Il était une fois...
Môme
capricieuse, à l'autrefois gâté, dernière fille de la famille
march, offrande d'être la dernière née, les parents qui couvent l'enfant - ça couve l'égocentrisme, le fait de jamais réellement comprendre les élans d'empathie des autres
filles. Elle est
cupide, la fille aux cheveux solaires, n'a jamais réellement su comment bien se tenir face aux autres, et c'est sûrement l'incompréhension qui pousse à changer les plans vicieux, à se faire plus
ouverte - du moins s'y
tenter quand elle commence à suivre les décisions de la fratrie quand elle peinée à les comprendre bien plus souvent.
Pauvre gamine, à se lier de
jalousie pour l'aînée talentueuse, c'est jo qui amène les mérites au près du patriarche, alors c'est image qu'elle s'inspire. Animosité certaine entre
elles deux quand au fond,
amy jette les beaux écrits. C'est pourtant sur son image qu'elle s'impose, à devenir l'entêtée burlesque à son tour, quand au fil du temps c'est la
fissure glaciale qui paralyse leur affection commune.
Et
amy, elle sait ce que la vie réserve, confortable vie qu'elle
observe déjà au loin. C'est en
europe qu'elle s'exile auprès de sa tante, à y devenir la
raffinée jeune femme que l'on adore imaginer. Fiancée aux bras d'un homme qu'elle ne semble
guère apprécier, mais c'est ainsi qu'elle mûrit, à s'autoriser une vie
stable. Mais y'a
laurie, et comme il est curieux de désirer plus affreusement quand le palpitant résonne comme un écho incessant dans la cage thoracique. Aux
sentiments amoureux qui raisonnent, c'est de lui qu'elle fera l'élu.
Et aux dépends d'une vie
bienheureuse, ce sont les lueurs rougeâtres que l'on admire, le ciel pourfendus du velours qui s'anime. Au curieux mais
merveilleux spectacle naturel - ou utopique, qui se dévoile sous nos yeux, astres qui se transforment en ces lueurs resplendissantes.
Loufoque spectacle nouveau - il en dirige les nouvelles règles, comme au mauvais sort - à éveiller les vivants, éparpillés ensemble quand leurs mondes étaient les inconnus des uns.
Au cœur ludique de cette ville, accueille en elle les premiers
déboires - l'angoisse et les signes nerveux. Elle s'égare dans les pièces qui se ressemblent plus, reflet qu'elle ignore. Elle crie sûrement à l'agonie, son nom,
laurie, au désespoir de l'aimé envolé. Plus rien ne rythme la routine d'avant, à chercher les personnes chères - la famille disparue à son tour, c'est comme la malédiction qui s'acharne.
Plus de raison, elle s'abandonne à cette vie nouvelle,
à l'espoir sincère de revoir les visages familiers - et elle ne sait même plus ce qu'advient de la vie d'autrefois, des exploits comme des remords. Alors elle se fait
artiste, peintre des merveilles, s'instruit dans cette école d'art - s'y épanouit certainement quand le puzzle demeure incomplet.
Trois années échouée sur cette nouvelle demeure, à vivre de ce bonheur nouveau qu'elle se construit - il manque toujours des pièces,
vie incomplète. Relève du
miracle, la rencontre avec l'aînée,
jo. Peut-être la fissure glaciale qui anime de nouveau l'affection des deux sœurs, quand la peur s'était mêlée aux rancœurs jusqu'à les étouffer complétement. Elle en fait la promesse, l'
aînée, de lui amener le sourire de
beth de nouveau, à revoir la sœur aînée quand la famille était le manque meurtrier.
Peut-être que l'histoire n'a qu'un début, entracte permanent jusqu'à la rencontre délivrance des membres de sa
famille. Et parfois, elle s'admire à penser que
laurie se perd dans les rues à confondre avec celles de l'époque, si récentes, à perdre soudainement l'orientation des
mômes d'autrefois.