Il arrivait à tout le monde de ressentir une étrange sensation de "déjà vu" face à certaines situations dans la vie de tous les jours. Rhaenyra elle-même n'y était pas inconnue : parfois, il lui suffisait de pianoter sur les touches de l'ordinateur de fonction qui lui était attribué ou d'accomplir une tâche parfaitement anodine de son quotidien pour y être confrontée sans que cela n'affecte particulièrement le reste de sa journée. Toutefois, il était plus rare que cette impression concerne directement une personne. Bien sûr, il y avait des visages qui étaient suffisamment marquants que pour réussir à s'imprimer dans votre esprit après les avoir croisé une seule fois dans la rue sans même leur adresser les paroles mais avec ce jeune homme, ce n'était pas tout à fait la même chose. Il y avait quelque chose de familier qui se dégageait de lui, sans qu'elle soit capable d'y trouver une quelconque explication rationnelle. Aussi, bien qu'elle détestait agir de la sorte, il lui avait été particulièrement difficile de détourner le regard de lui depuis son arrivée dans cet endroit. Une partie d'elle était convaincue de le connaître, d'une manière ou d'une autre, sans que son esprit ne soit en capacité de lui fournir les pièces manquantes du puzzle.
Aussi distraite qu'agacée par ce constat, la tigette en plastique coincée entre son pouce et son index qui tournoyait dans son gobelet redoubla soudainement d'intensité. La patience n'avait jamais été son point fort, le démontraient les nombreuses frasques accomplies au cours de ses jeunes années qui auraient certainement été suffisantes pour être à l'origine de bon nombre de cheveux blanc dans la crinière heureusement déjà bien pâle de son paternel. Un cruel manque de flegme que sembla partager le félin confortablement installé sur ses genoux depuis son arrivée dans ce café. Visiblement peu satisfait par le manque d'implication évident qui émanait de la blonde, ses griffes s'enfoncèrent légèrement dans la chair de ses cuisses ce qui la força à détourner son attention du malheureux se l'ayant accaparée contre son gré.
Après une grimace de douleur, ses doigts se perdirent dans le pelage du petit animal dont l'excès de zèle sembla aussitôt se dissiper alors que ses ronrons reprirent de plus belle. Pourtant, son attention ne parvint pas à rester accrochée sur celui-ci plus de quelques courtes minutes ce qui causa finalement le départ prématuré du chat, visiblement décidé à trouver un esclave un peu plus appliqué que celui sur lequel il avait initialement jeté son dévolu. Comme si cette évacuation soudaine suffit à lui insuffler la bouffée d'audace qu'il lui manquait pour aller accoster sa cible, l'agent se releva d'un bond en empoignant le contenant de son carburant pour se diriger jusqu'à la table du principal concerné, son expression trahissant désormais un mélange de curiosité et de culpabilité vis-à-vis de sa propre manière d'agir.
« Je suis vraiment navrée de devoir le faire d'une manière aussi déplacée que celle-là mais... j'ai l'étrange impression de vous connaître. » Annonça t-elle de but en blanc, habituellement peu douée pour tourner autour du pot quoi qu'il en soit. Toutefois, la situation quelque peu étrange la convainquit très vite d'éclaircir un potentiel malentendu. « Je suis consciente que ça peut porter à confusion mais avant que vous n'imaginiez qu'il s'agit là d'une technique de drague laissant particulièrement à désirer... ce n'est absolument pas le cas, rassurez vous. »
LUCERYS&RHAENYRA
Lucerys Velaryon
▿ Ton univers : House of the dragon.
▿ Date de naissance : 25/12/2004
▿ Age : 19
▿ Métier : Etudiant en Sciencespo.
▿ Quartier : Vis dans un petit appartement du quartier Hogwarts place.
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Arrax
▿ Haut Valyrien
Quelque peu troublé par la rencontre qu'il avait fait il y a quelques jours à peine, l'ancien prince avait décidé de se plonger à corps perdu dans ses cours pour ne pas sombrer. Et surtout pour ne pas ruiner de longs mois de thérapie. Aujourd'hui il n'avait pas cours. Et il savait pertinemment que s'il restait chez lui, il allait probablement ruminer au lieu de travailler. En plus prendre un bon bol d'air frais lui ferrait le plus grand des biens. Il emporta donc deux des livres que ses profs lui demandaient de lire et d'analyser pour un travail de groupe. Il devrait encore faire tout le travail pour des abrutis notoires. On adore.. Une fois en route, Luke pensait aller au Greedy Doughnuts, puis il se rappela qu'avec son jukebox c'était en fait un endroit assez bruyant, de fait déconseillé pour y étudier paisiblement, il se ravisa donc. Le jeune adulte se mit alors à la recherche d'un nouvel endroit, un endroit plus tranquille.
Se baladant tranquillement dans la rue, c'est alors qu'il tomba face à la vitrine d'un endroit méconnu et atypique. Dans la vitrine il y avait un énorme arbre à chats, sur lequel se prélassaient plusieurs d'entre eux. Luke n'avait jamais eu de chat dans les bras, en même temps avec un renard domestique survolté à la maison, ramener un chat n'était peut-être pas la meilleure des idées. Tenté par l'expérience, il rentra dans une sorte de sas, surement un système pour éviter qu'un des loulous ne file dans la nature. Il choisit de s'asseoir côté banquette à une table libre. Très vite une serveuse vint prendre sa commande. Plusieurs chats vinrent le renifler, amis ils étaient pour l'instant trop farouches pour l'approcher. Luke sortir donc son premier livre, et commença tranquillement à bouquiner. Mais au bout de quelques minutes, releva le nez de son bouquin, sentant un regard insistant posé sur lui. Il eut beau chercher du regard, il ne trouva pas la source, alors il reprit sa lecture, pensant qu'il avait simplement rêvé. Finalement un chat mâle aux longs poils noirs vint se coucher sur ses genoux. Pas désagréable, Luke devait bien le reconnaître. La serveuse lui amena le café qu'il avait commandé. Il la remercia poliment, but une gorgée trop chaude qui lui brûla la gorge reposa la tasse et, replongea immédiatement dans son bouquin. Il caressait le chat sur ses genoux d'un geste machinal, trop concentré sur sa lecture. Il le sentit à nouveau, ce regard, mais cette fois fit mine de l'ignorer.
C'est alors qu'une jolie voix le distrait de sa lecture. Il n'avait même pas entendu la jeune femme approcher. Dans un geste élégant il ferma et posa son livre de sociologie sur la table. Releva les yeux vers la personne qui venait de lui adresser la parole. C'était surement d'elle que venaient les œillades qu'il avait perçu plus tôt. Il prit un instant pour la détailler de ses prunelles chocolat. Elle était plutôt jolie. Alors qu'il s'apprêtait à dire qu'il ne partageait pas son ressenti, c'est là qu'il s'aperçut que se traits n'étaient en fait pas très typiques d'ici. Mais bien plus semblables à ceux des Targaryens. Peau claire, cheveux blonds platines, yeux violets. Il se sentit honteux de s'être dit qu'elle était jolie un peu plus tôt, car ça se trouve il s'agissait de quelqu'un de proche. Bien plus proche qu'il ne pouvait d'ailleurs l'imaginer à l'heure actuelle. Le visage toujours bloqué sur une expression sceptique. Et il était vrai qu'à vraiment bien y regarder son visage, il lui rappelait quelqu'un. Il avait beau se creuser la tête il ne trouvait pas. « Je suis consciente que ça peut porter à confusion mais avant que vous n'imaginiez qu'il s'agit là d'une technique de drague laissant particulièrement à désirer... ce n'est absolument pas le cas, rassurez vous. »
Sa voix. Il y avait quelque chose dans sa voix. Quelque chose qui le toucha profondément. Une larme roula sur sa joue. Et au même moment il éclata de rire d'une façon super candide. Luke lui fit signe de s'asseoir, troublé, encore une fois. Il se sentait bizarre. Pour cacher son malaise passager il but une gorgée de café. Il n'y avait qu'une seule façon d'être sûr que cette personne avait des origines Valyriennes, et n'avait pas juste des traits en commun avec leur famille tentaculaire. Il soupira. Et il lui dit finalement en haut valyrien. "-Skoros's aōha brōzi ?"
ps: la phrase en valyrien veut dire "Quel est votre nom ?"
Ce lieu avait toujours été particulièrement plébiscité par les étudiants et bien que n'ayant jamais suivi la même voie que ceux-ci, Rhaenyra pouvait aisément deviner pourquoi : en plus d'être assez capable et paisible que pour être propice à la concentration, la quantité de caféine aisément obtenable ne pouvait que représenter le combo parfait pour ceux et celles qui souhaitaient trouver un lieu différent d'une chambre d'étudiant souvent partagée ou de la traditionnelle bibliothèque universitaire. Un seul regard sur le jeune homme qu'elle venait d'accoster lui avait fait laisser sous-entendre qu'il faisait partie de cette catégorie de personne, et les notes sur lesquelles elle put momentanément s'épancher le lui confirmèrent aussitôt. N'eut-elle pas été aussi hardie, probablement aurait t-elle pu ressentir une petite pointe de culpabilité à l'idée de venir l'interrompre dans une séance probablement importante pour lui dans le simple but de confirmer ou infirmer ce qui n'était pour l'instant qu'un simple bien qu'atypique sentiment de "déjà vu".
Loin d'accepter de battre en retraite alors que son geste poserait forcément à questionnement, les mots franchirent fluidement ses lèvres alors que son regard insistant ne le quittait pas, tentant de déceler la moindre micro-réaction susceptible de trahir un mensonge ou une semi-vérité. Et si, mentalement, la Targaryen avait déjà commencé à s'imaginer plusieurs scénarios typiques face à cette interpellation, celle qu'elle obtint la déboussola tout particulièrement. Qu'il réagisse avec curiosité, amusement ou toute autre émotion vaguement positive aurait été le plus probable. Qu'il s'énerve l'aurait légèrement surprise, estimant avoir fait preuve de diplomatie bien que ce ne soit pas sa qualité première, mais lui aurait permis de le ranger dans la catégorie des "instables" et de s'éclipser. Qu'il se mette à pleurer, en revanche ? C'était quelque chose auquel elle ne s'était absolument pas préparée.
Si son expression n'était pas passée du scepticisme à l'émotion et que certaines des situations rencontrées depuis son arrivée dans ce monde ne l'avaient pas rendue beaucoup plus douée dans la lecture d'autrui, probablement aurait t-elle pensé qu'il se payait sa tête à sa façon et que tout ça n'était qu'une vaste plaisanterie. Pourtant, il y avait désormais quelque chose de supplémentaire qu'elle ne s'expliquait pas. Là où elle était logiquement incapable de savoir avec exactitude d'où il pouvait lui être familier, lui semblait être profondément touché. « Vous allez bien ? » Lui demanda t-elle donc avant toute chose, resserrant prudemment mais inconsciemment sa prise autour de son gobelet comme afin de pouvoir parer à un potentiel mouvement brusque émanant du brun — ou pour tenter de trouver de la contenance dans un quelconque élément extérieur à cette discussion.
Lorsqu'il commença à parler, ce fut pourtant à son tour d'être sidérée. Exception faite d'une rencontre fortuite avec son demi-frère, cela faisait des années que celle l'ayant autrefois pratiqué avec fierté n'avait plus entendu de haut valyrien. Plus surprenant encore, tous ceux qu'elle avait entendu utiliser ce langage jusqu'à présent collaient à un physique bien particulier, faisant tous partie à un degré souvent proche de sa famille. Un physique auquel l'étudiant ne collait de toute évidence pas. Penser qu'il avait simplement pu être issu de Westeros en ayant tenté d'apprendre la langue aurait d'ailleurs pu être une hypothèse si son accent n'avait pas été si... parfait ? Loin d'être aisé à pratiquer, bon nombre de Targaryen eux-mêmes avaient dû recourir à de nombreuses leçons afin d'être aptes à la pratiquer. Ce garçon ne pouvait définitivement pas être n'importe qui. « Rhaenyra. » Un seul mot avait d'abord réussi à franchir la barrière de ses lèvres, la sécheresse soudaine dont sa gorge semblait être victime ne lui facilitant pas la tâche. S'éclaircissant la gorge, une réminiscence de son passé et des manières lui ayant été inculquées lui revinrent : peu importe qui il pouvait être, ce n'était pas le type d'impression qu'elle pouvait se permettre de laisser sur un ancien westerosi. « Issa brōzi iksos Rhaenyra Targaryen, tala hen dārys Viserys se... *» Et quoi, au juste ? Ancienne héritière du trône de fer ? En dépit de la poussée de fierté ayant brièvement brillé dans sa voix face à la prononciation de ses mots précédents, ce type d'informations n'avait plus aucune valeur ici. Aussi, elle se contenta de ravaler la suite, estimant qu'assouvir sa curiosité était certainement préférable à ce stade. « Se ao ? Qilōni issi ao ?** »
*Mon nom est Rhaenyra Targaryen, fille de Viserys et... **Et toi ? Qui es-tu ?
LUCERYS&RHAENYRA
Lucerys Velaryon
▿ Ton univers : House of the dragon.
▿ Date de naissance : 25/12/2004
▿ Age : 19
▿ Métier : Etudiant en Sciencespo.
▿ Quartier : Vis dans un petit appartement du quartier Hogwarts place.
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Arrax
▿ Haut Valyrien
Plus les minutes s'étalaient et plus le jeune adulte se disait que ce visage ne lui était définitivement pas inconnu. Ce constat le troublait, car il n'arrivait pas à se rappeler. Lui qui s'était pourtant toujours vu comme quelqu'un d'un certain niveau intellectuel d'ordinaire. Il se trouvait en cet instant, démuni, bien incapable de mettre un nom sur un fasciés. Luke avait essuyé d'un revers de manche la larme qui avait mouillé son visage quelques secondes plus tôt. Cette larme avait coulé d'elle-même. Il n'était pourtant pas particulièrement malheureux, seulement troublé par la situation inhabituelle, et fragilisé par le timbre de sa voix. Qui déclenchait quelque chose en lui sur lequel il n'arrivait pas à mettre le doigt. Lorsque ton aînée te demanda si ça allait, tu tiquas encore une fois. Soudain ayant retrouvé un certain calme apparent il lui répondit d'une voix assurée. "-Oui, je me porte bien, merci de vous en soucier" Luke perçut un certain malaise venant de son interlocutrice, dans son attitude non-verbale. Pourtant c'était sa décision de venir l'aborder. Chaque choix impliquait des conséquences, et il leur faudrait les assumer. Le brun se saisit de sa tasse de café avec élégance et en but une gorgée.
Pendant ce court laps de temps l'ancien prince tenta de parcourir ses souvenirs. Essayant de s'arrêter sur chaque femme Targaryen qu'il avait côtoyé de près ou de loin. Sa cousine Helaena n'avait pas ce visage de poupée. Sa grand-mère paternelle était bien plus âgée que la jeune femme qu'il avait en face de lui. Sa tante et ses cousines avaient la teint halé. Il ne restait que sa mère, qui à moins d'avoir plongé dans une fontaine de jouvence n'était elle non plus pas si jeune. Peut-être était-elle Visenya ? La lune rouge l'avait bien ramené à la vie.. Ou alors elle était peut-être une descendante ? En tout cas, Luke en était à présent convaincu, ils avaient des origines communes. Fait qui fut confirmé alors qu'il vit la stupeur dans son regard lorsqu'il s'exprima parfaitement en haut valyrien. Cette langue si ardue, qu'il avait pourtant apprise dès le berceau. Leur mère tenait à ce qu'ils la maitrisent parfaitement puisqu'ils étaient destinés à être de grands dragonniers et en ce qui le concernait Seigneur de Driftmark. La surprise de la jeune femme était compréhensible, Lucerys était aux antipodes d'avoir les traits distinctifs de sa famille. Cependant, et même si physiquement il n'avait rien d'un Targaryen, son coeur et sa loyauté tout entiers appartenait à sa famille.
Le brun bien qu'ayant lancé volontairement un appât qui semblait fructueux, n'était en revanche pas du tout préparé à ce qu'il allait remonter. Un long silence s'installa. Mais passé la surprise son interlocutrice dit avec difficulté et sur un ton machinal. « Rhaenyra. » Le souffle du brun se bloqua et son coeur loupa un battement. Avait-elle vraiment dit ce qu'il pensait avoir entendu ? Ou avait-il des hallucinations auditives? Encore une fois son visage se retrouvait bloqué sur le scepticisme. Mais cette fois il était plus profond que quelques minutes auparavant. Soudain, son coeur commença à tambouriner dans sa poitrine. Si fort qu'il eut l'impression qu'il allait en sortir. Il essaya de se calmer en se répétant que sa famille adorait donner pleins de fois le même prénom. Son cousin s'appelait Aegon, et son demi petit-frère s'appelait lui aussi Aegon. Ca ne voulait rien dire... Ca ne pouvait pas être elle... Il .. Il aurait du la reconnaître immédiatement si elle était sa mère, non ? Si de l'extérieur le jeune homme faisait son possible pour garder une attitude paisible, les émotions pourtant le traversaient de toutes parts. Rhaenyra reprit finalement contenance, et lui répondit d'une voix assurée et curieuse « Issa brōzi iksos Rhaenyra Targaryen, tala hen dārys Viserys se.. Se ao ? Qilōni issi ao ?» Confirmant ce que le cadet n'avait pu qu'imaginer jusque là.
Comment ?! Comment étais-ce possible ? La jeune femme venait de lui confirmer qu'elle était sa mère. Pourquoi ne se souvenait-elle pas même de lui. Lucerys se leva brusquement un sourire raffiné sur le visage, prétextant devoir aller aux petit-coins, alors qu'en fait il avait juste le besoin de fuir. Il s'éloigna rapidement. Lors de sa fuite, un torrent incontrôlable de larmes se déversa sur ses joues. A l'abris des regards, il laissa son chagrin éclater. Cependant l'idée qu'il ne pouvait pas la laisser seule sans explications aucune de sa part, le rattrapa vite, le brulant à vif. Il était un gentilhomme, sa mère l'avait mieux élevé que ça. Il sortit donc de sa cachette misérable, se jeta de l'eau froide sur le visage, espérant faire disparaître les rougeurs laissées par le chagrin. Il revint s'asseoir en toute élégance, comme si rien ne s'était passé. But une gorgée de café. Avant de répondre d'une voix claire et douce, arborant toujours un sourire, même s'il était clairement bien fragile. "-Je me nomme Lucerys Velaryon..." l'ennui était qu'il n'arrivait pas à finir sa phrase, il ne pouvait décemment pas lui balancer comme ça qu'elle était sa mère, il ne voulait pas la choquer, ou pire l'humilier. Il fallait qu'il noie le poisson, pour qu'elle ne s'en aille pas, privée d'intérêt pour sa distraction qui n'était nul autre que son fils ressuscité. "-Gaomagon ao mirre miss īlva rōva lentor?" ajouta-t-il. Il resta de façon volontaire assez large sur le terme "famille". Et essaya de réfléchir à comment amener le sujet de façon à ne blesser personne.
ps: la partie en valyrien dit "Est ce que notre grande famille vous manque parfois ?"