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DANS CE PETIT TABLEAU, TU TROUVERAS TOUS LES LIENS UTILES QUAND TU ES EN TRAIN DE RP.
▿ N'oubliez pas de recenser
vos personnages dans le bottin des personnages


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(terminé) give the pain a purpose. (ft. orson)

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Anonymous

Invité



Dim 3 Avr - 21:53


welcome to the wild, no heroes and villains. welcome to the war, we've only begun. so pick up your weapon and face it, there's blood on the crown, go and take it. you get one shot to make it out alive. (music) -- ft. @"orson krennic".

L’explosion retentit. Tu te jettes au sol, par réflexe mais c’est trop tard. Tu sens bien que ton ouïe est touchée par cet éternel sifflement à cause de cette même explosion. Ta tête tourne un peu, mais tu réussis à te redresser, malgré toi sur tes deux jambes. La lèvre légèrement ouverte qui saigne, la fumée qui émane de chaque recoin de ce couloir, quelques mèches de cheveux qui tombent devant ton visage, tes yeux qui clignent plusieurs fois pour t’habituer à tout ça. Pourtant, tu sens que t’es absolument pas opérationnelle Shara, et tu te maudis intérieurement d’avoir accepté cette mission. Évidemment que ça avait été une mauvaise idée, ton truc à toi, c’est de voler, pas les missions de terrain. Mais c’était trop tard. Tout faire pour t’en sortir restait désormais la seule option possible.

– Lieutenant Bey. C’est loin, trop loin. T’arrives pas à entendre tandis que ton prénom est camouflé par l’alerte qui sonne vivement dans tout le périmètre mais surtout par cet acouphène qui ne semble pas disparaître. – Lieutenant Bey ! Tu tournes la tête, tu semble loin, shooté, tout ça parce que l’explosion t’as faite totalement perdre pieds. – Shara ! On attrape tes deux bras cette fois-ci, comme pour te faire réagir et tes prunelles se plantent dans celles de ton collaborateur. Enfin, presque, parce que t’es toujours tellement sonné que bien vite, ceux-ci se redressent et s'acharnent sur tout sauf lui. Ses mots arrivent jusqu'à tes oreilles mais celles-ci filtrent les sons, comme cherchant avant tout à faire taire cette alerte. Ou ce bourdonnement constant dans tes oreilles.  – Quoi ? Tu dis, sans prononcer les mots. Tes lèvres font les mouvements, mais c’est tout. – Il faut qu’on y aille. Tu comprends pas, tu n’entends rien. Et il te tire, toi, tu suis, maladroitement. Tu comprends plus rien. Tu manques de tomber tandis que ça tambourine dans ton esprit, que tu n’arrives juste plus à savoir, à comprendre, à mettre de l’ordre dans ta tête. Cette explosion bien trop violente jouant forcément en ta défaveur.

Il appelle l’ascenseur tandis que toi, t’es toujours sonnée, debout, manquant presque de tomber mais tu t’rattrapes de justesse. Les tirs de blasters raisonnent, et l’ascenseur s’ouvre à cet instant précis. Il te pousse dedans, se mettant devant toi tandis qu’il tire avec son arme jusqu’à finalement la lâcher à cause d’un tir reçu dans l’épaule. Au même moment, tu retrouves tes esprits. Tu sais ni pourquoi, ni comment, mais enfin, la réalité reprend son cours, le temps recommence à se dérouler normalement et tu l’attrapes par le col de son uniforme pour le tirer avec toi dans l’ascenseur. La porte de celui-ci se ferme et toi tu appuies sur le dernier bouton pour permettre quelques secondes de répits. Tu réfléchis au plan le plus logique : tant pis pour récupérer ce que vous deviez récupérer, vous devez partir, maintenant. Et prendre un vaisseau, le premier pour que vous puissiez quitter ce vaisseau impérial. Tu savais pas piloter les TIE, mais t’étais une putain de pilote. C’était c’que tu savais faire de mieux, donc en atteindre un serait l’étape la plus difficile. Ensuite, tu laisserais ton talent faire le reste.

Une discussion rapide sur ton plan établis. – Et le disque dur ? Qu’il demande. Un disque dur contenant des informations capitales quant aux diverses actions Impériales. Si la Rébellion met la main dessus, vous pourriez saboter pas mal de leurs opérations.  – Pour ça il faudrait déjà qu’on soit vivant ! Tu clames, tandis qu’il semble s’acharner. Un débat débute alors dans cet ascenseur en mouvement vers la plateforme tant désirée. Il tente d'argumenter, sous prétexte que vous êtes sur place.  – On abandonne la mission. Et c’est un ordre soldat. La lieutenant avait parlé, et du coup, il ne renchérissait plus. Il te regarde, presque déçu de ta propre décision, mais tu devais parfois prendre ce genre de décision, aussi difficile soient-elles. Cependant, récupérer ce disque dur est une chose, le rapporter vivant en est une autre.

Et alors que vous vous regardez, l’ascenseur se stoppe. Tu appuies sur le bouton pour tenter de monter, cependant, rien n’y fait. Il est bloqué. Tu tentes de récupérer ton arme à ta ceinture jusqu’à ce que tu te souviennes de l’avoir laissé suite à l’explosion. Et celle de ton partenaire aussi, est en bas, devant ce même ascenseur.
Les portes s’ouvrent sur un banc de stormtrooper qui vous tiennent en joue. La tentative d’escapade est désormais voué à l’échec, plus qu’à espérer que la Rébellion envoie rapidement quelqu’un pour vous sauver. Vous vous retrouvez alors à lever les deux mains, de manière innocente. Se rendre est la chose la plus facile qu’il reste à faire. Et sans grande surprise, vous voilà traiter comme des chiens. Quelques coups de tête plus tard et une énième tentative de libérer tes deux bras maintenu fermement par les deux soldats en blanc résulte par ton crane qui est soudainement victime d’un coup d’une violence sans nom.

Et c’est tout noir. Plus conscience de quoi que ce soit. Tête vers le bas, pieds traînant au sol, tu te retrouves bien vite désarticulé comme une pauvre marionnette. Marionnette de l’Empire.



Les secondes s’écoulent, qui font place aux minutes, qui font place aux heures. Tu reprends enfin conscience, un réveil brutal, soudain tandis que tout se reconnecte. Tu ouvres les yeux, ne reconnaissant d’abord pas l’endroit où tu es. Et te voilà, tentant de bouger mais tu réalises bien vite que tu es incapable de bouger plus que ta tête. Ou des doigts. Mais tu es totalement immobilisée. Les souvenirs reviennent et c’est là que tu réalises Shara.
T’es dans la merde. T’aimerais trouver un moyen de pouvoir t’en sortir, ou mieux, mettre un terme à ta propre existence.
Règle numéro une : ne rien dire. Absolument rien. Quitte à y laisser la vie.

Et Dieu seul sait à quel point cette vie ne dépend désormais plus de toi. Surtout avec la manière dont ton mental va être mis à l’épreuve Shara. C’est maintenant, que tout ton entraînement militaire se joue. Maintenant qu’il va falloir faire tes preuves.
Pour la République.
Pour les démunis.
Pour la liberté.
Souviens toi de tout Shara. De pourquoi tu fait ça. Et surtout, rôde toi. Prépare toi. Parce que tu sais, tu te doutes que si le calme est revenu autour de toi, ce n'est qu'un bref instant de répit avant l'Enfer qui se trouve probablement derrière ces portes là.  


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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—⥼ ※ ⥽—

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Ven 8 Avr - 21:24




give the pain a purpose
director krennic x shara bey






“Here comes the darkness. It's eating on my soul. Now that the spark has run out of control. This fire is raging. I can't find the door. I just want to die here, but you wanted more. Now that the light has driven me insane. This fire is blazing and I'm still inside. I just want to die here. You won't let me out alive.” (burnthe pretty reckless)

writing music: burn ▴ the pretty reckless
notes: j'espère que ça te plaira  (terminé) give the pain a purpose. (ft. orson) 894672784

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A BORD DU DESTROYER STELLAIRE DE CLASSE IMPERIALE ▴ -0 BBY ▴ AVANT LES EVENEMENTS DE ROGUE ONE …

La silhouette drapée de blanc d’Orson Krennic déambule dans les couloirs du Destroyer stellaire de classe impérial, ce vaisseau flotte depuis une heure à peine dans l’orbite de la planète Scarif. Orson Krennic est accompagné par deux death troopers, ces fameuses troupes de la mort, habillées d’une armure reconnaissable entre mille de couleur noir ébène. Ces membres de l’élite impériale consistent en sa fameuse garde rapprochée. Ils le suivent où qu’il aille, comme l’ombre fluide de sa cape virevoltant sous son pas décidé. Ses bottes claquent au rythme de son avancée, le petit talon bien familier cogne brutalement contre les dalles métalliques, tant de signes annonciateurs du calme avant la tempête. Orson Krennic est furibond. Il est comme excédé au plus profond de lui-même. Il intériorise autant qu’il peut sa colère froide, en se retenant de la déverser sur le premier venu, mais l’envie gronde en lui comme un besoin viscéral de boire de l’eau ou de respirer. Krennic étouffe dans son uniforme, il se sent asphyxié à bord de ce croiseur galactique, il meurt d’ennui à faire les cent pas dans les couloirs ternes et gris de la station. Que fait-il encore ici, alors qu’il est supposé travailler sur sa présentation pour l'Empereur ? Ce n’est plus qu’une question de jours et même d’heures avant que son projet top-secret puisse être présenté à l’Empereur Palpatine et à ce fourbe de Grand Moff Tarkin. Tous les regards sont sur lui, guettant ses moindres faiblesses, espérant une simple faille, dans le but de provoquer sa chute et sa disgrâce. Orson Krennic n’échouera pas. C’est le projet de sa vie, trente ans à travailler sur cette foutue étoile. Une obsession, une flamme dévorante qui brûle en lui comme un feu de forêt au moindre sursaut de lucidité. C’est le projet de sa vie, et voilà qu’on lui fait perdre un temps précieux. Ces satanés rebelles. Ces insectes de la résistance, ces nuisibles qu’il rêve d’écraser sous le talon de ses bottes cirées. Autour de lui, on s’exclame des « Directeur Krennic » à tout va. Sous les salutations respectueuses, Krennic préfère les ignorer, demeurent impassible à leurs appels du pied, comme s’ils faisaient partie des murs froids du vaisseau. « Bonjour directeur. » osa l’un d’entre eux, ce qui ne manqua pas d’agacer Krennic, qui manifesta son mécontentement d’un claquement dédaigneux de sa langue contre son palet. Qui est-il pour savoir si c’est ou non un bon jour ? Certains jeunes officiers impériaux bafouillent d’admiration en le voyant, apparemment intéressés par la fantaisie vestimentaire qui est bien vite devenue sa signature. Cette longue cape, virevoltante et froufroutante dans son dos comme un étendard brandissant toute l’ampleur de sa supériorité hiérarchique. Aucun officier, de rang supérieur ou inférieur, de se permet une pareille coquetterie. Seul Dark Vador est affublé d’une cape, noire, toutefois. Orson Krennic aime particulièrement le fait d’être unique.

En jetant des coups d’œil furtifs à droite et à gauche, l’impérial se félicite de l’efficacité de sa garde rapprochée. Ils marchent au pas de l’oie, avec une démarche assez dynamique, mais chronométrée. Ces death troopers sont prêts à donner leur vie contre celle du directeur du département de recherche des armes avances de l’Empire. Tandis que son menton se dresse fièrement devant les storm troopers qui le saluent au passage vers les étages inférieurs du vaisseau galactique. Dans l’ascenseur, Krennic souffle. L’un de ses gardes appuie sur le bouton du bas, afin d’arriver au -1. Là-bas se trouve l’une des survivantes de l’infiltration rebelle à bord du vaisseau. Quelles conneries. Ils n’ont pu en choper que deux sur les membres bien rodés de cette équipe.

Krennic pénètre dans la petite pièce en tête de file du cortège. Il avance de quelques mètres, tout en restant à une distance raisonnable de la captive. Une jeune femme brune, plutôt jolie, mais en piteux état. Ne mérite-t-elle pas d’être là, sanguinolente, pleine d’amertume et de terreur ? Non… Elle n’est pas terrifiée, Krennic constate même qu’elle s’efforce de maintenir toute sa dignité. Il s’en amuse, un léger ricanement s’échappe de ses lèvres entrouvertes, ce n’est pas aujourd’hui qu’une rebelle lui tiendra tête. Ni aujourd’hui ni demain.  Les pans de sa cape blanche se perdent entre ses jambes à chacun de ses pas, le matériau semble d’une extrême douceur et d’une incroyable fluidité. Quant au bruit de ses pas, il produit un écho régulier entre les murs de béton de la petite salle de repos du sous-sol. Une fois à quelques mètres de la prisonnière, entravée par une paire de menottes, la voix de Krennic s’élève dans l’air comme un bourdonnement assourdissant ; traînante, glaciale et… arrogante. Orson Krennic est plein d’assurance, ses pores transpirent la haine que la cause rebelle lui intime. Il est d’une arrogance si puissante, si détestable, qu’elle s’écrase dans l’air ambiant et impose à ses interlocuteurs le poids d’une tension palpable.

Il lève l’une de ses mains gantées en direction d’un officier en uniforme qui se trouve dans un coin de la pièce. En pliant ses doigts vers l’intérieur de sa main, Krennic lui fait signifier de s’avancer vers lui. Ils échangent quelques mots, des chuchotements à peine audibles pour la jeune femme, puis un rire s’échappe de leur discussion animée. De quoi parlent-ils donc ? « Bien, directeur. » souffle l’officier en inclinant sa tête. « Vous êtes venus me voler. » annonce Krennic avec une voix doucereuse. « Pourquoi faire ? » Comme si elle allait lui répondre. Orson s’avance dangereusement, dardant sur elle un regard d’une rare intensité, quelque chose de sinistre. Menaçant. Une aura sombre émane de lui, lorsqu’il pense à ce qui aurait pu se passer s’ils avaient réussi leur coup. Qu’aurait-il bien pu raconter à cet imbécile de Tarkin, qui meurt d’envie d’appuyer sur les failles de sa surveillance ? Elle est déjà extrêmement faillible. Et l’Empereur ? Qu’aurait-il dit ? Ces rebelles auraient pu anéantir toutes ses chances d’être un jour son plus proche conseiller en lieu et place de Wilhuff Tarkin.

Cette fille… Elle sait ce qu’elle vaut. Krennic observe dans un silence presque religieux son visage effrayé mais résolument courageux ; il réalise alors qu’elle essaie de l’affronter, de le défier pour prouver sa foi envers la cause rebelle. Cela l’amuse doucement, ses yeux sont plantés dans les siens et cherchent à la déstabiliser. Il réalise soudainement que cela risque d’être extrêmement jouissif que de briser un esprit aussi fort que le sien. Orson prit son menton entre ses doigts gantés, maintenant ce dernier en direction de son visage, de manière à créer un contact visuel d’une rare intensité entre eux. Il réaffirme sa prise en appuyant fortement contre l’os de son menton, en sentant un début de résistance. « Mmmh… le parfum du désespoir… de la rébellion… » souffle-t-il à l’oreille, tout en humant la délicate odeur de Shara ; son nez brossant la ligne de sa nuque, remontant ensuite jusqu’à s’engouffrer entre les mèches de ses cheveux. Puis, d’un coup sec, il repoussa son visage en arrière en rejetant son menton. Alors qu’elle s’écroule au sol, à ses pieds, l’impérial balaie l’air d’un mouvement de la main avec désinvolture. « Vous n’êtes pas venue seule, d’après ce que l’on m’a raconté. » susurre-t-il en reportant son attention sur la prisonnière. Krennic respire un goût métallique et sanglant dans l’air, celui-ci provient des plaies encore ouvertes sur le visage de la jeune femme. Ce parfum agréable appelle en lui des pulsions, il annonce des préliminaires victorieuses dans cette guerre des nerfs qu’ils comptent tous deux se livrer. « Amenez son partenaire. » Nous verrons bien qui fera plier l’autre en premier, pense-t-il en baissant la tête vers elle. Krennic patiente avec une certaine fébrilité se décide à lui faire face une seconde fois. Qu’on lui résiste, qu’on le craigne, toutes ces situations lui sont extrêmement familières. En tant que haut dignitaire de l’administration impériale, l’art de la persuasion est même une activité sportive dans laquelle il aime exceller. Ce qu’il considère comme art de la persuasion revêt également un autre nom : l’art de la torture, quelle qu’elle soit, tant qu’elle aboutit à des résultats concluants en un laps de temps relativement court. Quelques minutes plus tard, les portes en acier s’ouvrent et se referment sur deux death troopers accompagnant un autre prisonnier ; qu’ils jettent presque immédiatement au sol comme un vulgaire sac de pommes de terre. Krennic ne leur accorde pas même un regard, l’état de santé de l’autre rebelle lui est grandement égal, tout comme la manière dont ses hommes le traite. « Vous vous connaissez, il me semble ? » demande-t-il, même s’il a déjà connaissance de la réponse. Krennic montre d’un mouvement de la tête, son équipier rebelle, qui est attaché et blessé. Du sang coule le long de ses tempes, au coin de sa bouche, et l’un de ses yeux est recouvert d’un immense œil au beurre noir. Il s'est apparemment fait violenté durant d’interminables minutes avant d'être amené dans cette salle. « Mes hommes ont essayé de discuter un peu avec lui avant de se heurter à un mur. Peut-être qu’en vous mettant ensemble, les choses seront différentes ? » Un sourire prend possession de ses lèvres minces, alors qu’il s’exprime à eux avec une fausse amabilité. L’impérial se donne des airs charmants et calmes, mais il n’en est rien. Orson bouillonne à l’intérieur. « Les règles sont simples, très chère. Je ne vous apprends sûrement rien, mais voici ma façon de voir les choses : vous m’expliquez, calmement, ce que vous êtes venue faire ici avec une petite troupe de rebelles et vous serez libres de repartir. Vous et votre ami. Vous avez ma promesse. » Mensonge. Krennic n’a nullement l’intention de les laisser partir vivants. Il pose sa main contre sa poitrine, près de son cœur, dans un geste théâtral ridicule. Ses promesses sont aussi vaines que ses tentatives de conserver un visage imperturbable et inexpressif ; un rictus se dessine à la commissure de ses lèvres, narquois et impatient. « Si vous refusez d’ouvrir votre jolie bouche… Je serais alors dans l'obligation d’ordonner à mes hommes de tirer sur votre ami. Cela ne le tuera pas tout de suite, ne vous méprenez pas sur mes intentions, nous commencerons de l'endroit le moins au plus douloureux, lentement mais sûrement, afin de lui apporter une mort digne d’un martyr de la résistance. » Il affiche clairement son intention d'ordonner des actes de torture sur le compatriote de Shara Bay, sous ses yeux, impuissante. Tout en disant cela, l’impérial en cape se met à faire quelques pas dans la pièce. Une salle de repos tout ce qu’il y a de plus sommaire, terne et grise, mal éclairée dans le fond. Une fenêtre ouverte sur l’extérieur se trouve dans l’ombre de Krennic. L’obscurité demeure à certains endroits de la pièce, créant un effet de contraste intéressant avec l’uniforme blanc flamboyant d’Orson. « C’est votre choix, ma chère. Qu’en dites-vous ? Je pense que c’est un accord plutôt honnête. » dit-il d’une voix grave et froide, comme une brise d’air glacée en plein mois d’hiver. Orson Krennic espère qu’elle fera le bon choix, le seul qui lui permette d’assurer la préservation du saint Empire de Sheev Palpatine. Cela n’est pas dans ses attributions de torturer des rebelles, Krennic est un architecte, un ingénieur, un intellectuel, un superviseur… Il aime être leader, inspirer les foules et distribuer ses ordres en bon militaire. On ne peut pas dire qu’il a la violence en horreur, vu les atrocités qu’il a déjà commises depuis l’avènement de l’Empire. Il faut toutefois reconnaître que ses mains de haut dignitaire impérial n’ont que rarement été tâchées du sang des innocents ; Krennic préférant commanditer des actes de torture, de meurtre plutôt que de salir lui-même les mains. Lorsqu’il est amené à le faire, c’est parce que la situation est devenue beaucoup trop personnelle. Shara Bey ne désire certainement pas en arriver à ces extrémités. « Ma base, mes règles, mes jeux. Suis-je clair sur mes intentions ? » Balance tout, ma petite, tu risques de perdre bien plus que ta vie à jouer à ces petits jeux.

FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Anonymous

Invité



Mar 19 Avr - 19:26


welcome to the wild, no heroes and villains. welcome to the war, we've only begun. so pick up your weapon and face it, there's blood on the crown, go and take it. you get one shot to make it out alive. (music) -- ft. @orson krennic.

T'avais jamais été dans cette situation Shara. T'avais jamais connue la captivité, t'avais jamais su ce que c'était que d'être torturé mais de toute évidence, tu ne tarderais pas à le découvrir. Tu appréhendais, un peu, beaucoup parce que tu en avais entendu des histoires, des anecdotes de torture et tu savais que beaucoup ne s'en sortait pas nécessairement. Et c'était ça le soucis : c'est que la plupart préférait soit se laisser mourir, soit mettre fin à leur jours avant que les interminables heures de tortures ne commencent. Cependant, te concernant, tu n'avais pas eu le temps de le faire, ni même de l'envisager, alors ainsi tu étais là, attachée, incapable de pouvoir bouger outre ta tête qui observait, simplement, cherchant presque désespéremment un moyen de pouvoir t'en sortir. Il y avait bien quelque chose que tu gardais dans ta botte qui pouvais crocheter la serrure, cependant tu savais que si tu arrivais à te défaire de tes liens, tu aurais du mal à t'en sortir vivante dans tout les cas.
Et alors que tes petits yeux parcurent cette pièce, cet homme entre, suivi de quelques hommes. Une préstance qui elle même glace le sang, un visage fermé. A vue d'oeil Shara, tu penses qu'il est bien plus jeune qu'il en a l'air, ses traits semblant être marqués par d'inombrable heures de sommeil en moins et d'anxiété. C'est dommage, parce que sans ses traits si tirés, ce visage si cripsé et surtout, sans ces couleurs impériales, il pourrait presque être séduisant. Comme quoi, il suffisait d'un rien pour qu'une personne qui pourrait paraître lambda ait l'air d'être une des personnes les plus répugnante qu'on puisse connaître. Et qu'on s'le dise, il possède une aura des plus sombre, planant autour de lui tel un vautour qui attends de venir dévorer sa proie. Ca ne te rassure en rien Shara, pourquoi avais-tu accepter cette mission déjà ?

Il prends la parole, et toi, tu l'observes, silencieuse. Tu t'attardes sur ses traits de visage, cherchant désesmparément à trouver un indice, quelque chose qui pourrait le trahir. Un tic de language, un signe d'un potentiel mensonge. Tu analyses chaque micro expression, mais de toute évidence : tu as affaire à un professionnel. Rien ne semble présager une quoi que ça soit : et ça commence mal pour toi.
Cependant tu ne laisses rien voir. Il énonce une vérité : celle que tu étais venue pour le voler. Tu pourrais nier, prétendre n'être qu'un pion d'la Rébellion mais tu sais d'avance qu'il sait. Vous savez. Alors inutile de prétendre. A la place, tu restes silencieuse. Tu ne dis rien, comme lui offrant la réponse sur un plateau d'argent. Le simple fait de ne pas nier veux bien dire ce que ça veux dire. Tu te contentes de l'observer, de tes petits yeux brun et de ne rien dire. Tu faisais partie de ceux réputés pour avoir un mental d'acier, infaillible. Alors c'était le moment de prouver qu'ils pouvaient avoir confiance en toi. Tu optais pour le silence, pour ne rien dire, et silencieuse tu resterais. Tu allais pas flancher, faillir ou quoi que ça soit. De toute manière il n'avait rien sur toi, contre toi. Alors tu ne ferais rien, strictement rien. Juste tu subirais et avec un peu de chance, ils te retrouveraient avant qu'il t'achève.
Tu pensais qu'il passerait juste son temps à rôder autour de toi tel un vautour, mais sa main saisit violemment ton menton et toi, tu tentes de détourner le visage qu'il maintient tout de même fermement. Ca ne t'empêche cependant pas d'éviter son regard, de regarder partout, sauf ce démon bien sappé qui s'amuse de ta situation. Tu garde tes lèvres bien scellé, tu laisses rien présager, juste le fait que tu optes pour le silence, et ce silence, tu le garderas. Tandis qu'il te relâche et que, n'ayant plus aucun soutient, tu t'écroules au sol, à genoux, tu restes là, à observer le sol, tout mais pas lui. Comme en plein trip hallucinogène, tu tentes d'éviter ce diable qui s'amuse à te narguer, circulant en toute liberté autour de toi. Toi, tu te concentres sur tout, sauf sur la situation. Tu fermes les yeux, réalisant alors le goût métallique qui traine sur ta langue, éternelle preuve que t'as déjà pris des coups bien assez violent. « Vous n’êtes pas venue seule, d’après ce que l’on m’a raconté. » De toute évidence, les choses allaient se compliquer. Les portes s'ouvrent, et le voilà, ce partenaire, seul survivant avec toi traîné vulgairement. Tu remarques un nombre incalculable de blessure, tu analyses et sais d'avance qu'il doit avoir un sacré traumatisme crânien. Pourtant, si cette vision te déchire le coeur, tu ne dis rien. Tu l'connais, c'est un gamin assez jeune, qui n'a rien demandé. Il s'est engagé y a quelques mois, plein d'espoir pour finalement d'ores et déjà être exposée à cette atrocité et à la difficulté de cette vie choisie. C'est pour cette raison que c'est douloureux, car il est même pas encore majeur, mais tu ne montres rien. Un visage toujours aussi fermé tandis que tu le regardes et que lui sanglotte encore dans son coin, semi conscient. C'est qu'un soldat, un pion de plus. C'est c'que tu te répètes Shara, parce qu'à l'instant où vous quittez Yavin c'est ce que vous devenez. T'es quand même fier de lui, de savoir qu'il n'a rien dit. C'est admirable pour un gamin comme ça. Putain, tu vas devoir anoncer à son père qu'il n'aura pas survécu, et ça, ça t'déchire encore. Mais tu n'y penses pas. Tu ne penses à rien. Vide toi l'esprit.

Les propositions de cet impérial pourraient être attrayante si tu savais pas qu'il tentait d'entrer dans ta tête. Et pourtant, c'est ce qu'il tente de faire. Tu redresses enfin tes prunelles chocolat, le toisant d'un regard noir, toujours tes lèvres parfaitement scellé. Tu l'entends murmurer des supplications diverses à tes côtés tandis qu'il est encore en position foetale, et tu le regardes encore. Tes yeux alternes d'un à l'autre avant de se planter dans les prunelles de Krennic. Et c'est ce regard qui signe probablement son arrêt de mort à ton partenaire, parce que tu l'mets ouvertement au défit d'exécuté ses menaces. C'est un homme intelligent, tu sais que tu n'as pas besoin d'ouvrir la bouche pour qu'il comprenne. Tu vois qu'il a l'air cruel, tu sais qu'il le fera. Mais si il veux jouer, alors tu vas jouer. Si il tente de te briser, il n'y arrivera pas. Tu t'le promet – quoi que, cet homme hanterait sans doute encore tes nuits pendant des années et tu aurais sans doute besoin d'une bonne thérapie pour passer outre. Mais en attendant, ça ne te préoccupait pas. La Cause était trop importante, ta vie ne valait rien à côté de ce combat. Si tu parlais, des planètes entières se verraient décimées. Rien que Bail Organa qui jouait sur les deux terrains, et tu voulais éviter un massacre ou une quelconque autre chose qui pourrait te retomber dessus. Si tu devais mourir, ici, maintenant, alors ainsi soit-il, tu acceptes ton sors.
Et tu l'quitte pas des yeux, cet homme. Tes prunelles restant bien ancrée dans les siennes, preuve de ta détermination sans faille. Preuve que tu acceptais cette destinée qui se présentait à toi là, tout de suite.

- Shara, s'il te plait. Il murmure, de manière presque inaudible mais toi, tu l'entends. Mais tu le calcules pas, restant bien ancré sur cet homme. Désolé pour toi, mais ainsi soit-il. Qu'il meurt. Que valez vous ? Rien. Vous êtes remplaçable, même si une perte d'un tel élément comme toi serait vraiment handicapant. Qu'importe. Cette cause compte plus que le reste et tu sais que les hauts dignitaires de la Rebellion te seront reconnaissant de ne rien avoir dis quoi que ça soit. Tu sais aussi qu'il y aura un titre honorifique en ton honneur. C'est peut-être ça qui te réconforte d'ailleurs. La mort n'a jamais été aussi proche, et elle ne t'a jamais faite aussi peur que maintenant. Mais encore une fois, te voilà imperturbable. Silencieuse. Provocatrice, yeux bloqué sur l'homme à la cape. Et rien, ne te fera ouvrir cette putain de bouche. Strictement rien.


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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—⥼ ※ ⥽—

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Mer 20 Avr - 0:43




give the pain a purpose
director krennic x shara bey






“Here comes the darkness. It's eating on my soul. Now that the spark has run out of control. This fire is raging. I can't find the door. I just want to die here, but you wanted more. Now that the light has driven me insane. This fire is blazing and I'm still inside. I just want to die here. You won't let me out alive.” (burnthe pretty reckless)

writing music: burn ▴ the pretty reckless
notes: j'espère que ça te plaira  (terminé) give the pain a purpose. (ft. orson) 894672784

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A BORD DU DESTROYER STELLAIRE DE CLASSE IMPERIALE ▴ -0 BBY ▴ AVANT LES EVENEMENTS DE ROGUE ONE …

Orson Krennic a momentanément délaissé la jeune femme pour attirer son attention pleine et entière sur le deuxième rebelle qui se trouve désormais à l’intérieur de la petite salle. Il rôde alors, comme un vautour lorgnant sur les carcasses d’animaux à moitié morts, autour de l’équipier de cette impétueuse rebelle. Krennic déteste toute idée même de rébellion, il considère l'Empire comme l'unique système politique susceptible d'assurer ordre et discipline dans toute la galaxie. Sa soif de cruauté et d'autorité est largement comblée dans le cadre d'un système aussi despotique que l'Empire de Sheev Palpatine. Ce qu'il déteste encore plus, à cet instant précis, c'est le fait que cette jeune femme semble vouloir obstinément lui tenir tête. Ce regard, plein de détermination. Ce regard d'espoir. Ce regard insultant... Krennic le déteste. Dieu seul sait à quel point il le déteste. Il veut la faire plier, le faire trembler sous sa voix et ses menaces, la faire supplier à genoux pour sa pitié. Orson Krennic veut briser définitivement toutes ses parts d'humanité. « Je répète ma question. Qu’êtes-vous venue faire ici ? » Il n’a que des suppositions, des soupçons mais rien encore de bien concret. Krennic a besoin d’aveux et de précisions pour affuter ses théories fumeuses. Afin de faire parler la délicieuse rebelle, il décide de se montrer sous son meilleur jour ; charmant et calme. Rien n’est encore arrivé. Krennic n’est pas encore hors de lui. Shara Bey est encore capable de faire en sorte que la suite de cet interrogatoire se termine bien. Elle semble le savoir, et pourtant, elle persiste à fermer toutes les portes. Krennic déambule quelques instants, faisant les cent pas dans la pièce tout en caressant distraitement la crosse de son précieux blaster. Un vieux blaster lourd DT-29 amélioré, non réglementaire mais efficace, et surtout doté d’un macroscope. Un seul coup et Shara Bey est réduite au silence. Un seul coup et Shara Bey souffrira de dommages irréparables, sans doute capables de la paralyser pour le restant de ses jours. « Alors ? » Ce mot sonne comme un ordre. Krennic commence à s’impatienter de ne pas encore avoir de réponse à ses demandes si gentiment formulées. « Quel est le problème avec vous ? » se désespère-t-il en constatant qu’elle refuse toujours de lui répondre. Krennic observe avec attention les yeux de la rebelle, et ce qu’il y lut est loin de brosser son égo dans le sens du poil. Il soupire bruyamment, les épaules se soulevant et s'abaissant exagérément.

Krennic plante ses deux orbes glaciers dans ceux de la jeune femme, scrutant chaque détail de ses pupilles avec une certaine prédation. « Réponds-moi. Maintenant. » ordonne-t-il d’une voix forte à deux doigts de se muer en une explosion de colère. « Oh, dis-moi… tu n’es tout de même pas muette, hum ? » Il lève un sourcil en disant cela, une part de lui accepte brièvement que cette hypothèse soit fondée. Ses lèvres se pincent dans une moue sévère, avant de se perdre dans un sourire carnassier. « Quel dommage. J’adore les faire crier. » dit-il, sa voix se muant en un roucoulement. Krennic espère qu’elle est douée de la parole. Il attend désespérément de pouvoir se bercer au rythme des cris de désespoir et des supplications de la jeune femme.

Krennic est silencieux quelques instants, hallucinant ce qui se trouve sous ses yeux. Une pensée s’impose brutalement dans son esprit : mettre un terme à l’existence qu’il estime pitoyable de sa jeune captive. Il s’éloigne lentement jusqu’à prendre place sur une chaise, celle-ci grince sous son poids. Quelque chose de dangereux et de sauvage brille dans ses iris bleu océan. Orson n’a pas besoin de parler, ses hommes comprennent parfaitement ses attentes. Ils savent lire dans l’esprit du directeur comme dans un livre ouvert, depuis toutes ces années passées à son service. Orson Krennic est cruel, élégant mais d’une rare cruauté et d’un sadisme inégalable. D’un simple échange de regards, les deux death troopers qui se dissimulent dans l’obscurité du coin de la pièce se mettent à se détacher de leur mur pour attraper l’équipier de Shara Bey. Les coups pleuvent sous les hurlements glaçants du rebelle. Les coups de crosse, de pied et même les gifles assénées jusqu’à ce que le sang recouvre le sol. Le rebelle a bien envie de supplier, mais il semble assez résistant pour endurer mille souffrances. Nul membre de la garde rapprochée d’Orson Krennic ne montre une seule once de pitié. Au bout de minutes qui paraissent interminables, le directeur se lève finalement de sa chaise pour s’approcher de sa captive. Krennic fait une bonne tête de plus qu’elle, ce qui lui permet d’asseoir ses menaces encore plus facilement. Il attrape ses cheveux dans son poing pour l’attirer contre lui avec brutalité, comme un vieux sac de légumes. Le ventre de la jeune femme s’appuie contre le canon de son blaster, situé à sa ceinture, tandis que son visage se heurte à son épaule.

« Regarde. » lâche-t-il suavement en désignant le second rebelle d’un simple hochement de tête. Krennic s’empare une fois encore du menton de la jeune femme entre ses doigts gantés de cuir, afin d’approcher son visage à quelques millimètres du sien. Sa bouche vint se plaquer contre son oreille droite et lui susurrer chaudement : « Regarde, te dis-je ! » s’exclame-t-il, fébrile et impatient. Elle ne se montre pas très coopérative, ce qui a le don de l’exaspérer, lui qui aime qu’on file droit devant ses caprices. Afin de se faire obéir, l’impérial enfonça son pouce dans sa mâchoire pour la contraindre à fixer l’autre rebelle, recroquevillé en position fœtale sur le sol d’acier, les yeux embués de larmes et recouvert de sang à moitié séché. « Je n’y prendrais aucun plaisir. » s’exclame Krennic en exultant un peu théâtralement, son soupir se transforme en un long râle de plaisir. C’est un mensonge. C’est toujours un mensonge. Le directeur prend toujours un plaisir malsain dans la souffrance qu’il inflige aux insectes, ces ennemis de l’Empire, qu’il adore écraser du talon de ses bottes noires. Orson Krennic va adorer briser cette lueur de détermination et d'espoir dans les yeux de Shara Bey. Elle ose lui tenir fièrement tête d'un simple échange de regards, mais ce n'est pas sans connaître la brutalité et l'instabilité de l'impérial à cape. Entre ces murs, elle n'est qu'une pauvre agneau devant un loup tyrannique aux dents longues. « Sincèrement, ma chère, je ne prendrais aucun plaisir à t’infliger toutes ces souffrances. » ment-il une fois encore, ses lèvres brossant le cartilage de son oreille, avant de s’arrêter contre son lobe. Son souffle brûlant se répand progressivement le long de la nuque de la jeune femme, comme un avertissement avant ce qui s’apprête à se passer d’ici quelques minutes. Soudain, un bruit d’os qui se fracture, suivi d'un cri strident vient bourdonner dans leurs oreilles. Il prend la forme d’une agréable mélodie dans celles de Krennic. La fin de tout espoir est proche, très proche. Sans relâcher sa prise, il serre même un peu plus fortement sur ses cheveux. « Oh ! Mes hommes l’ont bien ravagé, si tu tiens à ce qu’il puisse remarcher un jour, tu vas devoir l’emmener chez un médecin assez vite. » Un rire s’échappe de ses lèvres, haut et brusque. « Magnifique, n’est-ce pas ? Je sais que tu aimes ce que tu vois, il est inutile de dire le moindre mot. » souffle-t-il, un sourire narquois se dessinant à la commissure de ses lèvres fines. « Le reste ne dépend que de toi. Nous pouvons continuer des heures durant. Nous pouvons le défigurer devant toi jusqu’à ce que mort s’ensuive. Nous pouvons détruire son corps et son esprit sous tes yeux. Il peut encore survivre, je tiens toujours mes promesses. Je vous ai promis de vous laisser repartir en vie. Alors, je vais répéter une dernière fois ma question : Qu’es-tu venue exactement me voler et pourquoi ? N’omets aucuns détails pour la santé de ton ami, si tu tiens un tant soit peu à sa misérable existence… » Cette fois-ci, Krennic ne plaisante plus. Toute la malice de ses yeux, toutes ses paroles enjôleuses et doucereuses s’évaporent en un battement de cil pour laisser place à une requête cinglante, glaciale et dangereuse. Le prochain refus ou absence de réponse de la rebelle se soldera par une première sanction.


FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Anonymous

Invité



Jeu 21 Avr - 10:02


welcome to the wild, no heroes and villains. welcome to the war, we've only begun. so pick up your weapon and face it, there's blood on the crown, go and take it. you get one shot to make it out alive. (music) -- ft. @orson krennic.

Tu fait tout pour éviter du regard le massacre qui s'opère doucement à côté de toi. C'est là que tu réalises à quel point pour faire ce que tu fait, il faut avoir un mental d'acier et ce mental, tu l'as. Ca ne rends pas la chose plus facile, surtout quand tu sais que si tu rentres vivantes, ça sera seule. Mais le Directeur semble plus que décidé à te faire vivre un enfer en observant bien la situation, à te rejeter la faute dessus. C'est c'que tu comprends : si tu ne réagis pas, il l'achèvera et tu devrais en porter le fardeau. Sauf que ce fardeau, tu es prête à le porter, du moins, tu penses. Tu avais du sang sur les mains Shara, parce que quand on s'engage à détruire un Empire c'est ce qui se passe. Il t'était déjà arrivé d'être prête à tout envoyer balader, simplement car tu savais que les gens que tu tuais étaient eux aussi des pères, mères, fils et filles, soeurs ou amis. Ils avaient des gens qui les attendait et comme toi quand tu voyais Kes partir, ils n'étaient jamais certain de les voir revenir, pour autant, on imaginait pas la situation devenir aussi dangereuse d'un coup, aussi dramatique. Alors des morts, tu en avais causé, des familles, tu en avais endeuillés. Mais c'était les lois d'la guerre, c'était comme ça et tu savais dans quoi tu t'étais engagée. Tu savais pourquoi tu l'faisais pour le coup. Tu faisais ça pour ceux qui souffraient sans pouvoir rien dire, tu portais la voix de milliers de systèmes qui devaient être victime des conditions impériales et toi, ça t'rendait folle de voir toute cette souffrance et l'Empire qui profitait des plus démunies, qui prenait ce qu'ils voulaient et surtout, qui imposait une manière de pensée.
Seulement, même avec tout ce que tu faisais, on était jamais prêt pour des séances de tortures. On en parlait, on vous préparait psychologiquement, mais on sait jamais quand l'instinct de survis prendra le dessus et c'est justement ce qu'il faut impérativement réussir à combattre : cet instinct qui , dans les moments de désespoir les plus fous, va ressortir. L'Homme est un animal et tu sentais déjà ton corps prêt à lever toute ses défenses pour t'éviter une fin tragique.
Tu grimaces, tandis qu'il est proche de toi, trop proche. Tu tentes de laisser ton esprit divaguer, concentres-toi sur autre chose Shara. Tu peux même pas t'empêcher de remarquer que son parfum est agréable, au moins ça. Quitte à avoir quelqu'un qui te colle d'aussi prêt et fou en l'air ton espace personnel, autant qu'il sente bon. Tu te demandes comment il irait à Kes d'ailleurs, même si c'est probablement inabordable pour vos maigres moyens ou réservés uniquement à l'Empire. L'eau de cologne et toute ces conneries étaient bien les dernières de vos préoccupations de toute manière, déjà qu'il était rare d'avoir de l'eau chaude malgré les nombreuses installations. Il faut dire que la priorité allait sur d'autre chose que sur votre propre hygiene, et si toi tu étais particulièrement propre sur toi car tu ne supportais absolument pas la crasse, tu avais déjà croisé quelques recrues pour qui la douche semblait optionnelle. Oui. Dans cet instant là, tout ce que tu trouves à penser c'est ça. Mais c'est une des meilleures methodes de survit dans ce genre de situation, contrer en laissant son esprit divaguer. En se concentrant sur autre chose. Quitter son corps d'une manière ou d'une autre, et c'est peut-être pour ça que tu ralentis volontairement ta respiration : pour faire baisser ton rythme cardiaque et ainsi tenter de faire une distinction propre. Pendant la souffrance, tu pourrais simplement associer des images, des souvenirs, imaginer à quoi ressemblerait l'avenir pour rendre ça un peu plus supportable. Tu savais juste pas les limites de ta résistance disons.

L'os qui se brise te ramène malgré toi à la réalité, et tu fermes plus ou moins les yeux face à la vision qu'il t'impose. Il peut te mettre le visage contre le corps encore en vie de ton coéquipier, il ne contrôlera pas tes paupières et tu comptes bien tenter d'éviter le plus possible les images qui te traumatiseront probablement plus tard. Mais ça ne change en rien le fait que dans l'fond, les cris te hanteront pendant des mois, des années, probablement jusqu'à ta mort.

Alors tu tentes de te concentrer sur autre chose, laisser de nouveau ton esprit divaguer, mais ça devient de plus difficile quand on sait que sa prise se referme, te laissant échapper un légers gémissement de contradiction. Dire que ce n'est pas un minimum douloureux serait mentir, parce que ça l'est, mais tu sais que ce n'est rien par rapport au reste. Et tes prunelles brunes se tournent de nouveau vers lui, que tu observes simplement. Là, tout de suite, tu ne rêves que d'une chose, lui briser le nez avec un coup de tête mais sa prise est bien trop puissante pour te permettre d'être libre de tes mouvements de tête. Tu pourrais tenter un coup de coude dans l'estomac, mais tes bras étaient aussi bien trop immobilisé pour te permettre d'être totalement libre à ce niveau là. Et ainsi, deux choix s'offrent à toi Shara : l'ouvrir pour lui dire de se la fermer une bonne fois pour toute ou agir. Sauf que le fait qu'il ait soulevé le fait que tu puisses être muette te donne un avantage considérable pour l'instant, tout comme ça te condamne. Car si il pense que tu ne peux pas parler, rien ne l'empêche de te foutre une balle dans le crâne, là maintenant tout de suite. Mais de l'autre côté, qu'est ce qui est mieux ?

Les menaces continuent, tandis que ton partenaire est toujours à même le sol. Sa respiration est là, bruyante, tu sais qu'il survivra pas longtemps. T'aimerais tellement être libre de tes mouvements, pour lever ton genoux une bonne fois pour toute et t'enfuir avant que tout ce cirque ne se complique. Mais non. De toute manière, tu fait ton choix Shara : tu choisis de le condamner, parce que c'est comme ça. C'est lui, ou toi. Ou personne. Mais quitte à mettre des chances de ton côté, alors autant le condamner, sachant qu'il est remplaçable alors que toi, tu as une certaine importance dans la Rebellion qui fait que tu es une personne trop importante. Mais tu sais aussi que tous préféreraient savoir que tu t'es sacrifié plutôt que t'as ouvert ta gueule. Donc tu restes toujours aussi silencieuse, mais tu réagis tout de même, preuve que tu as fait ton choix. Cette proximité te donne un moyen de répondre sans user de tes cordes vocales, ainsi, tu tournes ton visage vers lui, et alors que ce rapprochement un peu forcé avec toi te dérange un peu trop, tu lui fait comprendre en lui crachant simplement au visage. Un mélange un peu étrange de salive et de sang, mais au moins, le message est passé et vu l'ego de cet homme, tu te doutes qu'il prendra ça comme une tentative d'humiliation et un affront des plus poussé. Mais au moins, le message est clair. Surtout que ton regard soutient ce geste, le mettant au défit d'exécuté ses menaces parce qu'on s'le dise : il parle beaucoup trop. C'est presque à se demander si il ne cherche pas à se prouver quelque chose.


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Ven 22 Avr - 4:24




give the pain a purpose
director krennic x shara bey






“Here comes the darkness. It's eating on my soul. Now that the spark has run out of control. This fire is raging. I can't find the door. I just want to die here, but you wanted more. Now that the light has driven me insane. This fire is blazing and I'm still inside. I just want to die here. You won't let me out alive.” (burnthe pretty reckless)

writing music: burn ▴ the pretty reckless
notes:

TRIGGERS WARNING : violences physiques, mort, tortures, allusions à connotation sexuelle, attouchements.

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A BORD DU DESTROYER STELLAIRE DE CLASSE IMPERIALE ▴ -0 BBY ▴ AVANT LES EVENEMENTS DE ROGUE ONE …

« Sale pute ! » hurla-t-il en répondant à son cracha par une violente gifle. Celle-ci fut si puissante, que la rebelle se retrouva au sol, à ses pieds, incapable de se relever. Krennic asséna un coup de pied au ventre de la jeune femme par vengeance, avant de se redresser, le dos droit et le menton fièrement levé. Il n’eut cure que sa tête se soit heurtée si douloureusement sur le sol d’acier que du sang s'en est échappé. Krennic est si blessé dans son égo qu’il n’entend plus que les battements frénétiques de son palpitant. Du revers de son gant, Krennic vint nettoyer sa joue de ce mélange de salive humaine et de sang, non sans une grimace de dégoût. Il s’était vraiment attendu à tout sauf à une réaction de ce genre. La réponse à ce qu’il considère comme un affront à sa personne est impitoyable. Il entendit du mouvement au fond de la salle. Un death trooper vint dégainer son fusil-blaster, prêt à tirer sur celle qui a eu l’audace de s’en prendre physiquement au directeur Krennic. « Non ! » rétorqua l’intéressé en levant le bras en direction de ses précieuses troupes d’élite. Sa voix résonne dans l'écho des armes qui se déchargent se rangent. « Je m’en occupe. » maugréa-t-il en serrant si fortement la mâchoire qu’il en éprouva des douleurs lancinantes et pulsatiles jusqu’aux oreilles. Elle est allée trop loin, alors qu’il s’est montré si compréhensif à son égard, si doucereux. Ces rebelles n’en font décidément qu’à leur tête, songea-t-il. C’est une humiliation, une vraie humiliation publique. L’expression de son visage ne décolère pas, ses sourcils sont froncés et le rouge parsème progressivement ses joues. Rouge de colère, rouge de honte. Elle paiera le prix.

« Exécutez son ami. » ordonne-t-il sans état d’âme en réponse à cet affront. Chaque humiliation mérite une sanction appropriée. La mort est une douce délivrance, en comparaison à toutes les souffrances qu'ils auraient pu infliger à son corps. Sans même lever les yeux de la jeune rebelle, un bruit de laser éclate dans la petite salle. Un écho. Les bruits se répètent jusqu’à ce que les hurlements cessent enfin de bourdonner dans les oreilles de Krenic. Ils ont d’abord tiré dans les jambes, puis dans les bras afin de le faire souffrir un moment, avant de porter un coup final en pleine tête. Du sang gicle du corps, désormais sans vie et glacé, du rebelle, celui-ci coule jusqu’aux pieds des death troopers. Une couleur rouge vin, épais d'aspect et au goût métallique en bouche. Krennic hume l'air ambiant quelques instants, apparemment incommodé par l'odeur de fer qui embaume la petite pièce. « Au moins, tu n’es pas une sourde… » fait-il remarquer avec cynisme en jetant furtivement un coup d’œil vers sa captive. Elle est terrifiée, littéralement. Krennic est suffisamment loin pour se protéger des effusions de sang, mais il ne peut s’empêcher de vérifier l’état de sa précieuse cape, afin de s’assurer qu’aucun mal ne lui a été causé. « Par les étoiles de toute la galaxie… » marmonne Krennic. Quel soulagement, rien ne lui est arrivé. « Je t’en aurais personnellement voulu. » Krennic agite énergiquement ses bras pour les libérer des pans de sa cape et les croiser contre sa poitrine. Ses yeux observent respectivement la rebelle allongée au sol et couverte de sang poisseux, puis les deux death troopers qui se trouvent au fond de la salle, avant de revenir sur elle.

« Ami, enfin… » s’exclame-t-il en époussetant sa cape. « Tu parles d’un ami ! » Orson se moque, ses yeux bleus dévient du corps étendu au sol jusqu’à son otage. Un ami qu’elle vient de conduire à une mort certaine sans sourciller. Orson en a les bras qui lui en tombent. Tu parles d’un ami, répète-t-il dans sa tête. « J’ai eu un ami. J’ai toujours un ami. » Galen. « Je sais ce que c’est. » Il donne l’apparence d’être affecté par cette perte tragique, et surtout par ce dilemme cornélien, mais il n’en est rien. Tout n’est qu’une putain de mascarade. Krennic monologue, mais c'est qu'il adore s'entendre parler. « Quand on doit le sacrifier pour ses aspirations, pour la cause, comme vous l’appelez… » Krennic a sacrifié Galen, son plus vieil ami, à plusieurs reprises pour ses idéaux fantasques et ses aspirations démesurées. Contre toute attente, Krennic aimait sincèrement Galen, mais c’est un homme avec un net penchant pour l’autodestruction. « Tu as eu le choix et tu l’as laissé partir. » souligne-t-il durement. Une fois qu’il eut terminé de vérifier l’apparence de son uniforme blanc, il déposa un genou au sol, afin de récupérer la nuque de la jeune femme dans sa poigne.

« Bien, bien, bien, il ne reste plus que toi apparemment. » grince-t-il. Son visage se déforme encore dans une moue sévère, lèvres pincées et regard noir. « Par où commencer, ma chère ? » Sa voix se fait chuchotante, comme un murmure, un secret scabreux entre elle et lui. Un rire froid et cynique ponctue ensuite le sordide de la situation. Orson conserve sa prise sur sa tête, en maintenant cette dernière plaquée contre le sol, comme une démonstration de son autorité et de sa force physique. Ce n’est qu’une femme, un insecte fragile entre ses doigts, que peut-elle lui faire de plus ? Que peut-elle espérer lui prouver ? Elle l’a humilié devant eux. Elle lui a craché dessus. Elle ne lui inspire que… du dégoût. « Tu cherches à souffrir, princesse. C’est ce que tu veux, hum ? » ronronne-t-il contre son oreille, dans un curieux mélange de haine et d’excitation. Princesse. Un surnom affectueux, comme il l’appelle, mais qui n’augure rien de bon en s’échappant de ses lèvres. Princesse, une moquerie. Une boutade. Une fantaisie. « Au début, j’avais simplement l’intention de te frapper, avant que tu ne… me fasses cet affront. Puisque tu désires que nous nous engagions sur le terrain de l’humiliation… » Cette phrase, Krennic la prononça comme une promesse chaude à son oreille, avant de heurter sa tête contre le sol une première fois. Orson lâcha ses cheveux et vint caresser la ligne de sa nuque du bout des doigts, cherchant une trace de sang quelque part sous ses cheveux. Ses yeux se perdent alors dans la contemplation des courbes harmonieuses de son corps fébrile. Souriant bizarrement, il soupira exagérément, faussement dramatique. « Vous m’obligez toujours à vous faire crier. » se plaignit-il.

Orson gonfle sa poitrine en prenant une grande inspiration en espérant calmer ses nerfs. Elle se soulève dangereusement et redescend précipitamment, au rythme de son souffle. Ses battements cardiaques sont frénétiques, trahissant l'excitation qui émerge en lui. Krennic est encore sous le coup de la colère d'avoir été malmené par ce qu'il considère comme de simples insectes, ces résistants utopistes et enquiquinants. « Je suis persuadé que tu es douée de la parole et que tu te moques de nous depuis le début. Si tu refuses de parler, c'est ton choix, très chère. Et si tu ne le peux vraiment pas, eh bien... Tu n'auras qu'à me répondre en gémissant. » Orson repéra son vêtement, ces guenilles pleines de sang et de terre, avec la ferme intention de l’en délivrer. Pour un impérial aussi fortuné et bien propret, c’est tout simplement honteux d’être en présence de pareilles guenilles. Orson est affligé par l’apparence de sa captive, bien plus que par son état de santé. « Comment oses-tu porter ces choses répugnantes à côté de moi. » grimace-t-il, alors qu’une moue de dégoût vient de prendre place sur son visage. Orson roule les yeux au ciel. Il tend la main vers la poitrine de la jeune femme et la glisse dans son corsage sans ménagement, en voulant tirer fortement le tissu tâché de sang séché. Pour s’assurer qu’elle reste tranquille, Orson maintient son visage contre le sol à l'aide d'une main, juste le temps de son exploration. Alors que son gant froid agrippe l’un de ses seins qu’il devine vaguement opulent entre ses doigts, elle se met en réponse à gigoter nerveusement sous sa poigne. Krennic claque furieusement sa langue contre son palet en signe de désapprobation. « Reste tranquille. » ordonne-t-il en élevant la voix. « Là. » Orson illustre son propos en attrapant les cheveux de la jeune femme, une fois encore, pour lui fracasser le crâne contre l’acier qui recouvre le sol de la salle de détention. Son gant se tâche encore plus de sang sous l'effort. Les cheveux de la jeune femme se recouvrent d'une fine pellicule poisseuse, qu'il identifie rapidement comme étant du sang frais. Quelques mèches se collent au niveau de ses tempes, que Krennic libère élégamment, une à une, de ses doigts gantés. En détachant ces mèches poisseuses et légèrement teintée d'auburn à cause de la présence de sang, il remarque alors cette lueur de détermination mélangée à de la haine dans son regard. Loin d'être affecté par tant d'animosité, il s'étrangle dans un ricanement glacé. Krennic est aveugle et sourd aux douleurs de sa captive. Toute sanction est méritée, selon lui. On n'arrive pas en haut de la hiérarchie impériale sans des sacrifices et la perte de presque toutes ses parts d'humanité. La guerre est cruelle, c'est la guerre qui veut cela, se dédoune-t-il toujours avec autant de ferveur. Ces gémissements plaintifs sonnent agréablement dans ses oreilles comme une jolie mélodie. Krennic fit ensuite une chose étrange au vu des circonstances. Il se mit à gratter les tâches de sang séché au niveau du front de son otage, en espérant le nettoyer de toutes ses impuretés, avec une expression concentrée sur le visage. « Reste. Tranquille. Compris ? » répète-t-il d’une voix forte, grondante comme un coup de tonnerre. Du sang coule hors de sa nuque, un très mince filet, qui vient tâcher le bout de ses bottes noires parfaitement cirées. Krennic grimace une fois encore devant cette vision d’horreur. Il ne peut s’empêcher de déplorer que l’usage de la torture soit toujours aussi salissant. Elle bouge encore, elle résiste, elle refuse d’être touchée. Krennic ne la laisse pas lui échapper une seule seconde. Tant qu’il ne lui a pas arraché un son de sa bouche, son cauchemar ne prendra jamais fin. « Non, non, non… Chut. Chut, chut, chut, ma douce... C’est ce que tu veux, je le sais bien, sinon, tu parlerais. Tu refuses toujours de me parler ? » lâche-t-il d’une voix traînante, tout en l’observant d’en haut, sous ses cils. Orson la contemple avec suffisance. Elle est allongée au sol, à ses pieds, et il en tire déjà suffisamment de satisfaction. Mais oui, c’est tellement évident pour lui. Elle parlerait sinon, elle aurait déjà parlé. Elle aurait crié, elle aurait hurlé, elle l’aurait insulté. Non, au lieu de tout cela, elle lui a craché dessus en signe de défi suprême. C’est une insulte d’une rare violence qui mérite une sanction appropriée, elle aussi, violente et humiliante. Pour Krennic, c’est même le pire affront qu’on puisse lui faire devant ses hommes. « Tu as voulu ce qui est en train d’arriver… Tu as cherché à m’humilier publiquement, tu penses que tu ne mérites pas d’être humiliée en retour ? » argue-t-il en repoussant brutalement le tissu de son soutien-gorge pour libérer sa nudité à l’air libre. Orson attrape l’un de ses seins à pleine main, avant d’exercer de brèves pressions, comme pour tâter de sa fermeté. Doux, chaud et spongieux. Agréable, même sous ses gants. Le cuir est glacé, sans doute le contact de ses doigts sur sa peau nue l’est également. Krennic n’en a cure. Elle l’a cherché, elle l’a provoqué devant eux, il est obligé de montrer qu’il est au-dessus d’elle. « Je te l’ai dit. Je ne prendrais aucun plaisir. Je suis un architecte, pas un bourreau. » Pour une fois, il est sincère. Ces tortures, ces agressions, ces violences, ces sévices sexuelles sont loin un plaisir personnel. C’est un intellectuel, pas un tortionnaire. C’est d’ailleurs ce qui l’a souvent agacé dans le fait d’être membre du département de la sécurité intérieure de l’Empire. Krennic se croit bien trop important pour s’adonner à ce genre de choses. Et pourtant, le voilà dans l’obligation de laver son honneur devant ses hommes. Quelque part, c'est autant humiliant pour son intelligence. Il la déteste encore plus à cet instant de le forcer à lui faire subir cela. Comme si ses mains répondaient d'elles-mêmes à ses propres tourments personnels, elles caressèrent la courbe ronde de sa poitrine et se perdirent sous cette dernière pour la soupeser un instant. Elles palpèrent sa chair ensuite plus vigoureusement, effleurant l'auréole de son sein au passage et s'attardant un moment sur sa pointe, en effectuant des mouvements circulaires dans le but d'arracher une réaction de sa part : qu'il durcisse, qu'elle parle enfin, qu'importe. « Tu ne penses pas que je devrais faire des choses plus intéressantes que de me salir les mains ? » grogna-t-il, complètement blasé et obnubilé par sa propre personne et ce qui en découle : ses frustrations. Afin de ponctuer ses menaces, ses doigts étreignent un peu plus fortement son sein, avant de s'attaquer au deuxième. Il estime mériter beaucoup plus, tellement plus. Cela le frustre de ne pouvoir arriver rapidement au grade le plus élevé de l'administration et d'être contraint d'avoir encore des choses à prouver. « Je le fais parce que… Ceux-là ne prendront aucune précaution avec toi, ils t’auraient abimée. Tu es une jolie chose. J’aime croire que j’ai un talent caché pour dénicher les plus belles œuvres d’art. » Ces mots viennent d’un architecte, et dans la cruauté de l’instant, ils sont empreints d’une grande sincérité. « J’ai un goût certain pour la beauté et l’esthétisme, prends-le comme un compliment de ma part. » Ses yeux dévient vers le haut de son vêtement, hésitant même à le déchirer pour accroître ce sentiment de toute-puissance, mais quelque chose l’en empêche. Une pointe de possessivité. Il veut être le seul à sentir et contempler cette nudité forcée. Elle est bien trop belle pour quiconque dans cette pièce, sauf pour lui. « Si tu veux que tout s'arrête, tout peut s'arrêter. Parle. Parle moi, avant que je ne perde patience. Sinon, je serais obligé de faire plus, et très chère, je n’en ai clairement pas envie. Comme je l’ai dit, j’ai des choses plus importantes à m’occuper. » En relâchant sa poitrine, ses mains remettent le tissu de son haut pour la couvrir correctement. C’est probablement inutile, mais pour lui, c’est plus qu’un détail, c’est même une petite maniaquerie. Il prend grand soin de ses jouets, comme de ses crayons. Elle doit rester parfaite. Ce n'est pas un geste affectueux, simplement machinal. Orson promène ensuite ses doigts sur son ventre dans une lente agonie sous ses vêtements, tout en dessinant des cercles invisibles. Orson appuie sur son genou au sol, afin de se pencher vers elle, après l’avoir redressée quelque peu pour raccourcir le chemin. « Tu crois que je n’ai pas remarqué que tu sentais mon parfum tout à l’heure ? » Ses lèvres se retroussent en une moue boudeuse. L'idée qu'elle puisse être autant effrayée que fascinée par sa carrure est flatteuse. Orson aime croire qu'il dégage une aura magnétique presque naturelle. Pourtant, sans la cape et l'uniforme, sans les death troopers ou le blaster qui le protègent... n'est-il pas un homme lambda ? « Ne me dis pas que je te plais ? » Sa voix se fige quelques instants. Il rit doucement, chaudement contre son visage. Un rire glaçant de cruauté. Orson se moque ouvertement d’elle et de sa vulnérabilité. Les vibrations de son rire se répandent le long du corps de sa captive. Cette situation l’amuse fortement, l’excite, non pas sexuellement, mais mortellement. « Tu pourrais avoir de jolies choses, toi aussi. Je pourrais te les offrir, en échange de ta collaboration. » Des mensonges, que des mensonges. Orson ment, il ment comme il le fait toujours en jurant monts et merveilles pour mieux crasher les désirs des uns contre les siens. « Tu veux que je te fasse jouir de mes doigts devant eux ? » chuchote-t-il à voix basse, très basse, afin qu’ils puissent être les seuls à en avoir connaissance. Comme un secret, un vilain petit secret. « Avec ou sans les gants ? » Nouveau rire. Orson n'a pas envie de continuer sur sa lancée, ce n'est que pour l'effrayer. Il espère obtenir d'elle enfin une réponse satisfaisante, quitte à lui faire hérisser les poils des bras. Forcer quelqu'un dans ce genre de rapport est déshonorant à ses yeux. Il préfère clairement qu'elles consentent sans discuter, c'est quelque chose de bien plus gratifiant, même s'il a conscience que certains de ses collègues ne s’embarrassent pas de ce genre de considération. Des brutes, selon Krennic, alors que lui est charmant, un vrai gentleman à ses heures perdues. Quelqu'un d'autre l'aurait déjà violée, cela le fait se sentir particulièrement arrogant en pensant qu'elle a bien plus de chance de se trouver entre ses mains qu'entre celles d'un autre officier impérial. « Ou bien alors… Tu préfères plus d’intimité ? » Son sous-entendu est clair. Il fait légèrement rire ses hommes, à son plus grand plaisir. Orson savoure cette sensation de toute-puissance. Il plaça ensuite ses doigts autour du cou de la jeune femme, et se mit à serrer de plus en plus fortement, jusqu’à laisser une empreinte rougeâtre. « Je n’en ai pas envie non plus. Dans ce cas, parle. Maintenant. Tu me contrains à ces extrémités, alors sois une gentille fille et PARLE. » Ce dernier mot, l’impérial le lui cracha au visage, tout en refermant ses doigts dans le creux de sa paume. Il vient ensuite heurter violemment son poing contre le sol plein de sang en éclaboussant au passage le visage de sa captive. Ses phalanges blanchirent sous le coup, ses doigts le firent souffrir quelques instants, mais rien ne parvint à altérer sa colère. Elle est sourde, asphyxiante. Elle gronde comme le tonnerre en plein orage. Plus que tout, Krennic a besoin d’asseoir sa supériorité devant ses hommes. Quel qu'en soit le prix. Ce n’est plus seulement un jeu, c’est sa réputation qui est en jeu. Son autorité en tant que responsable. Il ne peut échouer.

FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Ven 22 Avr - 8:59


welcome to the wild, no heroes and villains. welcome to the war, we've only begun. so pick up your weapon and face it, there's blood on the crown, go and take it. you get one shot to make it out alive. (music) -- ft. @orson krennic.

Là, au sol, totalement démunie, tu observes la scènes et très vite, tu fermes les yeux tandis que tu as conscience que ce geste était fatal, plus pour lui, mais secrètement, tu l'espérais aussi pour toi. Tu en arrivais à esperer que cette torture, aussi légère soit-elle pour l'instant prenne rapidement fin, et si ça signifiait te prendre la vie alors ainsi soit-il. Encore une fois, tout tant que les informations que tu détenais restaient dans un coin de ta tête et ne passaient pas la frontière de tes lèvres. Mais pour ça, tu étais rhôdé, probablement balancerais-tu le nom d'une planète quelconque de la bordure extérieure. Si il voulait des informations et qu'il en voulait, probablement qu'il en aurait, seulement, pas les bonnes. Puis tu l'écoutes, d'une oreille parce que si tu le dis pas à voix haute, putain, qu'est-ce qu'il parle. C'est à se demander si c'est pas une caractéristique de tout les grands vilains des histoires, parce qu'il parle beaucoup trop. Et c'est peut-être ça le début de la torture, même si te concentrer sur sa voix te permet de ne pas te concentrer sur la situation actuelle. Et autant dire que heureusement, car ta tête se retrouve bien vite plaquée contre le sol, sa poigne se resserrant un peu trop.
Et le soucis, c'est que les choses prennent une tournure que tu n'imaginais pas. On t'avait toujours dépeint les tortures comme les pires douleurs de ton existence, rien n'était égalable à ça. On t'avait parlé de tout, des ongles et des dents qu'on arrachait, des doigts qu'on coupait, des brûlures vives, de l'électricité, dans les pires situations des éviscérations vivants pour plonger l'individu vers sa mort d'une lenteur inexplicable. Tu en avais tellement entendu que s'en était presque mystique, cependant, il y a une chose qu'on s'était épargné de te dire, et ça, c'est principalement car c'était des hommes qui t'avaient raconté leur mesaventure de torture. Aucune femme ne s'était jamais prononcé dessus, et si ça ne t'avait pas marqué à l'époque, maintenant, tu comprenais pourquoi. Soit elles n'avaient jamais vécue de torture, soit, elles avaient été si traumatisé et surtout si honteuse et humilier qu'elles préféraient garder le silence. Mais tu aurais aimé être au courant de ça, de ce qu'il encourait d'être une femme dans une telle cause. Une femme de terrain qui plus est, car certaines n'avaient pas besoin de se prendre la tête, certaines étaient juste sur Yavin à simplement passer leur journée sur les fréquences en contact avec leurs agents de terrain. Et tu espérais, Shara, qu'ils étaient déjà en route pour venir te sauver, qu'ils te laisseraient pas crever comme une sous-merde. Tu savais qu'ils viendraient, qu'ils avaient probablement envoyé des troupes pour attaquer frontalement à l'instant même ou toute les communications s'étaient coupées. Mais tu voulais savoir quand, simplement. Parce que si la douleur que tu ressentais au niveau de ton crâne dû au coup, c'était rien par rapport à ce qui t'attendait Shara, tu le voyais venir. Et sa main qui saisit de manière ferme ton sein en est la preuve. Tu gigottes, parce que forcément, tu peux pas t'laisser faire comme ça, et honnêtement, il a de la chance que tu sois attachée car si tu étais libre de tes mouvements, tu lui aurais sans doute briser la nuque d'une manière ou d'une autre. T'étais facile à sous-estimer Shara, pour la simple et bonne raison que tu n'avais pas le plus gros gabaris qu'il soit. Toute fine, pas excessivement grande, ton corps était cependant composé presque entièrement de muscle en vue des nombreuses heures d'investissements que tu passais à faire en sorte à ce que celui-ci soit paré à toute les éventualités. Et ces éventualités étaient simplement de courir pendant des kilomètres pour échapper aux menaces, être en mesure de grimper, de s'aggriper quelque part et de ne pas avoir le corps trop lourd et pouvoir en faire ton meilleur aliés. Dans un monde comme celui-ci, dans une cause comme la votre, prendre soin de son corps était plus qu'essentiel. Alors autant dire que si les combats étaient de force égale, tu n'aurais aucune difficulté à le prendre en tête à tête et si ton gabaris bien moins imposant t'handicapait, il te rendait plus rapide aussi. T'étais une millitaire Shara, mais lui aussi, et forcément que le résultat pourrait ne pas être en ta faveur, mais dans ce genre de situation tu t'en foutait. Quitte à cracher un ou deux chicots au sol mais au moins tu montrais qu'on te manquait pas de respect.

Sauf que voilà, là, les forces étaient loin d'être égale. Tu étais attachée et tu te dandines dans l'ultime but d'essayer de passer outre ses mains un peu trop baladeuse. Ca te donne presque envie de dégueuler, et probablement que ça pourrait arriver. Seulement, sans grande surprise, face à cette résistance, ta tête percute de nouveau violemment un recoin d'une table et un autre gémissement s'échappe d'entre tes lèvres tandis que là t'es sonnée. Tellement que ça devient difficile de te concentrer, tu sens ton corps entier commencer à ressentir une certaine douleur tandis que tu tousses très difficilement, évacuant alors ce sang qui s'accumule dans ta bouche. Tu sens que c'est loin d'être le seul endroit où ce liquide est visible puisque tu sens quelques goûtes couler le long de ton crâne et ça, c'est une des pires sensations qu'il soit. Tu fermes les yeux, comme pour profiter des quelques secondes de repit qu'il semble t'accorder, quelques secondes où il continue de monologuer.
Finalement, c'est pas si mal.
Tu pourrais presque t'endormir au son d'sa voix, et dans l'fond ça aurait été préférable. Tellement, car ce que t'as vécue jusqu'à là, c'est que le début. Parce que très vite, c'est à l'air libre que se retrouve cet atribu féminin et sa main s'amuse dessus, chose qui, de la manière la plus naturelle qu'il soit, commence à te faire monter les larmes aux yeux. Tu tentes de te débattre, mais sa prise est telle que t'en es incapable. Tu fermes de nouveau les yeux et à l'instant même, tu commences à te demander si survivre valait le coup. Si tu pouvais vraiment te remettre d'un tel traumatisme. Encore une fois, tu tentes de te concentrer sur des images mentales qui se veulent rassurante. Tu penses à Kes et à sa tendresse, tout l'opposé de ce démon qui s'amuse de toi. Tu penses à ses sourires, à sa délicatesse à ton égard. Tu penses à toute vos aspirations, à votre rencontre, quatre ans plus tôt, vos flirt innocents pour venir à la concrétisation de tout ça. A votre mariage, et c'est peut-être pour ça que tu serres ton poing gauche, comme pour t'accrocher à lui d'une manière ou d'une autre. Cette promesse que vous ayez faites, et mentalement, tu t'excuses à lui. Parce que si toi tu n'es pas prête à voir quelle tournure prendra les choses, tu sais même pas comment tu pourras lui expliquer. Tu sais même pas si tu pourras lui expliquer.

Et c'est ses menaces suivantes qui font se dresser cet instinct dont dépend ta propre survit. Le simple fait d'avoir tes mains dans ton dos t'offre un certains inconfort mais ça te permets surtout d'avoir l'ouverture dont tu avais besoin. Tu profites qu'il parle, qu'il continue ses menaces pour replier tes jambes, te permettant ainsi te sentir ta botte contre ton fessier. Et c'est suffisant pour que tu te mettes à fouiller dedans, et par deux doigts, attraper de quoi crocheter la serrure de ces menottes. Et la chose se complique tandis que ses mains s'enroulent autour de ta gorge et que bien vite, le souffle t'es coupé. Le temps presse, un peu trop. Tu tentes de te concentrer sur tes doigts qui s'activent avec précision sur cette serrure mais le manque d'oxygénation de ton cerveau rend les choses compliqué. Tu te débats pourtant absolument pas, tentant de garder le focus sur tes doigts et puis enfin, après de longues minutes, il semble enfin libérer tes voies respiratoires. Tu reprends un grand souffle, avant de tousser et de commencer à cracher de nouveau. Tu fronces les sourcils, totalement sonné. Sauf que c'est tout le moment de perdre connaissance. Ta survit avant tout. Même si ça te condamne, si tu ne tentes pas, tu ne peux pas. Tu tousses une dernière fois en laissant alors tes deux prunelles brunes encore légèrement embrumé se redresser sur l'homme. Et à cet instant même le verrou lâche, mais tu ne laisses rien paraître. – Directeur Krennic. Tu dis d'une voix brisée par les strangulations qu'il vient d'effectuer. – Je ne crois pas qu'on ait eu le temps de se présenter officiellement, Shara Bey, enchanté. C'était totalement cocasse, bizarre, ridicule. Ca sème la confusion, et c'est exactement ce que tu veux. – Votre réputation vous précède, et je dois avouer que je m'attendais pas à ce que les mythes sur vous et votre sadisme légendaire soit aussi véridique. Tu flattais presque son ego, de manière plus ou moins volontaire. Tu devenais presque docile, trop docile. – Mais nous sommes désomais assez intime pour que je vous donne ce conseil purement amical. Faites attention, car un jour, votre ego vous mènera à votre perte. Le truc, c'est que sans même le savoir, tu lui disais ce que tout le monde avait tendance à lui rappeler. Et c'est pour cette raison que tu te devais de rapidement te dégager de son étreinte. Il y avait les deux death trooper, mais au pire, ils t'éxécuteraient sur le champs. Dans tout les cas, tu devais tout faire pour échapper à ses mains démoniaques.
Ainsi, tu lui offres un sourire qui aurait pu être magnifique si il n'était pas rougit par tout ce sang et de la manière la plus simpliste qu'il soit tu soulèves tes deux mains, désormais libre de tout liens.

Ce sont pendant ces quelques demi-secondes que tout se passe. Tandis que l'information remonte au cerveau du célèbre directeur, tu contractes tes abdos pour redresser le haut de ton corps et venir simplement heurter le nez de ton bourreau avec ton crâne. Tu en profites pour simplement te redresser, tirant sur ton soutient-gorge pour le remonter et enfin courir jusqu'à la porte de sortie. Et si il te restait seulement deux mètres avant de pouvoir atteindre cette porte, ta main se tendant dans l'éternel espoir de saisir la poignée, ce qui devait arriver arriva. La réaction est immédiate et le death-trooper tire. Ce bruit te fait presque espérée que celui-ci sera léthale mais au final, c'est dans ta jambe que l'impact se fait, te faisant tomber de la pire des manières à même le sol dans un gémissement plus que douloureux. Mais ça t'arrêtes pas là, tu rampes Shara, bien déterminé à atteindre ton objectif qui se rapproche pourtant. Tu tends de nouveau le bras et tu tires, effleurant cette même poignée du bout des doigts.


(c) mars.
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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

(terminé) give the pain a purpose. (ft. orson) Tumblr_omzz2aEy4L1w27h2ao3_500
▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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—⥼ ※ ⥽—

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Ven 29 Avr - 1:05




give the pain a purpose
director krennic x shara bey






“when i say i didn't mean it, i didn't mean it. so i accused you wrong, now i'm the guilty one. hey, give me my sentence. i'll pay my penance. nothing kills me more than the pain i have for hurting you.” (i didn't mean itthe belle brigade)

writing music: i didn't mean it ▴ the belle brigade ; kill me ▴ the pretty reckless ; you're no good ▴ plastiscines

notes:

TRIGGERS WARNING : agression sexuelle en hide, violences physiques, sang, vulgarité

― ▾ ▵ ▾ ▵ ▾ ―

A BORD DU DESTROYER STELLAIRE DE CLASSE IMPERIALE ▴ -0 BBY ▴ AVANT LES EVENEMENTS DE ROGUE ONE …

« Ahhhh ! » s’exclame-t-il, en ouvrant grand la bouche, les yeux brillants d’excitation. Plein de suffisance, Krennic hésite quelques instants à joindre les ses mains pour applaudir son propre exploit. « Mais voilà qu’elle parle, c’est un miracle ! » Cynique jusqu’au bout des ongles. « Je vois que ma réputation me précède. » chuchote-t-il d’une voix charmeuse, à quelques centimètres de son visage. Krennic sent que les choses vont enfin se passer comme elles doivent se passer. Ses lèvres s’étirent longuement en un sourire satisfait, presque ému que sa réputation soit connue dans toute la galaxie. Une réputation de génocidaire, d’homme cruel et instable, mais c’est une réputation à laquelle il accorde énormément d’importance. Après tout, tant que l’on parle de lui, en bien ou en mal, quelle importance ? Quel plus beau compliment peut-elle lui faire à cet instant. Elle arrive même pendant quelques secondes à distraire sa vigilance, tant les flatteries l’étonnent tout en glorifiant son égo. Un rire s’échappe presque immédiatement de ses lèvres minces. Pétri d’orgueil, il ne peut s’empêcher d’exprimer publiquement ses tendances théâtrales à l’exagération. Krennic est fier d’avoir enfin réussi à lui arracher quelques mots. Il lève les yeux vers ses death troopers qui se maintiennent sagement dans un coin de la pièce avec suffisance en leur jetant un regard bien appuyé, l’air de dire qu’il est en charge. Krennic baisse ensuite ses beaux yeux bleu océan vers la rebelle, afin de se préparer aux choses vraiment sérieuses. « Nous allons pouvoir discuter plus sérieusement de votre prés… » dit-il avant qu’on vienne le couper dans son élan. Son enthousiasme est toutefois de courte durée, puisqu’une fraction de seconde plus tard, tout s’écroule autour de lui. Son égo est en ruines, sa fierté piétinée à coup de bottes et son visage en sang. Elle projette son crâne violemment contre son visage d’une poussée experte, avant de s’enfuir sous leur nez par la grande porte. Krennic hurle à la fois de surprise et de douleur, ne s’étant pas attendu à un tel revirement de situation. Lui qui se croyait en charge, se retrouve dépossédé de tous ses moyens devant ses propres hommes. « Mon nez, putain ! » crie-t-il en se maintenant le visage à l’aide de la paume de sa main gantée. « BORDEL MON NEZ ! ARRÊTEZ-MOI CETTE SALOPE ! » hurla-t-il de toutes ses forces en s’époumant. « NE LA LAISSEZ PAS S’ECHAPPER ! » OH. LA. PUTE. Krennic est momentanément sonné. L’information met quelques secondes avant d’envahir son esprit. Cette garce vient de le cogner et de s’échapper sous son nez. Oh la pute ! hurle-t-il mentalement en s’étranglant dans un cri de douleur et de rage.  « RAMENEZ-LA-MOI SUR-LE-CHAMP ! » Pour donner suite à ces mots, les deux death troopers qui se trouvent dans la salle de détention disparurent par la porte dérobée, fusils chargés, en quête de retrouver la rebelle. Krennic se relève péniblement en s’appuyant sur le coin d’une table, crachant du sang sur le sol d’acier avec une moue de dégoût.

Meurtri et humilié, Krennic s’échappe à son tour de la salle de détention avec son blaster en main. Ses mains tremblent furieusement, tandis que sa poitrine se soulève à coup de grandes inspirations. Krennic n’essaie même plus de calmer ses nerfs ou les battements frénétiques de son palpitant. Le goût du sang métallique, du fer en bouche lui est tout bonnement insupportable. S’en est douloureux. Il est parti dans un état de transe, dont il n’est pas certain d’être capable de s’en délivrer. « Directeur ? » s’étonne un officier impérial, à plusieurs mètres de lui de voir passer le directeur, le nez en sang, et son arme en l’air pointée sur le plafond. « Directeur Krennic ! » s’excite un autre, interloqué. « Il y a eu un problème en salle d’interrogatoire ? Votre rebelle s’est échappée ? » Derrière la surprise se cache en réalité de légers sourires narquois. Krennic reste impassible, alors qu’il bouillonne intérieurement de haine. Il les snobe tous avec dignité, légèrement risible, compte tenu de la situation. « Vous voulez prévenir le Gouverneur Tarkin ? » Lorsque le nom de son éternel rival parvient à ses oreilles, le sang de Krennic ne fait plus qu’un tour. Le sang lui vient en bouche et le bruit des battements effrénés de son cœur lui viennent douloureusement aux oreilles. Tarkin, sale enfoiré. Il rira de lui dans son dos, arguant encore que ses failles en matière de sécurité et de surveillance soient indignes d’un homme de son rang. Qu’il fait la honte de l’administration impériale. Tout en marchant, il se retrouve brutalement comme possédé par un démon. Une aura de furie l’enveloppe, et l’air vide et dénué de toutes émotions du directeur hérisse les poils de leurs bras. Il marche, lentement et difficilement mais avec prestance, tout en jetant un regard fixe et plein de mépris à l’imprudent qui vient de prononcer le nom de l’effroyable Wilhuff Tarkin. Ses bottes claquent contre le sol, sa démarche chaloupée est pleine de confiance, mais tout n’est qu’une apparence. Un jeu de dupes. Une mascarade. Intérieurement, Krennic ne s’est jamais senti dans un tel état d’insécurité. Il avance lentement jusqu’au bout du couloir, loin derrière ses death troopers qui sont déjà près de la rebelle étendue sur le sol. Ses yeux sont assombris, son expression faciale est livide et sa bouche est déformée en un sourire inversé. Il se dégage de son allure une aura menaçante, terrifiante même. Son blaster en main, il ne s’en sert pas mais le lève légèrement en l’air pour signifier à tous qu’il est le responsable en charge. Que c’est lui le chef. Que d’un coup ou d’un mot en trop, le sang peut se mettre à couler dans tout le couloir. Le menton fièrement levé, Orson Krennic essaie de faire bonne figure devant eux. Comme si rien n’était arrivé. Alors que tout s’effondre autour de lui, que sa bulle parfaite vient de lui éclater en pleine figure. Il arrive enfin devant elle. En la jaugeant d’en haut, ses yeux lui jetant des éclairs, Krennic agrippe ses cheveux pleins de sang sans la moindre douceur pour la faire crier. Elle se traîne par terre en essayant de s’échapper, ce qui amuse tout le monde, sauf lui. Krennic est comme fou à cet instant précis. « Ah ! Tu veux ramper devant moi ? Je vais te faire ramper ! » crache-t-il rageusement en empoignant une bonne touffe de cheveux pour la traîner derrière lui. Elle crie, se débat, hurle et laisse une traînée de sang poisseux et couleur rouge vin sur son passage. « Directeur ! Que vous est-il arrivé ? » s’inquiète un nouvel officier en sortant d’une autre salle de détention. Il observe religieusement le directeur de l’un des bureaux de la sécurité intérieure impériale passer devant lui, traînant une femme par les cheveux dans le couloir. « Vous avez besoin d’aide ? » C’est comme la question de trop. Il s’arrête au beau milieu du couloir, avant de forcer la rebelle à se lever sans ménagement pour agripper ensuite son avant-bras. « Lève-toi ! » ordonne-t-il sans même un regard pour elle. Il lève ensuite son bras en direction de la salle de détention, au fond du couloir, pour lui signifier de marcher vers elle. Shara Bey essaie de se débattre, chose difficile étant donné sa blessure à la jambe. Devant ses cris de douleur et forcée de marcher, il demeure aveugle et sourd. Krennic n’a cure de ses plaintes lancinantes, de ses douleurs, de ses muscles meurtris ou bien encore du sang qui recouvre le sol et qui la suit de près. Il la pousse en avant d’une main, brutalement, tout en continuant de l’empoigner afin de la contraindre à utiliser ses deux jambes malgré ses souffrances. Tout en reprenant sa route, suivi de près par ses death troopers, Krennic hurle à l’attention des officiers dans le couloir : « DÉGUERPISSEZ ! » aboie-t-il, les veines au niveau de ses tempes prêtent à exploser d’une seconde à l’autre. Krennic est hors de lui, mais encore plus qu’à l’accoutumée. Ils se jettent des regards surpris, avant d’obéir, non sans s’échanger quelques murmures médisants dans le dos de sa cape tâchée de sang. « Quand Tarkin entendra parler de cette histoire… » chuchote un jeune officier à son voisin avant de se fondre dans un rire. « Cette salope a abîmé sa cape. » renchérit un autre en mimant la démarche conquérante du directeur avec exagération. « Tant mieux ! Elle vole partout au moindre coup de vent, c’est insupportable quand on se trouve à côté de lui. » raille l’un, immédiatement approuvé par son comparse. « Par une femme… Incroyable. » Ils haussent les épaules, misogynes mais réalistes. « Il y en a qui sont plus doués pour le dessin. » souffle l’officier en faisant allusion aux compétences du directeur. Un brillant architecte mais un mauvais tortionnaire. Le troisième les rejoint en soupirant. « Les interrogatoires ne sont plus ce qu’ils étaient. De mon temps, ils filaient droit et les femmes servaient à quelque chose ! » s’insurge l’un des trois, une main sur le bouton de l’ascenseur. « Vieux-jeu. Le directeur est trop précieux pour violer une femme, c’est peut-être pour ça qu’elle s’est enfuie. » Ils disparaissent ensuite chacun dans leur salle d’affectation, non sans se féliciter d’avoir pu échanger quelques minutes de leur journée morne et terne contre les frasques du directeur Krennic.

La main refermée sur le bras de la rebelle, l’impérial rentre de nouveau dans la salle de détention, et projette cette dernière contre le mur le plus proche, sans la moindre douceur. Ce n’est que le début du cauchemar. Lorsque le visage de la rebelle rencontre l’un des murs, elle pousse un cri de douleur qui résonne aux oreilles de Krennic comme la mélodie du bonheur. « Sale garce ! » jure-t-il en serrant l’avant-bras de la rebelle si fortement que les marques de ses doigts se forment comme des marques indélébiles. Face contre le mur, elle est incapable de lui échapper cette fois-ci. Krennic pousse la jeune femme contre le mur afin que son visage se heurte à l’acier en laissant une traînée ensanglantée. Les doigts de son autre main se refermèrent autour de son cou, et ses ongles s’enfoncèrent dans cette chair fragile sans ménagement. « Tu croyais m’échapper ? » raille-t-il avec une froideur et une condescendance dans la voix. « Quel dommage ! » Orson essaie de rester cynique et de prendre les choses positivement, mais il est simplement fou de rage. Habituellement, il aurait ponctué ses propos par un sourire narquois ou bien un rire amusé. C’est loin d’être le cas. Krennic garde une mine sévère et fermée, ses yeux foudroient son interlocutrice avec une envie de l’encastrer contre le mur jusqu’à ce que mort s’ensuive. Orson agrippe une fois encore les cheveux de Shara Bey, afin de s’en servir comme appui, avant de lui fracasser le nez contre le mur. De la violence, toujours plus de violence. Il venge l’acte odieux qu’elle vient de faire à son égard. Mais ce n’est pas terminé, ce ne sera jamais assez pour laver son honneur.

« Directeur ? » s’enquit l’un de ses death troopers en découvrant son supérieur dans un état de colère effroyable. Krennic est réputé pour ses réactions intempestives, mais cette fois-ci, il y a quelque chose de sauvage et de dangereux dans le bleu océan de ses pupilles. Lui-même en a le sang qui se glace. « Sortez ! » rétorque Krennic sans un regard pour ses hommes, obnubilé par la lueur de détermination qui luit dans les yeux de sa captive. Elle lui résiste, elle le prend de haut, une fois encore. Elle paiera tous ses affronts au centuple. Toute sa bienveillance et sa fausse générosité s’envolent comme une traînée de poussière. « SORTEZ ! » vocifère-t-il en faisant presque trembler les murs. « LAISSEZ-NOUS ! » Une précision qui étonne les deux death troopers, mais qui est révélatrice des intentions de leur supérieur hiérarchique quant au sort funeste qu’il réserve à la jeune femme. Ils se dévisagent longuement, puis sortent monter la garde derrière les portes closes.

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FT.  @Shara Bey  
PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Invité



Sam 30 Avr - 17:45

TW :: agression sexuelle sous hide.






welcome to the wild, no heroes and villains. welcome to the war, we've only begun. so pick up your weapon and face it, there's blood on the crown, go and take it. you get one shot to make it out alive. (music) -- ft. @orson krennic.

Très vite, la situation t'échappe de nouveau tandis qu'il empoigne ta chevelure un peu trop fermement pour te tirer lamentablement au sol. Sauf que t'es loin d'être le genre à te laisser faire, en fait, t'es une vraie sauvage Shara et si beaucoup pourraient probablement intervenir et s'amuser de ta situation, il y a une aura étrange qui rôde. Ils s'amusent de la situation, juste pas de la tienne. T'es loin d'avoir conscience qu'avec un tel acte, tu gagnerais sans doute le respect de beaucoup – bien qu'ils te mépriseraient sans doute avec toujours autant de haine. Mais tu accomplissais l'impensable, ou en tout cas, ceux dont tous avaient rêvés. Tu te débattais, hurlant. Viens même l'instant où tu saisis un recoins de porte pour tenter d'opposer une résistance : tu ne lâches rien et probablement que c'est ça le plus admirable chez toi Shara. C'est que tu as une force de résistance des plus admirable et surtout, quitte à y laisser possiblement la vie : autant faire le plus de bordel possible et inimaginable. Tu voulais tout faire sauter, que ça créer une réaction en chaine et que tout les vaisseaux autour puissent tout aussi être victime de ta folie passagère. Une folie qui était simplement dû à une impulsivité sans nom. T'avais toujours été le genre à prendre des risques, mais tu voulais être certaine d'une chose : que peu importe ce qu'il te passe, on se souvienne de toi comme de la connasse qui avait simplement osé porter ses couilles devant l'Empire. Tu tentes de planter tes ongles dans sa propre main qui reste malgré tout protégé par ses foutues gants, alors dans une énième tentative, tu tentes de l'en débarrasser pour pouvoir au moins atteindre la peau d'ses poignet. T'es prête à tout, t'es comme un chien enragé Shara, t'as plus rien à perdre. Tu balances un flot d'insulte pas possible, tu serais presque prête à mettre un coup de ciseau dans ta tignasses si ça te garantissais de pouvoir te libérer de cette emprise. Tu voulais marquer le coup, qu'il se souvienne de toi. Et qu'à chaque fois qu'on prononcerait ton prénom devant lui, qu'il se souvienne de la manière dont tu lui avais explosé le nez, craché à la gueule, marché dessus comme si il n'était qu'une sous merde.
Puis sans comprendre, il te fait te lever, t'attrapant alors par le bras. Si t'as du mal à tenir debout, que tu trébuches plus d'une fois et que sa poigne se resserre constamment autour de ton biceps, tu t'annonces toujours pas vaincu Shara. Tu bouges dans tout les sens, et tu vas jusqu'à simplement pencher ta tête sur le côté pour venir mordre sa main de toute la force possible et inimaginable. Cette tentative aurait pu marcher si le cuir ne faisait simplement pas barrière entre tes dents et sa peau, mais t'es accroché Shara, comme un prédateur refusant de lâcher sa proie, quitte à y perdre quelques dents au passage. Sauf que bien vite, la situation continue d'escaladé tandis que tu finis dans une nouvelle salle de torture. T'as aucune idée de c'qui t'attends, mais t'as pas fini de te battre Shara.

Face contre la surface métallique, ayant du mal à respirer et le sang continuant de couler de tes lèvres, tu te laisses presque faire. Tu te mets alors à rigoler, causant à quelques bulles rouges de s'échapper d'entre tes lèvres. Parce que dans l'fond, tu peux rien faire d'autre sauf provoquer son égo. Le piquer là où ça fait mal. Qu'importe les conséquences, t'es rôdé pour tout et n'importe quoi Shara. C'est loin d'être une partie de plaisir, mais au moins tu en tires une certaine satisfaction. Ta tête rencontre encore une fois cette surface et cette fois, c'est ton nez à toi qui craque sous le coup et qui saigne à ne plus en finir. Et pourtant, tu trouves encore le moyen de faire la maligne Shara, tandis qu'il ordonne à ses hommes de sortir. – Qui aurait cru que le célèbre Directeur Krennic refusait d'avoir un public quand il s'applique à torturer quelqu'un ? Tu dis d'une voix plus ou moins partagée entre le rire et l'essoufflement. – A moins qu'il ait trop peur de se faire émasculer une seconde fois par une salope de rebelle. Tu restes continues de rire simplement, tandis que tu sens que ta tête te fait tout de même terriblement mal. C'est même ce qui te fait le plus mal, au contraire de ta jambe qui, dans l'immédiat, ne te fait ni chaud, ni froid.
Tes rires se transforment vite en gémissement tandis qu'il renferme encore sa poigne et qu'il commence à hurler. Et sans même le savoir, il te donne des armes en plus pour l'humilier encore plus. Tandis qu'il te retourne et que tu te retrouves en face de lui, ta poitrine contre son torse. Son énervement ne te fait que rire légèrement et tu hausses les épaules. – I know who you are. Tu te contentes de dire avant de simplement approcher ton visage du sien, ce petit air de défis sur le visage. – You're Tarkin's little bitch. Parce que lui même a admit que si tu avais été en face du grand Tarkin, probablement que tu n'aurais pas fait la maligne. Sauf qu'il aurait pas tergiversé pendant dix ans, sans lui donner ce qu'il voulait il t'aurait déjà achevé et ton corps serait sans doute déjà en train de vagabonder dans l'espace à refroidir.




(c) mars.
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Anonymous

Invité



Mar 3 Mai - 16:41


There is a price for every second in Hell

—⥼ ※ ⥽—


Give the pain a purpose


« Escadrons Rouge et Bleu, sortie de l’hyperespace dans 5… » Wedge souffla doucement, maintenant la main sur son manche. « 4… » un dernier regard sur ses réglages, un dernier check auprès de son unité R2. « 3… » Celui-ci passa en revue toutes les fonctionnalités, toutes opérationnelles. « 2… » Le vol de ces unités avait été particulièrement tendu, mais finalement, et malgré son appréhension des droïdes, Wedge se sentit plus confiant et plus concentré. « 1… Sortie de l’hyperespace. »

Le tunnel de lumière fit alors place à des traits blancs, de plus en plus courts autour du cockpit jusqu’à se stopper complètement, et ce fut le moment où Wedge bascula l’énergie de son vaisseau dans ses moteurs principaux. Loin d’être un pilote rebelle expérimenté à ce moment-là, il suivait avec application les consignes qu’on lui avait donné. Les deux escadrons allaient se diviser, et pendant qu’un grand groupe avait pour mission de distraire le croiseur impérial, un autre avait la mission de s’infiltrer à bord du vaisseau. C’était à des agents comme Wedge qu’on avait donné cette responsabilité. Il s’était bien débrouillé sur le terrain… et il savait faire profil bas. Le croiseur libéra alors une première salve de mirettes et de bourdons - comme on le disait dans le jargon - ce qui avait été prévu dans la formation initiale. Wedge se détacha alors du groupe, de même que les autres pilotes avec la même mission que lui, pour filer à travers les TIE sans les agresser. Ceux-ci pouvaient aller porter leur attention sur les autres vaisseaux rebelles, notamment l’Escadron Bleu, qui commencèrent les hostilités.

Tous les croiseurs avaient leurs points d’entrée, et l’intérêt de leur fabrication en série était que ces entrées étaient prévisibles. Une fois les mirettes et les bourdons sortis, cela faisait une porte de choix, pour peu que les impériaux ne réalisent pas que c’était le réel objectif des rebelles.

Wedge savait bien pourquoi il mettait sa vie en danger. Des agents rebelles étaient prisonniers ici, avec des informations capitales. Des agents de valeur, que l’Amiral Ackbar entendait bien retrouver en vie. Une mission d’extraction en sommes… et la première d’une envergure aussi risquée. Relevant la tête de son cockpit, Wedge pouvait voir le dessous du croiseur. D’une blancheur presque éblouissante avec la lumière du soleil… mais la porte était bien visible d’ici.

« Ici Red 2. » dit-il dans son communicateur. « En position. »

« Red 7, en position. »

« Red 5, en position. »

« Red 2, 5 et 7, en attente. Le capteur n’est pas encore brouillé. » fit Red Leader en réponse. Wedge reprit une inspiration, évitant de près un tir qui lui était destiné. Tant que les capteurs principaux seront intacts, il serait impossible d’aborder sans affoler les alarmes et les systèmes de défense. C’était la mission de l’Escadron Bleu de s’en débarrasser… Antilles brûlait d’envie de venir les aider, il savait que chaque seconde qui passait mettait non seulement la mission en danger, mais surtout la vie de tous les pilotes présents, et les agents prisonniers. « Allez, allez… » marmonna-t-il pour lui-même.

Soudainement, un rapport de son unité R2 lui indiqua que le capteur avait été détruit. Il lui envoya également les détails du tir qui l’avait mis hors services, mais cela n’intéressait pas Wedge. « Red 2 en approche, monsieur. »

« Bonne chance. » lui répondit Red Leader.

L’Empire devait s’attendre à une attaque frontale, car les officiers ne semblait que voir l’Escadron Bleu qui venait maintenant mener une attaque de front. C’était parfait! Wedge rapprocha son vaisseau en douceur de l’entrée du hangar, et ne sembla déclencher aucune alarme quand il passa la fine barrière de gravité. Red 5 et 7 sur ses talons, ils firent tous les trois atterrir leur X-Wing (Red 2 et 7) et leur U-Wing (Red 5). Ils se regardèrent tous les trois, hochant la tête d’un commun accord. Ils connaissaient tous leur mission et la marche à suivre à présent. Wedge se débarrassa de sa combinaison orange, sous laquelle il portait l’univers réglementaire impérial (peut-être ou peut-être pas issu d’un énième vol d’un cargo impérial) et vérifia son blaster. Ils avaient jusqu’au moment où il répareront le système pour réaliser qu’ils ont été infiltré… D’ici-là, les impériaux seront bien occupés! On entendait les impacts de tirs d’ici!

« Le compte-à-rebours est lancé, Wedge! » lui fit signaler son camarade avec un sourire en coin. Il semblait sûr de lui, Wedge aimerait lui emprunter un peu de cette assurance. Sa dernière fois sur un vaisseau impérial ne s’était pas forcément passé pour le mieux. « Je pars à la recherche des prisonniers. Je compte sur vous pour la diversion et pour me couvrir si les choses tournent mal… »

« Bien reçu. Rendez-vous à la fin de l’aventure, Antilles! »

Wedge hocha la tête, inspira une nouvelle fois, saisit son comlink dans la main et s’enfonça dans le couloir devant lui. Tous les plans que R2 avait pu trouver se trouvaient dessus, en espérant que cela suffise à trouver ses camarades…


AVENGEDINCHAINS
@Orson Krennic & @Shara Bey

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Orson C. Krennic

Orson C. Krennic

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▿ Ton univers : Rogue One: A Star Wars Story
▿ Date de naissance : 14/04/1981
▿ Age : 43
▿ Métier : Ex-romancier de génie, auteur de best-sellers et désormais ingénieur en armement à Mordor Industries depuis fin 2022 • Critique littéraire à ses heures perdues • Expert en science-fiction
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans un appartement en colocation avec son fiancé, Galen Erso.
▿ Côté cœur :

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Krennic laughed to ease the mood. “You know what I find interesting – or maybe ironic is the word. It’s that each of us wants what’s best for you. In a way, we’re competing to make you happy, as old-fashioned as that sounds. And each of us has a different idea about what you should be doing. (…) and I maintain that you’re meant for bigger things, and will continue to do whatever I can to bring opportunities to your attention.”
Galen smiled thinly. “Don’t think I don’t appreciate it.”
(CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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“We have to put some meat back on those bones of yours,” he said as he crossed the cabin to Galen, “but I think I could get used to the beard.” (Orson Krennic to Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

― Was Galen to become the prize in a contest between them? Well, hadn’t he always been that? (Orson Krennic about Galen Erso and his rivalry to Lyra Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
❝ i'll never stop looking for you. i'll never let you entierly. you’re the only truth in a sea of lies. you're in my blood. now and forever. ❞


—⥼ ※ ⥽—

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― Beings had been known to hide on Coruscant for a lifetime, but Galen wouldn’t be one of them. He wouldn’t be able to stay away from his research. He would have a change of heart. He would turn himself in. He would reach out… The anger and despair he had felt in the air-speeder returned and settled on him like a great weight. “Galen,” he said, as if orphaned. Then: “Galen!” shouting it to the busy sky. (Orson Krennic about Galen Erso – CATALYST : A ROGUE ONE NOVELJames Luceno)

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•••
« It’s just so hard not to think of you...
think of where you are.
My Stardust, my Death Star. »


▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L’Étoile de la Mort
▿ Blaster lourd DT-29 amélioré (macroscope)
▿ Astromécano C2-B5
▿ Expertise tactique et stratégique
▿ Connaissances approfondies en armement
▿ Pseudo : Spicy Pumpkin
▿ Avatar : Ben Mendelsohn
▿ Copyright : Gifs • spicy pumpkin (crackships), jynnics (crackships, 30, 31, 32, 33, 34), beautiful loser (1), paxdemon (2), im-solo, (3, 4), youhavemysaber (5), starwarsblr (6, 8), mendo-r (7, 19), laserbrains (9, 10, 11), ladymacdeath (12), benmendo (7, 10, 13, 14, 15, 16, 17, 20, 25), tarmairons (18, 19), girl-in-the-suit (22, 23, 24), abnurtharnn (26, 28), ignisgayentia (29) ; Avatar • spicy pumpkin ; Moodboards • spicy pumpkin (crackship moodboard), kylo-ren-has-an-8pack & d. ♡
▿ Disponibilités rp : — 35 / ∞ —
▿ Autre(s) compte(s) : Orion Black ◊ Nolan Sorrento ◊ Sheev Palpatine ◊ Thalassa Tarkin ◊ Celia St. James ◊ Sauron ◊ Perséphone
▿ Messages : 380
▿ Points : 986
▿ Date d'inscription : 05/03/2022
▿ Notes :

LAME IV DU TAROTL'EMPEREUR
—⥼ ※ ⥽—

AUTORITÉ ╳ ACTION ╳ POUVOIR ╳ DIRECTION ╳ VOLONTÉ ╳ PERSÉVÉRANCE ╳ ENTÊTEMENT ╳ PUISSANCE ╳ TYRANNIE

—⥼ ※ ⥽—
« We were on the verge of greatness. »
-(O)rson (C)allan (K)rennic-

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« I don't have to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. I don't need to sell my soul. He's already in me. I wanna be adored. You adore me. I wanna be adored. I gotta be adored. » ( i wanna be adored ϟ the stone roses )

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« I used to roll the dice. Feel the fear in my enemy's eyes. Listen as the crowd would sing: now the old king is dead ! Long live the king ! One minute I held the key. Next the walls were closed on me and I discovered that my castles stand upon pillars of salt and pillars of sand.

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People couldn't believe what I'd become. Revolutionaries wait for my head on a silver plate. Just a puppet on a lonely string. Who would ever want to be king.

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┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
I used to rule the world.
┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉

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Seas would rise when I gave the word. Now in the morning I sleep alone. Sweep the streets I used to own. For some reason I can't explain, once you'd gone there was never, never an honest word.

┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉ ┉
That was when I ruled the world. » ( viva la vida ϟ coldplay )

— ◊ ◊ ◊ ◊ ◊ —

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•••
it's his project.
it's his life.
it's his everything.
it's the death star.
•••


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in the end, our secrets destroyed us.

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FICHELIENSARCHIVAGE

﹣﹣﹣

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﹣﹣﹣
DUO

WILHUFF T.(MAJ ✎ ??.??)
WILHUFF T. (NOËL) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WILHUFF T. (P-3) ✰ (MAJ ✎ 10.01)
WILHUFF T. (P-4) ✰ (MAJ ✎ 22.03)
WEDGE A. (FB) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
WEDGE A. (AU) ✰ (MAJ ✎ 05.04)
SHARA B. (AU) ✰ (MAJ ✎ 27.11)
LYRA E. (AU) ✰ (MAJ ✎ ??.??)

GROUPE

TEAM STAR WARS (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ ??.??)
ordre de passage : aléatoire


GANNIC
(Galen Erso x Orson Krennic)


GALEN E. (FB - 2) ✰ (MAJ ✎ 15.03)
GALEN E. (FB - 3) ✰ (MAJ ✎ 11.03)
GALEN E. (FB - 4) ✰ (MAJ ✎ 15.03)

GALEN E. ( P-1 )(MAJ ✎ 27.11)
GALEN E. ( P-2 )(MAJ ✎ 23.02)
GALEN E. ( P-4 ) (INTRIGUE) ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-5 )  ✰ (MAJ ✎ (23.02)
GALEN E. ( P-6 )  ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-7 )  ✰ (MAJ ✎ (01.04)
GALEN E. ( P-8 )  (HALLOWEEN) ✰ (MAJ ✎ (27.11)
GALEN E. ( P-9 )(MAJ ✎ (??.??)
GALEN E. (P-10 ▴ NOËL) ✰ (MAJ ✎ 01.02)
GALEN E. (P-11 ▴ INTRIGUE 3 - 2) ✰ (MAJ ✎ 01.04)

GANNIC ▹ AU
(Galen Erso x Orson Krennic)


uc

TARKRENNIC ▹ AU
(Wilhuff Tarkin x Orson Krennic)


WILHUFF T. (1 - AU) -0 BBY ❘ Krennic survit à Scarif ⋄ Retrouvailles explosives ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (2 - AU) -10 BBY ❘ Krennic a une liaison cachée avec le fils de Tarkin ⋄ Réalité dans laquelle Garoche est en vie ✰ (MAJ ✎ 09.10)

WILHUFF T. (3 - AU) -31 BBY ❘ Jeunesse de Krennic à Brentaal ⋄ Tarkin est enseignant ⋄ Relation professeur-élève ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (4 - AU) -13 BBY ❘ Galen Erso est mort ⋄ Tarkin est amoureux de Krennic ⋄ Obsessions ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (5 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Tarkin et Krennic ont survécu à Scarif & Yavin ⋄ Incarcération ⋄ Passion inavouée ✰ (MAJ ✎ 23.02)

WILHUFF T. (6 - AU) 4 ABY ❘ Post-Bataille d'Endor ⋄ Krennic a trahi l'Empire et est un agent important de la NR ⋄ Tarkin est arrêté ⋄ Krennic et Tarkin sont des ex-amants ⋄ Interrogatoire ✰ (MAJ ✎ 28.03)

WILHUFF T. (7 - AU) 2022 ❘ Sur l'île ⋄ Krennic et Tarkin sont en couple ⋄ Leurs souvenirs sont revenus ✰ (MAJ ✎ ??.??)

WILHUFF T. (8 - AU) 2022 ❘ AU!Moderne ⋄ Krennic et Tarkin sont associés de leur start-up ⋄ Passion refoulée ⋄ Galen a rompu avec Krennic ⋄ Voyage dans les îles ✰ (MAJ ✎ 17.03)

WILHUFF T. (9 - AU) 4 ABY ❘ Suite AU!Prison ⋄ Douches ⋄ Incarcération ✰ (MAJ ✎ 02.02)

WILHUFF T. (10 - AU) -18 BBY ❘ Babysitting qui tourne mal ⋄ Krennic surveille le fils insupportable de Tarkin ✰ (MAJ ✎ 27.03)

WILHUFF T. (MAJ ✎ 27.03)



Sam 10 Sep - 2:14




give the pain a purpose
director krennic x shara bey






“Here comes the darkness. It's eating on my soul. Now that the spark has run out of control. This fire is raging. I can't find the door. I just want to die here, but you wanted more. Now that the light has driven me insane. This fire is blazing and I'm still inside. I just want to die here. You won't let me out alive.” (burnthe pretty reckless)

writing music: burn ▴ the pretty reckless
notes: j'espère que ça te plaira  (terminé) give the pain a purpose. (ft. orson) 894672784

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A BORD DU DESTROYER STELLAIRE DE CLASSE IMPERIALE ▴ -0 BBY ▴ AVANT LES EVENEMENTS DE ROGUE ONE …

Elle l’a bien cherché, pense-t-il longuement, alors que les provocations de la rebelle sifflent encore à ses oreilles. Elle le provoque, lui intime de lui faire du mal. Elle évoque même ce nom si désagréable qui le met dans une colère folle, au point qu’il vient à la gifler à l’instant même où ce « Tarkin » s’échappe de sa bouche d’ingénue. Pas devant lui. Pas sous son commandement. Lorsqu’il exulte, relâchant toutes ses tensions et se déversant en elle, c’est un soulagement. Non pas extatique, parce qu’il est écœurant. Un soulagement d’enfin être libéré de cette pression sociale. Enfin, il a effectué son travail, ce qu’on a attendu de lui. Il a brisé la rébellion. Il a brisé cette femme. C’est ce que ses hommes ont attendu de sa part. L’idée qu’on puisse l’insulter dans son dos et le dépeindre comme un vulgaire faible, incapable de dominer une pauvre rebelle est inconcevable. Il vient de faire preuve de férocité dans cette salle d’interrogatoire en démontrant une fois encore sa supériorité. Tarkin lui répète son incompétence suffisamment de fois par jour pour que ses propres soldats s’y mettent à leur tour. Lorsque Krennic effectue un mouvement de recul, en remettant correctement la braguette de son pantalon d’uniforme noir en place, l’une de ses mains – celle tenant son précieux blaster lourd DT-29 –  se baisse en direction du sol. Il la laisse se dégager de son étreinte et s’écrouler comme une poupée de chiffon cassée à ses pieds. Elle est cassée, fracassée en deux même. Krennic en a conscience. Il admire ce spectacle avec une certaine nervosité. Krennic l’observe d’en haut, le menton fièrement levé, alors qu’elle est à quelques centimètres de ses bottes cirées. Elle se balance dans son coin, d’avant en arrière, comme dans un état de transe et de choc psychologique intense ; son corps semble si fragile à cet instant précis, entrechoqué de sanglots et de murmures suffisamment audibles pour déchirer ce qui lui reste d’âme et d’humanité. Les mots qui sortent de ses lèvres sanguinolentes sont déchirants, et engagent davantage son âme dans ses propres ténèbres. Krennic est interdit durant de longues minutes, ressassant chacun de ses faits et gestes ; la manière dont il l’a frappée, celle qui lui a permis de la faire taire et enfin de briser toute résistance chez elle. D’un simple coup d’œil vers ses gants noirs, l’impérial se remémore la présence de ces derniers contre la bouche de la jeune femme pendant l’acte. Lui qui s’est toujours trouvé particulièrement hautain en moquant les autres officiers qui abusent des corps des victimes pour assouvir leurs pulsions sordides. Lui qui a sans cesse pris de haut le corps impérial en les considérant comme des animaux. Lui qui s’est distingué pendant presque trente ans par son éducation et ses manières. Lui, qui se croit différent des autres officiers. Orson vient de plonger tête la première dans ses pires cauchemars. Orson est finalement coupable des mêmes actes, bien qu’ils manquent cruellement d’élégance et de dignité. Leurs crimes, leurs pulsions et vulgarités sont désormais les siennes. Krennic vient de comprendre certaines choses. Il s’est laissé emporter par ses violences, mais c’est avec amertume que les premiers regrets s’éveillent en lui et viennent crasher ses beaux principes moraux. Krennic l’observe silencieusement, presque gravement, avant de se pencher dans sa direction. Il vient prendre son menton entre deux doigts pour approcher son visage du sien. Ses yeux bleus sont glacés, durs et obscurcis par les restes de la colère qui sommeille encore en lui. Krennic est dévasté, et ce même désespoir se reflète dans l’expression de son visage.

« I’ve never wanted… » marmonne-t-il entre ses dents, en doutant fortement du fait d’être parfaitement audible. Jamais voulu quoi ? Jamais voulu ça. « …this. » Krennic ignore ce qui est en train de se passer, là maintenant dans son esprit, mais son corps obéit avant même que l’information ne monte au cerveau. Lentement, son visage s’approche de son oreille. « I’m sorry. » dit-il dans un souffle contre son oreille, sa voix tremble brièvement sous le coup de cette émotion vive. « It’s war, not me. » Cette sincérité est inattendue, déferlant en lui comme un tsunami avec ses pairs : les regrets et la culpabilité. C’est la guerre, rien d’autre. Il n’y a rien de personnel là-dedans. C’est une sanction parmi d’autres à ses yeux. La guerre justifie toutes les atrocités selon lui, Krennic abuse aveuglément de ce prétexte afin d’expier tous ses péchés depuis des décennies. Mais cette fois-ci, c’est un autre type de violence qui s’engouffre en lui. De la violence envers lui-même, cette instabilité qui le fait agir d’une manière déshonorante pour ses fonctions. Il aurait dû les laisser s’en charger, c’est eux qui avaient finalement raison. « I didn't mean it. » Orson est insistant, alors qu’il s’imprègne du parfum de Shara, comme d’une prise de guerre. Il l’a brisée et c’est un bel exploit en soi, mais ce qu’il découvre maintenant est terrible. Toutes les blessures ont un prix à payer. Orson paie le prix de son impulsivité, de sa lâcheté. C'est de bonne guerre. Les actes commis en période de guerre sont, à son humble avis, pardonnables et justifiables. Même les plus atroces. C'est en tout cas ce qu'il essaie de se convaincre. « Forgive me. » Qu’elle lui pardonne si elle y parvient un jour, parce que lui ne se le pardonnera jamais. Cette fragilité ne dure pas longtemps, parce que la seconde d’après, il rejette Shara en arrière, sans ménagement. Haussant les épaules avec désinvolture, il se prépare psychologiquement à revêtir sa plus belle apparence avant de quitter la pièce. Il ressortira en gagnant, et pour ce faire, aucune trace de culpabilité ne doit être exposée. Krennic fait donc mine de rien, occultant totalement le fait de s’être exposé pendant ne serait-ce qu’une pauvre fraction de seconde. Fragile, lui, quelle idée. De la pitié ? Hors de question d’en avoir pour quelqu’un comme elle. Hors de question qu’elle soit spectatrice de tourments intérieurs et psychotiques. Il doit avoir le beau rôle, celui du puissant, celui du bourreau, celui qui prend et qui jette sans un regard en arrière. Ce rôle est pourtant extrêmement lourd à porter et difficile à assumer. Krennic l’admet intérieurement, difficilement, mais il refuse encore de l’extérioriser. Pas plus d’un instant. Pas plus d’une seconde. Si fragile. Elle l’a fait paraître si fragile. Il lui en veut pour tout. Pour lui avoir fait ça, mais surtout pour faire éclater le vernis lisse de ses mensonges, de ses tendances dramatiques destinées à combler un manque. Elle le force à révéler les contradictions de son comportement en le plongeant dans un chaos psychotique. Son instabilité, tout comme son orgueil, sont les principales causes de sa chute.

Krennic ne reste pas bien longtemps près d’elle, c’est beaucoup trop difficile à porter. Il s’éloigne de ce corps brisé, encore en sang et couvert d’ecchymoses. Krennic réprime un frisson d’effroi en songeant au fait qu’il éprouve le besoin de prendre une douche. Comme si une douche seule suffirait à laver la violence de ses actes et occulter ce moment de sa mémoire. Le bruit des talons de ses bottes claque rageusement sur le sol pendant quelques secondes, jusqu’à s’interrompre devant les portes de la salle de détention. En l’ouvrant, d’une simple pression sur l’écran tactile, la silhouette de ses hommes s’impose à lui comme un dur retour à la réalité. Krennic s’efforce de retrouver un visage austère, froid et calculateur. Un visage satisfait de lui, de ses actes, alors qu’en réalité, il n’en est rien. Tout n’est qu’une putain de mascarade. Dans son monde, un officier impérial doit nécessairement faire preuve de cruauté et être capable de se faire respecter, ou plutôt craindre, par ses détracteurs et ses ennemis. Krennic doit rester impassible, il en va de sa réputation au sein de l’Empire. Même si ses actes l’écœurent profondément, le choix inverse n’est plus une liberté qu’il est possible de prendre.  Même si son coeur est empli de regrets et de chagrin, ce dernier doit rester froid et noir comme le charbon. Orson est un enfoiré. Orson doit être un enfoiré pour survivre. Cette étiquette va le coller jusqu’à la fin. Il est réellement un enfoiré, mais peut-être pas à chaque fois. Il y a une part de fragilité et d’insécurité dans certaines de ses actions, qui dépeignent davantage un besoin croissant de reconnaissance qu’une véritable tendance à la violence brute.

« Keep looking. » ordonne-t-il à l’adresse des death troopers qui se trouvent devant les portes coulissantes. Les hommes se dévisagent rapidement, et derrière leurs masques, la surprise s’éclaire sur leurs visages. Ils étaient persuadés que le directeur l’aurait tuée à mains nues, après avoir abusé de son corps. Il leur adresse un simple regard froid. Il est bloqué sur un point fixe et invisible en face de lui. Sa voix est glaciale, l’expression de son visage est sinistre. Les rides qui parcourent son visage semblent même s’être accentuées par la brutalité de la scène. Il a l’impression d’avoir pris un sacré coup de vieux en quinze petites et ridicules minutes. Shara Bey est traumatisée, mais il l’est tout autant à un autre niveau. Il ne pensait pas être capable d’un acte aussi abject. Elle le dégoûte plus que tout, au point que cette vision de nudité couverte de sang et de sueur éveille en lui des haut-le-cœur. Il se dégoûte lui-même. Krennic est encore chancelant par tant de débordement de haine, de colère et de frustrations. On pense toujours que l’acte sexuel procure un certain plaisir, mais dans son cas, c’est un calvaire. Il affronte avec suffisance le regard brisé, et éteint de sa jeune proie entre ses griffes. Il l’affronte non sans amertume et désespoir. « Dress her up. » dit-il en effleurant l’écran tactile de l’interrupteur de ses doigts gantés, afin de refermer les portes dans son dos. Krennic ne veut pas qu’elle puisse percevoir les bribes de leur conversation. Elle ne doit pas être témoin d’un élan supplémentaire de générosité, déjà qu’il en a trop fait, après s’être déchargé de toute ses tensions. Certains disent « je t'aime » après l’acte. Lui non, il n'y a pas de je t’aime, pas de c’était parfait. Non, rien d’émotionnellement valorisant. Il est désolé, mais la guerre justifie les moyens. Il est désolé, parce qu’il est contraint de porter une nouvelle étiquette aujourd’hui. Il est désolé, parce qu’il a fait souffrir aussi intimement quelqu’un de ses propres mains, et tout ce qui l’intéresse, c’est le fait d’être perçu comme un barbare et non pas comme quelqu’un de distingué. Il est désolé parce qu’il découvre une facette effrayante de sa propre personnalité. Il est désolé, parce qu’il n’a jamais souhaité que les choses évoluent aussi tragiquement entre eux. Pas de cette manière-là, en tout cas. Il préfère la frapper sans l’ombre d’un regret. Il préfère l’exécuter avec un sourire. Vraiment tout sauf ce qui vient de se passer. Ce qu’il ne digère pas, c’est l’aspect intime de sa barbarie. Que peut-il faire de plus, mis à part de sauver les apparences ? Un dignitaire ne peut se complaire dans les excuses, c’est un signe de faiblesse. C’est ce qu’il a fait, d’abord à demi-mot, puis exprimé dans un souffle. C’était plus fort que lui. Elle devait l’entendre de sa bouche. Elle devait être ce témoin sordide, cette victime de sa propre déchéance. Krennic soupire faiblement, en feignant l’épuisement de ses résistances mentales. Il joue le comédien devant ses hommes, faussement comblé par le fait d’avoir su dompter une rebelle récalcitrante. Il feint le fait d’être fort, fier et digne. Content de ce qu’il a accompli, parce qu’il ne peut pas leur révéler le moindre signe de culpabilité ou de regrets. Il ne peut révéler que ces ébats l’ont fortement dégoûté. Dans son monde, les hommes de sa trempe sont supposés éprouver du plaisir pour ce genre de choses. Personne ne doit savoir. Personne sauf elle. C’est pourquoi, en réalisant que les oreilles de la jeune femme traînent encore dans la salle, Krennic décide d’en sortir complètement. Les portes se referment dans un bruit désagréable et familier d’aspiration. Cette cape est la dernière chose qu’elle voit de lui, avant d’être isolée dans sa cellule. Krennic ne tient pas à ce qu’elle puisse comprendre qu’ils partagent tous les deux le même un état de trouble et de culpabilité. Même si avec recul, c’est déjà trop tard. En s’excusant, il vient de trahir toute la théâtralité de ses gestes, toute la cruauté et l’indifférence de ses mouvements de bassin, toute la froideur de son timbre de voix. Quelle importance ? Elle s’en moque très certainement à cet instant précis, mais Krennic veut conserver les apparences. Une apparence de dignité et d’autorité, alors que tout au fond de lui, c’est désormais un homme brisé qui affronte le monde avec encore plus de mépris pour l’humanité qu’il en a déjà eu. « Don’t talk about it to anyone. » cingle-t-il sans rictus, éclat de malice, moquerie ou même de cynisme. Il assume difficilement le fait d’avoir envoyé valser toute son élégance naturelle pour se vautrer dans la barbarie. Krennic est sérieux, comme l’atteste la pâleur sur ses joues et cette expression faciale sinistre. Même le timbre de sa voix grave illustre ses tourments intérieurs, et plus secrètement, ses premiers regrets. « Am I made myself clear ? » répète-t-il dans l’attente d’une réponse affirmative de la part de ses hommes, celle-ci ne se fait pas attendre et claque froidement dans l’étroitesse du couloir en acier : « It’s perfectly clear, director Krennic. » L’intéressé semble moyennement satisfait, il est complètement distrait par les flashs aveuglants de ses ébats sauvages et intenses. Krennic se repasse le film en boucle. Ces images sont bouleversantes et effroyables, elles lui retournent l’estomac au point que les traits de son visage impassible se déforment discrètement en grimace. Le sang tambourine dans ses veines, l’air vient même parfois à manquer et son palpitant manque quelques battements de manière entrecoupée. « I’m going to my office. I don’t want to be disturb. » Le travail est exactement ce dont il a besoin pour occulter de son esprit ces dernières minutes. « Yes, director. » rétorqua le deuxième homme en inclinant la tête. Krennic est déjà dos tourné aux deux death troopers, et ne leur prête aucune attention supplémentaire. Il s’avance dignement dans le corridor le plus proche, les pans fluides de sa cape tâchée léchant le sol sous le pas de ses bottes noires. Ses hommes murmurent entre eux, avant de disparaître à leur tour dans la salle de détention. Krennic les entend encore distinctement avant de se tourner vers l’aile Ouest du Destroyer. Leurs voix résonnent comme des bourdonnements d’insectes dans ses oreilles, se mêlant à celle de la victime de ses colères. Shara Bey. Ce visage dévasté, ces yeux remplis de tristesse et de haine, le souvenir de cette femme qu’il a traité comme une marionnette est encore imprégné dans son esprit.

PHARAOH LEAP CREATES


ஃ Haven't they suffered enough? But you can't get enough of shutting down systems for personal gain. If you mess with things selfishly, they're bound to come undone. Do you get off on pain? We're not pawns in your game. – Commander In Chief (demi lovato)
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Mar 1 Nov - 19:05

TW :: agression sexuelle.


welcome to the wild, no heroes and villains. welcome to the war, we've only begun. so pick up your weapon and face it, there's blood on the crown, go and take it. you get one shot to make it out alive. (music) -- ft. @"orson krennic".

Une âme brisée.
C'est exactement ce que tu étais dans l'immédiat. Brisée, détruite. Rien de pire ne pourrait t'arriver. La descente s'était faite droite jusqu'en Enfer, aucune pause, aucun répit. Tu faisais plus la maligne, parce que tu n'avais plus aucune prise sur lui, plus aucun moyen de te démontrer plus intelligente. C'était plus un combat, et le pire dans tout ça, c'est que tu pouvais pas t'empêcher de te dire que peut-être, c'était de ta faute. Parce qu'on s'le dise : si tu t'étais tenue tranquille Shara, rien de tout ça ne serait arrivé. Et tu ne serais pas là. Probablement que la torture aurait été autre, mais rien n'aurait pu être pire que ça. Pire que ce que tu venais de vivre là dans l'immédiat. Les images se rejouaient dans ton cerveau, les sensations étaient là au point que tu viens planter tes ongles dans ta peau, presque comme si tu cherchais à t'arracher la peau pour ne plus sentir ces sensations, pour ne plus te sentir sale. Te voilà comme enfermé dans ton propre esprit, comme un isolement où tu revivais les évènements en boucle, encore et encore.

Ses excuses, elles rentrent d'une oreilles, ressortent de l'autre. Tu restes immobiles, à simplement pleurer dans un coin, tes fringues dégarnies et ta peau recouverte d'un mélange de sang et de sueurs.  Le seul réconfort que tu auras peut-être dans tout ça, c'est qu'au final ses actions le hanteront tout autant que toi. Ou pas. Parce que viendra le temps où pour te sauver de ta propre misère ton cerveau finira par faire abstraction de cet événement traumatisant, ou ta dignité a été prise. T'as été fière jusqu'au bout Shara, maintenant t'es plus qu'une princesse de chiffon, brisée, détruite, ravagée. L'annihilition est proche face à tes démons qui vont tout faire exploser, tes prochains jours sur la base qui seront un véritable cauchemar.

Les ordres sont données et toi, tu réagis pas. Tu restes dans ton coin, à tel point que quand les death strooper arrivent pour te rhabiller, ils n'ont aucune difficulté. Tu t'laisses faire. Tu t 'laisses manipuler comme si quelqu'un avait les rênes et que toi, tu n'étais que la marionnette. Ils viennent jusqu'à venir penser quelques unes de tes plaies les plus ouvertes, les recouvrant parfois de simple patch pour les couvrir. Ils remontent la bretelle de ton soutient gorge, adapte ton débardeur. Telle une vraie poupée on te rhabille, on te rend présentable. C'est presque si ils ne sont pas à essuyer tes joues recouvertes de sang et de larmes. Non, ils y vont pas jusque là même si la question se posent entre eux pendant un court instant. Tu bronches pas à chacun de leur touché, encore en état de choc. Tu fixes un point blanc, t'es comme inanimée. Seule ta respiration et le poul encore visible qui circule dans la veine de ton cou permettent d'assurer que t'es encore bien vivante.
Du moins en apparence.

Parce qu'en fait, désormais, t'es totalement détruite. Tu le pensais pas capable de réussir à faire ça et pourtant, tu t'étais trompée Shara.
Il avait marqué dans l'mille. T'étais plus que l'ombre de toi même. Dévastée.
Détruite.
L'ombre de toi même. Et ça n'était que le début Shara. Le début de ta longue descente en enfer.


(c) mars.
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Mar 8 Nov - 13:11


There is a price for every second in Hell

—⥼ ※ ⥽—


Give the pain a purpose


La diversion semblait fonctionner à merveille : Wedge n’avait encore croisé aucun officier ou même de simples soldats en avançant dans les couloirs. Le plan holographique dans le creux de la main, il restait malgré tout parfaitement prudent, vérifiant chaque croisement, se préparant à faire feu à chaque fois. Cette fois-ci il se plaqua contre le mur : une petite unité se dirigeait précipitamment vers le couloir opposé et personne ne le vit. C’était facile... peut-être trop facile. Cependant le capitaine ne se permit pas de douter sur sa mission. Maintenant qu’il y était, il devait se montrer concentré, sa vie et celle de ses camarades en dépendaient.

« Red 2. » appela une voix dans son oreillette qui n’eut pas besoin de sa réponse pour continuer. « Le lieutenant Bey se trouve dans la prochaine aile, cellule A45-78. Rendez-vous au point d’extraction. »

Shara... C’était elle qu’il était donc venu chercher ! Les autres prisonniers avaient déjà dû être rapatrié, ou bien Shara était la seule qui était encore en vie. Dans un cas comme dans l’autre, c’était elle qui primait !

Encore une fois, pas de garde. C’était presque comme si la sécurité de l’aile était déjà abaissée pour le laisser entrer. Le laisser la trouver... appuyée sur une chaise, comme si elle avait été droguée.

« Shara ! » appela-t-il urgemment, se précipitant à son côté. Elle ne réagissait même pas à sa voix, et maintenant qu’il était aussi proche, il remarqua ses mains... ces traces... quelques hématomes... Il fronça les sourcils, non pas qu’il soit surpris qu’elle ait été malmené mais inquiet de la voir si... absente. « Ça va aller Shara, on va te mettre en sécurité. Je suis là. » lui dit-il doucement, cherchant rapidement une solution. Ce n’était pas comme si elle pouvait marcher, dans son état. « Ça va aller, ça va aller... » répéta-t-il dans un murmure, passant un bras autour d’elle, l’autre sous ses genoux pour venir la tirer vers lui. Même là, elle ressemblait à une masse morte. Pourtant, à travers son vêtement, Wedge pouvait sentir son pouls, et même sa respiration. Une respiration régulière, lente et calme.

Toute sa prudence de l’aller s’était réduite au point minimum, maintenant qu’il avait son amie dans les bras. « Ici Red 2, j’ai trouvé le lieutenant. » articula-t-il, sachant très bien qu’il était écouté. « Je me dirige au point d’extraction. Préparez une unité de soin sur le champ, soldat blessé. » Et puis son attention revint sur Shara. « Je vais te sortir de là, tu m’entends ? Tiens bon, Shara... »

L’opération fut un succès mitigé. Plusieurs pilotes de perdus, du matériel détruit, trop peu de prisonniers retrouvés... Cependant, Ackbar n’était pas mécontent pour autant. Cette mission, il l’aurait refaite sans hériter. Il était simplement... inquiet. Il n’aimait pas les rapports qu’il avait reçu, et il n’aimait pas non plus l’entrevue qu’il avait eu avec le capitaine Antilles. Maintenant, il n’y avait plus rien à faire qu’attendre... Juste attendre...


AVENGEDINCHAINS
@Orson C. Krennic & @Shara Bey

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(terminé) give the pain a purpose. (ft. orson)
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