▿ Métier : En dernière année d'étude pharmaceutique. En alternance dans une pharmacie de son quartier.
▿ Quartier : Lockwood Hill, en colocation avec Vanellope, que tu as encore du mal à cerner.
▿ Côté cœur : Un coeur à prendre sûrement mais il n'est pas évident de percer ta carapace...
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Frinos
▿ Pseudo : Momo
▿ Avatar : Kailee Morgue
▿ Copyright : Kali (avatar)
▿ Disponibilités rp : Indisponible pour le moment
▿ Autre(s) compte(s) : Dan Zaunite & Bruce Jaw
▿ Messages : 95
▿ Points : 842
▿ Date d'inscription : 14/11/2023
▿ Notes :
☼ Tu as des cheveux assez courts que tu as tendance à teindre et à changer assez souvent, selon ton humeur même s'ils sont à l'origine blonds.
☼ Ton bras gauche porte des traces de brûlures qui ne sont jamais parties mais elles ont pris la place de ton bras fantomatique en attendant qu'il revienne un jour.
☼ Tes yeux ont deux couleurs différentes, ton œil droit est vert alors que le gauche est d'un rouge flamboyant.
☼ Sur ton temps libre, tu apprécies faire un peu d'escrime afin de ne pas perdre totalement la main.
Les journées se ressemblent et pourtant ne sont jamais les mêmes. Surtout que pour une fois, tu as décidé de ne pas passer la totalité de ton temps dans tes bouquins à étudier encore et encore. Tu veux réussir ton année, tu veux prouver que tu en es capable. Tu ne supportes pas vraiment les échecs et ça ne va pas commencer maintenant. Mais pour une fois, tu t'octroies une pause. Une pause bien méritée d'ailleurs. Au lieu de te plonger dans tes bouquins, tu prends le temps de t'asseoir à une terrasse, pour une fois que le temps n'est pas trop maussade... Et tu lis. Quelque chose de plus récréatif : le journal. Tu n'as pas vraiment l'habitude de te plonger là dedans, c'est une notion que tu n'as jamais connu auparavant, cette idée de donner les nouvelles tous les jours. Ca n'existe pas dans les Enfers. Pourtant vu ce qui s'y passe, tu es certaine que ça ferait un carton ! Mais tu n'es pas vraiment experte en marketing, comme ils appellent ça.
Tout en buvant un thé froid, tes yeux aux couleurs différentes parcourent le papier. Il ne se passe apparemment pas grand chose. Ils parlent une fois de la météo pour enchaîner avec des délits causés dans les différents quartier. Bref, rien de bien passionnant. Pourtant, un texte attire ton regard. Une journaliste aurait commencé à enquêter sur des mystérieuses apparition au au cœur de la ville. Tu commences à lire ce texte qui te semble passionnant, tu aimes plutôt bien ces histoires qui semblent parfois irréalistes. En plus, tu dois avouer que c'est bien écrit. Tu te surprends à dévorer les différents points à une vitesse telle que les glaçons présents dans ton verre ont totalement fondus. Surtout que tu t'arrêtes net quand tu lis le prénom de la journaliste. Perséphone. Tes yeux s'écarquillent et s'emplissent d'émotions que tu ne sais pas vraiment décrire. C'est son prénom. C'est elle, ta mère. Tu serres le journal dans tes mains, prise d'une fulgurance. Tu ne peux pas restée planter là après avoir lu cette information. Sans réfléchir, tu te lèves de ta chaise et tu quittes les lieux à la hâte, le journal à la main. Heureusement que tu avais payé en arrivant...
Tu ne sais pas vraiment où chercher. Alors tu prends ton téléphone et tu te renseignes sur le journal. Apparemment ils auraient des bureaux. Alors tu cours, tu te perds dans les rues de la ville jusqu'à ce que tu arrives enfin devant l'adresse présumée. Tu n'as pas cessé de courir sous ce soleil battant. Tu es essoufflée et tu dois bien avouer que tu as de la sueur par endroits. Mais tu t'en fiches complètement d'être présentable. Tu te rues à l'intérieur, passant devant la sécurité qui te regarde un peu mal. Tu ne peux pas cacher tes émotions. Toi qui essaye toujours d'être droite, d'être calme. Tu penses enfin avoir trouvé quelqu'un et pas n'importe qui. Postée devant l'accueil tu poses le journal avec un certain fracas, toujours la respiration haletante.
b'jour. Je... Je cherche madame Perséphone. Elle a écrit ça.
Tu pointes fébrilement l'article que tu as lu un peu plus tôt, une main tremblante. Les travailleurs te dévisagent, ils ne sont pas certains de vouloir te laisser entrer vu ton état. En vrai, tu ne leur en veux pas, tu ferais sûrement pareil dans leur situation. Tu secoues la tête alors que tu remarques que la personne de l'accueil a regardé dans une direction. Tu en déduis que c'est par là. Tu ne te contrôles plus, si tu te voyais, tu te mettrais sûrement une claque. Mais tu affiches un sourire, un regard plein d'espoir. Sans attendre de réponse, tu cours vers la direction que la femme regardait, tes yeux batifolant sur chaque inscription, chaque nom que tu voyais. Tu ne fais pas attention aux personnes qui t'entourent alors que la panique règne, que la sécurité te court après. Tu as l'air d'une folle, Mel. Tu vas finir en prison. Mais tu t'en fiche. Tu finis par t'arrêter net devant une porte sur laquelle brille une plaque avec son nom. Perséphone. Tu te figes, laissant tomber le journal que tu n'as pas abandonné depuis tout ce temps. Et tu n'arrives pas à toquer, à entrer ou n'importe quoi d'autre. Tu n'oses pas. Serait-ce de la peur ? Trop d'émotions te submergent pour l'instant. Tellement que tu n'entends pas l'agent de sécurité arriver... Celui-ci te plaque, d'instinct, sur la porte. Celle-ci se trouvait être entrouverte Tu te retrouves plaquée sur le sol à l'entrée du bureau. Au moins, tu as fini par y entrer...
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