Opéra : Pièce représentant la vie dans un autre monde dont les habitants n'ont pas de discours mais des chansons, pas de mouvements mais des gestes pas de postures mais des attitudes.
S'il existe bien un endroit dans lequel j'apprécie passer du temps depuis mon arrivée en ces lieux, c'est cette magnifique salle d'Opéra ouverte assez récemment, du moins cette année. J'ai ouïe dire qu'une nouvelle Lune Rouge avait ravagé d'autres mondes et avait encore ramené de pauvres âmes innocentes... Rien ne semble pouvoir l'arrêter et si parfois j'aimerais rentrer chez moi pour revoir ma France natale, je ne pense pas avoir le pouvoir nécessaire pour parvenir à une telle chose... Surtout qu'ici, il y avait des mages puissants et des créatures en tous genres. Si eux n'y parvenaient pas il serait d'autant plus étonnant que je puisse faire avancer la recherche. Alors je me complais dans cette nouvelle vie, cherchant encore un sens à celle-ci. L'Art a toujours été un guide spirituel pour moi, du moins, depuis ma sortie du Château d'If, depuis que je me suis instruit et que j'ai appris que certains plaisirs de la vie nous manquent seulement lorsqu'on ne peut plus les atteindre. Si je sais apprécier une belle peinture ou sculpture, je dois avouer avoir un certain faible pour les arts oraux et théâtraux. Alors quoi de plus normal que de me plaire à passer du temps dans cette salle d'opéra ?
Et il faut dire que oui, j'en passe du temps ici. Lorsque mon emploi du temps me le permet et que la tournante des spectacles se fait, je suis le premier à prendre une place. J'aime alterner celle-ci d'ailleurs mais il est très rare que je me positionne au devant de la scène, très peu pour moi que de ne faire remarquer. Un homme de l'ombre, voilà ce que je suis depuis bien des années maintenant et je dois dire que je ne m'en plains pas forcément. Au fur et à mesure de mes passages ici, j'ai remarqué une jeune femme à la voix étincelante et surtout envoûtante... Dès qu'elle entre sur scène, il y a peu d'autres choses qui existent. Elle prend le plein pouvoir sur la salle et j'ai entendu, à de nombreuses reprises, des louanges à son sujet. Si je me veux plus discret, je ne pourrais cacher une certaine admiration pour son art d'autant plus lorsque j'ai appris qu'elle était maître de ces lieux. Une passion et un investissement que je ne peux qu'appuyer et admirer.
Ce soir-là, je venais d'en prendre encore une fois plein la vue et surtout les oreilles après une représentation d'un spectacle original et qui changeait de l'ordinaire. Je ne suis pas vraiment du genre à applaudir à flots tant je voudrais que ma discrétion reste intacte mais je n'avais pas pu m'en empêcher. Alors que la foule sortait de la grande salle, je me surprend à regarder un instant la scène vide, pris d'une certaine nostalgie. Parfois je regrette d'avoir laissé Edmond derrière moi, même si parfois je m'autorise à certains élans de son innocence, il faut avouer que je suis loin d'être cet homme que j'étais ... C'est d'un léger soupir que je remets mon chapeau et que j'attrape ma canne pour me diriger vers la sortie. Une fois la première porte franchie, je me fais pourtant interrompre dans ma marche. Un ouvreur me salue et me remet ce qui ressemble à une lettre. Intrigué, je le remercie et me décale un peu afin d'observer cet intriguant papier. Furina Foçalors est ce que je remarque en premier. Ces deux noms résonnent dans mon esprit alors qu'un léger sourire s'affiche sur mon visage. Il faut croire que je n'étais pas si discret que ça car elle m'invite à la rejoindre dans son bureau après la représentation. C'est à dire maintenant. Je relève les yeux vers l'ouvreur afin qu'il me montre le chemin et je le suis en boîtant quelque peu. Après quelques instants nous voilà devant le bureau de la chanteuse enchanteresse. Je suis à la fois curieux et flatté de cette invitation. Après avoir toqué à la porte, j'entre en restant à l'embrasure de la porte, m'inclinant légèrement devant elle tout en retirant mon chapeau.
— Bonsoir Madame Foçalors.
Déclarais-je humblement avant de me redresser pour aligner ma posture. Je me montre particulièrement poli, là est la caractéristique presque primordiale pour un Comte. D'un pas assuré, je m'avance un peu plus afin de me rapproche de la cantatrice et gérante sans perdre mon sourire intrigué et mystérieux.
— J'ai bien reçu votre missive et je dois vous avouer être plutôt intrigué mais aussi flatté d'être invité dans votre bureau.
Je suis sincère dans mes paroles, en tous cas mes mots le semblent toujours même si parfois je cache certains sens à celles-ci. Mais actuellement je le pensais vraiment, on ne peut pas dire que je suis un de ses plus grands fans car d'autres seraient peut-être déjà à genoux face à elle mais je ne cache aucunement une certaine admiration.
— Me gratifieriez vous d'un spectacle privé ou cette invitation porte sur toute autre chose ?
Demandais-je en appuyant un peu plus mon sourire alors que mon regard reste posé sur elle sans pour autant la dévisager. Je ne l'avais jamais vu d'aussi proche et un homme comme moi ne peut réfuter qu'en plus d'un talent prononcé pour la chanson, la jeune femme doit aussi attirer la foule de par sa beauté. Si je sais la reconnaître, rarement la beauté joue un rôle dans mon jugement même si elle reste toujours appréciable. Je pose mes deux mains sur ma canne devant moi, attentif aux réponses qu'elle me donnera. Il ne serait pas étonnant qu'elle me demande mon nom car ici comme presque partout ailleurs, je suis et reste le Comte de Monte-Cristo.
▿ Métier : Anciennement Archon Hydro malgré elle. Maintenant, elle est propriétaire et directrice d'une salle d'Opéra. Sa magnifique édifice accueille différents spectacles artistique comme l'opéra, les spectacles de magie, les pièces de théâtre, les comédies musicales, les concerts etc... Après une vie avec beaucoup trop de pression et de responsabilité de plus de 500 ans dans la peau d'un Archon, Furina veut profiter de sa vie en assistant à des spectacles qu'elle aime pour en prendre plein la vue comme une gosse. C'est aussi une chanteuse et actrice de comédies musicales
▿ Quartier : Baker Street Avenue
▿ Côté cœur :
ღღღ
▿ Dons/capacités/pouvoirs : Aucun pouvoir.
▿ Pseudo : Scylla
▿ Avatar : Vanja Jagnic
▿ Copyright : Momo (Avatar)
▿ Autre(s) compte(s) : Yuffie Kisaragi (Final Fantasy VII) - Shoto Todoroki (My Hero Academia) - Pan (Dragon Ball) - Millianna (Fairy Tail) - Aqua (Kingdom Hearts) - Kasumi Goto (Mass Effect) - Neferpitou (Hunter x Hunter) - Carmina Mora (Dead By Daylight) - Gaby Braun (SNK)
Opéra : Pièce représentant la vie dans un autre monde dont les habitants n'ont pas de discours mais des chansons, pas de mouvements mais des gestes pas de postures mais des attitudes.
Grâce à cette nouvelle vie, Furina peut désormais être elle-même et profiter pleinement de sa passion pour les spectacles artistiques. Déjà dans son monde, les spectacles artistiques qui illuminèrent l'Opéra Epiclese fut ses seules sources de bonheur à travers sa vie éternelle sans fin. En tant qu'Archon Hydro, Furina a du jouer le plus gros rôle de sa vie pendant 500 ans, un destin où elle a du jouer le rôle d'une divinité puissante, avec beaucoup d'assurance pour paraitre crédible aux yeux de son peuple pour éviter d'être percée à jour. Alors qu'en réalité, Furina a toujours été une personnalité beaucoup trop douce, gentille et timide. Un rôle important pour ses petites épaules, afin de contrer le destin tragique des Fontainois contre une prophétie cataclysme... C'était la mission confié par la véritable Archon Hydro. Furina, création à l'image de la véritable Archon Hydro Foçalors, elle fut créée par Foçalors en étant maudite à une vie éternelle afin d'assurer cette mission. Cela fut un long calvaire pour Furina, un calvaire qui a duré 500 ans, car elle devait s'assurer que personne découvrit la vérité, et elle devait en parler à absoloument personne. Des doutes, des peurs, de l'anxiété ont animés ses pensées et son âme, alors que de l'extérieur, elle paraissait être une Archon confiante et imperturbable. Mais Furina avait conscience de l'importance de son rôle, alors, malgré ses larmes et sa souffrance, elle a tenu le coup.
Ce changement brusque a radicalement changé la vie de Furina, maintenant libérée de la malédiction qui la rendait immortelle, ainsi que de son sort d'Archon Hydro, Furina peut désormais être elle-même sans aucune pression éternelle. Elle peut sans cesse avoir les yeux émerveillés comme une gosse devant les spectacles artistiques, comme cela l'a été à chaque fois auparavant. Il est vrai que Furina a toujours été comme une gosse devant des spectacles artistiques, et c'est pour cette raison qu'elle a ouvert sa propre Salle d'Opéra pour accueillir différents spectacles artistiques. Furina traite son édifie avec passion et bienveillance, ainsi que les artistes, ou troupes qui s'y présentent. Furina est toujours à la recherche d'artiste dans le but de venir mettre de la magie dans son enseigne. Il arrive même parfois à Furina de monter sur scène, parce que la jeune femme adore tout simplement être sur scène. En tant que directrice, il est vrai qu'elle passe le plus clair de son temps de son enseigne. Elle gère évidemment l'administration, elle s'occupe de ses artistes comme-ci c'était ses enfants, ou encore elle passe son temps à essayer les différents costumes, tenues et accessoires dans les ateliers. Bien entendu, elle s'entraine aussi sur scène, au chant, mais prends aussi souvent le thé et mange souvent de la pâtisserie dans son bureau, parce qu'elle adore ça. Furina, vit vraiment comme une enfant dans cette nouvelle vie, car elle vit cela comme une renaissance. Elle est heureuse dans cette vie tranquille, et elle a le sentiment que désormais sa malédiction et l'Archon Hydro, c'est bien loin derrière elle.
Elle invite souvent des gens pour venir partager un thé, voir de la pâtisserie autour d'une discussion. Furina envoie souvent des lettres à des personnes qu'elle connait, ou d'autres, à des personnes qu'elle aimerait connaitre. Bien entendu, lorsque ce n'est pas Furina qui monte sur scène, elle assiste à tout les spectacles du haut de son gradin le plus élevé dans la Salle. L'ancienne Archon Hydro est une vraie gosse devant tout ces spectacles. Alors voilà, elle demanda à un ouvreur de remettre cette lettre à monsieur Edmond Dentès car bien évidemment, en tant que directrice, elle connait tous les noms des invités chaque soir. Furina a donc regagné son bureau et prépara un délicieux thé en attendant l'arrivée de monsieur Dantès, en espérant qu'il daigne à accepter l'invitation. Mais qui refuserait une telle invitation ? Furina se pose la question.
Justement son invité finit par arriver, ravivant évidemment Furina. Cette dernière se trouve à une charmante table accompagnée de chaises confortables. Le décor du bureau de Furina fait très…. Dînette du XiXè siècle français. Il faut dire que Furina vient d'une nation très glamour, élégante, distinguée et gracieuse. De toute manière, cela se ressent très fortement dans la garde-robe de Furina, qui possède de nombreuses robes et tenues élégantes croyant venir d'un autre temps. Tasse de thé en main en ayant son petit doigt levé, elle sourit donc chaleureusement à son invité. "Bonsoir monsieur Dantès, je suis ravie de voir que vous avez accepté mon invitation" Annonce t-elle avant de porter sa tasse à ses lèvres pour une brève gorgée.
L'artiste se met délicatement à rire avec une telle grâce, suite aux paroles du Comte. C'est fort amusant qu'il puisse penser à un spectacle privé… N'allons pas brûler les étapes tout de même. "Cela fait plusieurs fois que je vous remarque dans ma Salle pour assister à des spectacles. Alors je suis très curieuse d'en savoir plus sur vous et connaitre vos goûts artistiques par la même occasion. Alors nous pourrions discuter autour d'un thé. Qu'en pensez-vous monsieur Dantès ?" Elle l'invite donc à s'installer à la table pour partager un thé. La jeune femme se presse d'ailleurs de servir une tasse de thé à son invité. La table est aussi accompagné de pâtisseries, montrant toute la gourmandise de l'ancienne Archon Hydro de Fontaine. "J'espère que vous avez apprécié le spectacle de ce soir monsieur Dantès ?" En tout cas, Furina a très bien remarqué que monsieur Dantès était quelqu'un de très raffiné et bien élevé, il semble venir d'un milieu aisé, cela saute aux yeux.
PS : J'ai pris ton code, je le trouve tellement magnifique héhé
Opéra : Pièce représentant la vie dans un autre monde dont les habitants n'ont pas de discours mais des chansons, pas de mouvements mais des gestes pas de postures mais des attitudes.
Je suis à la fois intrigué, curieux mais aussi un peu excité à l'idée de cette rencontre. Peu de personnes parviennent à attiser un intérêt pour moi dans cette ville. Pas vraiment à cause de leur personnalité ou leur histoire mais tout simplement parce que j'ai moi-même du mal à m'intéresser aux autres sans les connaître. Mais cette fois est différente, l'opéra est un lieu où je me sens libre et animé par ce goût de l'art et la musique. Et une invitation par l'hôte de ces lieux ne pouvait qu'être une belle rencontre et promet un bel échange. Lorsque j'entre dans son bureau, je cherche la jeune femme du regard et remarque qu'elle m'attend, assise confortablement à une table qui n'attend, j'imagine, que moi. Je ne cache pas un léger sourire en coin, me sentant bien accueilli mais je n'avais jamais eu un seul doute à ce sujet. La décoration de la table semble rappeler une époque lointaine mais pas aussi lointaine que celle dont j'étais issu. De la belle vaisselle et des sucreries m'attendaient. Elle répond à mes salutations. Lorsque j'entends mon nom, je rechigne une grimace que je cache derrière un sourire. En réalité ce n'est pas étonnant qu'elle connaisse ma réelle identité, je suis un habitué des lieux et à force j'avais fini par réserver avec mon vrai nom plutôt que le comte, qui semble parfois prétentieux.
D'un signe de la tête, je la gratifie, étant moi-même heureux de cette invitation et c'est avec plaisir que je l'avais accepté. La jeune femme émet alors un rire doux et gracieux qui ne m'étonne en rien, je l'imaginais toujours avec une certaine prestance naturelle comme une princesse, une duchesse ou... Une comtesse ? Si cela semble naturel pour elle, j'avais dû travailler longtemps mon rôle pour arriver à un tel résultat, je ne partais pas gagnant en tant que marin issu d'une famille pauvre. Mais cette époque était bien lointaine maintenant, je n'étais plus le même homme. Rien ne trahissait ce rôle que j'arborais à chaque instant, pour connaître la vérité il faudrait creuser avec force et endurance, ce que personne n'avait encore osé faire. Je reste debout pour le moment, regardant la jeune femme avec cette pointe de curiosité dans le regard alors que j'appuie mes deux mains sur ma fidèle canne. Je pris cependant d'enlever mon chapeau tout en écoutant les dires de la cantatrice. Elle est donc aussi curieuse de connaître mes goûts et de savoir pourquoi je venais aussi souvent. J'affiche alors un sourire flatté de sa proposition, courbant légèrement la tête pour la remercier une nouvelle fois.
— Comment pourrais-je refuser une telle invitation ? Une conversation passionnante en charmante compagnie et avec une parfaite collation.
Lui répondis-je avec sincérité avant de m'approcher de la table, traînant un peu la patte, cette jambe qui me fait défaut depuis de bien longues années maintenant. Arrivé à sa hauteur, je viens m'installer dans ce siège qui semble être des plus confortable, déposant ma canne sur le côté et y déposant mon chapeau. La jeune femme me sert d'un thé, je ne dis rien à ce sujet même si je ne suis pas vraiment friand de ce genre de boissons, je n'ai aucune envie de lui refuser. Je me contente de la regarder un moment avant de sortir de cette légère rêverie.
— Le spectacle de ce soir était particulièrement touchant. J'apprécie cette précision apportée aux émotions.
Les émotions... Une notion que j'ai presque perdu de vu au fil des années mais que j'essaye encore parfois de comprendre et de ressentir même si ce n'est pas une chose évidente. Mon regard se pose quelques instants sur la tasse qu'elle m'a servi avant de la prendre en main en relevant les yeux vers elle.
— Sans offense aucune, vous semblez être bien jeune pour posséder un tel lieu... Si je ne remettrais jamais votre talent en cause, j'avoue être curieux de savoir comment vous en êtes arrivée là.
Oui, je suis curieux et je rentre parfois trop vite dans le vif du sujet. Bien sûr que le sujet des spectacles en lui-même m'intéresse mais pas seulement... L'origine de la cantatrice et son parcours piquaient ma curiosité plus que je ne le voudrais, c'est certain. Mais j'ai toujours apprécie connaître le passé des gens de la haute société, me demandant parfois s'ils partagent un passé douloureux et difficile ou alors si la vie leur avait tout offert directement.
PS : Ah mais je comprends tellement ! Je suis amoureuse de ce code aussi il colle trop bien à Edmond en plus
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Maintenant qu'elle est libérée de sa malédiction et de son statut d'Archon, qui l'empêchaient clairement de vivre et d'être elle-même dans son monde d'origine, Furina profite maintenant clairement de la vie et chaque instant de celle-ci. Au plus profond d'elle, Furina est une femme doucee, enfantine et sociale, et est toujours heureuse de rencontrer des nouvelles personnes. Surtout des personnes qui partagent la même passion de l'art pour elle… L'ancienne Archon Hydro adore partager et discuter de ses sujets favoris, surtout autour d'un thé et de pâtisseries ou gâteaux. Furina est une dame distinguée, qui aime ces petits moments conviviaux. Il est donc tout naturel qu'elle accueille son invité comme il se doit… Et un bon échange, c'est accompagné de sucrerie et d'une boisson légère, cela va de soit.
Furina ignore totalement que monsieur Dantès se fait appeler autrement en temps normal, mais après tout, il est maintenant un fidèle de la salle d'Opéra, et la directrice ignore encore tout de cet homme. Juste qu'elle a bien évidemment remarqué la présence sans cesse d'un certain Edmund Dantès, et que pour venir aussi souvent, c'est qu'il doit être particulièrement fan d'opéra et de théâtre, peut-être de magie aussi ? Ainsi, Furina connait juste cette information concernant monsieur Dantès, mais justement, elle l'a invité pour en apprendre plus sur lui autour d'un peu de thé. La jeune femme hésite jamais à prendre ce genre d'initiative. Après tout, elle reste une femme pleine de surprises, et particulièrement animée d'une certaine étincelle qui la rend si unique.
Furina est particulièrement d'accord avec lui : C'est vrai… comment refuser son invitation ? Mais en tout cas, il semble être un gentleman flatteur, ce qui fait délicatement sourire la jeune femme. Elle trouve déjà la compagnie de monsieur Dantès très agréable. A vrai dire, Furina aime qu'on la flatte, parce qu'elle a exactement ce petit côté princesse. "Vous me flattez voyons. Je me suis dit que c'était toujours plus agréable en compagnie de délicieuses accompagnements, vous ne trouvez pas ?" Dit-elle en raflant doucement de ses pupilles chaque couleurs sur la table que dégagent les sucreries. Ca donne envie, c'est certain. En tout cas, la jeune artiste ne cache pas sa gourmandise, c'est certain.
L'invitant à s'asseoir d'un léger geste de la main, elle observe un court instant cet homme s'approcher de la table. Furina est particulièrement observatrice, et elle a très bien remarqué la canne, ainsi que sa jambe trainante. Néanmoins, elle n'ira pas directement lui demander le pourquoi de cette canne. Elle imagine que cela est sensiblement privé et peut refléter une quelconque histoire tragique. Elle-même, n'aimerait pas qu'on essaye d'un peu trop fouiner dans sa vie privée, alors elle s'abstient. Elle lui sert une tasse de thé, sans se poser la question s'il aime cette boisson ou non. Après tout, Furina aime tellement ça, que c'est inconvenable pour elle de ne pas spécialement apprécier cela. Tout le monde aime le thé., voyons.
Elle lui demande si le spectacle de ce soir lui a plu, et il répond positivement, ce qui ravie considérablement la jeune femme. Elle savait que monsieur Dantès avait l'œil artistique et qu'il savait décrire les émotions de chaque spectacle. Elle boit une petite gorgée de son thé en tenant sa tasse très délicatement. Jusqu'à qu'il lui pose une question où en toute honnêtement, elle pouvait s'y attendre. Il est vrai que Furina est jeune, ça peut surprendre certain qu'elle dirige un endroit aussi gracieux et particulier qu'une salle d'Opéra. Dans le fond cela l'amuse, et elle lâche un petit rire en portant sa main à sa bouche. "Vous savez monsieur Dantès, vous me croirez si je vous dis qu'en réalité, j'ai plus de 500 ans ?" Alors oui, Furina est jeune, mais en quelque sorte, elle a gardé une jeunesse éternelle dans son monde d'origine, car elle était immortelle et ne vieillissait pas. Mais cela. Avoir une jeunesse éternelle, ça peut en faire rêver plus d'une, c'est certain, mais pour Furina, cela fut une malédiction, une véritable souffrance pour l'ancienne Archon Hydro. Elle devait veiller sur sa nation en tant que déesse pour sauver son peuple d'une prophétie cataclysme, une telle responsabilité qui lui donnait une pression si énorme pour ses épaules. Néanmoins, elle dut donc par cela être crédible en tant que déesse puissante, en tant que guide spirituel de son peuple en jouant son plus grand rôle de tous les temps. Furina fut créée par la véritable Archon Hydro, Foçalors, à son image, pour jouer ce rôle crucial pour la survie de sa nation, et sa créatrice la donc maudite pour que Furina puise garder sa jeunesse éternelle, comme une véritable déesse.
Furina semble si joyeuse là, particulièrement souriante, mais rien que de mentionner qu'elle a dans le fond plus de 500 ans, ça la fait terriblement souffrir, car oui, cette vie éternelle sans fin fut un véritable calvaire pour la jeune femme. Elle ne peut pas oublier comme ça de si long siècles de souffrance. Maintenant, elle semble plus détendue, moins inquiète, car c'est désormais du passé, elle est libérée de sa malédiction et n'a plus à se faire passer pour la véritable Archon Hydro. Il est vrai que les spectacles artistiques dans son monde d'origine, furent sa seule source de bonheur. Cela lui permettait d'oublier tout simplement sa vie grâce à la beauté que sont les spectacles artistiques. "Et…. J'ai toujours adoré les spectacles artistiques vous savez. C'est tout naturel pour moi que je mis toute mon énergie pour réaliser mon rêve, ouvrir cette salle d'Opéra." Dit-elle avec un sourire gracieux en prenant une petite pâtisserie.
Opéra : Pièce représentant la vie dans un autre monde dont les habitants n'ont pas de discours mais des chansons, pas de mouvements mais des gestes pas de postures mais des attitudes.
Ma présence ici n'est sûrement pas dû au hasard. Si d'ordinaire j'aurais peut-être refuser cette invitation, dans mon autre vie, cette vie qui me semble lointaine mais là où je n'avais pas le temps d'avoir ce genre de passe-temps... Ici c'était différent même si j'avais encore bien du mal à m'habituer à cet endroit bien trop différent de ce que j'ai connu dans le passé. La chanteuse sait pourtant s'occuper de ses hôtes avec un certain talent, je pouvais le lui reconnaitre. Cette manière de m'attendre avec des sucreries en tout genre et une boisson déjà servie. Il est d'ordinaire noté que c'est mieux de ne jamais refuser quoi que ce soit lorsqu'on est invité. Je l'ai laissé me servir même s'il y a peu de chance que je vienne en boire la totalité, je ne voudrais en aucun cas l'offenser bêtement par mes goûts qui peuvent être assez différents des gens que je côtoie. Et même si je la flatte à propos de ce tas de sucre sur la table, je devrais sûrement me forcer à en goûter mais je n'ai jamais aimé tant que ça les plaisirs sucrés... Heureusement, j'étais certain que la discussion et la compagnie seraient à la hauteur. Je savais qu'elle ne me décevrait pas à ce sujet.
Je ne peux m'empêcher d'observer ses manières, sa façon de se tenir qui se veut assez modeste bien que je reconnais certaines postures des femmes de haute famille, des femmes riches et propres sur elles. J'en déduis qu'elle doit sûrement en faire partie, raison pour laquelle elle doit être à la tête de cet Opéra d'ailleurs. Ma question était indiscrète, elle aurait pu en vexer plus d'une mais je ne regrettais pourtant pas de l'avoir posé, ayant toujours ce besoin d'assouvir cette curiosité parfois malsaine que je ressens à longueur de temps. D'ailleurs elle ne s'offusque pas bien au contraire, elle se permet de lâcher un petit rire qu'elle cache derrière une main gracieuse. Encore une preuve de la haute estime que l'on pouvait avoir pour elle. Je ne la quittais pas des yeux, mon regard se désintéressant totalement de ce qui se trouve sur la table pour se concentrer sur elle. Elle me demande alors si je la croyais si elle me disait avoir plus de 500 ans. On m'aurait posé une telle question avant mon arrivée ici, je n'y aurais aucunement cru, pas une seconde.
— Vu votre stature et votre jeunesse apparente, il est difficile pour moi de croire une telle chose...
Avais-je alors commencé à dire, un léger sourire en coin mais mon regard se voulait perçant, se plantant directement dans celui de la cantatrice, presque avec une lueur de défi dans le regard.
— Mais j'ai cru comprendre, bien à mes dépends, que cette ville regorge de surprise. Alors cela en serait une de plus, j'imagine.
Terminais-je alors avant de me reculer légèrement dans mon siège. Elle avait donc plus de 500 ans... Intéressant. Elle ne les fait pas mais l'âge ne se reflète pas seulement dans le physique mais bien aussi dans l'aura qu'elle peut dégager ainsi que son savoir, sa sagesse. Et si elle semble parfois avoir quelques gestes plus enfantin, je suis certain qu'elle est aussi pleine de surprises que cette ville. Je l'écoute alors ajouter qu'elle avait toujours adoré les spectacles et qu'elle avait réaliser son rêve d'ouvrir cette salle d'opéra. Haaa... Les rêves. Des illusions perdues que l'on poursuit jusqu'à ce qu'ils se réalisent, ou non, et nous déçoivent au plus profond de nous. Je ne peux cacher un léger rictus d'ailleurs dès lors qu'elle mentionne son rêve. Mais j'essaye cependant de reprendre un visage neutre, toujours intéressé d'en connaître plus à son sujet. Mon regard ne se détache toujours pas d'elle, de ses yeux dans lesquels j'essaye de lire plus de détails cachés.
— Je comprends mieux la fierté que vous ressentez à l'égard de cet opéra. C'est tout à votre honneur. Je serais encore plus fier de rester un fidèle client, dans ce cas.
C'est quelque peu amusé que j'ajoute cette dernière phrase. Il ne fallait pas plus pour que je sois fidèle à ces lieux de toute façon. C'était l'un des seuls endroits où je parvenais à m'évader, à évacuer ces noires pensées et cauchemars qui continuaient à me hanter depuis tout ce temps. Je ne peux cependant m'empêcher de penser à 500 ans de vie qu'elle a pu avoir... Piqué encore d'une curiosité, de comparer, de comprendre. Mes doigts viennent lentement taper contre le bord de l'accoudoir sur lequel mon bras est posé. Mon autre main je la passe lentement sur mon menton, songeur quelque instants avant de finalement me lancer.
— 5 siècle de vie. N'était-ce pas là un fardeau plutôt qu'une bénédiction ? Vous avez du connaître beaucoup de choses... Avoir tout vu ou presque. Mais est-ce réellement une vie ?
Mon regard croise le fer avec celui de la pas si jeune femme. Un jour cette curiosité me perdra sûrement mais lorsque je songe à mes années d'existence, je ne pourrais pas envisager d'en vivre encore plus d'une dizaine... Bien trop accablé par les malheurs qui n'ont cessé de me frapper. Alors 500 de plus ? Je n'arrive pas à voir un aspect positif à la chose. Peut-être allait-elle réussir à m'ouvrir l'esprit ? Ou au contraire, confirmer mes craintes. Et si tel était je le cas, je la plaignais avec une sincérité douloureuse.
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C'est vrai que son véritable âge peut surprendre ceux qui ne connaissent pas l'histoire de l'ancienne Archon Hydro. A vrai dire, garder une jeunesse éternelle, ça peut faire rêver plus d'une, mais pour Furina, cela fut une véritable malédiction, et malédiction ça fut bien le mot décrit pour son état. Comment profiter d'une vie éternelle alors que Furina ne pouvait pas être elle-même, à cause de la mission que Foçalors lui avait confié ? Une pression éternelle qui lui pesa énormément sur ses petites épaules. Mais Furina le devait afin de contrer cette prophétie qui menaçait sa nation. Le plus dure, c'est qu'elle devait garder tout ça secret, elle devait garder sa véritable identité secret, l'identité qu'elle fut qu'une création à l'image humaine de Foçalors la véritable déesse, et qu'elle n'était en soit, pas la véritable Archon Hydro. Furina devait vraiment se faire passer pour une déesse pour paraitre crédible au yeux du peuple... avec déesse avec de l'assurance, une confiance en elle sur ses capacités et sur la maitrise de la situation. Furina devait sans cesse mentir, faut le dire, mais pour le bien d'un avenir radieux, et pas ravagé par une prophétie cataclysmique.
Elle n'est pas vraiment étonnée que dans ce monde, des gens se questionnent sur sa jeunesse, et sur le fait de tenir un endroit aussi chic qu'une salle d'Opéra. A vrai dire, Furina mène une vie totalement différente ici, c'est certain. Et même si elle a 500 ans, elle a dorénavant perdu sa malédiction, et donc maintenant, Furina vieillit comme tous les humains… A moins que cette étrange ville lui réserve une mauvaise surprise… Comme retrouver son immortalité. Ca serait atroce d'une certaine manière, mais pas aussi grave que ça pourrait laisser entendre. Etant donné que maintenant, Furina vit tout simplement sa vie d'humaine, et qu'elle n'a pas besoin de jouer les déesses, et encore moins subir une pression quotidienne qui peut jamais s'arrêter. "Je me doutais bien que cela aller vous surprendre. C'est vrai que j'ai eu une longue vie en tant qu'immortelle. Vraisemblablement, cela a disparu dans cette ville, mais cela n'est pas pour me déplaire. J'ai enfin l'impression de "vivre", si vous voyez ce que je veux dire." Affirme t-elle en saisissant sa tasse de thé pour y boire délicatement du bout de ses lèvres maquillées d'un rouge à lèvres glamour.
Bien évidemment, Furina partage sa passion pour les spectacles artistiques, et c'était évidemment tout tracé qu'elle se dirige dans ce domaine au sein de cette ville. C'est elle-même une artiste, car elle peut participer à des comédies musicales, danser et chanter ! Furina n'est pas plus heureuse que lorsqu'elle est sur scène. Furina est ravie de pouvoir partager cette passion avec d'autres passionnés, et elle est d'autant plus ravie d'organiser et de se donner le meilleur d'elle-même sur scène pour le plus grand plaisir des spectateurs comblés. Elle est heureuse de savoir que monsieur Dantès compte bien être un fidèle spectateur, car bien entendu, Furina a d'autres spectacles en réserve ! "Vous me rendez fière et si heureuse par vos compliments monsieur Dantès. Après tout, l'art, c'est avant tout le partage et la passion. Puis, je suis si talentueuse !" Précise t-elle avec un délicat sourire enfantin et adorable. La jeune femme allonge son dos sur le siège de son fauteuil.
Monsieur Edmond aborde ensuite un sujet assez délicat, mais Furina peut s'en prendre qu'à elle-même : c'est la jeune femme qui a allumé la mèche si on peut dire. Furina tente de garder son sourire, mais parler du sujet plus en profondeur l'a fait forcément rappeler cette vie dont laquelle elle est heureuse de ne plus supporter. Des souvenirs tristes, et déprimants lui refont surface… Mais aussi un sentiment de solitude, parce qu'elle était si seule dans sa détresse. Elle baisse légèrement les yeux l'air pensif, un bref instant. Elle dépose sa tasse sur la table, en face d'elle. "Je… Pour être franche avec vous monsieur Dantès, mon immortalité était une malédiction. J'ai du vivre avec ce fardeau pendant cinq siècles, mais c'était pour une bonne raison… Le problème, c'est que j'ignorais combien de temps je devais endurer ça…. Ça pouvait durer une éternité, je l'ai très mal vécue, j'étais seule…" Furina tente de garder son sourire, mais vivre cinq siècles malheureuse, ça laisse forcément des traces. "Je devais assurer un rôle trop imposant pendant tout ce temps, je n'étais pas vraiment moi-même alors j'imagine que non, je n'appelle pas ça réellement une vie."' Affirme t-elle. Furina n'a pas l'habitude de parler aussi profondément de sn ancienne vie à une personne qu'elle a invité juste pour parler art. Monsieur Dantès reste un inconnu pour Furina, mais il apprend déjà un facette de sa vie qu'elle ne parlerait pas au premier venu.