(terminé) SUJET COMMUN N°1 ▿ intrigue n°3

"Tic... Tac... Tic... Tac... Tic..." Ce son en répétition fit ouvrir les yeux à Chris. Sans comprendre ce qu’il faisait là et encore moins où il se trouvait, le jeune homme se découvrit dans une étrange pièce. Cela ressemblait à un petit salon ancien. Le son l’ayant attiré dans cet univers, était celui d’un échappement d’horloge. La colonne en bois sculpté affichant le temps, se trouvait contre un mur, derrière un vieux divan escorté de deux fauteuils en velours encerclant une table basse. Chris se massa la nuque, n’arrivant pas à deviner où il se trouvait.

"Damned, où je suis moi ?" Se marmonnait-il à lui-même.

Ce petit salon ne comportait aucune fenêtre, et n’était éclairer que par une lambe de bureau disposé sur la table basse. Elle éclairait bien, faisant découvrir un vieux secrétaire dans un coin, une tapisserie assez vieillotte, comme celles que chez nos grands-parents, et une porte. Chris fit le tour de la table pour se diriger vers le secrétaire. Un rien curieux, il espérait trouvait un indice sur là où il se trouvait, mais rien. Le meuble était désespérément vite. C’est alors qu’il remarquait quelque chose à sa ceinture, notre super policier était armé. Mais une rapide inspection le fit moins sourire.

"Vide ? Je ne l’avais pas rechargé à l’instant ? Il me semble…"

Tout était confus dans son esprit. Redfield avait du mal à se remémorer ce qu’il faisait il y a quelques heures seulement, comme si on avait volé une partie de sa journée. Le mieux pensait-il serait d’aller explorer la maison. Mais cette perspective ne l’enchantait guère. Visiter une vielle, cela lui rappelait de bien trop mauvais souvenirs. Il avait le sentiment d’avoir fait un bond en arrière et quand il passa devant la porte, son cœur battait si fort qu’il crut qu’il allait faire une crise cardiaque. Le super policier pensait quelque chose allait bondir sur lui s’il ouvrait. Son arme était vide, mais cela le rassura de l’avoir en main. Pendant qu’il tendait cette dernière vers la poignée, il crut entendre des grognements, des râlements même d’une bête qui attendait son dîner.

Prenant son courage à deux mains, Chris ouvrit donc la porte et braqua devant lui. Il n’y avait rien d’autre qu’un long couloir effroyablement vide. Le gaillard souffle, rassurer. Cette vision de son passé l’avait bien retourné, ayant même eut un doute à un moment. Baissant son arme, il entreprit donc son expédition. Ce passage n’avait aucune fenêtre non plus. Impossible donc de découvrir où il était. Mais peut-être que l’une des pièces se trouvant à côté sera mieux servit. Redfield s’approcha de l’une d’elle et commença à entrer à pas de loup. Avec son expérience et son instinct, il valait mieux rester prudent en toute circonstance non ?

Sophie commençait à s'agiter. Elle avait mal partout, comme si elle avait dormi sur le sol toute la nuit. Elle soupira, en se retournant pour s'allonger sur le dos, les yeux toujours fermés. A cet instant précis, en sentant toute la dureté de ce matelas qui n'en était pas un, elle comprit qu'elle n'était pas dans son lit. Un instant, elle s'imagina être tombée de ce dernier en dormant, mais elle se disait que cette chute l'aurait réveillé. Elle ouvrit alors les yeux, doucement. Elle avait peur de se voir dans un nouveau monde. Encore. Elle observa longuement le plafond au-dessus d'elle, autant qu'elle le pouvait puisque la pièce était assez peu éclairée. Elle ne connaissait pas cet endroit, c'était certain. Elle vint alors se frotter les deux yeux, comme si ce geste pouvait tout simplement la ramener à la réalité. Mais ce geste ne changeait rien. Alors toujours allongée là, elle se mit à réfléchir à comment elle était arrivée là. Elle n'en avait aucun souvenir. Alors Sophie essaya de se remémorer sa journée : elle s'était levée, avait passé sa matinée à lire, elle avait déjeuner, et elle... Ensuite, tout était trop vague. Elle était persuadée d'avoir fait d'autres choses, mais elle ne pouvait pas s'en souvenir, malgré tout ses efforts.

Sophie se redressa alors, cherchant un signe sur l'endroit où elle était. Rien. Sauf qu'elle n'était pas seule. C'était de plus en plus étrange. Trop, pour elle. Son coeur battait si vite. Elle n'avait pas eu aussi peur depuis bien longtemps. Depuis la soirée d'halloween de l'année passée, sans doute. Et elle aurait aimé ne plus jamais ressentir ça. Si seulement Camille était là. Elle, elle serait là pour la rassurer au moins... et elle saurait comment faire. Elle le savait toujours. Sauf que cette fois-ci, elle devait se débrouiller toute seule. Alors elle se mit debout dans un premier temps, regardant autour d'elle. Il fallait qu'elle trouve comment sortir d'ici. Si elle était entrée, il y avait forcément une sortie. C'était logique, non ?

Alors elle s'avança lentement, ignorant la personne au sol devant elle. Elle aurait tout le temps de s'en occuper une fois qu'elle aurait trouvé comment quitter cette vieille maison. Elle s'avança alors vers la porte ouverte menant à une sorte de couloir et elle se stoppa net. Impossible d'entrer, de poursuivre. Elle se recula même, se plaquant sur le mur juste à côté de la porte, tremblante. Elle entendait cette voix l'appeler. Cette voix qu'elle reconnaissait et qu'elle aurait aimé ne jamais plus entendre. Sa belle-mère était vraiment ici ? Elle était de retour ? Comment était-ce possible ? Si elle se souvenait lui avoir pardonné pour qu'elle puisse partir en paix, elle ne s'attendait pas à la revoir un jour. Et cette voix, ce n'était pas celle de la femme malade et mourante qu'elle avait vu pour la dernière fois, mais bien celle de l'affreuse belle-mère qu'elle avait connu en Amérique et qui n'hésitait pas à utiliser les coups pour la faire obéir. Elle se sentait tout à coup comme paralysée, comme cette petite fille effrayée qu'elle avait été autrefois. Totalement tétanisée, elle entendait cette voix de plus en plus clairement, alors toujours collée à ce mur, elle fermait les yeux, priant pour se réveiller enfin de ce mauvais cauchemar.

Les yeux d’Octavia commençaient à s’ouvrir peu à peu. Le réveil semblait difficile. La vision de la brune était floue, mais elle pouvait apercevoir certains détails de la pièce dans laquelle elle se trouvait. Ça ne ressemblait pas à sa chambre, ça ne ressemblait à rien de familier de toutes façons. Où était-elle ? Qu’est-ce qu’elle fichait là ? Et surtout, comment était-elle arrivait là ? Octavia n’avait aucun souvenir de tout ce qui s’était passé avant son arrivée ici. Tout cela n’était pas normal, et même si Octavia était encore confuse, elle en avait pleinement conscience. Elle était à l’intérieur d’une maison, effrayant, elle devait bien l’avouer. Si elle n’était pas arrivée ici comme par magie, elle prendrait sans doute un grand plaisir à la visiter.

Une main sur le crâne Octavia s’était assise, elle avait l’impression que sa tête allait exploser et ce bruit assourdissant était insupportable. Il fallut quelques secondes à la jeune femme pour comprendre qu’elle n’était pas seule ici. Génial, mais ça n’avait rien de rassurant. Qui étaient toutes ces personnes ? Que voulaient-elles ? Étaient-elles dangereuses ou comme elle, étaient-elles arrivaient là par hasard ? Tant de questions qui allaient rester en suspends pour le moment.


« Debout Blodreina ! Vite ! » Cette personne s’adressait à Octavia, mais qui était-elle ? Et qui était cette Blodreina ? Qu’est-ce que c’était que cette histoire encore ? Octavia n’avait pas eu de nouveaux "souvenirs" depuis plusieurs mois, alors ça ne pouvait pas en être un. C’était impossible. Pourtant, en se relevant, Octavia jeta un coup d’œil au miroir qui se trouvait près d’elle. Ses vêtements étaient étranges, en plus de cela, elle avait le visage peint, sans oublier cette épée qu’elle avait dans la main droite, épée qu’elle n’arrivait pas à lâcher même si elle en avait envie. « Bats-toi ! » Sans comprendre Octavia venait de parer un coup. Elle ne comprenait pas ce qu’elle était en train de vivre, mais cette sensation de déjà vue, cette crainte de se détester à nouveau, celle de faire du mal aux autres… Ces peurs étaient bien présentes. « Non ! Ce n'est pas moi. Fichez-moi la paix. » Octavia criait de toutes ses forces espérant que tout cela prenne fin.

Sophie était morte de peur dans son coin, collée au mur, les mains sur les oreilles, les yeux fermés, à prier pour que ce mauvais cauchemar se termine. Elle ne pouvait pas revivre tout ça. Elle ne survivrait pas à son ancienne vie. Elle était heureuse désormais, même si sa famille lui manquait énormément. Et si sa belle-mère était de retour, bien que Sophie était adulte désormais, que ferait-elle ? S'en prendrait-elle toujours à elle ? La priverait-elle toujours comme elle le faisait ? Et sa mère qui n'était plus là pour la protéger... Oh non, ça ne pouvait être qu'un mauvais rêve dont Sophie devait se réveiller au plus vite.

Alors, elle ne sait comment, elle avait trouvé la force d'ouvrir les yeux. Elle n'était pas seule ici. Mais autour d'elle, tous semblaient aussi étranges, apeurés ou nerveux. Ils se comportaient tous étrangement comme s'ils étaient hantés eux-aussi par de mauvais souvenirs. Etaient-ils tous réels ? N'étaient-ils que le fruit de l'imagination de Sophie ? Comment pouvait-elle le savoir ? Elle n'arrivait même pas à se concentrer tant les cris de sa belle-mère se rapprochaient à grande vitesse. Elle devait trouver quelqu'un pour l'aider et la protéger et vite. Mais les gens autour d'elle l'effrayaient. Pourquoi étaient-ils là ? Certains hurlaient, certains courraient, certains se battaient. Sophie se dirigea alors, tremblante, vers un homme présent dans la pièce, le plus proche d'elle, simplement parce qu'elle ne pouvait pas affronter seule le cauchemar de sa belle-mère et qu'elle ne se sentait pas capable d'aller à l'autre bout du salon. Il ne semblait pas aller mieux qu'elle, mais elle n'avait pas le choix. « J'ai besoin que vous m'aidiez, elle arrive... S'il vous plaît, ne la laissez pas m'approcher... »

Sophie pleurait tant elle avait peur. Elle ne voulait pas devoir revivre tout ce qu'elle avait vécu enfant. Elle ne voulait pas retrouver sa belle-mère. Cette voix qui l'appelait, cette colère qu'elle entendait... Non. Elle n'était pas assez forte pour supporter ça ou se défendre. Elle avait l'impression d'être cette petite fille sans personne pour la protéger. Cette petite fille qui s'était retrouvée seule face à la cruauté de sa belle-mère après la mort de son père. Alors si dans un premier temps elle ne pouvait pas bouger, pétrifiée, elle se mit enfin à réagir pour demander de l'aide. Il lui fallait de l'aide. Sa belle-mère ne devait pas l'approcher, elle ne voulait pas la voir.

Un homme apparut dans son champ de vision. Peut-être était-il là depuis tout à l'heure, à vrai dire, elle n'en savait rien tant elle était perturbée par ce qu'elle vivait et entendait. Et elle ne remarqua qu'après un certain moment, également, qu'il avait une arme dans les mains. Cette vision ne la rassurait pas, mais elle préférait presque ça à sa belle-mère et au traitement qu'elle lui réservait sans aucun doute. Il baissa son arme et s'approcha, tentant de se montrer rassurant. Elle ignorait qui il était et pourquoi il était là. Elle ignorait ce qu'il lui voulait et s'il était bien là pour l'aider, mais elle n'avait pas le choix. A ses questions, elle répondit non de la tête. Non, elle n'était pas blessée. Pas encore. Et elle ne savait même pas si elle était coincée puisqu'elle ne savait ni où elle était, ni comment elle était arrivée là, ni même pourquoi. « C'est elle qui vous a demandé de venir me chercher ? C'est ma belle-mère ? » demanda-t-elle, morte de peur à l'idée qu'elle ne franchisse à son tour le pas de cette porte. « Je vous en prie, je ne veux pas retourner avec elle... » elle répétait les mêmes choses en boucle, les cris de sa belle-mère se rapprochant toujours plus, comme s'ils venaient de derrière la porte. Et pour rendre le tout plus angoissant encore, il y avait désormais d'autres cris affreux venant d'une autre pièce. Sophie ignorait ce qui était en train de se passer dans cette maison, mais tout le monde semblait vivre un moment particulièrement affreux.

Sophie le suppliait pour qu'il ne la ramène pas auprès de sa belle-mère. Elle la croyait morte et elle se croyait en sécurité depuis longtemps maintenant. La jeune femme avait fait sa vie loin de sa belle-mère, libérée de ses mauvais traitements. Pourtant, elle était là, de retour. Elle hurlait après Sophie, s'approchant de plus en plus. Puis, il y avait eu cet homme qui s'était approché d'elle. Elle avait envie de lui faire confiance parce qu'elle ne savait pas à qui d'autre elle pouvait faire confiance à cet instant et elle ne voulait pas affronter ce moment toute seule. Il ne semblait pas être envoyé par elle, mais il pouvait mentir. Elle restait méfiante, mais décidait de le croire parce qu'elle ne voyait pas d'autres solutions. Il lui assura qu'il ne la ramènerait nul part sans son accord. Elle l'espérait.

Puis il lui expliqua pourquoi il était ici, ou plutôt qu'il ne savait rien de sa venue ici. « Je ne sais pas comment je suis arrivée là, moi non plus. Je me suis réveillée ici, sans savoir comment. » expliqua-t-elle à son tour, pour justifier sa présence. Elle n'était pas seule dans cette situation et quelque part, ça la rassurait. L'homme s'était accroupi et avait posé son arme à ses côtés. Sophie s'était immédiatement sentie rassurée par ce simple geste. Il se présenta, et tout en essayant de se calmer, elle se présenta à son tour : « Je m'appelle Sophie. Je peux rester avec vous ? » Un policier était censé veiller sur les autres, non ? Alors elle avait toutes les raisons d'essayer de lui faire confiance. Même si elle serait sans doute plus un boulet qu'autre chose, elle tenait à rester à ses côtés. Elle ne voulait pas chercher une sortie toute seule. Il y avait ces cris et sa belle-mère. Trop d'horreurs pour elle. « Vous avez entendu ? » demanda-t-elle lorsque de nouveaux cris se firent entendre à l'étage. Elle n'était quand même pas folle et n'était pas la seule à entendre tout ça. Puis elle entendit frapper contre la porte, son prénom hurlé par cette femme. « Elle est là ! Il ne faut pas la laisser entrer ! » Elle chuchotait, pleurait en silence, se revoyant comme la petite fille apeurée qu'elle avait été. Elle trouvait la situation plus compliquée à gérer qu'autrefois maintenant qu'elle s'était crue débarrassée d'elle pour toujours, maintenant qu'elle se retrouvait dans une ville inconnue, dans une maison inconnue sans savoir comment.

Spoiler:

Sophie pleurait en silence. Apeurée, elle suppliait l'homme de l'aider et de la protéger. Sophie savait se défendre la plupart du temps. C'était une jeune femme plutôt courageuse, qui n'avait jamais eu peur de se battre et de se défendre. Elle savait tenir tête aux autres, aussi, mais là ça n'avait rien à voir. Cette femme, sa belle-mère, l'avait toujours effrayé. Elle lui avait parfois tenu tête, mais n'avait jamais su réellement se défendre face à ses colères et à ses coups. Elle avait toujours été cruelle envers elle, lui refusant l'amour dont elle avait besoin après avoir perdu sa mère et son père, la punissant et la battant à la moindre occasion. Puis dans ce monde, tout était différent et plus compliqué, même si Sophie était désormais une adulte. Ici, elle ne se sentait pas toujours elle-même. Elle se retrouvait perdue dans un nouveau monde depuis presque deux ans, un monde qui n'était pas le sien et dont presque rien ne lui était familier. Elle se sentait terriblement seule, aussi. Et elle ne se sentait pas en sécurité. Alors, elle ne trouvait pas la force de se montrer forte ou de l'affronter. Elle revoyait en cette femme toutes ces années où elle avait été si malheureuse et où elle avait déjà connu la solitude. Elle repensait à ces années où elle n'avait personne d'autres que cette femme comme figure parentale. Sophie avait longtemps cru que sa belle-mère ne reviendrait pas. Elle était censée être morte. Comment une morte pouvait-être là ? Ou alors, les souvenirs de Sophie lui jouaient des tours ? Pourtant, elle devait se rendre à l'évidence : elle était là. Elle était là pour elle. Tout recommencerait comme avant. Non. Ce n'était pas possible. Tout ne pouvait pas recommencer. Pas encore.

Sophie restait silencieuse, ses larmes coulaient en silence, son corps était immobile de peur de faire le moindre bruit et ses yeux apeurés ne quittaient l'homme devant elle. Elle priait de toutes ses forces pour voir cette porte ne plus bouger, pour ne plus entendre ses cris, pour se réveiller de ce cauchemar ou pour, simplement, comprendre ce qui était en train de lui arriver. L'homme était plus ferme, plus autoritaire aussi. Sentait-il le danger lui aussi ? Cette femme pouvait-elle effrayer quelqu'un d'autre comme elle effrayait Sophie ? A sa première demande, elle secoua la tête de droite à gauche, effrayée à l'idée de bouger et de faire du bruit. Comme si sa belle-mère ne savait pas déjà qu'elle était cachée ici. « Si on bouge, elle nous entendra... » souffla-t-elle. C'était stupide, elle était déjà là, derrière cette porte à hurler le prénom de Sophie pour qu'elle sorte. Sa seule chance de lui échapper était de se cacher. Il avait finalement raison, elle l'avait compris, elle devait le suivre. Elle lui faisait confiance. Elle n'avait pas d'autres choix de toutes façons. Alors elle allait le suivre, cachée derrière lui, accrochée à lui comme à son seul moyen de protection qu'elle avait peur de voir disparaître. Ils n'eurent pas le temps de faire deux pas, que la porte s'ouvrit. Sophie sursauta, se pétrifiant sur place, incapable de bouger, incapable de regarder, incapable de continuer, incapable de se mettre à courir pour fuir et se cacher. C'était elle. C'était forcément elle. La jeune fille n'avait pas regardé, mais qui cela pouvait être à part sa belle-mère ? « Je n'ai rien fait. Je vous promets que je n'ai rien fait... » murmurait-elle sans qu'elle ne sache elle-même si c'était à l'homme qu'elle parlait pour s'assurer qu'il ne réponde pas aux demandes de sa belle-mère ou à sa belle-mère pour qu'elle ne s'en prenne pas à elle.