▿ Métier : à la tête d'une fortune plutôt importante, elle gère ses biens et son argent en investissant dans les petites et grandes entreprises de la ville.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une maison bien trop grande pour elle seule - qu'elle a longtemps partagée avec Sabrina.
▿ Disponibilités rp : disponible. (Jean ▿ Jean ▿ Jean|Camille|Paul|Mary ▿ Camille ▿ Sabrina ▿ Mary ▿ Belle ▿ Louise ▿ Sabrina ▿ Paul ▿ Paul/Mary ▿ ...)
▿ Autre(s) compte(s) : Elizabeth Tudor ▿ Amy Pond ▿ Clarke Griffin ▿ Anna d'Arendelle ▿ Jodie Holmes ▿ Hermione Weasley ▿ Jasmine d'Agrabah ▿ Ambrose Spellman ▿ Mathilde Sorel ▿ Maura Franklin ▿ Katherine Pierce ▿ Mycroft Holmes ▿ Greer de Kinross ▿ Kara Williams ▿ Sybil Crawley ▿ Lucy Westenra ▿ Sasha Braus ▿ Freya de Vanaheim ▿ Harry T. Osborn.
de son monde d'origine, elle est arrivée avec deux choses : le mouchoir que sa mère lui avait brodé, il se trouvait dans l'une de ses poches. A ses côtés, posé par terre, elle a également trouvé le petit carnet que Jean lui a offert lorsqu'ils étaient enfants. Elle porte également une alliance, seule preuve de son mariage avec Jean, dont elle n'a pas de souvenirs.
Dim 13 Fév - 2:44
Depuis un temps qui lui paraissait déjà être une éternité, la vie de Sophie avait changé du tout au tout. D'abord de la bonne façon, lorsqu'elle avait retrouvé une partie de sa famille. Ensuite parce que Sophie avait fait la plus grosse erreur de toute sa vie. Une malheureuse rencontre - liée non pas au hasard, mais au désir malsain de cette ville à voir ses habitants souffrir - avait bouleversé toute son existence, de la pire des façons. Mais Sophie restait responsable de son malheur. Si cet homme était entré dans sa vie à cause de cette ville, il y était resté par sa faute à elle. Trop naïve et trop stupide, elle avait retrouvé cet homme volontairement et il lui avait fait payer cette envie de l'aider. Depuis, elle jouait un jeu. Douce, légère et joyeuse avec sa famille, terrorisée, apeurée et malheureuse lorsqu'elle était seule. Faire semblant en permanence. Simuler la joie, cacher la peur. Oublier la douleur, jouer le bonheur. D'une certaine façon, Sophie avait déjà joué à ce jeu lorsqu'elle était enfant, de retour en France après ce voyage qui lui avait fait tout perdre. Devant ses amis, elle oubliait tout de son malheur et elle redevenait l'enfant vive et joyeuse qu'elle était. C'était un jeu auquel elle était habituée, mais qu'elle devait désormais jouer avec davantage de force et de conviction. La moindre erreur lui serait, cette fois-ci, fatale. Sa belle-mère était un monstre. Vaas était le mal en personne.
Sophie ne pouvait parler à personne de ce qui hantait son esprit depuis un certain temps. Si son esprit s'absentait trop longtemps à cause de ses problèmes, elle devait se contenter de trouver une excuse valable. Les coups qui avaient recouvert son corps avaient été dissimulés, maquillés, cachés. Sophie avait évité tout le monde, prétendant être malade, prétendant devoir se rendre chez une amie, prétendant être tombée, prétendant n'importe quoi sauf la vérité. Si personne ne voyait les marques, elles n'existaient que pour elle. Si elles n'existaient que pour elle, elle n'avait nul besoin d'inventer une excuse au risque de s’emmêler les pinceaux. Cacher, mentir, dissimuler... Sa vie ressemblait à tout ce qu'elle détestait et à tout ce qu'elle avait toujours craint. Le pire, sans doute, était qu'elle devait vivre cette épreuve seule. Entièrement seule. Alors pour oublier un peu de cette douleur, de cette terreur et de cette solitude, Sophie passait tout son temps libre en compagnie de ses amis ou de sa famille. A leur contact, elle essayait d'oublier, de ne pas penser à l'inévitable, à ce moment où il reviendrait vers elle pour réclamer son dû.
Rentrant d'une visite à l'orphelinat, chez Camille, Sophie ne s'attendait pas à ça. Elle savait l'instant inévitable et proche, mais elle s'imaginait avoir un peu de répit pour se préparer. Sabrina n'était pas présente, elle le savait. Sophie savait également, par conséquent, qu'elle se retrouverait seule chez elle. Trop seule, et cette solitude l'effrayait désormais. Pourtant, à peine la porte d'entrée franchie et ses affaires déposées, ses yeux se posèrent sur une silhouette qui lui était désormais familière à son plus grand regret. Les battements de son coeur accélèrent aussitôt et elle sentit un poids naître dans sa poitrine, signe de la panique qu'il lui inspirait. Cet homme, elle avait voulu lui venir en aide, mais il l'avait réduite à l'état de victime. Elle était devenue celle qui avait besoin d'aide, à cause de lui. Pourtant, quelque part au fond d'elle, son désir de l'aider était intact parce qu'elle était désormais persuadée que c'était son seul moyen de s'en sortir. Aucun cas n'était désespéré. Elle voulait y croire de tout son coeur parce qu'il ne lui restait rien d'autre que ce stupide espoir. Elle pouvait - ou devait - lui faire comprendre que les êtres humains n'étaient pas tous monstrueux, elle pouvait faire en sorte qu'il ait l'envie de changer, de s'améliorer, de devenir plus humain. Stupide espoir.
Sophie s'était aussitôt stoppée en ayant vu cet homme qui s'était imposé chez elle. L'idée qu'il ait pu la trouver, qu'il ait pu entrer ici comme ça lui donnait l'impression de ne plus avoir aucune liberté. Il faisait ce qu'il voulait, quand il le voulait. « Que faites-vous ici ? » Souffla-t-elle d'abord, ne le lâchant plus du regard. « Comment avez-vous trouvé cette adresse ? Comment êtes-vous entré ? » Ne put-elle s'empêcher de demander dans un souffle, terrorisée par sa présence inattendue ici. Cette intrusion, chez elle, lui prouvait une chose : il avait tous les pouvoirs et il le lui montrait. Il pouvait tout aussi bien entrer chez elle quand Sabrina, quand Jean, quand l'une de ses soeurs étaient là... Il avait alors toutes les cartes en main pour lui mettre toute la pression qu'il voulait. Et quelque chose lui disait que ce jeu lui plaisait.
Dernière édition par Sophie de Réan le Ven 18 Fév - 1:40, édité 1 fois
Invité
Lun 14 Fév - 15:38
Faire tomber les barrières × ft. Sophie
Au sein de sa caravane, affalé sur l’un des vieux fauteuils, le pirate réfléchissait à l’apparition récente de sa sœur dans sa vie. Alors, qu’elle se tenait, devant lui, démunie, impuissante… Cet idiot n’avait pas pu l’achever… Assener l’ultime coup… Ôter la vie de cette garce… Cette femme affirmait haut et fort qu’elle était amnésique, qu’elle ignorait l’existence de son petit frère. Malheureusement, il n’y croyait pas. Non, trop d’éléments discordaient et prouvaient bien que sa sœur était celle de ses souvenirs et qu’elle se moquait de lui pour la énième fois. Elle mentait, Vaas… Elle te manipule comme à chaque fois… Et tu es tombée dedans comme un pauvre con… Regarde-toi… Une petite voix sifflante murmurait, au plus profond de lui, une vérité qu’il n’oserait jamais avouer. Une vérité, trop acerbe, trop accablante. Sa mâchoire se crispa, son poing se serra et la rage explosa. Férocement, la bouteille de rhum vola au travers de l’habitacle et se brisa en mille morceaux dans un coin. Cette lutte intérieure dévorait le peu de raison encore présente. Ses phalanges se plantèrent dans son crâne. Debout, il faisait les cent pas et grommelait rageusement dans sa barbe. Les propos crachés étaient incompréhensibles. Une simple symphonie de mots marmonnée sans grande articulation.
Subitement, ses grognements se transformèrent en gloussement. Son imagination caressait avec impatience sa prochaine rencontre avec sa sœur… Néanmoins, aurait-il le courage de presser sur la détente ? Malgré les diverses tentatives de meurtres, l’un comme l’autre échouait à chaque fois. Une réflexion émergea dans son esprit déviant. Si sa sœur était amnésique… Est-ce qu’ils pourraient enfin obtenir une relation saine avec cette dernière ? Au début, cette idée lui parut séduisante. Rapidement, il chassa ses foutues pensées en secouant la tête. Cette idée lui retomberait dessus tôt ou tard ! La fourberie de Citra n’avait pas d’égal. Sa perte de mémoire n’avait en rien entaché son caractère, elle restait la même garce manipulatrice. Un bip l’arracha de ses pensées. Ses yeux se déportèrent sur son téléphone qui affichait un message d’un de ses employés. Apparemment, la charmante Sophie était de sortie. Un sourire chassa tout tracas ! Son conflit avec sa sœur n’était plus qu’un lointain souvenir, l’argent avait le pouvoir de réparer ses maux. Aujourd’hui, c’était jour de paye et il désirait « encourager » sa nouvelle recrue.
Un crissement de pneus s’éleva. Le pirate sortit du véhicule et siffla en voyant la maison de Sophie. Belle architecture, il avait décidément visé sur le bon cheval pour blanchir son argent. Personne ne se douterait de cette gamine ! Entrant, totalement par effraction, ses pas le menèrent dans le séjour. Le trafiquant observait la décoration. Tout était finement choisi ! Chaque élément concordait avec la pièce par sa couleur et son positionnement. Seuls les bourgeois s’attelaient à ce genre de passe-temps superflus. Parmi toutes ces riches babioles, des cadres trônaient sur certains meubles. On y reconnaissait Sophie accompagnée de deux autres personnes : une brunette et une autre blonde. Son guetteur lui avait annoncé qu’elle ne vivait pas seule et qu’elle possédait divers moyens de pression. La famille… Une source inépuisable pour faire chanter ses victimes. Dans un sens, Vaas comprenait ce futile besoin de préserver ses proches. Jadis, ce pirate aurait fait n’importe quoi pour sa sœur… Jusqu’à ce qu’elle le trahisse et l’envoie balader avec une magnifique cicatrice, celle qui paradait fièrement sur le côté gauche de son crâne. Continuant ses observations, ses doigts agrippèrent un cigare et l’allumèrent grâce à son feu. Un fin fumet de foin coupé mélangé à des nuances florales variées emplit la pièce.
Sa main empoigna un cadre où Sophie souriait en compagnie d’un jeune homme. Leur regard amoureux se noyait l’un dans l’autre… Enlacée et tapie au creux de ses bras, elle respirait un bonheur incommensurable, elle aspirait à une joie de vivre indiscutable. L’amour, un magnifique sentiment. Ce sentiment permet d’effacer les souvenirs les plus noirs, de repousser les démons les plus horribles, de renaître de ses cendres… Néanmoins, l’amour rendait inconscient, bête et totalement suicidaire. Combien de gens se sont détruits par amour ? Combien d’âme en peine se sont sacrifiés pour l’amour de leur vie ? Le filet de fumée s’écrasa sur la vitre du cadre et tomba en cascade. Sa mâchoire se resserra, légèrement agacé par ses divagations. L’amour n’est qu’un ramassis de connerie ! Bien décidé à savoir, qui est cet individu, il ôta la protection du cadre et prit la photo entre ses doigts. « Elle t'a bien baisé... » Il la photographia et l’envoya à l’un de ses collaborateurs. La porte d’entrée cliqueta et dévoila la silhouette élancée de son employée. Sa moue se terrifia lorsqu’elle rencontra le visage de son ancien agresseur. Comprenait-elle enfin que désormais elle était sienne et qu’il ne la lâchera pas ? En négociant sa liberté, elle s’était condamnée à une vie servile. Délaissant la feuille satinée et lisse qui s’écrasa au sol, ses pas s’approchèrent de la jeune femme. Un immense sourire sur son visage.
« Guapa… C’est jour de paye ! » Gloussa-t-il. Pour sa survie, il valait mieux qu’elle n’ait pas oublié leur petit arrangement. « Je suis venu récupérer mon pognon ! Tu sais… Tu te rappelles quand tu m’as dit que tu ferais n’importe quoi pour sauver ta petite famille ? Hein ? » Il inspira l’embout de son cigare et recracha la fumée. « Bien… Bien ! Donc… J’espère que cette putain d’information ne t’a pas échappé, à toi et ton putain d’esprit ! » Siffla-t-il acerbe. « Quoi ? T’as envie que j’ouvre en deux ta petite famille ? Non… Non ? Hein ! Alors, je veux mon fric, Sophie ! » Hurla-t-il avant de glousser. « Ça va, c’est bon. Je me détends. » À nouveau, il tira sur son cigare avant de le déposer sur le plan de travail de la cuisine. Il se rapprocha d’elle et planta son regard furibond dans le sien. « Comment je suis entré ? Mais t’as de la merde dans la tête ! C’est moi qui ai les couilles ici ! T’es ma chose ! Compris ? Je rentre, je sors comme j’en ai envie. Et maintenant, je veux voir mon fric ! » Rugit-il impatience de voir ses liasses de billets propres, lavées et repassées. « Maintenant ! » Hurla-t-il en voyant l’inaction de Sophie. Prenant totalement ses aises, il installa son royal postérieur sur le plan de la cuisine et rechercha un verre ou un quelconque récipient pouvant contenir un liquide. « Rangement de merde ! » Finalement, il finit par trouver son dû, mais la jeune femme revint avec sa demande. Vaas déposa le verre à ses côtés et frotta ses mains ensembles, impatient de découvrir son butin.
Dernière édition par Vaas Montenegro le Dim 20 Fév - 13:17, édité 1 fois
Sophie de Réan
▿ Ton univers : Les malheurs de Sophie.
▿ Date de naissance : 19/07/1996
▿ Age : 28
▿ Métier : à la tête d'une fortune plutôt importante, elle gère ses biens et son argent en investissant dans les petites et grandes entreprises de la ville.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une maison bien trop grande pour elle seule - qu'elle a longtemps partagée avec Sabrina.
▿ Disponibilités rp : disponible. (Jean ▿ Jean ▿ Jean|Camille|Paul|Mary ▿ Camille ▿ Sabrina ▿ Mary ▿ Belle ▿ Louise ▿ Sabrina ▿ Paul ▿ Paul/Mary ▿ ...)
▿ Autre(s) compte(s) : Elizabeth Tudor ▿ Amy Pond ▿ Clarke Griffin ▿ Anna d'Arendelle ▿ Jodie Holmes ▿ Hermione Weasley ▿ Jasmine d'Agrabah ▿ Ambrose Spellman ▿ Mathilde Sorel ▿ Maura Franklin ▿ Katherine Pierce ▿ Mycroft Holmes ▿ Greer de Kinross ▿ Kara Williams ▿ Sybil Crawley ▿ Lucy Westenra ▿ Sasha Braus ▿ Freya de Vanaheim ▿ Harry T. Osborn.
de son monde d'origine, elle est arrivée avec deux choses : le mouchoir que sa mère lui avait brodé, il se trouvait dans l'une de ses poches. A ses côtés, posé par terre, elle a également trouvé le petit carnet que Jean lui a offert lorsqu'ils étaient enfants. Elle porte également une alliance, seule preuve de son mariage avec Jean, dont elle n'a pas de souvenirs.
Dim 20 Fév - 2:10
Sophie savait que ce moment arriverait tôt ou tard. Elle s'attendait simplement à des manières différentes. Elle pensait être contactée pour lui remettre l'argent, chez lui. A aucun moment, elle ne s'était imaginée qu'il viendrait jusqu'ici. Alors, forcément, dès qu'elle avait aperçu cet homme planté au milieu de chez elle, elle s'était figée, paniquée. Une drôle de sensation l'avait envahie immédiatement. Elle n'était plus en sécurité nulle part. Il était libre de faire ce qu'il voulait, quand il le voulait. Cette idée la terrifiait terriblement. Sophie avait une famille et des amis, elle avait l'impression de les mettre en danger. Qu'était-il capable de faire si Sophie commettait la moindre erreur ? Si ses services ne lui suffisaient plus ?
Figée sur place donc, elle l'observait lâcher une photo qu'il tenait entre les mains, la laissant tomber sur le sol. Une fois encore, l'idée qu'il puisse savoir à quoi ressemblaient les membres de sa famille lui procurait une sensation affreuse de culpabilité et de peur. Sans perdre de temps, à peine l'eut-il aperçu, il réduisit la distance entre eux, ce qui eut pour effet immédiat de tendre davantage Sophie. Il lui avait déjà montré de quoi il était capable. Ces images ne la quittaient jamais. Alors plus il était loin d'elle, plus elle se sentait en sécurité. Il lui semblait impossible de deviner ses intentions, ce qui le rendait davantage effrayant encore.
S'il prenait le temps de préciser la raison de sa venue, c'était totalement inutile. Sophie avait compris, dès l'instant où ses yeux s'étaient posés sur lui, le pourquoi il était là. La jeune femme ne bougeait pas et restait silencieuse, se contentant de gestes de la tête pour lui répondre lorsque cela était nécessaire. Elle le laissait hurler et lui réclamer son argent. Elle avait fini par comprendre qu'il ne servait à rien d'espérer autre chose que des cris et qu'elle devait déjà s'estimer bien heureuse lorsqu'il s'en contentait. Néanmoins, dès l'instant où il se rapprochait d'elle pour lui expliquer qu'il entrait ici s'il le voulait et quand il le voulait, le corps de Sophie se figea complètement, ne supportant plus sa proximité. A chacun de ses mots, elle comprenait à quel point elle avait dit adieu à toute forme de libertés. Sophie devrait payer une malheureuse erreur toute sa vie.
Face à sa proximité et ses hurlements, même s'il réclamait son argent, la jeune femme ne bougea pas. Pas avant qu'il ne lui hurle qu'il le voulait maintenant, préférant ne pas bouger avant qu'il n'ait terminé, de peur de déclencher sa colère. Sophie ne perdit alors plus une seconde pour aller lui chercher ce qu'il voulait, souhaitant le voir quitter cette maison au plus vite. Argent en mains, elle se précipita vers la cuisine. Sans attendre, elle lui tendit ce dernier, avant de s'éloigner de quelques pas. Elle craignait d'avoir mal compris une consigne ou d'avoir mal fait quelque chose. Son coeur s'accélérant à cause de la crainte d'une potentielle erreur commise, Sophie préférait lui tourner le dos et en profiter pour se servir un verre d'eau. Elle devait s'occuper jusqu'à ce qu'il ait tout vérifié, l'angoisse l'ayant totalement envahie au moment de lui déposer cet argent dans les mains, craignant ses représailles.
Aussitôt, Sophie se sentit différente. Moins effrayée, plus sereine. La terreur laissait place à un tout autre sentiment sans qu'elle ne puisse expliquer d'où il venait, sans qu'elle ne puisse même le trouver étrange. Au contraire, tout lui semblait étrangement naturel. Elle se sentait bien, désormais. Déposant alors le verre dans l'évier, elle se tourna vers Vaas pour l'observer avec ce nouveau regard, sans la moindre peur et, sans s'en rendre compte, ses pas l'amenèrent jusqu'à lui, guidés par elle ne savait quoi.
Sophie avait toujours eu beaucoup de mal à contrôler ses émotions. Surtout lorsqu'elles étaient si puissantes, si soudaines. Alors lorsque tant de sentiments profonds s'étaient éveillés en elle d'un seul coup, elle n'avait pas su réagir autrement qu'en y cédant. Peut-être aurait-elle pu se comporter autrement qu'en allant chercher son contact directement, mais Sophie réfléchissait souvent après avoir agi, alors un philtre agissant en plus en elle, et elle perdait tout contrôle, le temps de s'adapter à ses nouvelles émotions, du moins.
Lentement, l'une de ses mains s'approcha de lui et glissa sur son visage. Sophie ne trouvait rien d'anormal à ce qui était en train de se passer, ses pensées étaient trop embrouillées par ce qui était en train d'agir en elle : ce maudit philtre. Un instant, ses yeux cherchèrent les siens avant de se baisser. Il n'y avait aucune lutte en elle, aucun doute. Elle en oubliait le monstre qu'il était ou ce qu'il avait pu lui faire. Sans plus attendre, son autre main s'aventura sur son bras pour atteindre sa main, lentement. Elle cherchait à lier ses doigts aux siens. Son esprit ne la rappelait pas à l'ordre, sa morale se taisait. Elle en oubliait cette bague qu'elle portait, elle en oubliait cet homme qu'elle aimait plus que tout et qui ne se doutait pas de ce qui était en train de se passer dans son dos. Non, elle ne pensait plus qu'à lui. Il n'y avait plus que lui dans son esprit. Il occultait tout le reste comme si ce reste n'avait jamais existé, comme s'il avait toujours été le seul. Son visage s'approcha alors de celui de cet homme et son regard, plein de douceur, se fixa au sien pour ne plus le quitter. Leurs souffles se mêlèrent d'abord, puis Sophie vint lui caresser tendrement la joue du bout des doigts. Elle ignorait combien de temps cette scène avait duré - à peine quelques secondes, en réalité - elle ignorait combien de temps elle avait pu résister avant que ses lèvres n'aillent effleurer les siennes dans un premier temps, puis avant qu'elles n'aillent les attraper, délicatement et tendrement, réduisant ainsi les tous derniers centimètres qui les séparaient, submergée par des sentiments qu'elle ne s'expliquait pas et qu'elle ne cherchait pas à expliquer.
Invité
Dim 20 Fév - 18:53
Faire tomber les barrières × ft. Sophie
Son cigare, traînant toujours sur le plan de travail, s’éteignait peu à peu. Le verre lui n’avait pas bougé. Le pirate ne s’intéressait qu’au sac qu’amenait Sophie. « Viens voir… Ven con papá. » S’égaya-t-il en l’ouvrant. Les liasses de billets, en petite coupure, parfaitement alignées, démontraient une grande application de Sophie. « Une bonne petite chienne qui fait plaisir à son maître… J’espère que le compte y est. » La menaça-t-il. Avant de débuter sa besogne, il empoigna son verre et profita pour se rincer la bouche. « Cigare de merde ! » Des résidus de tabac s’étaient infiltrés entre ses dents. Il cracha son contenu dans l’évier, mais le mal était fait. Lorsqu’il revint vers le sac pour dénombrer son contenu. Ses émotions s’emballaient, se transformaient, s’emmêlaient… Soudain, les billets vert ne possédaient plus le même attrait à ses yeux.
Son regard changea… Ses yeux rencontrèrent ceux de Sophie. Un sentiment puissant naissait au fond de lui… Les mots ne pouvaient pas décrire l’incroyable sensation qu’inondait son corps. Tous ses tracas s’envolèrent… Son obsession viscérale s’atténuait… Désormais, Sophie monopolisait son esprit. Instinctivement, il chercha un fautif à cet état. Le premier élément incriminé fut la drogue, même si sa consommation n’avait pas changé. Peut-être que le coupable était l’alcool ? Toutes ses interrogations furent balayées d’un seul coup par cette léthargie affective. Ce bien extrême, le trafiquant n’avait jamais eu la chance d’y goûter… Cette émotion nouvelle tiraillait ses tripes, animait tout son être. Les doigts de Sophie sur son visage électrisèrent son corps, une vague de plaisir déferla le long de son échine. Intérieurement, il maudissait ce stupide sentiment qui le submergeait et ne comprenait pas le comportement de Sophie. Les contraires s’attirent… Peut-être était-elle tombée sous le charme de Vaas ? Peut-être que cette pauvre enfant avait développé un syndrome de Stockholm ? D’innombrables questions assaillirent sa tête, mais la présence de Sophie à ses côtés les chassa. Étonnamment passif, il la laissait sombrer dans cette idylle interdite… À ce moment précis, son argent ne signifiait plus rien pour lui. Ses doigts abandonnèrent leur tâche et s’entremêlèrent à ceux de la jeune femme.
Ses lèvres se lièrent dans un tendre et chaste baiser. Cette action liquéfia entièrement les sens de Vaas… Comme si plus rien n’avait d’importance ! Seul, ce bout de femme importait à ses yeux. La raison se perdait dans ce torrent d’émotion bien trop fort. Son cerveau se déconnectait, perdait pied avec la rationalité. Désormais, il n’était plus qu’une âme guidée par ses pulsions. Son corps se pressa contre le sien. Sa main libre empoigna la main de Sophie sur sa joue et la fit passer derrière sa nuque. Ses doigts, emmêlés fermement aux siens, les guidèrent également vers son cou. Ce baiser délicat se poursuivait… Rien ne dérangeait cet agréable moment. Néanmoins, le contrôle des émotions n’était pas le point fort de Vaas… En règle générale, son impulsivité le faisait partir au quart de tour. Actuellement, sous l’effet d’un puissant philtre d’amour, la retenue céda. Les barrières s’écroulèrent une à une. Son baiser s’intensifia. Ses bras s’enroulèrent autour des cuisses et la décollèrent du sol. Sa musculature encaissa sans grande difficulté le poids de la charmante demoiselle. Sans pour autant quitter ses lèvres, sa démarche les mena jusqu’au plan de la cuisine. Sous la brusquerie de ses actes, le verre roula et se brisa dans l’évier. Rien n’y fais, aucun événement externe ne l’intéressait. Ses mains abandonnèrent ses cuisses pour remonter le long de son échine, la pressant totalement contre le poitrail de Vaas.
Le temps se suspendait autour d’eux. Le silence, dérangé par quelques bruissements faibles et inarticulés, les englobait de son confortable cocon. Ses pulsions animales montèrent d’un cran. Ses mains agrippèrent les deux pans de son chemisier. Violemment, les boutons cédèrent et volèrent un peu partout dans la pièce. Ses mains maintenaient le vêtement qui tombait sur les épaules de Sophie, l'empêchant de se couvrir. Abandonnant ses lèvres à contre cœur, son regard brûlant parcourait avidement son corps dénudé. Cependant, on y apercevait, également, un feu incandescent, celui de l’amour. Délaissant son chemisier, ses mains se posèrent sur sa peau nue et glissèrent dans son dos. Ses caresses tantôt brusques, tantôt douces, tentaient de s’accorder dans cette ode à l’amour. Ses lèvres se posèrent sur les siennes pour un baiser fébrile, comme s’il était le premier et le dernier de cette farouche liaison. Délaissant sa bouche, ses baisers se déposèrent sur sa mâchoire et descendirent sur son cou. Toujours sous l’entrain de cet amour soudain, il mordillait, pinçait et parcourait sa peau avec ses lèvres, ses dents et sa langue. Tous ses gestes étaient rustres, mais il tentait au mieux de transmettre une délicatesse, qui ne le caractérisait pas. Mené à la baguette par ses instincts primaires, animales, ses doigts déboutonnèrent son pantalon. Ses mouvements, erratiques, enivrés par le plaisir, tirèrent sur son pantalon pour l’abaisser. À cet instant, ses lèvres s’écrasèrent contre les siennes pour éviter toute protestation. Un baiser bestial et violent emporta toute douceur. Chasser le naturel et il revient au galop, n’est-ce pas ? Un râle rauqua mourra contre les lèvres de Sophie lorsque celle-ci tira sur sa crête.
Dernière édition par Vaas Montenegro le Ven 4 Mar - 18:58, édité 1 fois
Sophie de Réan
▿ Ton univers : Les malheurs de Sophie.
▿ Date de naissance : 19/07/1996
▿ Age : 28
▿ Métier : à la tête d'une fortune plutôt importante, elle gère ses biens et son argent en investissant dans les petites et grandes entreprises de la ville.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une maison bien trop grande pour elle seule - qu'elle a longtemps partagée avec Sabrina.
▿ Disponibilités rp : disponible. (Jean ▿ Jean ▿ Jean|Camille|Paul|Mary ▿ Camille ▿ Sabrina ▿ Mary ▿ Belle ▿ Louise ▿ Sabrina ▿ Paul ▿ Paul/Mary ▿ ...)
▿ Autre(s) compte(s) : Elizabeth Tudor ▿ Amy Pond ▿ Clarke Griffin ▿ Anna d'Arendelle ▿ Jodie Holmes ▿ Hermione Weasley ▿ Jasmine d'Agrabah ▿ Ambrose Spellman ▿ Mathilde Sorel ▿ Maura Franklin ▿ Katherine Pierce ▿ Mycroft Holmes ▿ Greer de Kinross ▿ Kara Williams ▿ Sybil Crawley ▿ Lucy Westenra ▿ Sasha Braus ▿ Freya de Vanaheim ▿ Harry T. Osborn.
de son monde d'origine, elle est arrivée avec deux choses : le mouchoir que sa mère lui avait brodé, il se trouvait dans l'une de ses poches. A ses côtés, posé par terre, elle a également trouvé le petit carnet que Jean lui a offert lorsqu'ils étaient enfants. Elle porte également une alliance, seule preuve de son mariage avec Jean, dont elle n'a pas de souvenirs.
Mar 1 Mar - 19:27
Ses humiliations ne la surprenaient plus. Elle tentait de les ignorer au mieux. A chaque fois qu'il s'adressait à elle, il l'insultait ou la rabaissait. Elle préférait qu'il passe ses nerfs sur elle de cette façon, alors elle ne relevait pas. Ses menaces lui faisaient davantage peur, même si cette fois-ci, elle ne risquait rien normalement. Le compte y était. Elle l'espérait. Elle avait tenté de faire au mieux pour respecter chacune de ses consignes, mais elle était humaine et pouvait faire une erreur, chose qu'il ne comprendrait pas, elle le savait. Alors tandis qu'il s'apprêtait à vérifier, Sophie s'éloigna pour boire un verre d'eau. Elle ne souhaitait qu'une chose, que le compte y soit et qu'il quitte cet endroit au plus vite.
Pourtant, cette envie la quitta bien vite. Lorsque ses yeux se posèrent de nouveau sur lui, elle sentit son coeur s'emballer et de nouveaux sentiments naître - ou se réveiller, puisqu'à ses yeux, ils n'avaient rien de nouveaux. Impulsive, sans prendre une seule seconde pour réfléchir aux conséquences de ses actes - parce qu'elle en était tout simplement incapable, complètement contrôlée par quelque chose de plus fort qu'elle - la jeune femme s'était rapprochée de lui. Son regard chercha le sien, ses mains cherchèrent le contact de sa peau puis ses lèvres cherchèrent les siennes. Complètement incapable de résister à cette attraction nouvelle. Tous ses gestes étaient emplis d'une délicatesse et d'une douceur absolues. Elle lui donnait toute la tendresse qu'elle était capable de donner à l'homme qu'elle aimait. Et à cet instant, à ses yeux, cet homme, c'était lui. Il n'y avait que lui. Il était celui qu'elle aimait.
Répondant enfin à ses gestes, il se pressa contre elle, entremêlant sa main libre à celle que Sophie avait posé sur sa joue, pour la glisser sur sa nuque. La douceur de leur baiser disparut peu à peu - sans disparaître complètement - pour laisser place à quelque chose de plus passionné. Il semblait se laisser aller complètement à ses émotions et ses pulsions. Détachant ses mains des siennes, il la souleva tandis que les bras de Sophie s'enroulèrent autour de son cou, puis la poussa jusqu'à ce qu'elle rencontre le plan de travail. Cette collision entraîna la chute d'un verre dont Sophie se moquait complètement. Elle restait concentrée entièrement sur lui, sur leur baiser, sur leur échange. C'était à peine si elle l'avait entendu.
Ses mains, à elle, se faisaient moins aventureuses, glissant sur sa nuque, ses bras ou son visage. Ses caresses étaient plus douces, plus délicates et plus retenues. Leurs façons de se découvrir semblaient discorder. Ensemble, mais différemment, ils apprenaient à connaître leurs lèvres et leur peau. Sophie sentait qu'il perdait peu à peu le contrôle de ses émotions, qu'il laissait ses instincts reprendre le dessus et le guider. Mais elle sentait également toute la douceur qu'il essayait d'avoir pour elle, toute la délicatesse qu'il essayait de mettre dans certains de ses gestes. Il était capable de douceur, comme de brutalité. A cet instant, aucune des deux facettes ne dérangeait Sophie. Elle notait la délicatesse avec laquelle ses mains parcouraient son dos. Elle notait la brutalité avec laquelle ses mains arrachèrent son chemisier. Bien que surprise par le geste, Sophie n'émit pas le moindre refus, submergée par tout ce qu'elle ressentait soudainement. Submergée par ce trop-plein d'émotions et de passion.
Ses mains toujours accrochées à son vêtement, il avait fini par stopper leur baiser pour l'observer. Pour la première fois, le regard qu'il posait sur elle ne la dérangeait pas. Il avait même quelque chose d'agréable. Quelque chose de nouveau. Il y avait cette lueur au fond de ses yeux, qu'elle n'avait encore jamais remarqué chez lui. Les yeux de Sophie ne le lâchaient plus, elle découvrait des traits différents chez lui. Plus humains. Elle découvrait un regard qui était capable de montrer autre chose que de la haine ou un désir dégoûtant. Elle fut cependant interrompue dans ses réflexions quand les mains de l'homme abandonnèrent sa chemise pour se glisser dans son dos. Sophie termina donc de se débarrasser de ce vêtement pour rester libre de ses mouvements. Puis à son tour, elle laissa ses mains s'aventurer, lentement, sous son haut. Timidement et du bout des doigts, elle découvrait la peau marquée de l'homme par des caresses délicates qui contrastaient avec celles de Vaas.
Sophie ne réagissait pas, ne l'empêchait pas. Elle laissait les mains de l'homme courir sur son corps, elle laissait ses lèvres parcourir sa peau. Incapable de dire non, incapable de comprendre ce qu'elle était en train de faire, elle désirait tout cela. Emportée par cette passion naissante, elle frissonnait à chacun de ses contacts. Vaas aventura alors ses mains vers son jean, pour le déboutonner. Ce fut ce qui la fit reprendre un minimum contact avec la réalité, avec ce qu'elle était en train de faire - mais pas suffisamment pour la faire tout arrêter. Il accompagna ce geste d'un baiser plus brutal. Plus violent. Moins doux, mais empli de passion et de désir. Les mains de Sophie se promenaient sur sa nuque, ses cheveux et son visage. Par réflexe, ses ongles s'enfoncèrent dans sa chair face à la brutalité de ce baiser. Mais, bien vite, cette petite lueur de morale la ramena à elle. Les mains de Sophie le lâchèrent pour attraper celles de l'homme. A défaut de lui dire d'arrêter, elle tentait de lui faire comprendre qu'elle ne le laisserait rien enlever d'autre. Elle serra les deux mains entre les siennes avant de venir les déposer sur sa taille. Chaque fois que ses mains s'aventuraient un peu trop loin, un peu trop brutalement, Sophie les capturait pour les emmener ailleurs. Elle ne voulait pas mettre fin à cette étreinte et à ces baisers, mais s'il ne comprenait pas, s'il se montrait trop insistant, la morale et la raison de Sophie reprendraient le dessus. Pour le moment, elle était capable de les dominer et de les faire taire. A tel point, qu'emportée par l'instant, les émotions de Sophie s'emballaient, elles aussi. Sophie n'était pas aussi entreprenante que lui, elle se laissait guider, mais emportée par ce moment, ses mains agrippèrent son haut avec l'idée de lui retirer. Maladroite dans ses gestes, sans aucun doute, elle décolla ses lèvres des siennes pour ce faire avant de les capturer de nouveau, laissant ses mains découvrir de nouveau cette peau désormais débarrassée de son vêtement. Plus retenue, seules ses mains s'aventuraient à le découvrir, à l'étreindre ou à le serrer contre elle. Ses lèvres, elles, ne quittaient jamais celles de Vaas, sauf lorsque lui décidait de s'aventurer ailleurs.
Invité
Sam 5 Mar - 11:38
Faire tomber les barrières × ft. Sophie
Lors des assauts de Vaas, Sophie acceptait simplement la brutalité de son amant. Pour la première fois de sa vie, le pirate réprimait sa bestialité légendaire pour s’adonner à une douceur maladroite. La peau de Sophie accaparait tous ses sens… Son odeur simple et légèrement florale l’enivrait. La vision de son corps nu accompagné de son regard de biche envoûtait le pirate. Ses gémissements plaintifs de ses caresses buccales sur son corps arrachaient un frisson le long de son échine. Sa langue glissait le long de sa mâchoire appréciait son goût légèrement salé. Les paumes de ses mains fiévreuses découvraient chaque centimètre de sa peau si délicate. Tous ses sens étaient en éveil ! Insatiable, comme à son habitude, ses doigts tentèrent à plusieurs reprises de déboutonner le jean de Sophie. Toutes ses tentatives se soldèrent par un échec cuisant, sa partenaire le repoussait délicatement. Un profond grognement rauque protesta contre cette initiative. Impatient, le trafiquant allait mettre fin à ce ballet, mais la charmante créature ôta son vêtement. La maladresse de cette dernière fit sourire son amant. Un sourire légèrement moqueur, mais avant tout réconfortant. Oui, une grande première pour Vaas ! Ses mains vinrent l’aider à se débarrasser de son haut qu’il bazarda dans un coin de la cuisine. Sans attendre une minute de plus, ses bras puissants l’attirèrent contre lui. Son torse robuste, pressé contre sa poitrine, toujours vêtu de son soutien-gorge, découvrait avec ferveur ce nouveau contact. Les doigts timides de Sophie venaient par moments se mêler à cette danse. Malheureusement, Vaas ne put se contenter de ce qu’il avait ! Dans une ultime tentative d’accéder à l’objet convoité, ses doigts agrippèrent le bouton de son jean et le défièrent avec une étrange délicatesse. Il prenait en compte le ressenti de Sophie et son envie de tendresse, mais lorsqu’elle attrapa ses mains, cela fut l’action de trop.
Brutalement, férocement, ses poings s’abattirent sur le plan de la cuisine de part et d’autre de ses jambes. « Putain ! » Gronda-t-il, menaçant. Son regard glacial reprit son animosité habituelle, celle qu’elle avait connu lors de leurs précédents échanges. Extrêmement impulsif, gérer ses émotions sans philtre n’avait jamais été une de ses grandes spécialités. Donc, en ce moment précis, le torrent d’émotion exacerbé par l’amour le rendait davantage instable. « Tu vas faire ta pute effarouchée encore longtemps ? » Vociféra-t-il. À nouveau son poing s’abattit avec force sur le plan, la jeune femme sursauta face à la violence dont faisait preuve son amant. Sa main s’apprêtait à commettre l’irréparable lorsqu’il finit par se ressaisir. Un profond soupir extrêmement agacé retendit. Son désir se calmait, mais il en fallait peu pour raviver cette flamme. « Rho ! Ça va… Ça va… Chut. Pleure pas, bébé. » Lui intima-t-il. Là, tout de suite, le trafiquant n’avait aucune envie de gérer les sanglots de sa blanchisseuse. Grâce à ce puissant philtre d’amour, une infime partie regrettait d’avoir mis Sophie dans cet état. Maladroit, contre-nature et abrupt, ses bras rapprochèrent la jeune femme contre son corps. Créant un cocon réconfortant avec sa musculature, Vaas la regardait. Un sourire narquois sur son visage contrastait avec ses pupilles. Un sentiment tendre s’en échappait, même si d’autres pulsions assombrissaient par moment ce tableau, ce regard aimant restait dominant.
Les deux aimants restèrent dans cette position se jaugeant, s’appréciant, se contemplant. Malheureusement, le brasier ardent, provoqué par cet affreux philtre, s’intensifia lorsque les paumes de Sophie se posèrent sur sa musculature abdominale.
▿ Métier : à la tête d'une fortune plutôt importante, elle gère ses biens et son argent en investissant dans les petites et grandes entreprises de la ville.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une maison bien trop grande pour elle seule - qu'elle a longtemps partagée avec Sabrina.
▿ Disponibilités rp : disponible. (Jean ▿ Jean ▿ Jean|Camille|Paul|Mary ▿ Camille ▿ Sabrina ▿ Mary ▿ Belle ▿ Louise ▿ Sabrina ▿ Paul ▿ Paul/Mary ▿ ...)
▿ Autre(s) compte(s) : Elizabeth Tudor ▿ Amy Pond ▿ Clarke Griffin ▿ Anna d'Arendelle ▿ Jodie Holmes ▿ Hermione Weasley ▿ Jasmine d'Agrabah ▿ Ambrose Spellman ▿ Mathilde Sorel ▿ Maura Franklin ▿ Katherine Pierce ▿ Mycroft Holmes ▿ Greer de Kinross ▿ Kara Williams ▿ Sybil Crawley ▿ Lucy Westenra ▿ Sasha Braus ▿ Freya de Vanaheim ▿ Harry T. Osborn.
de son monde d'origine, elle est arrivée avec deux choses : le mouchoir que sa mère lui avait brodé, il se trouvait dans l'une de ses poches. A ses côtés, posé par terre, elle a également trouvé le petit carnet que Jean lui a offert lorsqu'ils étaient enfants. Elle porte également une alliance, seule preuve de son mariage avec Jean, dont elle n'a pas de souvenirs.
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Ven 2 Déc - 3:59
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Faire tomber les barrières ⊹ Vaas
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