A seven-foot frame, rats along his back [Tom]

J'écoute le brun, et je ne peux que m'attrister à ses paroles, ainsi, il avait peur de faire du mal à ses soeurs, sans le faire exprès ... Peut-être qu'il avait un pouvoir dangereux ? Ou plutôt du genre qu'il n'arrivait pas à gérer ? Ici j'avais fait tellement de rencontre, que je ne serais pas étonné que se soit le cas, et si c'était à cause de ça qu'il devait éviter sa famille, bien ça me faisait vraiment mal pour lui ... Après tout, il y a des choses qu'on ne choisi pas, puis qu'on ne veut pas, seulement la vie en décide autrement. Je vois que l'homme est mal à l'aise, il aime ses soeurs, mais il ne peut pas les voir, j'hoche légèrement la tête, comprenant, du moins je l'espérais, ou il voulait en venir. "Vous ... Vous avez des pouvoirs qui ne vous ne contrôlez pas ? ... Enfin ici je sais que c'est possible, qu'il y a des personnes qui possèdent des pouvoirs, ça ne veut pas dire que se sont des mauvaises personnes, enfin je m'embrouille ... Il y a tellement de monde, tellement de personne différente, j'en serais pas étonné et ... Enfin ça m'attriste pour vous cette situation" fini je tout en baissant la tête, remarquant à quel point j'avais parler vite. Une véritable boule de nerf, parfois je pouvais me montrer maladroit dans mes gestes, mais c'était aussi le cas dans mes mots, il m'arrivait de parler plus vite que je ne le penser, et je pouvais dire une phrase mal formulée, ou je tournais autour du pot bien trop longtemps, avant de enfin dire ce que je penser vraiment, enfin moi même j'avais envi de rouler des yeux, par rapport à ma maladresse. Je n'avais pas de pouvoir, mais je sais qu'il mettait arriver de dire des choses, qu'il était plutôt préférable de taire, vexer une personne sans le vouloir, enfin c'était tout moi ça ... L'homme semble aussi mal à l'aise que moi, ont avaient l'air bien dans ce sous sol, tout en étant entourer par des rats, ça pourrait même avoir un côté comique. Puis finalement, je réalisé que je ne mettais même pas présenter à cet homme, je disais tout le temps "cet homme", mais je ne connaissais pas son prénom ... Pourtant ça faisait un moment que l'on parlait à présent. "Enchanté Bruno" dis je avec un sourire "Tom Natsworthy ... Bon j'ai un nom de famille assez compliqué" dis je avec un rire sans joie comme pour détendre l'atmosphère qui pesait lourd sur mes épaules, après c'était seulement mon propre avis. "Madrigal ça sonne bien je trouve ... Enfin je ne sais pas trop, ça fait comme un chant ... Désolé je ... Parfois je raconte n'importe quoi" dis je tout en me mordant légèrement la lèvre inférieur, parfois je m'offrais des piques de stress assez étranges, il serait temps que je me calme, que j'apprenne à contrôler mes nerfs, se serait bien le genre de Hester de me dire ça, pensais je plus calmement.

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feat. Tom

« Non, non, c’est pas que je les contrôle pas, c’est plus… » Il baisse le regard. « C’est plus compliqué que ça. »

Il ne sait pas exactement comment l’expliquer d’une autre manière, c’est seulement… compliqué à justifier et à faire comprendre. Il a su se servir de ses pouvoirs de manière instinctive en dépit de ce que cela impliquait exactement. Il y avait toute une ritualisation, ce n’était pas quelque chose qu’il devrait avoir intégré directement, et pourtant, il savait ce qu’il devait faire précisément.

Non, il contrôle ses pouvoirs, ce sont les conséquences de ses visions qu’il ne contrôle pas, et sur ce point, il n'est pas sûre qu’il sera un jour capable de faire autrement. Il ne peut pas se permettre de tirer des conclusions hâtives de cela. Il sait seulement qu’il s’est senti soulagé quand il a enfin été débarrassé de ces satanés pouvoirs, justement… Et maintenant… Maintenant, c’est compliqué à expliquer, et il n'est pas sûr de pouvoir y faire quoi que ce soit.

« Bon, c’est pas important, je ne les ai plus, de toute façon », ajoute-t-il dans un léger rire nerveux.

Tout ce qu’il veut à présent, c’est se faire oublier autant que possible. Il laisse donc à son jeune interlocuteur l’occasion de se présenter, et s’amuse de l’affirmation de son interlocuteur, qui admet avoir un nom de famille assez compliqué. Il lui ôte les mots de la bouche, mais ce n’est pas bien grave : Tom, en revanche, c’est facile à retenir… Et il l’appellera par son prénom tant qu’à faire.

« Non, tu as raison », le rassure Bruno, quand Tom commente le nom de Madrigal. « C’est un joli nom, je suis d’accord. »

Il affiche une esquisse de sourire. Il ne pourrait pas dire du mal de ce nom car clairement, il en est fier. Les Madrigal, au sein de l’Encanto, avaient été ni plus ni moins qu’une véritable institution, en réalité. Et cela laisse des marques. Même si Bruno a disparu volontairement pendant dix longues années, son appartenance à la famille Madrigal est une chose qu’il ne saurait nier : et une chose qu’il ne veut surtout pas nier, au demeurant. Oui, même s’il ne l’a pas toujours bien montré, il considère que c’était un nom d’exception pour une famille d’exception, et il est fier de ce nom autant qu’il est fier des siens. Bruno n’a jamais considéré que le problème était sa famille, il a toujours estimé qu’il était le problème. Et qu’il n’y avait rien qu’il pouvait faire à ce sujet… à moins de disparaître, évidemment.

Voyant que ce sujet mettait vraiment l'homme mal à l'aise, je fini enfin par me taire. J'admettais parfaitement que j'étais une véritable pipelette, un peu trop curieux aussi ... Mais le fait aussi de voir cet homme s'isoler, surtout s'isoler de ses proches, bien ça me faisait mal pour lui ... Je devais cesser d'être sensible, mais je ne pouvais pas m'en empêcher, c'était plus fort que moi, parfois j'avais aussi cette envi d'aider, alors que non, je me devais de prendre du recul, puis regarder de loin. Seulement voila, je n'aimais pas être spectateur, j'aimais me rendre utile, aider, si avant je pouvais baisser la tête bien plus facilement, depuis ma rencontre avec Hester, j'avais vraiment changer, j'avais gagner en courage et j'en étais fier, après il y avait toujours cette empathie en moi, qui pouvait m'enduire en erreur, enfin voila, c'était tout moi ça. J'hochais alors doucement la tête aux paroles de l'homme, n'insistant pas. Puis aux paroles du brun, cette fois-ci j'arque un sourcil, il venait de m'ouvrir une porte la ... J'eu alors un sourire "Mais ... C'est justement si ils ne sont plus la alors pourquoi ? ... Enfin je m'excuse d'insister autant, c'est juste que je trouve triste, de voir ... Enfin de voir une personne qui semble malheureuse" dis je avec un petit sourire gêné, car je venais de me faire un discours dans ma tête, et voila qu'il y avait une nouvelle porte qui s'ouvrait à moi, mais je devais me dire "non", c'était très dur ... Devais je me mettre des claques ? Bon, après pour une personne qui venait se cacher dans un sous sol, car j'avais peur d'affronter le monde extérieur, je n'étais pas bien placé pour donner des conseils. Bon, cet argument avait au moins le mérite de me calmer, après tout, nous avions tous nos problèmes, et je ne pouvais pas tout résoudre, je devais m'y faire, c'était comme ça, point. "Bon ... Moi je me cache dans un sous sol, car j'ai peur d'affronter le monde extérieur alors ... Enfin, je doute d'être vraiment quelqu'un qui peut donner des conseils" dis je avec un nouveau rire nerveux, tout en baissant les yeux, me mordant légèrement la lèvre inférieur. D'ailleurs il allait falloir que je sorte un jour ou l'autre, et rien qu'à cette idée, j'en avais des frissons, peut-être que si la sécurité me trouver, et que je venais à donner un coup de poing, j'irais au poste de police, j'aurais alors un toit ? Hum non, mauvaise idée ... Quoi que ... Enfin je fini enfin par me présenter à l'homme, et je trouve vraiment son nom et prénom agréable à prononcer. Puis j'eu un sourire à l'affirmation de l'homme "Madrigal, comparé à Natsworthy on dirait que lorsqu'on prononce mon nom, une personne est en train d'éternuer" dis je amusé, de plus je le penser tellement, puis bien j'avais envi de parler de chose, plus joyeuse pour nous deux, à moins que je sois surtout la à faire fuir les rats ... Tom la pipelette, c'était bien moi.

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« Oh non, non, je ne suis pas du tout malheureux, ne vous en faites pas pour moi. »

Le sourire qu’il affiche ne tromperait sans doute pas grand monde, et pour cause, même s’il le voudrait, Bruno ne croit pas dans ce qu’il dit. Il s’efforce d’être heureux, mais il ne l’est pas, il n’arrive pas à l’être. Ce n’est pas qu’il ne le veut pas, c’est qu’il ne sait tout simplement pas comment faire. Il n’est pas certain qu’il saura un jour comment faire. C’est pas quelque chose qu’on lui a inculqué, et c’est quelque chose qu’il a fini par se refuser, comme s’il considérait la chose comme trop dangereuse… Il n’est pas toujours malheureux, cela dit. C’est juste… qu’il n’est pas complètement heureux non plus. Mais il ne veut pas que son interlocuteur s’en fasse inutilement pour lui.

Bruno affiche un sourire amusé quand son interlocuteur observe que lui-même se planque dans un sous-sol par peur d’affronter le monde extérieur. Bruno doit bien reconnaître qu’en cela, il se reconnaît très clairement, à l’évidence, en elles. C’est d’ailleurs sûrement de là que lui vient la sympathie naturelle qu’il ressent envers son interlocuteur. Au fond, les conseils de Tom sont les bienvenus, car des conseils bienveillants, au bout du compte. Tous les conseils sont bons à prendre, oui… même s’il n’est pas sûr d’être capable de les appliquer pour autant. Sa situation est… trop compliquée. Et par ailleurs, il ne se sent pas capable de tout raconter. Ce n’est pas contre son interlocuteur, bien sûr, c’est plus compliqué que cela.

« Non j’apprécie ton conseil. C’est juste… » Il se gratte l’arrière de la tête. « … je suis pas habitué à en recevoir. »

Il n’avait plus été habitué à grand-chose, en fait. Ses interactions étaient beaucoup trop limitées, et il n’est pas certain d’être prêt à ce que ça change. Cette conversation en elle-même exige beaucoup de son temps et de son énergie, très clairement, et c’est loin, très loin d’être aussi facile, bien sûr.

Bruno rit doucement quand Tom affirme que le nom Madrigal est tout de même plus sympathique et plus chantant que Natsworthy, qui donne l’impression que la personne qui le prononce est en train d’éternuer. D’accord, d’accord, ce n’est sans doute pas complètement faux, effectivement.

« Peu importe son nom, il faut en être fier, pas vrai ? »

Comme il est fier, terriblement fier de sa famille, et particulièrement fier d’être un Madrigal, même s’il n’a pas vraiment été digne du nom qu’il porte exactement.

« C’est notre héritage. Surtout quand il n’y a plus que nous pour le porter », il ajoute avec une très fine esquisse de sourire.

J'hochais la tête à la réponse du brun, peut-être que celui-ci arrivé mieux à supporter la solitude, par rapport à moi ? Enfin tout était  une question de caractère, cet homme semblait bien plus calme que moi, puis dans le fond, nous étions différents, alors pourquoi autant insister ? Bien disons que me faisait vraiment mal pour lui, de le savoir isolé de sa famille, certes ce n'était pas mes affaires, mais voila, c'était en moi, disons qu'il m'arrivait de trop penser à la situation des autres, du bonheur des autres, puis de m'oublier. Tout en regardant l'homme, je doute tout de même qu'il soit sincère ... Après, il pouvait se mentir à lui même, à moins qu'il ne cherche vraiment à se priver de sa famille, enfin il avait forcément ses raisons, et j'espérais vraiment que ça irait en s'arrangeant. De mon côté, disons que je n'étais pas vraiment mieux, j'étais en train de me cacher du monde extérieur, dans un sous sol d'hôpital, disons qu'on avait déjà tout de même vue mieux, surtout pour une bonne personne qui vient donner des conseils. Puis à nouveau j'eu un léger sourire aux paroles de Bruno "Ouais ... Je n'en donne pas souvent non plus ... Je ne sais pas si je suis un exemple mais ... Je cherche tout de même des solutions, enfin quelque chose et ... Je devrais aussi m'écouter, enfin me parler, bon d'accord ça parait bizarre, je veux dire me donner aussi des conseils, mais je ne suis pas sur de m'écouter moi même" bon d'accord, ce n'était pas du tout une situation compliquée. J'avais tout de même ce don de beaucoup parler, puis parfois de m'emmêler, enfin je ne savais si c'était vraiment un don, ou le fait que je sois assez maladroit, mais parfois, j'arrivais à m'épuiser tout seul. Tout en parlant de nos noms de famille, j'eu à nouveau un sourire aux paroles de Bruno, ce qu'il disait était bien vrai, et ça me faisait chaud au coeur, rien que d'y penser. "Oui c'est vrai ... De plus je suis le dernier Natsworthy, mes parents ont tout fait pour que je ne manque de rien, alors je dois faire honneur à mon nom ... Nous devrions tous faire honneur à nos noms, surtout quand on aime notre famille" dis je tout en souriant en direction du brun, essayant de lui donner l'espoir, qu'il pourrait retrouver sa famille, sans être rejeté, le passé c'était le passé ... Bon sa situation était compliquée mais à quoi bon toujours trouver une excuse, parfois il fallait juste faire un pas en avant, juste un pas et ça pourrait sans doute aider ... Du moins je l'espère. Tout en parlant de pas, moi je devais sortir d'ici ... Faire un premier pas, un autre pas, je n'étais vraiment pas un exemple, pensais je avec un léger soupire.

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feat. Tom

Bruno affiche une esquisse de sourire quand son interlocuteur lui confie que tout comme lui-même n’a pas l’habitude de recevoir de conseils, lui de son côté n’est pas habitué à en donner. Par bien des aspects, il est assez évident qu’ils se ressemblent, tous les deux, et c’est sans doute pour cette raison qu’ils parviennent à si bien s’entendre en fin de compte. Ce n’est pas plus facile de donner des conseils que d’en recevoir, il faut avoir une certaine conscience des relations humaines qui, quand on en a été privé trop longtemps, est loin d’être aussi simple. Tom a sûrement raison, il ferait bien de se parler et de s’écouter, Bruno ne doute pas du fait qu’il serait très probablement de très bon conseil envers lui-même avant toute chose.

« C’est une très bonne chose de s’écouter soi-même. Bon, ça doit pas être facile, je dis pas, mais à mon avis, ça doit être pas mal du tout », il reprend avec un de ces sourires embarrassés qui sont devenus, au fil du temps et sans qu’il s’en rende même compte, sa marque de fabrique.

Et ça aussi, c’est un conseil, et pas forcément un bon conseil. Décidément, la vie est particulièrement compliquée et pas franchement simple à appréhender. Bruno a déjà du mal à appréhender sa propre existence, comment pourrait-il comprendre quoi que ce soit à celle de son interlocuteur. Qu’on se le dise, c’est très probablement perdu d’avance, en réalité.

Tom lui apprend qu’il est le dernier à porter son nom. Bruno n’a pas cette charge là, de son côté. Oui, il est heureux de porter le nom de Madrigal et il fait tout son possible pour être à la hauteur autant que faire se peut, mais la vérité, c’est qu’il sait que l’avenir de sa famille ne repose pas que sur lui et que ça a quelque chose de rassurant. Ce n’est pas du tout le cas de son interlocuteur, qui lui veut en plus porte l’héritage de ses parents. Ce n’est pas simple, tout comme il n’est pas inné de faire honneur à sa famille.

« Je suis sûr que votre famille doit être très fière de vous », assure-t-il avec un sourire sincère à l’adresse de son interlocuteur, comme, aussi, pour le rassurer. Il se dit que ça doit être le genre de choses qu’il a besoin d’entendre, comme c’est le genre de choses que Bruno aurait eu le plus grand besoin d’entendre lui aussi – et ressent encore et toujours le besoin d’entendre, en réalité. « Bon, c’est pas tout mais… j’ai encore du travail », fait-il qui s’en est complètement détourné au point d’oublier ce qu’il était venu faire en premier lieu. « Ça va aller pour vous ? »

Finalement, j'affichais à nouveau sourire. Cet homme très discret et mystérieux, était tout comme moi, disons que les relations humaines, ce n'était pas son fort ... Après la solitude ne devait rien arranger, de mon côté, je voulais faire des connaissances, et j'en faisais, seulement je pouvais être si maladroit, que j'en finissais par agacer les autres. C'était sans doute à moi de changer ... Ou pas ? Après tout, il y avait des personnes avec qui j'arrivais à m'entendre, et j'étais moi ... C'était compliqué et si je devais commencer à penser sociabilité, j'allais surement y passer un très long moment, donc oui, il était préférable que je pense aussi à moi. J'étais la à donner des conseils, alors que je devrais aussi m'écouter, c'est bien beau de dire aux autres quoi faire, il faut aussi s'aider soit même et ... Je n'étais pas très doué. Je peux voir le sourire embarrassé de Bruno, peut-être que celui-ci n'avait pas l'habitude de sourire ? Après tout, son visage semblait bien marquer par cette solitude. "Ouais ... Il faut essayer, qui ne tente rien n'a rien ... Pour le moment mise à part rester cacher, je ne sais pas .... J'aimerais retrouver mes amis, me sentir plus à l'aise, trouver une place ... Enfin je pense que je me mets aussi la pression ou que j'en fais trop" dis je avec un léger soupire, tout en réfléchissant à ma vie, depuis mon arrivé dans cette ville. C'était aussi chaotique, même si ça avait commencé à avancer, le monde des anciens n'était pas simple, ou disons que c'était surtout moi qui pouvait aussi avoir le mal du pays. Je n'avais qu'à regarder autour de moi, pour voir que pour des autres personnes, ça semblait bien plus simple, mais nous sommes uniques, nous avons tous notre propre méthode d'adaptation et voila que je pars loin dans mes pensées, non, je ne pouvais échapper au fait, que j'étais toujours cacher dans un sous sol. J'hausse doucement des épaules à la réponse du Bruno, j'aimerais y croire, mais sur le moment, je ne savais pas vraiment quoi penser. "Je peux toujours essayer" , évidemment je parle de rendre mes parents fiers, peut-être que c'était déjà le cas ? J'avais créer mon propre chemin et il avait été hors de Londres. Puis me perdant à nouveau dans mes pensées, j'entends l'homme reprendre la parole "Oh oui pardon ... Désolé ... Hum ... Ouais je crois" dis je tout en tentant un sourire. Je devais surtout prendre une profonde inspiration et faire face à la réalité. "Hum ... Bon courage pour vous et ... Les rats" dis je dans un demi sourire, car je ne savais vraiment pas quoi dire, ni même si j'avais vraiment la force d'ouvrir la porte pour sortir, seulement je n'eu pas besoin de réfléchir plus longtemps, que la porte fini par s'ouvrir sur un agent de sécurité accompagné du médecin qui m'avait suivi, j'eu alors un sourire très gêné, baissant la tête "Monsieur Natsworthy on vous a cherchez partout, les papiers pour votre sorti son prêts" , j'hochais la tête, avant de lancer un dernier sourire à Bruno, puis regardant les médecins "Oui ... Désolé j'avais la tête ailleurs". Non en faite, j'étais en train de me cacher, mais ça, je n'allais pas le dire.