((violence)) "Step into my parlor", said the spider to the fly. [Widowmaker & Chucky]
Invité
Ven 6 Mai - 9:23
"Step into my parlor", said the spider to the fly. Chaque fois qu'elle rêvait de Gérard, l'esprit d'Amélie Lacroix plongeait un peu plus dans ses vieux travers. Gérard, c'était l'époux d'Amélie. Son ancien époux. Celui-là même à qui elle avait ôté la vie dans son sommeil sur ordre d'une organisation terroriste appelée Talon. Oh, bien sûr, elle n'était pas elle-même au moment de commettre cet acte. Les scientifiques de Talon avaient fait d'elle un agent dormant, inhibant sa capacité à ressentir les émotions humaines indispensables pour ressentir de la compassion, de la tendresse... Privée de sa nature autrefois bienveillante et chaleureuse, Amélie avait obéi à Talon car on lui avait ôté la possibilité de se rebeller. Gérard avait été son premier meurtre... Le premier de nombreux autres. En tuant son époux, elle était devenue veuve. Depuis cette nuit tragique, elle se faisait appeler Widowmaker.
Du moins, elle se faisait appeler ainsi dans son ancienne vie. Mais depuis qu'elle s'était réveillée dans cette ville, Amélie avait retrouvé ses capacités physiologiques. Autrefois, on lui avait fait frôler la mort, diminué le rythme de ses battements cardiaques jusqu'à ce qu'ils soient minimes et inhibent ses émotions, rendent sa peau bleue et la rendent d'autant plus monstrueuse... Calme et implacable telle une araignée à la poursuite de sa proie. Mais ici, elle avait retrouvé sa chaleur corporelle, ses battements cardiaques, ainsi que ses souvenirs. Tous ses souvenirs. Si bien que là où Widowmaker avait su étouffer la personnalité d'Amélie Lacroix, danseuse étoile bienveillante, Amélie, elle, ne parvenait pas à totalement étouffer la voix glaciale de Widowmaker qui s'emparait occasionnellement de son esprit...
Et ses séances chez le Docteur Lecter, plutôt que de l'aider à taire ce qu'elle assimilait à une autre personnalité avec ses envies et ses ambitions propres, semblait au contraire l'encourager à... Accepter cette cohabitation forcée avec son antithèse.
Et cette nuit-là, la tentation de se résigner et de laisser Widowmaker prendre les rênes était plus forte encore qu'habituellement. Elle avait rêvé de Gérard... S'était revue lui ôter la vie à mains nues, avait revu le sang sur ses mains, sur les draps, sur son alliance... Mais elle ne s'était pas réveillée à cause de l'horreur d'un tel souvenir. Non. Elle s'était réveillée parce que c'était la première fois depuis qu'elle habitait sur cette île qu'elle s'était sentie aussi... Exaltée.
Autrefois, en tant que Widowmaker, la seule manière qu'elle avait de se sentir vivante était d'abattre ses proies. Ce n'était qu'une fois le meurtre accompli qu'elle parvenait à ressentir une forme de satisfaction sadique et addictive qui l'encourageait à continuer d'accepter les contrats d'assassinat. Et cette nuit-là, Amélie constata avec un mélange d'horreur et de fascination démente qu'elle serait effectivement prête à tuer pour ressentir de nouveau un tel état d'exaltation, pour se sentir de nouveau et complètement... Vivante.
Mais elle n'était plus Widowmaker, et son premier réflexe fut donc de lutter contre ses impulsions et les murmures de plus en plus virulents qu'elle entendait dans son esprit. Elle sortit en pleine nuit, l'arme à feu achetée quelques semaines plus tôt fermement logée à son flanc. Elle comptait marcher, marcher et ne plus s'arrêter, jusqu'à ce ses démons cessent de la hanter, jusqu'à ce qu'elle reprenne ses esprits.
Hélas, les bonnes intentions étaient souvent soumises à rude épreuve. Cela faisait une vingtaine de minutes qu'elle errait dans les rues principalement désertes, hormis pour les occasionnels fêtards qu'elle croisait sans leur accorder la moindre attention. Elle commençait doucement à calmer ses pulsions meurtrières, lorsqu'elle fut abordée au détour d'une ruelle. Un homme, jeune, ivre, agressif. Agressif, mais sans défense.
Amélie n'écouta pas ses jurons. Pas plus qu'elle n'écouta ses menaces. En revanche, elle s'avança vers lui avec assurance et ne perdit pas davantage de temps avant de lui donner un violent coup de pied sous le menton, ce qui le fit tomber à terre. Animée par un désir brutal et sadique de jouer avec sa proie, elle se plaça à califourchon sur lui et saisit sa mâchoire, enfonçant ses ongles dans sa chair, jusqu'au sang. Elle aurait pu avoir pitié et l'achever aussitôt. Au lieu de cela, elle le frappa. A répétition. Plus le sang giclait sur son visage, plus sa bouche se tordait en un semblant de sourire dément, et plus elle redoublait d'efforts, sans se soucier de la possibilité d'attirer l'attention. :copyright:️ 2981 12289 0
Dernière édition par Amélie Lacroix le Ven 27 Mai - 15:39, édité 1 fois
Charles Lee Ray
▿ Ton univers : Chucky
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▿ Côté cœur : Cette histoire tumultueuse entre nous... On s'aime, on s'aime plus, je te tue, tu reviens, je te tue encore... L'amour fou !
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▿ Autre(s) compte(s) : Nicolas Brown, Rin Yamaoka, Guts Berserker, Satoru Gojô, Hisoka Morow, Katsuki Bakugo & David Martinez & Askeladd L. A. Castus, Jellal Fernandes, Annie Leonhart, Zabuza Momochi, John Shepard & Chobei Aza
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Mar 10 Mai - 2:37
La nuit était tombée et il était resté dans sa boutique de jouet assez tard. Un peu de rangement à faire et surtout il traina longtemps sur internet à la recherche d'une poupée Good Guy. Ceci le désespère grandement de ne pas trouver cette grande poupée au cheveux roux avec des tâches de rousseurs sur le visage. Il lui en faut une, car il n'y a que de cette manière qu'il pourra transférer son âme dedans. Enfin, là, il ne mettra pas toute son âme, mais juste un fragment. Ça sera lui sans être totalement lui, mais ça lui permettra quand même de faire des méfaits. Et puis... recréer une armée de Chucky... Ça le tente bien trop, ceci fait des années qu'il a ce plan et il a fallu que des petits cons viennent tout foutre en l'air comme toujours.
Sur des forums, il posa la question si des gens n'auraient pas cette poupée chez eux, mais les réponses étaient infructueuses. Personne n'a vu ce qu'il cherche, mais il va continuer de chercher. La prochaine fois, il tentera de faire un dessins ça sera peut être plus parlant qu'une longue description écrite. Enfin, il éteignit l'ordi et les lumières de la boutique pour sortir. Plutôt que de rentrer, il s'en alla vers un bar histoire de boire un bon verre. En tant qu'humain, il peut retrouver ce genre de petit plaisir qui lui était alors impossible sous forme de poupée. Boire et manger, il pouvait, juste qu'une poupée qui bouge et parle ça aurait forcément fait bizarre dans un endroit public.
C'était un petit rade, pas bien fameux, mais ça allait faire le taff quoi qu'il arrive. Du monde était là, toute sorte de personne, mais clairement plus des types louches. Charles ne devrait pas faire tâche dans le décor, enfin il le ferait bien moins dans son ancien corps, celui là à un côté plus propre et gentil, mais les habits ne font pas le moine. Une place se libéra au comptoir et il prit la chaise haute pour s'y installer et commander un verre de Whisky, autant commencer par quelque chose de fort. Puis, il alluma une clope se fichant que ça puisse déranger les gens autour, mais vu le style du bar, personne ne viendra rien dire. L'heure passa, voir peut-être plus, l'heure de rentrer s'il ne voulait pas avoir l'air d'un zombie le lendemain.
Dans la rue, ses mains dans les poches, il déambulait, pas un chat, le calme total, mais rien d'étonnant au beau milieu de la nuit. Pourtant, un bruit ou plutôt des bruits se firent entendre. Plutôt étrange, il ne comprenait pas ce que s'était et s'approcha pour en trouver la source. Il finit par tourner au coin d'une petite rue et trouver une femme en train de tabasser un homme. Le type était totalement ensanglanté, dans un état totalement terrifiant. Ce n'était pas beau à voir, mais lui ne se mit pas à hurler et courir pour appeler du secours. Un grand sourire s'afficha sur son visage, content de voir un tel spectacle. Eh bien qui aurait cru que de la violence allait être au rendez vous ? Tuer, c'est une forme de passion chez lui, il adore ça et le fait depuis très longtemps. Chucky est même très doué et il tue avec quasiment tout est n'importe quoi. Pour ça c'est un homme très créatif, mais aussi très doué pour faire passer un meurtre pour un simple accident.
La femme avait l'air d'être dans un moment d'extase à frapper encore et encore ce type. Il gémissait de moins en moins, mais il en faudra plus pour le tuer de manière définitive. Restant dans le coin, il s'approcha légèrement pour faire remarquer sa présence. "Voilà une activité passionnante et violente ! Vous comptez l'achever uniquement avec des coups ?" demande t'il par simple curiosité. Tabasser à mort, c'est une belle manière de tuer, lui l'a plutôt fait avec des coups de couteau, mais chacun son truc, n'est-ce pas ? "C'est sympa comme manière de tuer, mais vous risquez de laisser des traces ADN !" Forcément à force de frapper, elle va surement s'ouvrir la peau ou laisser des traces. C'était un si bel avantage d'être une poupée... impossible de trouver son ADN. Enfin, la demoiselle fait ce qu'elle veut, peut-être qu'elle a un bon plan pour faire disparaitre le corps.
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Emportée dans sa folie destructrice, obsédée par sa soif de sang et de violence, Amélie continuait de transmettre toute sa rage et son désespoir à travers ses gestes, frappant cet homme comme s'il était le seul exutoire qu'elle puisse trouver cette nuit-là. Et, quelque part, c'était le cas. Les autres méthodes ne suffisaient plus à contenir ce froid dévorant qui s'emparait de son coeur à mesure que son alter ego reprenait le dessus, telle une araignée tissant sa toile.
Mais les gémissements de sa victime se faisaient de moins en moins nombreux, de plus en plus faibles. Et, peu à peu, ses réflexes d'agent revenaient, et sa perception de l'environnement prenait plus de précision. Elle aperçut donc l'ombre projetée par les lampadaires d'un homme qui s'approchait. Curieuse, la brune cessa de frapper sa pauvre proie et releva la tête vers cette nouvelle présence. Elle s'était attendu, si témoin il devait il y avoir, à faire face à un homme paniqué, ou potentiellement agressif qui aurait tenté soit de la fuir soit de l'arrêter. Or, elle ne percevait aucune de ces intentions chez cet homme-ci. Au contraire. Il semblait... Intéressé. Curieux. Voire ravi ? Intéressant.
Les paroles qu'il prononça la firent d'abord froncer les sourcils. Confuse, elle se redressa, installée à califourchon sur le bassin de l'homme qui, quoiqu'il en soit, était trop faible pour bouger ou hurler. Elle s'humecta les lèvres, y goutta le sang qui y avait été projeté. Le goût ferreux acheva de réveiller Widowmaker, ce monstre de froideur et de cruauté qui n'aurait jamais dû resurgir dans cette nouvelle vie. Elle esquissa un sourire venimeux.
- Serais-je en présence d'un expert ? questionna-t-elle d'une voix étonnamment calme pour les gestes empreints d'une extrême violence qu'elle venait de faire.
Les conseils qu'il venait de lui donner l'intriguaient. Elle en oublia durant quelques instants la présence de sa victime, qu'elle désirait pourtant achever à tout prix ne serait-ce que quelques secondes plus tôt. Elle devait reconnaître que, emportée dans sa passion destructrice, elle n'avait pas eu le temps de réagir de sang-froid et n'avait donc guère pensé à ces détails d'extrême importance qu'étaient les preuves. Autrefois, elle était protégée par une organisation criminelle. Mais elle était seule à présent, bien plus vulnérable.
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Dim 5 Juin - 1:29
Pourquoi prendrait-il la fuite ? Chucky n'est pas le genre de personne à avoir peur. Il est le mal depuis fort longtemps, en général c'est de lui qu'on a peur. Au cours de sa précédente vie, il n'a jamais fuit le danger, même quand le mort était proche. Il pense à la fois ou il a suivi ce petit connard de Andy Barclay dans la fabrique de jouet. Il avait bien l'intention de le tuer ce petit vaurien et à la place, il s'est retrouvé avec un bras en moins et il a explosé tel un ballon. Pourtant, il aurait pu partir, mais non. Charles est une tête de mule qui ne recule devant rien. Alors, cette femme violente, il trouve ça intéressant, dommage qu'elle ne soit pas blonde, elle aurait pu lui faire penser à Tiffany.
Au vu de ce qu'il avait dis, la réflexion de l'inconnue est presque légitime. Chucky est-il un expert ? Au niveau du meurtre ça c'est certain. Vous ne trouverez pas un meilleur meurtrier que lui et surtout il a le don d'être très créatif et inventif. Son petit talent, c'est de faire passer un assassinat pour un accident ou un suicide. Bon dans le cas présent, difficile de faire croire à qui que ce soit que ce type c'est tapé dessus lui-même. La piste criminel sera forcément celle que la police risque de choisir. "On peut dire que j'ai fais mes preuves quand il s'agit de faire du mal..." indique t'il simplement. Combien de personne à t'il tué ? Surement plus d'une centaine, il a cessé de compter depuis fort longtemps. En plus de ça, il n'a pas de manière de tuer en particulier. Chucky tue avec tout ce qui lui tombe sous la main, ce qui le rend plus difficile à trouver car d'un meurtre à l'autre, la police, ne peut pas faire de rapprochement.
Quant à faire disparaitre le corps, on sort du domaine de notre psychopathe. Les corps, il ne les fait jamais disparaitre, mais il faisait toujours attention qu'on ne puisse pas remonter jusqu'à lui. Alors là, on peut dire qu'elle est un peu dans la merde. "Si vous comptez le tuer et le laisser là, c'est sur que la police va retrouver des traces ADN. Vous pourriez le bruler, mais je doute que ça efface tout... Oh... dans un four crématoire ! C'est censé réduire en cendre les corps humains et ne rien laisser, là, personne ne retrouvera le cadavre, ni aucune trace... Faut juste forcer un funérarium. Ceci peut-être amusant ! Vous pourriez même tuer le gardien ou les employés présents et les faire disparaitre de la même façon. Jamais personne ne pourra savoir ou ils sont passés !" L'idée plaisait beaucoup à Chucky, ça restait intelligent et créatif comme ce qu'il a pu bien souvent faire en tuant. Après, ça demande un petit peu de logistique, mais c'est la nuit, avec un peu de discrétion, ça devrait pouvoir le faire. Sinon, elle peut tout aussi bien enterrer le corps, le jeter à la mer, mais ce ne sont pas des solutions assez radicale.
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Une chose était certaine : cet inconnu n'avait aucun scrupule, aucune retenue éthique et morale à assister à cette scène. Il n'était donc pas un danger pour elle ou pour sa sérénité. Cela serait donc inutile que de tenter de le tuer. Ce qui en cet instant, l'arrangeait. Elle n'était pas suffisamment équipée pour affronter un homme qui, visiblement, avait tout autant l'habitude qu'elle d'ôter des vies. D'autant plus que ce soir-là, Widowmaker dérogeait quelque peu à ses pratiques habituelles. Elle était parfaitement capable d'affronter des adversaires au corps à corps, mais elle préférait l'efficacité redoutable du mode sniper de son arme à feu favorite. Une balle, un mort. Simple, impitoyable.
Pendant que son interlocuteur s'exprimait et lui suggérait des solutions pour se débarrasser du corps, elle maintenait sa victime au sol en exerçant une pression continue sur sa poitrine à l'aide de son pied, plaçant tout son poids sur lui. A tel point qu'il lui sembla entendre un craquement ou deux.
Mais elle ne faisait pas attention à l'homme ensanglanté qui se trouvait à terre. Elle était au contraire songeuse suite à ce que l'autre homme, bien plus intéressant, venait de lui suggérer.
- Un funérarium, hm...
L'idée était pertinente. Mais ce n'était pas quelque chose qu'elle pouvait accomplir seule. Et puisqu'il s'était arrêté pour lui donner des conseils, et qu'il semblait de plus apprécier cette situation, peut-être pouvait-il se montrer encore plus utile. Widowmaker l'observa de haut en bas, tentant d'estimer sa force physique. Enfin, ayant pris sa décision, elle se redressa, releva le menton et le toisa :
- Accepteriez-vous de m'assister ? Et de m'aider à transporter ce corps ?
Elle jeta un coup d'oeil à l'homme, qui respirait toujours. Avec un sourire infiniment plus démoniaque, mais d'une voix doucereuse, elle reprit :
- Il est toujours vivant... Et il peut le rester jusqu'à ce que les flammes le consument.
Habituellement, Widowmaker préférait accomplir son travail vite fait, bien fait. Une balle dans la tête et c'était réglé. Mais c'étaient habituellement des contrats, des missions, et la satisfaction du travail bien accompli primait sur tout le reste. Mais par moments, lorsque les affrontements devenaient plus personnels, elle prenait un plaisir certain et purement sadique à jouer avec ses proies... Malheureusement pour sa victime du soir, c'était l'un de ces cas. Elle ne le considérait guère mieux que comme une araignée jouant avec une mouche coincée dans sa toile. Elle prenait tout le temps du monde, car c'était précisément ce qu'elle possédait : tout le temps nécessaire à donner vie à ses désirs les plus sombres. :copyright:️ 2981 12289 0
Charles Lee Ray
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Sam 18 Juin - 1:35
Quel doux spectacle pour Chucky de tomber sur cette femme en train de violenter cet homme. Il aurait sincèrement préféré plus d’éclaboussure de sang. Un couteau aurait été par exemple parfait, plutôt que des poings pour ça. D'un autre côté, ça aurait été bien plus mortel. Mais rien ne vaut le plaisir de planter une lame dans la chair encore et encore. Comment un humain lambda pourrait comprendre le plaisir et la joie qu'on peut retirer de ce genre de moment savoir avoir essayé ? C'est juste... plaisant ! Voir le sang gicler c'est aussi galvanisant tout comme voir le feu de la vie s'éteindre dans le regard de sa victime. Oui, c'est un discours de psychopathe, mais n'en est-il pas un ? Cette femme étant de toute évidence de la même espèce que lui, il juge bon de l'informer que de tuer de cette manière, ça laisse beaucoup de trace... C'est pour ça qu'il lui parle du funérarium, un petit coup de pouce entre collègue, on dit pas, non ?
Visiblement, l'idée n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde puisqu'elle sembla d'accord avec lui. D'ailleurs, elle demanda très cordialement à Charles s'il voulait bien l'aider. La politesse ça n'a beau ne pas être son truc, quand c'est demandé aussi poliment, comment refuser ? "Je le peux en effet. Mais vous allez devoir suivre mes instructions si vous ne voulez pas tout faire foirer. Faudra potentiellement tuer d'autres personnes au funérarium, mais je doute que ça vous dérange !" Lui même est bien partant faire un petit massacre. Il doit y avoir uniquement un gardien là bas, ça fera juste un mort de plus, ça devrait le faire.
La victime de l'inconnue était toujours vivante, certes dans un salle état, mais il aimait l'idée qu'il puisse mourir bruler vif et entendre ses cris de douleurs avant que l'air chaud ne vienne cramer ses poumons. "C'est d'autant plus plaisant quand il souffre !" s'amuse t'il à dire en laissant un léger sourire sadique lui échapper. Il regarda autour de lui et demanda simplement : "Vous avez une voiture ? On ne va pas le transporter à pied jusque là bas. Si non, il faut en voler une !" Le mieux ça serait qu'elle en ait une, ceci faciliterait les choses. Dans le cas contraire, il faudra trouver une voiture et pour ça, il n'aura pas trop de difficulté à en ouvrir une, c'était un malfrat, une sale petite frappe dans son passé, alors il a quelques compétences en matière de crime et ça ne comprend pas que le meurtre. "Faudra reculer le véhicule jusqu'ici et mettre le corps dans le coffre. Notre lieu de destination n'est qu'à une vingtaine de minutes !" Ceci ne devrait pas trop être compliqué, il est plutôt serein et si quelqu'un les voit, il suffit de l'ajouter à la liste des personnes qui vont se la jouer chipolatas dans le four crématoire. Un jeu d'enfant, n'est-ce pas ?
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Un rictus de circonstance étira les lèvres de Widowmaker. Suivre des instructions, elle savait faire. C’était son boulot, avant. Jouer les tueuses à gage pour son organisation terroriste, exécuter sur demande, sans poser de question, et participer aux missions en compagnie de ses collègues… Un jeu d’enfant, qui lui garantissait toujours la satisfaction du travail bien accompli. Car lorsqu’elle était en mission, ce n’était pas avec les poings qu’elle abattait ses victimes mais avec un sniper. Et lorsqu’elle tirait au sniper… Elle ne manquait jamais. Un tir, un mort.
Mais ce n’était pas nécessaire de se remémorer le passé en ces circonstances. Son nouveau complice venait de supposer qu’elle ne serait pas gênée par l’idée de faire d’autres victimes cette nuit-là et une fois de plus, il avait raison. Widowmaker n’avait jamais éprouvé de difficultés à enchaîner les victimes, bien au contraire. Il n’y avait que lorsqu’elle ôtait la vie qu’elle se sentait, paradoxalement, vivante. Tuer était un véritable plaisir pour elle, aussi vital que l’était le fait de manger pour d’autres.
- Ce ne sera pas un problème, confirma-t-elle donc calmement.
Pendant qu’elle s’exprimait, elle ignora superbement les cris de désespoir d’Amélie Lacroix, avec qui elle partageait un corps mais certainement pas les mêmes pensées. Widowmaker avait bel et bien pris le contrôle cette fois-ci. Et c’était un véritable soulagement, après tant d’années… Mais il lui fallait cohabiter avec Amélie, ce qui n’était pas une partie de plaisir ni pour l’une, ni pour l’autre. Quoique Widowmaker parvienne à éprouver une forme de plaisir sadique et moqueur à l’idée de laisser la douce Amélie Lacroix endosser la responsabilité de ses crimes.
Mais il était temps de revenir s’intéresser à la victime. Quelque part, cet homme aurait dû se sentir honoré. C’était le premier homme à qui elle s’attaquait depuis son réveil dans cette ville. Elle devrait songer à célébrer ça dignement lorsqu’elle se serait débarrassée du corps. Et à ce propos, elle pouvait visiblement compter sur son interlocuteur, qui semblait prendre son pied à l’aider. Tant mieux. Il ne serait pas une nuisance.
Elle hocha la tête après qu’il lui ait demandé si elle avait une voiture et qu’il lui ait développé son plan.
- Très bien, faisons ça. Je ne suis pas garée très loin, je vais le chercher et en attendant, je vous laisse le soin de veiller sur lui.
Le ton de sa voix était moqueur, mais son regard, lui, était intense. Concentré. Elle adressa un dernier regard appuyé à son partenaire de crime avant de partir pour rejoindre son véhicule.
Quelques minutes plus tard, la voiture apparaissait jusqu’à s’arrêter auprès des deux hommes. Widowmaker ouvrit le coffre.
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Mer 20 Juil - 2:52
Chucky aurait pu passer son chemin, mais assister à un crime et partir, c'est devenir une cible pour le tueur. Et puis... c'est un sadique, il a toujours aimé faire du mal et regarder les autres en faire aussi. Voir ce type se faire fracasser la gueule par cette femme, c'était plutôt plaisant à voir. Ça manque cruellement de mort dans cette ville ! C'est pour ça qu'il veut bien aider la jeune femme, elle semble avoir un gros potentiel. Est-ce qu'il ira jusqu'à s'associer à elle, ça c'est une autre question, mais au moins, il sait qu'il n'est pas le seul criminel. Certes, il connait déjà Annabelle, cette vile demoiselle démoniaque, mais la femme présente devant lui est encore différente.
Ainsi, pour l'aider et lui éviter des ennuis auprès de la police, il est prêt à participer pour faire disparaitre ce corps de la rue. Charles explique son plan, c'est assez simple à mettre en œuvre et vu que c'est la nuit, ça ne devrait poser aucune difficulté. Dans un premier temps, il faut transporter le corps jusqu'au crématorium et le faire bruler. Simple et efficace, personne ne saura ce qu'il s'est passé toute preuve sera détruite à jamais par la force du feu. Parfois, il se dit qu'il est un génie du mal !
Avant tout, une voiture serait plus pratique que de porter ce corps jusqu'à l'endroit prévu. Par chance, la brune à une voiture. Ce qu'il aime quand tout ce passe à merveille comme ça ! La tueuse part chercher son véhicule, ça aurait pu être dangereux pour lui, elle aurait très bien pu se tirer et ne jamais revenir. Sauf que lui, n'a pas touché au corps, au pire, si elle ne revient pas, il s'en va et demain la police viendra débuter son enquête. Donc il n'a pas spécialement d'intérêt à vouloir aller lui même chercher le véhicule. Quelques minutes plus tard, elle est de retour, en marche arrière et stop le véhicule assez proche du corps. "Heureusement que vous avez une voiture, ça va nous faciliter la tâche." Est-ce qu'il a besoin d'aide pour mettre le cadavre dans le coffre, pas plus que ça, c'est un habitué de ce genre de chose. Sous sa forme de poupée, il a déjà caché des cadavres, alors sous sa forme humaine c'est tout aussi facile. Toutefois, il fait attention à attraper le corps là ou il n'y a pas de sang et à ne pas se tacher. Faut éviter de devenir un complice, même si c'est le cas ce soir. Avec un peu d'huile de coude, il balance le corps dans le coffre et ferme le coffre. Quelques goutes de sang demeure sur le sol, mais une fois séché personne ne se doutera de ce que c'est. Sans attendre, il monte côté passager du véhicule, mieux vaut ne pas tarder sur les lieux du crime. "Direction le funérarium !" s'exclame t'il et il laisse la jeune femme faire. Sur le parking, il n'y a qu'un véhicule, surement le gardien. "On fait une reconnaissance pour voir par où entrer d'abord ?" Ils pourraient tout aussi bien y aller en mode méthode forte par la porte d'entrée et affronter directement le gardien. Mais s'il y a une alternative, pourquoi s'en priver ? C'est à la jeune femme de voir, après tout c'est son histoire à la base, lui n'est qu'une petite aide supplémentaire. Un peu plus de sang ne changera plus grand chose maintenant.
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Le trajet jusqu'au funérarium se fit principalement dans le silence. Widowmaker aurait pu en profiter pour demander son nom à cet homme. Mais tout comme elle-même savourait son anonymat relatif, elle estima que s'il ne lui avait pas divulgué son identité jusque-là, c'était qu'il n'avait aucune envie de le faire. Entre criminels, ils pouvaient respecter ça. Et en vérité, la partie la plus froide et insensible de Widowmaker s'en fichait bien, tant que le travail était accompli.
Il leur fallut donc quelques minutes avant d'arriver au funérarium. Amélie gara le véhicule mais resta dans un premier temps derrière le volant. Il n'y avait qu'une voiture. C(était bon signe. Lorsqu'elle sortit de la voiture, elle leva son regard doré pour guetter de potentielles caméras de surveillance. Elle n'en trouva aucune, ce qui la rassura. Le gardien ne soupçonnerait pas leur présence, d'autant plus que ce ne devait pas être une affaire courante, une petite visite nocturne dans un tel endroit.
- Hm...
C'était dans ces moments-là qu'elle regrettait de ne plus posséder son grappin, celui qui lui permettait de se hisser avec souplesse sur les toits. Il aurait été particulièrement utile pour repérer une fenêtre ouverte ou une autre entrée. Mais ils allaient devoir faire sans. Distraitement, elle porta son regard en direction du coffre de sa voiture.
- Il ne bougera pas, alors... Prenons le temps.
Elle prit grand soin de fermer le véhicule et commença à s'engager sur le chemin, évitant soigneusement l'entrée principale. Pendant qu'elle contournait le bâtiment en quête d'une autre entrée ou de la moindre solution à leur problème, elle réfléchissait au problème qui les attendrait une fois qu'ils seraient dans le bâtiment.
- Nous devrons sans doute nous charger du gardien quand même, mais si nous pouvons éviter qu'il prévienne les autorités... Il vaudrait d'ailleurs mieux l'assommer afin qu'il pense s'être endormi. La disparition du gardien serait trop suspecte et ce serait contreproductif que d'éveiller les soupçons de la sorte. Le mieux serait qu'il reste inconscient pendant que nous nous débarrasserons du corps. :copyright:️ 2981 12289 0
Charles Lee Ray
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Sam 6 Aoû - 0:06
Le funérarium était là devant eux, prêt à les accueillir les bras ouverts pour se débarrasser de ce corps meurtrie par les coups de la jeune femme. Qui penserait venir se débarrasser d'un cadavre ici pour faire disparaitre les preuves hormis un esprit totalement tordu ? A croire que les tueurs ne sont pas tous aussi inventif et géniaux que Chucky. C'est évident, quoi de mieux qu'un four crématoire pour tout réduire en cendre et laisser la police dans l'incapacité de pouvoir trouver toute trace du meurtre. Zéro indice, rien... le néant pour eux, c'est comme si rien n'aura eut lieu. Chucky n'est pas peu fière de son idée, il faut le dire. C'est grandiose, il faut juste réussir à entrer sans se faire repérer, d'où le fait de faire ça en pleine nuit quand il n'y a personne. Ceci lui fait même penser à voler une clef de cet endroit afin de pouvoir y revenir quand il veut plus facilement de nuit. Faudra qu'il songe à ça !
Dans un premier temps, ils leurs faut trouver une entrée discrète, là ou personne ne les verra passer. Vu qu'il n'y a qu'une seule voiture, c'est facile de deviner, qu'il ne doit y avoir que le gardien qui est présent ici. Une seule personne pour un grand bâtiment comme celui là, ça devrait être facile. En compagnie de la tueuse, il cherche un accès qui sera "facile". Elle avait en tête de s'occuper du gardien, mais pas de le tueur, juste de le mettre K.O pour qu'il ne puisse pas causer de souci. Alors oui et non. Le truc, c'est que pour le mettre K.O, il faudra s'approcher de lui et surement le frapper ou le violenter à minimum à défaut d'avoir un médicament pouvant l'endormir, à moins qu'elle cache une sorte de puissant somnifère dans sa manche ? Et s'il se retrouve avec un coup à la tête, il aura des marques et se souviendra surement de s'être fait agresser. "Et comment comptez vous, vous y prendre ? demande t'il alors. "Si vous voulez qu'on passe inaperçu, faut oublier la violence et je n'ai pas de médicament pour l'endormir, on peut chercher dans la morgue, mais en dehors du formol, je doute qu'on puisse trouver de quoi l'endormir." Peut-être qu'elle a quelque chose dans sa voiture, il n'en sait rien, mais mieux vaut le préciser. Et on peut oublier les techniques Japonaise ou chinoise de point acuponcture qui font faire dodo direct, Chucky ne connait pas ça. Son truc c'est le meurtre, pas la délicatesse.
L'homme se stoppa devant une porte de service, fermé pour le moment, mais ça pourrait être l'endroit parfait pour entrer. "Ou alors, on parvient à entrer sans même se faire repérer et le gardien ne se doute de rien. Plus difficile... mais faisable !" Une idée à la con, dangereuse, mais il a toujours aimé vivre avec le danger notre Charles Lee Ray.
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Les arguments avancés par son interlocuteur étaient sensés, bien sûr. Mais ils déplaisaient à Widowmaker, qui estimait que le risque était, quoiqu'il en soit, trop important. Cette situation n'avait rien d'idéal. Et elle n'avait rien d'idéal en ce qu'il lui fallait rester discrète. En d'autres circonstances, elle aurait volontiers éliminé le gardien... Car en d'autres circonstances, il n'y aurait pas de professeure de danse apeurée luttant au fin fond de son esprit, et redoutant les conséquences de ses actes.
Un soupir de contrariété franchit la barrière de ses lèvres. Widowmaker releva les yeux, examina chacune des fenêtres qu'elle apercevait, et regretta non pour la première fois de ne pas posséder son ancien équipement. Son fidèle grappin lui aurait été plus qu'utile, ce soir-là.
- Nous pourrions utiliser l'essence, mais ce n'est pas idéal, concéda-t-elle.
Epargner le gardien, l'endormir, ou l'achever... C'étaient les trois seules options, chacune contenant son lot d'avantages et d'inconvénients.
La brune reporta son attention sur son comparse du soir et l'écouta attentivement, devenant immédiatement songeuse. Il avait de la suite dans les idées, il fallait le lui reconnaître. Mais elle n'était toujours pas convaincue.
- Nous pourrions être suffisamment discrets pour rentrer, mais pas pour faire fonctionner tout cela. Je ne vois que deux solutions. Assommer le gardien, soit par la force - nous pourrions déguiser ça en agression délinquante, des adolescents ayant cherché à se faire peur et ayant paniqué -, soit par les produits chimiques... Ou l'attirer ailleurs. Mais pour ça, il nous faudrait une diversion.
Un sourire cruel anima ses lèvres.
- Et puisque nous parlions d'essence plus tôt... Peut-être est-il temps qu'un feu se propage dans les environs. Ce n'est pas discret, je vous l'accorde, mais quitte à attirer l'attention, autant que la piste soit trompeuse vous ne pensez pas ? :copyright:️ 2981 12289 0
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Mar 30 Aoû - 1:30
De l'essence ? Pour quoi faire ? Il la regarde intrigué. A moins qu'elle ne veuille arroser d'essence le gardien pour le faire cramer, ça ne servira à rien contre lui. Après, Chucky n'est pas contre un bon méchoui de gardien. Tuer, c'est son truc et qu'importe la manière, au contraire, il aime la créativité. A t'il déjà fait cramer quelqu'un par le passé ? Surement que oui, il ne s'en souvient plus, il faut dire qu'il a tué bien trop de personne pour se souvenir de tour. Entre poignarder, défenestrer, électrocuter, pousser sur les couteaux dans le lave vaisselle... Un vrai esprit du mal dans toute sa splendeur !
Sa comparse diabolique du moment semble donc réfléchir à une idée. Si ça ne tenait qu'à lui, il irait tuer le gardien, ça serait plus rapide et pratique. Mais c'est le meurtre de cette femme pas le sien et ça l'intéresse de savoir le genre de décision qu'elle va prendre. Elle voit mal la discrétion dans cette histoire. Okay ça va faire du bruit, mais ça reste un four, on est pas au niveau d'une fête foraine non plus. Enfin, ce n'est pas idiot de prendre ça en compte puisque la nuit c'est tellement calme que les bruits s'entendent plus facilement que le jour. Son idée principale serait d'assommer ce bon vieux gardien pour faire passer ça pour un cambriolage ou un truc genre. En gros, il faudra qu'il saccage et qu'ils volent. Ceci pourrait être possible, mais ça demande de faire très attention à ne laisser aucun ADN sur place. La seconde option serait de l'attirer ailleurs. Tout en la regardant, il lui fait signe de continuer, histoire qu'elle explique ce plan plus en détail. Ainsi, elle propose de déclencher un feu pour faire sortir le gardien. L'idée n'est pas idiote, mais ceci ajoute une nouvelle inconnue dans l'équation... Qui dit feu, dit prévenir les secours. Donc, pompier et potentiellement la police. Sur ce coup là, il doute que ça leur laisse le temps de faire leur petite affaire et partir sans être vu. "Un feu risque de nous attirer plus d'ennuis. Le gardien va forcément appeler les secours. Personnellement, je n'ai aucune envie de croiser la police. Le mieux reste surement la première idée, celle de le mettre Hors jeu... Mais le tuer et le foutre lui aussi dans le four me semble bien plus sûr !" Semer des cadavres... comment résister à quelque chose comme ça ? C'est impossible et ça lui permettra d'expérimenter un nouveau meurtre. De tête, il n'a jamais mis quelqu'un de vivant dans un four crématoire. Oh mon dieu, ça pourrait être géant. "Je peux me charger de lui. Je suis du genre vachement tuer quand il s'agit de manipuler et de tuer..." Un sourire sadique se dessine sur son visage. C'est un psychopathe, faut pas lui en vouloir. Si Tiffany serait là, elle approuverait surement l'idée. Cependant, la jeune femme peut insister pour jouer le cambriolage si elle trouve ça plus sûre. Après tout, lui n'est là que pour donner un coup de main par le plus grand des hasards ! Au moins, elle a son avis !
"Step into my parlor", said the spider to the fly.En même temps qu'elle expose ses idées à voix haute, elle se rend bien compte du nombre de variables et d'inconvénients que ses idées apportent. Et plus elle réfléchit aux détails, plus elle regrette son bon vieux sniper, qui lui aurait permis de régler le problème en moins d'une seconde. Elle ne désespère cependant pas de parvenir à se débarrasser, enfin, de ce cadavre un peu trop gênant et choisit donc de se concentrer sur la conversation pour mieux écouter les idées de son étrange acolyte. Ce dernier semble au moins avoir l'habitude de telles situations, ce qui est un véritable soulagement. Widowmaker n'a pas le temps pour les amateurs. Elle préfère faire affaire avec quelqu'un de doué, et quelqu'un qui ne risque pas de se laisser attendrir, ce qui ne semble absolument pas être le cas de son comparse du soir.
Le sourire sadique qui se dessine sur le visage de son interlocuteur l'amuse, bien trop cruellement. C'est avec une nonchalance teintée de sadisme, elle aussi, qu'elle répond finalement :
- Soit. Va pour le four.
L'idée est bonne. Simple, rapide, efficace. Elle soupçonne son complice de vouloir faire subir un tel supplice au gardien pendant que celui-ci est toujours vivant. Et, si cette idée horrifierait Amélie, elle amuse Widowmaker, qui ne sait quoiqu'il en soit rien ressentir d'autre qu'une satisfaction sadique et cruelle à l'idée de commettre un meurtre. C'est d'ailleurs dans ces situations que son sens de l'humour est le plus sinistre, alors... autant dire que l'excitation de son interlocuteur est contagieuse.
- Le mieux serait que vous vous en occupiez avant que nous ne transportions le cadavre, dans ce cas. Je peux vous aider, si vous le souhaitez. Ou... vous le laisser, si ça vous amuse. :copyright:️ 2981 12289 0
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Lun 3 Oct - 2:10
Pour Chucky, il n'y a qu'une solution, c'est s'occuper du gardien pour avoir la voie libre. Parce que faire diversion ne fera que douter ce type qui s'occupe des lieux. Un feu lui fera appeler les secours du genre pompier et la police qui viendra enquêter aussi. Autant dire que ça va réduire drastiquement leur champ d'action. Alors que l'assommer et même le tuer, ça leur laisse la liberté de faire ce qu'ils ont à faire en prenant leur temps en plus de ça. Bien entendu, le psychopathe est prêt à se porter volontaire pour éliminer le type vite fait bien fait. Pour éviter les problème, il ne faudra aucune effusion de sang, il devrait pouvoir réussir ça. Au moins, la demoiselle semblait à présent de son avis ceci ravissait le notre tueur qui allait avoir sa petite dose de meurtre ce soir.
Il allait pouvoir s'occuper de ça, ce qui était encore mieux. "Je devrais pouvoir m'en occuper seul. J'en ai pas pour moment !" Un sourire plein de malice, il s'éloigne et s'approche du funérarium. Inutile de passer discrètement, il va y aller de manière frontale, ça sera bien plus amusant. Devant la porte vitrée qui est verrouillée, il se met a tambouriner dessus pour attirer l'attention du gardien qui finit par venir lui ouvrir pour savoir ce qu'il y a. Chucky n'attend pas une invitation et entre à l'intérieur en forçant un peu le passage. "Merci ! Vous êtes mon sauveur. Je pourrais emprunter votre téléphone, j'ai un pneu qui a éclaté et je n'ai pas de roue de secours. Mon portable n'a plus de batterie et j'aimerais bien rentrer chez moi. Un dépanneur m'aiderait beaucoup !" Un mensonge, mais qui dirait non à ça, à quelqu'un qui a besoin d'aide. N'ayant pas trop le choix, le gardien lui fait signe de le suivre et passe devant, grossière erreur. Chucky avait au préalable retiré l'un des lacets de ses chaussures. Sauvagement, il passe le lacet autour du cou de l'homme alors qu'il est dans son dos et serre le plus fort dessus pour l'étrangler. Un rire sadique s'échappe de sa bouche, ça l'amuse et ce type ne peut rien faire. Non, il ne va pas le tuer, il va juste perdre connaissance, le four se chargera du reste. Il faut un petit moment avant qu'il ne perde connaissance à cause du manque d'oxygène avant de s’effondrer au sol. Parfait, ça c'est fait ! Content de lui, il revient vers la sortie pour faire signe à sa comparse de crime. "Le funérarium est tout à nous très chère !" Oui, le gros du spectacle va pouvoir avoir lieu et ça excite notre fou. C'est toujours plaisant pour lui de tuer, arrêter c'est impossible. Il a bien essayé à une période, mais ça à mal tourné. Que ce soit Tiff ou lui, ce sont des psychopathes inarrêtables.
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Widowmaker fait signe, d'un geste élégant de la main, à son comparse de crime de s'avancer, manière pour elle de lui signifier qu'elle est tout à fait disposée à le laisser s'occuper du gardien. Tant que le résultat est là, qu'importe la méthode. D'ailleurs, elle est relativement curieuse quant à la manière que choisira Chucky pour se charger de cet homme qui n'est rien d'autre qu'un obstacle particulièrement gênant, en cet instant. Tel est l'avantage, lorsqu'on ne se soucie plus de considérer les autres comme des individus, mais au contraire comme des objets. Les sentiments et les hésitations n'existent plus. Ce sont des objets, et donc, il est bien plus simple de les éliminer s'ils sont trop gênants.
Elle observe la scène de loin, haussant les sourcils d'un air impressionné en le voyant agir avec l'aisance de l'habitude. Elle devrait sans doute chercher à en savoir davantage au sujet du passif meurtrier de son comparse. Mais ce n'est pas le plus important. Elle-même ne tient pas à entrer dans les détails de sa biographie. Qu'importe, en vérité, le nombre de victimes faites par cet être qui rit déjà de ses crimes, tant qu'il continue à être disposé à l'aider.
- Parfait, se réjouit-elle avec un sourire carnassier lorsqu'il lui signale que la voie est libre.
Elle s'avance sans aucune hésitation, n'adressant qu'un regard bref et dédaigneux au gardien inconscient qui se trouve au sol. Pour la forme, elle vérifie qu'il ne simule pas en tâtant son corps du bout de sa chaussure, puis s'intéresse de nouveau à son interlocuteur.
- Et si nous allions voir comment fonctionne le four ? suggère-t-elle finalement, pressée, elle doit l'admettre, d'assouvir sa curiosité morbide.
Tout en s'avançant en direction de ce qu'elle devine être la pièce qu'ils attendent tous deux de visiter, elle se tourne vers lui, sourcils froncés, concentrée.
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Dim 23 Oct - 22:06
La mission de Charles est simple, faire en sorte que le gardien soit hors jeu, de quelque manière que ce soit. Ceci lui laisse le choix, il aurait pu y aller de manière sanglante comme il a déjà pu le faire par le passé. Ou encore faire passer cette mort pour un simple accident par une nuit de pleine lune, chose qu'il sait parfaitement faire. Mais là le but n'est pas de transformer les lieux en une scène de crime totalement ensanglanté. Dans l'idée, il faut que le funérarium reste clean pour que personne ne puisse se douter du terrible crime qui vient d'y avoir lieu. Aucun témoin n'est présent, même pas un hibou dans les arbres à l’extérieur.
Chucky c'est donc contenté de la strangulation pour éliminer sa victime, ainsi, il n'a même pas pu pousser un cri strident qui aurait pu éventuellement alerter des gens qui auraient pu passer dans le coin. Mais il ne l'a pas tué, juste mit bien K.O, histoire qu'il ne puisse plus bouger et reste dans les vapes un petit moment. Une fois son méfait terminé, il prévient sa partenaire qui n'a rien d'un monstre comme un vampire à première vue, mais juste un tueuse de sang froid. Elle semble satisfaite que le gardien soit éliminé de l'équation. Il l'avait dit, il pouvait le faire, ce n'est pas un débutant après tout.
Les choses vont commencer à présent, il faut trouver ce four pour y mettre les deux victimes qui y seront réduites en poussière. "C'est par là," confit Chucky en montrant sur le mur une flèche indiquant la direction avec le mot "four crématoire" à coté pour indiquer l'une des directions des salles. En dessous se trouvait "toilettes par exemple". Quelques secondes plus tard, voilà qu'il pousse une énorme porte et se retrouve dans cette salle bien vide, à l'allure froide et démunie. Un peu de brume et l'endroit serait effrayant. Les corps ont l'air d'y être "poussé" sur un brancard fait à cet effet. Il va falloir trouver comment ça fonctionne. Chucky est partisan du "on appuie sur tout et ça fonctionnera". "Les dames d'abord, votre victime en premier !" propose t'il simplement tel un gentlemen, même si là, il est difficile de s'imaginer qu'il puisse l'être. Il poussa le gardien dans un coin et attacha ses mains avec du scotch, de même pour ces pieds, des fois qu'il se réveille. De sa poche tomba un trousseau de clef avec un petit porte-clef en forme de chapeau de sorcière original comme objet. S'il aurait été un tueur en série du genre à collectionner les objets, il aurait surement gardé ça en récompense, mais ce n'est pas son cas, il ne collectionne rien de ses victimes. Se rapprochant de l'autre corps, il se débrouiller pour le porter et le hisser sur le brancard qui le glissera dans le four. "Eh bien, c'est le temps de commencer ce feu de joie, non ?" propos t'il à la jeune femme avec un sourire. Ce four lui donnerait presque des envies de manger... Non, ce n'est pas un cannibale, mais là... une envie de gratin de courge lui vient subitement en tête, mais ce n'est hélas pas la saison. Regardant le panneau plein de bouton, il en touche certain, puis se tourne vers la tueuse. "A vous l'honneur... une petite pression sur ce bouton et le tour est joué !" indique t'il en montrant le bouton rond et rouge en question.
Défi Halloween : utiliser les mots suivants : ???? Cri strident ???? Courge ???? Ensanglanté ???? Brume ???? Hibou ???? Vampire ???? Pleine lune ???? Chapeau de sorcière
I'm Chucky wanna play ?
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Invité
Ven 25 Nov - 18:35
"Step into my parlor", said the spider to the fly.La tueuse se fait bien silencieuse pendant que son comparse prend les choses en main : très littéralement. Elle l'observe étrangler le gardien, notant avec un amusement sinistre qu'il ne l'a pas tué, visiblement à dessein. Elle devine sans peine les raisons de cette clémence temporaire. Tout comme elle, il a dû se demander à quoi ressembleraient les cris d'agonie d'un homme forcé de contempler les flammes de l'enfer, d'un peu trop près... Cette pensée silencieuse la fait esquisser un sourire carnassier, qui s'efface dès que son acolyte du soir reporte son attention sur elle.
Hochant la tête, elle suit la direction indiquée par le panneau, appréciant qu'il lui laisse l'opportunité de s'occuper de sa victime en premier. C'est, après tout, par cet homme que tout avait commencé... ce n'est que justice qu'il soit le premier à flamber, n'est-ce pas ? Supprimer les traces avec une redoutable efficacité, quoiqu'avec panache. C'était un programme qui lui plaisait de plus en plus. Elle lui rendit son sourire lorsqu'il parla de feu de joie, s'approchant sans se faire prier davantage. La méthode de son interlocuteur l'amusa. Appuyer sur tous les boutons jusqu'à ce que ça fonctionne... elle eut une pensée pour son ancienne comparse, Sombra, la hackeuse la plus redoutable de tous les temps, qui aurait certainement frôlé la crise cardiaque face à de telles méthodes. Mais Widowmaker, elle, n'était pas bouleversée. Tant que c'était efficace, toute méthode était valable.
- C'est trop d'honneur, répondit-elle onctueusement lorsqu'il l'invita à presser elle-même le bouton qui déclencherait les festivités.
Là encore, elle obtempéra sans broncher, marquant une simple pause, pour le suspense, avant de presser sur ce bouton. Elle observa la machine s'activer et le corps pénétrer dans le four avec une lenteur odieuse. Finalement, au bout de quelques minutes, des flammes commencèrent à apparaître, nimbant leurs deux visages d'ombres sinistres et mouvantes.
- Parfait. Que faites-vous de lui ? fit-elle en désignant leur seconde victime. Allez-vous jouer avec ?
Sa question n'était motivée que par une certaine curiosité macabre qu'elle ne se donna pas la peine d'estomper. Elle-même était la première à apprécier de jouer avec ses proies. :copyright:️ 2981 12289 0
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Lun 5 Déc - 2:00
L'heure de faire disparaitre les victimes était venue. Pour ça, rien de mieux que ce four crématoire pour faire disparaitre des corps. L'avantage de ce genre d'engin, c'est que contrairement à un bucher qu'on pourrait dire "normal", ceci réduit tout en cendre vu sa puissance. A la fin, il ne restera plus rien, même pas un os, tout aura été réduit à l'état de poussière. Ce n'est que le cycle de la vie après tout, tout redevient un jour poussière, ça sera juste un peu plus tôt pour eux.
En premier, il jugea bon de faire cramer le victime de la jeune femme, c'était bien la raison de leur venue, alors à elle l'honneur. Histoire d'être un gentleman, ce qui lui arrive assez peu souvent, il hisse le corps sur la table pour que ce dernier puisse glisser jusqu'à l'intérieur du ventre de ce brasier qui ne va pas tarder à s'allumer, quand il aura trouver comment ça marche. Sans mode d'emploi, il improvise en appuyant sur divers bouton jusqu'à ce que ça fasse quelque chose. Enfin, l'engin s'allume et un semblant de flamme très faible s'être allumée au fond. Il invite la demoiselle à appuyer sur le bouton et quand elle le fait, la petite porte du four ce ferme et quelques secondes après, des flammes intenses s'élèvent pour lécher le corps et le dévorer. L'opération doit durer un petit moment, alors il faut patienter.
Ce temps à attendre permet à la tueuse de poser des questions sur la victime de Chucky, soit le gardien. Non, il ne compte pas s'amuser avec lui, pas de torture. C'est vrai que même si c'est un sacré psychopathe, Charles ne fait pas dans la torture, il tue, c'est son petit plaisir, mais ne fait pas durer le plaisir sur des heures ou des jours. C'est la chasse et la peur que ça peut provoquer chez ses cibles qui l'excite. "Il va finir en viande grillée lui aussi quand le votre aura fini de cuir. Avant de le faire entrer, je le réveillerais. J'ai hâte d'entendre ces supplications et ces pleures quand il va se retrouver dedans !" Un petit rire au passage, car il faut l'avouer, ça l'amuse. Oui, il a un côté sadique, d'ailleurs, il ne contestera pas ce fait. "Je vous l'avez dit, le crématorium, c'est un bon plan pour faire disparaitre un corps sans laisser de trace !" L'avantage de réduire un corps en cendre, c'est qu'il n'y a plus aucune preuve pour les inculper et la police ne devinera jamais ou se trouve le corps, enfin les restes... "Vous voulez récupérer les cendres ?" demande t'il alors que le four bip pour indiquer que c'est terminé. Les flammes disparaissent et la porte s'ouvre. Regardant dedans, Chucky constate qu'il n'y a plus rien en dehors de la poussière... Réduire un cadavre à l'état de rien, merci la technologie !
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Son compagnon du soir adoptait une conduite digne d'un véritable gentleman, l'aidant à se débarrasser du corps comme s'il s'était agi de sa victime. Amélie en éprouve une forme de satisfaction qu'elle ne prend pas la peine de masquer, sachant pertinemment que ce serait une précaution de trop. Tous deux, pour des raisons obscures, semblent s'entendre sur ce point, et considérer ces deux hommes comme de vulgaires pantins, tout juste bon à assouvir quelques besoins meurtriers et passagers. C'est chose faite, à présent, et c'est désormais la basse besogne qu'ils sont bien forcés de faire, tout en se débrouillant pour rendre la chose moins ennuyante qu'elle n'y paraît.
- Je vous le concède, admit-elle spontanément lorsqu'il lui fit remarquer que le crématorium était une bonne idée.
En effet, l'idée était excellente. Et elle devait bien admettre que s'il n'avait pas été présent pour l'encourager à agir, elle se serait sans doute contentée d'abandonner le corps, ce qui aurait été bien moins prudent pour la sûreté de sa vie quotidienne et de l'anonymat relatif de la professeure de danse qu'elle continuait d'être, lorsqu'elle n'était pas… hantée par son passé, et par la terrible et froide araignée qu'était Widowmaker.
Son regard doré était obstinément attiré par les flammes, puissantes, redoutablement efficaces. C'était un spectacle macabre, qui avait quelque chose de fascinant. Mais, bientôt, le spectacle prit fin, le corps cédant progressivement la place à des cendres… quant à ces dernières, non, elle ne comptait pas les garder.
- Non. Les trophées ne m'intéressent pas.
Et pour cause, si elle avait vraiment dû garder un souvenir de chacun de ses crimes… eh bien, son château ne suffirait sans doute pas à recueillir tous ces souvenirs. Les êtres humains n'étaient pas des êtres qui l'intéressaient, d'ordinaire, encore moins lorsqu'ils étaient morts. Une fois qu'elle les tuait, ils perdaient tout intérêt, à ses yeux. Ils n'avaient été que des… outils, servant à expier le besoin de ressentir quelque chose, une pulsion de vie mêlée à une pulsion de mort, la fugacité d'une soif de sang, d'un désir de violence… qui n'étaient toujours que brefs, bien trop brefs. Et dès que cet instant d'extase s'estompait, elle retrouvait la froideur de ses émotions, la cruauté indifférente de son cœur qui ne battait plus, ou presque.
- Occupons-nous du vôtre, décréta-t-elle en l'aidant à placer leur seconde victime, puis en s'écartant pour lui laisser le soin de le réveiller.
Pour sa part, elle avait tendance à préférer le silence glaçant, mais elle ne comptait pas le priver de son petit plaisir sadique. Et une part d'elle était curieuse, également, de savoir comment ce pauvre gardien allait réagir en se réveillant dans cette position des plus terribles. :copyright:️ 2981 12289 0
Charles Lee Ray
▿ Ton univers : Chucky
▿ Date de naissance : 20/04/1990
▿ Age : 34
▿ Métier : Propriétaire d'une boutique de jouet
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur : Cette histoire tumultueuse entre nous... On s'aime, on s'aime plus, je te tue, tu reviens, je te tue encore... L'amour fou !
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ L'amulette de Damballa
▿ Rite vaudou scinder son âme
▿ Rite vaudou pour transférer son âme
▿ Trois poupées Good Guy
▿ Pseudo : Nono
▿ Avatar : Bill Skarsgård
▿ Copyright : Nono
▿ Autre(s) compte(s) : Nicolas Brown, Rin Yamaoka, Guts Berserker, Satoru Gojô, Hisoka Morow, Katsuki Bakugo & David Martinez & Askeladd L. A. Castus, Jellal Fernandes, Annie Leonhart, Zabuza Momochi, John Shepard & Chobei Aza
▿ Messages : 232
▿ Points : 839
▿ Date d'inscription : 25/03/2022
▿ Notes :
Mer 11 Jan - 1:00
Cette aventure imprévue, car on peut nommer cela ainsi, était en train d'arriver à sa fin. Le duo meurtrier étant entré dans le crématorium pour y faire bruler la victime principale. Une seconde s'étant ajoutée à la fête, soit le gardien de cet endroit. Triste sort pour cet homme qui ne faisait que son boulot, mais que voulez vous... inutile d'attendre de la clémence de la part d'un tueur en série psychopathe. Car oui, Chucky est clairement un psychopathe pour avoir massacré autant de personne tout au long de sa vie, sans avoir le moindre remord. Tuer, il aime ça et il a commencé très jeune en éliminant sa pauvre mère. Le plus drôle, c'est qu'il n'a jamais eu le moindre remord, c'est certainement ce qui le rend effrayant.
Dans le four se trouvait la victime d'Amélie. Le corps s'enflamma rapidement, les flammes léchant le corps jusqu'à le dévorer et ne laisser que de la cendre. On peut dire que c'est plus qu'efficace, il n'avait encore jamais vu un tel spectacle et il n'était pas déçu. Après quelques minutes, le four s'arrêta et la porte s'ouvrit sur un paquet de cendre que la jeune femme ne voulait pas récupérer. Ce n'était pas une sentimentale, lui non plus il faut dire. Charles a tué pas mal de monde dans sa vie, mais jamais collectionné des choses leurs appartenant. "Vous avez raison, les trophées ça n'apportent que des ennuis ! Faut être un sacré crétin pour conserver un objet de sa victime." C'est comme ça que des tueurs en série se sont fait chopper, car ils gardaient des preuves et se sont fait attraper comme ça, montrant ainsi toute leur culpabilité.
A présent, c'était à son tour de faire bruler sa victime. Eh bien, let's go ! L'homme sur le brancard devant le four se vit recevoir quelques baffes pour qu'il sorte de son sommeil. "Debout la marmotte, ça serait dommage de ne pas voir ce feu de joie !" s'amuse t'il à dire. Un petit appuie sur le bouton et hop le brancard glisse dans le four, l'homme commençant à paniquer et hurler, mais pieds et mains liés, il ne pouvait pas s'échapper. Le pauvre implorait la clémence du tueur mais jamais ceci n'a marché. Un nouvel appuie sur un bouton et la porte vint se fermer pour piéger le pauvre gardien. Quelques secondes après, les flammes firent leurs apparitions et le spectacle macabre débuta. Des cris de douleurs, c'était si beau à entendre ! Chucky se mit à rire en voyant la silhouette gigoter à travers le mini "hublot" de la porte du four. Puis assez rapidement, plus rien, plus de cris, plus de mouvement, juste le silence. "J'imagine que c'est terminé ! Plus qu'à éteindre le four et partir. Ni vu, ni connu !" Un beau boulot, c'était propre et sans accro. "C'est ici que nos chemins se séparent ? A moins qu'une demoiselle comme vous demande à un homme comme moi de la raccompagner ?" Elle semble se débrouiller toute seule et ne pas risquer de se faire agresser, mais si elle préfère qu'ils fassent un bout de chemin ensemble, ça ne le dérange pas. C'est si rare de croiser quelqu'un comme lui, quelqu'un qui tue sans pitié et sans avoir de remord.
"Step into my parlor", said the spider to the fly.Au moins, ces deux-là avaient en commun le bon sens. Ne pas laisser de traces inutiles, ne pas risquer de se faire attraper pour une raison aussi futile que celle de vouloir emporter un trophée, garder sur soi une trace de ses meurtres... Il fallait avoir l'égo bien fragile pour faire preuve d'un tel sentimentalisme. Widowmaker, autrefois, tuait par devoir. Par obligation, serait plus exact, mais également par égoïsme. En causant le dernier souffle d'autres, elle se sentait, ironiquement, plus vivante... Et lorsque l'on vivait dans un état d'apathie constante, toute émotion, aussi fugace soit-elle, était la bienvenue.
Mais ce n'était plus de son crime à elle dont il était question, à présent. C'était celui de Chucky qui importait désormais. Croisant les bras, elle prit appui sur le mur et observa le spectacle. Le sadisme dont il fit preuve en réveillant le pauvre homme lui fit esquisser un mince sourire. Ses yeux froids, cruels, observaient le visage tordu d'effroi de cet homme qui bientôt, ne serait plus que cendres et chair fondue. C'était une chose étrange que la brièveté de la vie humaine. Un instant, l'on pouvait se tordre et se débattre dans l'espoir vain de se sauver la vie. Et l'instant d'après, il ne restait plus rien. Au regard implorant du gardien, elle ne répondit pas autrement qu'avec indifférence. En fait, elle s'était désintéressée de lui. Elle s'intéressait à présent à son acolyte d'un soir, observant les émotions passer sur son visage. Toutes exaltées, toutes violentes... Elle s'y identifiait, sans pour autant pouvoir s'y reconnaître totalement. Ses émotions à elle étaient comme aseptisées. Celles de cet homme semblaient au contraire n'attendre qu'un prétexte pour se révéler au grand jour, dans toute leur monstruosité.
- C'était du beau travail, commenta-t-elle sobrement après que les cris du gardien se soient tus.
Ils venaient de condamner deux êtres à mourir dans le plus grand anonymat possible. Et aucun d'eux n'éprouvait de remords. Reportant son attention sur son interlocuteur, elle prit le temps de la réflexion, avant de vérifier l'heure. La nuit était avancée, mais l'aube ne tarderait pas à colorer le ciel de couleurs pâles.
- Je peux vous raccompagner en ville, proposa-t-elle finalement, consciente du fait qu'ils étaient venus avec sa voiture et que repartir à pied ne serait pas des plus confortables. Après ça... Nos chemins se sépareront, en effet.
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Mar 14 Fév - 14:50
C'était fini ! Un meurtre de plus parfait et bien orchestré par Chucky. Ça faisait du bien de tuer, de se dégourdir et d'apprécier les cris de sa victime. Oui, vous pouvez le trouver fou et cinglé, mais c'est un psychopathe, alors quoi de plus normal chez lui ? A l'époque ou il avait découvert avec Tiff qu'il avait un enfant, il avait bien essayé de stopper de tuer. Ce fut... un échec. Ni lui, ni sa jolie blonde n'étaient capables de s'arrêter de tuer. C'était tel un pulsion chez eux, incapable de se retenir et de s'arrêter. Personne n'est parfait ! Ils sont venus au monde comme ça. Ceci n'excuse par leur cruauté, bien sûr. Ne dit-on pas qu'il faut de tout pour faire un monde ? Sa comparse ce soir n'était pas mieux que lui. Elle avait assassiné sa propre victime pour une raison qu'il ne connaissait pas. Charles ne portait aucun jugement, chacun fait ce qu'il veut dans ce monde.
Cette affaire rondement menée, les victimes disparus en tas de cendre, ils n'avaient plus qu'à filer avant qu'on les découvre ici. La fin d'une soirée bien animée et qui aura largement divertit l'ex poupée tueuse. Il apprécia le compliment de la tueuse, elle avait fait du bon taff aussi. "Je te retourne le compliment ! Héhéhhé" le tout terminé avec un petit rire.
L'heure était à partir, il proposa de partir avec elle si elle le désirait. Elle ne craignait rien, il ne fera pas de mal à une personne comme lui. Au contraire, il trouvait ça fun d'avoir trouvé une comparse pouvant faire des malheurs. Peut-être qu'il pourra admirer ses crimes un jour dehors ? Vu qu'ils étaient venus ici en voiture, ils allaient donc reprendre son véhicule pour quitter les lieux. Ce qui était plutôt logique. "En avant alors, je te suis !" Dehors, il se retrouva sur le siège passager et la tueuse démarra le véhicule pour s'éloigner. Le trajet ce fit dans le silence, pas quelque chose de pesant, plus calme, comme si leurs pulsions meurtrières les avaient apaisés. "Je vais descendre ici. Sympa de t'avoir rencontré. Si un jour t'as besoin d'aide, hésite pas à venir me voir, je tiens une boutique de jouet." Un signe de tête et il quitta la voiture pour marcher dans la rue et s'engouffrer dans une ruelle et accéder à son immeuble. une belle soirée, il n'était pas mécontent d'être sortit, ça lui aura permis de s'amuser.