▿ Métier : Aujourd'hui il gère sa propre boite "E.P. Studio" comme un vieil ami lui avait conseillé. On le connaît comme étant ce chanteur et cet acteur célèbre. Elvis veut se lancer dans de l'auto-management et aider les nouvelles étoiles montantes en les accompagnant.
▿ Quartier : Baker Street avenue
▿ Côté cœur :
My beautiful daughter Lisa Marie.
I can believe in a new future with you by my side, Dolores Madrigal.
I love you, you're my new dream.
Family is everything what I have.
I'm living for the love of music and your support, whatever it takes.
Son coeur était empli d'un nouvel espoir. Il avait appris que sa petite fille était ici. Sa petite Lisa Mary. Il l'avait retrouvé à l'orphelinat et le temps de faire les papiers et de la sortir de là. (Elvis a clairement gueulé pour la récupérer immédiatement.) Il était en route pour rentrer. Mais c'est là que les questions affluent. Il avait besoin de savoir ce que Dolores pensera de tout celà.
Déjà qu'il lui avait menti sur un paquet de choses. Elle était au courant pour son ex femme et sa fille. Mais Elvis n'aurait jamais pensé qu'elle serait là. Sa petite fille. Il était incroyablement heureux mais il avait besoin de conseil. Et il décide de se tourner vers une personne qui la connait assez bien et qui est de sa famille: Bruno.
Il aurait pu tenter de voir une autre personne de sa famille. Mais il avait confiance en Bruno. C'était bête mais il était le premier de la famille de Dolores à l'avoir rencontré et malgré le fait qu'il soit étrange. Elvis était fasciné par lui. Un instinct ? En tout cas, le courant passait bien.
Lisa dans ses bras, il arrive près de chez lui. Il demande à la petite d'être sage avant de sonner à la porte. Il attend son ami. (on peut l'appeler comme celà) Jusqu'à ce qu'il ouvre la porte. Elvis lui fait un grand sourire.
" Salut ! Heum... " Il grimace. " Tu vas me dire que j'abuse de la situation à chaque fois mais... j'ai besoin de parler. " Il prend la main de sa petite fille pour qu'elle fasse un coucou. La petite Lisa se niche dans les bras de son père. Faussement timide mais surtout fatiguée de la longue journée qu'elle a eu. " Lisa tu dis bonjour à Bruno ? " Elle se cache le visage. " Elle est très fatiguée. On a eu une dure journée. " Il marque une pause. " C'est ma... fille. " Il se pince les lèvres. " Je sais pas comment Dolores va le prendre... C'est pour ça que... Voilà... "
Bruno n’est pas encore habitué à sa nouvelle maison. Elle n’est en soi pas si grande et certainement moins grande que ne l’était Casita, mais en comparaison des murs à l’intérieur desquels il avait croupi pendant dix longues années ou encore du petit appartement vétuste et sous les toits qu’il avait occupé jusqu’alors, cette maison qu’il partageait avec Wall-E, son colocataire, lui paraissait ni plus ni moins que gigantesque…
Et pourtant, il avait tendance à n’en investir qu’un espace minime, comme s’il redoutait de prendre trop de place. C’est le cas encore à l’heure actuelle, alors qu’il reste enfermé entre les quatre murs de sa chambre… si bien qu’il met un certain temps à entendre sonner à la porte d’entrée. Son coloc étant sorti, il faut attendre que Bruno sorte de sa torpeur et affronte la crainte de se retrouver face à face avec un ou une inconnu-e (à moins qu’il n’ait oublié… il lui semble n’attendre personne).
Alors il ouvre finalement, et la surprise de Bruno est immense au moment de découvrir, sur son palier, le visage familier d’Elvis (bon, ça, en soi, même si leurs rencontres n’ont jamais été totalement sereines, il pourrait juste être heureux de retrouver le petit ami de sa nièce), mais surtout une petite fille, dans ses bras. Bruno fronce les sourcils… il a l’impression d’avoir manqué un chapitre. Ou deux. Ou trois. Ou peut-être dix, carrément.
« Euuuh… bonjour… ? » demande Bruno d’un ton complètement largué. Affirmer qu’il n’y comprend rien serait encore en-deçà de la réalité… Non, c’est pire que tout, et il n’y comprend définitivement rien de le dire, c’est rien de l’affirmer. « Lisa… ta fille… » Il répète ces informations comme si les dire à voix haute leur donnerait un peu plus de sens… pour le moment, ce n’est pas exactement ce que l’on pourrait qualifier de probant… bien au contraire, même. « Euh… entrez, entrez… » Il lui propose avant de leur permettre de faire un pas à l’intérieur. « J’ai du café, du thé… on a peut-être du jus de fruit ? » Il cherche à s’occuper les mains histoire de se donner une contenance, mais à nouveau, c’est compliqué tant tout ceci ne revêt aucune sorte de sens à ses yeux. « Qu’est-ce qui s’est passé, raconte-moi tout ? »
Parce que pour le moment, l se sent franchement à côté de la plaque… il a vraiment le plus grand besoin qu’on l’éclaire concernant toute cette situation.
Moses.
Elvis Presley
▿ Ton univers : Elvis (Baz Luhrmann movie)
▿ Date de naissance : 08/01/1993
▿ Age : 31
▿ Métier : Aujourd'hui il gère sa propre boite "E.P. Studio" comme un vieil ami lui avait conseillé. On le connaît comme étant ce chanteur et cet acteur célèbre. Elvis veut se lancer dans de l'auto-management et aider les nouvelles étoiles montantes en les accompagnant.
▿ Quartier : Baker Street avenue
▿ Côté cœur :
My beautiful daughter Lisa Marie.
I can believe in a new future with you by my side, Dolores Madrigal.
I love you, you're my new dream.
Family is everything what I have.
I'm living for the love of music and your support, whatever it takes.
Il avait peut être pris un peu trop l'habitude d'aller courir chez Bruno quand il sentait qu'il ne maitrisait plus quelque chose et surtout... quand ca concernait Dolores. Elvis qui était sans famille ici, d'instinct, se tournait vers l'homme. Peut être avait-il quand même besoin d'une sorte de figure paternelle ? Mine de rien, il s'était toujours reposé sur ses ainés. Que celà soit sa mère ou le Colonel. C'était surement quelque chose de naturel au fond.
Il adresse un fin sourire à Bruno en entrant dans sa nouvelle demeure. Elle change bien de ce qu'il avait avant. Il garde la petite Lisa dans ses bras qui ne le décolle pas de toute manière. Elle aussi devait s'être sentie abandonné. Et ca n'était qu'une enfant.
" Je veux bien un café. " Lui répond-t-il. " Et un jus de fruit pour la petite. Merci... " Son regard se porte sur l'endroit. " C'est la première fois que je viens dans ta nouvelle maison. " Commente-t-il dans un sourire.
Il va s'asseoir sur une des chaises qui se trouvent devant une table en installant la petite sur ses genoux. Bruno lui demande ce qui l'amène ici. Il reste une longue seconde silencieux avant d'expliquer.
" Heu... Dolores ne sait pas que... " Il se passe une main sur le visage d'un air dépité. " Enfin... J'ai pas eu le temps de le lui dire ! " Elle savait pour son ex-femme mais pas pour sa fille. Pas encore. " Elle va m'en vouloir encore... Mais, je n'avais pas l'intention de lui cacher, c'est juste que... ca a été si vite. Alors je sais pas comment faire pour lui expliquer... prudemment. "
Et si ca se trouve, elle entendait déjà leur conversation à l'autre bout de la ville. Il ne sait pas trop comment le pouvoir de Dolores fonctionne. Il espérait que le brouhaha ambiant aura permis qu'elle ne sache pas tout.
" Bon, peut être qu'elle est déjà au courant aussi. " Il marque une pause et réfléchit. Peut être que Bruno ne savait pas tout non plus sur son histoire. " Ha oui, peut être que tu sais pas encore... Je me suis disputé avec Dolores l'autre jour car j'ai oublié de lui dire que j'étais marié... Enfin c'est mon ex-femme maintenant. Donc je ne voyais pas vraiment le soucis en soit. " Peut être que c'était quand même important à dire, et qu'en plus c'était le Colonel qui avait foutu sa merde. " Et c'est le Colonel qui lui avait tout raconté... " Il fait un léger sourire ironique à Bruno. " Quant au spectacle, il va aussi falloir que j'arrête de le reporter constamment. " Il soupire. Oui, il avait peur mais c'était légitime. Bruno avait quand même prédit sa mort lors de ce spectacle.
Bruno hoche la tête alors qu’Elvis demande un café, et un jus de fruit pour sa fille. Il s’affaire à lui préparer le meilleur café possible (de l’avantage d’être Colombien, le café, c’est une institution, et ça même quand on a vécu une grande partie de sa vie dans des murs vétustes… hors de question d’offrir un café bas de gamme à ses invités), quant au jus de fruit… il n’en boit jamais lui-même, mais par chance, il sait que Wall-E en a acheté récemment… il ne lui en voudra probablement pas de piocher dans ses réserves en comprenant quelles circonstances exceptionnelles les mènent à cette situation.
Une fois servis, et tous installés autour de la table de la salle à manger, Elvis reprend la parole et apprend à Bruno les raisons de sa présence… Il commence en lui apprenant que Dolores n’est pas au courant… qu’il est venu le voir ou que sa fille est ici… dans le doute, Bruno se fend d’une phrase passe-partout : il n’a pas l’intention de créer la moindre discorde entre sa nièce et l’homme qu’elle aime dans tous les cas – les deux ont bien assez d’intempéries à affronter sans avoir besoin d’en passer par là.
« Je lui dirai rien », il promet sincèrement et sans souci, car à la vérité, il n’a de toute façon pas envie de s’en mêler. Il n’a pas envie de s’en mêler, mais il ne va pas avoir le choix. Parce que peu importe qu’il ne l’ait pas tout à fait décidé, il s’est retrouvé à jouer plus ou moins les intermédiaires, le lien commun entre Elvis et Dolores. Ce n’est pas franchement quelque chose qu’il a cherché, ce n’est pas spécialement quelque chose qu’il a voulu… mais c’est ce qui s’est passé malgré tout…
Elvis se justifie déjà quant à ses silences… Ce n’est pas lui qu’il doit convaincre, malgré tout… S’il a des scrupules, c’est peut-être pour une raison, et ce n’est pas auprès de lui qu’il doit en répondre, mais bien auprès de Dolores.
« Je pense que plus t’attends, pire ce sera, donc… »
Y a pas de manière prudente d’évoquer le passé qui vous rattrape. Il grimace quand il ajoute que Dolores lui en voulait de ne pas lui avoir dit qu’il était marié… Bruno aurait tendance à dire que c’est une information importante, tout de même, mais il se voit mal jugé.
« Enfin… C’est Dolores, elle entend tout, tu sais, donc si ça se trouve… »
Si ça se trouve, elle les écoute, là, tout de suite.
« Et pour le spectacle… tu devrais encore attendre un peu. Tant que le Colonel est dans les environs et libre de ses actions.. ce n’est pas sûr… »
Moses.
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De bons conseils (Bruno&Elvis)
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