Dans les Enfer, naître en tant que Hellhound, n’est pas une très bonne chose. Pourtant, c’est la naissance à laquelle eut droit Loona. Elle n’a pas garder de grand sourire de sa petite enfance, peut-être parce qu’il n’y a rien dont elle eut voulu se souvenir d’une façon ou d’une autre. La louve n’a jamais pu trouver sa place et comme elle était en bas de la chaîne alimentaire… enfin, façon de parler. Certains de ses congénères étaient dressé pour remplir une fonction ou un autre, mais se laisser soumettre, ce n’était pas sa nature !
Enfin, c’est ce qu’elle décida en décidant d’ériger un muraille d’agressivité et de violence autour d’elle. Plusieurs fois, le chenil tenta de la placer, mais toujours elle revenait. C’était une situation pénible pour elle, même si elle prétendait que c’était toujours mieux que d’être avec ces pourris. Elle avait presque dix-huit ans et était encore une fois de retour au chenil quand elle rencontra Blitzo. Malgré son sale caractère, dont il avait été averti, il décida de l’adopter et de la considérer comme sa fille… C’était probablement plus que ce que Loona n’aurait jamais pu espérer… et pourtant, elle ne comptait pas lui facilité la tache.
Loona n’avait pas à se plaindre de cette nouvelle vit qui s’offrait à elle… Mais elle ne voulait pas considérer Blitzo comme son père… Surtout que ce dernier s’est toujours montrer beaucoup trop protecteur et affectueux à son goût. Oui, elle avait appris à l’aimer… à sa façon. Sinon, jamais elle ne serait venu à sa rescousses dans les missions où son « père » s’est retrouver en fâcheuse posture… même si elle était sensé être une simple réceptionniste pour son agence.
Elle connaissait l’accord de son père avec Stolas, comment aurait-il pu en être autrement quand elle se retrouvait parfois en garde du bouquin ? En tout cas, elle ne manqua pas de voir à quel point le Goetia tenait à l’Imp, mais elle s’en fichait, ce n’était pas ses affaires. Si ce n’est que c’est ainsi qu’elle rencontra Octavia, la fille de Stolas. Les deux filles avaient beaucoup parler en attendant leurs figures paternelles. Puis, elles devinrent amie… Amie… Même parmi les Hellhound, Loona ne pouvait pas se venter d’avoir des amis et tout aurait probablement pu aller bien par la suite… Oui… ça aurait pu…

Sauf que la Lune Rouge avait eut son mot à dire dans cette histoire.

Une apparence humaine, elle connaissait, ne plus pouvoir reprendre sa véritable apparence, c’était une chose. Elle se retrouvait là, avec Blitzo et aucune information sur où se trouvait les deux autres. Bah, cela la touchait bien moins que son « père ». Si elle se retrouvait parfois à l’aider dans ses petites histoire, la plupart du temps, Loona se retrouvait simplement chez eux, à traîner sur son téléphone. Elle se sentait seule, mais elle ne lui dirait rien… La jeune femme ne changeait pas, que Blitzo en soit conscient ou pas, elle continuait à collectionner les amants sans jamais se soucier des conséquences. On peut dire qu’elle a toujours eut de la chance, jusqu’à maintenant.
Elle n’avait pas cessé de boire, ni même de fumée d’ailleurs. Pourquoi aurait elle changé ses habitudes. La vie n’était pas facile, mais Loona ne se plaisait pas… En tout cas, jusqu’à ce que Blitzo ne fasse une grave erreur qui l’emmena en prison et la laissa livrée à elle-même. Elle fut donc forcé de se débrouiller seule et elle commença à travailler pour un dealer, faisant des courses pour lui. Ce n’était pas l’idéal, mais ça lui permettait de manger et de survivre un minimum. Par contre, cette fois, elle ne pouvait rien faire pour l’Imp.
Loona s’habituait à vivre seule, elle ne rendait pas visite à Blitzo. Elle n’aimait toujours pas les cage et elle préférait éviter de s’en approcher. Il reviendrait, elle n’en doutait pas. Pendant ce temps, elle devait bien survivre et dans ce genre de trafic, son caractère agressif aidait pas mal… Elle aurait pu continuer ainsi et attendre simplement… mais elle s’inquiétait pour lui, quoi qu’elle en dise et il n’y avait qu’une personne qui pourrait l’aider à coup sûr. Elle ne savait pas si il était là lui aussi, mais elle allait cherché. Elle était sûre qu’il pourrait l’aider.