Après avoir échangés par message avec Luisa, le jour J est finalement arrivé. Dire que tu n’es pas stressé serait mentir, même si aucune raison apparente ne faisait que tu serais stressé, ou alors serait-ce le fait de revoir la charmante Luisa alors que tu as été mis en speed-dating avec son oncle y a de ça quinze jours ? Sans doute un mélange de tout ça, ouais. L’appartement est nickel, parfaitement rangé, comme à chaque fois que tu reçois quelqu’un ou en l’occurrence quand tu donnes un cours. Tu finis juste ta dernière recette, une pizza style hawaïenne, composée de jambon et d’ananas, un régal. A côté tu as prévu aussi des pâtes au Nutella, comme tu l’avais promis à la coach sportive et il ne te restait plus qu’à aller prendre une douche. Même si tu allais suer juste après, en procurant un cours de danse à la jeune Madrigal, tu ne pouvais pas l’accueillir comme ça, du moins tu n’aurais pas voulu.

Tu entrepris d’aller te doucher, lavant même tes cheveux et tu pris le temps qu’il te fallait, après tout ton invitée ne devrait pas tarder mais tu avais encore un peu de temps, elle était même censée t’appeler au cas où. Alors que tu enfilais un short et une paire de socquettes pour pouvoir glisser tes pieds dans une paire de baskets, ton téléphone retentit. « Oui, Luisa ? Quel plaisir d’entendre ta voix ! Ne bouge pas, j’arrive, je te vois même à travers la fenêtre ! » Que tu lui avoues alors que tu as fait le chemin jusqu’à la cuisine, en enfilant ton t-shirt par la même occasion, puis entrouvert le rideau et tu la salues, grand sourire illuminant ton visage. Tu raccroches alors et descends par les escaliers et une fois dehors tu cours dans sa direction, venant derrière elle pour l’effrayer ou du moins la surprendre. « Bouh ! » dis-tu simplement en venant poser tes mains sur ses hanches puis tu viens prendre sa main pour y déposer un baiser et tu lui attrapes sa main, toujours avec ce sourire sur le bout de tes lippes. « Tu vois, tu m’as trouvé quand même. Ça a été la route ? Prête à danser ? » Que tu lui demandes alors que tu l’attires jusqu’à chez toi, tenant la porte de dehors et celle de ton appartement une fois que vous avez pris l’ascenseur pour retourner à l’intérieur de chez toi. Une fois la porte fermée, tu prends ses affaires pour la débarrasser. « Et voilà mon chez-moi ! » Tu fais un geste de tes deux bras, dévoilant ton intimité à ton amie.

Pouvoir reparler avec Luisa t’avait mis dans une forme presqu’olympique, c’est dire à quel point tu étais excité de la revoir. Cela ne faisait que quinze jours, mais en quinze jours énormément de choses pouvaient s’être passés, ce qui était le cas pour toi. Tu avais dans un premier temps rencontré l’oncle de la jeune coach sportive, partageant un rendez-vous qui s’est terminé par une amitié naissante avant de retrouver Lilo. Ta chère meilleure amie, sœur de cœur et ta Ohana. Et, comme si c’était inné, comme si tout ça été écrit dans un livre, vous aviez décidés de déménager de vos appartements respectifs pour emménager dans un nouveau, tout beau, tout neuf et mieux que les vôtres, histoire de repartir sur de bonnes bases.

Puis, le fameux coup de téléphone que tu attendais, fut enfin là. La douce Luisa était donc arrivée et quand tu l’aperçus à la fenêtre, tu la préviens que tu descends. Une fois tout le deux, retrouvailles faites, tu l’invite à te suivre, pour finalement vous retrouvez dans ton appartement. « Je suis plus que prêt à t’apprendre à danser, tu as une préférence peut-être ou on part sur du basique et on verra où ça nous mène ? » Tu lui demandes tout ça en la débarrassant de ses affaires, tu préfères travailler un style de danse qu’elle aime bien, tu sais que tout le monde n’aime pas le hula ou le tango donc autant prévenir. « Merci, profites, c’est la première et dernière fois que tu le verras. » commences-tu à dire dans un sourire, certes un peu nostalgique après avoir vécu dedans pendant trois ans, mais la suite s’annonce vraiment prometteuse. « J’ai tellement de choses qui se sont passées en quinze jours, mais la plus importante à mes yeux est que j’ai retrouvé Lilo, ma sœur, et qu’on va emménager ensembles ! » Que tu lui apprends, un grand sourire illuminant ton visage. T’es heureux, il n’y a pas d’autres mots. « Tu veux boire un truc avant de commencer ? »

Luisa était enfin devant toi. Tel un rêve qui se réalisait, tu pouvais à nouveau profiter de sa présence. Quand elle était là, le reste ne comptait plus, c’est comme si elle faisait ressortir le bon en toi, un peu comme Lilo mais tellement plus que cette dernière, car Lilo c’était ta famille alors que la coach sportive non. Alors, rien que d’imaginer votre cours de danse, tu étais joie. Ce petit sourire irrésistible qui ne te quittait pas, tu ne pouvais qu’être heureux de la présence de la demoiselle, elle mettait un peu ta vie en pause quand elle était près de toi, ça te faisait un bien fou, elle arrivait à te canaliser, en quelque sorte.

Alors que vous arrivez finalement chez toi, tu lui avoues que l’appartement en question, et bien elle ne le reverra pas de sitôt puisque tu vas déménager dans pas longtemps, mais pour vivre avec ta sœur, du coup c’est un bon évènement. « Et bien figures-toi qu’on ne change que d’appartement mais pas de quartier. On s’est dit qu’elle ne voudrait pas vivre ici vu que c’était mon appartement et moi je ne me voyais pas arriver chez elle pour tout bouger, alors on repart à zéro, mais ça va nous faire du bien, elle m’a tellement manqué… » Que tu avoues à ton amie, le regard un peu triste car tu repenses à ce qu’il t’a fallu comme temps pour pouvoir de nouveau serrer la cadette Pelek aï dans tes bras. « Et bien un jus d’orange pour ma belle invitée alors ! » souffles-tu dans un petit sourire alors que tu sors trois oranges, un presse-agrumes et deux verres. « Et toi, quoi de beau dans ta vie ? » Tu ne sais pas si Bruno, son oncle a mentionné ton prénom, ou même s’ils se sont vus, alors pour l’instant tu te contentes de couper les oranges et de les presser pour faire les deux jus. Une fois fait tu ajoutes un zeste de citron et tu mets de pailles ainsi qu’une ombrelle sur chaque verre, tendant celui de la brune avant de trinquer pour boire. « A nos retrouvailles et notre premier cours de danse ! » Puis tu bois, une longue gorgée, avant de demander. « Tu as revu de la famille récemment, peut-être ? »

Elle était enfin là et tu étais plus qu’heureux. Faut dire qu’en la compagnie de Luisa tu n’étais plus le même que lorsque tu étais seul ou avec tes amis. Tu t’assagissais ? Oui, c’était comme ça qu’on disait quand une personne en apaiser une autre, la rendant plus sage, plus modérer et ça faisait un bien fou. Puis, avec les deux semaines qui venaient de passer, tu en avais vécus des choses, surtout les retrouvailles avec Lilo que tu avais de suite partagées avec la jeune coache sportive. Lui expliquant que vous alliez déménager ensembles pour repartir de zéro et tu ne pus qu’hocher la tête quand elle mentionna le fait que chacun d’entre vous pourra y mettre son grain de sel mais ensembles cette fois. « Carrément, ça permet de se redécouvrir et se retrouver en même temps. On vivait ensembles, avant… tout ça. » lui avoues-tu en parlant de l’île, du fait que vous ayez été séparés depuis trois ans. « C’est elle qui m’a un peu tout appris, disons qu’elle est ma sauveuse, mon Ohana comme on dit par chez moi… » Tu esquisses un sourire alors que tu te mets en préparation de jus de fruits et une fois faits tu trinques avec la jeune Madrigal, ce sourire toujours présent sur tes lèvres. « Hâte de voir comment tu vas te débrouiller… » Tu bois alors une longue gorgée de ta boisson et tu l’écoute t’avouer avoir retrouver sa mère mais aussi l’une de ses sœurs, Isabela. « Mais c’est vraiment super tout ça, tu dois être vraiment heureuse ! » Tu sirotes alors ton verre et une fois qu’il est terminé, tu oses enfin prononcer son nom, comme si c’était un tabou ou je-ne-sais quoi. « J’ai fais la connaissance de ton oncle, Bruno, lors d’un speed-dating… » Que tu finis par lui avouer en allant débarrasser le verre pour le glisser dans l’évier, observant la réaction de la brunette. « C’est un chouette type et on a parlé de toi mais aussi de ses amis les rats. J’ai même fait la connaissance de Theresa, c’est quelqu’un d’étrangement sympathique, à sa manière ! » Que tu dis dans un sourire, suivi d’un petit rire, histoire de rendre la situation moins malaisante.

Le fait de revoir Luisa te faisait tellement plaisirs. C’était un peu comme retrouver le soleil après une averse. Le moral n’était peut-être pas au beau fixe quand la pluie était présente mais une fois le soleil de retour, tout allait pour le mieux. Luisa était un peu comme ton rayon de soleil, qui illuminait ta vie depuis plusieurs semaines maintenant. Et puis, faut dire qu’entre vos retrouvailles avec Lilo, le speed-dating en compagnie de l’oncle de la brunette et ton futur déménagement, il s’en était passé des choses en quinze jours. « Carrément, il y a certaines choses du passé qu’il fait bon de retrouver, peu importe l’âge à lequel on retrouve ces choses. » Car même si cela faisait trois ans que Lilo et toi ne vous étiez pas vus, tout était revenu au naturel. Même le fait que tu ne sois plus la petite boule de poils bleue qu’elle avait l’habitude de caresser ou serrer dans ses bras. Elle semblait s’être accommodé de ta nouvelle carrure, le Stitch humain et musclé.

Une fois le jus de fruits frais préparé, tu lui tends son verre, alors que tu lui avoues avoir hâte de la voir à l’œuvre concernant la danse. Mais c’est surtout plaisant de parler en sa compagnie, ça te permet d’en apprendre aussi sur sa personne et de voir comment tu vas pouvoir annoncer avoir rencontré son oncle, lors d’un speed-dating… « Merci, j’ai toujours aimé faire la cuisine, faut dire que Lilo et sa grande-sœur n’étaient pas trop douées donc ça m’est souvent arrivé de devoir faire les repas. Puis quand on vit seul, pas trop le choix… » avoues-tu dans un petit rire. Car c’est vrai que pendant trois ans tu avais dû apprendre à vivre seul, en tant qu’humain et finalement tu t’en étais plutôt bien sorti vu que personne n’aurait su dire que tu n’étais pas humain avant de débarquer dans cette mystérieuse ville.

Puis, tu trouvas que le moment était bien choisi pour lâcher la bombe Bruno. Car même s’il ne fallait pas parler de Bruno, toi tu le faisais car tu te devais d’être honnête avec cette fille qui te faisait ressentir pas mal de choses ces derniers temps. Mais tu remarquas le léger bug qu’elle eut quand tu mentionnas son oncle et votre rencard. Rencard qui n’avait rien de romantique vu que tu t’étais plus lié d’amitié que fais des galipettes. « Je suis content que tu le prennes bien. Quand il s’est présenté à moi en mentionnant le nom Madrigal, j’ai un peu bugué comme toi. Du coup j’ai tout de suite parlé de toi et je pense que ça l’a rassuré vu qu’il n’est pas du genre… ouvert ? » dis-tu après réflexion sur le mot à choisir pour décrire Bruno. « Mais finalement ça s’est très bien passé, il m’a dit que votre famille était fantastique et que y avez certaines choses dont il préférait que ce soit toi qui en parle plutôt que lui… » lui avoues-tu alors que tu souris. « Bon, on peut continuer à parler de Bruno ou se mettre doucement à danser et on fait durer le plaisirs de passer l’après-midi ensembles ? Qu’en dis-tu ? »

Être de nouveau en compagnie de la jeune Luisa Madrigal te faisait énormément de bien. Elle était un peu la sûreté de ta vie. Tu ne saurais pas trop dire quand, ni comment, mais elle était devenue un élément important dans ta routine et tu ne te verrais pas passer les jours qui suivent sans avoir de ses nouvelles. Elle faisait sortir le bon en toi et tu étais persuadé que le sourire qu’elle arborait aujourd’hui venait de ta présence dans sa vie. Comme quoi, des fois il suffit de venir prendre en main le destin et embêter une jolie fille qui fait de la boxe pour que ça créer des liens…

Elle semble ravie que tu saches cuisiner et tu ne peux que l’en remercier du compliment, car déjà tu sais qu’elle aime tes jus de fruits mais tu es aussi sûr qu’elle aimerait tout autant les fameuses pâtes au Nutella ainsi que ta dernière recette en date, la pizza hawaïenne, mélangeant jambon et ananas pour le plaisir des papilles. « Du coup, après notre cours je te ferais goûter mes fameuses pâtes au Nutella et j’ai aussi une recette surprise, mais ça tu en sauras plus toute à l’heure… » lui avoues-tu en essayant de garder une part du mystère. Et quand tu mentionnes Bruno, tu as peur que ça casse un truc entre vous. Car même s’il ne s’est rien passé, à part que vous êtes devenus amis, tu ne sais jamais comment une personne prendrait le fait de savoir son ami allait à une sorte de rencard avec un autre membre de sa famille, c’est toujours étrange au final. « Oh que oui, heureusement qu’il avait amené Theresa… Déjà, je l’ai rencontré alors qu’il sortait de dessous la table, c’était assez drôle à voir ! » ris-tu encore en imaginant la fameuse scène. Mais ça t’avait permis de briser la glace et des fois ça fait tellement du bien. « Vous êtes vraiment tous fantastique dans cette famille, j’en suis certains… » réponds-tu finalement alors que la jeune coache débarrasse son verre avant de s’avancer vers le salon, que tu as aménagés pour l’occasion, en reculant la table basse et les quelques décorations du milieu, en t’invitant, terminant sa phrase par mon beau, mais en espagnol. Alors que tu la rejoins, tu esquisses un sourire pour lui dire. « Que la leçon de danse démarre, ko'u nani. » dis-tu alors que tu vois sa tête et ajoute. « C’est l’hawaïen de ma belle. » Oui, tu connais peut-être deux-trois mots. Tu sors ton portable afin de lancer la playlist qui s’intitule Dance with me et c’est une chanson de Selena Gomez (Dance Again) qui se lance. « Alors, je te fais voir les pas de bases et tu les reproduiras juste après ok ? Et quand tu mémorises on fera ça en même temps, pour se rejoindre le temps d’une mini valse diras-t-on… » Tu essaies de lui parler simplement, afin qu’elle ne soit pas perdue ou déroutée. Et c’est ainsi que tu démarres, lui présentant les gestes un à un, prenant bien le temps pour qu’elle les assimile.

Elle était tout ce que tu recherchais chez une personne. Tu n’avais jamais réellement songé à te poser, l’amusement était tout ce que tu connaissais depuis ton arrivée ici mais finalement le destin avait mis sur ta route la merveilleuse Luisa et c’était comme si vous étiez faits l’un pour l’autre. C’est pourquoi ce cours d’aujourd’hui tu en étais content, tu voulais la revoir encore et encore et même si parler avec elle à travers des messages était sympa, tu préférais le réel, comme là. « Je suis sûr que tu vas te régaler… et au pire je t’emmènerais diner dehors pour me faire pardonner… » avoues-tu dans un rire quant à tes deux recettes mélangeant le sucré-salé. Tu lui en avais parlé lors de votre rencontre et puis ça permettait à la jeune Madrigal de découvrir de nouvelles choses, des fois les nouveautés ça avait du bon.

Lui expliquant comment le rendez-vous avec Bruno s’était déroulé, vous vous mettiez à rire quant à la rencontre avec son oncle. Il avait son charme à lui, on va dire et ses rats étaient vraiment sympathiques, enfin tu supposais à travers Theresa que tu avais rencontré ce soir-là aussi. « Oui c’est un sacré, mais je pense que ça doit être de famille, le côté où on ne peut que vous apprécier, vous êtes tellement incroyable ! » dis-tu alors que tu souris une énième fois pour finalement prendre le chemin jusqu’au salon et faire de la place.

Une fois fin prêts, les quelques conseils et astuces donnés à la belle, vous vous mettez en route. Elle assimilait les pas vraiment rapidement et très vite vous vous rejoignez pour la partie dite valse et tout se passait bien, jusqu’au moment où la brune te marcha sur le pied. Riant alors que tu secouas la tête et ton pied, tu repris la parole. « Non, non ne t’en fait pas ! Je vais juste avoir l’impression que tu fais tout pour me blesser… » Tu l’observes alors et ris avant de sautiller sur place. « Mais tu vois je n’ai pas mal alors reprenons, ça arrive, mais saches que tu n’as pas besoin de me blesser pour qu’on se revoit, je sais qu’on va se revoir après ce cours alors… » Et en mettant tes mains, une sur ses hanches, l’autre qui vient attraper son autre main, tu te remets à valser au rythme de la musique.

Une fois cette dernière terminée, tu reprends ton souffle et tu demandes. « Tu as aimé ? On peut essayer une danse un peu plus… rythmé si tu le veux ? » Que tu proposes alors que tu regardes ton portable pour voir quelle sera la prochaine chanson sur laquelle vous pourriez danser. « En tout cas tu te débrouilles plutôt bien, c’est un plaisir de danser à tes côtés ! » Que tu dis en venant déposer un baiser sur sa joue. « A boire avant d’entamer la prochaine danse ou on y va directement ? »

« Je retiens tout ça alors ! » Que tu répliques à la jeune Luisa quand elle te dit que tu peux toujours l’inviter dehors, même si ce que tu lui feras goûter sera bon. Faut dire que tu sais cuisiner, sinon tu serais mort il y a fort longtemps au vu du talent inexistant de Nani pour la cuisine. Mais tout seul tu avais réussi à apprendre des recettes basiques pour finalement te débrouiller et inventer les tiennes par la suite.

Pour toi la famille était vraiment importante et tu comprenais donc que vis-à-vis de Luisa ça soit la même chose, surtout que tu avais déjà rencontré son oncle et que tu ne tarderais pas à rencontrer sa sœur (mais ça ce sera dans quelques temps à partir de ce fameux cours de danse). « Je suis déjà sous le charme d’une des jeunes filles alors… » avoues-tu, parlant bien évidement de la coach.

Puis la séance de danse prit fin étant donné que la plus jeune te marcha dessus, ce qui te fit indiquer qu’elle faisait tout pour te blesser, même si tout cela était faux car ça se voyait qu’elle était gênée mais aussi désolé. « Avec plaisirs, une promesse est une promesse ! » lui répètes-tu alors qu’elle te demande si vous allez bien évidemment diner après ce cours. Puis ce dernier reprend, dernier cours où tu lui apprends la zumba, une danse un peu plus rythmée mais tout aussi marrante à faire. Et le temps passe vite, tellement vite que bientôt l’heure d’aller diner se fait. « Et bien c’est parti, si Mademoiselle Madrigal est prête, nous pouvons nous rendre au restaurant… » Et c’est sur ces mots que tu pars donc en direction du restaurant, fièrement accompagné de ta douce Luisa. La soirée s’annonce aussi agréable que cette après-midi, t’en es certain.