air. Pour des échanges sur leur projet commun, sur l’avenir de la galaxie, sur plein d’autres sujets, en réalité. Probablement pas en public. Il est un peu tôt pour envisager un tel revirement, qui ne soit pas… interprété de la pire des manières. Parce qu’il sent, au fond de lui, que le fait de l’insulter de salope risque de l’agacer, et même de l’énerver. Personne ne peut l’appeler de la sorte. Personne d’autre que lui.

Elle est sa salope. Cette insulte dans sa bouche n’en est pas vraiment une, c’est un compliment. Orson aime les tigresses dans l’intimité. Elles ne l’ennuient pas, elles magnifient tout son potentiel, elles lui donnent envie de se dépasser et de ne jamais arrêter. Elles lui donnent envie « de plus qu’une partie de jambes en l’air ». Shara Bey est sans doute la première d’entre elles avec qui il se pose sincèrement la question d’un « lendemain ». Cela le désarçonne véritablement. Il n’est pas familier à ce genre d’interrogations. Il prend et il jette. Orson Krennic est un impulsif. Il ne s’attache pas. Il convoite ce qui l’obsède, il le possède, et enfin, il s’intéresse à un autre chef d’œuvre. Or, la manière dont elle l’embrasse langoureusement, la manière dont leurs corps s’emboitent l’un dans l’autre avec perfection, la manière dont elle crie son prénom ou son plaisir… sont autant de détails qui le font chavirer, au point qu’il refuse d’y renoncer le lendemain. Shara et Orson sont en symbiose. Une alchimie parfaite. Sur tous les plans. Et cela le dépasse. Il se sent frustré, abandonné à un avenir qui ne dépend plus seulement de son propre fait ou de son autorité, mais également de ses mouvements à elle. Il déteste cela, tout en adorant cet attrait de nouveauté. Il déteste l’idée de faiblir pour une femme, d’appartenir à un autre que sa propre personne narcissique et égocentrique. Krennic n’est jamais tombé amoureux, mis à part de son travail. Sa seule maîtresse depuis toujours. Lorsqu’il plonge ses yeux dans le noisette des siens, qu’il contemple la lueur d’excitation et de lubricité qui se révèle à la surface, qu’il remarque la dilatation extrême de ses pupilles sous le coup du désir, Orson Krennic confesse vouloir admirer cette vue encore et encore. Est-ce qu’ils remettront le couvert ? Oui, probablement. C’est un oui sûr et certain. Elle est marquée, dorénavant. Par sa langue, par ses morsures, par sa chaleur, par son humidité. Il doute même d’accepter l’idée qu’un autre que lui puisse la remplir avec autant de justesse et de passion. Il se déteste pour avoir ce genre de pensées, alors il s’énerve. Physiquement.

Il cogne, plus fort en elle, plus profondément, comme elle le supplie de la prendre jusqu’à en avoir les cordes vocales brisées. Elle le supplie de la pénétrer avec plus de profondeur, alors Orson s’exécute sans se faire prier, en luttant intérieurement contre son propre crescendo du plaisir. Non, il ne jouira pas maintenant, pas si vite. Elle jouira, et il savourera son orgasme, avant de reprendre. Ils ne s’arrêteront qu’une fois leurs muscles endoloris, leurs peaux brûlées au contact de celle de l’autre, leurs souffles éteints et dépendants d’un seul et même sillage. Elle… elle lui donne envie de la faire crier indéfiniment. Il veut entendre son prénom de sa si jolie bouche pulpeuse, bonne pour l’embrasser, pour le sucer. Il la déteste un peu, beaucoup, à la folie. Il la déteste tellement, qu’il veut lui laisser un premier souvenir mémorable de lui, pour qu’elle revienne le supplier de la prendre dans toutes les positions possibles et à toute heure du jour comme de la nuit. Il la déteste au point qu’il brûle ardemment qu’elle soit sienne. Sienne et juste à lui. Qu’elle n’offre ses cuisses parfaites à personne d’autre. Ces mêmes cuisses, qu’il agrippe de ses mains puissantes, pour se trouver un appui, avant de sortir intégralement sa virilité et replonger brutalement en elle, dans un râle puissant de satisfaction et d’extase. Shara Bey est divine.

Il adore la manière dont son membre enflé, parcouru de spasmes et de contractions plonge jusqu’au plus profond de son être, jusqu’au point de non-retour dans ce même et inlassable mouvement de va et viens brutal, passionné et exigeant. Elle est à lui ce soir, elle est comme sa propriété, alors il exprime toute sa possessivité dans chacun de ses gestes. Chacun de ses baisers mouillés et sensuels le long de son cou, de sa nuque ou de ses lèvres pleines, dont il massacre clairement le maquillage à force de les presser si rageusement. Chacune des caresses de la pulpe de ses doigts sur l’intérieur de ses cuisses, en se perdant même sur son clitoris qu’il flatte longuement par de brèves pressions circulaires, en voulant accentuer la portée de ses cris. Orson désire plus de choses, plus que le simple fait qu’elle se brise la voix durant leurs ébats, il souhaite lui-même devenir sourd à cause d’eux. (ils sont surtout tous les deux complètement malades) Orson ne le veut pas, mais il se familiarise au goût sucré de sa peau, à l’odeur fleurie de son parfum, alors qu’il ne cesse de dévorer chaque centimètre de sa peau moite et brûlante. Sa poitrine, qu’il couve d’attentions particulières, de succions et de morsures. Ses clavicules, qu’il vénère et parcoure du bout de sa langue en adorant sentir ses os délicats sur sa route. Son oreille, droite, puis gauche, qu’il attrape dans sa bouche. Il adore son lobe, qu’il mordille même plusieurs fois, avant de se perdre le long de son cartilage et à l’arrière. Orson les abandonne souvent à regret, mais toujours en traçant un sillon humide sur son cou avec sensualité. Orson Krennic s’habitue bien trop à son corps. Trop pour espérer s’en passer un jour.

Elle n’est pourtant pas encore totalement sienne, mais elle s’apprête à l’être. Orson se concentre longuement sur ses propre sensations – vertigineuses et sensuelles. Il compte se déverser en elle, d’un instant à l’autre. Peut-être après un ou deux orgasmes de sa part. Ou même un troisième, s’il parvient à contrôler suffisamment son excitation – c’est qu’elle le rend si fébrile. Ses cris agissent en lui comme un puissant aphrodisiaque. Orson persévère, tout en agrippant ses seins d’une main, cette fois-ci, et l’autre venant se loger à l’arrière de sa taille pour la forcer à rester en place contre son bas-ventre, au gré de la brutalité de ses coups de reins. Les minutes passent, et il la sent de plus en plus proche. Il peut ressentir entre ses murs intimes trempés de son plaisir et brûlants de désir les prémisses d’un orgasme qu’il suppose être fulgurant. Il perçoit ses premières contractions internes, et c’est à ce moment précis, qu’il lui assène des coups plus profonds et rapides. Plus elle crie, et plus elle alimente sa fougue. Plus elle s’abandonne à lui, et plus il espère qu’elle ne le quittera jamais plus. Lorsqu’enfin, elle explose, Orson l’embrasse furieusement pour camoufler ses réactions exubérantes – il veut sentir ses cris dans sa bouche, goûter sa langue chaude avec la sienne et l’étreindre dans un sulfureux ballet, alors que ses mains ne cessent de glisser à cause de la fine pellicule de sueur dans le bas de son dos, et de ses hanches. Krennic s’agrippe ensuite de ses ongles, jusqu’au sang. Il meurtri cette chair si tendre, tout en retournant à sa poitrine de sa bouche. Il la flatte alors, aimant embrasser et sucer chacun de ses mamelons durcis et rouges de sang, durant quelques minutes avant de remonter ses lèvres jusqu’à son cou, puis enfin sa bouche, pour la posséder dans un nouveau baiser passionné.

« I’m not done yet. » murmure-t-il d’une voix rauque en interrompant leur danse buccale. Une lueur brille dans le fond de ses orbes glacés. Il la désire si fort que s’en est douloureux. Son sexe allant et venant en elle, comme un couteau se glissant avec une facilité déconcertante dans du beurre. « Come here, sweetheart. » Ses mains s’emparent précipitamment de ses fesses pour les soulever sans difficulté, alors que les jambes de la jeune femme sont toujours fermement enroulées autour de ses hanches. Il la déplace du bureau, désormais en bordel, – il s’inquiétera de cela plus tard – vers son immense canapé. Orson la renverse d’un coup, sans séparer sa verge de son antre encore brûlante et sensible. Maintenant qu’elle est allongée sur le cuir de son beau canapé, il maintient ses jambes posées de chaque côté de ses épaules, la croupe rebondie légèrement remontée, afin de recevoir ses nouveaux assauts sensuels. « Cum again for me, could you ? » chuchote-t-il, en s’enfonçant profondément en elle pour illustrer son propos. Il veut l’entendre encore, la sentir jouir une fois encore. Orson raffole de ses spasmes, de ses contractions, de ses fluides qui s’enroulent amoureusement autour de son membre aussi dur que le plus beau marbre. « I want you to scream. » C’est un ordre, ni plus ni moins. « For me, only me. Let everybody know it. » grogne Krennic, suavement. Il veut que tout le département scientifique les entende, il veut que la galaxie entière sache qu’il est un très bon coup, mais surtout, qu’elle est sa propriété à compter de cette nuit et pour une durée indéterminée. « Let me myself clear, dear one… You will never let anybody else touch you. Your body, as well as your soul and your bright spirit are mine. Understood ? » Son ton est brûlant, tout en étant menaçant. Krennic a une manière si érotique d’imposer ses conditions. Il est plus que sérieux, malgré l’imprévisibilité de leur situation. Que quiconque s’approche de son corps dénudé et agréable se fasse purement et simplement démettre de ses fonctions, ou envoyé dans un camp d’esclaves, ou même dans un bagne, au fin fond d’un désert aride. « You’re fucking so incredible, the hottest thing I’ve ever met. » chuchote-t-il d’une voix rauque, en articulant soigneusement chacun de ses mots, qu’il ponctue d’un coup de bassin plus fort que les autres. « I want to fuck you all day long. » Et c’est ce qu’il fera. Définitivement.

FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Anonymous

Invité



Mar 1 Nov - 18:37


when the curtain's call the time : will we both go home alive ? it wasn't hard to realise. love's the death of peace of mind. when the curtain's call the time, will we both be satisfied ? it wasn't hard to realise love's the death of peace of mind. (music) -- ft. @"orson krennic".




(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
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▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo4_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_pczgs9vQfb1s5xacmo6_400
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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po3_r1_400(( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  Tumblr_oo13kd53bo1vjdt8po5_r2_400
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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Dim 27 Nov - 23:25




the death of peace of mine
director krennic x doctor shara bey






“no longing for the moonlight, no longing for the sun, no longer will I curse the bad I've done. f there's a time when the feelings gone, I wanna feel it. you can holler, you can wail. you can blow what's left of my right mind. you can swing, you can flail. but I'll never give you up. if I ever give you up, my heart will surely fail. you can blow what's left of my right mind.” (future starts slowthe kills)

writing music: future starts slow ▴ the kills
notes:  (( AU )) the death of peace of mind. // nsfw.  1235984971

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A BORD DE LA DEATH STAR, STATION DE COMBAT IMPÉRIALE ▴ LABORATOIRE DE RECHERCHE ▴ -16 BBY


Elle crie, toujours avec ce petit sourire qui le fait tant chavirer. Incapable de contrôler les battements de plus en plus frénétiques de son coeur, Orson Krennic réalise que toutes ses pensées sont accaparées par cette femme délicieuse. Il en a sauté, des femmes dans l’Empire. Des assistantes, des aristocrates, des bourgeoises, des étudiantes, des citoyennes, des officiers. (oui bon tout l’Empire quoi) Dans sa jeunesse, par ailleurs, Orson Krennic s’est avéré particulièrement turbulent et fêtard, appréciant plus que de raison les soirées étudiantes. Son passif, sa réputation le précède, or, rien ne l’a jamais véritablement préparé à la possibilité exquise, Ô combien effrayante, d’une implication émotionnelle. Orson Krennic balaie les émotions et les sentiments par simple commodité. Ce n’est pas homme à s’attacher à un autre être. Profondément narcissique, terriblement égoïste. Orson Krennic aime Orson Krennic. Mais pas seulement, il aime aussi les richesses, le pouvoir et tous les privilèges que ce dernier est susceptible d’amener. Orson n’a jamais pensé vouloir « remettre le couvert » avec l’une de ses amantes. Une conquête ne se vit aussi intensément qu’une fois dans une vie. Il considère, qu’une fois avoir su conquérir par la force un territoire, rien de bon ne peut en ressortir la seconde fois. Cela est surtout la preuve qu’il est bien incapable de contrôler ses émotions, et de s’empêcher de commettre certaines imprudences. Il anticipe pour se préserver, comme un mécanisme d’autodéfense relativement sophistiqué, alors qu’il n’est rien d’autre que puérile et inutile. On ne peut indéfiniment brimer les élans affectifs, empêcher toute forme d’attachement. Au bout d’un moment, tout explose. Orson s’amuse à bloquer toute intrusion dans ce petit coeur froid et revanchard qui est le sien. Cela marche généralement à la perfection. Mais, elle.. Oui, elle, il a bien envie de recommencer. Tout recommencer depuis le début. Le goût de sa peau, ses hurlements, ses réponses de bassin sous les ondulations de ses hanches lui font goûter et surtout éprouver un sentiment nouveau. La possessivité. L’idée même de partager les plaisirs qu’elle seule lui procure avec quelque autre amant l’horripile. Plus il y pense, plus ses pensées s’embrouillent dans son esprit.

A cet instant, Orson Krennic se moque complètement des griffures, ou même des marques que la jeune femme laisse sur le sillage de son plaisir. Il l’observe du coin de l’oeil, attentif à chacun de ses gestes, de ses soupirs, de ses gémissements, de ses spasmes, de ses contractions. Tant de symptômes évoquant la montée tant attendue de l’orgasme. Il se berce de ses cris à en percer ses tympans, les murs et toute la base militaire impériale. Il se délecte du roulement abandonné de ses yeux, il se découvre complètement et littéralement fasciné par cette femme. Elle est la forme la plus pure et la plus libérée de la perfection. Elle est sa perfection. Sienne, ce soir. Sienne, demain sans doute. Sienne, tous les jours de la semaine. Krennic en fera sa maîtresse. Son exclusivité, sa chose, son trophée. Il paradera fièrement, drapé de sa cape blanche, en lui jetant des oeillades et des rictus charmeurs, terriblement arrogants. Elle comprendra sa suffisance et s’en nourrira à son tour, jusqu’à l’implorer, entre deux corridors où ils se retrouveront seuls, de la prendre à la nuit tombée. Elle viendra à lui, chuchotant vouloir être baisée dans l’heure, et il consentira à son malheur. Krennic déteste laisser qui que ce soit dans le désarroi et la frustration. Il se pressera d’écourter leurs meetings publics avec toute l’équipe, il prétextera avoir des choses importantes à discuter avec elle sur le projet, afin de prendre congé à ses côtés. Il usera de tous les stratagèmes, — du plus discret au plus voyant —, pour goûter encore et encore à la peau sucrée de son corps nu, étendu le long de son canapé en cuir luxueux. Qu’elle ravagera de ses ongles, imprégnant l’odeur de son parfum dans le cuir, comme une traînée entêtante qui lui rappellera à chaque fois qu’il y prendra place, tous les moindres détails de leurs ébats passionnés. Il s’enorgueillira, il se félicitera d’être un si bon coup.

Elle le complimente encore, gonflant toujours plus son irrésistible égo. Il aime lorsqu’elle le complimente, flatte son égo surdimensionné, tout en faisant preuve d’une certaine lucidité et d’une vivacité d’esprit remarquable lorsqu’ils en viennent à discuter du projet, de leurs recherches conjointes, ou tout bonnement… de leurs idéaux. Ils se ressemblent, ils s’accordent comme deux flammes jumelles impériales.  « Oh... Sweetheart... I already knew it... » grommèle Krennic, les yeux mi-clos, assombris par tout ce plaisir. Lorsqu’elle lui fait remarquer qu’il est particulièrement torride en aboyant ses ordres à tout bout de champ, il se met à rire, le plus spontanément du monde. Aucune trace de cynisme ou de moquerie, pour changer. Un rire sincère, chaud. Cela ne lui est pas arrivé depuis… longtemps. « I'm sure that your underwear remembers it every time. » Il adore casser les barrières avec elle. Plus de politesse, de fausse-courtoisie, lorsqu’il a tout bonnement envie de parler crûment et d’évoquer l’attirance évidente qu’ils se vouent l’un à l’autre depuis un moment déjà. Elle le désire, il le sait. Il l’a senti depuis quelques temps, sans en avoir de véritable preuve, jusqu’à ce soir. Krennic est flatté, profondément heurté dans sa chair. Elle le comble en tous points de vue. Son esprit pervers prend conscience de tout ce qu’ils sont susceptibles de faire, l’un comme l’autre. Tous les rendez-vous, les regards et les clins d’oeil, tous les sous-entendus insidieux et les caresses discrètes, mais provocantes. Elle veut des ordres, elle en aura. Elle veut être soumise à sa volonté, elle le sera. Il l’effleurera, parfois, devant tout le monde. A l’insu de tout le monde. Dans leur dos, aux meetings. Il la dévorera de loin, à chaque fois qu’elle entrera dans une pièce. Il laissera courir ses doigts le long du bas de ses reins, jusqu’à se perdre sur la courbe voluptueuse de sa croupe, dans une caresse presque agonisante, avant de s’éloigner. Elle comprendra, elle le rejoindra dans ses quartiers. Elle le fera à chaque fois. Elle se laissera prendre à ses caprices, elle se laissera aimer par quelqu’un comme lui. Quelqu’un d’infiniment puissant, étonnamment protecteur envers ce qu’il considère comme lui appartenir de près ou de loin, — car oui, Orson Krennic est un monstre territorial. Personne ne la touchera ou ne l’approchera. Les officiers qui essaieront s’attireront ses médisances et ses foudres. Il la marquera comme son territoire, parce qu’à cet instant, c’est bien ce qu’elle est entre ses mains puissantes. Si elle accepte de tout lui donner, il la protègera. Il l’emmènera loin. Il fera d’elle quelqu’un.

« From the back. » souffle-t-il, comme un énième ordre de la soirée. « I want you from the back, honey. » Il la veut à quatre pattes. Il veut la baiser violemment, par derrière, comme la délicieuse catin qu’elle sait être tout spécialement avec lui. Juste pour lui. Si docile, si malléable, mais si sauvage et pur, dans le même temps. Shara possède son caractère. Certains officiers le trouvent horripilant, un peu trop franc, mais Krennic valorise ce genre de comportement. Shara est une bosseuse acharnée, négligeant sa propre vie sociale et personnelle au profit d’années de servitude et de loyauté extrême envers le grand et noble Empire galactique. Tout comme lui. Ils sacrifient ensemble leurs vies pour servir des idéaux qui les dépassent. Ils peuvent parfaitement s’entendre. Ils s’entendent déjà. Leur communion sensuelle et charnelle est à la hauteur de la symbiose de leurs esprits si brillants, mais sentimentalement retardés. Deux bourreaux, deux phobiques de l’engagement ensemble peuvent-ils vraiment faire des miracles ? Krennic veut croire en une réponse affirmative. Shara Bey est la seule femme qui mérite ses attentions depuis des mois, voire des années. Il la convoite, à vrai dire. Cela ne date pas d’aujourd’hui. Elle l’a séduit le premier jour, lorsqu’elle s’est présentée ouvertement à lui, en ne passant par aucun autre, simplement en faisant preuve d’une remarquable audace. Beaucoup ont murmuré, ce jour-là. Beaucoup ont considéré… qu’elle outrepasse ses droits en faisant front à un haut dignitaire de l’administration impériale sans avoir été conviée par ce dernier à prendre la parole. Orson Krennic est demeuré froid et impassible, mais… l’esquisse du sourire arrogant, presque charmeur, s’étant dessiné sur ses lèvres en faisant volte-face est la preuve suprême de son vif émoi. Shara Bey lui a tapé dans l’oeil. Depuis lors, il a toujours veillé à son confort personnel. Les meilleurs scientifiques pour son équipe, les moyens financiers, les meilleurs quartiers, les mets les plus raffinés pour leurs meetings et les dîners de ses équipes. Krennic s’est souvent imaginé lui proposer de rester tard dans ses appartements et de partager un dîner.

« Come on now. » Krennic insiste, pour que Shara retrouve rapidement son souffle afin de se redresser dans son canapé. Il l’aide un peu durement, en agrippant son bras pour la contraindre à se mettre sur ses genoux, à même le sol, face contre le bord du canapé, auquel il l’encourage de se  tenir. Afin de l'encourager, Krennic lui claque violemment les fesses une fois, deux fois et trois fois. Il ne se lassera jamais de ses cris sensuels. « Hold tight to the couch, scratch it, make your mark on it. I don't care. I have the money to get it replaced. » fait-il remarquer, en percevant un coup d’oeil de Shara sur le cuir complètement déchiré sur l’un des coins. « But… » Il reprend, haletant. Krennic essaie de faire bonne figure, d’être le directeur, le mâle dominant. Mais… « I won't. I like the thought of... you soaking in there. » D’un geste de la main, l’impérial désigne le cuir de son canapé. « I want to feel you on there, when you give me the agony of your absence. » murmure-t-il en tirant son visage en arrière, tout contre son torse encore habillé de son uniforme blanc immaculé. Il souffle d’une voix caressante, brûlante, dans le creux de son oreille, avant de marquer son cou de l’empreinte de ses dents, tout près du suçon qu’il lui a délibérément laissé en cadeau. « I can' t get enough of your skin. » confie-t-il, les yeux brillants d’excitation. Comme un enfant émerveillé devant le plus beau jouet de toute la galaxie. « I've been thinking about doing this for a while. » Faire ça. La convier dans ses appartements privés et la prendre sur son canapé, sa table, son mur, et pourquoi pas son lit ? Il y a quelque chose de particulièrement intime, dans le fait d’inviter une femme dans sa chambre. Il accepte toutefois de l’y emmener. Il consent même à lui faire une visite guidée, afin qu’ils puissent souiller les pièces glacées et impersonnelles de ses appartements. Lorsqu’il la pénètre par derrière, dans un coup sec, l’impérial réprime difficilement un long frisson qui vient se mourir dans le creux de ses reins. C’est si bon, merveilleusement explosif. Toutes ces sensations vertigineuses qui s’emparent de lui, le font pour la première fois, vraiment s’abandonner. Shara Bey lui donne envie de s’abandonner, de baisser les armes, de montrer son perfectionnisme. Le corps de Krennic se détend, tandis que celui de Shara Bey ne fait que s’ouvrir davantage au rythme de ses coups de reins. On entend leurs râles, gémissements de plus en plus poussés, ainsi que le bruit sourd de sa virilité humide allant et venant, ravageant l’intimité de la jeune femme avec beaucoup moins de patience. Chaque poussée le fait presque exploser d’un plaisir nerveux. Il remonte ensuite les mèches de la longue chevelure brune de Shara Bey, afin de déposer ses cheveux ondulés sur le côté pour libérer la beauté fragile de sa nuque. Du bout des doigts, il vient les enrouler autour de son cou par l’arrière, comme dans un étau. De son autre main, Krennic s’accroche à l’une de ses cuisses, en plantant ses ongles dans sa chair. Il veut la toucher, créer un contact peau contre peau. Il veut tout d’elle.

Les poussées sont délibérées, profondes et parfaitement contrôlées, mais pas inconfortables pour autant, ou comme lorsque l’on s’empêche de jouir rapidement. Leurs ébats sont plaisants pour l’un comme pour l’autre, même si cela semble fort discutable d’un point de vue extérieur. Krennic glisse en elle, comme ses mains se perdent le long de ses hanches qu’il maintient dans ces dernières. Le cuir mouillé et moite de ses gants lui fait perdre son emprise, par moments. Krennic grimace à chaque fois, en émettant un long râle d’insatisfaction. Il désire tant s’accrocher et s’attacher à son corps. « Fuck. » jure-t-il en émettant un puissant râle de plaisir, dépassé par la violence de leurs ébats et la chaleur qui émerge en lui. Krennic ferme les yeux pour se concentrer sur le mouvement lascif de son membre en elle. D’avant en arrière, toujours plus loin. Il finit par les abandonner, ces fameux gants. Il les projette dans un coin de la pièce, au hasard et sans aucune considération pour son uniforme, Krennic laisse ensuite ses mains nues, grandes et veinées, guider ses caresses plus bas. Il s’éloigne des hanches de Shara pour venir masser ses fesses, ainsi offertes dans cette position des plus dominatrices. Une claque. Inattendue, rapide et forte. Il lui claque la fesse droite, puis la gauche avec plus de violence. « My name... Scream my name... If you want more, babe. » Elle en voudra plus, il le sait. Il a senti les frissons de la jeune femme comme s’ils lui appartenaient. « What a little whore you are, sharing your fantasies with your immediate superior... Where are your manners? I should punish you very badly for that. » Il s’amuse intérieurement comme un grand enfant.  L’intonation de sa voix évoque pourtant tout, sauf l’amusement. Sa voix est autoritaire, ferme et intransigeante. Il joue son rôle, il ne laisse entrevoir aucune faiblesse. « Come. Again... For me. Now. » ordonne Krennic, à bout de souffle. Il a l’impression que son coeur va le lâcher d’un instant à l’autre. Tout est parfait entre eux. Krennic glisse un bras le long du dos de Shara, pour la pousser toujours plus fort en avant, écrasant sa poitrine déjà suffisamment meurtrie par les pincements de ses doigts au niveau de ses mamelons gorgés de sang. Tout en la poussant, Krennic se met à bouger les hanches plus rapidement. Les mouvements de sa virilité, prête à exploser d’une seconde à l’autre, sont parfaitement équilibrés, rapides et profonds, mais tout en restant durs et dominants. Krennic sait exactement comment la faire jouir encore une fois, alors il s’y attèle, en voulant la suivre dans la foulée. Il ne tient plus. Son membre est en feu, au point de s’insensibiliser.

FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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