BRAS DROIT ▴ FANATIQUE/PARTISAN
— OBSESSION MALSAINE/AMOUR UNILATÉRAL —
Dans leur monde ★ ★
(i) Sur ses fonctions auprès de Krennic. Ronan occupait la fonction de directeur adjoint du département de recherche des armes avancées, l'un des départements du bureau de la sécurité intérieure de l'Empire. Du fait de sa fonction et de sa proximité avec l'ancien directeur, il était considéré comme son bras droit, mais aussi son agent d'infiltration. Les fonctions du directeur adjoint dépassaient souvent le simple cadre de la construction de l’Étoile de la Mort, connue à l'époque sous le nom de
-Nébuleuse-. Krennic usait et abusait de la loyauté indéfectible de son lieutenant pour recueillir des informations susceptibles de servir ses sombres desseins. Ronan s'illustrait notamment dans des missions d'espionnage et d'assassinat.
Ses détracteurs lui reprochaient bien trop souvent de copier la personnalité ou le style vestimentaire d'Orson Krennic. En effet, les deux hommes semblaient s'être trouvés à merveille. Très similaires sur le plan caractériel, ils s'illustraient par des aspirations élevées, un sens des valeurs morales qui leur est propre, des crises de colère et une impulsivité redoutable, un goût certain pour les belles choses, un tempérament prétentieux et un orgueil démesuré. Ronan était le protégé de Krennic, comme une sorte d'apprenti. Ronan s'efforçait de marcher dignement sur ses pas. Krennic était le seul officier impérial qu'il estimait, tous les autres étant, par nature, inférieurs à l'architecte de l’Étoile de la Mort.
Un an avant la bataille de Yavin, Ronan fut contraint d'évoluer ailleurs qu'auprès de son mentor sur la station mobile.
Pour le bien de ce dernier. Un énième geste de préservation et de protection des intérêts de Krennic.
Un sacrifice, pour Ronan.
Un coup dans le dos, pour Krennic. Il fut profondément affecté par la perte de son plus proche allié et partisan, jetant immédiatement le discrédit sur ses rivaux qui se sont ligués contre lui. Krennic ne compris pas tout de suite les bonnes intentions de Ronan à son égard. Lorsque Vador fut en charge de la protection de l’Étoile de la Mort, tout a basculé. Ronan se trouvait à ce moment en mission, surveillant les agissements de Thrawn pour le compte de Krennic. Étant donné que Vador rejoignait la station mobile de combat, Ronan pris la décision de ne pas retourner auprès de Krennic, afin que le Seigneur Sith ne découvre pas que sa véritable allégeance ne se portait pas vers l'Empereur mais
seulement vers Krennic. Ronan accepta donc de travailler pour l'Ascendance chiss, en considérant ce poste comme temporaire. Il prévoyait de revenir après que Vador soit détaché du projet, ce qui n'arriva malheureusement pas pour lui. Un an plus tard, Krennic mourut sur Scarif.
(ii) Ronan et Krennic. Ronan est un fanatique. L'un des plus fidèles partisans, pour ne pas dire
le plus fidèle, d'Orson Krennic. Brierly Ronan est le bras droit parfait pour Krennic. Le bras droit
couteau suisse, qui cumule plusieurs fonctions. Il est littéralement en admiration devant la personnalité hors normes du Directeur Krennic. C'est même sa source d'inspiration. Il fait tout
comme lui et
pour lui. Dans leur monde, il considérait qu'Orson était responsable du projet le plus ambitieux de tout l'Empire galactique. Il le défendait fiévreusement contre ses détracteurs en espérant gagner ses faveurs et affections. Ronan considérait Krennic comme un officier impérial clairement supérieur en tous points de vue aux autres figures principales de l'Empire, tels que le Grand Amiral Thrawn ou le Grand Moff Tarkin. Il était même persuadé qu'une fois le projet de Krennic terminé, ce dernier se trouverait en lice pour gagner les faveurs de l'Empereur Palpatine en personne. Il pensait que Krennic serait la seule figure importante dans le cercle proche de l'Empereur, ce qui aurait grandement contribué à sa propre notoriété. L'apprenti du Directeur Krennic espérait rayonner aux côtés de son mentor en gravissant à son tour les échelons de la haute administration impériale. Il ne concevait pas les choses autrement. Si Krennic montait, il devait forcément le suivre telle une ombre. C'est ce qu'était finalement Ronan aux yeux de Krennic :
son ombre, son fanatique, son fidèle exécutant. Ronan n'en était pas offusqué, bien au contraire, il considérait le fait de graviter dans le cercle du Directeur Krennic comme un véritable honneur, compte tenu de l'admiration et de l'affection profonde qu'il éprouvait.
Ronan était considéré comme une sorte de
mini-Krennic pour beaucoup d'impériaux. Il était parfois traité de larbin. Il est vrai qu'il suivait le directeur partout, toujours dans le sillage de sa cape. Que ce soit à travers son caractère ou son style vestimentaire, beaucoup ont même décelé une fascination particulière chez lui. Krennic ne s'en est jamais offusqué, bien au contraire, il a toujours adoré être l'objet de toutes les attentions. Que l'on puisse l'admirer au point de chercher à s'habiller de la même manière, de se comporter également comme lui sont des détails extrêmement flatteurs à ses yeux. Ronan était prétentieux et se plaisait à rappeler à tout le monde la position importante qu'il occupait
aux côtés d'Orson Krennic. Il aimait contredire et détestait le fait de ne pas avoir le dernier mot,
sauf avec Orson Krennic. Il était néanmoins capable d'admettre ses torts, ce qu'il faisait à contre-coeur mais toujours avec discipline et respect. Ronan était
un agitateur, mais Krennic adorait l'avoir dans son sillage. Il l'adorait, parce
qu'il savait que Ronan lui était aveuglément dévoué.
Il en profitait, il le manipulait. Ronan était conscient que la frontière avec Krennic débordait bien souvent le cadre hiérarchique, parce que les manipulations de ce dernier comportaient bien souvent une grande part de chantage affectif déguisé. Puisque Ronan était si dévoué, il ne pouvait qu'accepter ses nouvelles tâches. Krennic demandait toujours plus de preuves de loyauté, à travers des missions d'infiltration, d'espionnage, d'assassinats, de basse-besogne qu'il refusait d'exécuter lui-même pour ne pas se mettre en danger. Ronan était
son ombre, son assassin, son espion, son bras droit fidèle et dévoué. Ronan ne refusait
jamais quoi que ce soit à son supérieur. Krennic n'était pas le seul à avoir des arrière-pensées, sauf que celles de Ronan étaient plus personnelles que les siennes. Ronan désirait ardemment que cette relation d'élève à mentor dépasse clairement le cadre de leurs fonctions hiérarchiques pour se transformer en une amitié fusionnelle ou en une liaison amoureuse, si ce n'est pas les deux. Les sentiments de Ronan ont toujours été fièrement assumés dans son esprit, et bien qu'unilatéraux, puisque Krennic semblait avoir un coeur de pierre, il désirait le suivre le plus loin possible dans l'Empire. C'était en quelque sorte une contrepartie à cette absence de réciprocité affective. Krennic refusait constamment de fraterniser avec les membres de son équipe. La seule personne avec laquelle Krennic débordait vers l'affectif dans ses rapports professionnels, c'était avec le scientifique Galen Erso.
Krennic s'était vite rendu compte de l'admiration étrange et souvent déplacée que son bras droit lui vouait. Une fascination dévorante, qui allait bien au-delà des normes. Une admiration tellement forte qu'elle se trouvait à la frontière de l'amour obsessionnel. Il évitait simplement de poser des questions, parce qu'il voulait que celle-ci continue de plus belle. S'en était devenu amusant. Il ne disait pas oui, mais il ne disait pas non plus non, il restait évasif et éludait toujours les allusions, les situations qu'il considérait comme étranges ou un peu trop personnelles. Il voulait garder son bras droit avec lui, et si ce dernier lui vouait un pareil culte ou bien encore l'aimait, c'était encore plus facile pour lui de le faire aller dans son sens. Krennic s'en était rendu compte pour s'être déjà retrouvé à titre personnel dans ce genre de situation. Voir autant de similitudes entre eux ne faisait qu'accroître les convictions de Krennic quant à la loyauté de son adjoint. Jamais Ronan ne le trahirait. Ronan avait sa confiance absolue, mais surtout ses confidences. Krennic entretenait, d'une certaine manière, cette tiédeur ambigüe chez Ronan. C'était un jeu, un moyen surtout d'extérioriser certaines contrariétés personnelles vis-à-vis de Galen Erso. Ronan le savait, il connaissait les mensonges du Directeur Krennic, tout comme ses manipulations comme sa poche. Il savait, mais il lui était bien trop dévoué pour s'en libérer. Ronan pensait pouvoir utiliser le peu de confidences qu'il recevait dans l'espoir de faire basculer les affections de Krennic. Ronan n'était pas un ami pour Krennic et encore moins un amant, mais il se rapprochait finalement du rôle de confident au fur et à mesure. Ronan était même l'une des rares personnes au courant des affections cachées du Directeur pour Galen Erso ; ce qui a par ailleurs grandement contribué à l'animosité qu'il ressentait à l'égard du scientifique. Ronan a toujours eu le don du sacrifice pour Orson Krennic, servant prioritairement les intérêts de l'objet de son obsession, quitte à s'oublier lui-même. Il espérait pouvoir aller très loin avec Krennic, mais les choses ne se sont malheureusement pas déroulées comme Ronan le voulait. Ces projets fantasques ne sont jamais arrivés à leur terme, puisqu'Orson Krennic est mort sur Scarif en -0BBY, avant d'avoir pu revendiquer quoi que ce soit.
Dans ce nouveau monde ★ ★
(i) Leurs rapports sur l'île. Dans ce nouveau monde, Ronan est arrivé avec la totalité de ses souvenirs, contrairement à son mentor, qui a tout perdu en débarquant. Krennic, persuadé d'avoir toujours vécu dans ce monde, est un écrivain de science-fiction renommé. Les choses ont fait que Ronan ne s'est pas directement précipité vers Krennic (on peut discuter ensemble des détails
). Il peut y avoir plusieurs raisons à cela : la manière dont leurs rapports se sont terminés dans leur vrai monde, lorsqu'il a quitté la Death Star pour rejoindre l'Ascendance, ce que Krennic n'a clairement pas accepté... peut-être aussi que Ronan attendait le moment "fatidique" pour retourner auprès de Krennic et le servir exactement comme par le passé. Peut-être que Ronan attendait que Krennic soit vulnérable et ait réellement besoin de lui pour gagner à la fois son pardon de ne pas être retourné à son poste dans leur vrai monde, mais aussi ses faveurs. Il veut rappeler à son supérieur qu'il peut et pourra toujours compter sur sa loyauté, qu'il est prêt à tout pour l'aider à atteindre ses objectifs. Sur cette île, Ronan se moque bien qu'il n'y ait plus de guerre galactique. Il estime que Krennic a besoin de lui, comme il aura toujours besoin de lui. La vérité, c'est surtout que Ronan est tellement sous le joug de ses obsessions et ses sentiments, qu'il est persuadé que Krennic ne peut être épanoui ou heureux sans son bras droit, c'est-à-dire lui. Ronan a besoin de Krennic. Sans son mentor, il ne possède plus de repères. Il a besoin d'évoluer auprès de lui, que ce soit dans leur monde que sur l'île mystérieuse. Ronan souhaite reprendre la place qu'il a occupé dans leur monde. Une place qu'il estime lui revenir de droit. Sauf que pour cela, les choses doivent se faire différemment et surtout lentement. Ronan a laissé passer des années avant d'être sur le point de se manifester. Pendant ce temps, il a mené une autre vie sur l'île, tout en surveillant son ancien mentor de loin. Il l'a stalké jusqu'à maintenant, afin de découvrir comment ce dernier mène sa vie sur cette île. De ce fait, il est au courant de tout : de sa vie professionnelle, de ses sorties, de son train de vie quotidien, de ses relations... Ronan veut rendre les souvenirs d'Orson dans l'espoir que cela lui permette de reprendre le contrôle de sa vie sur cette île, mais surtout de redevenir ce cruel et puissant directeur impérial. Il veut lui rendre sa part de noirceur, car c'est ainsi qu'il l'aime. Ronan est convaincu d'agir pour le mieux et dans les intérêts d'Orson Krennic. Il pense d'ailleurs être le seul à savoir ce dont Krennic a
vraiment besoin. Ronan est resté en retrait dans l'attente moment précis de faire une apparition et reprendre sa place. Orson doit être vulnérable, c'est sa condition,
son obsession. Il s'est persuadé que Krennic l'aurait envoyé paître, s'il ne se trouvait pas dans une situation légitimant un retour dans ses bonnes grâces. Un instant de faiblesse.
(ii) Les rapports de Ronan avec l'entourage de Krennic. Ronan considère qu'il est de son devoir de préserver celui qui fut pendant des années son supérieur hiérarchique direct et son mentor. Comme Krennic, il n'apprécie que très peu de personnes, et encore moins dans l'entourage de ce dernier, puisqu'il estime être la seule personne suffisamment digne pour en faire partie. Il n'a, par exemple, jamais porté Galen Erso dans son coeur, et cela ne risque pas de changer dans ce monde-ci. Ronan n'a d'ailleurs jamais compris ce que Krennic pouvait bien lui trouver ou espérer de sa part. Cette animosité injustifiée est le fruit d'une jalousie maladive de la part de Ronan. De la jalousie, parce que Galen avait l'amitié de Krennic, mais surtout son affection,
contrairement à lui. Ronan a connaissance du cercle d'intimes d'Orson pour avoir espionné ses allées et venues pendant des mois. Il connait ses relations et ne les apprécient pas pour des raisons évidentes, d'autant plus que Galen Erso semble encore une fois avoir le beau rôle auprès de Krennic. Ronan considère cela comme un véritable problème. Non pas seulement parce que Galen Erso est le meilleur rival de Ronan, et qu'en soit, c'est une cible à ses yeux, mais Galen a trahi l'Empire, et surtout Krennic. Dans leur monde, Ronan n'a jamais supporté Galen et ne faisait que le tolérer dans l'entourage du directeur, par respect pour ce dernier, mais cette fois-ci, s'en est trop pour lui. Krennic ne sait pas ce qu'il fait, aveuglé par ses émotions. Heureusement que lui sait
exactement ce qui est bon pour Krennic. Après tout ce qu'il s'est passé, il considère que Galen est en grande partie responsable des malheurs du directeur. Quelle ne fut pas non plus sa surprise, ou plutôt son dégoût, en apprenant la liaison d'Orson avec Jyn Erso, la fille du scientifique,
son meilleur rival. Pour lui, c'est tout simplement
une hérésie. Un officier impérial du rang et de la stature d'Orson Krennic ne peut et ne doit se retrouver impliqué dans une relation intime impliquant un membre de la résistance. Ronan trouve des excuses au directeur, parce que bien évidement, ce n'est
jamais de sa faute. Il estime que c'est forcément elle qui a profité de lui et de la perte de ses souvenirs. Si Orson avait été en possession de ses souvenirs, il ne se serait jamais retrouvé dans une situation pareille. Ronan considère Jyn comme la responsable de la disgrâce et de la mort de son mentor sur Scarif. Il est surtout jaloux d'elle pour avoir réussi à percer les défenses de cet homme froid et impitoyable. Cette liaison n'est toutefois pas vouée à durer, ce qui rassure et inquiète Ronan, d'autant plus que la véritable cible des affections de l'architecte est encore et toujours Galen Erso. Il quittera Jyn en pensant garder l'amitié, et plus encore, de Galen. Le devoir de Ronan à l'égard de son supérieur est donc de le remettre sur le droit chemin en le débarrassant des personnes qu'il considère comme nuisibles. Ces personnes sont toxiques et ne font qu'affaiblir la personne grandiose du directeur que Ronan est persuadé qu'il est. Ronan ne s’embarrasse pas de principes moraux, d'éthique ou de pitié ; c'est une personne autant arriviste et cruelle que le Directeur Krennic. Après tout, c'est bien Krennic qui l'a
personnellement formé. Il est donc à son image, aussi
névrosé et obsessionnel.
Dans ce monde, Ronan espère pouvoir les évincer, l'un après l'autre, et les remplacer pour enfin devenir
la seule personne la plus importante dans la vie d'Orson Krennic. Et pour cela, il a pris le parti de rester tapi dans l'ombre et d'observer, jusqu'à intervenir au meilleur moment. Ronan veut plus que tout retrouver Krennic, lui dire toute la vérité et retrouver sa place à ses côtés, mais le problème et qu'il ne veut pas détruire toutes ses chances tant que l'impérial reste aveugle et sourd à ses véritables souvenirs. Pour Ronan, il n'y a que dans la faiblesse que la vérité sera susceptible d'être
enfin acceptée pour Krennic. Et ce jour-là, Ronan sera le plus heureux d'être la personne qui aura redonné à Orson Krennic
sa vie. Quel plus grand honneur, sans doute Krennic se sentira même reconnaissant d'avoir quelqu'un d'aussi attentionné et protecteur auprès de lui. Quelqu'un qui défend ses intérêts et qui les défend impitoyablement. Bien que Ronan affirme que ses intérêts convergent toujours vers ceux du directeur, c'est cette affirmation doit être nuancée. Il y des choses qu'il désire ardemment, sans toutefois parvenir à les obtenir. Ce n'est pas faute d'être le parfait bras droit, l'homme de main idéal. Ce qu'il veut, Krennic n'est pas disposé à le lui donner, mais Ronan n'est pas du genre à abandonner. Tout comme son mentor, il est capable d'attendre longtemps avant qu'une occasion ne se présente enfin. Ronan est un audacieux, un persévérant, un perfectionniste. Son modèle de perfection est le Directeur Krennic, et à part de lui, tout le reste lui semble bien fade. Dans leur monde, Ronan était persuadé que Krennic réaliserait que Galen Erso ne lui retournerait jamais ses affections. Par ricochet, il pensait que Krennic se tournerait donc vers son plus fidèle partisan :
lui. Cela n'est jamais arrivé, mais Ronan n'a jamais désespéré de trouver le moyen, légal ou illégal, sain ou insidieux, pour pénétrer de plus en plus dans la vie et dans le cerveau d'Orson Krennic, jusqu'à devenir omniprésent, mais surtout
indispensable à ses yeux. Ronan pense qu'en devenant exceptionnel et indispensable à ses yeux, il ne pourra que s'imposer de manière naturelle. Ronan n'est pas seulement admiratif ou obsédé par Orson Krennic, il est même
amoureux d'Orson Krennic. Il considère cette lune rouge et ce monde étrange comme une seconde chance d'obtenir ce qu'il a toujours voulu de Krennic. Ronan est l'homme de confiance par excellence, en plus d'être particulièrement observateur.
Son meilleur allié. Son plus grand fan dans toute la galaxie. Une personne dont il faut se méfier, parce qu'aimer trop passionnément une personne peut finalement la rendre extrêmement toxique. Ronan connait tout d'Orson Krennic,
absolument tout. Que ce soit dans leur monde ou dans ce monde-là. Toutes ses frasques, toutes ses aspirations. Et il compte bien s'en servir pour se créer une place de premier choix dans sa sphère intime. Compte tenu de tout ce qu'il sait sur le passif de Krennic, Ronan pense bien être le seul à réellement comprendre la personnalité cruelle du directeur, tout en continuant à lui vouer une fascination et un amour aussi dévorant.