Fort heureusement, Alexander ne bloqua pas l’issu, il ne se laissa pas tétaniser par la peur ou quoi que ce soit d’autres, remontant le conduit au bonheur de David. Ce dernier pouvait bien protéger un parfait inconnu, rassurant en prenant le risque de s’opposer entre lui et le danger. Mais la perspective d’être bloquer et finir déchiqueter par des zombies, sans doute une des plus abominables morts ne l’enchantait guère. Et même si ces machins ne pouvaient pas grimper jusqu’à eux, rester toujours coincé dedans ne lui convenait pas non plus.
Les deux hommes rampèrent donc pendant un petit moment dans ces conduits. Au moins ils mettaient de la distance entre eux et les zombis. Par contre, ils mirent du temps à trouver une sortie, ne trouvant aucune autre grille. Enfin, une apparaissait quand David commençait à groller et Alexander arriva à la faire céder pour que tous les deux se laissent choir dans cette nouvelle salle. King n’avait pas le plan en tête, comme son compagnon, il ne devait avoir idée d’où ils allaient tomber. Il imagina facilement une pièce médicale, mais quand il fut éclairer par la lueur de plusieurs écrans, il fut bien étonner de déjà arriver dans la salle de surveillance.
David se précipita sur les fameux écrans. Effectivement, chaque caméra filmait une partie d’un couloir et une le hall d’accueil. On voyait sur certaines, quelques uns de ces trucs décomposés, planter là, regardant le vide, attendant on ne savait quoi. Mais sinon on avait la fausse impression que tout le bâtiment était effroyablement vide. David trouva la touche qui permet de passer d’une camera à l’autre, cet hôpital semblait incroyablement grand, pire que celui de New-York, avec tous les services existant possible.
"Ouais on peut voir les sorties au moins." Difficile à dire si elles étaient ouvertes ou non. Mais King se doutait déjà de la réponse. Par contre, comme l’endroit était visiblement dangereux, il n’aimait l’idée de devoir traverser tout le bâtiment pour aller vérifier et faire face sans doute à une grosse déception. "Si on pouvait trouver des radios, on pourrait tenter sinon que l’un aille vérifier les sortie ou trouve un truc, pendant que l’autre reste ici à le guider." Et serait sans doute plus en sécurité.
C’était l’idée que lui venait à David. Ce serait pas non ? Que d’aller explorer les couloirs et les pièces sans savoir ce qui risquait de leur tomber dessus au prochain tournant. Après, King pourrait s’en débarrasser en frappant au niveau de la tête comme il l’avait dit, mais il ne voulait perdre son temps à tout nettoyer, butter chaque monstre. Quoi que… Ce serait une expérience incessante, mieux qu’un de ces stupides jeux vidéos. Il pourrait se défouler un peu comme ça. Si donc, ils pouvaient suivre le plan émit par le voyou à l’instant, sur que ce serait David qui se collerait à aller se balader à l’extérieur.
"On fouille la pièce. Y’a sans doute des truc intéressant à récup." Comme ces fameuses radios ? Et pourquoi pas des armes ? Après tout, cette île imitait le mode de vie à l’américaine, et tout le monde était armer en principe. Au cas où un retraité malade pique une crise. Après, King n’était pas un habituer des armes à feu, il a toujours favoriser les armes naturels de l’homme. Mais il ne dirait pas non pour un flingue, n’ayant pas peur de devoir s’en servir.
Ce serait aussi plus utile que sa béquille ou ses poings. Cependant, il ferait mieux de ne pas trop s’emballer. Si cela se trouve, ils ne trouveront rien et seront toujours aussi démunis face au danger. Ce serait bien dommage, mais David n’avait jamais peur d’un défis, c’était comme si, en faisant tout pour qu’il soit vulnérable face à son adversaire, paradoxalement, King devenait plus fous, plus excité, plus fort même.
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Alexander Hamilton
▿ Ton univers : Hamilton: An American Musical
▿ Date de naissance : 11/01/1980
▿ Age : 44
▿ Métier : Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polémiste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur : I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.
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Mar 7 Déc - 22:17
Let's meet, finally
feat. David
Alexander considère du regard les écrans un à un, en quête de quelque chose, un élément, un indice, quelque chose qui leur permettrait de sortir de ce pétrin. Ce qu’il constate dans un premier temps, c’est qu’ils semblent définitivement être les seuls êtres humains bien vivants et non zombifiés de tout cet hôpital. Tout ceci n’a aucun sens et c’est pourtant le cas, et l’intellectuel ne parvient même pas à en être surprise. Il n’en comprend pas la raison, bien sûr, et elle l’inquiète terriblement, mais il en avait été, quoi qu’il en soit, intimement convaincu, et ce depuis un moment déjà… Ils sont donc les deux seules âmes errant encore dans cet hôpital infesté de monstres. Comment est-ce possible ? ça c’est encore une autre question. Est-il possible que l’on ait fait évacuer l’hôpital quand ils avaient le dos tourné ? Cette possibilité paraît particulièrement absurde, mais comment savoir ? Difficile de trouver de la logique à une situation qui n’en a définitivement pas, et c’est bien là le problème.
Alexander se contente d’opiner d’un hochement de tête quand son interlocuteur remarque qu’ils peuvent voir les sorties. Oui, c’est déjà ça, même si le politicien mettrait sa main à couper qu’aucune d’entre elles ne soient ouvertes… Tant qu’ils sont ici et peuvent localiser les monstres, ils peuvent éventuellement élaborer une trajectoire plus élaborée, mais malheureusement, ces choses-là se déplacent : lentement, mais elles se déplacent tout de même. Sans oublier qu’il n’est pas exclure qu’elles puissent tout bonnement surgir du néant, puisqu’Alexander a un rien le sentiment que c’est ce qui s’est passé pour commencer, comme si cet endroit avait absorbé les personnes présentes pour les remplacer par ces… choses… ou bien c’était quelque chose dans l’air ? Non, eux-mêmes auraient largement eu le temps d’être infectés… il faut sans doute reconnaître que tout ceci n’a vraiment pas de sens.
« Ce serait l’idéal », confirme Alexander quand David suggère que l’idéal serait que l’un puisse communiquer avec l’autre depuis cette pièce pour le guider. Encore faudrait-il qu’ils trouvent quoi que ce soit d’efficaces – puisqu’ils ne pouvaient pas compter sur leurs téléphones portables, qui continuent évidemment de ne capter aucun début de commencement de réseau.
Est-ce que, pour autant, ils obtiendraient ce qu’ils voudraient. Ce serait trop beau, non ? En attendant, le plus simple reste encore de fouiller la pièce de fond en comble et d’espérer dénicher quelque chose. Alexander se met à fouiller frénétiquement tous les placards qu’il trouve. Finalement, alors qu’il est sur le point de désespérer de ne rien trouver, il tombe sur ce qui ressemble à une masse informe de tissu, et sous la masse…
« J’ai quelque chose ! » s’exclame Alexander en tirant le pistolet qu’il vient de trouver de son étui et de l’examiner attentivement. C’est presque trop beau pour être vrai mais… « Et il est chargé ! » Il se redresse. « Vous trouvez quelque chose de votre côté ? »
Tous deux se mirent donc à fouiller la salle à la recherche de quoi que ce soit d’utile. C’était une salle de sécurité, d’un hôpital, on ne devait donc pas y trouver grand-chose, mais David priait à, il ne savait qui, de trouver un truc utile. Quand même, les gardiens devaient avoir un minimum d’équipement pour assurer la sécurité non ? Si ce n’était pas un flingue, un taser au moins. David se sentirait plus à l’aise avec une vraie arme, que ce truc qu’il se trimballait. En tout cas, il faudra sans doute être bien équiper si on voudrait sortir d’ici.
Il y avait quelques casiers ici. Pas pour se changer, on allait pas s’habiller ici, plus pour du rangement personnel. Il fallait forcer un peu la poignée pour les faire ouvrir. Mais comme le british ne manquait jamais d’huile de coude, c’était sans peine qu’il y parvenait. Dans l’un, il trouva ce qui ressemblait à une carte d’identité magnétique. Une sorte de badge, sans doute pratique pour se déplacer. Qui sait, ce petit bout de plastique pourrait leur être fort utile pour ouvrir une des sorties. David n’en était qu’à moitié convaincu, mais c’était toujours mieux que rien. Par contre, le voyou retrouva bien plus d’entrain et d’optimisme, en fouillant un deuxième casier. C’était un peu le bazar mais il trouva une lampe torche, que cela lui rappelait des souvenirs dont il s’en empara de suite, persuader que cela lui sera fort utile. Et encore mieux : "C'est la caverne d'Ali Baba." Marmonna David quand il mit la main sur deux talkies walkies justement. A croire qu’on avait abandonner ici toutes ses affaires avant de décamper.
Alexander s’exclama de joie pour sa trouvaille. Il exhiba une arme à feu. Malgré tous ses trésors, David était un peu jaloux que ce soit l’intellectuel qui eut trouver une arme, sans doute l’objet le plus insolite dans une salle de sécurité d’un hôpital public. Mais il s’en remettrait, bien content déjà de ce qu’il avait en sa possession.
"Ouais tout ça à croire qu'ils se sont barrer en partant d'ici." David montra donc la carte magnétique, avec lampe-torche et radios. Ils avaient une chance incroyable sur ce coup. Le bagarreur n’en était pas habituer, il s’en sortait bien lors d’une baston mais le reste du temps, il se trainait une poisse pas possible. A croire que cette chance si soudaine, allait leur annoncer une sale chose qui allait leur tombe sur le coin de la gueule dans pas longtemps.
"Tiens, prends déjà une radio. On dirait qu’ils ont encore du jus." Les talkies-walkies semblaient fonctionner encore. David les avaient enclencher et tester, captant bien son propre appel. Un coup de chance, cependant David savait qu’il ne faudra pas trop en abuser. Ceci étant donc vérifier, il était temps sans doute de mettre en place leur plan.
"Tu sais t’en servir au moins ?" Questionna King en pointant du menton l’arme que tenait Alexander. Si quelqu’un devait tenir une arme, autant que ce soit quelqu’un sachant la manier. Le british n’en avait toucher que très peu dans sa vie, préférant l’usage de ses poings et d’armes contendante. Mais il savait tenir une arme et l’utiliser avec un minimum de maîtrise. Si Alexander affirmait savoir utiliser une arme à feu, alors King consentira volontiers la lui laisser. Sans doute dans ce cas de figure, sera-t-il plus utile avec un flingue pour se battre, alors que King, comme nous l’avons dit plus d’une fois, saurait se contenter de ses poings et de tout ce qui lui tomberait sous la main.
"Bon reprenons. Un reste donc ici pour guider l’autre. Se séparer n’est peut-être pas la meilleure des solutions, mais l’un aura les yeux partout pour surveiller et on ira plus vite." Dans les histoires d’horreurs, quand le groupe se séparait, tout le monde sait que cela finissait mal. Sauf que dans ce cas de figure, les protagonistes auraient l’avantage d’avoir les yeux partout et surveiller toute approche hostile. Ils se laisseraient donc moins surprendre et finir en plus mauvaise posture qu’ils ne l’étaient déjà.
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Dim 12 Déc - 19:07
It never ends
feat. David
En effet, tout porte à croire que tout le monde est parti sans demander son reste et en abandonnant tout derrière soi. Tout prête à le croire, mais ça reste difficilement compréhensible : même s’ils ont évacué dans l’urgence et sans prendre le temps de prévenir personne (vu la situation, ça peut être compréhensible, la plupart des gens ont peine à savoir gérer convenablement ni plus ni moins qu’une invasion de zombies), tout ce remue-ménage aurait dû les alerter, eux, il n’y a vraiment pas de raison pour que la situation ait dégénéré sans qu’ils ne se doutent de rien. Alexander n’est pas arrivé dans un hôpital désert, il y avait quelqu’un pour le guider jusqu’à l’accueil, il y avait du mouvement dans les couloirs… C’est presque à croire que les gens, ici, se sont évaporés plus qu’ils n’ont réellement fui. Bien sûr, tout ceci n’a absolument aucun sens : mais tout de même…
Alexander a donc trouvé une arme. Que fait-elle ici ? va savoir. Pas seulement une arme dissuasive puisqu’elle est chargée… Quoi que puissent en être les raisons, c’est tout à leur avantage. De même, ils ont trouver les talkie-walkies qu’ils recherchaient. Voilà qui, à l’évidence, va grandement leur faciliter la tâche. Voilà qui va les aider à mettre leurs plans à exécution.
« Bien sûr que je sais m’en servir », répond Alexander qui a du mal à ne pas prendre la réflexion de son interlocuteur comme un affront.
En vérité, nombre de personnes ne savent pas se servir d’une arme, et ce n’est pas une tare, c’est même normal, mais Alexander a été soldat, il a manié les armes à la guerre, en duel, il a servi une nation naissante, et qu’il a aidée à façonner, à la force de ses mots autant qu’à la force de ses poings. Peut-être que ce qui transparaît de lui, quand on ne le connaît pas, est l’image d’un intello de bas étage, ni plus ni moins (et ce n’est pas pour lui déplaire), mais Alexander Hamilton est bien davantage, et si les menaces surnaturelles, à juste titre, le déstabilisent, quand il s’agit de viser un homme et de tirer une balle entre ses deux yeux, il sait parfaitement y faire.
« Je peux rester ici », dit-il avec fermeté.
On pourra peut-être dire qu’il adopte une position de planqué notoire en cet instant, et ce n’est peut-être pas entièrement faux, mais il pense être plus efficace, à garder les yeux partout, que dans les couloirs, à défendre sa peau. Certes, avec une arme à feu, il se sent moins vulnérable, mais le nombre de balles n’est pas illimité. Et s’il faut envisager d’utiliser la force ou de se battre à la seule force de ses poings alors, clairement, David sera sans doute bien plus efficace que lui. Objectivement, il a l’impression que c’est la meilleure répartition des tâches possibles. Si cela convient à son interlocuteur, bien sûr. Dans le cas contraire, il acceptera de se dévouer. L’essentiel, dans tous les cas, est de se tirer de ce guêpier. Par n’importe quel moyen.
Alexander affirma savoir s’en servir limite vexer qu’on lui pose la question. Qu’est-ce qu’il en sait David qu’il sache tirer avec ou pas ? C’était pas écrit sur sa tête. Et encore, s’il devait juger sur le physique, le british dirait sans doute qu’Alexander ne serait ni utiliser une arme à feu, ni se battre. Qu’en réalité, il mettrait K.O ses adversaires avec de longues tirades et discours assommant sur des sujets pas intéressant. D’ailleurs, il l’avait un peu cru au début, un intello qui préférerait se battre avec la plume plutôt que le flingue. Soit, King voulait bien le croire après tout. En tout cas, il n’avait pas intérêt à le baratiner car leur survie en dépendait, donc gare à lui si au final, David le surprenait gauche avec une arme à feu.
"Ok très bien gardes la alors." Approuva David en lui refilant en plus une des radios.
Le voyou exposa son plan. Il n’était peut-être pas parfait, on pouvait lui pointer du doigt de nombreux défauts. Mais aucune stratégie était infaillible, et surtout, ils n’étaient que deux à devoir se débrouiller avec les moyens du bord. Et de toute manière, David n’avait rien trouver de mieux à proposer. Si son compagnon d’infortune avait une meilleure idée, qu’il l’expose donc et ils feront comme bon lui semble. Mais Alexander approuva le plan de David. Il n’émit aucune objection à sa stratégie et même, se proposa de rester avec fermeté, montrant qu’il comptait jouer ce rôle. King ignorait si Alex voulait rester ici car il devait avoir un atout pour aider à bien guider David, ou bien par lâcheté, se disant qu’il serait plus en sécurité ici. Après, si l’intello était beaucoup moins guerrier que lui, il valait mieux qu’il reste là effectivement pour question de sécurité. Et s’il arrivait à guider le british comme il fallait avec les caméras de surveillances, alors il ne sera pas un poids mort inutile.
"Très bien dans ce cas, j’y vais alors. Verrouilles la porte derrière moi."
David récupéra sa béquille, accrocha sa radio à sa ceinture et voulu garder sur lui le passe, il pourrait servir sans doute à un moment donné fort utile. Sans plus de cérémonie et encore moins de discours d’adieu, le jeune homme se dirigea vers la sortie. En l’ouvrant, il inspecta le couloir derrière l’entrebâillement de la porte. Enfin entrebâillement, elle était à moitié ouverte. Si une de ces choses se tenait juste là, elle aurait put forcer le passage et entrer. Néanmoins elle aurait était reçu par un David légèrement remonter qui aurait réduit en bouillit la chose. Fort heureusement, surtout pour l’éventuel zombis, le couloir était vide, affreusement calme. King s’y engouffra en claquant la porte derrière lui.
Sans doute que le décor le plus adapter, serait un couloir délabrer comme ayant à peine survécu à l’apocalypse. Mais on se croirait plus enfermer dans un hôpital la nuit et qu’on verrait arriver au coin un interne ou tout autre médecin de nuit. Cela l’aurait sans doute rassurer un temps soit peu de rencontrer un autre être humain. Mais avouons le, rencontrer un employé zen dans un bâtiment remplit de zombis cannibale, il y aurait de quoi trouver ca louche non ? L’île pouvait réaliser n’importe quoi et briser toutes les lois de la logique, dans ce cas de figure, croiser quelqu’un comme ca au milieu d’un cauchemar y’aurait de quoi éveiller des soupçons.
De toute façon, peu importe. Jusqu’ici Alexander et David étaient seuls et donc, ne devaient trop compter sur l’aide de qui que ce soit. Tel furent les règles de ce nouveau jeu. King attrapa la radio à sa ceinture, l’alluma et la porte près de sa bouche. Elle ne semblait avoir beaucoup de fréquences, en tout cas il tomba de suite sur le canal le reliant à son complice.
"Ok tu peux déjà me dire vers où aller et si quelque chose m’attends ?"
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Alexander Hamilton
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Dim 19 Déc - 14:35
It never ends
feat. David
Alexander se sent un peu rassuré de pouvoir conserver cette arme qui ne lui sera peut-être que d’un moindre secours contre une armée féroce de zombies, cela dit, surtout compte tenu du fait que son nombre de balles est clairement limité, mais c’est plus une manière de se réconforter qu’autre chose que d’apprécier posséder l’arme en question. Il se sent moins impuissant, moins vulnérable. Que ce soit vrai ou une simple illusion importe peu, le fait est quoi qu’il en soit qu’il lui est ainsi possible de se défendre et de se battre dans une moindre mesure, et c’est bien évidemment une chose à côté de laquelle le politicien ne veut pas passer dans ces circonstances bien particulières.
Les tâches se répartissent assez naturellement entre eux. Il semble plutôt logique que lui, l’intello comme aimerait à l’appeler David qui n’est sans doute pas moins intelligent que lui pourtant, reste à observer les caméras de sécurité tandis qu’il guiderait David, le plus bagarreur, de son côté. Ce semble être un choix pour le moins adapté. Reste à voir si cette stratégie fonctionnera ou non, mais quoi qu’il en soit, il a la ferme intention de se rendre aussi utile que nécessaire au poste qu’il choisit d’adopter. Après avoir vérifié que les talkies-walkies étaient bien fonctionnels, David décide donc de quitter la pièce, et à la demande de ce dernier – et parce que c’est le plus intelligent à faire également, en effet, Alexander verrouille la porte une fois David sorti.
Aussitôt, il se positionne à son poste d’observation. Rapidement, il fait un état des lieux de la situation, repère les endroits les plus accessibles et les moins dangereux, considère les endroits à risques mais où David a les meilleures chances de s’en tirer, et bien sûr les endroits les plus dangereux, et les plus investés, où il est évidemment hors de question que David mette les pieds au risque de partir les pieds devant.
« Avance sur quelques mètres », le guide alors Alexander, très sérieux et minutieux dans son observation. Sans s’en rendre compte, il a à son tour adopté le tutoiement pour s’adresser à son interlocuteur. Il faut dire que dans les circonstances présentes, c’est bel et bien ce qui semble le plus approprié. Ce sont leurs vies qu’ils risquent, et le danger leur est commun. Ils ont le meilleur intérêt à se faire confiance et à se soutenir s’ils espèrent s’en tirer indemnes. « Il y a un couloir à ta droite, mais ne l’emprunte pas, continue tout droit et accélère le pas si tu le peux. Ensuite, bifurque à gauche, tu vas tomber sur une de ces créatures, mais elle est isolée et tu ne devrais pas courir un grand risque. Il n’y aura que lui entre toi et une sortie potentielle, tout au bout du couloir. »
Il essaie de se montrer le plus précis possible. Face à cet enchevêtrement d’écrans, et parce qu’il n’a pas été habitué à ce genre de technologies, il espère ne vraiment pas commettre d’impair.
Sans trop attendre, Alexander débuta le guidage de David. Le dernier l’écouta, suivant les instructions. Ca ne lui plaisait pas trop de confier toute sa vie, sa sécurité à quelqu’un d’autre. King préférait toujours se reposer sur lui-même, car s’il devait lui arriver un truc, il ne pourrait s’en prendre qu’à sa propre personne. Là, c’était un peu comme laisser un étranger décider de son destin. Il pouvait aussi bien lui sauver la peau que le faire précipiter dans un piège mortel. Nous parlons de manière générale bien entendu. De toute manière, David savait qu’il n’avait pas le choix, que se reposer sur Alexander était sans doute la meilleure des solutions. Les risques qu’il le double étaient infimes non ?
Tous ces couloirs se ressemblaient. La seule chose qui les différenciaient étaient ces panneaux indicateurs qui montraient qu’on changer de service. David n’avait souvenir d’avoir visiter d’hôpital aussi grand. C’était comme si tous les soins que l’humain pouvait proposer, se trouver ici, un concentrer du savoir médical moderne sur une île à la taille indéterminable. Cela comptait donc la résurrections des morts et la disparition d’une centaine de personne en un coup ? Si oui, l’assurance maladie qui recouvrait ca serait bien bizarre.
Suivant donc les instructions, King cru à un moment entendre un rassemblement de grognements et de plaintes, le même genre de bruit qu’une bande d’ado attardée poussérait pour exprimer la flemme. Ces bruits, provenaient du côté opposés que lui indiquait Alexander. Tant mieux, cela prouvait que son partenaire d’infortune assurait bien le rôle qu’il avait choisit et donc, méritait un peu plus de confiance. Par contre, David dû pendant quelques secondes, progresser de manière discrète pour ne pas alerter les choses pas loin, avant de reprendre le pas de course et bifurquer là où l’intello le lui avait dit.
Et comme ce dernier lui avait prédit, un seul de ces zombis se trouvait dans le couloir suivant. Il était de dos, les jambes semblant tenir à peine le corps au-dessus, c’était une position grotesque. Mais quand le cerveau avait fondu… King s’approcha doucement du cadavre ambulant. La chose poussait quelques hoquets écœurant sans se rendre compte que la vie qui s’approchait dans son dos. Quand il ne fut plus qu’à quelques centimètres, David abattit sa béquille sur la tête du mort-vivant. La chose vacilla sur l’avant et n’arriva pas à trouver l’équilibre. Le british en profita pour assener plusieurs coups contre le crâne à moitié moue, faisant éclater une partie. Quand le zombie tomba à terre, là King fracassa la tête avec son arme avec violence, frappant au visage et au niveau du coup. S’il était encore vivant, la tâche serait plus difficile, mais au bout de quelques secondes, il ne restait plus qu’un gros tas de chaire moisie vomissant du sang nauséabonde et noir.
"Zombi neutraliser. M'occupe de la porte." Informa David à travers la radio.
Il se dirigea vers la porte de secours. Comme il s’y attendait, elle était verrouillée. Il voulu forcer quand même la serrure ou donner quelques coups de sa virile épaule, mais les battant vibraient à peine sous ses assauts.
"Ouais ca ne s’ouvre pas bien sûr." Même s’il s’y attendait, King eut quand même un peu l’espoir que cette porte puisse s’ouvrir. Il pensa au badge qu’il avait sur lui, mais il n’y avait aucun boitier pour la lire. Si on devait l’ouvrir c’était soit avec une clef, ou une commande électrique se trouvant un peu plus loin.
"Ecoutes, je peux tenter de pulvériser la poignée avec ma béquille, mais c’est pas garantis. En plus ca pourrait faire du bruit et attirer la compagnie. Si je le fais, tu me préviens dès que tu les voies se ramener." C’était un plan risquer et ayant peu de chance de réussir. Sauf si Alexander pouvait repérer n’importe quoi d’où il était pouvant les aider d’une manière plus efficace.
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Lun 3 Jan - 16:42
Let's meet, finally
feat. David
David écoute ses recommandations sans les contester. C’est un étrange exercice de confiance que celui auquel ils s’adonnent tous les deux : ils ne savent absolument rien l’un de l’autre, et les voilà qui doivent laisser leurs destins respectifs reposer entre les mains l’un de l’autre, à l’évidence, c’est loin, très loin d’être simple d’un côté comme de l’autre. Rien ne leur garantit, après tout, que tout ceci ne soit pas un coup monté de la part de leur camarade. D’accord, à ce stade, les possibilités pour que ce soit véritablement le cas sont infimes, mais peut-on jamais être sûr de quoi que ce soit ? Sans doute que non. Ce sont leurs vies qui sont en jeu, ils ne peuvent clairement pas plaisanter avec ça. Ils n’ont pas d’autre choix que d’essayer de se soutenir dans une épreuve qui les dépasse. Alexander apprécie de constater que son camarade d’infortune ne fait pas sa forte tête et accepte de l’écouter sans le contrarier ou sans en faire qu’à sa tête sous le prétexte qu’il aurait une meilleure option à suggérer que la sienne.
Protégé dans cette pièce que personne n’est parvenu à forcer, à travers la barrière d’un écran, il observe le combat que David mène contre le zombie solitaire qu’il parvient sans trop de difficulté à abattre à coup de béquille. David est fort, il a de bons réflexes, Alexander ne s’inquiétait pas réellement de le voir réussir, mais c’est pour la suite qu’il se voit bien moins confiant et n’est absolument pas sûr de ce qui peut bien les attendre. Et ça n’a évidemment rien de rassurant. Le zombie à terre, David tente de forcer la porte de secours, mais bien évidemment, rien ne se passe. Alexander avait retenu son souffle, mais dans le fond, il savait bien que c’était sans résultat possible. Bien sûr que rien ne se passerait, évidemment que rien ne se passerait : il ne pouvait en être autrement.
« Tente, pour le moment, les couloirs adjacents sont suffisamment dégagés pour que tu puisses t’en tirer même si tu devais attirer des zombies », répond Alexander en fixant attentivement chaque caméra pour être bien au fait de l’endroit où chaque menace potentiel se situe afin que David n’en fasse pas les frais.
En l’encourageant à forcer la porte avec la béquille, évidemment, il lui fait prendre un risque, mais il estime que c’est là un risque nécessaire, et bien évidemment calculée. Ils resteront coincés ici encore longtemps s’ils ne partent pas en quête d’une issue et s’ils n’acceptent pas d’adopter des méthodes un peu brusques. Ce n’est pas très heureux, certes, mais ce n’en est pas moins nécessaire. Pendant qu’il laisse à David le soin de s’exécuter, un bruit étrange se fait entendre, comme un grattement contre la porte. Pourtant, quand il regarde les caméras donnant sur cette dernière, il ne se passe absolument rien. Il fronce les sourcils. Il a un très mauvais pressentiment… Son attention détournée quelques secondes par la menace éventuelle, il découvre quelque chose… une forme aux yeux brillants rampe au plafond, bien plus rapide que les zombies de tout à l’heure, et qu’Alexander serait bien en mal d’identifier.
« Attention, au-dessus de toi ! » le prévient-il avant que la chose ne se rapproche davantage.
Sans objection d’Alexander, et au contraire avec son consentement, David s’attaqua à la porte avec sa seule et unique arme. Il pourrait minimiser le bruit en frappant doucement, mais cela serait moins efficace sans doute dans leur entreprise. Et puis bon, King se remettait entièrement à son compagnon, lui faisant confiance pour l’avertir du moindre danger. Il comptait sur lui, car si le voyou était fort et agile, il n’avait de « supers pouvoirs » l’alertant de l’arriver dans le dos d’un ennemi. Allons, cela était la même chose quand il était prisonnier de l’entité, il devait faire confiance aux autres captifs et cela avait bien payer, même si jamais il n’eut retrouver la liberté.
David se lança donc. Levant son arme, il frappa avec force à plusieurs reprises la poignée. Comme attendu, le son se répercutait dans la zone et donc, King se dépêcha pour ne pas trop trainer. La poignée de porte devait être en plastique, ou en laiton. En tout cas, un alliage pouvant facilement se briser. Pourtant elle résistait aux assauts du british. Sa béquille rebondissait dessus sans faire la moindre rayure. En voyant cela, David commençait à s’énerver, frappant de plus en plus fort, grognant même. C’est alors qu’il entendit crier dans son oreille, la voix d’Alexander le mettant en garde au-dessus de lui.
Alerter, David leva la tête pour voir accrocher au plafond, un corps qui se prenait pour un homme lézard abominable. La chose se laissa tomber vers lui et King dû rouler sur le côté pour esquiver. Avant des zombis, et maintenant ça c’était quoi ? L’horreur avait une forme humaine, mais son physionomie elle, n’avait plus rien d’un homme ou d’une femme. On aurait dit un de ces fantômes qui rampaient sur le sol dans les films, à quatre pattes avec une gueule deux fois plus grosse que leur propre tête.
La chose courue si on puisse dire sur David et le voyou l’asséna d’un puissant coup avec son arme sur la tête. La créature fut éjecter en arrière sur quelques mètres, donnant le temps à David de se remettre sur pied et se mettre en garde contre son nouvel ennemi, qui revenait déjà à lui.
"Bordel c'est quoi ce truc ?! Alex t'en voie d'autres où c'est le seul pote que j'ai ici ?!"
Savoir en gros s’il devait fuir de suite car il risquait d’être submerger en nombre, ou s’il pouvait s’occuper du cas de l’homme-rampant. La créature elle, n’eut justement pas son compte. Mais elle semblait douée d’un peu plus d’intelligence que ses cousins décomposés. Car il regrimpa sur les mus pour rejoindre le plafond. Voyant sa proie obliger de rester à terre, l’attaquer par en haut était son plus grand avantage. David se mit à injurier entre ses lèvres. La chose approchait rapidement, pendant que David reculait, tout en faisant attention à ce qui se trouvait derrière lui. Puis, le monstre attaqua, bondissant sur King toutes griffes dehors. David se baissa au bon moment pour éviter la fatale collision, et quand il fut après derrière le monstre, il frappa à nouveau, exécutant un moulinet avec la béquille et cogna la chose qui émit une plainte enragée sous la douleur.
"Si je fuis et je retourne vers toi maintenant, je paris qu’il voudra rejoindre la bande ! Trouves moins une zone safe où je peux me mettre à l’abris !"
S’il courrait rejoindre Alexander, la chose le trauqerait et s’en prendrait à tous les deux. Alex était armé, il pourrait lui tirer dessus. Mais King ne voulait faire prendre aucun risque à son compagnon. Si cela se trouve, les balles ne lui feront rien. Il pensait donc se cacher dans une pièce à part, que la chose perde sa trace ou bien encore, puisse se faufiler dans un conduit ou autre part pour lui fausser compagnie et rejoindre son ange gardien. Ou aller ailleurs, en tout cas il faudra improviser.
La créature grogna d’un son horrible et désarticuler. Comme une araignée, elle se retourna rapidement pour faire face à David mais cette fois, cela risquait d’être une confrontation directe. King se tenait prêt à n’importe quoi, car il était prêt à parier que les crocs et les griffes n’étaient pas les seules armes de cette horreur.
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Alexander Hamilton
▿ Ton univers : Hamilton: An American Musical
▿ Date de naissance : 11/01/1980
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▿ Métier : Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polémiste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur : I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.
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Sam 8 Jan - 20:23
Let's meet, finally
feat. David
Alexander retient son souffle tandis qu’il regarde l’informe créature fondre sur son camarade d’infortune. A cette distance, il est dans l’incapacité de jauger la dangerosité de cette chose, ce qu’il sait, c’est que sa présence et ses compétences ne lui disent absolument rien qui vaille. Heureusement, David a de bons réflexes et il parvient à rouler sur le côté pour échapper à la chose. Alexander assiste, impuissant, au combat qui se joue sous ses yeux. Il pourrait peut-être donner l’une ou l’autre instruction à David, mais elles auraient sans doute le don de le déstabiliser plus qu’autre chose. Heureusement, l’homme est un battant, et il parvient bel et bien à s’en sortir. Il donne un grand coup sur la tête du monstre qui se voit propulsé plusieurs mètres en arrière…
Quand il se redresse, la créature est prête à repartir à l’attaque. Alexander se ressaisit quand son interlocuteur lui demande si d’autres créatures du même genre sont en chemin. Oui, il doit se concentrer. Plutôt que de se focaliser sur le combat, il doit s’assurer que rien d’autre ne menace David. Il examine tout avec soin, conscient qu’il ne doit pas négliger de s’intéresser à ce qui peut se situer aux murs ou encore aux plafonds, mais il ne trouve rien d’alarmant, en tout cas rien qui soit similaire à cette chose.
« Rien à signaler, c’est la seule créature du genre. Par contre, les zombies se rapprochent dangereusement. Ils sont quatre à se rapprocher, ils seront là dans… cinq minutes, je dirais, au vu de leur vitesse », lui apprend-il en sachant pertinemment que c’est tout sauf une bonne nouvelle. Malheureusement, dans des circonstances comme celle-ci, les bonnes nouvelles sont terriblement rares, c’est un fait.
De son côté, David doit déjà faire face à cette chose qui repart à l’assaut, et qui semble malheureusement plus intelligente et déterminée que leurs mangeurs de cervelle sans cervelle (enfin, on ne peut que supposer qu’ils mangent bel et bien de la cervelle, ça n’a absolument rien de sûr). David fait alors une remarque pertinente. S’il vient le retrouver, la situation va empirer. Mieux vaut le guider vers une zone un peu plus sûre où il pourra reprendre son souffle et se retrouver en sécurité le temps d’élaborer un nouveau plan.
« Dès que tu peux mette suffisamment de distance entre toi et cette chose, emprunte le couloir à ta droite, cours jusqu’au bout et isole-toi dans la dernière porte à ta droite si tu le peux », décide-t-il de lui indiquer après avoir envisagé que c’était la destination la plus sûre pour lui. Mais ça, c’est si David parvient vraiment à se soustraire aux attaques violentes de cette ignoble créature qui ne semble définitivement pas vouloir lâcher prise.
Les morts-vivants auxquels ils avaient eu affaire auparavant semblaient du menu fretin en comparaison de ce qu’il leur faut affronter à présent. L’inquiétude d’Alexander est à son paroxysme alors qu’il se sent impuissant à aider David. Abandonner son poste et le rejoindre pour l’aider ? Il est à deux doigts de le faire, mais ce serait sans doute aussi suicidaire que contreproductif.
Quatre zombis de plus ? David a connu sans doute pire. Il s’était déjà retrouver seul face à toute une bande de voyou parfois armés et les mettre tous à terre. Bon, il ne s’agissait pas évidemment de monstres sanguinaires venu des enfers. Quoi que… Enfin bref, King n’avait pas peur de la taille de son adversaire, ni du nombre. Fou ? Oui il devait l’être un peu. Le danger, le défis l’excitait. Combien de fois on avait dit à David, chez l’entité par exemple « T’es dingue ? Le tueur peut te sentir et il est deux fois plus gros que toi ? Il campe le crochet tu vas juste te faire buter ! » Et il y a laisser la vie plus d’une fois. Peut-être que cette torture à répétition eut raison de son esprit, le rendant aussi taré que les autres. Tout ca pour dire qu’il n’avait pas peur de se mesurer à plus d’ennemis. Néanmoins, la voix de la raison qu’il faisait taire à coup de bière, lui disait qu’il serait stupide d’insister et de se tirer le plus vite possible. Ouais, il n’avait pas de temps à perdre. Il ne voudrait attirer l’attention de toutes ces saletés dans l’hôpital. Même si l’idée de tous se les faire tout seul lui plaisait bien. David n’oublia pas néanmoins le principal, trouver une sortie et se casser en vie. Et s’il ne faisait pas très attention à sa propre sécurité, il pensa toutefois à son compagnon, que lui devait plus y tenir à sa vie et donc, qu’il devait l’aider à s’en sortir au moins.
Alexander… David croit qu’il commence à l’apprécier. L’un est l’autre pouvait être aux antipodes de son complice, mais King ne s’attachait pas qu’aux moins que riens comme lui. Ce gars était très utile, il l’aidait bien, prouvant qu’il méritait un minimum de confiance. Et si David eut quelques doutes sur lui au départ, cette mésaventure les aura bien fait de les dissiper. Il était content d’entendre son partenaire lui indiquer un itinéraire pour se mettre à l’abris. Parfait, il n’avait besoin que de retenir un instant cette chose avant de filer.
C’est alors que la créature ouvrit sa sale gueulé. O0n y voyait un gros trou noir remplit de dents pointues et c’est là que quelque chose sortie. David fu surprit mais esquiva à temps. La chose ressemblait à une sorte de dard, un truc pointue organique qui sortait de la gueule et vint couper le haut de David, frôlant sa peau. King tourna sur lui-même pour éviter. Il heurta un lit sur roue dans le couloir et eut de suite une idée. L’attrapant, il s’en servit comme bélier sur la créature. Cette dernière sauta mais fut renverser car heurter et entrainer par une patte. David en profita pour l’assommer avant de pendre les jambes à son coup, surtout qu’il commençait à entendre les zombis mentionné par Alexander.
Le voyou suivit les indications données par Alex, alors que les cris de rage du monstre raisonnaient jusqu’à lui. Couloir de droite, ok il se jeta sur la dernière porte qu’il claqua derrière lui, plaquant son dos dessus pour la bloquer. Quelques secondes après, alors qu’il retenait tout juste sa forte respiration, King entendait la chose courir dans les couloirs, gratter non loin, rager avant de bondir, on ne savait où perdant déjà la piste de sa proie. C’était court, mais intense, David respira un bon coup de soulagement, massant son cuire chevelue à terre pour retirer la sueur.
"Merci mon pote, je t'en dois une." Dit-il à son compagnon à travers la radio.3
Reprenant ses esprits, David examina la salle devant lui. On dirait un bureau de consultation. Il se releva pour s’en approcher. La pièce était dans une pénombre, mais le jeune homme prit le risque d’allumer une lampe de bureau pour mieux voir. La pièce était lugubre, avec un vieux crépis qui s’écaillait, et le bureau semblant tout aussi ancien avec un écran d’ordinateur assez imposant. Il avait oublier le parent des écrans plats, c’était bizarre.
"Mec, je ne sais pas si tu peux me voir, mais j’ai trouver un bureau de doc datant du siècle dernier trop bizarre."
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Dernière édition par David King le Dim 23 Jan - 10:12, édité 1 fois
Alexander Hamilton
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Jeu 20 Jan - 19:38
Let's meet, finally
feat. David
Alexander regrette de n’avoir que deux yeux en cet instant, il lui en faudrait bien d’autres en supplément pour suivre convenablement l’action et ne pas se laisser dépasser par tout ce qu’il doit observer et intégrer. Car s’il prend soin de vérifier la présence de tout danger éventuel dont il faudrait alerter son interlocuteur, il ne peut s’empêcher aussi de garder un œil sur lui. Il se découvre une inquiétude des plus sincères pour son interlocuteur. Ils ne se connaissent pas spécialement, au bout du compte, et ils ont des caractères diamétralement opposés, cela va sans dire, n’empêche que le père fondateur trouve dans le tempérament bourru et direct de son interlocuteur quelque chose qui ne lui déplaît pas le moins du monde. Un petit quelque chose de Mulligan, à vrai dire… Et surtout, il ne supporterait pas d’avoir sa mort sur la conscience.
Raison pour laquelle il oublie presque de respirer au moment où la créature ouvre grand la gueule. Depuis son écran, le spectacle est indistinct, mais il suffit à permettre à l’Américain de deviner combien la créature doit être effrayante, et elle semble à de doigts d’avoir David, qui réussit malgré tout à en réchapper, non sans une maestria qu’Alexander ne sait s’empêcher d’admirer. S’il ne redoutait pas de déconcentrer son nouvel ami, Alexander le ferait sans doute remarquer à ce dernier, mais il ne veut pas que ce dernier soit déconcentré, au contraire, il le veut focalisé, ce qu’il semble être suffisamment pour répondre ensuite à ses indication afin de se retrouver dans la pièce où il pourrait au moins être temporairement à l’abri de toute créature dangereuse. Le politicien a bien revérifier plusieurs fois que les lieux étaient clean, c’est le cas, et cela laisse à David le temps de reprendre son souffle et ses esprits.
« A charge de revanche », répond David pour le principe quand David le remercie. La vérité, c’est qu’il ne lui dit rien du tout. Il est surtout soulagé que David ait bel et bien eu le temps de rejoindre la pièce indiquée et sans encombre, ce n’était pas forcément gagné d’avance, et Alexander en a bien conscience. Ils seront sur le fil du rasoir encore un bon moment, c’est l’évidence.
« Tu trouves des choses intéressantes ? » demande Alexander à son interlocuteur à travers la radio, alors qu’il voit son nouvel ami faire l’état des lieux. La pièce plongée dans la pénombre plus la taille réduite de l’écran ne permettent pas forcément à Alexander de voir grand-chose.
Quand David allume une lumière, la vue se fait légèrement plus claire, même s’il ne distingue pas les détails pour autant. Le mobilier est ancien, si ancien qu’il serait presque familier à Alexander en son temps. Le père fondateur fronce les sourcils.
« Je vois… plus ou moins. Tu peux allumer l’ordinateur, voir si tu déniches des informations intéressantes ? » suggère-t-il en plissant les yeux pour essayer de voir de plus près à quoi pouvait ressembler exactement la pièce en question…
Il en profite pour considérer les pièces et les couloirs alentours, mais pour le moment, ils semblent tous les deux relativement hors de danger. Le calme avant la tempête, somme toute.
La pièce semblait venir d’un autre temps, c’était glauque. On aurait dit un de ces vieux bureaux dans un manoir hanté, où avec un fou qui vous pourchasserait dans les couloirs, ce genre de délire. Les murs furent recouvert d’une tapisserie verte mais vieux, la couleur se fanant ou le papier qui se déchirait. Et ne parlons pas du mobilier ancien qui semblait sortir d’un vide grenier. Et dire que David pensait que cet hôpital était à la pointe de la technologie, un endroit ultra moderne. Voici le bureau qui faisait de la résistance.
Alexander suggéra d’allumer le vieux pc. King eut une mine de dégoûts. L’ordinateur était vieux, avec son imposante tour et son écran qui prenait presque toute la place du bureau. David n’était pas un jeunot, il a connu l’époque glorieuse de ces machines, mais il s’était, sans doute comme tout le monde, habitué aux dernières versions aux écrans plats et aux tour moins imposante. Il appuya donc sur le gros bouton d’allumage. L’appareil émit un son, une sorte de bourdonnement électronique, suivit de plusieurs notes disgracieux comme si l’ordinateur râlait qu’on le tire de son antique sommeil. David se surprit à marmonner à la machine "Chut ! Mais fermes la bordel !" Mais ignorante aux ordres de l’humain, l’ordinateur s’alluma pour de bon avec le son typique d’un vieux personal computer qui dû s’entendre tout autour. Si un zombi la entendu et se ramène, l’ordinateur ira voler contre un mur.
David se pencha sur l’écran pour lire les premières choses qu’i y figurait. Il s’attendait à voir une demande d’identifiant et un mot de passe, mais il n’y avait rien. En réalité, on avait laisser la session débloquer exprès. Pourquoi ? David l’ignora, mais quand il regardait l’écran, il vit de manière pas trop pixélisé, un étrange logo rouge et blanc de forme octogonal, ressemblant à… Un parapluie vu du dessus. Il eut une barre de chargement verte en-dessous, mais quand elle arriva jusqu’au bout, une voix féminine robotisé se fit entendre. David laissa sa radio allumée pour que son compagnon puisse ne rien louper.
"Umbrella Corporation ! Preserving the health of the people."
David fronça les sourcils, ne reconnaissant ni le logo, ni le nom de la compagnie qui s’effaçaient tous deux devant ses yeux. "Tu connais toi la Umbrella Corporation ?" David venait d’un milieu très aisé, des représentants de différentes compagnies venaient souvent voir son père pour affaire ou pendant ces mortelles réceptions de richards. Même s’il ne prêtait pas attention à tout ce monde qu’il se moquait, David n’avait pas souvenir du nom de cette entreprise. Ni avoir vu la moindre pub ou bien boutique dans une rue. Etrange… Quand le logo fut partie, il se trouva maintenant sur le « bureau ». Ses yeux parcoururent chaque icones installés en colonnes devant lui, et décrivit ce qu’il voyait à Alexander.
"Y’a pas mal de dossier… Les noms sont des dates surtout. P’t être des rapports. Je tente le plus vieux."
Le premier dossier contenait des documents écrits. Il y en avait plusieurs et David en ouvrit au hasard. Il voyait une liste de chiffres, des dates. Ou bien des numéros de salles, pourquoi pas de patients ? Ils étaient accompagner de quelques mots étranges dont il n’arrivait pas à comprendre le sens. "Je lis des truc du genre 120596-inactif-trois fois-Abandon. Ou 071187-dégénrecense-3jours-actif violent-suppression. Bordel ils fichaient quoi ici ?!"
David ouvrait d’autres documents, d’autres dossiers, tous indiquaient des choses semblables et comme s’il lisait le Nécronomicron, King ressentait une peur, une colère, un début de folie le prendre comme si le fait d’approcher de la vérité, allait ébranler sa raison. Et pourtant, malgré la crainte qui le gagnait, il ne pouvait s’empêcher de continuer à fouiller, regarder, comme un homme ne pouvant s’empêcher de fumer. Puis, il alla directement au dernier dossier. Sauf que ce dernier, ne contenait aucun document, juste une vidéo que David, lança la lecture avec beaucoup d’appréhension. D’un coup, l’image d’une femme, en tenue d’infirmière, la peau métissée, le visage couvert de larme apparue à l’écran. La vidéo était de mauvaise qualité, avec des parasites et des micros coupures, mais sont contenu était angoissant.
"Ici le docteur Brewer... Nous sommes bloqué ! Il a… Hécatombe… Je ne pouvais prévoir ça… On pensait tous que c’était pour le bien commun, pour sauver des vies… Ils nous ont mentit ! Le nouveau virus, créer à partir d’une… Il est imprévisible, il a tuer presque tout le monde… Toutes les issus sont bloqués… Si quelqu’un reçoit ce message, sachez que je suis désolé, je ne voulais pas tout ça. Mais je dois assumer, et tenter d’y mettre fin. Rien ne doit sortir, ils ne doivent pas mettre la main dessus… Si je dois sortir d’ici, il reste un moyen, la porte des scanners. Mais ils ont changer les codes, ils ont piégés tout le monde ici. Médecins, patients, ils nous ont tous prit pour des cobayes sacrifiables… J’enregistre ceci si je n’y arrive pas, il faut fouiller le bureau du directeur, cet enfoiré était de mèche avec Umbrella il doit avoir les codes !"
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Mar 25 Jan - 20:04
Let's meet, finally
feat. David
A l’évidence, en matière d’ordinateur, on a là affaire à une antiquité… Pour Alexander, ça ne veut pas dire grand-chose. Passé directement de l’invention alors révolutionnaire de la machine à vapeur au smartphone, il peine à se faire une idée de combien rapides ont été certains progrès technologiques, et aussi d’à quel point certains ont pu observer cette évolution au cours d’une même vie… Il n’empêche que même lui, en dépit de ses piètres connaissances, peut reconnaître qu’ils ont véritablement l’air d’avoir affaire à un dinosaure des ordinateurs, faisant un vacarme monstre – pas l’idéal dans ces circonstances, et d’une lenteur abominable, qui a tendance à crisper légèrement Alexander, il faut bien le dire, tandis qu’il attend, au même titre que son interlocuteur, que l’écran affiche un résultat quelconque. Mais finalement, un message audio s’échappe de la machine, plongeant Alexander dans la plus totale perplexité.
« Jamais entendu parler », admet-il au sujet de cette Umbrella Corporation.
C’est curieux, intrigant, et en même temps un peu encourageant : la clé du mystère réside peut-être ici, à portée de main. Qui sait si cette fameuse Umbrella Corporation n’est pas à l’origine de ces événements étranges dont ils sont les témoins autant que les victimes depuis leur arrivée dans ce satanée hôpital. Certes, ce slogan, « preserving the health of the people » semble bien mal convenir à ce qu’ils ont pu observer jusqu’ici, mais sait-on jamais, après tout. Pour en apprendre plus, il faudrait sans doute faire des recherches, mais Alexander doute un peu que ce soit aussi simple malgré tout. Pour l’heure, c’est surtout David qui a la main et des chances de dénicher éventuellement des éléments véritablement dignes d’intérêt.
Alexander n’a pas besoin de demander à David de lui détailler ce qu’il voit, ce qu’il aurait exigé autrement, pour que son camarade d’infortune le fasse de lui-même. Il reste attentif le temps que David épluche les différents dossiers… De temps à autre, il songe tout de même à examiner les pièces à proximité afin de s’assurer qu’aucun autre zombie ne vienne gâcher la fête. Difficile de faire autre chose que des suppositions à ce stade, mais la plus évidente doit sans doute leur sauter aux yeux à tous les deux…
« Tous ces… zombies qu’on a croisés ne sont sans doute que des cobayes pour leurs expériences, ce que je ne m’explique pas, c’est pourquoi l’hôpital a semblé si… normal pour commencer. » Il y avait eu quelqu’un à l’accueil, des personnes pour les aiguiller jusqu’à la salle d’attente…
Il veut ajouter autre chose, mais une vidéo se lance alors, et Alexander en écoute le contenu avec attention. Une femme parle avec anxiété d’un virus, s’excuse… un discours tout sauf limpide mais une piste dans ce fatras. Alexander se frotte les temps du plat de la main.
« Suggestion : d’abord on trouve ce fichu bureau et ces codes, et ensuite on essaie de comprendre ce que tout ça veut dire, ça te va ? » Concentre-toi, Alexander, concentre-toi… Du regard, il scrute les différents écrans à la recherche de celui dont les caméras pourraient donner sur le dit bureau… « Je crois que j’ai visuel sur le bureau. Par contre… il est infesté… Il y a au moins une dizaine de ces créatures coincées là-dedans. »
Toute cette histoire n’était pas là pour rassurer. Même si on pouvait entre apercevoir un début de réponse, on ne se sentait pas mieux. David ignorait qui était Umbrella et Alexander non plus. Toutefois, ces quelques éléments apportés firent leur chemin dans le cerveau de King et ce dernier arriva à de mieux en mieux comprendre ce qu’il se passe. Cette vidéo bien que saccadée à la fin, apportait ses éléments de réponses aussi qui ne firent que confirmer les soupçons du bagarreur. Et si l’histoire qui fut racontait donne froid dans le dos, David comprenait à présent les documents comportant de longues listes. Alexander aussi comprenait, sans doute plus vite que le britannique et ne se priva pas d’exprimer à voix haute dans l’appareil, ce que tout le monde savait à présent. Concernant cependant la partie qui échappait au père fondateur, le voyou pouvait sans doute l’y aider.
"C'est pourtant l'endroit idéal. Un endroit où t'as pleins de malades de pauvre gars en fin de vie. Tu peux leur injecter n'importe quoi, s'ils crèvent on peut plus facilement le couvrir que kidanpper des gens dans un labo."
Si une personne se faisait enlever, y’aurait facilement une enquête et des gens curieux seront attiré. Mais dans un hôpital, on blâmera un virus ou autre saleté connue pour expliquer le décès d’une personne. David n’y voyait que cette explication.
"A mon avis ils voulaient tester un nouveau medoc et pensaient le contrôler jusqu’à ce que ca se retourne contre eux."
Histoire classique. Mais cela n’expliquait pas encore le fait que l’hôpital soit d’un coup désert et laisser juste eux encore présent. Et l’enregistrement n’expliquait en rien de cela. En réalité David avait l’impression… De ne plus être dans la ville perdue, enfin que lui et Alexander furent comme transporter ailleurs et ce genre de petit tour, il connaissait. Mais cela n’avait rien à voir avec l’entité et un de ses jeux. C’était à la fois semblable, mais différend. Une autre entité ? Ce serait bien sa veine. Et pourquoi lui ? Pourquoi eux ? Ce genre de truc commençait déjà à l’agacer et le plan émit par son compagnon ne l’aidait pas à se détendre.
"Quoi ? T’es taré ou quoi ?! Pour qui tu me prends ? Suis pas un héros ou un poulet ! Tout ce que je veux moi, c’est me casser et pas jouer à Sherlock ce qui se passe ici c’est pas mon problème !"
Pourquoi se mêlerait-il à ce genre d’histoire ? Déjà, il n’était qu’un humain sans importance, un pauvre type qui errait dans les rues salles en ville. Il pourrait beugler à la police ou aux journaux, personne ne le prendrait au sérieux, surtout écouter l’accusation d’un gars comme lui sans valeur, face à une entreprise aussi puissante. Non, David n’avait rien d’un héros de film ou de jeu vidéo, qui allait sauver seul le monde contre les puissants tout méchant qu’ils soient. C’était un gars égoïste, qui pensait à sa survie, du moins se plaisait-il à laisser croire.
"Ok, on récupère les codes dans ce foutu bureau, et on se casse direct ! Ca te va ca comme plan ? Ca ne nous regarde pas ce qu’il se passe ici mec."
Il espérait qu’Alexander partagerait son raisonnement, qu’il se rendrait compte que même à deux, ils ne pourront rien faire. Et s’ils trouvaient on ne savait quoi, que feraient-ils ? Alerter le monde ? Ils se feraient passer pour des complotistes illuminés et ceux qui sont les méchants pourront les mettre au silence pour de bon.
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Lun 31 Jan - 19:24
It never ends
feat. David
« Je veux bien que l’endroit soit idéal, mais il m’avait semblé terriblement normal à notre arrivée… Enfin, tu as sans doute raison, au vu de ce qui se passe ici, ce n’était sans doute qu’une façade pour mieux nous précipiter dans leur piège. »
Mais ils ne se laisseraient pas faire, il était hors de question qu’ils se laissent faire. Oui, David a raison, un lieu infesté de malades et de « pauvres gars en fin de vie » devait sonner comme idéal dans l’esprit nécessairement tordu des individus qui avaient manigancé tout ceci : mais ils n’avaient manifestement pas eu idée d’à qui ils avaient affaire. Contre eux, et surtout leurs esprits et déterminations réunies, Alexander veut vraiment croire qu’ils ont de l’inquiétude à se faire. Aussi improbable leur duo soit-il, force est au politicien de constater qu’il fonctionne, et même qu’il fonctionne particulièrement bien… bon, ils ne sont pas sortis de l’auberge, loin de là, mais ils sont déjà arrivés plus loin qu’Alexander ne l’aurait soupçonné : est-ce que ce n’est pas déjà une bonne chose ? Si, clairement.
« Je me garderai de faire confiance à la moindre entreprise pharmaceutique à compter de maintenant », s’efforce de plaisanter Alexander en une vaine tentative d’humour alors que David suggère qu’ils ont voulu tester un nouveau médicament, quand ça avait mal tourné. La médecine était clairement moins évoluée d’où venait Alexander, mais au moins, les médicaments que vous consommiez ne vous transformaient pas en zombie… il va peut-être continuer de faire confiance aux traitements à base de plantes, tout compte fait.
« Tu penses vraiment qu’on peut sortir d’ici sans avoir percé cette affaire à jour ? » répond Alexander, qui au fond n’est pas si surpris de la réaction de David, plus soucieux de s’en aller vite fait bien fait que de résoudre l’énigme qui les entoure.
Au fond, Alexander peut le comprendre, mais il est tout à fait incapable de raisonner de la même manière : c’est tout à fait contre-intuitif pour lui. Il n’a pas la moindre idée de qui est ce… Sherlock, exactement, mais ce qu’il sait en revanche, c’est que sa curiosité naturelle est bien trop grande pour tolérer de s’en aller juste comme ça, sans avoir le fin mot de l’histoire. En même temps, son interlocuteur n’a pas tort sur un point : ça leur fera une belle jambe d’avoir résolu ce mystère s’ils ne s’en sortent pas indemnes. S’ils peuvent avoir ne serait-ce qu’une chance infime de se tirer de là, tous les deux, ils doivent la saisir plutôt que de jouer les apprenti-détectives.
« Bon d’accord. On récupère les codes et on s’en va », confirme Alexander, un peu à contrecoeur, surtout parce qu’il ne veut pas mettre davantage son nouvel ami en danger… s’il veut se renseigner sur tout ça dans son coin et à tête reposée, il n’a pas, en revanche, à impliquer celui qui, à l’heure actuelle, prend qui plus est beaucoup plus de risques que lui. « Tu te sens prêt à affronter ces trucs sans renfort ? Si tu veux je te rejoins, maintenant que j’ai un visuel global de la situation. »
Normal… Existait-il seulement quelque chose de la sorte ici ? Chaque jour, le peu de sens et de logique s’en volait n’importe où, où on posait le pied. Après King n’allait pas rapporter qu’il a affronter des monstres ou apparitions étranges, pas encore dans son cas. Mais du peu qu’il a vu, le jeune homme était motivé de croire en l’incroyable. Et très franchement, l’idée qu’un hôpital puisse servir de couverture pour une entreprise pharmaceutique ne le choquait pas plus que cela. Il savait que les grosses boites vendaient leur âme pour arriver au pouvoir et à la richesse, que le sentiment humain n’existait plus pour ces gens. Il ne fallait voir que son père pour en avoir un exemple. Pourtant, David ressentait une sorte de doute…
"Ouais après sais pas mec... Sans doute un délire, mais me demande si on est toujours au même endroit." Il avait la sensation qu’en réalité ils étaient comme transporter ailleurs. Mais peut-être n’était-ce qu’un sentiment, un traumatisme lié avec ses fréquents déplacement d’univers à un autre à cause de l’entité.
Mais il ne pouvait le prouver, et très sincèrement, il ne cherchait pas à savoir si son impression était juste ou pas. Rien de toute façon jusqu’ici, n’avait montrer un quelconque transport. Ce serait plus qu’on avait tout changer autour d’eux, comme une modification de décoration et rien d’autre. En tout cas, cette histoire semble avoir décourager Alexander de faire confiance aux entreprises pharmaceutique.
"Et moi donc mon pote. Mais tu sais que déjà j’évite leurs saletés ? Me soigne à l’ancienne. Une vilaine ouverture ? De l’alcool et c’est régler et n’importe quel tissu pour le bandage. On dirait qu’on a raison de ne pas accepter de se faire injecter n’importe quoi."
David n’était jamais fan de la médecine moderne. Déjà, comme on la expliquer au début, venir dans un hôpital le rebutait et y consentait que par la force des choses. Mais sinon pour se soigner les blessures comme il disait, alcool et bandage. Et pour le rester, il faisait attention à ce qu’il buvait et manger. Il fallait croire que cela fonctionnait car pendant toutes ces années, on avait un David King solide, vigoureux qui ne tombait presque jamais malade. Il ignorait quel medoc on développait ici, mais s’il l’avait accepter, il aurait fini comme tous ces cadavres.
Les deux hommes semblèrent diverger sur ce qu’il faudrait faire. David était partisan de se casser de suite alors qu’Alex lui, semblait plus intéressé par la résolution de cette affaire. Les deux points de vus peuvent se défendre autant l’un que l’autre, mais il est clair que seul l’un l’emportera sur l’autre.
"Ecoutes, si en chemin on tombe sur la grosse révélation et la preuve qui va avec, on pourra gueuler partout au complot. Mais je ne compte pas passer des jours ici pour chercher Dieu sait quoi !"
S’ils trouvaient LA réponse, pourquoi pas ce serait un bonus pour David. Mais le british préférait privilégier la recherche d’une sortie surtout. Il fallait faire un choix, sinon chacun pouvait aller de son côté pour faire ce qui lui tiendrait à cœur, mais se diviser ne serait pas un bon plant. Là ils étaient chacun éloigner, mais coopéraient à la perfection car pousser par un objectif commun. S’ils venaient à dissoudre leur groupe… Fort heureusement, Alexander céda au projet de David ce qui rassurait le colosse. L’érudit voulu savoir s’il pouvait le rejoindre ou non, voila une bonne question.
"Sais pas. Si tu veux venir assures toi que le chemin est dégager avant." Il ne voudrait pas que son compagnon fasse une mauvaise rencontre en chemin et comme il semblait moins combatif que lui… C’est que David commençait à s’y attacher un peu à son ami d’infortune et même s’il venait à trouver la sortie de son côté, il ne voudrait pas le laisser dans de sales draps comme ça.
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Alexander Hamilton
▿ Ton univers : Hamilton: An American Musical
▿ Date de naissance : 11/01/1980
▿ Age : 44
▿ Métier : Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polémiste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur : I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.
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Lun 7 Fév - 23:51
It never ends
feat. David
S’ils étaient toujours au même endroit ? Parmi toutes les théories abracadabrantesques qui lui étaient venues à l’esprit – et Dieu sait qu’il y en avait eu beaucoup, celle-ci ne s’était pas imposée à son esprit, mais elle ne lui paraissait pas plus improbables que toutes les autres, pas moins improbable que le fait de se retrouver à présent enfermé dans un hôpital infesté de zombies. Ils sont à l’évidence dans une situation critique et anormale, une situation qui ne devait pas se produire normalement, alors peut-être… par quels moyens serait-on parvenu à les conduire à cet endroit ? ça, c’est clairement une question bien différente, mais Alexander garde cette hypothèse à l’esprit, même si elle ne lui plaît pas le moins du monde. Comment retourner d’où ils viennent, même une fois échappés d’ici, s’ils ne savent même pas où ils sont au bout du compte ? Décidément, cet endroit n’est bon qu’à lui donner de très sérieux nœuds au cerveau, c’est terrible.
En tout cas, oui, une chose est sûre, plus jamais il ne fera aveuglément confiance à la moindre entreprise pharmaceutique… déjà qu’il se méfiait naturellement des médicaments modernes, lui qui n’avait certainement pas été habitué à tout cela… Il reconnaît les évidents progrès de la médecine par rapport à son époque, et il ne peut s’empêcher de songer que si ce genre de structures avaient existé en son temps, son fils aurait peut-être vécu plus longtemps. Mais avec des si, on mettrait sa précieuse New York en bouteille, pas vrai ? Très probablement, oui.
« En tout cas, blessure à panser ou pas, j’offre ma tournée dès qu’on sera sortis d’ici », confirme Alexander tandis que son compagnon lui affirme que rien ne se soigne mieux qu’avec de l’alcool.
C’est là une affirmation tout à fait… discutable, mais dans tous les cas, ils n’ont pas vraiment le temps de discuter de leurs méthodes respectives pour le moment. Le plus important, à l’heure actuelle, est qu’ils parviennent à quitter cet endroit, par tous les moyens possibles. Quoi qu’il en soit, les idées d’Alex remises légèrement en place, il peut admettre que percer le mystère qui entoure cet endroit, même si cela peut leur permettre de s’en tirer à meilleur compte, est potentiellement un effort inutile.
« Je devrais pouvoir te rejoindre sans trop de difficultés », assure Alexander. « On peut se rejoindre à mi-chemin, si tu sors en empruntant le couloir sur ta droite, en tournant à gauche, puis encore une fois à gauche... » Il y a bien un zombie sur le chemin que devra emprunter Alexander, mais il a son arme, et même s’il ne s’est pas servi d’un pistolet depuis longtemps, il veut se croire toujours excellent tireur malgré tout. « A tout de suite, on conserve la communication dans tous les cas. »
Et après une grande inspiration, Alexander quitte finalement la pièce. Il a mémorisé toutes les pièces et l’emplacement d’ennemis éventuels, tout devrait bien se passer… Normalement… Après quelques mètres sans encombre, le grognement d’une créature l’alerte, mais une balle tirée en pleine tête calme directement le mort-vivant… Encore quelques pas, et Alex ne devrait pas tarder à retrouver David.
C’était clair, plus jamais David ne fera confiance à une piqure. Heureusement qu’il n’était pas junkie qui devait se faire piquer n’importe où pour avoir sa dose. Fumer un coup de temps en temps lui suffisait, et paraissait d’un coup, moins dangereux que d’absorber n’importe quel produit inconnu. Au moins il n’allait pas se transformer en un monstre mutant difforme en avalant du goudron. Quelle ironie tout de même. Bref, question médicale, il comptait bien en rester à ses vieux remède comme il la expliquer à Alexander.
"Ca marche ! Manquerais pas de te le faire rappeler !" Lui répondit tout souriant David. Ca, il ne fallait pas le lui dire deux fois. La promesse d’une tournée au bar, voila une des choses qui motivait le plus le bagarreur. Il ne disait jamais non à un verre, ou toute une bouteille. Et King n’avait pas peur de se faire passer pour un ivrogne, car il savait qu’il pouvait contrôler sa consommation ,se soulant que quand il en avait envie. Mais ça, c’était un autre sujet à aborder pour une autre fois.
David n’était pas très chaud qu’Alexander vienne le rejoindre. Déjà, l’intellectuel pouvait mieux le guider en restant près des caméras, mais surtout, il était en sécurité. Ca le rassurerait de savoir Alex sain et sauf quelque part, ne risquait pas ses fesses inutilement et laisserait King se chargeait des tâches plus risquaient et musclés. Mais son compagnon lui assura pouvoir le rejoindre sans trop de mal et qu’ils pouvaient se retrouver à mi chemin. Il fallait l’avouer, il était moins imposant que David, mais en avait tout de même. Ca lui plaisait bien à la brute de voir son acolyte doter de courage.
"Toi aussi." Lui répondit-il, soucieux du sort d’Alexander, voulant être prévenu du moindre pépin.
David emprunta le chemin indiquer par Alex. Droite, gauche, gauche avait-il dit. Tous ces chemins se ressemblaient, mais le british suivait l’itinéraire dicter. Il ne croisa pas un chat, mais il voulait rester prudent. Il pensait que le moindre bruit qu’il ferait, alerterait un zombis ou tout autre monstre dans le coin et il ne voulait perdre son temps à péter la tête à chaque horreur vivant ici.
Mais parlant de bruit, l’echo d’un tir raisonna jusqu’à lui. David leva la tête inquiet, comme si c’était lui la cible du coup de feu. Une seule personne était armer à sa connaissance, et c’était Alexander. S’il avait fait feu, c’était que le jeune homme devait avoir des ennuis. Oubliant la prudence, King fonça en direction de l’origine de l’echo, espérant ne pas arriver trop tard. Il n’eut aucune autre détonation, soit Alexander avait fait mouche, ou alors… Il n’eut l’occasion de riposter encore ! Mais il n'entendait aucun cri, rien le silence de l’angoisse.
Il couru, sautant pardessus les meubles renversés et les brancards abandonné. Dans son élan, prenant un virage avec belle glissade, il retrouva Alexander, debout et indemne. David se sentit rassurer et en même pas une seconde, le rejoint.
"Ca va t’as rien ?! J’ai entendu tirer ¡"
Il avait eut peur qu’en sortant de la pièce, son compagnon puisse rencontrer quelques soucis en chemin, et le tir n’avait fait qu’accentuer cette peur. A présent, King pouvait souffler, se rassurer de voir Alexander indemne. Mais pour combien de temps encore ? Car le coup de feu, plus la course folle de David ne furent pas très discrets. Et pour preuve, le sol sous leur pied se mit à trembler avec les murs. Pas des secousses avec des séismes, mais celui de quelque chose de lourd, qui frappait de manière régulière comme… Des pas !
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Mer 16 Fév - 21:51
It never ends
feat. David
Les deux acolytes d’infortune ne mettent pas longtemps à se rejoindre, pas longtemps du tout, même, et c’est quelque part assez rassurant de se retrouver de nouveau en sa présence. Il était certes relativement en sécurité dans la salle de surveillance, mais dans le même temps, il n’appréciait pas laisser son nouvel ami courir au danger sans rien pouvoir faire lui-même. Alexander n’est pas comme ça d’ordinaire : tout homme de lettres et de culture qu’il puisse être, il est aussi un homme d’action, qui a besoin d’être au cœur des opérations quitte à, quelques fois, prendre des décisions relativement irréfléchies. Ceci dit, il ne croit pas que celle-ci le soit, car il fallait bien, tôt ou tard, qu’il sorte de sa tanière s’ils voulaient tous les deux filer d’ici, et repartir en un seul morceau. Et pour le moment, ils ne s’en sortent tous deux pas si mal, puisqu’ils sont effectivement, l’un et l’autre, en un seul morceau.
« Ça va », confirme-t-il en appréciant de ressentir une honnête inquiétude de la part de son interlocuteur. Non, il n’a pas envie de l’inquiéter, loin de là, mais cela lui prouve que l’esprit de camaraderie qui s’est progressivement instauré entre eux n’est pas juste une illusion qu’il aurait entretenue depuis sa salle de contrôle. « J’ai croisé un zombie en chemin, mais je ne lui ai laissé aucune chance. » Il affiche un sourire ravi, qui ne dissimule pas totalement le sentiment de fierté qui l’anime en cet instant… Ce n’est pas le moment de se gargariser de ses exploits, bien sûr, surtout que ce n’est pas grand-chose par rapport à tout ce que David a déjà réussi, ni par rapport à ce qu’Alexander a accompli lui-même dans sa vie passée, mais les petites victoires sont bonnes à prendre dans des situations aussi stressantes que celle-ci, en réalité. « Je t’avais dit que je savais tirer », reprend-il, mais il n’a pas vraiment le temps de se vanter plus longtemps de son succès.
A l’évidence, il n’a pas été la discrétion incarnée jusqu’ici, et forcément, ils ne pouvaient pas espérer ne pas avoir attiré l’attention… Le sourire d’Alexander s’efface immédiatement de son visage au moment de sentir le sol trembler sous leurs pieds… C’était nouveau, ça… D’abord, Alexander croit à une sorte de tremblement de terre, mais c’est impossible, c’est trop régulier. Alexander en vient à la même déduction que son interlocuteur : des bruits de pas. Sauf que clairement, ce ne sont pas les pas d’un humain, pas plus que ceux d’un zombie… Et Alexander n’avait pourtant rien vu qui puisse correspondre à un tel gabarit sur aucune caméra. Un grognement comme surgi des enfers se répercute alors en écho et les bruits se rapproche, faisant trembler le sol plus que jamais, jusqu’à leur laisser entrapercevoir, dans la semi-pénombre, une chose immense, imposante, une silhouette qu’Alexander assimilerait à un ogre ? un troll ? Pas le temps d’y regarder de plus près, la chose se rapproche de plus en plus vite, et leurs armes de fortunes ne serviront sans doute pas à grand-chose.
David affichait immédiatement un sourire ravis d’entendre qu’Alexander n’avait rien. C’était un premier point rassurant pour lui, qui ne supportait pas de savoir un de ses compagnons en danger. Si déjà il ne voyait pas arriver Alex après le coup de feu, il était clair que King aurait foncer pour le retrouver et charger tout monstre qui se trouverait sur sa route. Il avait toujours agit de la sorte. Déjà à Winchester, quand son meilleur pote, et le seul connu, Donnie, était en mauvaise posture avec la mafia… King avait foncer sur les gangsters. Il prenait les coups à la place de son pote jusqu’au bout et défigura les sbires, riant de sa propre douleur et du sang qu’il perdait. Puis, quand il fut prisonnier, il acceptait de se faire frapper avec des haches rouillés, des épées tranchantes, des massues et j’en passe. Il ne reculait pas, pas animé par le même espoir que ses compagnons, mais quand il fallait protégé quelqu’un, King bondissait sur un des chasseurs.
Et là, ca aurait était la même chose, n’ayant pas abandonner ses vieilles habitudes. Il s’était déjà vu courir tout le long de l’hôpital pour secourir Alexander, a même affronter une horde seul pour le sortir d’un mauvais guêpier. Heureusement, l’érudit était indemne pour son plus grand soulagement. Et se venta de sa petite victoire contre un des zombis. David ignorait si Alex était habituer à combattre du zombis ou d’autres monstres. Visiblement non, comme ce simple triomphe semblait le réjouir comme un gosse qui a réussit son premier coup au baseball. Il n’allait pas lui retirer ca au moins.
"Pas mal. Te laisserais t'occuper des deux milles cinq cent trente trois restant alors." Plaisanta le voyou.
Mais leur moment de détente ne fut que de courte durée. Le sol vibra sous quelque chose de lourd qui martelait le sol. Un grognement monstrueux raisonna jusqu’à eux. Et s’arrachant de l’ombre d’un couloir, une forme imposante, lourde et un peu lente se dessina. Voilà qu’un nouveau monstre apparu devant eux alors. La chose ressemblait à un ogre, la peau grisâtre mais le visage déformer par d’horribles protubérances dégoulinantes d’une substance écœurante. Le monstre fut sans doute attirer par le coup de feu, et avait remonter le couloir jusqu’aux voix des deux hommes.
Sans besoin de plus d’informations, Alexander cria à son compagnon de courir. Et David ne se le fit pas redire deux fois. Les deux hommes remontèrent à toutes jambes le couloirs. Le géant hurla de colère en voyant son dîner s’enfuir et montra qu’il pouvait presser le pas. Tout le bâtiment devait trembler sous la course du monstre. Les murs vibraient, les brancards abandonnés sautaient sur place. Les choses accrochés aux murs s’arrachèrent pour tomber.
David couru comme il ne l’avait plus fait depuis longtemps. Sautant par-dessus les obstacles qui barraient son chemin, il manqua de se faire attraper par un des zombis du coin. Le cadavre ignora ce qu’il se passait voulant attraper dans ses bras la brute. King le repoussa en arrière pour reprendre sa course. Le géant ne semblait avoir de considération pour ces créatures qui semblaient être ses alliés, écrasant sans état d’âme ces derniers.
"Faut qu’on arrive à le semer !" Cria en évidence David ne trouvant pas d’autre solution à leur problème. Car solution il fallait en trouver une est vite. Le monstre pouvait être gros et lent, mais ses grosses jambes et bonds qu’il pouvait faire, le faisait gagner du terrain. Et s’il était aussi vivant que les autres créatures, alors l’endurance ne devait être un problème pour lui, contrairement aux deux pauvres petits humains.
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Ven 25 Fév - 19:05
Let's meet, finally
feat. David
Alexander affiche un léger sourire en entendant la plaisanterie de son interlocuteur. D’accord, il ne devrait peut-être pas se vanter pour si peu, il avait sans doute plus de gloire à retirer des batailles de Yorktown ou de son affrontement contre les armées anglaises, quand il combattait sous la houlette de Washington, de cet épisode où il avait volé des canons ennemis – Alexander se dit que s’il savait tout cela, David arrêterait de l’estimer incapable de se battre… Ceci dit, cela n’ôterait rien à son expérience en matière de zombies, et de ce point de vue-là, il ne cessera sans doute jamais d’être un novice parmi les novices… En tout cas il l’espère, parce que s’ils sortent d’ici indemnes, Alexander n’a aucune intention d’aller courir d’autres morts-vivants dans l’espoir de rajouter d’autres confrontations du même titre à des palmarès. Il est de ces palmarès, en effet, que l’on autorise à être tout à fait moyens au nom de notre propre équilibre mental.
Trêve de plaisanterie quoi qu’il en soit, voilà que le sol vibre sous leur pied, qu’un grognement comme surgi des enfers se répète en écho jusqu’à eux et qu’une ombre aussi imposante que terrifiante vient grandir dans leur direction… Inutile de réfléchir à ce que peut bien être ce monstre, il faut surtout lui échapper. L’instinct de survie d’Alexander, pas toujours si développé, l’exhorte à prendre la fuite – il est convaincu qu’ils ne parviendront pas à pourfendre cet ogre ignoble même en conjuguant leurs talents et expériences respectifs, et il ne veut pas gâcher le peu de balles dont il dispose encore afin de tenter l’essai. David semble manifestement du même avis, le mot d’ordre est bel et bien : Courage, fuyons…
Les deux se mettent donc à courir à toutes jambes sans demander leur reste à travers le couloir… Alexander manque trébucher plus d’une fois : le fait que le sol continue de trembler sous leurs pieds n’aide absolument en rien, il faut dire. La menace ne vient pas seulement de la créature qui se précipite vers eux, les meubles contre les murs se font doucement la mal sous l’effet de chacun de ces microséismes, et il s’en faudrait sans doute de peu pour que l’un d’eux ne s’écrase sur nos deux fuyards.
David est plus alerte et plus rapide qu’Alexander, mais ce dernier tient la route (la peur de mourir fait des miracles sur votre cardio, sachez-le, enjambant ou sautant par-dessus les obstacles, se précipitant aussi vite que ses jambes peuvent le porter et que son souffle, de plus en plus saccadé, ne sait le tolérer). Alexander en oublierait presque la menace représentée par les autres zombies qu’ils croisent sur leur route, et qui lui apparaissent, d’un coup d’un seul, bien inoffensifs, tout compte fait.
« Le semer ou l’enfermer », suggère Alexander, peu convaincu de sa propre proposition… « Même si je ne suis pas certaine qu’aucune porte soit susceptible de ne pas lui céder. » Il réfléchit en même temps qu’il court, songeant aux caméras de surveillance, à la disposition des pièces, aux portes présentes et à leur nature. « Il faudrait qu’on arrive à l’entraîner au sous-sol. »
On pourrait croire que tout l’hôpital allait s’effondrer sur eux. Déjà, tout le bâtiment tremblait sous les lourds pas du monstre alors qu’il marchait à peine. C’était à se demander, comment cela se faisait-il qu’ils n’ont pas remarquer sa présence avant, du moins sentit l’infrastructure vibrer sous les pas au loin du colosse mutant. C’était comme si cette chose était apparue là sans prévenir par magie. Quelle se serait matérialiser directement et de suite envoyer à leur poursuite. David aurait bien une théorie. Celle que cette chose était depuis un moment en hibernation dans le coin. Et que le vacarmes des deux survivants, aurait extirper de son sommeil.
Mais au diable les théories ! Ce n’était pas le plus important pour l’heure et ce n’était pas ca non plus, qui les aidera à sortir d’ici le plus vite possible. Les deux hommes étaient plus concentrer à s’enfuir que proposer des explications à ceci ou cela. Et leur course était des plus folles. On aurait dit que tout l’hôpital s’était retourner contre eux. Les meubles menaçaient de leur tomber dessus ou les entraver. Et parlant de ça, pas mal d’obstacles se trouvaient sur leur route. David restait agile, arrivant à les esquiver, mais il apercevait souvent Alexander menaçait de chuter. Et donc, quand c’était possible, le british le rattrapait pour l’aider à ne pas choir au sol.
Son compagnon proposa de l’enfermer. Mais il doutait qu’il existe de pièce assez renforcer pour contenir un tel monstre. Il proposa alors le sous-sol. Pourquoi pas ? Quoi que King redoutait qu’ils finissent piéger comme des rats sous terre. En principe, les couloirs du sous-sol sont tortueux, et surtout plus étroit. Du moins l’imaginait-il. Et puis, tout plan était bon à prendre. Pour cela, il fallait trouver un escalier, quelque chose conduisant aux niveaux inférieurs.
"Ok alors suis moi !"
David avait attraper Alexander par la chemise afin de le tirer dans sa direction afin d’emprunter un couloir au prochain carrefour. Ceci leur fit un virage de quatre-vingt-dix degré limite en glissade qui surprit leur poursuivant, cependant ce dernier ne fut qu’à peine ralentit dans sa course.
King surveillait chaque porte qui se dévoilait à eux. Il regardait vite fait les cigles ou alertes affichés dessus. De ce qu’il pouvait en déduire, ils étaient dans le bloc chirurgical, ou d’intervention d’urgence. L’hôpital était immense, pouvait accueillir de nombreux grands blesser. Il le fallait surement pour une île qui accueillait tous les gens du monde et des différentes époques. Ca, il n’en avait cure. De toute façon, le voyou trouva ce dont il cherchait.
"Par ici !" Cria t’il à l’intention d’Alexander, alors qu’il le trainait toujours avec lui. C’est qu’il y tenait à son nouveau compagnon et voulait lui éviter toujours le moindre pépin.
David poussa la porte donc pour arriver dans une cage d’escalier. Ici on pouvait aussi bien rejoindre le toit, que le rez-de-chaussée et pourquoi pas le sous-sol. C’était la première issue qu’avait repérer le King. Les escaliers se découpaient par niveau, rejoignant chaque étage. On pourrait croire que ce serait trop étroit pour l’espèce de troll zombifié, néanmoins David ne voulait pas trop parier sur le fait que le monstre rebrousserait chemin. Ce serait trop facile. Voila pourquoi, il se contenterait de claquer la porte derrière eux et dévaler cette spirale de marches à toutes jambes. Il ne comptait pas vérifier si son idée serait bonne ou non.
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Sam 5 Mar - 19:07
Let's meet, finally
feat. David
Est-ce que s’engager dans les sous-sols était une bonne idée ? Pas forcément… Si à force d’observer les caméras de surveillance, Alexander s’était fait une assez bonne idée du plan du bâtiment, il n’a pas examiné de très près les sous-sols desquels aucune issue, quoi qu’il en soit, n’était possible, mais face à l’urgence de la situation, et pour échapper à ce colosse qu’ils ne pourraient pas espérer vaincre par la seule force de leurs armes de fortune ou par leur seule force tout court… Oui, il n’a pas mieux à l’esprit, et à l’évidence, David ne voit pas de plan de secours non plus, donc autant suivre leur intuition première : c’est ça ou finir écrasé dans tous les cas, on ne peut pas dire que les perspectives soient nombreuses ou reluisantes.
Alexander hoche la tête quand David lui demande de le suivre et ne se fait pas prier tandis que, de toute façon, son nouvel ami le tire par la chemise (il n’aurait clairement pas eu la force de partir en sens inverse même s’il l’avait voulu). Ils empruntent donc un premier couloir à toute vitesse, et ils parviennent à ralentir la chose, qui peine à les poursuivre. Alexander cherche à retenir mentalement chacune de leurs manœuvres, mais il doit reconnaître que dans l’urgence des circonstances et sous l’effet de la panique, il aurait quelque peu tendance à s’y perdre malgré tout… Malgré tout, ils parviennent à leurs fins.
Ils poussent une porte qui les mènent à des escaliers… Alexander ne risque aucun regard derrière lui et se contente de dévaler les escaliers en trombe, si rapidement qu’il manque plusieurs fois de se casser la figure, il manque la dégringolade mais tient bon, le cœur battant à tout rompre. Quand il n’y a plus de marche à gravir, Alexander peut reprendre son souffle et il se demande s’il n’a pas oublié de respirer tout ce temps. Sa respiration est saccadé et se répercute en écho contre les murs étroits, mais sont bien vite étouffés par des cris enragés, la créature semble se débattre pour aller à leur poursuite, mais paraît bien incapable de les rejoindre… Alexander ne criera pas victoire trop vite, il sait qu’il serait dangereux de croire vraiment que la chose puisse être si simple, néanmoins, il reste sur ses gardes… Ils ont bien compris qu’ils n’étaient jamais au bout de leurs peines dans ce satané hôpital.
« Je pense qu’on l’a semé », constate Alexander en continuant d’entendre la chose hurler. Il sait que sa précision n’est pas vraiment utile, il parle plus pour lui-même que pour son interlocuteur. « Temporairement en tout cas. »
Il marque une pause, se laisse le temps de réfléchir à la suite.
« Bon, maintenant… Soit on essaie de trouver une issue à partir d’ici. Soit il faut qu’on trouve une manière définitive de se débarrasser de cette chose. »
La première option le satisfait davantage que la seconde, mais il a peu d’espoir en celle-ci malgré tout. Trop peu pour s’y reposer complètement en tout cas.
Finalement, il fallait croire que ces escaliers représentaient bien leur salut. Quand Alexander indiquait qu’ils l’avaient probablement semer, David arrêta de dévaler les marches pour regarder en arrière, plutôt au-dessus. On entendait toujours l’infame monstre hurler se déception, mais on apercevait aucun signe de lui. Pas de porte volant en éclats, ni de gros bras se balançant au-dessus de la réembarde, la chose semblait les avoir lâcher ou bien… Cherchait-elle un chemin plus aisée pour elle afin de les rattraper.
Quoi qu’il en soit, David fut bien heureux de gagner un instant de répit. Arrêtant sa course, il en profitait pour reprendre son souffle, mains posés sur ses genoux. Il n’avait pas couru ainsi depuis… Depuis l’entité au fait. Quand l’espoir, l’adrénaline, le poussait à sprinter alors que sa vie dépendait de cette course avec la mort aux trousses. En gros, l’histoire se répétait encore et encore. Sauf que là, le monstre ne se contenterait pas de juste accrocher ses victimes pour les sacrifiés, c’était autre chose. King en avait un peu marre de ce genre d’histoire, mais il continuerait toujours de courir, de se battre même si c’était pour l’éternité.
"Et comment tu comptes faire pour buter ce mastodonte ? Faire péter l'hosto ?" Il ne disait pas cela par méchanceté. Juste qu’il ne voyait pas par quel miracle ils viendraient à détruire cette chose.
Pour ca, il faudrait certainement une arme surpuissante, qui enverrait un rayon d’énergie ou quelque chose du genre. Ou alors provoquer une immense explosion mais là… Cette perspective l’enchantait moins, surtout qu’il redoutait d’y passer dans le souffle de la déflagration. King pouvait prendre des risques dans sa vie, mais là, il se sentait moins motiver à sacrifier sa vie dans une explosion pour anéantir ce titan zombifié. Il se remémora l’enregistrement de cette chercheuse, ou médecin, bref il ne savait plus ce qu’elle était, mais des indications qu’elle avait laissée avant d’être courser.
"Elle disait quoi déjà l’autre ? Se rendre au bureau du patron non ? Quoi que maintenant, rejoindre sera plus difficile je suppose."
David s’approcha de la rambarde et jeta un regard à la fois vers le bas et le haut pour inspecter, vérifier à la fois la distance qui pouvait les séparer du dernier niveau inférieur et supérieur. Et aussi, si un zombis se baladait dans les escaliers. Mais ils semblaient tranquille pour le moment, laisser seul ici, ignorer de toutes ces choses.
"On a le choix. Soit on tente de remonter pour trouver le bureau du directeur en ignorant où il est. Ou on tente encore le coup du sous-sol là où on sait où ca se trouve. Quel choix difficile !" Conclua David sur un ton quelque peu ironique.
Si on lui demandait son avis, King ignorerait quoi choisir. Quoi que l’idée de trouver une sortie sous terre le tenterait bien. Mais il existait encore cette solution de code. Apparemment, si on le trouvait dans le bureau du patron, on pourrait ouvrir une issue et retrouver sa liberté. En tout cas, si David devait se prononcer, il voterait pour la solution la plus rapide, celle qui les ferait sortir de là le plus tôt possible.