"Tio Bruno est doux comme un agneau, il serait incapable de détester qui que ce soit, bien sûr qu'il t'aime bien."
Tu t'avances peut-être un peu trop à ce sujet, mais tu ne le penses pas. Tu es convaincue de dire vrai, Dolores, et tu veux qu'Elvis ait confiance dans le rôle qu'il pourrait bien tenir au sein de ta famille si les choses devaient devenir sérieuses entre vous... Alors oui, c'est aller un peu vite en besogne, tu le reconnais sans mal, mais en ce qui te concerne, tu as toujours été plus impulsive que ce que les apparences peuvent laisser paraître, et Elvis ne peut certainement pas envisager de se rapprocher de toi sans se rapprocher de ta famille. C'est comme ça que les choses fonctionnent. Et que cela plaise ou non autour de toi, il faudra bien que tout le monde apprenne à s'entendre et à s'apprécier en fin de compte.
Tu adresses à Elvis un sourire sincère et indulgent quand il te suggère toutes les solutions qu'il te propose afin d'atténuer ton pouvoir. Est-ce que cela fonctionnera vraiment ? Tu en doutes très sincèrement. Tu es capable d'entendre un simple clignement de paupière à des lieues de distance, tu as renoncé à l'idée que l'on puisse quoi que ce soit pour toi. En revanche, le fait que le jeune homme veuille s'y atteler malgré tout te touche énormément. Tu avais besoin d'un tel investissement de sa part. Tu as un peu l'impression de te sentir mieux, et à ta place, de cette manière.
"Je crois que tu t'inventes des excuses parce que tu ne veux pas perdre ce que tu as et que tu as peur de l'anonymat", tu réponds très honnêtement quand Elvis suggère qu'il ne pourrait pas cesser d'être le king du jour au lendemain... bien sûr, il y a son apparence, mais il suffit de dire aux gens qu'ils se trompent, et ils n'insisteront pas. Tu devines qu'Elvis est attaché au regard et à l'attention des autres, quoi qu'il en dise, et c'est évidemment très dangereux. "Tu tiens peut-être plus à l'approbation et à l'affection des autres que ce que tu prétends. Tu t'inventes des dilemmes qui n'existent pas forcément."
▿ Métier : Aujourd'hui il gère sa propre boite "E.P. Studio" comme un vieil ami lui avait conseillé. On le connaît comme étant ce chanteur et cet acteur célèbre. Elvis veut se lancer dans de l'auto-management et aider les nouvelles étoiles montantes en les accompagnant.
▿ Quartier : Baker Street avenue
▿ Côté cœur :
My beautiful daughter Lisa Marie.
I can believe in a new future with you by my side, Dolores Madrigal.
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Elvis se rappelle bien du fameux Bruno. Il ne payait pas de mine, c'est vrai. Il avait l'air effrayé d'ailleurs cet homme. Elvis s'en veut un peu de ne pas avoir été plus à l'écoute. Il voulait lui dire quelque chose, et il a cru à une menace, mais comment lui en vouloir ?
La suite est plus complexe et Dolores pose le doigt sur quelque chose qui est difficile pour Elvis. Repartir dans l'oublie ? Est-ce qu'il le souhaite vraiment ? Il s'est battu tellement dur pour atteindre ce statu social et oui, il avait peur de l'oublie. La peur de ne pas marquer les esprits. La peur de redevenir le petit Elvis fourré dans les jupes de sa mère. Celui qui n'ose pas parler en public. Celui qu'on oublie dans le fond de la classe.
" J'ai travaillé tellement dur Dolores... " Il la regarde un air peiné. " J'ai besoin de ça... " Souffle-t-il. Il est encore perdu en fait. " J'ai encore des choses à faire, à prouver... Je... le sais... " Dit-il avec conviction, persuadé d'un seul coup d'avoir une mission divine. " Et puis... Je connais le milieu. " Il la regarde de nouveau. " Si y'a pas des types comme moi pour surveiller le navire, ca risque de partir... dans tous les sens. Je veux aider les jeunes artistes et c'est avec mon nom que j'impose le respect aussi Dolores. "
Il a l'impression de se contredire d'un seul coup. Il était fatigué d'être Elvis Presley mais il avait besoin d'être Elvis Presley. Il se passe une main sur le front.
" Mon discours est ridicule. Je ne sais pas quoi penser moi non plus. J'ai l'impression que mon âme veut se diviser en deux. J'aimerai... juste pouvoir faire ce que j'aime. Porter fièrement mon nom, celui que mes parents m'ont donné mais une part de moi est fatigué. "
Comment mieux le résumer ? Il attrape de nouveau la main de Dolores longuement. Il se plonge dans son regard, lui sourit, puis doucement il l'attire vers lui pour glisser ses bras autour d'elle pour la serrer dans ses bras. Il lui souffle doucement.
" Ca m'a fait du bien... Quand on s'est rencontré. De voir que... tu me voyais moi et pas... cette image. Et toi, Dolores Madrigal... Tu n'es pas une fille ordinaire. Je le savais dès cet instant. "
Il se recule doucement et glisse une main sur sa joue.
" Je vais continuer avec mon studio. Je veux montrer qui je suis et que je n'ai besoin de personne. Et je vais réussir, je vais le faire. C'est mon nouveau challenge. "
Plus tu entends Elvis parler, plus il te semble évident que lui-même ne sait pas réellement ce qu'il veut. Il se cherche encore et n'est pas parvenu à se trouver pour le moment. Rien de grave ni de mal à cela, en vérité... c'est même plutôt compréhensible en fin de compte, car dans des circonstances de vie comme les siennes, il serait improbable, au fond, d'avoir une idée complètement arrêtée de qui l'on est et de ce que l'on veut vraiment. De ton côté, tu es capable de l'accepter, de l'apprécier et de l'entendre. Pour être complètement honnête, ce qui importe pour toi, c'est tout de même qu'Elvis se confie à toi. Tu ne veux pas qu'il se braque ou se renferme. Ton super-pouvoir à toi c'est de tout entendre, alors ce serait tout de même un comble que tu ne saches pas être à l'écoute en contrepartie, pas vrai.
"Tu trouveras le juste milieu entre passion et ambition, tu verras..."
Tu lui caresses doucement le visage. Tu veux que ce geste soit apaisant, mais tu ignores si cela fonctionne véritablement, pour être honnête. On va dire que tu fais de ton mieux, en tout cas. Tu ne veux pas qu'Elvis se perde dans ses propres incertitudes. Tu peux être là, bien présente, pour l'aider à y voir plus clair, tu te demandes même si ça ne pourrait pas être ton rôle, au final... et ce rôle, tu l'accompliras envers et contre tout, avec force, volonté, ténacité... tout ce qui lui sera nécessaire pour l'aider à relever la tête. Après tout, lui-même en fait beaucoup pour toi, c'est normal que tu cherches à lui rendre la pareille dans la mesure de tes possibilités.
"Si tu es fatigué, je vais te donner un conseil absolument dingue et prends-le avec des pincettes, mais..." Tu lui adresses un sourire taquin, preuve que tu ne lui demandes pas du tout de prendre tout ceci au sérieux, en réalité. "... repose-toi."
Plus facile à dire qu'à faire en vérité, mais plus il luttera contre cette fatigue, plus elle lui dérobera le meilleur de lui-même... et au final, ça ne peut pas être une bonne chose... au final, ça finira forcément mal.
"Peut-être que je suis pas une fille ordinaire mais crois-moi... ça ne me dérangerait vraiment pas de l'être." Comme ce ne serait peut-être pas un mal qu'Elvis soit juste un homme ordinaire pour une fois dans sa vie. "Ton challenge devrait être de faire les choses pour toi-même plutôt que pour le montrer aux autres."
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En effet, peut être se cherchait-il encore à l'heure actuelle. Il ne sait pas trop où va le mener toute cette histoire mais sans le Colonel pour gérer ses affaires, il se sentait plus libre. Plus confiant. Peut être devrait-il être lui même un peu plus ? Et arrêter de vouloir montrer parfois une image de la personne qu'il n'est pas. Même si Elvis avait toujours voulu se montrer transparent avec son public. Et c'était comme ça que le public l'aimait le plus.
Il savoure la caresse de la main de Dolores sur son visage. Ce qui lui réchauffait le cœur plus qu'autre chose, c'est bien ce nouvel amour. Il avait revoir les choses d'une autre manière. Ca allait l'aider à avancer, il le sait. Il rit doucement quand elle lui dit que le conseil quand il est fatigué est de se reposer.
" Ouais... Il parait... Mais tu te rendras bien vite compte que j'ai du mal à me fixer des limites. "
Sentira-t-il quand il sera fatigué ? Le grand soucis de notre cher Elvis, c'est qu'il tirait jusqu'à ce que la corde lâche. Il le sait, mais quand il est la tête dans l'eau, il ne capte rien, il fonce jusqu'à satisfaction. Le genre de bosseur acharné qui fini par plier le genoux quand il est déjà bien trop tard.
Il écoute Dolores. Le soucis, c'est que l'histoire a fait qu'il a bien souvent été sur scène pour ramasser du fric. Ou du moins une part, car c'est le Colonel qui raflait une bonne partie. Et véritablement, ses plus gros succès, il les avait fait quand il s'éclatait tout simplement et qu'il s'amusait plus qu'il ne semblait trainer les pieds.
" Ouais... " Dit-il pensif. " Tu sais pas tout... " Il a un sourire triste. " Ca risque d'être long à t'expliquer. " En vérité, ils avaient le temps. " Je suis heureux de rendre les gens heureux. Je suis heureux quand... je sens cet adrénaline dans mes veines lorsque j'ai un challenge ou que je monte sur scène. " Il soupire longuement, s'assoit sur le bord de la fenêtre. " Mon histoire est... que je n'ai jamais été libre de vivre totalement de ma passion. Certains diront que j'ai changé la face du monde, de la musique mais... " Il se secoue la tête négativement. " J'ai jamais eu l'occasion de faire ce que je voulais. " Son regard se perd dans de vieux souvenirs. " Maman est morte. J'ai fini mon service militaire. Je suis rentré. Le Colonel m'a imposé un tas de contrats à frics mais jamais ce que je voulais. Je vivais encore mon deuil et... ca a été des vagues successives qui voulaient me conduire à ce que je me perde moi même et... mes véritables ambitions. Je m'en rends compte aujourd'hui. "
Il regarde ses mains longuement. Mis à part à sa psy, il n'en avait parlé à personne encore de cette période là.
" Je voulais faire de grandes comédies dramatiques, devenir un grand acteur comme James Dean mais... il ne m'écoutait pas ou... plutôt, il ne voulait pas. Il décidait de mes contrats, et je n'avais rien à dire. Et j'ai enchainé pas mal de rôles de merde et j'ai fini par passer pour le bouffon de service. Moi, je veux toucher le cœur des gens, pas... être l'abruti bellâtre et superficiel qui passe dans des navets. "
Mais ca lui donnait des idées, un tas d'idées au final. Et il finit par redresser son regard vers Dolores avec une lueur qu'il n'avait plus retrouvé depuis longtemps. Puis un sourire rêveur, il se lève alors, fait quelques pas dans la pièce comme pour faire venir l'inspiration qui lui vient. Il s'arrête.
" C'est ce que je vais faire. " Dit-il dans un souffle. Il fait un large sourire à Dolores, se rapproche d'elle en riant de joie et l'embrasse avec entrain tout en lui prenant le visage entre ses mains. " Je vais leur montrer qui est la vrai Elvis. Pas ce Elvis qu'on s'attend à voir... Je veux surprendre. Car c'est mon truc ca non ? Par mon look, mes chansons ! Je veux montrer que je peux encore surprendre et gagner en maturité. C'est ce Elvis là que je veux être, plus jamais l'autre... Le Colonel n'est pas là pour me dire ce que je dois faire, je dois profiter de ma liberté. " Il fronce pourtant les sourcils avant d'ajouter en grimaçant. " Mais avant il faudrait qu'on sorte d'ici et rentrer... au studio. Et j'en ai pas la moindre idée. "
"Je m'en suis déjà rendu compte", tu souris doucement quand Elvis affirme qu'elle réalisera assez vite qu'il a bien du mal à se fixer des limites.
Non, ce n'est pas une surprise pour toi, c'est une chose que tu as déjà eu l'occasion de réaliser par toi-même. T'as encore plein de choses à apprendre à son sujet, de même qu'il a probablement plein de choses encore à apprendre sur toi, mais ça, c'est une chose qui ne vous a pas échappé, ni à l'une, ni à l'autre. Vous êtes clairement en pleine phase d'apprivoisement tous les deux, et vous ne pouvez pas prétendre vous connaître véritablement... mais tu crois dans le fait que ça finira par arriver, parce que vous avez envie de tout savoir l'un de l'autre, et aussi, parce que vous êtes capables de vous comprendre mutuellement dans des proportions qui semblent presque surnaturelles au fond. Peut-être parce que les sentiments ont toujours cet aspect presque métaphysique.
"J'ai tout mon temps", tu lui souffles seulement quand il veut t'apprendre de nouvelles choses sur lui qui t'aideront à mieux le cerner. Oui, tu as tout le temps qu'il fait, et en cet instant, tu ne veux définitivement écouter que lui. Lui et personne d'autre.
Il te parle de ses rêves avortés, de tout ce qu'il n'a jamais pu faire, en dépit de son immense notoriété. Il était enchaîné à des contrats, aux exigences des autres... il avait dû se sentir brimé... C'est une chose que tu es capable de comprendre, Dolores. Une chose que tous les Madrigal sont capables de comprendre en réalité. Cette pression sur vos épaules, ce sentiment d'être entravé dans ce qu'on voudrait faire parce que les attentes vous concernant sont beaucoup trop fortes... Oui, c'est quelque chose que tu connais très bien à ton échelle bien à toi.
"On va sortir d'ici, et je t'aiderais à montrer à qui tu veux qui tu es vraiment si c'est ce que tu désires." Tu réfléchis à toute allure. "Pour ce qui est de partir ici..." Tu as un pincement au coeur. Ici, c'est chez toi, tu n'as pas totalement envie de partir... tu es attaché à l'Encanto, il fait partie intégrante de ton identité... mais pour Elvis, tu es prête à laisser ça derrière toi. "Laisse-moi me concentrer... si quelqu'un sait quoi que ce soit, je devrais réussir à l'entendre."
Tu fermes les yeux, tu te concentres... mais c'est sans doute peine perdue en réalité.
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Elvis rit doucement de son éternel air malin et charmeur quand elle lui assure qu'elle avait remarqué le fait qu'il a du mal à s'imposer des limites. Bon, le coup du fait qu'il la cherche dans toute la ville pour la retrouver et son face à face avec Alma l'avait clairement affiché et vendu sur tout la ligne. Il ne réplique pas, elle a tout à fait raison de lui souligner son manque de subtilité qui plus est.
C'est vrai qu'ils avaient du temps devant eux pour apprendre à se connaître l'un et l'autre. Elle pouvait voir son bon côté, mais il avait ses démons. Et parfois il était dur de les combattre. Il espérait juste que Dolores n'en fasse pas les frais.
" Dolores... N'hésite pas à me le dire quand je dépasse les bornes... C'est une vrai demande. Parfois... Je m'en rends pas compte. "
Il préférait être clair aussi là dessus. Il ne voulait pas la blesser, c'était la dernière chose qu'il souhaitait de toute manière. Il lui sourit avec tendresse quand elle lui affirme qu'elle l'aidera à devenir qui il doit être. Il était heureux, il se sentait heureux et ca fait longtemps qu'il n'avait pas ressenti celà. Il avait l'impression de construire un nouveau monde, une nouvelle image.
Il la laisse utiliser son don pour trouver une solution pour rentrer. Il lui laisse quelques longues secondes, en l'observant et ne sachant pas quoi faire. Quitte à se bloquer la respiration, avant de la relâcher. Et dire:
" Ouais, j'sais pas. J'me suis dit que ca pouvait t'aider... mais c'est stupide. " rigole-t-il de son propre comportement. " Sinon... On peut essayer de voir dehors ce qu'il se passe ? Je suis totalement paumé par ici. Et puis, j'ai toujours peur de faire ou dire un truc qui risque de contrarier la maison. " Il regarde la porte et ajoute. " Quant à l'autre là ? Le Mariano, on fait quoi ? " Annonce-t-il peut être un peu abruptement mais on sent bien la pointe de jalousie dans son intonation. Il réfléchit, en plissant les yeux alors qu'il continue de fixer la porte avant de dire à mi-voix. " Sinon on retourne dans l'autre pièce où on est arrivé. Arg non... La porte ca marchait pas ou alors... On est dans un délire genre Alice au Pays des Merveilles et faut trouver une autre sortie ? " Il laisse tomber la tête lourdement. " Ou si ca se trouve j'ai définitivement fini chez les dingos, mais pourquoi tu serais là ? A moins que tu sois la jolie infirmière sexy sur qui j'ai totalement craqué... Ca s'tient ! " Ajoute-t-il en se marrant doucement, tout en lançant un regard charmeur à Dolores, puis il se racle la gorge et se reprend. " Désolé, j'ai pas mal d'imagination... Si tu m'arrêtes pas, je peux continuer encore très loin... "
"Je te le dirais, promis", tu affirmes quand Elvis te demande de ne surtout pas hésiter à le lui signaler s'il doit considérer qu'il dépasse les bornes. Tu devines qu'il le fera sans doute assez régulièrement, et que lui tirer gentiment les oreilles quand ce sera le cas ne sera pas un moindre luxe, mais dans tous les cas, tu ne comptes pas lui en tenir rigueur, pas à l'excès, en tout cas, ça c'est sûr. "Mais tu sais, j'aime bien ce trait de caractère chez toi. Je l'aime beaucoup, même. T'es quelqu'un d'entier. Ca me plaît."
Il te plaît, est-il encore nécessaire de le dire à ce stade ? Etrangement, et pour des raisons qui en partie t'échappent, tu as véritablement le sentiment de trouver en lui quelque chose qui te rassure et qui t'apaise, même, oui, quand son comportement se révèle pourtant aux antipodes de ce que tu devrais trouver calme et apaisant. C'est peut-être, au fond, le fait qu'il soit si... comment dire ? Si lui.
Dans l'espoir de trouver une solution à votre situation, tu fermes les yeux et tu te concentres sur tout ce que tu es capable d'entendre. Beaucoup de choses. Rien de pertinent, en revanche. Quand tu rouvres les yeux, tu ris doucement du comportement d'Elvis, qui avait retenu ta respiration dans l'espoir de t'aider. Tu trouves ça adorable, en réalité.
"On aura essayé... mais ça ne donne rien de toute façon." Tu prends ta main dans la sienne, comme pour te rassurer. "Désolée, je ne suis pas infirmière. C'est tia Julieta, ça... tu sais que ses repas peuvent guérir n'importe quoi ? Enfin... probablement pas ce genre de situations." Tu pousses un nouveau soupir. "Si Bruno était là, il pourrait peut-être nous aider, avoir une vision qui nous aiderait à y voir plus clair, mais... je ne l'entends pas." Tu réfléchis aux dons de chacun des membres de ta famille dans l'espoir que l'un d'eux vous soient utiles, mais s'ils sont tous exceptionnels, ils ne vous serviront à rien dans ces circonstances. "Explorons Casita", décides-tu finalement. "Il y a peut-être une pièce que je ne connais pas, un passage secret, quelque chose..." Puis tu t'adresses à Casita elle-même. "Prends ton temps pour nous aider, surtout !"
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Dolores vient de lui avouer qu'elle aimait ce trait de caractère entier. Oui, il pouvait l'être, comme celà pouvait être incroyablement agaçant à force. Elvis pouvait aussi être une forte tête et n'écouter personne. Bien que Parker l'ait totalement démoli à une époque de ce côté là. Mais cette histoire a été un jeu de manipulation et il avait eu Elvis à l'usure. Piétinant sa confiance en lui et son côté solaire. Ici, ca n'était pas le cas, car Parker n'avait aucun droit sur lui.
" On en reparlera. " Dit-il malin. " Mais merci, j'apprécie ce que tu dis. " Lui répond-t-il sincèrement. " Je sais que tu me diras toujours les choses. Je le sais car tu l'as fait dès le premier jour Dolores Madrigal. Les gens ont tendance à vouloir aller dans mon sens pour me faire plaisir. "
C'était la vérité. Il était Elvis Presley. Alors oui, on avait tendance à se laisser entrainer à ses exigences. Les rares personnes qui lui ont dit ce qu'ils pensent sont rares. Mais elles ont été les plus fidèles pour lui. Que ca soit Jerry qui n'a jamais ménager ses mots... Steve... Sa mère... Même sa femme, Priscilla. Son regard se perd en repensant à elle. C'était un point qu'il n'avait pas évoqué auprès de Dolores mais elle n'était pas là alors... A quoi bon ? Et puis, il savait qu'il avait tout fait foirer dans son autre vie. Mais elle a été un grand amour pour lui néanmoins, il ne l'oubliait pas.
Mais ca n'est pas la question. La question est de chercher à sortir et Elvis essaye d'aider Dolores à sa manière. Il vint à retenir sa respiration pour freiner une pollution auditive en plus mais... c'était bien maigre. Il rit de sa propre bêtise. Elle parle alors de sa tante qui semble pouvoir soigner les gens. Elvis en découvrait à chaque seconde. Il lève un doigt pour l'arrêter. " Fais gaffe tu vas définitivement me perdre. " Dit-il en riant. Il rit un instant avant de se reprendre. " Non en fait, j'adore toutes tes histoires. Elles sont fantastiques. "
Elle parle alors de Bruno. Visiblement qui n'est pas là non plus. Elvis soupire et pense à l'homme. Il allait devoir le revoir pour en savoir plus sur cette vision. Il ne peut laisser les choses en suspend de la sorte de toute manière. Il soupire longuement.
Il décide de suivre Dolores à travers la maison. A vrai dire, il est totalement paumé de son côté. Il n'hésite pas à glisser sa main dans celle de Dolores, glissant ses doigts entre les siens pour l'avoir à ses côtés. Un léger sourire flotte sur ses lèvres. Une mélodie se fait alors entendre autour d'eux. Profonde et intense avec des percussions qui d'un seul coup l'inspire. Bon, intérieurement Elvis se demande clairement ce qu'il se passe encore. Il relève le nez et observe autour de lui. " Mais c'est quoi encore ce... "
Il veut dire un truc, juste dire un truc et demander à Dolores ce qu'il se passe mais la ton qu'il emploie devient immédiatement chantonnant. Alors, en musique, il pouvait en taper des délires, et se mettre à chanter pour rien mais là... Putain mais il ne maitrisait absolument rien. D'ailleurs son visage reflète une totale incompréhension alors qu'il commence à pousser la chansonnette.
Le reste est juste hors contrôle alors qu'il ne peut s'empêcher de se taper une chorégraphie en entrainant Dolores avec elle, en la ramenant contre lui.
"Les gens te font déjà trop de cadeaux, tu ne penses tout de même pas que je vais en rajouter une couche ?" tu lui dis avec un léger sourire complice quand Elvis te fait une nouvelle fois comprendre que l'on a trop souvent abondé dans son sens au point qu'il n'a pas forcément été habitué à ce qu'on fasse preuve envers lui de cette franchise salvatrice qui te vient si naturellement quand tu parles avec lui.
Toi, Dolores, tu peux définitivement être d'une franchise excessive, on peut même affirmer que tu n'as pas forcément de limites, mais que tu le devrais probablement... A tout entendre, à tout savoir, on se sent sur le point d'exploser quand on contient certaines vérités. Tu te promets et tu lui promets d'être toujours honnête envers lui... ce ne sera pas difficile, au fond, parce qu'il t'inspire ce besoin d'honnêteté. Tu le remettras à sa place quand il en aura besoin, mais tu lui prouveras aussi à quel point tu peux tenir à lui.
Tu ne te rends pas toujours compte d'à quel point ton discours est fantasque quand tu évoques tous les aspects de ta demeure et tous les pouvoirs de ta famille, mais la réflexion d'Elvis a le don de te faire sourire. Ton histoire est très différente de celle d'Elvis, mais tu l'estimes autant digne d'intérêt, et tout aussi mouvementée par certains aspects.
"On est la fantastique famille Madrigal, bien sûr que nos histoires sont exceptionnelles", tu lui fais dans un clin d'oeil avant de tendre l'oreille.
T'es à l'affût d'un bruit particulier qui n'appartiendrait pas au décorum habituel de Casita. Tu perçois le mouvement des rats dans les murs, mais rien de bien particulier... et il s'avère que Casita n'est pas franchement conciliante avec toi, là tout de suite.
La suite ? La suite, croyez-le ou non, n'a rien de surprenante pour toi. Oui, d'accord, vous dansez et chantez, mais tu ne te rends pas compte que c'est ce que vous faites, parce que pour toi c'est juste, un élan aussi naturel que de marcher... tout comme tu ne vois pas de différence entre ton apparence ici et ton apparence en dehors de l'Encanto non plus. Quand la chanson et la charmante chorégraphie se termine, tu vois qu'Elvis affiche des yeux ronds et paniqués, et toi tu ne comprends pas.
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Tout est hors controle et celà fait clairement flipper Elvis de nouveau. Il ne maitrise rien du tout et pour lui celà n'est pas normal. Puis la chanson tire vers la fin et tout revient à la "normale". Enfin... C'est vite dit, car il était toujours ici, dans cet endroit avec ses airs de cartoon. Alors il s'arrête tout simplement, pose une main sur un mur l'autre contre sa poitrine. Dolores lui demande alors ce qu'il ne va pas. Quoi ?!? C'est normal pour elle ?
" Alors j'ai l'habitude de jouer dans des comédies musicales, mais y'a un texte ! Y'a un mec qui dit coupé... On peut refaire des prises mais ca ?!? Mais m'en imposer une comme ça, c'est... POURQUOI ? " Finit-il, n'arrivant plus à retenir une voix paniquée.
Il finit par se plaquer une main contre sa bouche. Il se secoue vivement la tête. Non, ils devaient retourner sur l'ile, ils n'avaient plus le choix. Sinon il allait devenir cinglé ici. Même si c'était le monde de Dolores, y'a rien qui allait. De derrière sa main et d'une voix étouffé, il souffle à Dolores. " Je dois pas paniquer j'ai dit... " Il prend ensuite une grande inspiration pour essayer de se reprendre, avant de piétiner tout en disant. " On essayerait pas de... j'sais pas sortir un peu ? L'air de dehors, ca me... nous ferait du bien. Et faut qu'on trouve vraiment un moyen de revenir au studio. Parce qu'il va se passer quoi ensuite ? " Car oui, pour le coup, tout était possible à ce niveau là.
Il prend le pas de partir en avant pour trouver la sortie et enfin pouvoir prendre l'air sur le palier. Il capte alors réellement le paysage. C'est vrai que l'endroit était magnifique. Un vrai coin de paradis. Même si... pour Elvis, il avait l'impression de se retrouver dans une bande dessinée.
"Je ne comprends vraiment pas de quoi tu parles...", tu te contentes de dire, circonspecte, quand il te parle de comédies musicales et de mecs qui disent "coupez".
Toi, quand tu chantes, tu ne réalises pas que tu chantes... du moins pas quand tu es dans ton élément naturel. Pour toi, ton apparence est normale, pour toi, votre conversation suivait logiquement ce que vous vous êtes dit. Bref, tu n'as pas du tout compris ce qu'il trouvait d'étrange à votre situation. Non, tu n'as pas du tout compris, vraiment. Mais tu décides de ne pas te poser plus de questions que cela. Toi, ça t'amuse surtout de voir ses réactions... Il te plaît, il te plaît dans tous ses excès... il faut croire que tu as toujours eu un faible pour les hommes qui en font trop, pas vrai, Dolores ? Oui, probablement.
"Tu n'as aucune raison de paniquer", tu lui dis tout de même de sa voix la plus douce et la plus réconfortante. Tu sais que ce sera ton rôle, souvent, de le rassurer autant que possible. Et oui, ce n'est pas quelque chose qui te dérange. Au contraire. Tu es heureuse de pouvoir être auprès de lui, et de pouvoir être ce point d'ancrage dont il a tant besoin. "Tu as raison, on va sortir un peu..."
En ce qui te concerne, tu penses que l'accès au monde où vous vous êtes rencontré se fera dans Casita, mais tu décides malgré tout de ne rien en dire... Tu penses aussi que ça apaisera Elvis de sortir un peu.
"C'est beau, n'est-ce pas ?" tu fais avec un sourire tandis qu'Elvis admire enfin ce qu'il y a autour de lui. "C'est notre havre", tu fais doucement. Tu serres ta main dans la sienne. "On ne trouvera pas d'accès par l'extérieur." Tu désignes le paysage lointain du doigt. "Les montagnes sont très escarpées... elles nous protègent mais elles rendent difficiles l'accès au monde extérieur."
Vous êtes loin de l'île, dans tous les cas. Tu le sais, tu le ressens. Et les choses vont encore changer, c'est même sûr et certain. Peut-être que la meilleure solution, c'est seulement d'attendre ? Encore faut-il espérer que cela ne durera pas très longtemps, parce que tu ne penses pas qu'Elvis prendra son mal en patience encore très longtemps.
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Elvis pouvait comprendre que cet endroit était chez Dolores et que tout ce qui pouvait se passer ici serait normal pour elle. Quant à lui ? Il se sent un peu seul dans cette situation. Alors il préfère passer à autre chose et... passer le temps en promenant. Prendre l'air surtout, car Casita avait cette allure un peu oppressante pour lui à force. (qu'elle ne le prenne pas mal) Il emmène donc Dolores vers l'extérieur pour une balade, peut être trouver une issue ? Mais il en doutait sérieusement.
Alors il commente le spectacle qui s'offre à lui, car il faut le dire l'Encanto est vraiment magnifique et coloré. Des couleurs qui sont bien loin de chez lui. Bien qu'Elvis adorait les couleurs. Il s'habillait rarement tout en noir ou de couleurs fades. C'était sa marque de fabrique alors oui, il aimait l'endroit.
Il se dirige naturellement vers le village. Un village vide. C'était limite inquiétant. " Alors je ne sais pas si c'est normal, mais je m'attendais à voir plus de monde... " Souffle-t-il à Dolores. Il continue de marcher jusqu'à une fontaine où il prend de l'eau pour la boire entre ses mains. Malgré tout, marcher, courir partout même... Ca avait le don de puiser dans ses énergies. Il finit par s'asseoir au bord et se frotter le front. " Je me sens fatigué. " En même temps, il venait d'enchainer une journée de travail en arrivant directement dans cet endroit. L'adrénaline des premiers instants redescend. Le calme du lieu aussi avait tendance à reposer ses sens. Il attend que Dolores soit à ses côtés pour glisser sa main dans la sienne, il la regarde longuement. " Dolores... " Lui dit-il.
D'un seul coup, il est pris d'un scrupule. Doit il parler de son mariage avec Priscilla ? Qu'en fait, même si la réalité est autre, il n'est pas libre sur ses documents ? Que même si dans sa réalité, ils se sont séparés... Ca n'était pas si évident pour lui. Il la regarde longuement, puis il change d'expression, un sourire revenant sur le coin de ses lèvres. " C'est rien. J'ai peur qu'on ne puisse pas rentrer... " Soupire-t-il en détournant le regard, fuyant la vérité. " Tu crois qu'ils sont où tous ? " Demande-t-il. A vrai dire, il pense avoir sa réponse. Ils sont partis à l'endroit d'où ils viennent et ca foutait un peu les chocottes quand on y pense. " Et il est parti où Maracas ? " Demande-t-il en parlant de Mariano et en écorchant volontairement son nom. Bizarre aussi ça qu'il ait disparu. " T'as raison on devrait peut être rentrer... C'est oppressant ici. "
"Non, ce n'est pas normal", tu confirmes en fronçant les sourcils en constatant, en même temps qu'Elvis, que les lieux sont particulièrement vides... Pourtant, vous êtes en plein jour... il devrait y avoir de l'activité, le murmure des conversations, de l'agitation en pleine rue... et même si tout le monde était chez soi, normalement, tu les entendrais, n'est-ce pas, Dolores ? Mais tu n'entends rien, ni personne... ça n'a pas de sens... Mariano était bien là, pourtant, pas vrai ? Et c'est comme s'il avait disparu lui aussi...
Tu le vis comme une révélation... S'il n'y a personne... alors ce n'est pas vraiment l'Encanto, tout compte fait, ce n'est qu'un ersatz de l'endroit que tu as connu.. Au moins cela règle la question : vous ne pouvez pas rester ici. Ton coeur se serre... Tu sais qu'Elvis, de son côté, meurt d'envie d'en finir et ne demande qu'à s'éloigner au plus vite, mais toi... Pour toi, c'est dur de repartir, une nouvelle fois, en songeant que tu ne reviendras plus jamais... à cette pensée, tu as le sentiment que l'on t'arrache à une partie de toi... tu as vécu sentiment plus confortable... Mais il est préférable de ne pas te focaliser sur cela. Ce qui compte, c'est que vous partiez d'ici.
Vous parvenez à la fontaine centrale du village, et Elvis décide de s'asseoir, confessant sa fatigue... Tu lui adresses un regard compatissant tout en t'asseyant à côté de lui, gardant ta main dans la sienne. Tu comprends son sentiment... Toi aussi, tu te sens... lourde, épuisée... Les émotions fortes que vous venez de vivre, en même temps, laissaient présager d'un tel retour à la réalité : vous êtes tous les deux épuisés, et c'est compréhensible. Le silence vous enveloppe un instant, et tu sens, dans son regard, dans le tremblement de sa voix, qu'il veut te dire quelque chose... Pourtant, il se contente finalement de paroles qu'il t'a déjà dites, avant de s'étonner lui aussi du caractère désertique des lieux.
"Je n'en sais rien, je n'entends personne", tu réponds doucement en laissant reposer ta tête sur son épaule.
Tu t'imprègnes du décor autant que tu le peux... tu ne pourras jamais te passer du sentiment que tu ne seras jamais plus chez toi qu'ici, même si ton coeur est définitivement sur l'île mystérieuse, à présent. Tu ne trouves pas ça si oppressant, de ton côté, mais tu sais que vous devez y aller... Enfin, facile à dire. C'est bien de vous le répéter, ce n'est toujours pas comme si vous saviez comment faire.
"On va rentrer", tu dis d'un ton apaisant. Tu pousses un profond soupir et tu laisses ta tête reposer sur l'épaule d'Elvis. "Cet endroit va me manquer...", tu confesses tout de même avant de fermer les yeux quelques secondes.
Quand tu les rouvres... tu réalises que le décor a drastiquement changé... Il semblerait que vous soyez de retour.