Sculpture terriblement kawaii | Sculpture de citrouilles | WallE&Bruno

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

C’est encore improbable dans l’esprit de Bruno que de penser que Wall-E et lui sont bel et bien parvenus à obtenir une maison rien qu’à eux, il n’empêche, il y a rapidement pris ses aises, et a mis moins longtemps encore pour s’y sentir chez lui… Certes, la maison est moins grande que Casita (d’un autre côté, c’est clairement plus grand que l’espace confiné de ses murs, qu’il partageait avec les rats), mais ils n’ont pas besoin d’un grand espace, juste ce qu’il faut pour que rats et cafards puissent vivre harmonieusement.

Le jardin est ce qui fait toute la différence, et par beau temps, Bruno, qui a pourtant eu pour habitude de vivre terré chez lui, a appris à apprécier de s’installer directement dans l’herbe et de seulement apprécier la caresse du soleil sur sa peau. Leur maison ne ressemble à aucune autre, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au moment de se lancer dans une décoration digne de ce nom à l’occasion d’Halloween, ni l’un, ni l’autre n’ont fait les choses à moitié. On peut le dire, même, ils en ont fait beaucoup, beaucoup trop, mais c’est agréable. Il y a un sentiment de chez-soi et de liberté qui émane de cette maison, et que Bruno n’avait pas ressenti depuis longtemps.

Bon, se sentir aussi bien chez lui n’aide certainement pas le casanier Bruno à faire l’effort de se rendre à l’extérieur, mais pour Wall-E, il accepte de faire un semblant d’efforts… Il semblait s enthousiaste au moment de lui montrer le programme organisé par la ville, Bruno ne se voyait certainement pas le couper dans son élan… Et qui sait… ça pourra peut-être même être amusant – sur un malentendu. Ils se rendent donc tous les deux sur place, et repèrent l’animation à laquelle ils ont décidé de participer, à savoir la sculpture sur citrouilles.

« Je crois qu’ils vendent des costumes à côté, on pourra toujours t’en trouver un tout à l’heure, si tu veux », dit Bruno quand Wall-E déplore leur absence de déguisement. Il est vrai que Bruno n’y avait même pas pensé pour sa part. « Et on se rattrapera l’an prochain, pas vrai ? » dit-il avec un fin sourire, promesse tacite de sa part d’entamer ici une nouvelle tradition, même si elle met à contribution tout ce qui est le plus complexe à gérer pour lui : à savoir une interaction un peu trop prolongée avec d’autres individus et la nécessité de communiquer avec la foule.

Le duo s’installe dans un coin, armé de tout le matériel nécessaire. Bruno contemple longuement sa citrouille alors que Wall-En l’interroge sur ce qu’ils pourraient bien faire. C’est vrai qu’ils ont eu de quoi s’entraîner avec les citrouilles disposées devant chez eux, mais en tout objectivité… aucune d’elles n’est franchement impressionnante. Ils ne sont pas de nature à savoir se faire réellement peur, c’est ça la vérité.

« Hmm… On peut tenter ces espèces de tête de mort, comme la citrouille, là-bas, ou bien l’araignée, mais ça a l’air très compliqué… » Il examine sa citrouille sous toutes les coutures. « Qu’est-ce qui te fait le plus peur, à toi ? »

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

Ils ont l’air fins, tous les deux, à chercher leur place, au sens propre comme au figuré. Il n’y a pas besoin d’y regarder de très près pour constater que tous les deux peinent à faire face à leurs émotions et plus encore à appréhender une activité qui ne leur est pas totalement intuitive. Toujours est-il que, même s’ils ont l’air un peu à côté de la plaque, il y a quelque chose de tout à fait charmant dans l’errance ébahie qu’est la leur, tandis qu’ils découvrent les différents stands dressés là dans le but de fêter Halloween.

« Oh, c’est vrai que c’est joli, ça t’irait bien », remarque Bruno quand Wall-E jette son dévolu sur un kugurumi. « Les licornes, ce n’est pas très effrayant », constate-t-il en se grattant l’arrière de la tête. « Enfin, ce n’est pas vraiment important. Tu voudrais en acheter un ? » demande-t-il,  déjà prêt à vider son portefeuille pour le lui offrir.

Plus ils progressent à travers les stands, plus Wall-E semble à son aise. Son enthousiasme est définitivement communicatif, même si Bruno a malgré tout du mal à totalement se laisser happer par l’ambiance, naturellement angoissé et stimulé par tout ce qu’il trouve autour de lui.  En attendant, leur objectif est clair, et c’est de tenter de creuser la citrouille la plus terrifiante possible. Autant l’un que l’autre, ils ne sont pas sortis de l’auberge, c’est certain, mais ils peuvent bien arriver à quelque chose, n’est-ce pas ? Wall-E semble réfléchir. Bruno est du même avis que lui, les araignées sont beaucoup trop mignonnes, et les monstres… c’est une question de perspective ? C’est ce qu’on peut se dire quand on a soi-même fait peur toute sa vie alors qu’on ne serait pas capable de faire à une mouche – ou à un rat.

Enfin… les monstres dont il est question ici sont cela dit de nature bien différente… quant à ce qui est susceptible de faire peur à Bruno… ce sont des notions abstraites, si bien qu’il a du mal à se faire une idée de ce qui serait réellement susceptible de le terrifier… un comble pour quelqu’un qui paraît avoir peur de sa propre ombre.

« C’est vrai qu’il est horrible ce chat… », il reconnaît en découvrant la citrouille qui semble à l’effigie du chat de Cheshire. Effectivement, il est proprement terrifiant. Bruno se saisit de son marqueur, l’air volontaire. « Voilà ce qu’on va faire », il décide à la manière d’un général qui s’apprêterait à lever une armée (rappelons qu’il n’est toujours question que de citrouilles, c’est absolument tout). « Tu fais le sourire du chat, et moi j’essaie de reproduire le squelette, là-bas, d’accord ? »

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

Bruno n’est pas forcément un expert dans ce qui est supposé effrayer ou pas. Il avait vu des expressions d’horreur sur des visages au moment d’annoncer des prédictions qui lui semblaient parfaitement anodines, et l’image qui lui avait été associée avait longtemps été catastrophique quand bien même il est on ne peut plus évident que Bruno Madrigal ne ferait jamais de mal à une mouche, alors… il ne peut vraiment pas prétendre à la moindre expertise dans ce domaine. Les rats font peur à beaucoup, par exemple… pourtant ces créatures sont parmi les plus douces, les plus fidèles et les plus amicales que l’on puisse imaginer.

« Moi ça me va », remarque Bruno avec une esquisse de sourire quand Wall-E suggère, en repérant des passants dans des costumes qui n’étaient effectivement pas si effrayants que le but de la manœuvre serait de se déguiser, c’est tout, sans forcément chercher à se ficher une trouille bleue. Cette pensée lui plaît assez, parce qu’il ne se verrait pas porter un costume qui serait un peu trop susceptible d’inquiéter les personnes autour de lui. « Je te l’offrirai », il lui propose au sujet de ce kigurumi qui paraît faire tant de plaisir à Wall-E… mais c’est vrai que ça a l’air plutôt confortable et doux en plus du reste.

Bref, retournons à nos cucurbitacées. Avec un air particulièrement appliqué, Bruno se concentre sur sa citrouille, en essayant d’aboutir à un résultat un tant soit peu correct… Mais Bruno n’a jamais vraiment été doué pour ce genre de choses, à vrai dire… Tout ce qui est minutieux… encore que non, ça dépend vraiment, mais quand on voit le résultat de son dessin, on ne peut pas dire que c’est super concluant.

« C’est parfait », il dit à l’adresse de Wall-E quand il lui montre, très fier, le résultat. « Tu es super doué. » Avant de remarquer quelque chose sur son visage. « Tu as un peu de noir, là… » il fait en frottant son propre front pour désigner l’endroit… ce qui, ironiquement, lui laisse en retour une trace noire sur le front. « Tu trouves ? » il ajoute en reportant son attention, embarrassé, sur sa propre citrouille… il ne trouve absolument pas qu’il a bien réussi, mais il accepte le compliment malgré tout, et l’accueille avec un sourire ravi avant de passer à l’étape suivante. « Si tu veux que je m’occupe de la découpe… pour éviter de te faire mal… », suggère-t-il, pas pour brider Wall-E, mais pas pure inquiétude, alors que lui-même n’est pas forcément mieux.

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

« Oh non, ce n’est pas la peine… je ne saurais pas quoi en faire… », il répond avec un fin sourire embarrassé quand Wall-E suggère de lui faire le même cadeau en retour.

Bien sûr, c’est adorable, et Bruno apprécie l’attention, mais il a toujours été plus doué pour faire des cadeaux que pour en recevoir… Et par ailleurs, il est vrai qu’il n’assumerait probablement pas ce genre d’accoutrement. Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, l’on doit s’attendre à toujours découvrir Bruno noyé dans son proverbial poncho vert et rapiécé, qu’il ne quitte pratiquement jamais. Pas le grand luxe, c’est vrai, mais ça c’est autre chose.

Bref, concentrons-nous sur nos cucurbitacées. Et sur leurs têtes respectives parce que ces derniers ne tardent pas à avoir des traces de feutre partout sur les doigts et sur le visage. Bruno sourit et décide de s’en amuser bel et bien. Et quand Wall-E suggère qu’ils pourront faire ça chez eux, il approuve d’un hochement de tête… C’est un maquillage comme un autre. Pas le plus efficace mais… vaguement original, on va dire. Bruno choisit de s’en amuser plutôt que de s’en offusquer… Il privilégie la détente et la bonne humeur à l’angoisse réelle. Se faire peur pour vraiment se faire peur, c’est une occupation qui le dépasse franchement. Il préfère largement s’amuser en faisant juste semblant, et tant pis si leurs citrouilles ne doivent pas remporter le prix des citrouilles les plus terrifiantes.

« Moi je nous trouve super effrayants », affirme Bruno en riant avant de parachever son œuvre, ou de s’y atteler, du moins, mais plus il y met de soin présumé, pire le résultat est… au final, il est difficile de savoir ce qu’il a bien pu vouloir représenter.

Wall-E, avec bravoure et à l’aide de gants, creuse sa citrouille sans aide, et Bruno lui adresse un sourire fier. A tous les coups, c’est lui qui va se blesser dans cette situation… Mais l’un et l’auture s’appliquent avec plus d’attention… Ils sont vraiment soucieux de faire les choses le mieux possible, mais ce n’est vraiment pas gagné. Parce que la bonne volonté, quoi qu’on en dise, le suffit pas toujours… mais ça aide au moins à passer le meilleur moment possible.

« Je crois que j’ai fini. »

Bruno tourne sa sculpture en direction de Wall-E afin de lui offrir de l’observer de manière plus attentive. Le résultat n’est pas franchement probant, impossible de savoir ce que la sculpture représente. Le terme d’« art abstrait » semble avoir été inventé pour cette création.

« Qu’est-ce que tu en penses ? »

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

« C’est une bonne idée », confirme Bruno avec un sourire quand Wall-E lui propose une alternative qu’il ne se voit pas refuser.

C’est beaucoup trop adorable et bien intentionné de sa part. Chaque jour qui passe, Bruno est toujours plus admiratif de la douceur et de la gentillesse de son colocataire. Wall-E n’est rien d’autre qu’admirable à ses yeux. Il a soufflé sur sa vie un vent de légèreté, de douceur et de fraîcheur dont il avait cruellement besoin, alors il ne lui adressera jamais suffisamment de reconnaissance pour cela. Le remercier, c’est aussi une façon de le réconforter. De manière générale, Bruno ne demande qu’à voir Wall-E sourire, et procédera de toutes les manières possibles pour y parvenir.

Pour cette raison, il est ravi qu’ils se soient adonné à cette petite activité. Ils ne seront définitivement jamais les rois du déguisement ou de la sculpture de citrouilles, ça c’est une certitude, mais en attendant, ils passent un excellent moment d’échange et de complicité tous les deux, et ça, il ne fait aucun doute que ça vaut absolument tout l’or du monde.

La citrouille sculptée par Bruno n’a rien d’exceptionnelle. Elle n’est en aucun cas magnifique ou terrifiante, mais Wall-E la contemple malgré tout avec enthousiasme, et Bruno ne peut s’empêcher d’afficher un sourire flatté et ravi face à l’enthousiasme de son ami. Parce qu’il sait qu’il est sincère, tout comme Wall-E est toujours honnête et juste dans tout ce qu’il fait. C’est une qualité que Bruno admire beaucoup le concernant, car lui-même, s’il est d’une nature très franche, ne peut pas prétendre à autant de transparence que celui dont il a le sentiment qu’il ne cessera jamais de le hisser vers le haut.

« C’est magnifique, Wall-E… Tu peux vraiment être fier de toi. »

En retour, le compliment qu’il lui offre n’est pas factice. Bruno trouve aussi que son ami s’est particulièrement bien débrouillé avec sa propre citrouille. Ils ont fait des merveilles, tous les deux, c’est absolument évident.

« Je me fiche de ce que les jurys diront, pour moi tu as gagné haut la main. »

Mais pour lui seul car il y a de vrais artistes parmi les concurrents, et ni l’un ni l’autre n’ont de véritables chances de l’emporter en réalité. Bruno retire ses gants, et ils ne tardent pas à rejoindre le premier stand où ils font tous leurs achats prévus avant de passer au suivant.

« Une fois qu’on aura bu notre chocolat, ça ne te dérange pas si on rentre. Enfin, tu peux rester, bien sûr, mais… »

Bruno est capable de tolérer un seuil de sociabilisation relativement limité, et que toute cette effusion est en train de dépasser.

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

Bien sûr que leurs sculptures sont loin d’être au niveau de celles exposées ou même de celles créées par les autres compétiteurs, mais c’est sans importance. Pour leur part, ils sont tous les deux très fiers de ce qu’ils ont accompli, et c’est finalement ce qui importe le plus… c’est du moins ainsi que Bruno le perçoit. Il sera ravi d’exposer leurs citrouilles à l’entrée de leur maison, et même si elles doivent ne faire fuir personne, ce sera sans important.

« Tu as toujours les meilleures idées, Wall-E », confirme Bruno avec enthousiasme quand il affirme qu’il comptait prendre le chocolat et le boire en rentrant, avant de se balader tranquillement tous les deux.

Oui, ça lui va parfaitement bien, ça lui va d’autant mieux qu’il sait que Wall-E lui fait cette suggestion en pensant principalement à lui, parce qu’il sait combien il est solitaire et à quel point il est difficile pour lui de supporter une présence constante et bruyante autour de lui de façon trop prononcé. Il est important pour lui de pouvoir prendre du recul et de pouvoir s’isoler. Ou presque… il ne ressent pas particulièrement le besoin de s’isoler de Wall-E… mais avec lui, ce n’est pas pareil, son meilleur ami est parvenu à l’apprivoiser de telle sorte que sa présence n’a plus rien d’une contrainte depuis très longtemps. Elle est, en revanche, une source évidente de pur bonheur. Bruno laisse son ami à ses dépenses, et sourit quand il lui revient avec un sac chargé, de quoi, en effet, promettre des soirées confortables, avec tout ce qu’il faut pour affronter la froideur et la grisaille de l’automne.

« Tu sais quoi ? Je crois que j’aime bien ça, moi aussi. »

Il n’avait jamais célébré Halloween, jusqu’alors, mais il découvre que cette fête lui plaît. Il ne s’agit pas vraiment, de ce qu’il peut voir autour de lui, de vraiment faire peur. C’est davantage une manière de se réunir, de s’amuser, de partager de bonnes et belles choses que l’on partage en temps normal… la liesse environnante ne peut que le confirmer dans cette vision. Et c’est un problème à ses yeux.

« Bien sûr qu’il faut qu’on ajoute des décorations à notre jardin, et on devrait aussi chercher des décorations permanentes, qu’on pourra garder à toutes les saisons, qu’est-ce que tu en penses ? » suggère-t-il d’un ton enthousiaste et aimable. Pour Noël, pour Halloween, et pour n’importe quand, en réalité, pour peu que cela les aide à se sentir bien chez eux.

« Oh, c’est vrai ? Tu as rencontré Luisa ? Elle est merveilleuse, pas vrai. Toute ma famille est merveilleuse. J’espère que tu les rencontreras tous. » Il marque une pause, comme s’il réfléchissait à ce qu’il venait de dire. « J’espère que je les reverrai tous… »

Il y a de l'orage dans l'air

feat. Wall-E

Ne serait-ce que pour voir un tel enthousiasme briller dans le regard de Wall-E, Bruno ne cessera absolument jamais d’abonder dans son sens. Le bonheur de son colocataire et protégé est de la plusu grande importance à ses yeux, et ça lui fait vraiment du bien de voir tant de bonheur dans son comportement. C’est simple, leur bonheur à tous les deux passent par des situations comme celle-ci, qui leur permettent de se sentir heureux, et d’être tout à fait eux-mêmes. Bruno hoche la tête quand Wall-E, un peu surpris, lui propose de goûter à son chocolat chaud. Bruno, intrigué, accepte. Il y trempe légèrement les lèvres… et constate.

« Ah oui c’est… particulier. Je crois pas que je serai capable d’en boire une tasse entière », remarque-t-il avec un léger sourire.

C’est effectivement le cas, en effet. Il trouve ça bon, et on ne dit jamais non à un bon chocolat chaud, mais le goût de citrouille est un peu trop présent pour lui, et pour la peine, la chose ne le convainc pas tout à fait au bout du compte. Mais peu importe, ils sont déjà passés à un autre sujet, en réfléchissant à la décoration qu’ils pourraient mettre dans leurs jardins.

« J’adore les guirlandes, oui, et les lanternes, et les carillons », dit-il, son imagination s’emballant déjà à la perspective de toutes les manières dont ils pourraient décorer leur jardin. L’image que  Bruno a en tête est particulièrement chargée, c’est rien de le dire, mais rien que d’y penser, il a le sourire aux lèvres. Il est convaincu que ça pourrait être magnifique, et que tous les voisins leur envieront leur superbe jardin. « Et on pourra mettre une table et des chaises, pour pouvoir manger dehors, et peut-être ces petites figurines… Des nains de jardin ou des animaux… »

Oui, tout ça, c’est super kitsch. Mais Bruno est tout à fait confiant dans ses goûts malgré tout.

Quant à Luisa, Bruno n’est pas surpris de découvrir que le courant soit si bien passé entre Wall-E et elle ! Il ne l’envisageait pas autrement.

« Oui, tout le monde a des pouvoirs, enfin… sauf ma mère, ou plutôt, son pouvoir, c’est de veiller sur nous, pareil pour ma nièce Mirabel. Elle aussi, tu l’aimerais beaucoup, je pense. »

Et un jour, qui sait, avec un peu de chance (beaucoup de chance), Wall-E les rencontrera tous.