(abandonné) While seeking power, he found her | Thalassa
Wilhuff Tarkin
▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 17/10/1975
▿ Age : 49
▿ Métier : Homme politique, à la tête de son propre parti.
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Mar 20 Sep 2022 - 9:53
While seeking power, he found her
« Nous devons resserrer notre emprise sur les systèmes de la Bordure. » C’est avec une grande attention, et un espoir parfaitement dissimulé derrière son regard de glace, que Tarkin avait écouté Palpatine évoquer le détail de ses projets, dans l’attente d’un verdict qui, l’espérait-il, ne saurait que lui être profitable. Il était resté sur ses gardes, néanmoins : la déception n’est l’apanage que de ceux qui cultivent des attentes au-delà de celles qui leur sont accessibles. Tarkin a contemplé la situation d’une manière qu’il estime rationnelle. Ses attentes avaient été légitimes, et il avait bien assez prouvé à l’Empereur l’ampleur de sa loyauté pour que ce dernier ne puisse en douter, n’est-ce pas ? Malgré tout, il avait également su que les plans de Sheev Palpatine pouvaient comprendre des variables qui lui échappaient encore, et pour cette raison bien précise, il avait fait le choix de rester sur ses gardes, attendant donc patiemment d’entendre ce que son estimé interlocuteur pourrait avoir à ajouter. Les mots qui ont suivi ont achevé de le convaincre, et l’esquisse de sourire, si fine fût-elle, qui orna ses lèvres une fraction de seconde en avait dit long sur le fond de sa pensée. « C’est à vous que reviendra cette tâche, Moff Tarkin. Ou devrais-je dire Grand Moff Tarkin. » Grand Moff. Voilà une nuance à laquelle il ne s’était, en revanche, pas attendu. Et Wilhuff Tarkin, qui n’avait pas pour habitude de se laisser prendre de court, en était resté un instant bouche bée. Il regrettera plus tard l’incertitude dans le ton de sa voix au moment de répéter les derniers mots de Palpatine, mais il avait eu besoin d’entendre la confirmation définitive de son interlocuteur. « Grand Moff ? » Tarkin a vu l’Empereur acquiescer aussitôt, confiant et visiblement fier de son effet. « Le premier de l’Empire. N’était-ce pas vous qui aviez suggéré la création de sursecteurs et d’une gouvernance plus large comme moyen de renforcer notre contrôle ? » Bien sûr que c’était lui. Et bien sûr que, quand bien même il avait soumis cette hypothèse à la connaissance de son interlocuteur en pure stratégie, cette dernière n’avait pas été désintéressée. A l’instant de faire cette suggestion, il avait, bien sûr, espéré que cette gouvernance lui serait imputée, lui qui estime avoir fait preuve envers l’Empire en général et envers Palpatine en particulier d’une loyauté sans faille. Tarkin avait craint que l’Empereur ne lui préfère le colonel Wullf Yularen avait, que Tarkin estimait suffisamment bon pour le poste (raison pour laquelle il le considérait également en rival). A présent, il voyait un champ de possibilités infini se déployer sous son regard, à la hauteur de cette ambition dévorante qui anime son être depuis pour ainsi dire le jour de sa naissance. « Si, monseigneur. » Tarkin était resté digne, mesuré. Autant dans les inflexions de sa voix que dans sa manière de réagir. La surprise et la joie avaient déserté son visage de marbre pour ne plus laisser place qu’à cette impassibilité de façade qu’il savait si bien afficher. Le feu de ses ambitions dévorantes brûlait tout son être en cet instant, mais il n’en montrait rien, de même qu’il dissimula à l’Empereur l’ampleur de son enthousiasme au moment d’entendre ce dernier reprendre la parole. « Alors votre vœu est exaucé. La Bordure Extérieure est désormais sous votre contrôle – et avec elle, Grand Moff Tarkin, la totalité du projet lié à la station mobile de combat. »
La consécration. S’il l’a bel et bien vécu ainsi, pour Wilhuff Tarkin, l’accession au titre de Grand Moff n’a été ni un privilège, ni un honneur, c’est un titre qu’il a obtenu de haute lutte, à force de persévérance et de dévotion à son rôle. Tout ce qu’il a obtenu dans la vie, Tarkin estime toujours l’avoir mérité. Il ne s’en remet certainement pas au destin, encore moins à il ne sait quel coup du sort ou fatalité. Tout ce qu’il a réussi et accompli, il le doit à son travail, à son intelligence, à cette ambition dévorante qui lui donne envie de mettre la main sur le monde, les mondes, la galaxie, et de refermer le poing sur ses acquis obtenus à la force de son abnégation. Voilà à présent une semaine que cette conversation a eu lieu, et ce soir, dans ses somptueux appartements de Coruscant, l’on célèbre l’annonce officielle de son nouveau grade. Le gratin de l’Empire s’est déplacé pour l’événement, et Tarkin a apprécié non sans une satisfaction partiellement malsaine les présents et compliments adressés en nombre à son intention. Bien des réflexions d’une hypocrisie sans nom sont venus heurter son oreille, mais certainement pas son égo, pétri de la certitude absolue d’avoir précisément fait ce qui devait l’être. Et de la certitude d’être l’homme de la situation. Il porte son titre de premier Grand Moff avec une fierté et une assurance qu’il ne dissimule pas. Il se complaît dans le récit de toutes les décisions et de tous les choix qui l’auront mené à cet instant précis, et la soirée, tout d’abord plaisante, s’éternise finalement. Il lui tarde bientôt de les voir tous disparaître. Il veut savourer son nouveau titre sans être dérangé par quiconque. Mais pas seulement.
Il veut être seul. Avec elle.
Elle. Le clou de la soirée, si l’on veut. Le cadeau expansif de l’Empereur lui-même pour le féliciter de son ascension. Thalassa Motti. Son nom est loin d’être inconnu au sein de l’Empire. Famille d’aristocrates de Phelarion, parangons de la rébellion, ennemis naturels de l’Empire. A présent, Thalassa n’est plus rien. Thalassa sera sa chose. Parvenue bâillonnée, pieds et poings liés, Tarkin a pris tout le temps et tout le soin de la contempler sous toutes les coutures avant de demander sous quelques rires goguenards mais pour beaucoup envieux, qu’elle soit conduite dans sa chambre afin de ne pas les importuner pour le reste de la soirée. Il aurait pu en faire l’usage directement, la tester publiquement, mais la vérité, c’est qu’il a préféré la garder pour lui seul. Thalassa Motti est d’une beauté rare. Subjuguante. Suffisamment pour accaparer toute l’attention du tout nouveau Grand Moff, même une fois hors de sa vue. Wilhuff Tarkin n’a pas pour habitude, pourtant, de se laisser troubler à la vue du sexe opposé, loin de là, même. Ou à la vue de quiconque au demeurant. Tarkin n’a d’ordinaire d’yeux que pour ses ambitions démesurées. Le corps masculin doit exulter, et celui des femmes y contribue, voilà leur usage, leur beauté est un atout, mais à peine digne des considérations du Grand Moff. Pourtant, cette femme, ce regard sombre, dévastateur, la ligne parfaite de ses courbes élégamment dessiné sous une tenue choisie pour elle, et qui ne laissait que peu de place à l’imagination… elle avait si bien hanté ses pensées qu’il n’avait plus prêté qu’une attention médiocre au reste des conversations qui avaient suivi cette intermède que beaucoup avaient trouvé amusantes.
Il est tard. Très tard quand enfin les derniers convives se dispersent et qu’il peut la retrouver là, assise sur son lit… Le désordre ambiant lui laisse suggérer qu’elle a cherché à ses soustraire à ses liens et à s’enfuir, sans succès.
"Vous auriez grand tort de chercher à fuir", remarque-t-il d’un ton d’une froideur glacial en se rapprochant d’elle, la jaugeant à nouveau avec un intérêt qui lui ressemble si peu. Il se rapproche finalement suffisamment pour lui retirer son bâillon, jaugeant son regard sombre avec intérêt. "Vous m’appartenez, à présent, Thalassa. Je veux vous entendre me le dire."
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Thalassa Tarkin
▿ Ton univers : Star Wars Légendes
▿ Date de naissance : 16/08/1992
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▿ Métier : Officiellement ▴ Rentière, mécène, collectionneuse d'oeuvres d'art — Officieusement ▴ Trempe dans des affaires louches depuis le décès de la cheffe de bande Qi'ra Sorrento. Elle a repris les rennes du business.
▿ Quartier : Raccoon Square, dans la riche demeure de son époux le Grand Moff Tarkin
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••• ❝ She loved him with obsessive devotion, hated him with a barely controlled fury. Her husband. For better and worse. ❞
•••
▿ We love you. We’re listening, and learning from our faults. We make an offering to end our suffering. We bow down willing on bended knee. For your almighty prophecy. ▿
▿ Feel the sickness the pain inside you, and throw it on the fire. Collect your fears and the sins you hide. Burnthem on the pyre. ▿
▿ I accept, I repent, I confess, I ascend, I consent, I obey, I cleanse, I prey. ▿
▿ I’m not afraid of your power. Love let reign over me. ▿
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❝ i've been exiled, persecuted. left alone with no defense. when i think of what that brute did i get a little tense. but i dream a dream so pretty. that i don't feel so depressed. it soothes my inner kitty, and it helps me get some rest. ❞
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❝ the past i've tried forgetting,
and my foes i could forgive,
trouble is, i knows it's petty,
but i hate to let them live. ❞
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❝ the melody of angry growls,
a counterpoint of painful howls,
a symphony of death, oh my!
that's my lullaby. ❞
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❝ the pounding of the drums of war. the joy of vengeance. ❞
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❝ i can hear the cheering. ❞
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❝ payback time is nearing, and then our flag will fly against a blood-red sky, that's my lullaby. ❞
▴ Wilhuff Tarkin (AU-1) ⋄ MAJ - 27/11 ⋄ Thalassa est mariée à l'Empereur Sheev Palpatine ▴ Liaison dangereuse entre Wilhuff et Thalassa
▴ Wilhuff Tarkin (AU-2) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Thalassa est mariée à Wilhuff Tarkin ▴ Thalassa a une liaison amoureuse avec Orson Krennic ▴ Wilhuff les surprend ensemble
▴ Wilhuff Tarkin (AU-3) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Espionnage ▴ Thalassa défend la cause rebelle ▴ Chantage
▴ Wilhuff Tarkin (AU-4) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Thalassa est une rebelle de l'Empire ▴ Kidnapping ▴ Elle est offerte en cadeau au nouveau Grand Moff Tarkin
▴ Wilhuff Tarkin (AU-5) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Post-Bataille d'Endor ▴ Thalassa s'est mariée à un général de la Rébellion ▴ Wilhuff est un prisonnier politique ▴ Thalassa veut sauver Wilhuff
▴ [url=]Wilhuff Tarkin[/url] (AU-6) ⋄ MAJ - 27/11 ⋄ AU!Moderne ▴ Thalassa est mariée à Krennic ▴ Milieu juridique ▴ Wilhuff convoite Thalassa ▴ Chantage ▴ Malversations financières ▴ Tarkin & Krennic sont les associés seniors d'un gros cabinet d'avocats
▴ Wilhuff Tarkin (AU-7) ⋄ MAJ - 15/02 ⋄ -14 BBY ▴ Thalassa est une figure de proue de la rebellion ▴ Thalassa est la nouvelle Princesse Leïa ▴ Complots
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RP EN #a2a3f1
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Mer 5 Oct 2022 - 3:55
while seeking power, he found her · wilhuff tarkin x thalassa tarkin (au) - (nsfw)
“Welcome to my darkness, I been here a while. Clouding up the sunlight, hurting for a smile. Or something, but something always turns into nothing. Oh, I'll drain your life 'til there's. Nothing left but your blood shot eyes. Oh, I'll take my time 'til I show you how I feel inside. ▴ ( dark side -- bishop briggs) ✧ @Wilhuff Tarkin
-18 BBY – APPARTEMENTS DE WILHUFF TARKIN (CORUSCANT CITY)
La vie agréable et insouciante de Thalassa Motti a commencé à s’interrompre le jour où l’Empire s’est élevé dans la galaxie, d’une seule et même voix, proclamant une ère bien sombre pour toutes les planètes. La famille Motti n’a jamais adhéré aux idéaux du Chancelier Palpatine, bien avant que ce dernier devienne un Empereur incontesté. Leur fille unique, Thalassa, a grandi dans l’opulence, le luxe et l’assurance d’une vie confortable, quoiqu’il puisse se passer. Vraiment ? Tout s’est pourtant effondré, chaque planète résistante a fini par courber l’échine devant la suprématie de l’Empereur Palpatine. Phelarion, dernier bastion aristocratique dans l’opposition politique permanente et frontale envers le nouveau régime est tombé à son tour. Thalassa a vu sa vie rêvée anéantie. Elle est alors passée d’une cage dorée à une autre. Plus sordide encore. Une fois enlevée par les officiers et considérée comme une otage impériale, on lui a fait part des desseins de l’Empereur à son sujet. Elle sera offerte en cadeau à son meilleur lieutenant. Le nouveau Grand Moff Wilhuff Tarkin. Quelle horreur. Thalassa s’est rebellée, autant que possible, avec ses maigres moyens de fille d’aristocrate prise en otage par l’ennemi – de sa voix autoritaire, mais on lui a ri au nez, de ses mains, en voulant les empêcher de la toucher. On l’a attachée, bâillonnée et contrainte à se vêtir « dignement » pour ne pas dire dans la vulgarité, dans le but d’émerveiller le Grand Moff et de le combler de ses charmes sulfureux. Il est hors de question qu’elle s’offre à qui que ce soit ce soir. Et encore moins au Grand Moff. Le Grand Moff. C’est la première fois qu’elle fait sa connaissance.
Lorsqu’on l’a emmenée à la soirée donnée dans les appartements de ce dernier, à Coruscant City, c’est pour l’exhiber devant une foule d’officiers hauts gradés. Ils ont ri, en la découvrant ainsi attachée, vêtue d’une manière beaucoup trop tentante pour certains d’entre eux. Une robe noire, très moulante et longue, largement fendue au niveau de l’une de ses cuisses, et au décolleté plus que plongeant. Quelques mains se sont avérées très baladeuses, au moment de la conduire dans le grand salon, face à l’hôte de marque. C’est là qu’elle le vit. Et c’est un véritable coup de poignard en plein coeur. Des frissons se meurent dans le bas de ses reins. Elle se sent, malgré elle, littéralement happée par l’aura de magnificence et de cruauté qu’il dégage. Leurs regards se rencontrent et se confrontent pour la première fois. Ils se jaugent, avec suffisance et froideur. Thalassa le foudroie de ses orbes brûlants, humiliée et réduite au simple rôle d’otage, d’esclave, de divertissement pour les puissants d’un régime qui lui donne tout simplement envie de vomir. (mais comme elle tient à la vie, elle va abdiquer et apprendre à l’aimer ce régime) Cet homme.. il dégage quelque chose de particulier. De puissant. Elle ne peut échapper à son regard pénétrant, avec la désagréable impression d’être déshabillée d’un seul coup d’œil. Thalassa se déteste plus que tout à cet instant, car en voulant être parfaitement honnête avec elle-même, elle le trouve merveilleusement beau et attirant. Dans d’autres circonstances, elle serait sans doute tombée sous son charme, celui de ses beaux yeux bleu clair, de sa carrure importante, de son charisme magnétique, de sa voix grave et autoritaire. Wilhuff Tarkin est un très bel homme. D’âge mûr, cultivé, digne et élégant. Un aristocrate dans toute sa splendeur. Un très bon parti pour une femme de son milieu. C’est exactement pour cette raison qu’elle doit à tout prix le fuir tant qu’il est encore temps.
Pendant un instant, alors qu’il l’observe longuement, elle s’imagine qu’il s’apprête à « la tester » devant tout le gratin impérial. Peut-il se montrer aussi cruel à son égard ? Lui faire l’humiliation suprême de la traiter comme une prostituée et de la malmener sous les rires goguenards de ses subalternes ? Elle ne sourcille pas et ne baisse pas les yeux, malgré la peur qui enserre ses entrailles comme dans un puissant étau. Elle le craint, tout en étant fiévreusement attirée par lui. Elle veut le fuir, tout en désirant qu’il la contemple encore et encore. Elle veut lui cracher au visage, le violenter de toutes les manières possibles, en désirant qu’il lui déchire le bout de tissu qui lui sert de robe du soir pour la ravager jusqu’à ce qu’elle en oublie même son propre nom. Elle veut hurler pour qu’on la délivre, et hurler en même temps sa jouissance. Crier son nom. Crier pour chacun de ses orgasmes. Qu’il soit son ennemi et son amant. Sa première et sa dernière fois. Contre toute attente, Tarkin ordonne à ses subalternes de l’emmener dans sa chambre. Il la gardera pour plus tard, en dessert, sans doute. Thalassa ne le quitte pas une seule seconde de ses yeux haineux, en quittant la pièce de force, sous les rires et les regards envieux de bon nombre d’officiers. Son regard de feu le jauge une dernière fois, avant de disparaître de sa vue. Thalassa est ensuite conduite dans une chambre imposante, décorée avec soin, luxueuse à souhait. Elle l’apprécie, et c’est justement là le problème. Les deux officiers qui l’ont amenée la poussent nonchalamment sur le grand lit de Tarkin, et l’y abandonnent en se jetant un regard complice, empli d’une certaine lubricité, en imaginant le plaisir qu’aura le Grand Moff à se satisfaire de son corps aux courbes exquises. Les minutes passent, puis les heures. Thalassa ne pleure pas son triste sort. Non, elle est bien plus forte que cela. Elle essaie de se libérer en cherchant quelque chose autour du lit pour couper ses liens. En vain. Elle attrape alors quelques oreillers, qu’elle balance dans un coin de colère, puis des objets décoratifs, en voulant récupérer un objet suffisamment pointu pour s’en servir comme d’une arme. Rien ne parvient à combler ses désirs de fugueuse. Elle s’abandonne alors à son sort, contrainte de patienter le retour du propriétaire des lieux qui sera libre de disposer de son corps comme bon lui semble et autant qu’il le voudra.
Assise sur le matelas, au milieu du bazar qu’elle a elle-même provoqué, Thalassa croit entendre des bruits de pas à l’autre bout de la pièce. Les premiers convives se retirent, et les éclats de voix et les notes de musique classique s’amenuisent progressivement, jusqu’à… ce silence. Un silence apaisant, enfin. Puis un nouveau bruit, Tarkin qui approche depuis le hall d’entrée. Tarkin qui pousse la porte de sa chambre pour la découvrir, quelques mèches un peu en pagaille. « Vous auriez grand tort de chercher à fuir. » lui dit-il, avec ce ton arrogant qui la fait frissonner. Thalassa est incapable de lui répondre. Elle se contente de le fixer, dans l’attente d’un geste de clémence de sa part. Qu’il lui libère au moins la bouche et lui redonne la possibilité d’exprimer tout son mépris, son injustice pour le traitement subi. Thalassa n’est pas une vulgaire paysanne, après tout. C’est une aristocrate. Cette situation est dégradante, humiliante. Elle se sent réduite à la satisfaction des besoins primaires masculins. Lorsqu’il lui enlève enfin le bâillon répugnant pour libérer sa bouche meurtrie, c’est pour lui permettre, non pas de hurler sa détresse, mais de lui vouer allégeance, fidélité et adoration. Des valeurs qu’elle refuse obstinément de lui transmettre. Des mots qu’elle ne prononcera jamais, même sous la torture. Thalassa refuse de lui appartenir en quoique ce soit. Elle n’appartiendra à personne. Et encore moins à l’un de ces chiens de l’Empire galactique. Ces militaires despotiques qui ont détruits la galaxie toute entière, qui ont ravagé sa planète natale, Phelarion, qui ont forcé sa noble famille à courber l’échine.
Thalassa est une prise de guerre. Une prise réservée au plus fidèle lieutenant de l’Empereur Palpatine. Celui qui se tient juste sous ses yeux, froid et cynique. Wilhuff Tarkin. Elle se répète les mots qu’il vient de lui prononcer dans un coin de sa tête, pour s’en imprégner avec férocité : « Vous m’appartenez, à présent, Thalassa. Je veux vous entendre me le dire. » Hors de question. Jamais de la vie. Jamais elle ne sera sienne. Jamais elle ne lui cèdera en quoi que ce soit. Thalassa Motti est une digne résistante du régime dictatorial de l’Empire de Palpatine. Ses valeurs ne sont en aucun cas celles du régime tant chéri par Wilhuff Tarkin. « Vous imaginez sincèrement, au vu des circonstances de mon… arrivée dans votre chambre… dans votre lit… » précise-t-elle avec hargne, en levant fièrement le menton, défiant son interlocuteur de ses beaux yeux miellés. Une grimace se forme sur ses lèvres, tandis qu’une lueur de dégoût brille dans le fond de ses yeux. « … que je vais vous dire oui ? » Ces derniers mots, c’est avec un mépris clairement perceptible qu’elle les lui cracha au visage. « Jamais, vous m’entendez ? » Jamais. « Jamais, je ne serai vôtre. Jamais, je ne vous appartiendrai en quoi que ce soit. » répète-t-elle en appuyant chacun de ses mots avec force et conviction.
Thalassa en tombe des nues. Comment peut-il s’imaginer un seul instant qu’elle soit disposée à se laisser docilement séduire et abusée ? Elle a été enlevée, séquestrée, attachée et maintenant… offerte à sa domination. Cette pensée la fait frissonner. Dans le mauvais sens. Elle est à la fois terrifiée et impressionnée par cet homme. Plus âgé qu’elle, plus puissant, important dans l’administration impériale. Si important, qu’il vient d’être nommé le « premier Grand Moff ». Thalassa l’a entendu de la bouche de certains impériaux, lorsqu’on l’a amenée en « cadeau » à cette petite soirée dans les appartements de Tarkin. Elle a bien compris être le clou du spectacle, de la fête privée du Grand Moff. « Vous croyez que tout vous est dû, sous prétexte que vous êtes le premier de tous les Moffs ? » se moque-t-elle, en gigotant sa croupe contre le matelas. Elle essaie de se lever, mais se vautre pitoyablement sur le lit, du fait de ses chevilles liées. « Vous aimez cela, n’est-ce pas ? Me voir ainsi, attachée ? Dans cette robe provocante, juste pour vos beaux yeux ? » Elle le provoque, cherchant dans le bleu d’acier de ses yeux quelque chose qu’elle puisse utiliser contre lui. Une émotion vacillante, un début d’empathie, une faiblesse quelconque. S’il peut être séduit par son discours, alors il y a de l’espoir. Elle peut l’encourager, le convaincre même de la détacher… et là, elle pourra s’enfuir. Hors de sa vue, hors de tout ce qu’il prévoit de lui faire dans ses plus honteux fantasmes.
« Vous aimez… cette sensation de toute puissance ? Grand Moff Tarkin ? » souffle-t-elle d’une voix chaude, un peu trop charmeuse pour être totalement innocente, alors que ses deux orbes se plantent résolument dans les siens. « Elle vous… excite ? » Thalassa se met sur ses genoux, afin de se grandir légèrement pour lui faire face. Leurs visages séparés par quelques centimètres. « Vous prenez du plaisir dans le fait de forcer les femmes ? » ironise-t-elle en penchant légèrement son beau visage maquillé et élégamment coiffé pour l’occasion sur le côté. Elle bat alors doucement des cils, se faisant enjôleuse et caressante pour mieux le duper. « Qu’est-ce que vous allez me faire ? » Elle ne peut le laisser l’approcher ou la toucher. L’aimer de ses mains, de sa bouche, de sa virilité. Elle ne le peut. Elle refuse d’en tirer un quelconque plaisir. Que sait-elle, finalement, du plaisir sexuel ? Pas grand chose. Elle est vierge. « Si je ne vous résiste en aucune façon… » Un léger tremblement ressort dans le son de sa voix. « Vous consentirez à me détacher ? » Pour la sécurité du Grand Moff, il ne vaut mieux pas. Elle se moque de lui, elle sort le grand jeu. Les battements de cil, les yeux de biche, le sourire en coin, la voix chaude et le timbre séducteur ne sont que des artifices destinés à endormir sa méfiance, pour mieux le poignarder par derrière.
La pensée qu’il puisse la toucher dans un endroit si intime lui hérisse les poils des bras. Elle est apeurée que cette première fois se fasse dans ces conditions abjectes, la condamnant dans le meilleur des cas à une vie de servitude au service du Grand Moff. A moins qu’elle ne lui soit offerte que pour la nuit, et que le reste de son existence… se réduise à de l’esclavage dans une planète aride, quelque part dans la galaxie, ou bien encore au service de différents officiers. Que deviendra-t-elle après cela ? Lorsqu’il en aura terminé avec elle, lorsqu’il aura été le premier à prendre tout d’elle – son corps, sa dignité, son esprit, et pourquoi pas, son cœur, en l’espace d’une nuit ? « Que deviendrai-je… si vous me faites cet affront ? » Elle peine à formuler cette question. Cet affront. Il résume à lui seul l’immense cadeau qu’elle est susceptible de lui offrir ce soir, sa pureté. Son pouls s’accélère, ses mains deviennent moites et douloureuses à force d’avoir tiré sur ses liens pour s’en extirper. « Grand Moff Tarkin. Ayez pitié. Nous ne sommes pas si… éloignés, nous venons de classes élevées, nous sommes les héritiers de très anciennes dynasties aristocratiques… Vous ne ferez aucun mal à l’une des vôtres, n’est-ce pas ? » chuchote-t-elle en approchant davantage son visage du sien. Thalassa doit se faire violence pour ne pas lui mordre la lèvre jusqu’au sang, à la fois de rage et de frustration.
Thalassa Motti lutte contre ses émotions pour se comporter avec dignité, respect, et persuasion. Le persuader de faire preuve de souplesse en la relâchant, voilà ce qu’elle souhaite obtenir de lui. Non pas pour lui céder, mais pour lui fuir avant d’être souillée de ses œuvres, et véritablement lui appartenir. « Un homme aussi bien élevé que vous l’êtes… ne traiterait pas une femme de ma position comme une vulgaire fille de joie. Je suis persuadée que vous êtes… doué de clémence et de sagesse, sans compter vos nombreuses autres qualités. » Toujours aussi charmeuse, et faussement docile, elle rompt les centimètres qui séparent leurs corps pour que leurs torses se frôlent – ses seins dissimulés sous le tissu noble de sa robe effleurent la rigidité de son uniforme, son bas-ventre fait désormais plus qu’un avec le sien à travers leurs vêtements. Quant à ses lèvres, elles sont maintenant dans le creux de son oreille, à lui susurrer quelques mots : « Détachez mes liens. » Elle est persuadée de s’être montée suffisamment convaincante pour lui faire entendre raison.
« sometimes i feel i've got to run away. i've got to get away from the pain you drive into the heart of me. this tainted love you've given. i give you all a girl could give you. take my tears and that's not nearly all. to make things right, you need someone to hold you tight, and you think love is to pray. i love you though you hurt me so. » (tainted love ▴ soft cell) •• LADY TARKIN.
Wilhuff Tarkin
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Mar 1 Nov 2022 - 17:54
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"Il faudra nettoyer tout cela", avait observé Tarkin d’un ton froid et indifférent en constatant la somme des objets éparpillés autour du lit. Thalassa avait semé une sacrée pagaille, mais c’est le cadet de ses soucis à l’heure actuelle, car elle accapare pour de bon son esprit tout entier, au point qu’il lui devienne presque impossible de penser à quoi que ce soit d’autre, au point que la personne maniaque et exigeante qu’il est pourtant se désole à peine de l’état dans lequel se trouve sa chambre – songeant que si la jeune femme met autant de fougue à mettre ses appartements sens dessus dessous qu’à le satisfaire, il n’aura certainement pas à se plaindre ni de sa rage ni de son impertinence. "Mes domestiques pourraient s’en charger bien sûr, mais il me plaît que tu t'en occupes", ajoute-t-il d’un ton calme et posé avant d’occulter pour de bon ce sujet qui l’intéresse si peu puisque c’est ce corps d’une beauté envoûtante, et qu’il brûle de sentir s’embraser sous la pulpe de ses doigts, qui occupe l’entièreté de son attention.
Tarkin s’est approché d’elle, lui a retiré son bâillon, pas tant pour entendre ce qu’elle pourrait avoir à dire que pour entendre le son de sa voix, pour se donner l’occasion de presser ses lèvres contre les siennes avec vigueur. Elle proteste comme c’était à prévoir. Jamais, affirme-t-elle, elle ne lui appartiendra. Jamais elle ne sera sienne. La certitude affichée par Thalassa fait doucement sourire le Grand Moff pour qui la jeune Motti est déjà acquise. Elle est son cadeau, offert par l’Empereur, elle est sa chose, elle est tout ce qu’il décidera qu’elle soit. Elle n’est rien et en même temps, elle pourrait tout devenir à ses yeux tant son corps convoite le sien avec un désir presque maladif, qu’il a rarement – pour ne pas dire jamais – ressenti avec aucune autre femme. Il sent un feu ardent ronger son bas-ventre, et rien, si ce n’est elle, ne sera capable de dissiper ce violent incendie qui est proche de le ravage, et ne le laissera probablement pas indemne.
"Je pense que tout m’est dû sous le prétexte d'être le Grand Moff, je m’octroie seulement ce que je désire obtenir", réplique Tarkin sans cesser de la déshabiller des yeux alors que Thalassa, provocante, lui demande s’il s’imagine que tout lui est dû sous prétexte qu’il est le premier de tous les Moffs, détenteur d’un titre qui n’existait pas avant lui. Bien sûr qu’il est fier de ce titre, mais il ne l’a pas volé, il le doit à un travail acharné, à une détermination sans faille, à une volonté de fer. Autant de qualité qu’il veut qu’on loue chez lui et qu’il ne manque pas de mettre en avant. Il estime que Thalassa est sienne parce qu’il a décidé qu’elle devait l’être, voilà quel est le fond réel de sa pensée et sa manière véritable de raisonner. "Ce n’est pas déplaisant, je le concède", répond Tarkin, le regard plongé dans les yeux de Thalassa, alors que cette dernière le provoque ostensiblement, ce qui la rend à ses yeux plus attirante encore, ce qui lui donne d’autant plus envie de la posséder sur-le-champ.
Oui, c’est vrai, il aime la voir ainsi attachée, dans cette robe provocante. Il aime la voir dans une position de faiblesse, il aime sentir qu’elle est vulnérable, impuissante. Cette pensée l’excite au-delà du raisonnable… Non, Wilhuff Tarkin ne se laissera pas émouvoir par son discours, pas plus qu’il n’éprouvera la moindre empathie à son égard. Il la possédera puisqu’elle est sienne, la considère encore comme une chose dont on dispose selon son bon vouloir, sans aucune considération éthique ou morale. Plus elle en rajoute, plus elle l’excite. Oui, cette situation l’excite, oui il prend du plaisir à son impuissance… mais il ne croit pas une seule seconde au fait qu’elle se laissera faire s’il devait l’attacher. Quant au fait qu’elle lui résiste… elle lui sera plus irrésistible encore si elle fait mine de lui opposer ne serait-ce qu’un semblant de résistance. Mais il n’y croira pas. Il n’y croira évidemment pas.
"Je finirai par te détacher", lui assure-t-il en laissant courir ses doigts le long de sa cuisse, soulevant au passage le tissu fluide de sa robe sombre. "Mais pas tout de suite." Il savoure le grain de sa peau, lisse, douce, parfaite. Il aime quand elle le supplie, cela ne l’excite que davantage. "Je ne vais te faire aucun mal. Uniquement du bien, Thalassa."
C’est son intention, oui. Il veut la sentir s’abandonner à un plaisir qui sera d’autant plus intense pour lui que la honte pour elle sera grande d’aimer à ce point quelque chose qu’elle devrait haïr. Il ne la brusquera pas, pas tout de suite, il attendra qu’elle le lui réclame. Et elle le réclamera. Elle exigera tout de son corps.
Tarkin ne dit rien de plus, non. Il ne la détache pas, il n’a pas l’intention de le faire, mais il brise en revanche les quelques ridicules centimètres qui séparaient encore leurs visages l’un de l’autre pour déposer un baiser, d’abord bref, presque chaste, sur les siennes. Il a attendu d’embrasser ces lèvres toute la nuit. En dépit de son envie de s’en emparer d’office avec vigueur et violence, il prend le temps d’apprécier leur forme, leur texture, leur goût. Puis il l’embrasse plus franchement. Il veut qu’elle réponde à ce baiser, il veut qu’elle ne sache pas s’en empêcher, il veut que des premiers frissons coulent le long de son échine, que son corps le réclame ardemment, aussi violemment que l’inverse. Sa main qui caressait sa cuisse trouve à se loger plus haut entre ses jambes. Par-dessus le tissu fin de son sous-vêtement en dentelle. Il la caresse, lentement, soigneusement, s’attarde sur la zone la plus sensible de son anatomie. Il veut la sentir soupirer contre ses lèvres, gémir, s’abandonner presque malgré elle, il veut ressentir son humidité comme lui-même se sent diablement à l’étroit dans son uniforme, il veut éprouver leurs excitations conjointes, jusqu’à ce qu’elle ne sache pas plus résister que lui.
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Thalassa Tarkin
▿ Ton univers : Star Wars Légendes
▿ Date de naissance : 16/08/1992
▿ Age : 32
▿ Métier : Officiellement ▴ Rentière, mécène, collectionneuse d'oeuvres d'art — Officieusement ▴ Trempe dans des affaires louches depuis le décès de la cheffe de bande Qi'ra Sorrento. Elle a repris les rennes du business.
▿ Quartier : Raccoon Square, dans la riche demeure de son époux le Grand Moff Tarkin
▿ Côté cœur :
••• ❝ She loved him with obsessive devotion, hated him with a barely controlled fury. Her husband. For better and worse. ❞
•••
▿ We love you. We’re listening, and learning from our faults. We make an offering to end our suffering. We bow down willing on bended knee. For your almighty prophecy. ▿
▿ Feel the sickness the pain inside you, and throw it on the fire. Collect your fears and the sins you hide. Burnthem on the pyre. ▿
▿ I accept, I repent, I confess, I ascend, I consent, I obey, I cleanse, I prey. ▿
▿ I’m not afraid of your power. Love let reign over me. ▿
▿ Autre(s) compte(s) : Shérif de Nottingham ▿ Cutler Beckett ▿ Orion Black ▿ Orson Krennic ▿ Nolan Sorrento ▿ Sheev Palpatine ▿ Celia St. James ▿ Sauron ▿ Perséphone ▿ Amora
▿ Messages : 337
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▿ Date d'inscription : 29/04/2022
▿ Notes :
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❝ i've been exiled, persecuted. left alone with no defense. when i think of what that brute did i get a little tense. but i dream a dream so pretty. that i don't feel so depressed. it soothes my inner kitty, and it helps me get some rest. ❞
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❝ the past i've tried forgetting,
and my foes i could forgive,
trouble is, i knows it's petty,
but i hate to let them live. ❞
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❝ the melody of angry growls,
a counterpoint of painful howls,
a symphony of death, oh my!
that's my lullaby. ❞
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❝ the pounding of the drums of war. the joy of vengeance. ❞
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❝ i can hear the cheering. ❞
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❝ payback time is nearing, and then our flag will fly against a blood-red sky, that's my lullaby. ❞
▴ Wilhuff Tarkin (AU-1) ⋄ MAJ - 27/11 ⋄ Thalassa est mariée à l'Empereur Sheev Palpatine ▴ Liaison dangereuse entre Wilhuff et Thalassa
▴ Wilhuff Tarkin (AU-2) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Thalassa est mariée à Wilhuff Tarkin ▴ Thalassa a une liaison amoureuse avec Orson Krennic ▴ Wilhuff les surprend ensemble
▴ Wilhuff Tarkin (AU-3) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Espionnage ▴ Thalassa défend la cause rebelle ▴ Chantage
▴ Wilhuff Tarkin (AU-4) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Thalassa est une rebelle de l'Empire ▴ Kidnapping ▴ Elle est offerte en cadeau au nouveau Grand Moff Tarkin
▴ Wilhuff Tarkin (AU-5) ⋄ MAJ - 23/02 ⋄ Post-Bataille d'Endor ▴ Thalassa s'est mariée à un général de la Rébellion ▴ Wilhuff est un prisonnier politique ▴ Thalassa veut sauver Wilhuff
▴ [url=]Wilhuff Tarkin[/url] (AU-6) ⋄ MAJ - 27/11 ⋄ AU!Moderne ▴ Thalassa est mariée à Krennic ▴ Milieu juridique ▴ Wilhuff convoite Thalassa ▴ Chantage ▴ Malversations financières ▴ Tarkin & Krennic sont les associés seniors d'un gros cabinet d'avocats
▴ Wilhuff Tarkin (AU-7) ⋄ MAJ - 15/02 ⋄ -14 BBY ▴ Thalassa est une figure de proue de la rebellion ▴ Thalassa est la nouvelle Princesse Leïa ▴ Complots
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Jeu 23 Fév 2023 - 21:01
while seeking power, he found her · wilhuff tarkin x thalassa tarkin (au) - (nsfw)
“Welcome to my darkness, I been here a while. Clouding up the sunlight, hurting for a smile. Or something, but something always turns into nothing. Oh, I'll drain your life 'til there's. Nothing left but your blood shot eyes. Oh, I'll take my time 'til I show you how I feel inside. ▴ ( dark side -- bishop briggs) ✧ @Wilhuff Tarkin
-18 BBY – APPARTEMENTS DE WILHUFF TARKIN (CORUSCANT CITY)
Le ton parfaitement calme, froid et indifférent du Grand Moff Tarkin lui donne envie de vomir, tout en l’attirant paradoxalement dans ses filets. Wilhuff Tarkin est insaisissable. Aussi effrayant que les rumeurs disent de lui, mais ce que celles-ci ne disent pas, en revanche, c’est à quel point son charisme est déchirant. Il crève son âme. Elle se sent comme… prise au piège entre ses bras, sous l’emprise de son regard d’acier glacé, hypnotique. Non. Elle ne veut pas avoir à penser à lui en des termes inavouables. Elle ne veut pas le trouver attirant. Elle ne veut pas lui trouver quoi que ce soit d’appréciable. Wilhuff Tarkin est un monstre de cruauté et de froideur. Wilhuff Tarkin est un putain d’impérial. Wilhuff Tarkin a tué des millions d’innocents à travers la galaxie. Wilhuff Tarkin est un meurtrier. Elle est sa captive, condamnée à satisfaire les désirs lubriques d’un homme terriblement… surprenant. Wilhuff Tarkin est renversant. Elle se sent épiée par lui, observée de haut en bas comme un vulgaire trophée. C’est plus qu’honteux, c’est insupportable. Elle doit s’échapper, trouver un moyen de le dissuader de mettre ses menaces à exécution, – tout simplement, parce qu’elle craint d’y éprouver trop de plaisir. Il n’obtiendra rien d’elle. Il n’a aucun droit sur son plaisir. Thalassa refuse de se laisser prendre. De quelque manière que ce soit. Lorsqu’il ouvre la bouche pour faire un constat sur l’étendue des dégâts, elle se contente d’afficher une mine de parfait dédain, tout en le jaugeant de haut en bas. Parce qu’il pense sérieusement qu’elle nettoiera ses appartements ? Thalassa ricane mauvaisement en relevant la tête un peu plus fièrement pour lui jeter un regard de défi. Qu’il l’y oblige, s’il l’ose. Tarkin reprend ensuite, et la cloue figurativement sur place. Comment peut-on avoir une telle condescendance, un pareil mépris pour autrui ? Comment être aussi antipathique et en même temps… si magnétique ? « Mes domestiques pourraient s’en charger bien sûr, mais il me plaît que tu t'en occupes. » Elle pousse une légère exclamation, qui se fond en un rire amusé. Joli, chaud. Son rire est beau, cristallin. Tout est beau chez elle. « Dans ce cas, appelez vos domestiques, Grand Moff. » souffle-t-elle, en allant toujours plus loin dans la provocation. Ses poignets sont malheureusement attachés, elle ne peut matérialiser sa pensée, et cela a quelque chose d’extrêmement frustrant.
« Je pense que tout m’est dû sous le prétexte d'être le Grand Moff, je m’octroie seulement ce que je désire obtenir. » Son souffle se coupe. « Vous êtes… Je ne trouve pas les mots. » confesse-t-elle, partagée entre le dégoût et la honte. Le dégoût de se retrouver dans l’intimité d’un homme méprisable, incarnant la dictature et les injustices, ainsi que la honte d’être fortement troublée par son autorité. « Ce n’est pas déplaisant, je le concède. » La suffisance qu’il affiche a quelque chose d’excitant. Sa voix appelle la sienne, ses moindres rapprochements son corps entier. Enfin, il lui promet quelque chose. « Je finirai par te détacher. » Thalassa espère durant une fraction de seconde que Tarkin compte la détacher maintenant. Non… C’est bien trop simple, beaucoup trop, trop simple… « Mais pas tout de suite. » Thalassa se tend. Il fallait s’y attendre. Ses épaules, qui se sont précédemment levées de joie s’affaissent en signe d’abandon et de résilience. « Quand ? » crache-t-elle, agacée. Elle désire… Oui… Elle désire lui arracher son petit sourire satisfait, lui faire énormément de choses, le griffer, le mordre, le… Ses joues s’empourprent à l’instant même où elle réalise ce qu’il lui fait penser. A l’instant où elle prend conscience de la proximité de leurs visages. Tarkin s’est approché, elle ne peut plus s’enfuir. « Je ne vais te faire aucun mal. Uniquement du bien, Thalassa. » Cette menace résonne comme une sulfureuse promesse. Bien décadente. Elle veut en savoir plus. « Vos menaces résonnent comme des promesses… » confesse-t-elle en se permettant même un léger sourire. « Que pouvez-vous me promettre d’autre ? » Mais… Ces mots sortent naturellement, beaucoup trop naturellement. Les yeux assombris par ce qui semble être un désir plein de lubricité, Thalassa Motti fait tomber une première barrière entre eux. Elle brûle, secrètement, entre ses cuisses. Cela la dépasse, vraiment. Thalassa ne comprend pas pourquoi elle se sent si… excitée par son autorité, par sa cruauté. Derrière ses méchancetés, elle décèle toutefois une part de sensibilité surprenante. Il ne la prend pas comme un barbare, bien au contraire, il prend son temps. Il lui octroie finalement, d’une certaine manière, un certain respect… Il lui parle avec dignité, et éducation. Wilhuff Tarkin est un aristocrate bien né, intelligent et patient. Il est également plus âgé qu’elle, l’expérience fait qu’il est capable de domestiquer n'importe quelle sauvageonne. Il lui parle bien et avec soin, tout en lui proférant des insultes déguisées, en la rabaissant au simple statut de chose. Cela la trouble. Elle aime le son de sa voix, son léger accent aristocrate, ses airs maniérés… Tout chez Wilhuff Tarkin appelle un certain désir chez elle.
Thalassa se sent presque capable d’oublier le temps d’une étreinte toutes les atrocités qu’il a bien pu commettre au nom de la doctrine impériale. Thalassa baisse enfin les yeux et les armes. Il la prend pour une moins que rien, mais elle aime être l’objet de toutes ses convoitises. Quelque part, cela lui plait fortement d’être dans cette position de parfaite vulnérabilité. Wilhuff Tarkin l’observe de long en large, déshabillant son corps à la beauté envoûtante. Un frisson parcourt malgré elle son corps. Un frisson exquis. Un frisson qui glisse sur sa peau, hérisse ses poils. Elle se déteste si violemment à cet instant. Se mordre l’intérieur de la joue ou bien la lèvre inférieure ne lui permet pas de s’ôter de l’esprit toutes ces pensées obscènes le concernant. Elle manque d’honnêteté. Cruellement. Mais oui, elle veut être dominée, prise, touchée, caressée, embrassé et même… aimée par lui. Elle veut être son trophée, sa beauté divine, sa perfection. Elle convoite le fait de lui appartenir véritablement, sans concessions. Pas juste pour la nuit. Wilhuff Tarkin est… bien trop particulier, trop. Extrémiste, radical, fasciste, misogyne, supérieur, arrogant, charismatique… (que des qualités dis-moi) Elle le hait de tout son être. Elle le hait, elle le hait, elle le hait. Mais… Thalassa Motti se hait encore plus pour éprouver tous ces sentiments contradictoires, ces émotions sensuelles qui coulent sur son corps avec la sensualité des doigts précautionneux d’un amant. Ses doigts à lui.
« Pas… » bredouille-t-elle en le sentant venir de manière intrusive. Contre ses cuisses, puis le haut de ses cuisses, et il continue de remonter… Lentement mais sûrement. Thalassa gigote sous lui, instinctivement. « N… Non. » souffle-t-elle, troublée et effrayée. « Non… » répète la captive, cette fois au bord de ses lèvres. Il l’embrasse. Thalassa est surprise, dans un premier temps, par le fait qu’il l’embrasse le plus chastement du monde, avec l’intention de découvrir et de savourer la texture de ses lèvres. « Grand Moff… » supplie-t-elle. « Grand Moff Tarkin… » murmure la jeune femme en brossant à son tour les lèvres du Grand Moff du bord des siennes, en signe d’un début d’abandon. Tarkin prend terriblement son temps, et cela lui fait l’effet d’un coup de massue. Il prend trop son temps. Elle veut sa langue dans le fond de sa bouche. Il l’embrasse ensuite plus franchement, appréciant ce qu’il est en train de lui faire. Thalassa soupire, malgré elle. Le pire, c’est qu’elle répond à son baiser avec timidité, dans un premier temps, avant de prendre plus d’assurance. Leurs lèvres s’épousent merveilleusement bien, leurs langues se découvrent et apprennent à se dominer l’une et l’autre. Ils sont faits pour s’embrasser. A la perfection. Moins il la brusque, plus elle lui découvre des qualités. Plus elle… accepte l’inévitable, dans un coin de sa tête. Le goût de sa bouche est exquis, la douceur de sa langue fait progressivement irradier une chaleur certaine dans son intimité. Son excitation trahit toutes ses maigres protestations. Elle brûle peu à peu d’un désir incendiaire et viscéral, – le même que le sien. Thalassa essaie de prendre les devants, de contrôler ce baiser… mais il est bien trop expérimenté. Et elle réalise dans le même temps en vouloir encore plus. Les doigts de Tarkin atteignent facilement son dessous en dentelle noire. Il peut découvrir sans mal l’humidité qu’il a lui-même provoqué en l’embrassant aussi fougueusement. Le simple contact de la pulpe des doigts du Grand Moff le long de la fente de son intimité humide lui fait frôler les portes d’un doux et lancinant crescendo, celui de la montée de son propre plaisir. Elle se surprend à bouger les hanches, de manière lascive, tout contre ses doigts. C’est un geste inconscient, qu’elle essaie de taire, tout comme elle essaie de calmer la rougeur qui prend de plus en plus d’espace sur son visage. « Pas… Pas ça… » implore la jeune femme, qui réalise être tombée bien bas.
Essoufflée, brûlante et rouge de honte, Thalassa Motti ne peut décemment prétendre que les caresses du Grand Moff l’indiffèrent. Sur le coup, Thalassa veut reculer, s’enfuir, mais où aller ? Elle recule, et bascule le long du lit, sur le matelas. A sa merci. Elle l’attire dans sa chute, ses cuisses fermement accrochées autour des siennes. Elle s’accroche à ses hanches, parce qu’elle veut le sentir encore plus profondément. Ce sous-vêtement… est en trop. Elle refuse de le dire. Elle ne l’implorera pas d’enlever cette dernière barrière de tissu pour caresser plus franchement le feu brûlant qui sommeille en elle. Plus les doigts de l’impérial explorent, bougent et tourmentent, et plus elle se sent prise de vertiges fulgurants. Thalassa rejette brutalement sa tête contre le matelas, s’y cognant pour résister et réprimer ses gémissements. Ca y est. De soupirs, elle passe par des gémissements. Son bas-ventre est en feu, hurlant d’être délivré. Il se contracte douloureusement, comme des décharges et des crampes ici et là. Plus elle pense à l’orgasme qui approche, plus ces contractions redoublent d’intensité. Elle y est presque, elle le sent… « Je ne veux pas… Pas pour vous… » ment-elle, droit dans les yeux. Est-elle crédible un seul instant ? Joues cramoisies, une fine pellicule de sueur ornant son front et ses tempes… Jouir, non, elle ne peut pas. Pas pour lui. Quoiqu’elle veuille, son corps urge de plus d’attentions. Tarkin a un doigté remarquable, et cela la déchire de l’admettre. Il trouve exactement les bons endroits, les plus sensibles. Chaque passage, chaque caresse de leur pulpe éveille en elle un raz-de-marée de sensations agréables mais bien encore insatisfaisantes. Ce sous-vêtement la gêne trop, ce contact est maintenant insupportable. Elle a besoin de sentir ses doigts en elle, le long de ses lèvres intimes mouillées, sur son clitoris désormais douloureux, tant il la lance dans l’attente d’une sollicitation plus approfondie. Un contact doigt contre chair rouge sang. Des pulsations le traversent, comme des décharges imprévisibles, toutes plus électriques les unes que les autres. Prise dans un dilemme cruel, dans une dualité des sentiments de plus en plus visible… Il peut le voir. Le visage de la jeune femme se tord dans un mélange de douleur et de plaisir. C’est douloureux, car elle résiste, et bloque son plaisir pour s’empêcher de jouir. C’est agréable, parce qu’il a l’air de connaître parfaitement son corps. « Ne me faites pas… Pitié… Arrêtez… Ne me faites pas éprouver une chose pareille… Arrêtez-vous maintenant. Arrêtez… Arrêtez… Par les astres… » Elle se mord la lèvre sensuellement, beaucoup trop sensuellement pour qu’il n’en soit pas émoustillé. Ses « Arrêtez » sonnent comme des « Continuez ». Son « Ne me faites pas éprouver une chose pareille » sonne comme « Faites-moi jouir entre vos doigts ».
Son égo l’empêche de lui demander de lui arracher tout tissu qui lui barre la route, de mettre ses doigts en elle, tout en caressant d’un mouvement circulaire son organe de plaisir, à l’orée de son intimité. Elle le visualise pourtant de manière bien nette. Elle veut qu’il la baise de ses doigts, fortement, profondément et rapidement, tout en la caressant avec une infinie douceur plus haut. Elle veut ça. Elle veut jouir comme ça. Elle veut jouir dans la violence et la douceur. Elle veut sentir sa tendresse, sa force jusqu’au plus profond de sa chair. « Pas ça… Grand Moff Tarkin… Re... Regardez ailleurs... Ne me regardez pas au moment de... Par pitié, ne me faites pas cette humiliation... » souffle-t-elle dans un gémissement plus prononcé que les autres. Son visage moite, ces mèches de cheveux qui se collent à ses tempes, ces rougeurs… et surtout ce corps qui se cambre contre sa main et qui ondule sous la dextérité de ses doigts pour le guider vers les zones les plus sensibles, en quête de la friction parfaite, celle qui la fera décoller et exploser en une simple pression de la pulpe du doigt. Une vue excitante pour n’importe quel homme. Thalassa ferme alors les yeux et cherche à enfouir son visage contre les draps pour le dissimuler à sa vue, tandis qu’elle se met à gémir de plus en plus fort. Ainsi camouflée, elle trouve l’audace de se montrer beaucoup plus vocale avec lui. Elle masque sa honte. Le regarder dans les yeux… Non, c’est trop intense, trop puissant, trop humiliant. Elle ne veut pas et ne peut pas le regarder dans les yeux pendant qu’elle se trouve à deux doigts de chevaucher un orgasme qui promet d’être fulgurant. Elle se cache, elle ferme les yeux, elle se mord la lèvre plus fort jusqu’au sang. Thalassa Motti se sent presque sur le point de l’implorer non pas de cesser, mais parce qu’elle aime beaucoup trop de ce qu’il lui fait. Elle craint d’aimer jusqu’au point de non-retour, de jouir de bon cœur, d’en redemander et de pleurer lorsqu’il en aura terminé avec elle. Wilhuff Tarkin la jettera ensuite, c’est forcé. Pourquoi la garder avec lui ? Quel intérêt peut-elle avoir, une fois qu’il aura découvert et aimé prendre son corps. Sa virginité, ses premiers orgasmes. Elle n’aura plus aucune saveur pour lui. Thalassa Motti imagine le Grand Moff sous les pires aspects. Parce qu’elle le craint…. Elle a peur. De s’attacher au mal et d’être rejetée.
« sometimes i feel i've got to run away. i've got to get away from the pain you drive into the heart of me. this tainted love you've given. i give you all a girl could give you. take my tears and that's not nearly all. to make things right, you need someone to hold you tight, and you think love is to pray. i love you though you hurt me so. » (tainted love ▴ soft cell) •• LADY TARKIN.
Wilhuff Tarkin
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Jeu 13 Avr 2023 - 10:56
while seeking power, he found her · wilhuff tarkin x thalassa tarkin (au) - (nsfw)
-18 BBY – APPARTEMENTS DE WILHUFF TARKIN (CORUSCANT CITY)
Tarkin balaie d’un revers de la main la réflexion de Thalassa quand cette dernière pense obtenir quoi que ce soit de lui par le biais de la provocation, il y a presque une forme de compassion dans la manière dont ses sourcils se froncent, comme s’il se retrouvait tristement incrédule face à l’obstination de sa jeune captive de refuser un sort déjà décidé d’avance. Thalassa ne peut pas lutter. Elle sera ce qu’il attendra d’elle, elle fera ce qu’il exigera de sa part. Pour l’heure, sa belle volonté n’est pas encore complètement entamée, certes, mais cela viendra. Oui, il ne la veut peut-être pas aussi docile qu’il le prétend, en revanche, il entend dominer leurs échanges et leurs rapports, car c’est ce qu’il a toujours fait de mieux, et fera probablement toujours de mieux. Il le dit lui-même, son titre de Grand Moff lui vaut des privilèges qu’il ne rejettera pas. Elle ne trouve pas les mots pour le qualifier… Tarkin en est ravi. C’est ce qu’il veut. La déstabiliser. Il ressent, intimement, que la jeune femme, au moment de ne pas savoir accoler d’adjectif à ce « Vous êtes… », aurait envie de le couvrir d’insultes peut-être, mais également de compliments honteux. Oh, quelle perspective amusante !
« C’en sont… », répond Tarkin d’un ton très calme, où transperce un léger amusement, quand sa belle captive observe que ses menaces résonnent comme des promesses. C’est le cas. Et il est sérieux quand il affirme vouloir faire plus de bien que de mal à cette jeune femme qu’il apprécie de savoir à sa merci. Ce n’est pas juste une formule hasardeuse ou encore une manière de parler, c’est définitivement ce qu’il pense… Il ne verrait pas d’intérêt à ce qu’elle se soumette dans la souffrance, il trouvera bien plus de satisfaction à la soumettre dans un plaisir honteux, qui conduira à une jouissance plus honteuse encore. « Tu voudrais le savoir, hein ? » demande-t-il, un rictus malsain aux lèvres quand, d’un ton bien trop naturel, elle lui demande ce qu’il pourra lui promettre d’autre… Tarkin n’a pas l’intention de lui céder le moindre espace de terrain. C’est même hors de question. Mais il prendra plaisir, en revanche, à la voir céder d’elle-même et bien malgré elle, sans réussir le moins du monde à s’en empêcher. « Patience… », ajoute-t-il avec ce plaisir tout particulier qu’il ne dissimule pas… celui de la tenir à sa merci, de la mettre au supplice. Thalassa peut bien dire et faire ce qu’elle veut, dans les faits, elle lui appartient, et il devine, à ces détails aussi insignes qu’infimes, comme la lueur qui brille dans son regard ou la manière dont son corps tremble légèrement, qu’elle en a bien conscience. Thalassa, quoi qu’elle puisse en dire, est en cet instant brûlante, fébrile… abandonnée… Et Wilhuff Tarkin saura, par conséquent, obtenir d’elle absolument tout ce qu’il désirera, il est convaincu de cela.
Tarkin fait fi des protestations de celle qu’il entend prendre pour amante (le consentement, on oublie, visiblement – vraiment, c’est l’homme le plus charmant de la terre). Ses « non » n’ont rien pour le retenir. Ils n’ont rien pour l’alarmer ou l’arrêter car Wilhuff Tarkin est intimement convaincu, quoi qu’il en soit, de pouvoir les changer en « oui s’il devait le décider. Les signaux qu’elle lui transmet ne sont pas là pour lui suggérer autre chose. Quand il l’embrasse, elle entrouvre les lèvres, apprécie son baiser. Quand elle le supplie, elle l’appelle par son titre de Grand Moff, et ce simple fait l’excite… Terriblement, même. Ses soupirs, ses frissons, sa gestuelle… Elle est mûre et à point. Elle le veut si fort qu’elle n’est pas capable de lutter contre la pureté et la violence de ses émotions. Elle se laissera envelopper, consumer, et quand ce sera chose faite, elle ne pourra plus se passer de lui. C’est ce que le Grand Moff Tarkin a à l’esprit. Et on lui fera difficilement changer d’avis.
« Tu le veux, je le sens… »
Elle peut protester, oui, mais son corps lui vend des informations contradictoires. Il peut la sentir ô combien humide, par-dessus ce sous-vêtement en dentelles qu’il ne tarde pas à écarter pour s’offrir un accès privilégié à son intimité. Tarkin a la ferme intention de prendre son temps. Il ne veut rien brusquer. Il veut que Thalassa en redemande. Il veut qu’elle le supplie, comme à l’instant, non pas d’arrêter mais de poursuivre. De le transporter dans les abimes d’un plaisir encore jamais consommé…. Encore et encore, jusqu’à l’épuisement total. Il peut entendre son souffle se briser, l’appréhension et la honte l’étreindre, mais il s’en moque. Il sait précisément quoi faire et comment le faire, preuve en est des gémissements qui accompagne son exploration experte, quand il vient caresser avec douceur ce petit bout de chair enflée, à l’orée de son intimité, terriblement sensible à ses attentions. Chaque fois qu’elle le somme d’arrêter, il n’y croit guère et se contente de continuer de plus belle. Il ne cesse de contempler les traits de ce visage si parfait qui se déforment sous l’effet d’un plaisir conséquent, remarquable, incommensurable. Et il en rit. Franchement. Délicieusement. Il ne regarde pas ailleurs, au contraire, il la dévisage… Elle est si belle, elle est exquise, elle fait naître en lui des besoins et des désirs dont elle n’a même pas idée. Elle détourne le regard, certes, mais ses gémissements sont un signe merveilleux d’attachement et de dévotion.
« Je n’en est pas fini avec toi, Thalassa… » et ces mots à peine prononcés, il glisse sa tête entre ses jambes, embrasse délicieusement, avidement, l’intérieur de ses cuisses. Il s’adonne rarement à de telles pratiques, mais il s’autorise cet écart à dessein… Pour lui offrir un plaisir tel qu’aucun retour en arrière ne sera jamais possible. De ses lèvres, de sa langue, il embrasse, taquine, caresse, pénètres, toutes les zones les plus sensibles de son anatomie, désireux de la mettre au supplice.