Have you seen my mother ? [Adrianna Tomaz]

C’était une journée comme une autre où on se levé pour se préparer à aller au travail. Adrianna commençait à s’y habituée et même, appréciée ce côté simple de la vie. Il fallait dire que son parcours n’avait rien de tranquille. Esclave devenue conseillère, puis déesse et souveraine de tout un pays. S’en suivit d’un descente aux enfers de manière littérale. Morte, ressuscité et maudite, prisonnière dans un corps de pierre, puis à nouveau souveraine… Et la ce n’était que la version abrégée. Tomaz se demandait si à présent, elle n’avait pas droit à une vie normale, de simple mortelle… Pas vraiment, vu qu’on lui a fait parvenir son collier qui lui a rendu ses pouvoirs et sa mémoire. D’ailleurs, elle aimerait savoir qui était derrière ça. Et dans quel but ?

En ce moment elle était sur Baker Street. Un petit détour pour le travail où elle dût jouer les intermédiaires, cela la faisait un peu sortir du musée et aimait se déplacée. Tout avait des allures d’une agréable journée classique, mais sans doute était-ce la le piège. Car c’était en baissant sa garde que les choses arrivaient. Adrianna était donc en train de remontée cette rue quand un jeune homme vint l’interpellé visiblement perdue. La jeune femme fut surprise à l’instant, mais écouta cette personne qui quémandait son aide.

-Euh bien entendu, que vous arrive t’il ?

Adrianna avait toujours cette volonté d’aider autrui, bien qu’après toutes ces épreuves passées, elle se montra plus prudente. Sa naïveté et son sens de la compassion plus développé que celui de Superman même, lui avait coûté chère car lorsque le bol fut débordé… Elle avait sombrer dans la folie vengeresse et provoquée tant de morts. Maintenant elle savait qu’il fallait dosé les choses, ne se montrer ni trop bonne, ni trop cruelle pour autant.

Elle faisait donc face à un jeune homme qui ne devait même pas avoir la vingtaine. Ce qui la frappait, était cette mâchoire carré qui sans doute après quelques années, lui donnera l’allure et l’aspect attirant des supers héros de son monde. Ceci-dit, il y avait bien quelque chose dans ses traits qui lui semblaient familier, mais elle ne serait dire pourquoi. Sans doute un trait physique commun qui lui rappelait un vieux souvenir sans plus. Adrianna attendait de voir ce que lui voulait ce jeune homme.

Disposait à aider son prochain, Adrianna écouta ce qui arrivait au jeune homme. Bien que soucieuse de lui apporter son aide, la jeune femme resta méfiante cependant. Elle ne le connaissait pas, la ville regorgeait de mauvaises surprises comme une créature cachait dans un recoin sombre, un piège dimensionnelle pour vous tourmenter, ou tout simplement un simple garçon désespéré ou ayant les mauvaises intentions du monde à votre encontre. Tomaz savait se défendre, et depuis le retour de ses pouvoirs, elle se tenait davantage prête pour riposter. Restant donc tout ouïe, elle écouta de quoi ce jeune homme avait besoin. Vu l’état de ce garçon, il semblait plus que désemparer. On aurait dit un gamin des rues.

L’inconnu alors l’interrogea sur une dénommée Loïs Lane et… Qu’elle serait sa mère. Adrianna prit un temps pour réfléchir à la question, se rendant ainsi compte d’une chose ou deux qui ne manquèrent pas de la surprendre. Oui, ce nom lui disait quelque chose.

-Loïs Lane ? La reporter américaine ?

Elle la connaissait de nom et un peu de réputation. Jamais les deux femmes se sont rencontrées en vrai, du moins avoir eut l’occasion d’échanger. Adrianna était surtout coincé au Kahndaq et visitait qu’occasionnellement le monde. L’Amérique, elle y était allée qu’à certains moment pour des raisons politiques, comme la fois où devant l’ONU elle et son maris on dévoilé leur corps mortel, ou la fois quand elle à proclamée que son pays se retirait de l’ONU et vivrai isolé. En tout cas, si elle n’a jamais croisée la route de Lane, Tomaz se rendait compte que ce jeune garçon venait probablement de son univers, du moins un assez proche.

-Viendriez-vous d’un monde peuplé de supers héros par hasard ?

La jeune femme n’avait encore rencontré personne de son univers d’origine, ce serait une première qui franchement, ne lui déplairait pas. Ceci-dit, leur propre monde était divisés en réalités alternatives, Isis en était bien conscient, mais ces réalités restaient de ce qui été le plus proche de son propre monde, que celui-ci qui les avait tous enlever.