Ce qui vit la nuit disparaît le matin {feat. Chris}

Chris se sentait mort. Cette dernière mission n’était pas de tout repos. Le S.T.A.R.S était toujours demander, voir trop. Et malgré que la ville eut accorder beaucoup de moyen, Redfield voyait bien qu’ils manquaient toujours d’hommes et de matériels. Un jour son boulot aura sa peau, mais c’était comme ca qu’il se voyait partir, en faisant son devoir jusqu’au bout, que ce soit pour un combat perdu d’avance ou non.

A peine sortait-il que Piers lui proposait une soirée tous les deux entre collègues. C’était un jeune homme que Chris avait beaucoup en affection. Il fut brisé quand il était mort, et fou de joie de le retrouver en vie ici. Sans hésité, le capitaine avait sélectionner son ancien ami pour rejoindre ses forces et aider à remonter la pente. Depuis, leur relation s’était fortement renforcer, permettant à Redfield d’avoir un véritable ami ici. Mais malgré tout l’amour qu’il avait pour son jeune protégé, Chris se sentait pousser à décliner l’offre. Les interactions sociales n’étaient pas trop son truc. Pour lui, il n’existait que le boulot, ayant sacrifier sa vie personnelle au profit du bien être de l’humanité. Aimait-il ca ? Disons qu’il s’y était habitué, mais le jeune homme insista avec la fougue de sa jeunesse.

-Bon très bien.

On le lui avait reprocher déjà de ne pas s’ouvrir aux autres, de rejeter les humains qu’il avait jurer de protégé à tel point qu’il ne semblait plus en être un. Des mots qui lui on fait beaucoup réfléchir, et puis c’était passer une soirée avec une personne qu’il estimait plus que tout pour faciliter les choses.

Sans dire grand-chose d’autres, Chris n’était pas un grand loquace, les deux hommes se rendirent à l’appartement du plus jeune. Abandonnant ses affaires, Piers questionna son supérieur sur ses préférences en matière de bières.

-Brune. Répondit-il tout simplement, enfournant ses mains dans les poches de son pantalon treillis.

Nivans lui servit donc la bière souhaiter après l’avoir décapsuler, que Redfield récupéra, lâchant un « merci » étouffé entre ses lèvres.

-J’ai l’impression surtout, de n’avoir jamais quitter le boulot.

Même quand il était de « repos », Redfield se retrouvait au milieu d’un drame, une attaque de monstres, de terroristes, d’aliens ou que sais-je. Et à chaque fois il se battait seul ou appelait la cavalerie. Le boulot no stop. Il espérait que son cadet pouvait mieux profiter de la vie que lui.

-En tout cas notre dernière la… Fut bien éprouvante. Je dois commencer à me faire vieux.