J'entrais dans cette foutue salle de sport, un endroit que je connaissais comme ma poche. L'odeur de la sueur et du métal me saisit dès que je franchis la porte. Rien de tel que ce lieu pour se défouler et garder son corps en forme.
Je commençais par m'échauffer avec quelques étirements, déroulant mes épaules et faisant pivoter mes hanches. C’était con, mais je préférais commencer doucement, j’avais l’impression que c’était comme ça que j’avais pu en arriver à ce stade. Puis je me dirigeais vers le tapis de course, calant mes pieds sur la bande roulante. Mon rythme cardiaque s'accélérait au fur et à mesure que je courais, comme un moteur bien huilé. Je pratiquais le tapis en m’imaginant courir dans les bois, sans les obstacles, et les écouteurs vissés dans les oreilles. J’écoutais toujours du rock pour me booster. Et ça fonctionnait.
Après quelques kilomètres, je décidais de passer aux poids. Je m'approchais du rack et chargeais la barre avec des disques plus ou moins lourds, variant les charges au fur et à mesure, jusqu’à en arriver à mettre de quoi faire plier le dos de n'importe quel homme ordinaire. Les soulevés de terre étaient mes préférés. J'attrapais la barre, mes doigts se refermant autour d'elle comme les serres d'un aigle. D'un mouvement fluide, je soulevais le poids, ressentant la tension dans mes muscles, mais mon visage restait impassible, comme toujours. Je n’étais pas habitué à montrer des émotions.
Dans le déroulement traditionnel, je passais ensuite aux pompes, mes muscles brûlants à chaque répétition. Rien de mieux pour travailler les bras et le torse. Je pouvais en faire des dizaines, des centaines, sans ciller. Mais ce ne fut pas vraiment le programme aujourd’hui. J’avais dû oublier de recharger la batterie de mes écouteurs sans fil car je n’en avais pas fini avec les poids qu’ils me lâchèrent. Saloperie. Frustré, je les ôtais donc et, comme tout le monde, je pus ajouter les bruits pas très agréables que faisaient certaines personnes en pratiquant leur sport. Certains semblaient souffrir, d’autres semblaient prendre leur plaisir… mais c’était surtout des sons qui me dérangeaient.
Je pris ma serviette que je posais sur mes épaules, après m’être un peu épongé avec elle, puis j’allais voir la patronne des lieux. « Excusez-moi… »
Elle était au Malekai depuis longtemps, il me semblait que je l’avais toujours connue ici. Mais c’était la première fois que je lui adressais autre chose qu’un simple « Bonjour-Au revoir ». « Bonjour. Mes écouteurs sont à plat. Vous auriez un chargeur quelque part ? »
C’était débile. Parce que le temps que ça charge, qu’est-ce que j’allais faire ? Il me faudrait une activité où les bruits des autres ne me déconcentreraient pas.
Moses.
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Tenir le Malekai lui donnait la meilleure des satisfactions possibles, Luisa était heureuse ainsi, après avoir retrouvé les membres de sa famille, avoir rencontré l'amour, elle était bien, elle exerçait le métier qui lui permettait de faire du sport à longueur de journée, enfin quand elle n'était pas la patronne des lieux. Parce que bien sur être la propriétaire des lieux veut dire aussi s'occuper de toute la paperasse, de toute la direction du centre, et elle apprenait chaque jour, avec l'aide de Stitch bien sur et on pouvait dire qu'elle commençait à bien se débrouiller seule. A côté elle gardait tout de même du temps pour le coaching personnel, un petit créneau par ici, un autre créneau par là pour ceux qui avaient besoin d'elle. Tant qu'il y avait quelque chose à faire, la brunette était là, elle passait le clair de son temps au Malekai, ou à la salle de sport, peu de temps chez elle en tout cas. Cependant, il était important pour elle qu'elle puisse passer du temps avec les membres de sa famille. La jeune Madrigal passait du temps avec sa cousine Dolorès dès qu'elle en avait l'occasion, ça faisait du bien aussi de se dire que c'était possible de se sentir comme avant, le fait d'avoir été séparé pendant un certain temps avait permis aux membres de la famille Madrigal de se retrouver avec eux mêmes, ne plus habiter sous le même toit était donc une occasion de se retrouver bien plus souvent.
Luisa avait la tête dans sa dite paperasse quand un rappel s'activa sur son téléphone, il était temps qu'elle quitte son bureau afin d'aller donner un cours de coaching personnel. Elle rangea les papiers dans les classeurs attitrés, ferma toutes les pages ouvertes sur son Pc, elle se leva de sa chaise et quitta son bureau. Alors qu'elle se dirigea vers les vestiaires, un homme vint à elle afin de lui demander si elle avait un chargeur pour ses écouteurs. Elle eu un petit sourire aux lèvres avant de répondre, ce n'était pas la première fois qu'elle voyait cet homme ici, elle commençait à connaitre toutes les petites têtes qui venaient ici et ça faisait toujours plaisir. "Bonjour, oui bien sur, je dois en avoir un dans mon bureau." Elle tata ses poches comme par réflexe et comme par magie, son chargeur était dedans. "Ah bah non enfaite il est là, tenez." La brune lui tendit alors le dit chargeur avant d'ajouter. "Alors ça vous plait ici ?" Luisa aimait bien connaitre l'avis des gens sur son chez soi.
Moses.
PS : Désolée pour le temps de réponse, j'avais zappé
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
Je m’en voulais un peu de cette situation. J’étais du genre à ne rien oublier, à ne rien laisser au hasard, à tout prévoir… du moins quand il s’agissait de mon job. Dans ma vie privée, peut-être que j’avais un peu tendance à me laisser trop aller. En tout cas, ces derniers temps. Des écouteurs à plat… ça pouvait être pire, bien sûr, mais ça m’énervait. Parce que j’avais l’impression d’être vraiment con de n’avoir pas pensé à vérifier. C’était pas vraiment mon genre de zapper ce type de détail.
Venir voir la gérante de la salle pour demander un chargeur, c’était la seule idée qui m’était venue. Au fond, ce n’était pas super malin non plus, parce que j’allais devoir attendre que ça charge un minimum… et j’allais devoir attendre, parce que reprendre sans musique, c’était un peu compliqué. J’étais accro au sport, sans doute, mais au sport en musique, surtout.
« Merci. » Elle était compréhensive et réactive. J’avais eu à attendre quoi ? deux minutes ? pas plus… et sans doute même pas autant, en fait. L’efficacité en plein. Je pris l’objet et ajoutai un petit signe de tête comme si j’allais m’éloigner, puis comme la jeune femme me parlait, je me ravisai et jetai un coup d’œil sur la prise de courant près du bureau. Peut-être que je pouvais charger mes écouteurs pendant qu’elle me parlait ? Je branchais le petit boitier blanc de mes écouteurs sur la fiche du chargeur et je branchais le tout.
« Oui. C’est une bonne salle. » Je ne serais sans doute pas là aussi souvent si je n’appréciais pas les lieux, mais ça, elle devait s’en douter.
Discuter, ce n’était pas mon fort. J’avais du mal à trouver des sujets de conversation, ce n’était pas quelque chose qui me venait naturellement, loin de là. Souvent, d’ailleurs, je semblais un peu bizarre à ceux qui ne me connaissaient pas. Mais bon, cette jeune femme, je la connaissais de vue depuis un bon moment, elle avait eu l’occasion de voir bon nombre de mes cicatrices et de me voir m’entrainer régulièrement. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’on se connaissait bien, mais on n’était pas des inconnus.
« J’aime bien les nouveaux équipements. C’était votre idée ? » C’était plus facile pour moi de lancer mes interlocuteurs sur un sujet où ils pouvaient parler d’eux. C’était simple, parce que la plupart des gens aimaient bien parler d’eux-mêmes. Et moi, eh bien… ça m’évitait de devoir parler beaucoup.
Moses.
PS : pas de souci, j’étais en ralentissement
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Aider les gens c'était une vocation pour la jeune Madrigal, chez elle, dans son pays, à l'Encanto c'était une évidence, une habitude, avec son don, on l'appelait dès qu'on avait besoin d'elle. Si il fallait bouger un meuble, remettre une maison correctement, ou même rattraper les ânes qui s'étaient encore échappé de l'enclos, on appelait Luisa à la rescousse. Elle s'était habituée à ce qu'on ai besoin d'elle, à ce que chaque membre de sa famille ai leur place dans leur village, et en arrivant ici, sans parler du fait qu'elle avait perdu son pouvoir, elle s'était senti bien seule et inutile sans personne à aider, sans personne a qui parler. Maintenant avec le Malekai, les retrouvailles avec sa famille, Stitch, la jeune brune allait beaucoup mieux et elle se sentait utile, parce qu'en réalité, une part d'elle aurai toujours besoin de ça, de sentir qu'elle fait quelque chose pour les autres. Alors quand cet homme lui demanda de l'aide, même minime, ça ne pouvait que lui faire plaisir. Et puis pas besoin de se rendre dans son bureau qu'elle avait un chargeur dans sa poche, rapide et efficace, à vrai dire elle en avait partout car elle était du genre à perdre quelques petites choses. "Pas de soucis, si je peux aider." Répondit la brunette avec un sourire. Ce n'était peut être pas grand chose mais c'était déjà quelque chose qui lui permettait de sentir mieux. Son interlocuteur lui prit le chargeur et n'eut pas le temps de s'en aller car Luisa reprit la parole pour lui demander comment il se sentait ici. Le Malekai était très important à ses yeux, déjà parce que ça liait sa passion du sport et la convivialité et en plus elle le tenait avec son petit copain, que rêver mieux.
Duncan tout en l'écoutant parler, brancha ses écouteurs sur une prise de courant, il devait apprécier de faire du sport en musique, ça Luisa pouvait très bien comprendre, la musique est tout aussi importante et donne un meilleur aperçut de la chose. "Je suis contente d'entendre ça, je tiens à ce que les personnes qui viennent ici, se sentent bien, pouvoir faire du sport dans la joie et dans la bonne humeur c'est bien mieux non ?" Lui répondit elle lorsqu'il donna son avis positif sur la salle. En tout cas elle voyait les choses ainsi, et la plupart des gens pensaient ça également. C'était mieux de faire du sport dans cet esprit là, plutôt que de se forcer à faire quelque chose qu'on aime pas. Peut être que Duncan n'était pas quelqu'un de très bavard mais Luisa si et pour le moment ça n'avait pas l'air de le déranger, du moins c'était bien de pouvoir discuter entre passionné de sport, elle l'avait déjà remarqué plusieurs fois et avaient vu ses entrainements ainsi que ses cicatrices, Luisa en avait conclu qu'il avait vécu pas mal de choses et que le sport était surement une forme de relâchement. Un sourire illumina le visage de la brune aux paroles de son interlocuteur, il appréciait les nouveaux équipements, à vrai dire elle ne pouvait pas s'accorder tout les mérites car c'était aussi l'idée de son partenaire et co propriétaire. "Ah oui, je suis contente de savoir que ça vous convient. Enfaite c'est l'idée de Stitch, le deuxième propriétaire du complexe. Il s'était dit que c'était une bonne chose de pouvoir apporter de nouvelles choses au Malekai." De toute manière, pour que cela tienne, en plus d'être amical avec tout les participants, il fallait aussi apporter de la nouveauté au complexe, c'était important de pouvoir satisfaire chaque personne. "D'ailleurs, on a un site internet pour le complexe et il y a rubrique dédié aux habitués de la salle, si vous voulez de nouveaux équipements ou autre chose, vous pouvez en faire la suggestion." Lui expliqua la jeune brune avec un petit sourire.
Moses.
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
Je glissai le chargeur dans ma poche, pesant le poids de ce geste simple mais essentiel. « Ça fait le travail,» je répondis avec un hochement de tête appréciateur. Dans ma voix, il y avait ce ton bas et calme, celui que j’utilisais quand je n’avais pas à crier pour être entendu au-dessus du vacarme des balles et des cris.
Je fis quelques pas, invitant Luisa à faire de même, observant l'agitation de la salle tandis que Luisa me parlait. Des poids s'élevaient et retombaient avec un rythme mesuré, des tapis roulants bourdonnaient sous les pas déterminés des coureurs. Chaque mouvement, chaque souffle, chaque goutte de sueur tombant au sol parlait d'efforts et de détermination.
« Votre dévouement se voit dans chaque coin, » je lâchai, mes yeux glissant sur les murs bien entretenus et l'équipement flambant neuf. « C'est rare, ça. » C'était un compliment sincère, né d'une vie passée à reconnaître la qualité et l'engagement, même dans les endroits les plus inattendus.
Je me redressai, mes muscles raides se souvenant de l'effort physique de la veille. Le souvenir de chaque cicatrice, de chaque douleur endurée, résonnait dans l'écho de mes mouvements.
« Et Luisa... bon travail avec la place. Ça se voit que vous y mettez du cœur. » J'avais vu des salles se transformer sous la main indifférente de propriétaires qui ne voyaient que les profits. Mais ici, dans cette salle où l'acier rencontrait la volonté, c'était différent. C'était personnel.
Je me dirigeai vers l'espace d'entraînement qui me servait de sanctuaire. Mon rituel était toujours le même, une sorte de danse que je pratiquais avec une précision mécanique : vérifier l'équipement, ajuster les poids, préparer mon corps à l'effort à venir. Mais aujourd'hui, cette routine était perturbée par un manque de musique, une dissonance dans mon monde habituellement si ordonné. Je dépendais de cette mélodie pour me plonger dans la zone, pour isoler mon esprit des distractions et concentrer toute mon attention sur la tâche à accomplir.
Je sentis le chargeur dans ma poche et me dirigeai vers la prise de courant la plus proche. En branchant mes écouteurs, j'observai les alentours. Des visages familiers, des inconnus, tous unis par un objectif commun. Pour certains, c'était une quête de santé, pour d'autres, un défi personnel. Pour moi, c'était un moyen de conserver une discipline de fer, une nécessité pour garder l'esprit aussi tranchant que le corps.
Je ne tardai pas à remarquer Luisa qui se frayait un chemin à travers la foule, son attention divisée entre le bien-être de ses clients et les obligations de sa gestion. Sa présence avait quelque chose d'apaisant dans le chaos ambiant. Elle semblait toujours savoir quand quelqu'un avait besoin d'aide, d'un mot d'encouragement ou d'une oreille attentive. C’était une qualité rare, surtout pour quelqu'un qui portait autant de chapeaux.
Alors que Luisa s'approchait, je retirai un écouteur partiellement chargé. « Vous savez, la plupart des gens viennent ici pour se construire des muscles ou perdre du poids... mais je pense qu'il y a plus à gagner dans une salle comme celle-ci. Discipline. Résilience. Des qualités qui servent bien au-delà de ces murs. » Mes mots n'étaient pas une tentative de flatterie, mais une observation, une reconnaissance de ce que le Malekai offrait à ses visiteurs.
Elle s'arrêta un instant, peut-être surprise par la tournure philosophique de la conversation. Je n'étais pas connu pour mes épanchements. « Je suppose que vous voyez beaucoup de gens changer ici, pas seulement physiquement. »
Le silence qui suivit était confortable, et je laissai à Luisa le soin de le rompre. Elle avait cette facilité à communiquer, cette grâce sociale qui m’avait toujours fait défaut. Elle n'était pas seulement la gérante de la salle de sport; elle était une coach, une confidente, parfois même une amie pour ceux qui en avaient besoin.
« J’imagine que c’est gratifiant, de voir l’impact que vous avez sur la vie des gens, » je continuai, mes yeux suivant un habitué qui luttait avec un ensemble d'haltères. « Vous n’avez pas juste bâti une salle de sport. Vous avez créé une communauté. » Je savais que ma présence ici était autant pour le conditionnement physique que pour la catharsis mentale. Chaque levée de poids, chaque répétition, était une méditation en mouvement, un moyen de chasser les fantômes qui me hantaient. Et peut-être, dans une moindre mesure, une quête pour une sorte de paix intérieure. « Si vous avez le temps, j'aimerais en savoir plus sur votre vision pour le Malekai. » Ma curiosité n'était pas feinte. Je voyais le potentiel ici, le reflet d'un avenir meilleur pour tous ceux qui franchissaient ces portes. J'attendais sa réponse, prêt à entendre l'histoire de ce lieu, de ses succès et de ses défis.
Luisa avait cette lueur dans les yeux, celle de quelqu'un qui avait trouvé sa vocation. Je savais qu'elle partagerait volontiers son histoire, que je serais peut-être même surpris par les profondeurs de sa passion. Ce serait une conversation rare, une véritable communication entre deux âmes qui avaient trouvé leur place dans un monde où la plupart cherchaient encore la leur.
Moses.
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Luisa sourit tout simplement en réponse à son interlocuteur, si elle pouvait aider, même que ça soit minime, elle le ferai. L'invitant à marcher, Duncan la complimenta pour son dévouement à sa salle de sport, le fait que ça soit rare fit sourire la jeune femme, il est vrai qu'il avait tout à fait raison, et elle était engagé à milles pourcents dans le Malekai, dans sa passion, dans son travail, dans tout ce qu'elle entreprenait à vrai dire et le fait qu'on le remarque la touchait réellement. "Merci beaucoup, votre compliment me touche sincèrement. Aider les autres, faire de ce lieu un endroit où chacun se sente bien, c'est essentiel pour moi, je vis carrément de ma passion." Répondit la brunette avec un sourire. Chaque jour elle se levait avec la même envie, cette envie de faire son mieux pour que le Malekai continue à prospérer, peut être que pour certains ça pouvait paraitre un peu trop, ce n'était qu'une salle de sport après tout mais pour Luisa c'était un endroit où elle se sentait comme chez elle, qu'elle prenait soin avec Stitch d'améliorer chaque jour et elle écoutait les passionnés du Malekai, si il y avait des modifications à faire, elle les entendrai, vraiment elle était prête à tout pour que cela se passe bien, le complexe sportif était en perpétuel évolution.
Tout en marchant à travers le complexe, ils pouvaient tout deux observer les différentes salles qui se trouvaient autour d'eux, il y en avait pour tout les goûts, des tapis de courses aux rings de boxes et en passant par des salles dédiés aux combats au corps à corps et celles pour la musculation. Luisa était fier de leur travail avec son compagnon, encore plus de voir que le travail payait, elle s'en fichait de faire du chiffre, ce qui lui importait était le bien être de ses clients avant tout, qu'ils se sentent en sécurité, et à l'aise pour faire leurs sports quotidien. "Hihi merci beaucoup, je suis contente de voir que notre travail se voit, tant que les clients se sentent bien et puisse faire le sport qu'ils souhaitent parce que c'est tout aussi important pour le moral que pour la santé." S'exprima la jeune Madrigal toujours le même sourire aux lèvres, arrivés dans une salle d'entrainement, pendant que Duncan allait charger ses écouteurs, Luisa en profita pour saluer les quelques personnes dans la salle qu'elle connaissait, toujours un petit mot pour encourager, pour flatter mais dans le sens positif pour leur donner du courage, elle était présente pour chaque personne. Ce que lui dit ensuite son interlocuteur avait une certaine touche philosophique, mais dans le fond, elle comprenait tout à fait même si elle n'utilisait pas les mêmes mots. "Tout à fait, c'est quelque chose de bien plus profond, on apprend toujours quelque chose qui nous servira sans doute pour la suite de notre vie. Certes certaines personnes venant ici ne cherchent qu'à se muscler et c'est déjà bien en soir, alors que d'autres en font une sorte de défi personnel, c'est pour cela que dans n'importes quelles situations je tiens à les encourager du mieux que je peux. Je ne suis pas ce genre de patron qui reste dans son bureau toute la journée à faire que de la paperasse." Elle avait horreur de ça en réalité, elle ne comprenait pas le principe de ce genre de personnes, rester toute la journée dans son bureau à ne rien faire et voir personne, trop peu pour elle, elle avait besoin de voir du monde au contraire. La tournure de leur conversation était plutôt bien en vrai, ça donnait une nouvelle vision des choses en réalité. "Oui effectivement, physiquement mais aussi moralement, certaines personnes venant ici ont besoin d'un bon changement et parfois le sport qu'importe le domaine est l'unique moyen d'y parvenir." Lui répondit la jeune brune avec un petit sourire, sincère comme à son habitude, tant que chacun trouvait sa place, elle en était plus qu'heureuse.
Désormais adossés sur le mur de la salle tout en suivant du regard les personnes s'entrainant, Luisa eu un sourire à la remarque de Duncan, effectivement savoir que les gens venant ici repartaient beaucoup mieux, presque apaisé, comme si ils avaient eu une sorte de thérapie et de ce fait, elle s'engageait à les aider, tout ça grâce à elle, à Stitch et leur entreprise, ça donnait du baume au cœur de savoir tout ça. "Il est vrai que je ne me fais pas souvent la réflexion mais quand j'y pense oui c'est tellement gratifiant de sa voir ça, et encore plus je suis contente pour eux. Ce n'est pas qu'un intérêt personnel en réalité, c'est un but commun. Je n'avais pas jamais vu ça comme une communauté mais en y pensant vous avait tout à fait raison." Enonça la jeune brune avec regard pétillant, tout ce qui lui apportait était bénéfique, elle se jetait corps et âme dans son métier de coach sportive. Et ça il le voyait, son interlocuteur montrait toute sa curiosité pour le Malekai et il comprenait tout son dévouement, il en demanda même un peu plus, et bien sur la jeune Madrigal ne pouvait refuser, elle pouvait parler pendant des heures de sa carrière, de sa passion, du Malekai. "Bien sur, j'en serais heureuse, voulez vous qu'on se prenne un café pour en parler ?" Proposa t'elle avec un sourire, ça serait bien simple pour pouvoir discuter au calme, non pas que les bruits de la salle la dérange.
Moses.
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
Je hochai la tête avec un sourire en coin à la proposition de Luisa. Un café, une conversation détendue, c'était peut-être ce dont j'avais besoin, après tout… je n’avais pas souvent l’occasion ou, en tout cas, je ne prenais pas souvent le temps.
« Un café, ça serait parfait… » épondis-je en ajustant la manche de mon t-shirt. J'étais curieux de connaître davantage l'histoire du Malekai, et Luisa semblait être la personne idéale pour me la raconter. En plus, ça avait l’air de vraiment lui tenir à cœur.
Nous nous dirigeâmes vers le petit coin café de la salle. Le bruit des machines et des haltères s'estompait progressivement, remplacé par le murmure des conversations et le son apaisant de la machine à café. Je commandai un expresso – simple, fort, sans fioritures. Comme moi.
Je pris place en face de Luisa, mon café fumant entre mes mains. « Vous savez, j'ai vu beaucoup de salles de sport, mais le Malekai... c'est différent. Il y a quelque chose de spécial ici. » Mes yeux se posèrent sur elle, cherchant à capter cette passion qui l'animait. « Racontez-moi... Comment tout cela a commencé ? Votre passion, vos rêves pour cet endroit... »
Luisa prit une gorgée de son café avant de commencer. Elle m’avait parlé de ses débuts, de sa rencontre avec Stitch, de leur rêve commun. J'écoutais attentivement, hochant la tête de temps en temps, buvant mon café. Son histoire était celle de la détermination, du travail acharné, et surtout, de l'amour pour ce qu'elle faisait. « J'ai passé ma vie à me battre, à chercher un sens à tout ça. Le Malekai... c'est un havre de paix. Un lieu où je peux me retrouver, me reconstruire.» Mes mots étaient sincères, teintés d'une pointe de mélancolie. J'avais passé tellement d'années à lutter, à survivre, que trouver un endroit comme le Malekai était comme une bouffée d'air frais.
« Vous avez créé un lieu où les gens peuvent se dépasser, où ils peuvent se transformer. C'est rare. »
J'esquissai un sourire en coin, laissant mes pensées s'évader un instant.
J’avais un peu de mal à trouver les mots justes, ceux qui pouvaient réellement traduire ce que je pensais et ressentais. Je n’avais jamais été habitué à ça, alors, forcément, je galérais toujours un peu. Mes pensées vagabondaient, errant entre passé et présent, entre regrets et espoirs. Je réalisai alors, avec une clarté soudaine et désarmante, combien j'avais du mal à exprimer ce que je pensais vraiment, ce que je ressentais au plus profond de moi. Les mots étaient comme des balles : précis, tranchants, efficaces en surface. Mais quand il s'agissait de sentiments, de pensées intimes, ils se transformaient en nuages, insaisissables, fuyants. J'avais passé tellement de temps à me barricader derrière une façade de dureté et de stoïcisme, à cacher mes émotions comme on cache des faiblesses, que je m'étais perdu moi-même en chemin.
J'étais un homme d'action, un homme pour qui les gestes parlaient souvent bien plus que les mots.
Moses.
Spoiler:
J : sorry pour le post court, j'espère que ça te conviendra tout de même :-/
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Luisa sourit de tout son plein lorsque Duncan accepta sa proposition, boire un petit café pour pouvoir parler du Malekai, de sa passion, et même parler de cet homme qu'il y a encore une heure elle ne connaissait rien, était une très bonne chose, ça leur permettrait d'apprendre à se connaitre. "Parfait, il me fallait une pause de toute manière alors allons y." Répondit la brunette avant de sortir de la salle en question en compagnie du brun et de se diriger vers le café qui se trouve de l'autre côté du complexe, un endroit qu'elle connaissait que trop bien, elle aimait bien s'y attabler pour préparer ses cours de coaching ou même y retrouver Stitch pendant un cours lapse de temps vu tout le travail qu'ils ont tout les deux. Laissant place aux murmures de conversations plutôt que le bruit des machines, tandis que Duncan prit un café, la jeune femme prit elle un bon chocolat chaud avec une touche de caramel et elle s'installa sur une table libre, rejoignit par le brun quelques minutes après. Il prit alors la parole lui expliquant qu'il avait visité de nombreuses salles de sport mais le Malekai était bien différent, il avait quelque chose de spécial, ce qui fit sourire Luisa, contente de voir que ça plaisait puis il lui demanda de lui parler des débuts du complexe, de ses rêves. "Hihi merci et quand vous dites spécial, qu'est ce qui pour vous, définit ça ? Oh j'espère que vous avez tout votre temps." Plaisanta t'elle, c'est vrai que c'était tout de même quelque chose d'original et elle aimait bien raconter les débuts du complexe parce qu'elle était premièrement fière de leur travail accompli ici et surtout parce qu'elle pouvait faire de sa passion, un endroit pour tous et le partagé avec quelqu'un de cher à ses yeux. Elle prit alors une gorgée de sa boisson avant d'entamer sa petite explication. "Le sport a toujours été ma passion, mon don en faisant parti, ça fait partie de moi en réalité et puis ma rencontre avec Stitch a encore plus évolué ma passion. J'étais déjà coach sportive, mais il m'a fait comprendre qu'on pouvait faire plus et on a décidé de s'associer créant donc le Malekai, un grand complexe de salle de sport avec un peu de tout, un endroit où les gens peuvent s'y sentir bien." Lui expliqua donc Luisa avec toujours ce sourire de fierté et ce sentiment de bonheur qu'elle éprouvait chaque jour.
Duncan l'écouta parler de ses débuts, hochant la tête de temps à autre comprenant ce qu'elle ressentait, voyant le bonheur et la passion dans ses yeux, il prit ensuite la parole pour lui montrer à quel point le Malekai lui était important, à quel point il s'y sentait bien, à quel point ça lui permettait de se reconstruire après les atrocités qu'il avait subit. Savoir qu'il avait passé sa vie quasi entière à luter contre quelque chose, contre quelqu'un peut être rendit triste Luisa, elle le regarda avec une petite moue triste. "Je suis désolée que vous ayez du en durer ça, mais si le Malekai peut vous apporter de la paix, j'en suis heureuse." Lui répondit la brune avec un sourire sincère. Si il n'y avait pas autant de monde dans la salle il est quasi sur que Luisa laisserait ses larmes couler sur ses joues, ce que lui dit son interlocuteur la toucha réellement, savoir qu'on se sentait bien dans son complexe, que c'était plus qu'une grande salle de sport, qu'on pouvait y trouver autre chose que la satisfaction physique, lui donnait un certain baume au cœur. "Et j'en suis fier." Lui répondit simplement la jeune Madrigal avec ce sourire, émue de ce partage d'expérience puis elle reprit la parole. "Tout à l'heure vous parliez d'une lutte sans merci, vous avez lutté contre quoi ?"
Moses.
HP:
Pas de soucis ne t'en fais pas
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
J'observais Luisa avec une attention renouvelée, évaluant la sincérité de ses mots. Sa compassion semblait authentique, et cela me touchait, même si je n'étais pas du genre à le montrer facilement. Sa question sur ma lutte incessante me fit légèrement tiquer, mais je savais qu'il était temps de partager un peu de moi-même. Après tout, elle venait de me révéler une part de son âme.
« La lutte... » commençai-je, fixant le fond de mon tasse presque vide. « C'était contre beaucoup de choses... contre les autres, contre moi-même, contre un monde qui ne fait pas de cadeaux. »
Mon regard se fit lointain, comme si je revoyais des scènes d'un passé révolu. « La vie que j'ai menée, c'était pas celle que la plupart des gens imaginent. Elle était violente, solitaire... et j'ai longtemps cru que c'était ma seule voie.» Je ne pouvais pas lui dire que j’avais bossé comme tueur à gages pour Damoclès. Encore moins que j’avais assez de fric pour me faire construire ma propre salle de sport si je voulais…
Je marquai une pause, avant de reprendre : « Mais le Malekai, c'est comme un nouveau chapitre. Un lieu où je peux lutter, mais d'une façon différente. Où je peux être juste Duncan, pas l'ombre que j'étais. »
Luisa m'écoutait avec une attention palpable, et je pouvais voir qu'elle pesait chaque mot que je disais. Je décidai de changer légèrement de sujet, pour alléger l'atmosphère. « Mais assez parlé de moi. Vous... vous avez cette passion pour le sport, pour aider les gens. C'est admirable. Je me demande comment vous arrivez à garder cette énergie positive... dans un monde qui peut être si sombre parfois ? »
Je me redressai légèrement, posant ma tasse sur la table. Mon regard se fixa dans le sien, cherchant à comprendre ce qui la motivait, ce qui la poussait à aller de l'avant malgré les défis. « Vous avez mentionné Stitch... Votre partenaire dans cette aventure. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Qu'est-ce qui a créé cette étincelle entre vous deux pour construire quelque chose d'aussi grand que le Malekai ?»
Je pouvais sentir que Luisa avait une histoire à raconter, une histoire qui, je l'espérais, m'apporterait quelques éclaircissements sur ma propre quête. Ma vie avait été un enchaînement de missions, de cibles, un labyrinthe de décisions froides et calculées. Mais ici, assis face à Luisa, je commençais à entrevoir une autre façon de vivre. Une vie où les relations, les passions, pouvaient avoir une place centrale.
Je me penchai en avant, mes coudes sur la table, mon regard toujours fixé sur elle. « Et après le Malekai... Qu'est-ce que vous voyez pour l'avenir ? » C'était plus qu'une simple curiosité. C'était une recherche de compréhension, un désir d'apprendre à voir le monde à travers les yeux de quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui avait choisi une voie radicalement différente de la mienne, mais qui, d'une certaine manière, semblait partager une quête similaire : celle de la paix intérieure et d'un sens à la vie.
Moses.
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Luisa s'était confié à cet homme encore inconnu il y a peu mais elle savait qu'il n'y avait aucun jugement et elle en ferai autant alors lorsqu'elle demanda à Duncan de quelle lutte il parlait tout à l'heure, elle ne savait pas si il lui répondrait, peut être trop pudique pour se confier mais après un court instant il finit par lui répondre. En entendant ces explications, la jeune femme eu une petite moue triste, il avait l'air d'avoir vécu des choses atroces, de la solitude dans un monde violent, entouré de brutes, sans cesse en train de se battre contre les autres, contre lui même. Elle se sent désolée pour lui, pour ce qu'il a vécu, pour les souffrances qu'il a subit et surtout pour cette sensation de ne pas savoir où tout ça va l'emmener, si il y a une issue possible. "Tout ça, tout ce que vous avez subi, j'en suis désolée. Peut être que votre arrivée ici n'est pas un hasard et que c'est pour une bonne cause, pour que vous puissiez aspirer à une vie meilleure." Lui répondit elle en premier lieu, le voyant le regard ailleurs, revoyant surement ses scènes du passé. Sa tasse dans les mains, elle ne peut s'empêcher de sourire à ce qui lui dit Duncan concernant le Malekai. "Si le Malekai peut vous offrir cette opportunité, j'en suis ravie. Vous méritez clairement une seconde chance." Lança la brune avec un sourire avant de porter sa tasse à la bouche afin de se délecter de sa boisson. Ce que son interlocuteur lui demanda ensuite n'était pas sans raisonnement fondé. Il est vrai que dans un monde plein de doute et parfois pouvant se montrer dur, il n'est pas simple de voir toujours le positif. Et d'ailleurs à son arrivée dans ce monde, ça n'avait pas été le cas pour Luisa. "Je vous avoue qu'à mon arrivée dans ce monde, j'avais perdu toute confiance en moi, ainsi que tout espoir de m'en sortir. Heureusement le sport était là pour m'aider à aller de l'avant et j'ai reçu le soutien dont j'avais besoin. Je pense que c'est pour ça que je continue à garder espoir, à être le plus positive que possible." Lui expliqua Luisa avec ce sourire, cette fierté de son métier dans l'âme.
Lorsqu'il fallait parler de Stitch, elle ne pouvait cacher son énorme sourire, c'était son petit ami, son confident, son partenaire avec qui elle tenait le Malekai, c'était d'ailleurs son idée à lui et pas dessus tout c'était grâce à lui qu'elle n'avait pas sombrer avec la perte de sa famille. "On s'est rencontrés à la salle de sport, c'était un jour où j'étais pas bien, il a voulu me remonter le moral et malgré mon petit caractère de cochon en premier lieu, il a insisté et avec le temps on est devenus des amis. On est devenus plus proches et un jour, en vue de notre passion commune pour le sport et ce qui va avec, il a eu cette idée de créer un complexe comme le Malekai, qui est bien plus qu'une salle de sport." Lui expliqua la brune avant de poser sa tasse, le regard réfléchi lorsque Duncan lui demanda ce qu'elle voyait dans l'avenir pour le Malekai. "A vrai dire, je n'y ai jamais réfléchi, du moins, certaines choses seront évolués et je suis toujours en quête du meilleur cependant je ne peux pas vraiment répondre à cette question." Lui répondit Luisa, tout à fait honnête, parce qu'elle n'avait jamais réfléchi à ça, et en même temps elle savait qu'elle pouvait amener de nouvelles choses dans le complexe et elle vivait surtout le jour au jour. Mais en réalité elle ne savait pas ce qu'elle ferai dans dix ans, parce que la vie ici était incertaine et pourtant elle avait ce besoin de trouver un sens à sa vie.
Moses.
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
Je l'écoutais, suspendu à ses paroles, sentant le poids de chaque mot qu'elle prononçait. Sa compassion, son empathie, me touchaient profondément, bien plus que je ne l'aurais admis à voix haute. Elle parlait d'espoir, de seconde chance, de cette lumière qu'elle voyait au bout du tunnel, même dans les ténèbres les plus obscurs. Sa force intérieure, sa résilience, c'était ce qui me plaisait chez Luisa, ce qui me faisait sentir moins seul dans ce monde chaotique.
« Oui, peut-être… » dis-je en posant ma tasse, un léger sourire se dessinant sur mes lèvres. « Peut-être que ce n'est pas un hasard si nos chemins se sont croisés. Peut-être que le Malekai et votre présence sont le signe que je cherche depuis si longtemps. »
Je fis une pause, laissant mes pensées se rassembler. Son sourire, lorsqu'elle parlait de Stitch, illuminait la pièce. C'était beau à voir, cette passion, cet amour qu'elle portait pour lui. Elle décrivait leur rencontre, leur amitié qui s'était transformée en quelque chose de plus profond, et je ne pouvais m'empêcher de ressentir une pointe d'envie. Une envie d'avoir quelqu'un qui me comprendrait, qui me soutiendrait de la même manière.
« Stitch a l'air d'être un homme exceptionnel, » répondis-je, sincère. « Vous avez de la chance de l'avoir à vos côtés. Et je suis convaincu que le Malekai ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans votre union, sans votre passion commune. »
Je posai ma tasse et me penchai légèrement en avant, captant son regard.
« Je comprends votre hésitation. L'avenir est incertain, plein de promesses mais aussi de défis. Peut-être est-ce là la beauté de la vie, ne pas savoir exactement où elle nous mènera. »
Je pris une profonde inspiration avant de continuer. « Moi, je vois un avenir où le Malekai devient plus qu'une salle de sport. Un lieu de rencontre, un havre pour ceux qui cherchent un sens à leur vie, tout comme nous. Un endroit où la passion pour le sport se mêle à la quête de bien-être mental et physique. »
Je me reculai, croisant les bras, un sourire pensif sur les lèvres. « Et pour ce qui est de moi... Je ne sais pas où je serai dans dix ans. Peut-être encore ici, peut-être ailleurs. Mais une chose est sûre, je veux que ma vie ait un sens. Je veux laisser une empreinte, aider les autres, peut-être même trouver une paix que je n'ai jamais connue. »
Ce que je voulais par-dessus tout, c’était retrouver Camille, l’aider à avoir une vie meilleure, l’épauler dans les épreuves, être là pour elle… Mais pour l’instant, c’était compliqué. « Il y a bien une personne que je voudrais retrouver. Quelqu’un qui a besoin de moi et de qui j’ai besoin. Elle est en ville, je l’ai vue, mais… sa mémoire s’est brisée. »
Au début, elle m’avait vu comme son bourreau, celui qui avait foutu toute sa vie en l’air… et c’était vrai que c’était ce que j’avais fait, mais elle était enfant, à l’époque… jusqu’à aujourd’hui, je n’avais cessé de tout faire pour réparer mon erreur et pour la protéger.
Moses.
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Luisa se sentait si désolée pour le passé de Duncan, mais elle n'y pouvait rien, la vie était ainsi, c'était comme ça et elle ne pouvait rien faire cependant elle se se sentait d'être optimiste avec lui et de lui montrer toute la compassion qu'elle pouvait lui donner. Les ténèbres, elle sait ce que s'est malheureusement, elle a connu des jours sombres en arrivant ici et le Malekai était une sorte de refuge pour ceux qui vivaient la même chose et qui avaient besoin de sentir meilleur. Elle croyait désormais au hasard et elle en fit part à son interlocuteur, qui hésitant en premier lieu lui fit part de son contentement, elle avait probablement raison et sa rencontre avec elle était surement le signe qu'il attendait. Cette remarque fit sourire la jeune femme, elle était touchée par ses paroles. "Oh c'est si...enfin si cela peut vous apporter un peu de bonheur j'en suis heureuse et moi aussi je crois aux signes." Lui parler de Stitch montrait encore plus que c'était réel parce que par moment la brunette avait du mal à savoir si ce qu'elle vivait, son bonheur avec l'homme qu'elle aimait, le Malekai qu'il avait construit ensemble, si tout ça était vraiment réel, si ce n'était pas une illusion de cette ville, elle qui avait été si seule et troublée par tout ça. Mais non c'était bien vrai et ça l'emplissait de bonheur chaque jour, ça et pouvoir revoir sa famille comme avant. Elle acquiesça d'un sourire lorsque Duncan lui dit que Stitch a l'air d'être un homme exceptionnel, et il a raison, tout comme le fait qu'ensemble ils ont pu offrir quelque chose de neuf aux personnes aimant le sport. "Oh oui il l'est. Et j'en suis persuadée aussi." Répondit elle avec un sourire amoureuse, sa vie ici était bien meilleure avec son compagnon.
Concernant leurs projets pour le complexe, elle n'avait pas vraiment de réponses, ce n'était pas facile pour elle de se projeter dans l'avenir. "Oui c'est tellement incertain, j'ai du mal à me projeter mais je suis sur que dans dix ans, le Malekai sera encore plus grand." Lui répondit la brune avec un sourire, l'air rêveur, reprenant quelques gorgées de sa boisson avant d'écouter l'avis de son interlocuteur sur la chose. "Ca serait une belle chose que de voir ça, de voir que les gens viennent ici pour se mêler aux autres, pour se faire du bien mentalement et physiquement, j'aime bien cette idée de bien être." Peut être qu'ils pourront mettre un spa dans leur complexe ou quelque chose pour se détendre, elle en parlerai prochainement avec Stitch. Duncan ne savait pas non plus ce qu'il ferai dans dix ans mais il souhaitait réellement laissé son empreinte dans le monde que ce soit celui ci ou son monde d'origine. Il avait besoin de se dire qu'il servirait à quelque chose, qu'il pourrait aider les autres et pourquoi pas trouver une paix intérieure. "Tu as bien raison de te dire ça, tant que tu trouves ton équilibre et ce qu'il te convient le mieux, c'est principal. Aider les autres c'est un bon combat, bien plus loyal que les autres." Lui répondit elle avec un sourire sincère et confiant par la même occasion. Son interlocuteur lui parla ensuite d'une personne, une personne qui avait l'air de compter pour lui, qu'il avait retrouvé enfin croisé mais les choses avaient l'air d'être compliquée. "Oh je vois, elle ne vous a pas reconnu c'est ça ?" Si c'était le cas, c'était bien triste, elle ne sait pas si elle aurait eu le courage d'affronter ça si un membre de sa famille avait perdu la mémoire et ne l'aurai pas reconnu.
Moses.
Duncan Vizla
▿ Ton univers : Polar
▿ Date de naissance : 17/11/1969
▿ Age : 55
▿ Métier : Thanatopracteur / tueur à gages
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur : Gauche
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Endurance accrue
▿ Sens aiguisés
▿ Force accrue
▿ Esprit tactique
▿ Pseudo : Ameknos
▿ Avatar : Mads Mikkelsen
▿ Copyright : moi-même
▿ Disponibilités rp : 1/5
▿ Autre(s) compte(s) : Duncan & Martin & Doc' Ten & House & Zeus & Eric & Crowley & Papy & Jiraya & Sebastian & Severus & Jürgen & Kaecilius & Sweeney & Gomez & Nigel & Kristoff & Ezio & Corto & Beetlejuice & Garrett & Owen & Spencer
En écoutant Luisa, je ressentais cette étrange sensation de familiarité et de compréhension mutuelle, comme si nos âmes, d'une manière ou d'une autre, étaient liées par un fil invisible, tracé à travers les tumultes de nos vies respectives. Elle parlait avec une telle sincérité, une telle ouverture, que je ne pouvais m'empêcher de me laisser emporter par le flot de ses paroles, trouvant dans son regard une lueur d'espoir, un reflet de cette lumière au bout du tunnel dont elle parlait avec tant de conviction.
« Moui… vous avez peut-être raison…» dis-je, laissant échapper un soupir presque inaudible, le regard perdu dans l'obscurité qui enveloppait les lieux d'un voile de mystère et d'intimité. « Peut-être que le hasard n'existe pas vraiment, et que tout, au final, a un sens, une raison d'être.»
Je marquais une pause, rassemblant mes pensées éparpillées comme les pièces d'un puzzle complexe et douloureux. « Ça fait des années que je me débats avec mes propres démons. J'ai parcouru des chemins que peu oseraient emprunter, affronté des adversités qui auraient brisé plus d'un homme. Et pourtant, malgré tout, malgré les erreurs et les regrets, je continue de chercher cette... rédemption, peut-être, ou simplement un sens à tout cela. »
Un sourire triste effleura mes lèvres alors que je repensais à toutes ces années de lutte, à ces moments où la seule compagnie que j'avais était celle de mon propre reflet dans le miroir, un reflet qui, trop souvent, me renvoyait l'image d'un homme brisé, perdu. « Mais vous et Stitch, vous représentez tout ce que j'ai toujours désiré et jamais vraiment atteint. Un amour pur, une passion partagée, une lumière dans les ténèbres... C'est beau, vraiment. Et cela me donne l'espoir qu'il n'est peut-être pas trop tard pour moi, pour nous.»
Je pris une gorgée de ma boisson, laissant le liquide brûlant glisser dans ma gorge, une faible tentative de chasser les ombres qui semblaient s'accrocher à mon âme. « La difficulté à se projeter… Je comprends cela mieux que quiconque. L'avenir est une toile vierge, et nous sommes les artistes, avec nos peurs, nos espoirs, et nos rêves comme seuls pinceaux. »
Après un instant, mon regard s’assombrit légèrement : « Je suis un fantôme du passé, hantant les lieux de mes erreurs, cherchant à réparer l'irréparable. Camille... elle représente ma plus grande faiblesse et ma plus grande force. La trouver, c'était comme retrouver un morceau de mon âme que je croyais perdu à jamais. Mais la voir me regarder avec méfiance, avec peur... Cela m'a brisé plus que je ne pourrais l'exprimer. »
Je me tus, laissant les mots s'évaporer dans l'air comme la fumée de toues mes cigarettes. « Mais vous, Luisa, vous et le Malekai, vous avez créé quelque chose de magnifique, quelque chose qui transcende la simple notion d'un lieu. Vous avez créé un foyer, une communauté, un espace où les âmes perdues peuvent se retrouver, se reconstruire. C'est admirable, et je... Je vous en suis infiniment reconnaissant.»
Mon regard se posa à nouveau sur elle, cherchant dans ses yeux une étincelle de compréhension, un signe que, malgré les ombres qui nous entourent, il y avait toujours une lueur d'espoir, un chemin à suivre vers un avenir meilleur. « Luisa, je ne sais pas de quoi demain sera fait, ni même si je mérite une place dans ce futur que vous et Stitch êtes en train de bâtir. Mais s'il y a une chose que je sais, c'est que je veux faire partie de ce monde, de votre monde. Aider, contribuer, peut-être même trouver un peu de cette paix que vous incarnez si bien. »
Je m'arrêtai, réalisant soudain l'ampleur de mes propres paroles, l'aveu implicite de mes propres désirs, de mes propres rêves. C'était un risque, un pas vers l'inconnu, mais pour la première fois depuis longtemps, j'étais prêt à le prendre, prêt à affronter l'avenir, quel qu'il soit, à ses côtés.
Moses.
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Le hasard peut être une belle comme une mauvaise chose selon les conditions et le contexte mais Luisa était persuadée qu'il y avait toujours un sens au hasard, un but même, et concernant ce monde là c'était totalement ce qu'elle ressentait. Pour elle si ils étaient tous envoyés dans cette ville c'était pour une bonne raison même si pour le moment personne ne savait le pourquoi du comment et à quoi ils étaient voués. Duncan n'était pas aussi persuadé qu'elle mais il lui répondit qu'elle avait peut être raison finalement surtout si on part du principe que c'est pour une raison particulière. Sa propre vie en ai l'exemple même, la brune acquiesça ses paroles, il avait vécu tant d'épreuves, le rendant plus fort, mais c'était surement pour une bonne raison, comme une sorte de rédemption qui l'attendait à la fin du chemin. "Je pense que le terme rédemption est peut être le plus approprié pour vous, en tout cas de ce que vous m'expliquer la vie n'a pas été simple pour vous mais aujourd'hui vous avez surement la chance d'enfin vivre heureux." Supposa la jeune femme, elle ne connaissait pas sa vie d'avant mais il avait déjà trop souffert pour que les choses n'aient réellement le sens voulu. Cet homme lui faisait de la peine, il méritait tellement mieux et plus. Lorsqu'il lui avoua envier son bonheur avec Stitch, elle eu à son tour une moue triste, cependant le sourire la gagna vite lorsqu'il ajouta que ça lui permettait en fin de compte de rester positif et de garder espoir dans le fait que ça pourrai lui aussi lui arriver. "Oui ce que nous partageons est unique dans son genre et j'espère vraiment que vous pourrez trouver ça. Il faut toujours garder espoir n'est ce pas." Espoir qui la pendant un temps quitter pour revenir sous de meilleurs jours.
Parler de ses doutes avec un parfait inconnu pourrait passer pour étrange mais en vérité, Luisa appréciait beaucoup cette discussion avec Duncan parce qu'ils se comprenaient bien plus que ça. Se projeter dans l'avenir était quelque chose qui avait toujours fait peur à la jeune Madrigal, parce qu'elle ne savait jamais de quoi demain sera fait comme tout le monde d'ailleurs mais ça prenait une grande importance dans son esprit parce qu'elle n'arrivait pas à se projeter. Son interlocuteur partageait cette notion et il la décrit si poétiquement. "Oui je ne l'aurai pas dit mieux. Nos peurs sont toujours bien présentes même dans l'avenir." Duncan lui parla ensuite d'une certaine Camille qui avait l'air d'être importante à ses yeux mais malheureusement leurs retrouvailles ne s'étaient pas passés comme il l'aurai voulu et ça l'avait encore plus brisé. "Je suis désolée d'entendre ça, je sais ce que c'est de ne pas se retrouver complètement sans certaines personnes. A t'elle perdu la mémoire ? Où c'est votre passé qui vous a rattrapé ?" Elle avait bien conscience d'être peut être un peu trop indiscrète mais elle était intriguée et ça lui faisait de la peine de savoir que cet home souffrait intérieurement.
Le fait qu'il la remercia pour avoir créer le Malekai qui était plus qu'une salle de sport, qui était devenu un havre de paix, une sorte de communauté, un lieu où le partage était possible et où on pouvait se reposer, la toucha réellement, personne avant lui n'était autant reconnaissant envers elle ou envers Stitch pour le complexe. La brune sourit avant de prendre la parole. "Je vous remercie, ça me touche vraiment car le Malekai est un si beau projet et si intense, c'est si important pour nous." Leurs regards se croisèrent une seconde fois et la même leur d'espoir pouvait se lire en eux, un sourire perla sur le visage de la jeune coach, un projet comme le Malekai qui s'était concrétisé en si peu de temps c'était beau et elle était heureuse de pouvoir aider les autres, Duncan en faisait parti et il voulait absolument continuer en être, faire parti de cette communauté était important pour lui, il était réel pour lui et il était même surprit de la transparence de ses propres paroles. La paix était toujours quelque chose qui réunit. Luisa souffla une nouvelle fois sur sa boisson chaude afin d'en prendre plusieurs gorgées avant de poser la tasse et de répondre avec un sourire. "Et bien dans tout les cas, vous êtes le bienvenu ici. On est heureux de pouvoir vous accueillir et en plus si ça vous permet d'atteindre une certaine notion de paix, c'est encore mieux. D'ailleurs que faites vous en dehors du Malekai ?" Elle ne savait plus si elle lui avait déjà posé la question sur son métier et elle était curieuse.
Moses.
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
En contemplant les paroles de Luisa, un étrange sentiment d’introspection m'envahissait. La douceur de sa voix, combinée à la sincérité de ses propos, ébranlait quelque chose en moi, une partie enfouie sous des couches de douleur et de regrets. Chaque mot qu’elle prononçait résonnait comme un écho lointain, réveillant des souvenirs et des émotions que j’avais trop longtemps refoulés. Je laissai échapper un léger soupir, mon regard se perdant un instant dans le vide, avant de retrouver ses yeux.
« La rédemption, dites-vous… Oui, c’est peut-être ce que je cherche, sans même le savoir. La vie m’a arraché beaucoup de choses, m’a infligé des blessures profondes. Mais ici, je commence à voir une lueur, un semblant de paix que je n’avais jamais cru possible. »
Mon passé était une toile maculée de sang et de douleur, une succession de combats et de pertes. Chaque jour était une lutte pour survivre, pour ne pas sombrer sous le poids des horreurs que j’avais commises. Et pourtant, malgré tout, il y avait une part de moi qui aspirait à autre chose, à une vie différente, à un futur où je pourrais enfin poser les armes et trouver un semblant de sérénité. Je me tournai légèrement vers elle, laissant une ombre de sourire effleurer mes lèvres.
« Vous savez, Luisa, l’espoir est une chose précieuse. Parfois, il semble se dérober, disparaître comme une étoile filante. Mais vous et Stitch… vous représentez cet espoir. Vous montrez qu’il est possible de trouver le bonheur, même dans les endroits les plus sombres. »
Luisa avait parlé avec une telle conviction, une telle force tranquille, que je ne pouvais m’empêcher de me sentir attiré par cette lumière qu’elle dégageait. C’était une femme forte, pleine de compassion, et je savais que dans ce monde cruel, des personnes comme elle étaient rares. Elle incarnait une promesse, une possibilité de rédemption que je n’avais jamais envisagée. Mon esprit vagabonda vers Camille, ce fragment de mon passé qui continuait de me hanter. La retrouver avait été un choc, un mélange de bonheur et de douleur, une confrontation avec mes propres échecs. « Camille… Elle est une part de moi que je pensais perdue. La voir après toutes ces années… c’était comme ouvrir une vieille blessure. Et son amnésie… C’est moi qui suis devenu un étranger pour elle, une ombre menaçante de son passé. »
Je me tus un instant, laissant le silence envelopper nos pensées. Puis je repris, avec une douceur inattendue : « Vous avez créé quelque chose de magnifique ici. Le Malekai est plus qu’un simple lieu, c’est un sanctuaire. Un endroit où les âmes perdues peuvent se retrouver, se reconstruire. Et pour cela, je vous en suis reconnaissant. Vous m’offrez une chance de me racheter, de trouver ma place. »
Je plongeai mon regard dans le sien, cherchant une étincelle de compréhension. Je pris une gorgée de ma boisson, le liquide brûlant glissant dans ma gorge, une chaleur réconfortante dans cette froide réalité. « En dehors du Malekai…» Je marquai une pause, réfléchissant à ses mots. « Disons que j’ai mené une vie qui n’est pas des plus honorables. Mercenaire, tueur à gages, appelez cela comme vous voulez. J’ai fait ce qu’il fallait pour survivre. Mais aujourd’hui, je cherche autre chose, un but qui dépasse la simple survie. »
Je laissai échapper un soupir, mon regard se perdant un instant dans les souvenirs de ces années de violence et de solitude. « J’ai parcouru des routes sombres, affronté des ennemis redoutables. Mais au fond, tout ce que je cherchais, c’était une raison de continuer. Et peut-être que cette raison, je la trouve ici, dans cette ville. »
Je réalisai soudain l’ampleur de mes paroles, l’aveu implicite de mes désirs, de mes rêves. Mais pour la première fois depuis longtemps, j’étais prêt à prendre ce risque, à affronter l’inconnu, à marcher vers un futur incertain avec l’espoir de trouver enfin ma place.
Moses.
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Duncan a le regard ailleurs suite aux mots de la brune, ça le fait peut être réfléchir et l'aide à y voir plus clair dans sa vie, si elle peut l'aider même si c'est minime, elle en serait vraiment contente et même flattée. Après un petit silence, il lui explique que la vie lui a fait subir de nombreuses choses, lui laissant des blessures, de celles qui ne guérissent pas facilement voire jamais cependant il entrevoit tout de même une porte de sortie à tout ça. "Je vous le souhaite de tout cœur vraiment, si vous pouvez y accéder, c'est une très belle chose." La paix, un sentiment bon et pur qui pour certains est dur à atteindre, Luisa lui sourit, contente qu'il puisse se sentir mieux, plus libre dans ce monde là. Elle évoqua ensuite avec lui la notion d'espoir, c'était quelque chose d'important et de concret, c'est la chose qui permet le plus souvent de tenir malgré les évènements, malgré les coups durs de la vie, et comme le dit si bien son interlocuteur c'est une chose précieuse. Ce qu'il lui dit ensuite la fit sourire, elle était vraiment touchée. "Oh c'est gentil merci, on ne le remarque pas forcément mais on arrive toujours à voir le meilleur dans tout ça." Grâce à Stitch et à ce qu'ils avaient entreprit ici, le bonheur était toujours présent.
Ils parlèrent ensuite de l'être perdu de Duncan, une femme qui comptait si cher à ses yeux dont les retrouvailles avec elle ne s'étaient pas vraiment bien déroulées. Luisa l'entendit lui expliquer avec une certaine tristesse que la revoir avait ouvert une de ses anciennes blessures et découvrir qu'elle était amnésique était pire que tout. "Ce n'est pas simple en effet, j'espère qu'elle retrouvera la mémoire. Peut être que le temps l'y aidera." Lui répondit la jeune Madrigal avec un sourire compatissant, elle comprenant tant ce que c'était de se sentir incomplet sans une partie de soi même, elle avait souvent ressenti ça au début de sa vie dans cette vie, loin de sa famille. Son interlocuteur la remercia ensuite avec une certaine douceur, il était reconnaissant pour ce lieu qui l'avait aider à trouver une place dans ce monde. "Je suis vraiment touchée d'entendre ça, si le Malekai peut vous apporter ça, j'en suis sincèrement ravie et ne me remerciez pas, c'est tout à fait normal." Même si elle n'aurai jamais pensé que ça allait devenir ainsi, elle était vraiment contente que le complexe puisse devenir un endroit où les gens pouvaient se reposer, se détendre, pensez à autre chose, faire du sport en toute sérénité, un havre de paix comme Duncan le répétait.
Tout en dégustant leurs boissons, Luisa et Duncan parlaient presque à cœur ouvert, de sujets que peut être ils n'auraient pas évoqué avec de simples inconnus, mais la jeune femme ne le voyait plus comme ça. Le brun se livra alors sur sa vie personnelle, sur ce qu'elle était avant d'arriver dans cette ville, il avait fait des choses dont il n'était pas fier, mais il n'avait pas eu le choix, c'était pour survivre. Mais dans tout ce qu'il avait vécu, il ne cherchait peut être qu'une chose, qu'une simple chose, le but de vivre, de survivre et il l'avait peut être enfin trouvé. "Je ne suis pas là pour vous jugez alors merci de vous confiez à moi." Lui répondit la brune avec un sourire sincère avant d'ajouter. "Vous vous êtes battus pour votre vie, c'est tout simplement honorable, on n'est pas forcément fier de nous, mais parfois on n'a pas vraiment le choix." Ce n'était pas quelque chose qu'elle connaissait réellement mais elle avait comprit certaines choses en rencontrant de nouvelles personnes ici.
Moses.
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur
Je posai ma tasse de café vide sur la table, laissant échapper un soupir. Les paroles de Luisa avaient pénétré plus profondément que je ne l'aurais imaginé. Cette femme avait une manière unique de toucher des parties de mon âme que j'avais longtemps cru mortes. Ses mots étaient comme des flèches, frappant juste au but, réveillant des émotions et des souvenirs enfouis. Je me levai doucement, la chaise raclant le sol avec un léger grincement.
« Luisa, » dis-je, mon regard plongé dans le sien, « vous avez une manière de voir le monde qui est... rafraîchissante. Vous avez raison, parfois, tout ce qu'on peut faire, c'est se battre pour survivre. Mais il y a quelque chose de plus ici, une raison plus profonde de continuer. Et vous, Stitch, le Malekai, vous êtes une grande partie de cette raison. »
Je me dirigeai vers le comptoir, déposant la tasse en porcelaine avec délicatesse. Le café, désormais froid, laissait une légère amertume sur ma langue, un rappel de la dureté de la vie que j'avais menée. « Votre espoir, votre foi en une vie meilleure, » continuai-je, « c'est contagieux. Peut-être que, pour la première fois, je commence à y croire aussi. »
En passant devant Luisa, je m'arrêtai un instant, posant une main sur son épaule. « Merci pour votre écoute. Vous ne réalisez peut-être pas à quel point cela compte. »
Je laissai ma main retomber, continuant vers la porte. Chaque pas était une décision, un choix de laisser derrière moi les ténèbres du passé pour embrasser un futur incertain. Je me tournai légèrement, lançant un dernier regard vers Luisa.
« Camille... Elle retrouvera peut-être la mémoire, avec le temps. Et moi, je dois apprendre à être patient. À espérer. »
Je marquai une pause, laissant mes paroles flotter un instant dans l'air avant de continuer. « Vous m'avez donné une raison de croire que la rédemption est possible. Que le bonheur est possible. Et pour cela, je vous suis reconnaissant. »
Je poussai la porte du Malekai, la chaleur de l'après-midi m'accueillant avec une douceur inattendue. L'air frais me rappela que, même après les nuits les plus sombres, le soleil finit toujours par se lever. Je pris une profonde inspiration, prêt à affronter le monde extérieur avec une nouvelle perspective. En marchant le long de la rue, mes pensées retournèrent à cette conversation. Le poids de mes actions passées était toujours là, mais il semblait plus léger, comme si une partie de cette charge avait été partagée, diluée par la compassion et la compréhension de Luisa. Peut-être que, finalement, je pouvais trouver un moyen de me racheter, de construire quelque chose de nouveau à partir des ruines de ma vie ancienne.
Je continuai à marcher, les rues se déroulant devant moi comme autant de souvenirs à redécouvrir. Mes pensées dérivèrent vers Camille, cette figure énigmatique de mon passé. L'espoir que Luisa avait évoqué, je réalisai qu'il ne se limitait pas seulement à moi. Il s'étendait aussi à Camille. La revoir, même dans cet état d'amnésie, avait réveillé quelque chose en moi. Une flamme d'espoir que, malgré tout ce qu'elle avait oublié, nous pourrions reconstruire quelque chose de vrai, de solide. Peut-être qu'avec le temps, ses souvenirs reviendraient, et avec eux, la possibilité de renouer les liens brisés. J'espérais que l'amour que nous avions partagé autrefois puisse surmonter les barrières de l'oubli, que sa mémoire perdue ne soit qu'un obstacle temporaire sur le chemin de notre réconciliation. En elle, je voyais non seulement une partie de mon passé, mais aussi une promesse pour l'avenir, un avenir où la douleur et le regret pourraient être remplacés par la guérison et la compréhension. Alors que je m'éloignais, un sentiment de détermination grandissait en moi. Le chemin vers la rédemption serait long et parsemé d'embûches, mais pour la première fois, je sentais que j'avais la force de le parcourir. Et cela, je le devais à Luisa et au Malekai, ce havre de paix qui avait commencé à guérir les blessures les plus profondes de mon âme.
Moses.
(674 mots)
(je suis vraiment désolé pour le délai, je pensais avoir posté... et je me suis rendu compte ce soir que non -_- )
Luisa Madrigal
▿ Ton univers : Encanto
▿ Date de naissance : 01/12/1999
▿ Age : 24
▿ Métier : Coach Sportif
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Force herculéenne
▿ Pseudo : jojo
▿ Avatar : Jessica Marie Garcia
▿ Copyright : underwater (ava) exception (signa)
▿ Disponibilités rp : Toujours
▿ Autre(s) compte(s) : Remus Lupin & Steve Harrington & Jeremiah Fisher & Scott McCall & TK Strand & Ander Munoz & Peeta Mellark & Henry Fox-Mountchristen & Finn Hudson & Nathan Scott & Jasper Frost
Les paroles de Duncan étaient véritablement sincères et touchaient la jeune femme, il avait vu la véritable raison de cet endroit et il le ressentait en lui, c'était une belle preuve que ce qu'elle et Stitch était pour la bonne cause et qu'ils avaient réussi finalement à transmettre quelque chose de plus fort et de plus sincère, de toucher le public et puis les gens qui venaient ici pouvaient se sentir comme chez eux, se sentir comme dans un havre de paix. Son interlocuteur se leva faisant grincer légèrement sa chaise et ses paroles étaient quelques chose de neuf dans sa journée, il était d'accord avec elle sur certains points et leurs points de vue se rejoignaient dans un certain sens. "Je vous remercie vraiment, sincèrement, vos paroles me vont droit au cœur. Je suis d'accord avec vous, la survie est importante et qu'importe ce qu'on doit faire pour y parvenir." Lui répondit la brune avec un sourire sincère avant de le voir partir déposé sa tasse de café vide sur le comptoir. Lorsqu'il repassa près d'elle, ses paroles s'ancrèrent en elle, elle lui sourit. "Je suis contente que ça vous permet d'y croire, même si ce n'est qu'un peu. Je vous en prie, notre échange à été bénéfique pour moi aussi." La foi, quelque chose que la jeune Madrigal avait eu du mal à croire mais aujourd'hui cela avait bien changé et elle était heureuse de savoir que grâce à cette discussion, Duncan croyait en une vie meilleure.
Luisa le regarda avec gentillesse et sincérité, cette conversation lui avait fait véritablement du bien, et c'était une bonne chose que d'entendre que le Malekai était devenu quelque chose de plus fort. Elle espérait vivement que Duncan puisse trouver la paix avec la femme qu'il aimait. "Je vous le souhaites." Il le méritait et il devait s'armer de patience certes mais ça serai une belle récompense de la vie au final. Il la remercia une nouvelle fois parce que grâce à elle, il croyait en la rédemption, au bonheur d'une nouvelle vie et ça, ça lui faisait vraiment plaisir. "J'en suis heureuse, vraiment si grâce à ça, vous vous sentirez mieux et à même de croire au bonheur." C'était la plus belle preuve de noblesse. Luisa le salua avec un sourire, heureuse du parcours effectué ensemble, elle ne savait pas à quel point cela avait aidé Duncan, ça allait l'aidé pour l'avenir, pour affronter son avenir avec un dur passé. Elle était heureuse que le Malekai lui ai permis de guérir certaines blessures. Puis elle rejoignit son bureau et après cette discussion rafraichissante, se replongea dans sa paperasse.
Moses.
Fin du Rp
(Pas de soucis t'inquiète, désolée moi aussi pour le délai ^^')
Luisa Madrigal
La force ne vient pas que des points, elle résulte aussi dans le cœur