▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Les mêmes cauchemars, encore et encore. L'hôpital. Son père. Les hurlements. Le réveil en sursaut. Cette ville qui ne porte pas de nom. Tout se répète toujours, comme une boucle qui ne prend jamais fin. Les difficultés sont toujours les mêmes. Les peurs et les cauchemars, aussi. Cet endroit joue. Il s'amuse. Des peurs, des angoisses, du passé. Il connaît tout de nous. Il connaît le fond de nos âmes mieux que nous ne le connaissons nous-même. Il teste nos limites. Il teste nos réactions. Ou il essaie de nous pousser à bout, peut-être.
Un énième cauchemar et les yeux de Maura s'ouvraient sur un décor totalement différent de cette maison qu'elle occupait depuis quatre ans. Elle n'était pas dans son lit, mais sur un plancher. Elle sentait le bois sous son dos et sous ses mains - mains qui cherchaient désespérément à agripper les couvertures qui n'existaient plus. Ses yeux s'acclimataient lentement à la lumière de la pièce. Ce n'était pas la lueur d'une ampoule, mais celle de bougies, disposées un peu partout. Alors, Maura s’était assise et avait observé les alentours. La pièce ressemblait à une salle à manger. Une table. Des chaises. Des meubles. Tout était en bois. Maura s'était levée et avait porté une main à sa nuque, douloureuse. Combien de temps était-elle restée sur ce sol inconfortable ?
Ses yeux cherchaient une réponse, une explication. S'agissait-il d'une nouvelle simulation ? Pourquoi aurait-elle quitté l'autre ? Elle n'avait rien fait, rien résolu. Instinctivement, sa main se portait à son pendentif. Il était toujours là, avec ce qu'elle croyait être une clé - parce qu'elle avait l'apparence d'une clé. Son père s'était-il lassé d'attendre qu'il se passe quelque chose dans cet autre monde ? Et pourquoi se souvenait-elle de tout, encore une fois ? Pourquoi sa mémoire n'était pas réinitialisée ? Les choses incompréhensibles et inexplicables l'étaient de plus en plus à chaque fois. Ou, peut-être que ce n'était pas une nouvelle simulation. Un rêve, alors ? Une illusion ? Une hallucination ? Comment le savoir ?
S'il était impossible d'obtenir des réponses à ses questions, elle pouvait toujours chercher à comprendre ce qui était en train de se passer. Alors, d'un pas décidé, mais prudent, elle s'était dirigée vers la table. Tout était en bois : des assiettes à la nourriture qu'elles contenaient. C'était à la fois inquiétant et perturbant - et ça soulevait toujours plus de questions, comme s'il n'y en avait pas déjà assez. A la vue de ces objets qui ressemblaient davantage à des jouets qu'à autre chose, un frisson l'avait secouée. Elle avait un mauvais pressentiment - ce qui, en réalité, n'avait rien d'étonnant dans ces conditions.
Mauvais pressentiment qui n'avait pas mis longtemps à se confirmer quand, dans son dos, elle entendit une respiration. Un bruit. Des pas, peut-être ? Instinctivement, sans réfléchir, elle avait attrapé la première chose qui lui passait sous la main : un couteau en bois. Elle s'en armait et elle le mettait devant elle en guise de défense. « Qui est là ? » Questionna-t-elle en gardant son calme, d'une voix posée et claire, mais presque autoritaire. L'ombre qui se dessinait sur le seuil de la porte semblait désigner un être humain - et quoi d'autre, sinon ? - mais elle ne lui indiquait rien de plus. Difficile, alors, de savoir si elle se trouvait en danger ou si elle se trouvait en compagnie de quelqu'un qui était en danger, comme elle - à supposer qu'elle était en danger, évidemment.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Jeu 9 Fév - 2:42
Mary commençait à être une habituée. Ce monde aimait visiblement s’amuser avec elle. Combien de fois s’était-elle retrouvée dans de drôle de situations ? Dans une sorte de passé ? Au cœur d’un nouveau danger ? Forcée à coopérer avec sa cousine pour leur survie ? Ce monde ne manquait pas d’imagination.
Comme à chaque fois, les yeux de Mary peinaient à s’ouvrir. Elle avait l’impression de se réveiller d’un long sommeil, alors qu’elle ne se souvenait pas s’être couchée, ni même endormie. Après plusieurs secondes, les yeux de l’ancienne reine s’étaient enfin ouverts, se familiarisant avec les lieux. Elle n’avait encore jamais vu cet endroit avant aujourd’hui. Chose étrange, elle qui se pensait sur le sol, semblait pourtant être en hauteur. La dureté de l’objet qui se trouvait sous elle, lui faisait alors penser qu’elle était sur une table peut-être. Mais en se relevant, Mary avait remarqué qu’elle était sur… un lit. Un lit fait entièrement de bois. La structure, le matelas, l’oreiller… Tout. En regardant de plus prêt, elle avait aussi remarqué le livre posait sur la table de chevet était lui aussi en bois. Tout comme ce verre et cette bouteille d’eau. En réalité, tout ce qui se trouvait dans cette pièce était en bois. N’était-ce pas étrange ? Chez qui se trouvait-elle ? Où se trouvait-elle ? Est-ce que quelqu’un vivait vraiment ici ?
Pour comprendre un peu mieux la situation, Mary était sortie de la chambre pour explorer le reste de la maison, mais rien n’était différents dans les autres pièces. Tout était en bois. En avançant, Mary avait fini par rejoindre une autre pièce, plus grande que les autres, mais pas très différente au final. Le canapé était en bois, la télévision également… Et comme tout le reste, cette pièce était éclairée de bougies. Des dizaines de bougies éparpillées un peu partout dans la maison.
Bien évidemment, Mary s’attendait à rencontrer Elizabeth. À chaque fois qu’elle se retrouvait dans un endroit étrange, en présence d’un potentiel danger, sa cousine était toujours là. Mais cette fois-ci, ce n’était pas sa voix qui avait brisé le silence. Mary n’était pas seule, mais elle était en présence d’une inconnue. Après avoir porté sa main à sa bouche, la brune était restée silencieuse, cherchant dans la pénombre d’où provenait la voix. Enfin, elle avait aperçu cette silhouette. Une femme se trouvait là, avec elle. Et elle semblait tenir quelque chose dans la main. Une arme peut-être. Mary devait se méfier et garder une bonne distance avec l’inconnue. « Qui êtes-vous ? Où sommes-nous ? » Peut-être que cette personne allait pouvoir lui en dire plus sur l’endroit et sur ce qui était en train de se passer.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Il n'y avait aucune explication à tout ce qui était en train de se passer. Ou, plutôt, il y en avait une, mais elle était impossible à trouver. Il manquait bien trop de pièces à cette énigme pour espérer la résoudre. Des pièces que Maura ne trouvait pas, malgré ses innombrables recherches. Des pièces qui semblaient si bien cachées qu'il était impossible de mettre la main dessus. A moins que, en réalité, ses pièces étaient si visibles que personne n'y prêtait la moindre attention ? Peut-être que la vérité était clairement affichée sous leurs yeux, peut-être que la vérité était évidente, peut-être qu'ils cherchaient là où il ne fallait pas chercher ? Peut-être qu'il n'y avait aucune autre vérité à chercher que comprendre qu'il s'agissait, simplement, d'une simulation. Une énième simulation. Il était facile de croire en cette hypothèse quand cet endroit pouvait changer de forme aussi facilement. Le temps et l'espace ne semblaient pas vraiment exister de manière fixe dans cet univers. Entre retours dans le passé et lieux qui sortaient de terre mystérieusement, il était difficile de déterminer avec précision où et quand ils étaient.
Quelques instants auparavant, Maura était dans sa chambre. Dans son lit, plus précisément. Désormais, elle était dans une maison entièrement faite de bois qu'elle n'avait jamais vue auparavant. Changer d'endroit aussi facilement n'avait aucun sens, ce qui la poussait à valider davantage cette hypothèse d'une simulation - encore une fois. Une simulation qui allait la confronter à quoi, cette fois-ci ? Les monstres de son passé ? Ses souvenirs oubliés ? Les monstres que cette simulation renfermée ? Impossible à dire, mais possible à découvrir, il suffisait d'être patient. Et cette patience était bien vite récompensée puisque des bruits de pas se dirigeaient dans sa direction.
Bêtement, Maura s'était armée de ce qu'elle avait sous la main - un couteau en bois. Elle ne ferait pas de mal à qui que ce soit avec ça, elle en avait conscience, mais il y avait un côté rassurant à être armée - même de la pire arme possible - et de ne pas être totalement livrée à soi-même. Ce n'était qu'une impression, ce n'était que l'illusion de pouvoir se protéger, mais cela suffisait à impulser en elle une certaine confiance, une certaine maîtrise de la situation qui lui évitait de céder à la panique. La question de Maura était restée sans réponse. En échange, elle n'avait eu le droit qu'à deux autres questions. La jeune femme pouvait déjà se rassurer : cette personne semblait humaine. Ce qui ne devait pas l'empêcher d'être prudente et de rester sur ses gardes, évidemment. « Je ne sais pas. » Souffla-t-elle, posément. « Je me suis réveillée ici, sur le sol, sans le moindre souvenir d'être arrivée ici. » Donner des informations pouvait aider à créer une certaine forme de confiance, même si elle pouvait tout aussi bien mentir. « Je m'appelle Maura Franklin. » Une identité, ça aussi, c'était rassurant, n'est-ce pas ? Elle tentait de l'être, dans tous les cas, elle tentait de se montrer rassurante et inoffensive parce que c'était le mieux à faire tant que la situation restée aussi floue.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Mar 14 Fév - 3:43
Ce monde aimait s’amuser avec ses habitants. Il aimait les emmener dans des endroits qu’ils ne connaissaient pas. Aimait leur faire vivre des épreuves. Aimait les confronter à de nombreuses choses mettant leurs nerfs à rude épreuve. Mary était une habituée. Si autrefois, elle s’était moquée des pouvoirs de Nostradamus – durant un temps en tout cas -, aujourd’hui, elle croyait très fortement en la magie. Ce monde lui avait montré que la magie était bel et bien réelle et il ne cessait de s’en servir contre elle. Généralement, il s’en servait pour l’enfermer avec sa cousine. Pour la forcer à faire alliance avec elle pour pouvoir sortir en vie d’un endroit dangereux. Mais aujourd’hui, il avait décidé de changer ses propres règles. Elizabeth n’était pas présente. Mary se trouvait seule avec une inconnue. Une inconnue qui semblait tout aussi perdue et perturbée qu’elle, mais l’ancienne reine préférait rester méfiante.
L’inconnue disait s’être réveillée ici, sur le sol et ne se souvenait pas être venue jusqu’ici. Pour Mary, les choses étaient pareilles, sauf qu’elle s’était réveillée dans le lit d’une pièce voisine. À chaque fois, le même schéma était utilisé. La brune s’était réveillée dans un endroit qu’elle ne connaissait pas, sans aucun souvenir du comment elle était arrivée là. Mary n’eut pas le temps d’expliquer ce qu’elle faisait ici, que l’inconnue avait repris la parole pour se présenter. « Mary. » Un prénom suffisait. Les yeux de Mary avaient aperçu la main de Maura, elle tenait quelque chose, peut-être une arme, sans doute une arme. Une soudaine peur avait envahi l’ancienne reine, mais elle avait rapidement disparu, en voyant que cet objet n’était rien d’autre qu’un couteau en bois. Malgré la situation, Mary ne put s’empêcher d’esquisser un large sourire. « Vous pensiez pouvoir vous défendre avec cela ? » A supposer qu’elle comptait bien se défendre avec.
Trêve de plaisanterie, Mary avait à peine posé sa question qu’un bruit s’était fait entendre. Une autre personne peut-être ? Elizabeth sans doute. « Vous avez entendu ? » Le sourire de Mary avait aussitôt disparu. Sans réfléchir, elle avait attrapé l’une des bougies, cherchant à éclairer l’endroit d’où provenait le bruit. À peine avait-elle éclairé qu’un autre bruit s’était fait entendre à l’opposé. Brutalement, la brune s’était retourné, cherchant ce qui avait pu faire ce son. « Est-ce que ce sont des rires ? » En tout cas, ça ressemblait fortement. Mais qui avait-il de si drôle ? Une chose était certaine, Mary avait eu raison de se méfier, parce que visiblement, la situation n’était pas bien différente des autres fois. Une fois encore, elle devait faire face à un danger.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Depuis peu, la ville où elle s'était retrouvée coincée depuis quatre ans semblait s'amuser avec elle plus qu'à son habitude. Maura avait déjà dû souffrir ses nombreuses plaisanteries et ses nombreux pièges, mais, depuis peu, les choses paraissaient de plus en plus fréquentes. Comme à chaque fois, puisqu'elle n'avait pas le choix, la jeune femme tentait de garder son calme et de réfléchir logiquement à toute la situation. Encore une fois, Maura se retrouvait en compagnie d'une jeune femme qu'elle ne connaissait pas du tout. Rapidement, toujours dans le but de se montrer rassurante et inoffensive, elle s'était présentée et avait expliqué qu'elle s'était réveillée dans cet endroit, sans comprendre ni le pourquoi, ni le comment.
La jeune femme, à son tour, s'était présentée. Maura avait hoché la tête, simplement, et n'avait pas eu le temps d'ajouter quoi que ce soit. En effet, l'inconnue, après s'être mise à sourire, avait ajouté quelque chose à propos de l'arme - un couteau en bois - que Maura avait entre les mains. Les yeux de la jeune femme s'étaient posés sur l'objet qu'elle tenait entre les mains et elle ouvrit la bouche, incapable de rétorquer quoi que ce soit pour autant. Après l'avoir observé un court instant, Maura avait reposé le couteau où elle l'avait trouvé et avait enfin répondu quelque chose, presque gênée. « J'ai attrapé la première chose que j'ai trouvée, sans vraiment réfléchir à ce que j'en ferai. » Elle avait été surprise par le bruit et elle avait laissé son corps réagir, son instinct parler. Elle n'avait pas pris le temps d'analyser en détail la pièce pour trouver ce qui ferait une arme bien meilleure que ce couteau - qui aurait pu, néanmoins, à la lueur des bougies, dans l'obscurité presque complète, dissuader un éventuel assaillant qui n'aurait pas remarqué le bois dont était fait le couteau.
Sa réponse à peine formulée, un bruit provenant du bout de la pièce avait résonné. Si le coeur de Maura s'était mis à accélérer anormalement vite, elle tentait de ne pas céder à la panique pour autant. Paniquer lui ferait perdre ses capacités à réfléchir et à trouver les meilleures choses à faire en fonction de la situation. Non, elle devait garder son calme et respirer. « J'ai entendu. » Répondit-elle simplement à l'inconnue dans un murmure. Elles n'avaient pas rêvé, il y avait véritablement eu un bruit et il fallait maintenant déterminer s'il s'agissait d'un danger ou non.
Mary avait attrapé une bougie afin d'éclairer l'endroit. Maura s'était approchée de l'inconnue, mais aussitôt un bruit, à l'opposé, c'était fait entendre, et les deux jeunes femmes s'étaient brutalement retournées pour y chercher ce qui le causait. Ce bruit... Il ressemblait à des rires. Pas le genre de rire rassurant, non. Le genre de rire qui faisait froid dans le dos, le genre de rire qui vous faisait frissonner, le genre de rire qui vous donnait des sueurs froides. A son tour, Maura avait attrapé l'une des rares bougies de la pièce, afin de ne pas être plongée dans l'obscurité si elles devaient être séparée de sa compagne d'aventure. « Je crois, oui. » Souffla-t-elle, avant d'observer les alentours avec sa bougie. « Ils ne paraissent pas... humains. » Ajouta-t-elle, même si sa remarque devait paraître bien invraisemblable - mais toute la situation ne l'était-elle pas ? - pour ne pas dire complètement insensée.
Un léger mouvement s'était distingué, dans l'ombre, tout au bout de la pièce. Puis, très vite, un autre sur leur droite. Maura gardait son calme et continuait d'observer comme si elle n'avait rien remarqué, pour éviter de donner une raison à ces choses de les attaquer. Faire semblant d'être ignorant était souvent un bon plan - pendant un temps, tout du moins. « Nous sommes encerclées. » murmura-t-elle à Mary, en priant pour qu'on ne les entende pas.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Ven 10 Mar - 4:40
Cela devenait habituel pour l’ancienne reine. Se retrouver dans des lieux étranges et qu’elle ne connaissait pas, ça lui avait bien trop souvent dans ce monde. Si habituellement, elle se retrouvait avec sa cousine dans ce genre de situation, là, elle se retrouvait avec une parfaite inconnue. Peut-être que cette étrange maison n’était pas dangereuse. Peut-être que Mary ne courait aucun risque en restant ici, mais elle en doutait. Alors elle allait devoir faire confiance à cette inconnue.
En remarquant l’arme qu’avait prise Maura pour se défendre, Mary ne put s’empêcher de rire légèrement. Tentant de détendre un peu l’atmosphère et de se détendre, un peu elle-même, elle avait fait une petite remarque. Gênée, Maura avait reposé l’objet et s’était justifiée. Mary ne voulait nullement la mettre mal à l’aise. À sa place, elle aurait aussi attrapé la première chose qui lui tombait sous la main. Et ça aurait très bien pu être ce couteau en bois. Mais les deux femmes n’eurent pas le temps d’aller plus loin dans leur conversation. Un bruit venait de se faire entendre à l’autre bout de la pièce. Elles n’étaient donc pas que deux. D’autres personnes se trouvaient là.
Mary avait attrapé l’une des bougies, tentant d’éclairer l’endroit d’où provenaient les bruits. Mais aussitôt, un autre bruit s’était fait entendre, de l’autre côté cette fois-ci. Les deux femmes s’étaient alors retournées, tentant d’apercevoir ce qui faisait ces bruits. Ces rires. Parce qu’il s’agissait plutôt de rires, des plus étranges d’ailleurs. Maura avait raison, ils ne paraissaient pas humains. Alors, s’il ne s’agissait pas d’humain, de qui venaient-ils ? Les deux femmes, observèrent les alentours, cherchant à comprendre ce qui était dans cette maison, avec elles. Mais rapidement, des ombres s’étaient distinguées un peu partout autour d’elle. Elles étaient encerclées par ces choses inhumaines. Voilà le danger que Mary redoutait tant. D’un simple signe de tête, Mary avait répondu à l’inconnue qui avait remarqué la même chose qu’elle. Que devaient-elles faire désormais ? Mary avait détourné les yeux, quittant ces choses du regard – même si elle ne les apercevait pas vraiment. Devaient-elles fuir ? De toute évidence, elle ne pouvait pas rester là à attendre bêtement que ces choses n’agissent. Pour le moment, elles étaient tapies dans l’ombre, mais cela n’allait sans doute pas durer éternellement.
L’ancienne reine s’était alors retournée, faisant comme si elle n’avait rien vu. « Nous devrions peut-être aller voir les autres pièces, vous ne pensez pas ? » Mary ne savait pas si cela était une bonne idée, mais elle se disait qu’avec un peu de chance, ces choses n’allaient pas s’en prendre à elles tout de suite. Elles allaient les observer de loin, avant d’attaquer – si elles comptaient attaquer – ce qui leur laisserait un peu de temps pour fouiller, discrètement, les lieux. « Et essayer de trouver une sortie. » Si la précédente phrase avait été prononcée à voix haute, comme s’il n’y avait personne d’autre, celle-ci fut prononcée à voix basse, afin qu’aucune de ces choses ne l’entende.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Toutes les deux armées d'une bougie, elles observaient les alentours à la lueur de la flamme. Il n'était pas possible de distinguer les choses avec précision, mais les ombres, elles, étaient bel et bien visibles. Du coin de l'oeil, Maura les voyait bouger et se déplacer dans la pièce. Leurs rires effrayants semblaient résonner à travers toute la pièce. La panique la gagnait, bien sûr, mais elle tentait de garder la tête froide et de ne pas céder à la panique. Il fallait réfléchir et agir vite et bien.
Il avait été nécessaire de trouver un plan rapidement. Il n'était pas question de prendre son temps et de réfléchir pendant des heures. Maura, alors, avait donc proposé de faire comme si elles n'avaient rien vu. Jouer l'ignorance pouvait leur sauver la vie. Si ces choses ne se savaient pas découvertes, peut-être les laisseraient-elles tranquilles ? Rien n'était sûr, évidemment, mais elles pouvaient essayer et espérer. Mary comprenait et jouait le jeu, au grand soulagement de la jeune femme. La jeune femme proposait donc de visiter les autres pièces, tout en feignant de ne pas chercher à leur échapper. Maura tremblait. Elle avait peur, mais il fallait jouer le jeu jusqu'au bout.
Sur le ton de la confidence, comme un murmure, Mary avait ajouté qu'il fallait trouver une sortie. Maura s'était alors tournée vers la jeune inconnue, tournant le dos aux ombres, malgré les craintes qui l'habitaient. « Vous avez raison, visitons le reste de la maison. » Maura essayait de rester calme et de faire en sorte que sa voix ne tremble pas trop. Avec toute l'assurance qu'elle pouvait avoir, Maura s'était donc mis à avancer pour franchir la porte. En remarquant que les choses n'attaquaient pas, elle s'était détendue légèrement. « De quelle pièce veniez-vous ? » L'interrogea-t-elle alors, par curiosité, mais aussi pour vérifier qu'il n'y avait rien à voir dans cette pièce que cette femme n'aurait peut-être pas vu dans la précipitation.
« Elles nous suivent. » murmura-t-elle à l'intention de Mary, avec le plus de discrétion possible, en sentant ces choses les suivre au loin. Elles ne comptaient donc pas les laisser tranquilles, même si elles ne les attaquaient pas - pourquoi, en revanche, c'était une bonne question. Attendaient-elles le bon moment ? Alors si c'était le cas, quand était-ce, ce bon moment ?
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Dim 19 Mar - 4:21
Comment se sortir d’une situation comme celle-ci ? Les deux femmes étaient enfermées dans une maison qu’elles ne connaissaient pas. Étaient entourée de créatures humanoïdes, riant d’un rire à vous glacer le sang. Elles étaient là, entourant les deux inconnues. Pourtant, elles ne les approchaient pas. Elles s’étaient contenté de les encercler, de les observer. Maura avait raison, elles devaient faire comme si elles n’avaient rien remarqué. Si ces choses savaient qu’elles étaient au courant de leur présence, elles pouvaient devenir hostiles. Mais elles ne pouvaient pas attendre là. Pas au milieu de ces choses. Elles ne pouvaient pas attendre que le temps passe. Il n’y avait sans doute aucune solution satisfaisante pour les deux femmes. Dans le plus grand des calmes, Mary avait donc proposé à Maura d’aller faire le tour de la maison, lui chuchotant qu’elles devaient trouver une sortie.
Puisque Maura était d’accord, les deux femmes avaient commencé à s’avancer, avec prudence pour éveiller d’énerver les choses qui se trouvaient autour d’elles. « Je me suis réveillée dans une chambre. Je suis passée par deux ou trois pièces avant d’atteindre celle-ci et de vous trouver. » Mary n’avait pas pris le temps de bien observer chaque détail. Elle s’était contenté d’observer grossièrement les lieux, un détail avait pu lui échapper. Et puis il y avait tellement de pièces à visiter ici. Il y avait forcément une sortie. Mary l’espérait en tout cas.
Lorsque l’inconnue remarqua que les choses les suivaient, le sang de Mary s’était glacé, son cœur avait raté un battement et une lourde pression s’était faite ressentir dans sa poitrine. Malgré tout cela, Mary avait essayé de garder son calme. Elle était habituée à devoir cacher ses peurs et à se montrer plus forte qu’elle ne l’était en réalité. Pourquoi est-ce que ces choses les suivaient ? Qu’attendaient-elles pour agir ? Comptaient-elles agir ? Mary ne savait pas vraiment ce qui l’attendait et elle craignait de ne pas s’en sortir cette fois-ci. Si les deux femmes tentaient de fuir, alors elles allaient sans doute attaquer. Devaient-elles tout de même essayer ? Devaient-elles se battre contre ces choses ? Impossible. Les deux femmes ignoraient tout de ces choses, elles avaient peut-être des forces, des capacités surhumaines, dans ce monde, tout était possible. Et puis combien étaient-elles ? Un bien trop grand nombre pour les deux femmes. À deux, elles ne feraient sans doute pas le poids face à ces choses. « Continuons de faire comme si nous n’avions rien remarqué. » Maura le savait sans doute, mais elles n’avaient que cela à faire pour le moment. « C’est là-bas que je me suis réveillée. » Mary avait désigné la porte de la chambre d’un geste du bras, éclairant, plus ou moins, l’endroit avec sa bougie.
Une fois à l’intérieur de la pièce, Mary avait refermé la porte. Et après avoir observé la pièce, Mary en avait conclue que les choses étaient, pour le moment, restaient à l’extérieur. « Nous sommes seules ici. » Affirma-t-elle, toujours à voix basse, craignant d’être entendue à travers la porte.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
S'avancer pour découvrir ce que renfermait cette étrange maison, aux allures de château hanté, n'était pas facile. Les deux femmes s'éclairaient grâce à des bougies, mais il faisait tout de même bien sombre. Maura se savait suivie, elle savait que ces choses avançaient dans l'ombre, mais elle tentait de les ignorer. Il ne manquait plus qu'une météo effrayante, avec un orage terrible et une musique terrifiante et elles étaient dans le décor parfait d'un film d'horreur.
Pourtant, malgré l'ambiance pesante, il fallait avancer, garder son sang-froid et ranger ses peurs sous le tapis, au moins jusqu'à trouver une issue de secours ou une solution. Alors, tout en avançant pour explorer la maison, l'esprit scientifique de Maura tentait de raisonner de la meilleure des manières pour optimiser leurs chances de sortir d'ici, en vie. Mary lui apprenait donc qu'elle s'était réveillée dans une chambre et qu'elle était passée par deux ou trois pièces avant de tomber sur elle. « Très bien, avez-vous vu ce qu'il y avait dans cette pièce ? » Continua-t-elle, à voix basse. Peut-être n'avait-elle pas pris le temps d'observer la pièce dans les moindres détails, mais peut-être avait-elle pu apercevoir des choses utiles ? Des bouquins, par exemple, qui renfermeraient des informations sur cet endroit ?
Il était important de découvrir tout cela, bien sûr, mais elles devaient également se protéger des choses qui étaient en train de les suivre. Ces ombres étaient toujours derrière elles. Elles se glissaient, discrètement, et elles les suivaient. Comment les semer ? Il ne fallait pas courir, Maura en était persuadée. Courir, c'était prendre le risque que ces choses les suivent, en se sachant découvertes, et les attaquent. Continuer de les ignorer était sans doute la meilleure solution, pour le moment, tout du moins.
Au souffle de la jeune femme, Maura se contenta de hocher, doucement, la tête. Elles étaient d'accord sur ce qu'il fallait faire. Alors, elles continuaient. L'inconnue lui désigna la pièce dans laquelle elle s'était réveillée. Délicatement, elles s'étaient approchées et avaient poussé la porte. Entrées, Mary s'était empressée de refermer derrière elle. « Pour l'instant, oui. » Souffla-t-elle, dans un murmure, lorsque son interlocutrice affirma qu'elles étaient seules dans cette pièce. Elles l'étaient, en effet, pour le moment et il fallait prier pour que cela dure.
Il fallait fouiller la pièce et découvrir si elle cachait des secrets. Armée de sa bougie, Maura observait les murs, dans un premier temps. Des dessins d'une très grande précision - des fresques anciennes, peut-être ? - les recouvraient. Sur l'une d'elles, une scène de chasse représentant des chasseurs et des cerfs étaient représentés. La beauté des fleurs et du moulin à vent, en arrière-plan, contrastait avec la violence de la scène, tout comme les couleurs. Maura l'avait observée avec attention, mais elle n'en tirerait certainement rien d'utile - à moins qu'il ne faille y lire un quelconque code secret ? Alors, toujours en silence, la jeune femme s'était approchée d'une table - en bois, évidemment - et avait attrapé un parchemin qui traînait dessus - l'un des rares objets qui n'était pas en bois - à côté de lunettes - en bois, ce qui n'avait aucun sens. Sur ce dernier, il n'y avait pas un mot, rien. Simplement un dessin. Une couronne. Maura, perplexe, tendit le bout de papier à son interlocutrice. « Je ne comprends pas... Est-ce sensé avec un sens ? » S'interrogea-t-elle, avant de continuer sa route.
Une autre fresque, sur un autre mur, représentait une salle de bain dont le sol était recouvert de couvertures, dans une ambiance à la fois douce et désordonnée. Y avait-il un sens à tout cela ? Parce que Maura n'en trouvait pas. Et la troisième peinture n'était pas là pour l'aider davantage - fallait-il y voir des significations particulières ? Des sens cachés ? Y lire des détails ? - elle représentait un pique-nique. Sur une nappe, déposée sur l'herbe, des fruits - du pamplemousse aux pommes - étaient disposés un peu partout tandis que deux amoureux - aux regards qu'ils se lançaient, Maura en déduisait qu'ils étaient éperdument amoureux, en tout cas - s'observaient tendrement. « Rien n'a de sens. » Souffla-t-elle, en cessant son observation pour se tourner vers Mary. « Je suis perdue. Je... Je ne comprends pas. » admettait-elle. « Presque tout est en bois ici, sauf ce parchemin, et ces peintures, ces choses qui nous suivent, ça ne ressem... » Impossible de terminer, puisqu'un craquement se fit entendre - ce qui la fit sursauter. Le bruit semblait venir d'au-dessus - la toiture, qui craquait ? C'était l'hypothèse la plus rassurante, en tout cas - et ce n'était pas rassurant. « Des souris, peut-être ? » Avait-elle dit pour se rassurer, avant d'entendre des grattements au niveau de la porte. « Ou nous avons de la visite. » Et c'était cette hypothèse, malheureusement, la plus probable. Les choses, à l'extérieur, s'impatientaient sûrement.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Ven 26 Mai - 1:56
Que connaissaient-elles de cet endroit ? La moindre information sur les lieux avait de l’importance. Surtout si elles voulaient s’enfuir d’ici en vie. Mary s’était réveillée dans une chambre et avait traversé quelques pièces avant de trouver Maura sans ce qui ressemblait à une salle à manger. « Rien de très intéressant. Comme pour la salle à manger, tous les objets qui s’y trouvaient étaient en bois. » Mary n’avait pas vraiment pris le temps d’observer les lieux. Elle avait tout de suite voulu s’éloigner, sortir de cette pièce et comprendre ce qui était en train de se passer. Et surtout, elle voulait trouver la personne qui se trouvait dans cette situation avec elle, parce que jusqu’à maintenant, elle ne s’était jamais retrouvée seule dans une situation comme celle-ci.
Si Mary n’avait rien vu d’important, ça ne voulait pas dire que rien ne s’y trouvait. Les deux femmes devaient fouiller la maison, malgré les choses qui les suivaient. Quand Maura et Mary se déplaçaient, les choses les suivaient, mais les deux femmes ne pouvaient pas s’arrêter, ni faire demi-tour. Alors elles devaient continuer à faire comme si de rien n’était et elles devaient continuer à avancer. En voyant la pièce dans laquelle elle s’était réveillée, Mary la désigna de sa bougie, en indiquant à Maura qu’il s’agissait de cette pièce.
Une fois à l’intérieur de la pièce, Mary avait refermé derrière elle, espérant ne pas être suivie par les choses qui se trouvaient à l’extérieur. Après avoir observé rapidement les alentours, elle informa Maura qu’elles étaient de nouveau seules. Puis, sans perdre de temps, les deux femmes commencèrent à fouiller la pièce. Rapidement, Maura avait tendu un parchemin, tout en demandant si cela avait du sens. « Je… Je ne sais pas. » Mary n’avait pas pu s’empêcher de penser à son passé. Et si cette couronne représentait sa personne ? Peut-être qu’un autre parchemin se cachait dans cette maison ? Un parchemin qui représentait Maura cette fois-ci.
Mary avait gardé ce parchemin sur elle, ne sachant pas si c’était la bonne chose à faire, mais il était peut-être lié à elle. Il était peut-être son issue de secours ou une partie d’elle. L’ancienne reine, fit comme Maura, elle observait les murs, regardant avec attention les peintures qui s’y trouvait. Et tout comme Maura, elle ne comprenait pas bien ce que tout cela voulait dire.
Les deux femmes ne purent pas observer les lieux plus longtemps puisqu'un bruit s’était fait entendre. Il venait d’au-dessus des deux femmes. Maura avait pensé à une souris. Elle avait peut-être raison, mais elle avait aussi songé aux choses qui les suivaient. Et c’était sans doute la bonne réponse, parce qu’en dirigeant sa bougie vers la porte, Mary avait pu remarquer qu’elle était désormais légèrement entrouverte. « Ces choses sont entrées. » Dit-elle en chuchotant, afin de prévenir Maura qu’en effet, elles n’étaient plus seules. En se rappelant que les bruits provenaient d’au-dessus d’elle, Mary jeta un œil discret au plafond et ses craintes s’étaient révélées fondées. « Maura, ne levez pas les yeux, mais… Ces choses sont au plafond. » Mary avait peur et cette peur se lisait dans sa voix, malgré tout, elle gardait son calme, ces créatures ne devaient pas savoir que les deux femmes étaient au courant de leur présence.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Il fallait sortir de cette maison au plus vite. Elles n'étaient pas seules. Ces choses les poursuivaient, sans attaquer. Que voulaient-elles ? C'était certainement ça le plus effrayant, ne pas comprendre et ne pas savoir quand ces choses allaient passer à l'attaque - si elles passaient à l'attaque un jour. Alors, elles avaient trouvé la pièce où Mary s'était réveillée pour la fouiller. Cette pièce n'avait pas le moindre sens, mais tous ces dessins et tous ces objets devaient avoir un sens caché. Ils ne pouvaient pas être là par hasard.
Maura avait donc attrapé un parchemin pour le montrer à Mary et lui demander si elle comprenait ce qu'il signifiait. Sur celui-ci, une couronne était dessinée. Mary avait été incapable de lui donner une réponse claire et précise. Elle ne savait pas. Maura avait envie de tout arrêter, de s'asseoir quelque part et d'attendre. Elle était bien placée pour savoir que rien, peut-être, n'était réel. Alors valait-il vraiment la peine de se battre, dans ce cas ? Dans le doute, certainement. Il fallait rester motivée, quoi qu'il se passe, à sortir d'ici dans l'hypothèse où tout était réel, bien sûr.
Dans un soupir, la jeune femme avait donc commencé à fouiller les murs, à les observer. Ils étaient recouverts de peintures étranges, qui ne semblaient pas avoir de sens ensemble. Chaque peinture représentait quelque chose de totalement différent. Pourtant, avant qu'elles n'aient eu le temps d'en apprendre davantage ou de réellement se questionner, un bruit s'était fait entendre. Maura avait sursauté. Ce bruit pouvait provenir de n'importe où : une souris, le craquement naturel du bois ou... ou bien ces choses à l'extérieur. Ces choses qui commençaient à gratter la porte, s'impatientant très certainement. La situation devenait plus que préoccupante désormais.
Par réflexe, Mary avait dirigé la bougie vers la porte. Elle n'était plus fermée. Comment avaient-elles pu ne pas l'entendre s'ouvrir ? Maura déglutissait difficilement, se tenant prête à toute attaque. Les battements de son coeur étaient plus rapides, mais elle tentait de garder son calme. Calme difficile à garder lorsque Mary avait levé les yeux au plafond, avant de demander à Maura de ne surtout pas faire la même chose parce qu'elles étaient là, sur le plafond. La jeune femme fit donc un léger signe de tête pour dire qu'elle avait compris qu'elles étaient entrées et où elles se trouvaient. « Il n'y a rien ici, sortons. » Proposa Maura, en essayant de conserver tout son naturel. Pourtant, à peine avait-elle fait un pas en direction de la porte qu'une de ces choses tomba sur elle, la renversant au sol. « Mary ! » Cria-t-elle en se débattant, sans même savoir si elle avait été attaquée elle aussi. Si elle n'appréciait pas du tout la position, la proximité, au moins, lui permettait de voir que ces choses en question ressemblaient à des poupées de bois. Maura allait finir par croire qu'elles étaient coincées dans une maison de poupées.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Dim 2 Juil - 3:28
Cette maison devenait de plus en plus étrange. Tout était de bois – à très peu d’exceptions près – et les murs étaient recouverts d’étranges peintures. Qu’est-ce que tout cela signifiait ? Que représentaient ces peintures ? Avaient-elles la moindre importance ou n’étaient-elles que de simples décorations ? Difficile à dire. Surtout que les deux femmes n’avaient pas eu le temps de plus réfléchir ou de plus fouiller les lieux. Puisque lorsque Mary avait dirigé sa bougie en direction de la porte d’entrée, elle avait pu remarquer que cette dernière était ouverte. Comment ces choses avaient fait pour l’ouvrir sans bruit. Ni Mary, ni Maura n’avaient entendu le moindre bruit et pourtant, cette porte était bien ouverte. Pire encore, les deux femmes n’étaient plus seules. Comment ces choses avaient fait pour entrer sans qu’elles ne les entendent ? Et surtout, comment avaient-elles fait pour monter au plafond. Discrète, Mary s’était tournée vers Maura afin de l’informer de la situation. Il fallait lui dire que ces créatures étaient entrées et qu’elles se trouvaient juste au-dessus d’elles. Pour pouvoir sortir sans éveiller les soupçons, Maura avait dit que puisqu’il n’y avait rien dans cette pièce, elles pouvaient sortir. Mais au premier pas, les choses s’étaient jetées sur les deux femmes.
En voyant ces choses de plus près, Mary avait presque l’impression d’avoir affaire avec des poupées. Des poupées de bois. Pas étonnant vu que tout ce qui se trouvait ici était fait de bois. Étaient-elles dans une maison de poupée ? Non, cette idée était complètement absurde. Comment auraient-elles fait pour se retrouver là ? Mais avec cette ville, tout était possible.
Mary tentait de se débattre du mieux qu’elle pouvait, mais ces poupées étaient grandes, imposantes et surtout, elles avaient de la force. L’ancienne reine avait vraiment beaucoup de mal à se défaire de ces choses. Alors sans réfléchir, elle avait attrapé un objet qu’elle avait à portée de main et avait frappé le plus fort possible sur la créature qui se trouvait sur elle. Après un coup – qu’elle n’avait pas imaginé donner si fort – la poupée était tombée sur le côté, laissant Mary se lever pour rejoindre Maura. Et puisque cette dernière était en difficulté, elle aussi, Mary frappa la poupée qui s’en prenait à elle afin de l’aider à se dégager de son emprise. Sans perdre de temps, Mary attrapa la main de Maura pour l’aider à se relever. « Est-ce que vous allez bien ? » Elles ne devaient pas perdre de temps, elles devaient courir, fuir, avant que ces choses ne les attrapent à nouveau. « Vite, ils font qu’on trouve un moyen de sortir d’ici. » Mary attrapa alors le bras de Maura et se mit à courir aussi vite qu’elle pouvait, lâchant – sans doute à tort – l’objet qui l’avait aidé à se défendre jusque-là.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Il semblait difficile, voire impossible de sortir de cette pièce sans se faire remarquer par les choses qui y étaient entrées en toute discrétion. Pourtant, il fallait tenter le coup. Maura prétendait alors que cette pièce ne contenait aucune information intéressante et qu'elles pouvaient donc en sortir. Ces choses n'étaient pas du même avis puisqu'elles se jetèrent sur elles à l'instant où elles tentèrent de quitter la pièce. Les ignorer et faire comme si elles n'avaient rien vu n'était donc plus efficace. Dommage.
Maura se débattait comme elle le pouvait et elle observait ses ennemis, autant que possible. Des poupées. Ces ennemis ressemblaient à des poupées de bois. A croire qu'elles étaient enfermées dans une maison en bois, une maison de poupées. Maintenant qu'elle avait identifié ses agresseurs, la jeune femme n'était pas plus avancée. Comment se battre contre de tels adversaires ? Elles étaient grandes et lourdes. Maura n'était pas suffisamment forte, malheureusement pour elle. Heureusement pour elle, Mary était venue à son secours en frappant de toutes ses forces la poupée qui se trouvait sur Maura. Débarrassée de cette dernière, soulagée, Maura attrapa la main de Mary pour se relever le plus vite possible. « Merci. Ça va, oui et vous ? Vous n'avez rien ? » Demanda-t-elle rapidement, ne se perdant pas dans les détails. Elle avait quelques coups et quelques égratignures, mais rien qui ne compromettait son avancée dans cet endroit. Et elle espérait que ce soit la même chose pour Mary.
Mary avait raison, il fallait vite sortir d'ici. Pour joindre les gestes à la parole, cette dernière attrapa le bras de Maura pour la faire courir. Malheureusement pour elle, d'autres poupées s'étaient lancées à leur poursuite. Elles ne se cachaient plus désormais, elles les poursuivaient. « Elles sont trop nombreuses, on ne pourra pas leur échapper comme ça. » Se battre semblait impossible, mais fuir également. Elles étaient partout, derrière chaque porte, dans chaque pièce. Bientôt, elles finiraient par les encercler totalement. « On doit essayer d'en enfermer un maximum dans une pièce. » A condition de réussir à les faire entrer et à ressortir, à condition de trouver une pièce qui se ferme, à condition de trouver une pièce que ces poupées seraient incapables d'ouvrir. Autant dire que le plan de Maura n'était pas facile à mettre en place et qu'il n'y avait aucune garantie qu'il allait fonctionner, mais il fallait bien tenter quelque chose parce qu'elles n'allaient pas courir ainsi éternellement.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Jeu 12 Oct - 15:13
Des poupées. Voilà contre quoi elles devaient se battre, contre des poupées de bois. Elles étaient nombreuses et se battre contre elles n’avait rien de simple. Mary tentait de se défendre du mieux qu’elle pouvait, n’étant pas un adversaire de taille face à de telles créatures. Sans réfléchir, l’ancienne reine donnait des coups à ses adversaires, les faisant chuter sur le sol, se prenant quelques coups au passage. Et par une chance incommensurable, elle avait réussi à se défaire de leur emprise. Voyant que Maura était mal en point, elle frappa la poupée qui se trouvait sur elle de toutes ses forces. Par chance, le coup avait été assez fort pour la libérer. Mary espéré que Maura ne soit pas trop blessée, elles devaient avancer, changer de pièce, fuir cette maison. « Je vais bien. » Quelques coups, les poupées étaient plutôt doués, de légères égratignures et quelques douleurs, mais rien qui ne pouvait l’empêcher d’essayer de fuir cet endroit.
Puisqu’il ne fallait pas perdre de temps et que les deux femmes ne devaient pas se séparer, Mary attrapa le bras de la rousse avant de se mettre à courir, espérant trouver une issue rapidement. Mais rapidement, des poupées s’étaient mises à les suivre. Malheureusement, Maura avait raison, elles n’allaient pas pouvoir les fuir bien longtemps. Elles étaient bien trop nombreuses et elles allaient finir par rattraper les deux femmes, elles allaient tout faire pour les empêcher de fuir, c’était certain. Alors comment faire pour réussir à se débarrasser de ces choses ? « C’est une bonne idée, mais comment ? » Comment pouvaient-elles se montrer plus rusées que ces choses ? Comment pouvaient-elles réussir à enfermer ces poupées dans une pièce, sans se faire piéger elles-mêmes ? « La pièce dans laquelle je vous ai trouvé. » Lâcha-t-elle comme une évidence. « C’est risqué, mais je crois que ça peut fonctionner. » Sur ces mots, elle tourna brusquement afin de rejoindre cette fameuse pièce. « Si je ne me trompe pas, il y avait deux portes. » Commença-t-elle par expliquer dans un chuchotement, craignant d’être entendue par ces choses. « Je vais essayer d’attirer les poupées dans cette pièce, arrangez-vous pour qu’elles me suivent, pendant ce temps-là, restez discrète. Une fois le plus de poupées possible à l’intérieur, refermez la première porte. Et si, une fois encore, je ne me trompe pas, elle s’ouvre par l’extérieur, faites en sorte qu’elles ne puissent plus l’ouvrir, mettez le maximum de choses derrière pour la bloquer. Quant à moi, je sortirai par la seconde porte et je ferai la même chose une fois dehors. Nous n’aurons plus qu’à trouver le moyen de nous rejoindre après cela. » En espérant qu’il y ait bien un moyen de se rejoindre. « Vous êtes prête ? » Dit-elle en voyant qu’il y avait désormais plusieurs dizaines de poupées derrière elles. Si elles n’étaient pas toutes là, il ne devait plus y en avoir beaucoup d’autres dans la maison, du moins Mary l’espérait.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Malgré les attaques, les deux femmes s'en sortaient plutôt bien - quelques coups et quelques égratignures, tout au plus. Elles tenaient encore debout, elles pouvaient encore se battre, fuir et espérer s'en sortir. Sans attendre, libérées de ces poupées, les deux femmes s'étaient mises à courir. Pour aller où ? Elles étaient enfermées dans un endroit dont elles ignoraient tout, il semblait donc plutôt difficile de trouver un abri pour se réfugier. Puis, les poupées étaient nombreuses et ne s'arrêteraient pas. Il fallait donc trouver autre chose. La fuite n'était pas une solution sur le long terme. Maura proposait donc une autre solution : en enfermer le maximum. C'était un plan difficile à appliquer parce qu'il fallait les attirer, les enfermer, sans se piéger soi-même. Il fallait également prendre soin d'en enfermer un maximum, pour que l'action serve à quelque chose. Il fallait donc trouver une pièce suffisamment grande, qui se fermait. Un autre problème existait : elles ignoraient tout du nombre de leurs adversaires. Peut-être pouvaient-elles se démultiplier à l'infini ? Être des centaines ? Elles n'en savaient rien et les enfermer ne résoudrait peut-être rien du tout, mais il fallait essayer.
Au comment, Maura ne savait pas quoi répondre. Elle avait l'idée, mais pas dans le détail, malheureusement. Alors, elle essayait de réfléchir. Mary avait eu l'idée la première : la pièce dans laquelle elle l'avait trouvée. Risqué, ça l'était certainement. Mais tout était risqué dans leur situation, non ? Alors, il fallait bien tenter des choses, il n'y avait pas le choix.
Maura suivait donc sa compagne de mésaventure qui lui chuchotait des explications. Il était vrai que cette pièce possédait deux portes. Une chance ! Et Mary avait déjà tout un plan en tête. Elle allait attirer les poupées dans la pièce, tandis que Maura se cacherait. Une fois un nombre de poupées suffisant, Maura devait refermer la porte et la bloquer avec tout ce qu'elle trouvait. Pendant ce temps, Mary franchirait l'autre porte et ferait de même. Ensuite, elles devraient tenter de se retrouver. C'était un plan risqué sur bien des points. Il fallait être certain de pouvoir barricader les portes, de ne pas se faire attaquer - Maura risquait, par exemple, de se faire attaquer par les poupées restantes parce qu'elles ne pouvaient pas attendre qu'elles soient toutes entrées - et, pire encore, rien ne leur assurait qu'elles réussiraient à se retrouver. « Autant qu'il est possible de l'être avec un plan qui comporte autant de variables. » Expliqua Maura, avec franchise. « On ne quitte pas cet endroit avant d'avoir pu se rejoindre, d'accord ? » Elle cherchait confirmation, pour s'assurer qu'elle pouvait avoir confiance et qu'elle ne l'abandonnerait pas à son sort - même si elle pouvait totalement mentir et l'abandonner à la première occasion.
Comme Mary l'avait donc suggéré, Maura s'était glissée dans un coin, après s'être armée d'un morceau de bois pour se défendre - trouvé en détruisant une chaise qui se trouvait dans un coin de cet immense couloir. Dans l'ombre, elle n'avait plus qu'à attendre que Mary entre en action. Elle tentait d'être discrète et de faire attention à ne pas laisser Mary être submergée par le nombre. Il ne fallait pas qu'elle se fasse voir, pour ne pas gâcher tout le plan - peut-être leur seule chance de s'en sortir en vie. Alors, après un certain temps, lorsqu'elle avait jugé que le moment était le bon, elle avait assommé la poupée juste devant elle, qui semblait être la dernière de la dizaine de poupées, pour refermer la poupée avant que les autres ne repèrent leur manège. Elle aurait pu attendre que celle-ci entre aussi, mais elle n'avait pas l'air décidé à avancer davantage et Maura craignait qu'ensuite, il ne soit trop tard.
La porte fermée, Maura s'était dépêchée de la bloquer en poussant un premier meuble contre elle. C'était lourd et difficile, mais elle n'avait pas le choix et elle n'allait pas se plaindre. Elle était en train de lutter pour sa vie. Sa survie. Elle sentait déjà du poids derrière la porte : on essayait d'ouvrir. Elle n'abandonnait pas pour autant, elle redoublait d'énergie pour être plus efficace encore. Elle glissait les meubles les uns après les autres, après avoir tenté de bloquer la serrure avec un morceau de chaise cassée, pour mettre un maximum de poids et rendre la sortie quasiment impraticable. Il fallait à tout prix se dépêcher, d'autres poupées pouvaient arriver à tout moment et celle qui était au sol pouvait toujours se relever. Et il fallait espérer également que Mary, de son côté, s'en sortait tout aussi bien.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Dim 29 Oct - 20:32
Enfermer un maximum de poupées était une bonne idée. Mais il fallait désormais trouver comment les enfermer sans s’enfermer soi-même. Les deux femmes n’avaient pas beaucoup visité la maison, mais Mary s’était souvenue que dans la pièce où elle avait trouvé Maura, il y avait deux portes. C’était une excellente chose pour éviter de rester enfermer avec les poupées. L’une d’elles devait entrer dans cette pièce et se faire suivre par une grande partie des poupées, puis elle devait ressortir par l’autre porte. Et chacune d’elles allait devoir agir vite pour pouvoir fermer et bloquer les deux portes, pour que les poupées ne puissent plus sortir. Mary était celle qui allait les attirer dans la pièce. Maura avait, donc, pour rôle de ne pas se montrer, d’être discrète et de s’assurer que toutes les poupées qui les suivaient entrent dans la pièce.
Certes, ce plan était risqué, plus que risqué même. Rien n’était assuré, comme le disait Maura, ce plan comporté de nombreuses variables. Les deux femmes devaient compter sur leur chance et espérer que les choses se déroulent comme elles le voulaient. « Non, on doit se retrouver avant de quitter cet endroit. » Affirma-t-elle à Maura. Si Mary trouvait une sortie, elle irait chercher Maura, elle pouvait lui en faire la promesse. Elles avaient vécu cette aventure à deux, et même si elles ne se connaissaient pas vraiment, Mary refusait de l’abandonner ici. En échange, elle espérait que Maura tienne également sa promesse. Si c’était elle qui trouvait la sortie en première, elle espérait bien que la jeune femme vienne la secourir. Elle espérait que Maura ne fuit pas en l’abandonnant là.
Sans perdre de temps, les deux femmes avaient exécuté le plan de Mary. Maura s’était mise dans l’ombre, se cachant pour ne pas se faire voir et Mary était entrée dans la pièce. Les poupées entraient une par une et Mary reculait peu à peu vers la sortie. Elle savait qu’elle devait attendre le dernier moment pour fuir, histoire de laisser entrer un maximum de poupées dans la pièce, mais elle commençait à craindre pour sa vie. Les poupées étaient bien trop nombreuses, seule, elle n’allait pas réussir à s’échapper. Malgré tout, Mary avait attendu, elle avait attendu que Maura referme la porte, signal qu’il n’y avait plus de poupée dans le coin. Dès cet instant, Mary s’était mise à courir pour sortir de la pièce et refermer la porte. Les poupées étaient désormais enfermées. Mais elles devaient chacune bloquer la porte de leur côté pour ne pas que les poupées sortes rapidement. Mary avait attrapé tout ce qu’elle pouvait attraper. Pour commencer, elle avait poussé un meuble contre la porte. Puis la brune avait attrapé toutes sortes d’objets traînant aux alentours et les avaient tous déposé devant la porte. Les poupées essayaient d’ouvrir, mais le poids des meubles les retenait. Seulement, Mary ne savait pas pour combien de temps. À force d’essayer, de pousser… Peut-être qu’elles allaient réussir à ouvrir.
Maintenant que les poupées étaient enfermées, Mary devait retrouver Maura. Elles s’étaient promis de se réunir avant de pouvoir sortir d’ici. Seulement, l’ancienne reine devait être prudente. Il y avait peut-être d’autres poupées dans la maison, prête à lui tomber dessus à n’importe quel moment. Ce côté de la maison, semblait plus délabré que l’autre. Les murs et les sols étaient abîmés, l’air était humide et la saleté était présente, mais ici aussi tout été en bois, tout sauf cette petite clé que Mary avait aperçu du coin de l’œil, cachée dans un trou dans le mur, derrière quelques toiles d’araignées. Cette clé avait peut-être une grande importance, elle allait peut-être les aider à sortir de cette maison de poupée. Mary l’avait donc attrapé puis glissé dans ses poches. Elle ne devait pas chercher la sortie, pas pour le moment, elle devait d’abord retrouver Maura.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
L'avantage de ce genre de maison était que des meubles, il y en avait des tas. Maura n'avait donc aucune difficulté à les glisser, les uns après les autres, derrière cette porte. Elle espérait ainsi que la porte résiste aux assauts des poupées qui se trouvaient de l'autre côté et qui essayaient de détruire la barricade pour passer. Cette solution, cependant, n'était que provisoire. A force de pousser, elles réussiraient à ouvrir, Maura en était persuadée. Il fallait donc agir vite et bien.
Et, surtout, il ne fallait pas perdre de temps. Une fois qu'elle avait mis tous les meubles possibles devant cette porte, elle s'était mise en chemin pour retrouver Mary. Elle ne partirait pas d'ici sans elle - et elle espérait que Mary ne parte pas sans elle, non plus. Les couloirs étaient vides, mais Maura restait sur ses gardes. Il pouvait rester des poupées ou, pire encore, d'autres dangers dont elles ignoraient absolument tout. L'obscurité et le silence étaient terrifiants. Maura avançait prudemment, mais ce calme, dans un endroit dont elle ne connaissait absolument rien, la perturbait énormément. Elle tentait pourtant d'en faire abstraction pour avancer, un morceau de bois dans les mains pour se défendre, juste au cas où.
La jeune femme découvrait de nouveaux endroits en visitant la maison. Toutes les pièces se ressemblaient. Tous les objets étaient en bois, tout était effrayant et minutieusement réalisé. Maura observait, mais ne fouillait pas, pour ne pas perdre de temps. Son objectif premier était de retrouver Mary, en espérant que cette dernière s'en soit sortie.
A force de marcher, de visiter les pièces et de pousser des portes, Maura était arrivée dans une sorte de hall gigantesque. Dans cette pièce se trouvait une porte imposante, dans un bois particulièrement travaillé, avec une serrure. C'était la porte d'entrée. Maura en était presque certaine. Pourtant, elle respectait sa promesse. Elle retenait où se trouvait cette pièce et continuait son chemin. Après un certain temps, et d'autres pièces traversées, Maura avait aperçu une ombre, au bout d'un couloir. Toujours ses gardes, elle s'était contentée d'appeler : « Mary ? » Si c'était bien elle, elle lui signalerait. Si ce n'était pas elle, Maura avait laissé de la distance. Elle pourrait donc s'enfuir sans problème.
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Dim 10 Déc - 19:56
Les poupées étaient enfermées. Ne sachant pas de combien de temps elle disposait avant qu’elle les objets et a porte ne cède, Mary devait faire vite. Elle devait faire au plus vite pour retrouver sa partenaire d’aventure. Elles s’étaient promis de ne pas sortir l’une sans l’autre et Mary comptait bien tenir sa promesse. En chemin, elle avait trouvé une clé. Peut-être qu’elle allait leur être utile pour quitter cette maison maudite. L’ancienne reine l’avait prise, ne voulant pas passer à côté d’une potentielle chance, mais elle refusait de chercher la serrure qu’elle ouvrait, parce qu’elle ne voulait pas abandonner Maura. Elle avait soigneusement rangé la clé et avait continué son chemin.
Toutes les pièces se ressemblaient, les objets également, il était difficile de se repérer, Mary avait parfois l’impression de tourner en rond. Elle l’avait sans doute fait quelques fois, mais il y avait tellement de portes, tellement de couloir. À croire que cette maison cherchait à la perdre. À croire qu’elle faisait tout pour ne pas qu’elle retrouve Maura, pour ne pas qu’elle réussisse à sortir d’ici. Pourtant, après avoir traversé de nombreux couloirs, après être passées par de nombreuses pièces, elle avait fini par entendre un bruit. Ou plutôt, elle avait eu l’impression d’entendre son nom, et même si elle ne connaissait pas bien la voix de Maura, elle était presque certaine qu’il s’agissait de la sienne. Malgré tout, elle devait rester prudente. Une poupée pouvait se cacher à l’autre bout de ce couloir. Surtout que Mary avait eu l’impression de voir des ombres et d’entendre des bruits derrière elle à quelques reprises. Ce n’était peut-être que son imagination. Ou bien, il y avait d’autres poupées dans la maison. Seulement, Mary ne les avait jamais vues, pas depuis qu’elle avait réussi, avec l’aide de Maura, à les enfermer dans une pièce. « Maura ? » Lâcha-t-elle alors à son tour, après s’être stoppée et après avoir attendu quelques secondes. Puis après une nouvelle hésitation, elle avait commencé à s’avancer. Rapidement, elle aperçut les traits de sa compagne d’aventure. C’était bel et bien Maura. Elle avait tenu sa promesse, elle ne l’avait pas abandonné. Elles avaient réussi à se retrouver. « Maura. » Répéta-t-elle sans interrogation cette fois-ci et en s’avançant d’un pas plus déterminé et serein. « Nous avons réussi. » Elles avaient réussi à enfermer les poupées sans se faire prendre. Elles avaient réussi à se retrouver sans se perdre. Pour le moment, les choses se passaient plutôt bien. « Regardez ce que j’ai trouvé. » Dit-elle en sortant la clé de sa poche pour la montrer à Maura. « Je ne sais pas si elle va nous servir à quelque chose, mais je me suis dit qu’elle allait peut-être nous aider à sortir de là. »
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
Retrouver Mary n'était pas une affaire facile tant cet endroit paraissait gigantesque. Pourtant, Maura n'abandonnait pas. Elle était déterminée à tenir sa promesse et à réussir. Après avoir trouvé la porte d'entrée - ce qu'elle supposait être la porte d'entrée, tout du moins - elle avait donc continué sa route. A force de chemin, elle avait remarqué une ombre au loin. Dans le doute et par précaution, elle avait appelé Mary. Si ce n'était pas elle, elle aurait une chance de pouvoir prendre la fuite. Après quelques secondes, elle entendit son prénom à son tour. Cette voix, elle était presque certaine qu'il s'agissait bel et bien de celle de Mary - en espérant que ces choses n'étaient pas capables d'imiter les voix, évidemment.
Doucement, elle s'était avancée, sans répondre, et avait aperçu Mary, qui faisait de même. Elles avaient donc tenu leur promesse. C'était rassurant. Il était encore possible de compter sur l'espèce humaine, donc. « Mary. » Répondit-elle simplement à sa compagne de mésaventure, en lui offrant un sourire rassurant et de remerciements. D'un hochement de la tête, elle confirmait ce que la jeune femme venait de dire, elles avaient réussi. Pour le moment, leur plan semblait se dérouler à merveille. Les poupées étaient enfermées et elles s'étaient retrouvées. Puis, Maura avait une bonne nouvelle pour elle : elle avait trouvé une porte qui était, potentiellement, la porte d'entrée. Mary semblait avoir une bonne nouvelle, elle aussi, puisqu'elle s'empressa de lui montrer une clé. « Et si je vous disais que j'ai trouvé une porte qui ressemble à une porte d'entrée avec une serrure qui pourrait correspondre à cette clé ? » Lui lança-t-elle avec un sourire satisfait et soulagé sur les lèvres. « J'ai retenu le chemin, suivez-moi. » A condition que les choses ne changeaient pas de place, évidemment.
(J'aime les membres )
Mary Stuart
▿ Ton univers : Reign
▿ Date de naissance : 08/12/1992
▿ Age : 31
▿ Métier : Mary gère sa propre fortune. Elle investit dans certaines entreprises... Elle possède également sa propre entreprise : une salle de réception, où elle aime s'investir, car cela lui rappelle la vie à la cour.
Mary est l'heureuse maman d'un petit garçon, appelé James Stuart, âgé de 6 ans (19.06.2018).
Ven 26 Jan - 23:10
Elles s’étaient attendues. Elles avaient tenu leur promesse. Après s’être séparées pour mieux piéger les poupées, elles avaient réussi à se retrouver. Elles progressaient bien et étaient sans doute très proches de la sortie, proches de la fin de cette épreuve infernale. Mary avait une bonne nouvelle pour Maura. Après avoir enfermé les poupées, elle avait parcouru de longs couloirs et ses yeux étaient tombés sur un petit objet brillant. Elle avait alors tendu la main pour attraper la clé qui se cachait derrière quelques toiles d’araignées. Cette clé était sans doute celle qui allait leur permettre de sortir, Mary l’espérait en tout cas.
Désormais, il leur fallait trouver la porte qui allait avec cette clé. Mary se voyait déjà devoir parcourir la maison à nouveau à la recherche de la porte, tout en sachant que les poupées allaient bientôt sortir de leur prison, trop peu solide pour elles. Mais heureusement, Maura avait également une bonne nouvelle à lui annoncer. Si Mary avait trouvé la clé, elle, elle avait trouvé la porte. Ou du moins, elle pensait l’avoir trouvé. La porte qu’elle avait vu ressemblé à une porte d’entrée, alors il n’y avait pas de temps à perdre, elles devaient s’y rendre et essayaient de tourner la clé dans la serrure de la porte. Avec un peu de chance, la porte allait s’ouvrir et les deux femmes allaient pouvoir redoubler leur liberté. Un léger sourire, signe d’espoir, s’était dessiné sur les lèvres de Mary lorsque Maura lui avait annoncé la bonne nouvelle. Et sans perdre de temps, elle avait suivi Maura qui avait retenu le chemin pour s’y rendre. « Je vous suis. » Affirma-t-elle alors, en commençant à avancer.
Mary suivait Maura silencieusement. Trop prise par ses pensées, ses espoirs. Elles avaient peut-être réussi à vaincre la ville, une fois encore - en ce qui concernait Mary en tout cas. Les deux femmes avaient fini par rejoindre l’immense porte dont Maura lui avait parlé. Sans perdre de temps, Mary avait avancé la clé - qu’elle tenait fermement dans la main par peur de la perdre - et l’avait inséré dans la serrure. Après un léger soupire et après avoir jeté un regard à Maura, l’ancienne reine tourna la clé. Elle ne bloquait pas. Non, elle tournait même. Ce qui voulait dire que c’était la bonne clé. Un nouveau sourire se dessinant sur les lèvres de la brune et du regard, elle avait fait signe à Maura que c’était bon. « La porte est déverrouillée. » Lâcha-t-elle finalement, craignant d’ouvrir la porte et de se retrouver dans le même piège, craignant que la sortie ne soit pas derrière. Puis, avec une petite hésitation, la brune avait posé la main sur la poignée et avait appuyé, avant de tirer sur elle doucement. Elles devaient se préparer, puisqu’un autre danger pouvait se cacher là. Au lieu de cela, c’est une lumière aveuglante qui est entrée dans la pièce éblouissant les deux femmes qui ne pouvaient plus rien voir. Et lorsque la lumière s’était estompée, Mary n’était plus dans la maison de poupée. Ce qui signifiait très certainement qu’elles avaient réussi. Elles avaient survécu et avaient réussi à trouver la sortie.
Mary Stuart
Maura Franklin
▿ Ton univers : 1899.
▿ Date de naissance : 19/10/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : elle se consacre entièrement à ses recherches sur le cerveau humain désormais, après avoir passé presque quatre années à travailler dans un hôpital psychiatrique.
▿ Quartier : Baker Street Avenue, dans une petite maison.
▿ Côté cœur : célibataire, d'après ses souvenirs. Mariée, en réalité - enfin, selon une simulation.
La fin de toute cette histoire était proche, Maura le sentait. Ce n'était pas seulement parce qu'elles avaient une clé et une porte - ce qui ressemblait très clairement à une sortie - mais elle en avait le pressentiment. Pour confirmer cette intuition, les deux femmes s'étaient donc mises en route. Maura avait retenu le chemin exact - heureusement qu'elle avait une plutôt bonne mémoire - mais il fallait espérer que cette maison n'avait pas le pouvoir de changer les pièces, les portes et les murs de place, sans quoi elles étaient perdues.
En silence, elles avaient atteint la porte. Une chance. Ou alors elles avaient fait leurs preuves et elles étaient désormais libres ? Avec hésitation, Mary avait donc avancé la clé qu'elle tenait fermement entre les doigts pour l’insérer dans la serrure. Après une autre hésitation et un regard lancé à Maura, elle avait tenté sa chance en tournant cette fameuse clé. Le coeur de Maura battait plus vite et ratait un battement à l'instant où la clé tournait dans la serrure. C'était le moment de vérité. Allaient-elles être libres ou non ? Trouver une sortie ou un endroit pire que celui-ci ?
Après une énième hésitation, alors que la porte était finalement déverrouillée, Mary avait tourné la poignée et elle avait ouvert. Elles s'attendaient toutes les deux à ce qui pouvait se cacher derrière et elles se montraient méfiantes et sur leurs gardes. Il n'était pas question de mourir maintenant, attaquées par une horde de poupées en colère ou elle ne savait quoi d'autre. Par chance, par miracle, ou par elle ne savait quoi, derrière, il n'y avait rien. Enfin, si. Il y avait la chose la plus importante : la liberté. Une lumière les avait aveuglées et elles s'étaient retrouvées en dehors de la maison de poupées. Elles étaient libres et devant elles se dressait la fameuse maison. Minuscule. Elles avaient donc été enfermées dans ça ? Comment était-ce possible ? Bien sûr, les questions étaient multiples, mais elle n'avait pas envie d'y réfléchir maintenant. Pour le moment, elle voulait savourer sa liberté. « Nous sommes libres. Nous avons réussi. » Maura était évidemment soulagée et heureuse. C'était encore une épreuve de cette maudite ville réussie... Mais combien y en aurait-il d'autres avant d'être autorisée à quitter cet endroit ?
Contenu sponsorisé
(Terminé) La maison de poupées ▿ Mary.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum