Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Lever les yeux vers le ciel, puis rêver à nouveau de voler ... C'était possible ici, Klaus m'avait donné l'adresse, d'un homme qui gérer un aérodrome, visiblement le copain de Klaus n'avait pas du tout fait bonne impression concernant cet homme, mais il avait tout de même gardé l'adresse. Bon ... Peu importe ce qu'il c'était passé entre les deux, moi, tout ce que je voulais, c'était voler ! je me rappelais encore lorsque j'étais petit, j'aimais accompagner mes parents à l'aérodrome, certes c'était le lieux ou il travaillé, mais j'étais déjà tellement pasionné à l'idée de pouvoir être aviateur, que je ne cessais de suivre mes parents. Oh évidemment parfois il y avait des colère, puis c'était le retour à l'école, et parfois mon père me prenait sur ses genoux, puis il me donné les bases ... J'en avais les larmes aux yeux rien que d'y penser. La soir, alors que je n'étais qu'un enfant, je voulais des histoires sur des aviateurs, mon destin était déjà tout tracé ... Jusqu'à ce que la plateforme ou se trouvé l'aérodrome, ne vienne à s'effondrer, mes parents avec ... Je pouvais encore me rappelé la tête du proviseur, lorsqu'il était venu me chercher, alors que j'étais en cours, les cris à l'extérieur de la ville, les hurlements, puis la tête du maire ... Sur le moment je n'avais rien réalisé, je n'avais pas compris, ce n'était pas possible, ce n'était pas vrai ... J'avais juste attendu ... Jusqu'à ce qu'un homme, un ami de mon père ne vienne le soir me chercher, pour me dire qu'il me prenait sous son aile, la, j'avais complètement craqué, comprenant que c'était fini ... Plus d'histoire, plus de rire, plus de taquinerie, je rentrais dans la guilde des historiens et plus jamais, mais alors plus jamais, je n'avais voulu entendre parler du mot "voler". Hors de Londres, effectivement grâce à Fang, j'avais repris confiance en moi, j'avais même enfilé une veste d'aviateur et c'était moi qui avait piloter, lors de la bataille finale ... Je ne mettais jamais senti aussi vivant ! alors oui, je voulais voler à nouveau. Avançant à pas lent en direction de l'aérodrome, j'admirais celui-ci ... Un sourire aux lèvres, j'en avais aussi les larmes, mais en rien je n'allais reculer. Je regardais l'immense bâtiment, me tordant les doigts, avant de enfin oser rentrer. "Il y a quelqu'un ?" dis-je en continuant d'avancer "Il paraît que ... Poe Dameron travaille ici et j'aimerais le rencontrer ..." dis-je tout en continuant à chercher à l'intérieur du bâtiment, hésitant entre avancer et reculer, mais de quoi avais je peur ? Je devrais être heureux ! Rien à faire, j'avais tout de même une boule au ventre, c'était tellement de souvenirs.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Jeu 17 Mar - 20:52, édité 2 fois
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Dim 21 Nov - 18:29
La tête dans les nuages
De retour sur le plancher des vaches, Poe éprouve toujours ce même sentiment diffus et contradictoire. Dès lors qu’il a appris à dompter ces engins volants d’un autre temps qui étaient bien les seuls que l’on pouvait espérer trouver ici, il avait été quelque part ravi de pouvoir ne serait-ce que retrouver la sensation de s’élever au-dessus de la terre ferme, mais avait dans le même temps été frustré de ne pouvoir s’élever plus haut encore. A l’évidence, il y avait une différence remarquable entre ce qu’il expérimentait autrefois et faisait qu’il pouvait se considérer comme un pilote et ce qu’est sa vie à présent. Il a appris à s’en satisfaire, mais il reconnaît que son X-Wing lui manque de plus en plus tout de de même.
Après un atterrissage réussi, Poe rejoint le hangar afin de garer son avion, une nouvelle acquisition en attendant de savoir si le Gulfstream qui avait jusqu’ici été son favori serait susceptible d’être réparé ou non. Il espère que oui, mais dans le fond, il n’en sait absolument rien. Aloy Soybeck, cette jeune femme intrigante et finalement pleine de ressources qui s’était proposée de l’aider n’avait encore guère eu le temps de s’intéresser à ce projet de plus près et il n’est pas certain que toute son expertise y suffira. Quoi qu’il en soit, il n’est plus rancunier quant à ce qui s’est passé… Il se contente de faire le constat de son quotidien. Et le fait est que c’est un quotidien qui lui plaît. Ici et maintenant, force lui est de le constater et de le reconnaître, il a exactement tout ce qu’il souhaite. Tout ce qu’il n’aurait peut-être jamais eu dans son autre vie.
Il est heureux dans son quotidien, que ce soit dans la vie qu’il partage avec Finn que par bien d’autres aspects. Il a l’homme de sa vie à ses côtés, il a un métier qui lui plaît, il ne subit plus la menace constante qui pesait sur la résistance autrefois, il a retrouvé BB-8, il a même retrouvé sa mère… Que pourrait-il décemment demander d’autre ? A la vérité, il est aux anges… Et quelque part, il n’a peut-être plus besoin autant qu’avant de se perdre dans l’infinité de l’espace, même si ça lui manque. Tout ce dont il pourrait bien avoir besoin, il l’a à portée de main. Tout ce dont il a besoin se trouve sur la terre ferme. Et il le sait.
Talonné de BB-8, il fait quelques vérifications d’usage sur les différents avions dont dispose l’aérodrome, une inspection d’usage bien évidemment nécessaire, quand il entend une voix masculine se répercuter en écho. Quelqu’un demande à le voir. Poe, son robot astromécano roulant non loin de lui, décide de se rapprocher pour découvrir d’où vient la voix. « C’est moi-même », dit-il en se signalant au jeune homme, à qui il adresse un sourire avenant avant de tendre la main afin que son interlocuteur ait le loisir de la serrer. « Poe Dameron », se présente-t-il tout en sachant donc que c’est tout à fait inutile. « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »
Deux options : il pilote déjà et veut louer un avion, ou bien il est là pour un baptême de l’air (ou une troisième option qui échappe à Poe). Dans tous les cas, Poe est très curieu de savoir à qui il a affaire.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
J'avais passé trop de temps dans le musée à rêvasser, faire le ménage, écouter le bruit des machines, les ventilateurs, le brouhahaha des ferrailleurs, puis la ville, Londres qui course les petits villes, dans le seul but de les dévorer. A cette pensée, j'eu un soupire, c'était un tout autre monde, je venais de ce monde post-apocalyptique. L'héritage de mes parents étaient bien mince, à peine de quoi couvrir mes études, et je voulais tout faire pour, pour qu'ils soient fiers de moi, peu importe ou ils se trouvé, seulement je voulais apprendre à voler, je n'étais pas fait pour rester enfermer dans un musée, encore moins faire du ménage, si c'était ça, appartenir à la guilde des historiens, alors non ... Puis j'avais rencontré Hester et je mettais senti tellement important ... A la guilde des historiens, je n'étais que de troisième rang, en gros, je pouvais être écrasé plus bas que terre, c'était ce que faisait l'un des premiers rang d'ailleurs, c'était lassant et ça amusé les autres ... Non, à la guilde des historiens, je n'étais que l'orphelin, on pouvait marcher sur mes pieds, m'écraser les doigts, je n'avais personne pour me défendre. Aviateur, oui, c'était ça que je voulais, alors dès que Klaus m'avait parlé de cet aérodrome, je n'avais pas hésité, je devais m'y rendre, puis parler à Poe Dameron. Ayant passé les portes, je cherché celui-ci du regard, il n'y avait personne ... Hum ... Je l'appelais puis j'entendis un bruit de bipbip, et c'est la que j'aperçus un homme, talonné par un petit robot, ce qui eu le don de me faire pencher la tête sur le côté, sourire et en même temps, d'être encore plus curieux. Qu'est ce que c'était que ce petit robot ? Puis les bipbipbip, c'était comme ci il communiqué avec l'homme en question. Puis je sorti de mes pensées, lorsque l'homme pris la parole, me tendant la main. Lui serrant la main, j'hochais la tête, souriant lorsqu'il se présenta "Tom Natsworthy monsieur" hum les vieilles habitudes ... J'avais tellement eu cette habitude de m'écraser devant les plus grands, enfin ... Dès que je voyais quelqu'un qui avait de l'importance, qui avait un métier, qui était plus vieux que moi, je me devais de m'écraser enfin ... La force de l'habitude ... "Alors si je suis la, c'est parce que ... En faite petit, mes parents m'emmené à l'aérodrome et j'ai toujours rêvé de voler ... J'ai des bases mais ... Enfin j'aimerais apprendre à voler". Parce que mes parents n'avaient jamais eu l'occasion de m'apprendre ... Oh non je ne devais pas repenser à ça, seulement qu'est ce qui se serait passé, si il n'y aurait pas eu cet accident ? Non je ne devais pas penser à ça, je relevais alors la tête, tentant de sourire à l'homme.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Dim 5 Déc - 19:00, édité 1 fois
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Sam 4 Déc - 12:14
La tête dans les nuages
feat. Tom
« Monsieur », l’appelle-t-il au moment de se présenter. La politesse n’est clairement pas nécessaire, mais Poe doit reconnaître qu’il aurait tendance à l’apprécier malgré tout. Plus tard, il suggérera à Tom de ne pas être trop procédurier quand il s’adresse à lui, mais pour le moment, cela l’amuse plus qu’autre chose, à dire vrai. Il semble avoir affaire à un jeune homme tout à fait poli et courtois, et il ne crache pas dessus. Par ailleurs, il constate que la présence de BB-8 n’a pas échappé au jeune homme (en même temps, le petit droïde fait toujours son petit effet quand il y a des visiteurs, ce que Poe considère comme un bon argument de vente. De toute façon, même si ça n’en avait pas été un, la chose n’aurait pas été négociable : le droïde astromécano l’accompagne partout où il va, pour compenser toutes les fois où il n’a pas été en mesure de l’accompagner, somme toute.
Le jeune homme lui apprend alors les raisons de sa visite : semble-t-il que voler est un grand rêve pour lui, et depuis toujours. En bref, il veut prendre des cours de pilotage. Il a frappé à la bonne adresse, sans l’ombre d’un doute. Poe est toujours ravi de transmettre sa passion, même s’il préférerait largement apprendre à tout un chacun à piloter des X-Wing plutôt que de bêtes Gulfstreams, mais ça c’est évidemment une autre affaire.
« Ça tombe bien, c’est ce que j’enseigne », dit-il avec un sourire amusé, car si on l’a recommandé à ce jeune homme, c’est bien que ce dernier sait déjà qu’il donne des cours de pilotage. « Tu as déjà quelques connaissances dans ce domaine ou pas du tout ? » demande-t-il en suite en considérant son interlocuteur de haut en bas, de bas en haut.
Ce simple regard ne le renseigne pas tant que cela sur son interlocuteur, mais il n’en est pas moins impatient d’en apprendre plus à son sujet. Ceux qui partagent sa passion naturelle pour le vol ont tout naturellement sa faveur, et il ne demande qu’à en entendre davantage sur son histoire en plus de son expérience. Et s’il doit partir de zéro ? ça ne le dérange pas non plus.
C’est parfois quelque chose de laborieux, et certains finissent par réaliser qu’ils ne sont pas faits pour manœuvrer de tels engins, tout compte fait, mais l’un dans l’autre, il lui est arrivé assez souvent d’entretenir des passions ou même de créer des vocations… ce n’est à ses yeux pas tout à fait aussi glorifiant ou valorisant que d’être général pour la Résistance, mais c’est quelque part agréable, en revanche, de constater que la Résistance en question n’est jamais plus que de l’histoire ancienne. Encore qu’il serait assez difficile de présumer à l’heure actuelle des dangers – ou non – que représentent certains des acteurs de cette nouvelle vie. Par bien des aspects, celle-ci demeure incertaine, et y trouver son compte ne signifie pas qu’elle soit exempte de dangers.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
A la guilde des historiens, on nous apprend la politesse, et disons qu'il est préférable d'être encore plus poli, lorsqu'on est un troisième rang et orphelin. Quand je gagné en grade, par exemple de faire du ménage voir surveiller le musée, bien souvent, il y avait un élève de la guilde, qui faisait en sorte que je me fasse rétrograder ... Sans doute Miliphant qui les envoyer, et hop, je finissais à nouveau dans les entrailles de la ville, recouvert de crasse, à chercher des les débris, quelque chose que le musée pourrait conserver. Alors oui, j'étais sans doute trop poli, mais j'en avais pris l'habitude, à l'université, ça avait pas mal fait rire les élèves ... Oui visiblement dans cette ville, être trop poli, ça fait pas assez viril, un truc comme ça ... Les gens sont bizarres, à moins que se soit moi. Disons que ça pouvait aussi être moi, car combien de fois j'avais entendu "Tom cesse de rêver", "Tom le ménage ne se fait pas seul" , "Tom tu es encore dans les nuages ?" ... Parlant nuage, j'avais bien envi de les voir de plus près, et j'eu un sourire, heureux de rencontrer de suite Poe Domeron, l'homme qui pourrait me donner des cours de pilotage. A la question de l'homme, je fus honnête "Alors mes parents étaient des pilotes, j'ai appris avec eux, enfin quand j'avais le droit venir jusqu'à l'âge de six ans et ... Il y a quatre ans, enfin dans mon monde, j'ai appris à piloter, enfin les bases, par contre je ne sais pas si c'est les mêmes machines que ici ... " , encore une fois, c'était compliqué, devais-je dire à cet homme que si j'avais piloté il y a quatre ans, c'était surtout parce qu'il y avait aussi danger ? C'était quelque chose qui me semblait si loin, et à la fois si proche ... Je regarde alors les appareils qui se trouvent dans l'aérodrome rêvassant à nouveau ... Avec Fang et Hester, nous avions voyager à travers les nuages, c'était si beau, j'avais regardé le ciel avec un tel émerveillement, puis j'avais reçu Jenny Haniver en héritage, oui, c'était encore beaucoup en peu de temps, et j'avais fait honneur à Fang en stoppant Londres, une idée folle, mais une idée que j'avais eu grâce à des livres, comme quoi, ça n'avait pas été si mal que je sois historiens. "C'est Klaus qui m'a parlé de vous, comme quoi vous étiez pilote, alors je suis de suite venu, enfin dès que j'ai pu ... "ouais je parlé trop comme j'en avais l'habitude. "C'est vos appareils ? C'est vous qui avez construit ce petit robot ?" dis-je tout en regardant le robot orange et blanc, qui semblait comprendre ce qu'on lui disait, par Quirke ! je n'avais jamais vue ça.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Sam 11 Déc - 19:49, édité 1 fois
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Mar 7 Déc - 21:31
La tête dans les nuages
feat. Tom
Les parents de Tom étaient donc pilotes, cette réponse fait sourire Poe. Si quelqu’un est capable de comprendre qu’une telle passion, une telle vocation, puisse naître de celle d’un parent, c’est bien lui. Il est certain qu’il ne serait jamais devenu pilote si sa mère ne l’avait pas été elle-même et s’il n’avait pas été si soucieux de marcher sur ses pas. Au bout du compte, il avait adoré ça, sincèrement adoré ça, mais il est vrai que dans un premier temps, son intention avait été de faire survivre le souvenir de sa mère par ce biais bien précis. A l’âge de six ans, donc, il avait déjà quelques bases, et ça leur fait encore un point commun. Poe lui-même n’avait que six ans quand il s’installait sur les genoux de sa mère, à bord de son X-Wing, pour apprendre les bases du pilotage. Définitivement, ce garçon lui plaît déjà de par ses motivations.
« Ça, ce sera à toi de me le dire. Les engins que je pilotais avant mon arrivée ici étaient aussi très différents de ceux qu’on trouve dans ce monde, mais on finit par s’adapter et prendre le pli rapidement, tu verras », répond Poe avec enthousiasme quand Tom lui fait remarquer qu’il n’est pas sûr que les machines qu’il a appris à piloter sont les mêmes qu’ici. Il y a de bonnes chances qu’il n’en soit rien, mais qu’importe, il n’est rien que l’on puisse apprendre avec un semblant de bonne volonté. « Klaus ? » il demande au moment où son interlocuteur lui dit que c’est de cette manière qu’il a entendu parler de l’aérodrome. « Je dois dire que je ne vois pas qui c’est, mais il t’a envoyé à la bonne adresse, en tout cas », assure Poe qui ne se formalise pas du fait de ne pas savoir qui est ce Klaus.
Il est tout à fait possible qu’il ait oublié, il ne possède pas forcément la mémoire des noms la plus redoutable qui soit, ou bien il veut croire que le bouche à oreille a juste très bien fonctionné (ce qui est le cas puisque Klaus l’a entendu de Mutt – et au final, c’est sans doute pas plus mal que Tom se soit présenté comme un ami de ce Klaus qu’il ne connaît pas plutôt que de Mutt – qu’il connaît un peu trop bien).
« Je te présente BB-8, c’est mon droïde astromécano et mon assistant », dit-il tandis que le robot adresse à Tom quelques « bip » enthousiasme. « J’aimerais dire que je l’ai façonné de mes propres mains mais ce n’est pas le cas : je l’avais déjà dans mon ancienne vie, je l’ai retrouvé assez récemment ici. C’est un petit génie de la mécanique, bien plus doué que moi, vraiment. » Il reporte son attention sur Tom. « Alors, dis-moi quels genre d’engins tu avais l’habitude de piloter, ou que tu connais en tout cas, que je vois si ça me dit quelque chose ou pas », suggère-t-il avec la meilleure humeur du monde.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Alors j'étais en train de parler, de la façon dont j'avais appris à piloter, quelque chose me fit assez mal à l'idée de parler de mes parents, puis de leur disparition ... Enfin la guilde des historiens m'avait pris sous son aile, certes mes études avaient été payé en avance, mais ... Bref, j'avais trouvé une famille ou me réfugier, même si il y avait toujours des brutes, qui aimaient se vanter des richesses de leurs familles, c'était d'un pitoyable. Alors pour cet homme, c'était la même chose, ce qu'il piloté avant d'arriver ici, était très différent de ce qu'il pouvait piloter dans ce nouveau monde, ouf, je me sentais moins seul et en même temps ... J'étais curieux, dès qu'il s'agissait de piloter, d'aviation, de suite, j'avais le sourire aux lèvres, et je voulais en savoir encore et toujours plus. "Oh ? Et c'était quoi ? A quoi ça ressemblait ? Vous pouviez aller dans l'espace, comme les anciens ?" puis je me rendis de mon nombre de question, et je baissé la tête, me passant une main dans les cheveux, hum oui c'était gênant ... Enfin dans ce cas, j'allais faire comme il venait de me dire, me faire aux engins qui étaient présents. J'en profitais pour glisser que c'était grâce à Klaus, que j'étais venu à lui, seulement, il ne semblait pas le connaitre ... Après Klaus m'avait dit que ça venait de son homme ? Ouh je ne savais plus, ça avait été une journée tellement folle ! puis j'eu un nouveau sourire aux paroles de l'homme, j'avais bien hâte d'apprendre à piloter, ça m'avait manqué, presque trois ans sans piloter, j'y avais tout de même rapidement pris goût. Devant le robot orange blanc, l'homme me fit les présentations et je laissé échapper "Incroyable !" tout en continuant de regarder le petit robot, qui laissé échapper des "bip" comme ci il était heureux, j'écoutais Poe tout en restant sur les fesses à ses paroles. "Une intelligence artificielle ? Je croyais que c'était un mythe des anciens ... C'est ... Formidable ! et c'est vous qui l'avez créer ... Ouahou !" j'avais encore du mal à me détacher du petit robot, enfin BB8, tellement j'étais époustouflé devant le talent de cet homme. Je fini tout de même par le suivre, pour regarder les engins autour de moi, les regardants les uns et les autres, je me mordillais la lèvre inférieur, réfléchissant. "Dans mon monde, nous avions des dirigeables ... Seulement il y en avait des complexes, tout dépendait de la personne qui l'avait conçu ... Mon vaisseau s'appelait le Jenny Haniver et il y avait un immense tableau de bord, enfin c'était un héritage bref" c'était délicat ... "Peut-être que je devrais essayer sur un aéronef ?" c'était un petit engin, mais justement, autant commencer petit, il ne servait à rien de commencer trop dur, après, ne jamais sous estimé la taille de ce genre d'engin, c'est que ça pouvait en avoir dans le ventre.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Lun 13 Déc - 22:16, édité 1 fois
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Dim 12 Déc - 19:05
La tête dans les nuages
feat. Tom
« Les anciens ? » répète Poe avec un sourire amusé. « S’il te plaît, je ne suis pas si vieux », répond-il alors tout en sachant bien sûr que cela devait naturellement faire référence à quelque chose de plus particulier, de plus spécifique, quelque chose qui a trait à l’histoire du monde de Tom, une chose que Poe ne sera donc pas capable de comprendre, même s’il est évidemment curieux. « Oui, je pouvais aller dans l’espace, partout à travers la galaxie… »
Il laisse passer un temps de silence après cette réflexion. Il lui est difficile, pour tout dire, de parler de tout ce temps qu’il a passé à sillonner l’espace, de planète en planète. Tout ça, à présent, c’est fini, et il le sait… Il a parfois l’espoir de le retrouver, mais plus le temps passe, et moins il le croit. Et en parallèle, il a le sentiment que cet endroit est le plus susceptible de lui apporter ce dont il a besoin, et il ne se voit pas y renoncer, pas complètement, en tout cas : mais oui, cette vie qui vous arrête aux frontières d’une terre qui semble à la fois infinie et en même temps limitée est une chose difficile à supporter. Mais bien sûr, il ne va pas discuter de ses états d’âme avec son interlocuteur. La dernière chose qu’il veuille, c’est décourager son interlocuteur, alors qu’il sent bien que ce dernier est venu le voir avec la meilleure volonté du monde.
« Non, je te l’ai dit, ce n’est pas moi, mais c’est vrai qu’il est plutôt formidable », confirme Poe avec un sourire ravi tandis que, à côté de lui, BB-8 émet un bip de contentement. Il aurait sans doute eu un peu plus de difficultés à se faire à ce monde s’il n’avait pas retrouvé BB-8. Certes, il aurait su s’en satisfaire, tant que Finn faisait partie de sa vie, mais à l’évidence, ce charmant tas de ferraille lui aurait plus que terriblement manqué. Il s’est habitué à sa compagnie, en toute circonstance, il ne se verrait clairement pas vivre sans.
Il lui apprend que dans son monde, il y avait des dirigeables, autant dire des machines que Poe n’a pas connu, même s’il peut éventuellement identifier certains modèles de vaisseaux à une telle vision. Mais c’est parce qu’il s’est renseigné sur les engins aériens disponibles sur cette planète qui est le dénominateur commun de nombreux habitants de l’île. Il sait à peu près comment fonctionnent les dirigeables, même si lui-même n’en possède pas dans son aérodrome.
« Si vous avez l’habitude des dirigeables, vous allez être dépaysé, c’est clair. Mais l’aeronef est une bonne suggestion », confirme Poe, d’autant que ça fait partie des engins qu’il possède (ainsi donc, Tom s’est bien renseigné avant d’arriver. « Il faudra dans tous les cas un certain nombre de cours théoriques avant de passer à la pratique directement, mais si vous voulez, je peux vous emmener faire un tour, comme ça je vous présenterai les commandes de cette petite merveille ? » suggère-t-il, plein de bonne volonté et surtout toujours impatient d’avoir l’une ou l’autre occasion de voler un peu.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Je rougi de suite aux paroles de Poe, tout en me rendant compte de ce que je venais de dire. "Oh euuuuh ... Non je voulais dire ... Non pas ancien dans le sens vieux, juste c'est un terme qu'on utilise dans le monde d'où je viens, il y a eu une apocalypse et du coup il a fallut recommencer enfin désolé je m'emmêle mais non vous n'êtes pas ancien m'sieur, enfin vieux". Tenter de rougir plus, ce n'était pas possible, je venais de battre le record de la tomate, et je ne savais vraiment plus ou me mettre, que je réfléchisse avant de parler, pensais-je en me donnant une claque mental. Alors que l'homme me confirmé que effectivement, il pouvait aller dans l'espace, voir partout dans la galaxie, la je doutais que les anciens, enfin les anciens de mon monde en soit arrivé à une telle technologie ... Au musée je savais qu'il y avait eu des recherches, l'homme était allé sur lune, même plusieurs fois, il y avait mars, tout en continuant d'étudier les autres planètes, de même que les galaxies mais ... Non de la à voyager à travers les galaxies non. "Oh dans ce cas ce n'est pas le ... Enfin le même monde d'où je viens" dis-je tout en baissant la tête, en ayant déjà assez dit comme ça, on arrête de mettre les pieds dans le plat Tom, ça devenait complètement gênant. Puis tout en m'attardant sur le petit robot, j'écoute la réponse de Poe, tout en hochant la tête "Oh oui m'sieur" dis-je avec un sourire, tout en regardant le petit robot qui émettait des bips. J'en avais trop dit, comme d'habitude j'avais trop parlé, la honte ... Heureusement, l'homme ne semblait pas vouloir me mettre à la porte, puisque celui-ci, me dit de regarder autour de moi, les appareils qui mettait les plus familiers, me faisant à présent tout petit, je n'allais pas en rajouter une couche, et je regardais attentivement les engins, même si le mieux, serait que je regarde aussi les tableaux de bords. Alors que je proposé l'aeronef, j'eu enfin petit sourire victorieux, lorsque l'homme me dit que c'était une bonne suggestion, un peu comme un enfant, à qui l'on vient de dire bravo, enfin oui, j'étais fière de moi, j'avais donné une bonne réponse même si bon, en faite c'était surtout de la logique par rapport à mon passé entant que pilote, et ce que j'avais connu, mais silence Tom, chut tu parle trop. Et alors ce que me propose l'homme, aurait presque pu me faire tomber sur les fesses, voler ? "Oh oui se serait vraiment formidable, ça fait longtemps que je n'ai pas voler et ... Se serait un tel bonheur, puis aussi d'étudier, évidemment, car je suis la pour ça, étudier, apprendre à piloter et je ferais tout pour être un bon pilote !" dis-je sérieusement, des paroles venant du coeur, et aussi, parce que quelque part, c'était sans doute dans mon sang.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Sam 18 Déc - 21:17, édité 1 fois
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Mer 15 Déc - 19:27
La tête dans les nuages
feat. Tom
Poe s’amuse beaucoup de voir l’embarras de Tom quand ce dernier redoute de l’avoir offensé quand, en réalité, il ne est rien. Le voir ainsi se dépêtrer afin de lui faire comprendre une chose qu’il a déjà largement deviné amuse beaucoup le pilote, il faut bien le dire. Ceci dit, ses propos ont le mérite de confirmer ce que le pilote supposait déjà, à savoir que Tom faisait référence à quelque chose venant de son monde… Il ne donne pas vraiment de détails, mais en se fiant à ce que Tom lui apprend seulement, Poe comprend qu’il a dû avoir la vie dure. Il est né dans un monde nouveau, reposant sur les fondations branlantes d’une apocalypse. Il en a vues beaucoup, des civilisations similaires, alors qu’il sillonnait la galaxie : des planètes entière que l’égide du Premier Ordre avait rendues inhabitables, invivables, et qui avaient dû se renouveler du mieux qu’ils le pouvaient.
« Je préfère ça », affirme alors le pilote d’un ton amusé en donnant une tape amicale dans le dos de Tom quand ce dernier insiste afin de bien lui confirmer que non, vraiment, il n’est pas vieux du tout, vous pensez bien. « Et non, on est probablement pas du même univers, je te le confirme… Je suis habitué à ce que ce soit pas le cas », ajoute-t-il d’un ton léger tout en ayant tout de même conscience du fait qu’il restait chanceux à sa manière.
Certes, il n’avait jamais connu la Terre, cette planète dont tant d’habitants de cette ville paraissaient provenir et dont il apprivoisait l’histoire – variable – au gré de ses rencontres, mais il a tout de même la chance d’avoir retrouvé beaucoup de personnes de son univers, chose que beaucoup d’autres, se sentant seuls et désœuvrés, lui envieraient sans doute.
« Je n’en doute pas », affirme Poe avec un sourire en coin face à l’enthousiasme de son interlocuteur qui, clairement, ne manque pas de faire preuve d’un enthousiasme et d’une bonne volonté à toute épreuve.
Poe, très naturellement, possède une certaine indulgence avec les fortes têtes et les tire-au-flanc, peut-être parce qu’il se reconnaît en eux, mais il sait avoir de la sympathie pour les gamins de bonne volonté, et plus encore au moment de vouloir leur mettre du plomb dans la cervelle. Au moins, il est à peu près sûr qu’il écoutera ses enseignements.
« Pour commencer, on va sortir la bête du hangar », dit-il.
L’instant d’après, il met Tom à contribution afin d’ouvrir grand les portes et de tirer l’avion jusqu’à la piste de décollage adéquate.
« Avant le décollage, toujours inspecter l’avion. Quels sont les éléments à vérifier impérativement, tu le sais ? »
Ce n’est pas la partie que Tom préfère, l’étape de prévol, évidemment, mais elle n’en est pas moins indispensable si l’on veut quitter sereinement le plancher des vaches. Il n’y a que de cette manière que l’on pourra espérer voler en toute sécurité. Pas que la sécurité soit l’impératif premier de Poe, mais il sait faire des efforts quand il a un passager, encore plus quand le passager en question est un futur élève.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Trottinant, enfin suivant l'homme, même si on pourrait croire un enfant qui suit un adulte, je me faisais le plus petit possible, pour éviter les ennuis. Pour commencer, je parlé trop, je devais apprendre à me taire, ce qui n'était pas évident, mais ... Je pouvais essayer ... L'homme était peut-être plus petit que moi, mais disons qu'il arrivé vraiment à en imposer. J'osais à peine sourire, lorsque Poe me dit qu'il "préféré ça" oui, bon je mettais rattrapé comme je l'avais pu, ça n'avait pas été simple ... A la limite, c'était comme patauger dans la semoule, bon cette expression était bizarre, mais je me comprenais. Très bien, ainsi l'homme ne venait pas du moment univers que moi, il n'y avait plus aucun doute, d'ailleurs je ne cherché même pas à savoir davantage, je préféré le laisser en paix et me taire, j'avais bien trop peur de sortir une autre bêtise, ce n'était pas le moment, pourtant je devais me mordre la langue, pour éviter de me montrer curieux, puis de poser des questions, concernant son "monde". Puis lorsque Poe me proposa de voler, je cru que j'allais m'évanouir par le bonheur, ouahou, ouahou, ouahou !!!! je n'avais pas d'autre mort pour décrire ce que j'étais en train de ressentir, j'étais même sur le point de sautiller sur place, mais je me rappelais que je devais garder mon sérieux, pour faire une excellente impression devant cet homme, que j'avais dit "anciens" la honte. J'hochais la tête aux paroles de Poe, et ni une ni deux, j'aidais celui-ci à sortir "la bête" du hangar, admirant l'aéronef avec un immense sourire ... J'avais tellement rêver de devenir aviateur, puis j'étais rentré à la guilde, alors j'avais du abandonner ce rêve, jusqu'à ce que je me retrouve pilote de Jenny Haniver, en faite, c'était comme ci ma place avait toujours été dans les airs. Je m'y sentais à ma place, voler à travers les nuages, d'ailleurs, avant la grande bataille, j'avais retiré ma veste de la guilde des historiens, pour enfiler un manteau d'aviateur, c'était comme être un nouveau Tom. Puis à la question de Poe, alors la je me devais d'être excellent, bon je mettais sans doute trop la pression, je devais inspirer ... Ce n'était pas le moment de paniquer. "Alors je dirais qu'il est important de vérifier les roues, l'état de l'avion en général, comme les ailes, que rien ne soit abîmé, même pas un petit détail car c'est tout est très important lors d'un vol, la propreté, les soins, il ne doit pas y avoir de fuite, le niveau des attaches des boulons ...." j'étais essoufflé tellement j'avais parlé à la suite sans faire aucune pose "Le cockpit, niveau d'huile, d'essence enfin on ne peut décoller comme ça" , évidemment je n'avais pas non plus tout retenu, puis il y avait tellement de chose, tout dépendait aussi des engins en questions, mais je savais que ça demandé beaucoup de soins, il fallut bien s'y connaitre en mécanique, mais la dessus, je n'étais pas trop perdu, car j'adorais ça !
Dernière édition par Tom Natsworthy le Mar 4 Jan - 13:15, édité 1 fois
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Dim 19 Déc - 18:25
La tête dans les nuages
feat. Tom
Poe hoche tranquillement la tête tandis qu’il écoute son interlocuteur lui parler des différentes vérifications à opérer afin de pouvoir voler en toute sécurité. En effet, et même quand on vole tous les jours, ce n’est pas quelque chose d’anodin pour autant, loin de là, il faut bien en avoir conscience au moment de monter au volant de son engin. La moindre distraction, la moindre erreur de jugement, la moindre vérification hâtive peut aisément vous coûter cher quand vous vous élevez à une si haute distance du sol. Aussi, oui, chacune des vérifications que Tom suggère est en effet judicieuse.
« C’est bien, tu as déjà de bonnes bases. On va procéder aux vérifications ensemble, d’accord ? Que tu vois exactement comment procéder. »
Et ce faisant, pédagogue dans ces circonstances précises, il prend le temps de tout montrer et de tout expliquer à Tom tandis qu’ils font le tour de la bête, qui bientôt leur permettra de se donner le sentiment, un petit temps, de s’évader un peu. Cela ne durera bien évidemment pas très longtemps, mais le temps que cela durera, cela leur permettra de vivre pleinement une passion qu’il leur sait commune. C’est d’ailleurs sans doute pour cette raison que Poe éprouve naturellement et instinctivement une affection naturelle pour ce jeune homme enthousiaste et plein de bonne volonté qui l’accompagne. Il a le sentiment qu’il est autant que lui passionné par l’aviation, ce n’est pas quelque chose qu’il prétend ou feint, c’est quelque chose qu’il ressent vraiment profondément.
« Une fois qu’on a bien vérifié l’état de l’avion et les niveaux de carburant et d’huile, il faut remplir la feuille de travail de l’avion. Je vais te montrer comment la remplir. C’est un peu laborieux quand on a pas l’habitude, mais avec le temps, tu verras, tu feras ça les yeux fermés. »
Une fois toutes ses explications données, ils peuvent enfin monter dans l’avion.
« Une chose importante avant décollage : vérifier que toutes les commandes sont opérationnelles, que la radio est fonctionnelles et que les fournitures d’urgence sont à leur place. » Il procède à chacune de ses étapes une à une avant de tendre son casque muni d’un micro à Tom, qui leur sera indispensable durant le vol et leur permettra de communiquer. « Attache ta ceinture, on est partis. » Puis il s’adresse alors à la tour de contrôle. « Alpha Bravo, au seuil numéro trois, paré au départ », dit-il à travers la radio. Bien vite on lui répond. « Alpha Bravo, autorisé alignement et décollage. » « Alignons et autorisé décollage, piste 3, Alpha Bravo. » « Roger. » Poe tourne un regard amusé vers Tom. « Jargon d’aviateurs terriens, tu connais un peu ? » Il marque une pause. « Je t’apprendrai sinon. Allez, c’est parti, on décolle ! »
Quelques instants plus tard, l’avion s’engage sur la piste et, progressivement, décolle du sol pour prendre de la hauteur, jusqu’à ce que l’aérodrome ne soit plus rien qu’une petite tache en contrebas.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
J'eu un sourire aux paroles de Poe, ça me rappelait ce moment, ou Anna Fang m'avait dit de prendre les commandes, puis qu'elle m'avait affirmée que j'avais des bonnes bases. Dès que j'avais été au commande, je mettais de suite senti à ma place, plus que dans un musée, ça avait été comme révélation pour moi, oui, j'étais vraiment fait pour piloter, et non pour rester enfermer dans un musée. La sensation d'être libre, de voler, c'était quelque chose qui m'offrait beaucoup de bonheur et la, je n'étais pas maladroit, encore moins stressé comme je l'étais d'habitude, je devenais plus sérieux, bien plus attentif. J'hochais la tête, tout en suivant Poe, regardant avec intérêt tout ce qu'il faisait. Je prenais tout en note mental, ayant comme soif du moindre détails, rien ne devait m'échapper, je savais que c'était très important ... Puis je ne voulais vraiment pas décevoir Poe. A nouveau mon professeur repris la parole, et je pouvais dire que j'étais en train de boire, chacune de ses paroles. Une nouvelle fois, j'hochais la tête, souriant, je ne connaissais pas cette étape, alors évidemment, j'avais bien hâte d'en savoir plus. Je regardais Poe remplir le tout et à nouveau j'écoutais mon professeur, sans le couper. "Je ne connaissais pas pour les fournitures d'urgence, enfin nous n'en avions pas", oui je le disais, il n'y avait sans doute pas de quoi se vanter, seulement ça pouvait peut-être prouver que j'apprenais quelque chose en supplément ? Puis prenant le casque avec le micro, j'eu un sourire, me rappelant la toute première fois que j'en avais enfilé un. M'installant, j'attachais ma ceinture, d'accord, je ne connaissais pas non plus la ceinture, mais il me suffisait de copier les gestes de Poe, après tout, ce n'était pas bien compliquer d'attacher une ceinture. Maintenant que Poe venait de parler par radio, je regardais le tout avec une immense sourire, j'aurais encore tellement à apprendre, mais j'en avais les larmes aux yeux de retrouver tout ça, je ne pouvais que sourire, retrouvant le tableau de bord, les commandes, les divers boutons, il y avait des commandes en moins, des commandes en plus, c'était euphorisant, et je pouvais sentir mon coeur cogner contre ma poitrine, ayant déjà hâte de sentir la sensation de décollage. "Oui j'ai appris le jargon d'aviateur, il n'est tellement différent de la d'où je viens enfin je ne connais pas encore tout et ... Et ... C'est incroyable!" . Puis lorsque Poe lança la bête, ce n'était pas le mode décollage que je connaissais, il y avait encore plus de sensation et une fois dans le ciel "C'est magique ! je ne connaissais pas ce mode de décollage ... C'est ... " je regardais le tout, ça devenait petit, tout doucement mais surement et c'était beau, les nuages, c'était comme prendre un bain de pureté. "Je ne me lasserais jamais de voler, je me rends compte que en trois ans ça m'avait vraiment manqué" dis-je tout en regardant le paysage, mais aussi tout en regardant Poe piloter avec le plus grand intérêt. J'étais moi, j'étais bien, la tête dans les nuages comme on me disait toujours. Encore une fois je me disais, mais pourquoi l'homme se fait-il autant la guerre ? Alors que ce monde est si beau.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Ven 14 Jan - 23:34, édité 1 fois
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Jeu 6 Jan - 19:47
La tête dans les nuages
feat. Tom
C’est agréable d’avoir un élève attentif, et qui note mentalement tout ce que vous avez à lui apprendre, ce n’est pas tous les jours que ça arrive. Beaucoup s’en moquent ou décident de jouer les fortes têtes, et Poe, ça réussit à l’agacer – assez injustement en réalité, car s’il devait être à la place de l’élève, il est assez évident que lui-même n’en ferait qu’à sa tête. Et le protocole qu’il demande à Tom de respecter à la lettre est par ailleurs un protocole qu’il serait bien capable, de son côté, d’ignorer et de négliger au gré de ses caprices : deux poids, deux mesures ? Ah ça, je ne vous le fais définitivement pas dire ! Mais peu importe, en l’occurrence, Tom est à l’écoute, et c’est très bien comme ça.
Il lui apprend qu’il ne connaissait pas les fournitures d’urgence parce qu’ils n’en avaient pas d’où il vient. Et c’est bien dommage, parce que ces fournitures peuvent te sauver la vie, eh bien, en cas d’urgence, mais peu importe, un homme informé en vaut deux, et maintenant, Tom est au courant : il pourra donc aisément en prendre son parti. Toutes ces données établies, ils sont prêts pour leur premier vol, et à prendre de la hauteur. Et comme à chaque fois qu’il monte dans l’un de ces petits avions et décolle, Poe éprouve ce même sentiment de liberté et de sérénité qui l’apprécie tant.
Ça ne dure jamais qu’un moment, c’est vrai, mais comme c’est agréable. Oui, quand il sillonnait la galaxie, c’était encore autre chose, et ces sensations toutes particulières lui manquent, mais en attendant, Poe est tout de même ravi de pouvoir au moins prendre de la distance avec le plancher des vaches. Rien que ça, ça change tout. Quand on vole à cette hauteur, quand les habitants de la ville prennent la dimension de ridicules petites fourmis, alors on a la sensation d’avoir le monde à sa portée, même si ce n’est jamais qu’un leurre parmi tant d’autres.
La réaction de Tom, également, fait sourire Poe de plus belle, qui a tendance à se reconnaître en lui, même s’ils ont à l’évidence des caractères très différents. L’émerveillement qu’il affiche alors qu’il a tout de même eu l’habitude lui-même de piloter, c’est clairement pour lire ce genre de réactions sur le visage des personnes qu’il emmène dans ses coucous qu’il a décidé de faire ce métier plutôt que de simplement l’exercer en amateur.
« Je ne peux que je comprendre. On goûte une sensation toute particulière, quand on est ainsi dans le ciel, hein ? J’échangerai ça pour rien au monde. » Il affiche un sourire. « Tu vois le volant en face de toi ? C’est le système de copilotage, ça permet à l’accompagnant de prendre le relai si le pilote n’est plus en mesure de s’en occuper. Tu peux le diriger, vas-y. Par contre vas-y doucement, évite de nous faire faire un tonneau ou une chandelle d’entrée de jeu, je pense que ça vaut mieux pour nous deux. »
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Retrouver cette sensation d'être dans les airs, c'était quelque chose de très fort et beau, je ne pouvais vraiment décrire ce que je ressentais, j'étais si bien, en paix. Petit je voulais devenir aviateur, Londres était peut-être une immense locomopole, tout le monde le savait. J'avais appris des bases, puis il y avait eu cet accident, qui m'avait fait perdre gout à mon rêve. Ayant était inscrit à la guilde des historiens, mes parents, ayant mis le peu d'argent qu'il avait pour payer en avance mes études, bien disons que après leur mort, je n'allais pas aller contre leur volonté, au moins, il avait penser à mon avenir, même si il ne devait pas se douter qu'il y aurait ce terrible accident, en faite, j'aurais été avec eux au même moment, je serais sans doute mort, on ne pouvait prévoir l'avenir, eux avait tout de même penser à leur fils. Le fait de me dire que mes parents avaient penser à moi, déjà investir pour être sur que je ne sois pas dans la misère, c'était vraiment de l'amour, et je ne pourrais jamais les remercier. Tout en étant plonger dans mes pensées, je regardais les champs, les forêts, tout était si minuscule, j'eu un sourire, me disant que peut-être que mes parents me voyaient ? Peut-être qu'ils était même heureux pour moi ? Je ne le serais jamais ...
Je sort de mes pensées aux paroles de mon professeur, lui aussi adoré être pilote, je pouvais le voir rien qu'à son regard, voler était important pour lui, en faite ... C'était comme respirer, pour nous voler, c'était quelque chose dont on avait vraiment besoin pour vivre, on ne pouvait pas sans passer, sous peine de sombrer dans la mélancolie, voler c'était ... Oui ça faisait parti de nous. J'hochais la tête, lorsqu'il me dit si je voyais le volant en face de moi, à son explication, je fis des grands yeux et j'eu un immense sourire, piloter ? C'était comme la première fois que Anna Fang, m'avait proposé de piloter le Jenny Haniver, mon coeur ne cessait de cogner fort contre ma poitrine, puis tout en prenant les commandes, je pris une profonde inspiration, changeant doucement de cap, tout en tournant doucement et j'eu un sourire en redressant l'avion, voyant cette fois-ci la mer au loin, puis je montais davantage dans les nuages, comme pour prendre un bain de douceur, mais je n'allais pas plus haut, même si il est vrai que voler au dessus des nuages à quelque chose de fort agréable, je redescend doucement, reprenant l'ancien cap de mon professeur, je ne peux m'empêcher de sourire. "C'est une sensation que je n'aurais jamais cru revivre ... Puis cette avion est plus apte pour les changements de cap rapide, par rapport à mon Jenny Haniver, enfin il avait des autres qualités bien évidemment" loin de moi l'idée de critiquer le Jenny Haniver. "J'aurais aimer faire le tour de la planète ... Voyager avec Hester, ont avait commencé" c'était avant la lune rouge tout ça.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Jeu 20 Jan - 20:48, édité 1 fois
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Mer 19 Jan - 22:53
La tête dans les nuages
feat. Tom
Ce n’est pas à tout le monde que Poe autoriserait ainsi de s’emparer du système de copilotage aussi rapidement, mais Tom inspire d’entrée de jeu une certaine confiance au pilote, et il a envie de croire que ce dernier n’en abusera pas et saura profiter de cette chance. Après tout, ce n’est pas comme si Tom découvrait la voie des airs pour la toute première fois, même s’il n’est pas habitué à ce genre d’engin, il reste tout de même en territoire connu. Alors oui, il ne fera pas n’importe quoi, et s’il doit abuser du semblant de pouvoir que Poe lui accorde, ce n’est pas bien grave, le pilote pourra reprendre la main bien assez vite, au final. Il a suffisamment foi dans ses capacités pour s’autoriser à observer le potentiel de son interlocuteur sans paniquer d’entrée de jeu. Au vu de tout ce qu’il a déjà traversé, par ailleurs, on ne peut pas réellement dire que paniquer fasse véritablement partie de ses attributions. C’est même un état qu’il ne connaît que très peu en fin de compte.
Poe reste autant attentif à leur trajectoire qu’au comportement de Tom tandis que ce dernier s’empare des commandes. Le sourire affiché sur ses lèvres suffit déjà largement à convaincre le pilote qu’il a fait le bon choix en prenant la décision de lui accorder cette confiance qui laisse au jeune homme le soin de découvrir l’appareil, ainsi que s’il est à l’aise ou non dans ce contexte, et de toute évidence, il l’est. Il voit bien vite que le bonheur de piloter prend plus que largement le pas sur l’appréhension de faire les choses de travers. Doucement, il change de cap, tourne, lui adresse un nouveau sourire que Poe lui rend avant de prendre de la hauteur pour se retrouver au-dessus des nuages, puis de redescendre une fois encore et de s’ajuster plutôt précisément, il faut bien le dire, sur le cap que Poe avait décidé pour eux.
« On dirait que tu as fait ça toute ta vie », remarque Poe dans une exclamation appréciatrice. Comme professeur, il est entier, quand quelque chose ne lui va pas, il n’hésite pas à lui dire, en revanche, quand il s’agit de faire des compliments, il n’est pas le dernier non plus.
Tom lui confie que c’est une sensation qu’il ne s’imaginait pas revivre, et que les caps sont plus faciles à changer que sur son ancien vaisseau. Enfin… « vaisseau », toute proportion gardée, donc.
« Ici, malheureusement, on ne peut pas faire grand-chose à part le tour de l’île », remarque Poe d’un ton désolé. « Crois-moi, ce n’est pas faute d’avoir cherché à aller plus loin », ajoute-t-il d’un ton entendu, bien conscient du fait que son interlocuteur doit sans doute parfaitement le comprendre. « Qui est Hester ? » demande-t-il ensuite, d’un ton pas tout à fait innocent.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Alors que je suis dans les airs, à savourer ce moment, je ne peux que penser à Hester, et le début de notre long voyage. Quand elle m'avait demandé : et maintenant on fait ? Je lui avais répondu, qu'il n'y avait qu'à se laisser porter au grès du vent, puis elle avait ajoutée "du moment que je suis avec toi", j'avais tellement été heureux, je l'avais prise dans mes bras, elle ne m'avait pas rejeté mais bien au contraire, à son tours elle m'avait offert une étreinte, et ça avait été le plus beau moment de partage, qu'on avait pu avoir à la suite de ce long combat, qui avait bien failli terminer en guerre. J'avais à peine commencer cette vie de voyageur, que je mettais retrouver ici ... J'avais une boule à la gorge et les larmes au bords des yeux, rien que d'y penser. Je pouvais même dire que c'était douloureux à vivre, ça faisait mal et c'était pesant. Quand quelque chose ne va pas, quand quelqu'un nous manque, c'est comme ci on porter un poids en supplément, et ce qu'il était lourd ce poids.
Piloter me changer tellement les idées, c'était comme retrouver ma maison, regarder le ciel, garder le cap, changer de cap même, puis regarder l'horizon ... Ce que c'était beau ... J'aimais regarder le ciel, à présent je pouvais piloter à même ce ciel, c'était si bon, apaisant ... Mon professeur était calme, peu bavard, mais il était un bon professeur, d'ailleurs, je fus toucher par sa réflexion, le coeur plus léger, j'eu un sourire "Merci m'sieur, on m'a toujours dit que j'avais la tête dans les nuages, ce qui est vrai ... Je trouve que voir cette étendue de ciel, c'est comme lorsqu'on regarde l'océan, on s'y perd, on veut traverser, pour voir ce qu'on pourrait bien y trouver au bout" , c'était l'instinct des explorateurs, voyageurs, découvrir ! de mon côté, il y avait aussi du rêve et de la sérénité, piloter était un peu comme une drogue chez moi, ça avait un effet très apaisant. Faisant une remarque, concernant le Jenny Haniver et cet avion, je laissa échapper une information en supplément, sans même m'en rendre compte, ce qui prouvait à quel point j'étais à l'aise. Tout en continuant de regarder l'horizon, je sais que je ne pourrais échapper à cette question, surtout dans ce petit avion, mais c'était encore dur d'en parler, enfin ça le serait sans doute toujours. "Une amie ... Une amie très précieuse que je n'ai pas retrouvé ici" dis je tout en laissant échapper une larme, que je m'empressais de cacher, ma voix étant à présent tremblante. "Désolé cette information m'a échappée j'ai ... Hum". Vue les tremblements de ma voix, il était même préférable que j'arrête de parler.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Mar 25 Jan - 23:11, édité 1 fois
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Sam 22 Jan - 16:22
La tête dans les nuages
feat. Tom
A la fois attentif à leur trajectoire et à son co-pilote du moment, Poe voit bien passer sur le visage de son interlocuteur cette émotion singulière qu’il ne sait totalement identifier, le jeune homme semble avoir les larmes au bord des yeux : peut-être n’est-ce que l’émotion d’emprunter la voie des airs ? Ce serait un sentiment que Poe, mieux que personne, serait absolument capable de comprendre, vraiment, mais il a tout de même le sentiment qu’il ne s’agit pas que de cela, qu’il y a également autre chose, et cet autre chose, il n’est pas totalement capable de l’identifier pour le moment : peut-être de la nostalgie ? D’anciens souvenirs qui remonteraient à la surface ? Dans tous les cas, ce n’est pas à lui de l’interroger sur la question, au risque de le mettre mal à l’aise, et ce n’est évidemment pas son intention, pas le moins du monde, même.
« Ne m’appelle pas « m’sieur », j’ai l’impression d’avoir mille ans », fait Poe avec son proverbial sourire au coin des lèvres. « Appelle-moi Poe, ça fera très bien l’affaire », reprend-il, insistant. Ce n’est pas forcément l’idéal de ne pas tenir la distance de rigueur entre élève et professeur, mais en même temps, Poe se verrait difficilement, en ce qui le concerne, recevoir du « monsieur » ou du « professeur » à tort et à travers, il ne faut pas exagérer non plus.
Il veut bien croire que ce jeune homme ait toujours eu la tête dans les nuages, au sens propre comme au figuré, c’est quelque chose qui se constate assez rapidement chez lui, en réalité. Il voudrait se perdre dans l’infinité du ciel comme d’autre dans l’infinité de la mère. Le fait est pourtant que même le ciel a ses limites, c’est d’abord une notion difficile à intégrer, puis elle finit par s’imposer naturellement à vous au bout du compte.
Poe sent bien qu’il a touché un point sensible quand Tom lui parle de cette amie très précieuse qu’il n’a pas trouvé ici, cette fameuse Hester qui fait définitivement couler sur sa joue la larme qui coulait jusqu’ici. Immédiatement, Poe se prend d’affection pour ce garçon qui n’a définitivement pas eu la vie facile. D’accord, ils sont clairement en train de dériver du sujet, mais de toute façon, cette petite session de vol est plus informelle qu’autre chose, et Poe aime bien connaître les personnes avec qui il travaille. Après tout, ils sont partis pour passer beaucoup de temps ensemble, alors…
« Ne t’excuse pas », dit-il tout en reprenant les commandes de l’avion pour ajuster légèrement leur cap. « Et ne désespère pas, on finit toujours par retrouver nos proches ici, crois-en mon expérience », affirme-t-il du ton le plus confiant possible. « Si tu veux en parler… »
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
J'étais à la fois heureux et en même temps nostalgique, le ciel, il était si beau, si grand, si vaste. Petit je regardais celui-ci avec des étoiles plein les yeux, je voulais voler, comme les oiseaux, on me disait aussi que j'avais la tête dans les nuages, malgré un regard vert comme la verdure des plantes, vert, la couleur de l'espoir. Je souriais en repensant à ses souvenirs, pourtant, j'étais si nostalgique, alors que je n'avais pas à l'être, enfin je pouvais voler ! j'avais un professeur avec moi et je découvrais des nouveaux engins ! seulement ... Il me manqué encore quelque chose, Hester était tout pour moi, je n'avais qu'elle et elle n'était plus ici ... C'était pesant et même si j'étais en train de vivre mon rêve, je ne pouvais m'empêcher de penser à elle, son sourire lorsque l'on avait gagné cette bataille. Puis sortant de mes pensées, le Tom, petit Tom timide que j'avais toujours été repris parole, j'eu un petit sourire aux paroles de l'homme, ce qu'il me dit, je dirais aussi sa façon de le dire avait le don de me redonner le sourire, j'hochais alors la tête, n'ajoutant rien, car je ne savais pas encore ou était les limites, j'avais cette peur de dépasser les bornes, alors je me faisais petit, mais je retenais les paroles de Poe. Comme à mon habitude, j'avais sans doute un peu trop parler, même en étant timide, j'arrivais à être bavard, il fallait tout de même le faire, disons que c'était mon côté curieux qui me faisait parler, puis j'étais tellement tête en l'air, que je pouvais lancer n'importe qu'elle information. Enfin, l'information que j'avais laisser sans en faire exprès, était quelque chose de poignant, ça me faisait encore mal et il n'y avait pas de doute que ça allait continuer. Ne me sentant plus vraiment apte à piloter, Poe du le voir, car il repris le cap, alors que je voulais cacher cette larme, qui n'aurait jamais du couler. Parfois je m'en voulais d'être aussi sensible, à nouveau j'hochais doucement la tête aux paroles de Poe, avant de regarder mes mains, les larmes toujours au bord des yeux. "Elle aussi avait perdu ses parents ... Elle avait aussi une raison de vouloir se venger et ... Enfin ça était toute une aventure" dis-je cette fois-ci en regardant le ciel "J'ai appris des choses, pas mal de chose en très peu de temps même", la vérité concernant Thaddeus Valentine, concernant la terre qui était en train de reprendre vie, une terroriste qui était loin d'en être une, piloter ... "Avec Hester nous avions commencé un voyage, ont voulaient voir le monde, du moment que nous étions tout les deux ... Puis il y a la lune et le reste" , finis je en baissant la tête, mon coeur cognant contre ma poitrine, ma voix se faisant rauque, puis je me raclais doucement la gorge "Mais oui, je garde espoir de la retrouver, en attendant je suis la ... Et je suis dans les airs" dis je avec un sourire, tout en regardant Poe, ému d'être vraiment à bord de cet avion. Il faisait bon de retrouver cette sensation de liberté.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Sam 29 Jan - 23:02, édité 1 fois
Invité
Jeu 27 Jan - 18:58
La tête dans les nuages
feat. Tom
Poe aurait tout à fait compris que son interlocuteur décide de ne rien lui dire, après tout, lui-même pouvait parfois être réticent à se confier, en certaines circonstances, pas tant parce qu’il voulait faire des secrets aux autres que parce qu’il n’aimait pas particulièrement afficher ses faiblesses, de manière générale. Il est évidemment plus simple de tourner la chose à la dérision ou de prétendre qu’elle n’est pas grave plutôt que d’admettre qu’elle a pu nous toucher, nous troubler. Les sujet les plus épineux le concernant, il les balaie le plus souvent d’un revers de la main en faisant mine qu’ils ne représentent pas grand-chose pour lui et que dans le fond, ça lui est égal. Ce n’est pas toujours vrai.
Tom lui parle donc de cette Hester. Il n’y a pas besoin d’être un fin connaisseur des émotions humaines pour comprendre que le jeune homme est clairement accro à cette demoiselle et qu’il souffre de son absence. Il lui apprend qu’elle était orpheline aussi. La douleur de perdre ses parents et le désir de vengeance, ce sont clairement là deux choses auxquelles le pilote n’a pas le moindre mal à s’identifier pour sa part, vraiment pas, même, aussi il comprend très bien ce qui a dû être l’état d’esprit de cette jeune femme dont il ne connaît que le nom et rien de plus. Au final, il comprend que l’histoire doit être longue et compliquée : résumer le tout par « ça a été toute une aventure », ce n’est pas sans vous en donner une bonne idée en tout cas.
Alors Tom préfère, à l’évidence, parler de lui, ce que Poe ne peut guère lui reprocher, affirmant qu’il a appris pas mal de choses en très peu de temps. Poe ne le connaît pas encore assez pour en faire une certitude, mais il est assez convaincu qu’il est en effet débrouillard et du genre à intégrer les choses rapidement. Il a l’air de savoir où il met les pieds, et d’être capable d’écouter franchement ce qu’on lui dit, ce qui est pratique, et clairement le changera de ses élèves qui n’en font qu’à leur tête et à qui il semble impossible d’enseigner quoi que ce soit : ce qui leur rentre dans une oreille a l’air de ressortir immédiatement par l’autre, autant vous dire que c’est raisonnablement affligeant.
« Si tu étais avec elle au moment où c’est arrivé, j’ai bon espoir que tu la retrouves. Et même si ça doit mettre longtemps, ne désespère pas pour autant, ça finira naturellement par arriver », déclare-t-il avec une fine esquisse de sourire au coin des lèvres. Il en sait quelque chose. Le temps lui a semblé terriblement long sans Finn, mais cette longue attente n’est plus grand-chose à ses yeux à présent qu’il l’a retrouvé. « Et vos retrouvailles n’en seront que plus belles. »
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Il avait vraiment fallut que j'ai la tête dans les nuages, pour pouvoir retirer se poids en moi. Je me devais d'aller de l'avant, mais je serais sans doute toujours à la recherche de Hester, car après tout, un lien fort nous unissait, et je ne pouvais vivre sans elle, mais je ne pouvais m'empêcher d'avancer, et je me devais d'apprécier ce moment. J'eu alors un sourire aux paroles de Poe, hochant doucement la tête, je repris "Oui ... Je l'espère de tout coeur et ... Je pense qu'elle viendra aussi ici, elle adore piloter" , tout comme moi, Hester savait piloter, en même temps, pour visiter le monde avec le Jenny Haniver, il était préférable que tout deux nous sachions piloter, même si c'était moi qui était bien plus aux commandes. Hester s'occupait surtout des cartes, puis de réparer et nettoyer les armes. Continuant de regarder le ciel, me perdant dans celui-ci, je ne pouvais que savourer ce moment, il me faudrait ensuite retourner à l'université, travailler, je ne pouvais me permettre de me reposer bien longtemps, même si quelque part, ici j'étais aussi un étudiant. Que je n'oublie pas que je n'avais que des bases de pilotage, puis il y avait tellement d'appareil, j'avais encore pas mal à apprendre. En réfléchissant bien, je faisais des études en physique quantique, puis l'histoire, mais mon amour pour le ciel n'était il pas plus grand ? J'avais ce besoin de savoir, ce qu'était exactement la physique quantique, mais c'était comme revenir au passé, c'était une science qui avait provoquée l'apocalypse, alors était il vraiment nécessaire que j'en sache davantage ? Concernant l'histoire, c'était toujours en l'honneur de mes parents ... J'allais devoir réfléchir à tête reposer, mais je ne pouvais pas avoir plus merveilleux repos, que me retrouver ici en compagnie de cet homme. Finalement je repris la parole "Il y a des formations pour être pilote ? C'est vrai qu'on ne peut pas vraiment se déplacer sur cette île, mais si il y a bien des formations, je serais sans doute intéressé" , après pourrais je vraiment gagner ma vie ? En même temps, en y réfléchissant bien, en étudiant la physique quantique, je nageais encore en terrain inconnu, puis je me voyais mal finir scientifique, me retrouver enfermer dans un laboratoire, ce que j'aimais, être en extérieur. Pourquoi il fallait que je sois autant curieux ? "En faite je réfléchi par rapport à mes études ... Sans oublier les boulots, je ne peux pas tout faire et la ... Etre ici c'est vraiment quelque chose que j'aime, je me sent bien plus libre dans les airs" dis je avec un sourire, tout en continuant d'admirer le paysage. Le pauvre homme, je devais sans doute me parler à moi même, mais ça me faisait du bien d'avoir de la présence, depuis que j'étais en ville, je me retrouvais souvent seul, sauf à l'université évidemment, enfin je me comprenais, bref, la compagnie de Poe, était un peu comme avoir une compagnie paternel, je me sentais plus libre de parler, encore une fois le pauvre, vue que je pouvais parfois être une véritable pipelette. "Quand vous êtes arrivez ici, vous avez de suite choisi d'être pilote ?" oui, je me permettais une question, j'avais tout de même un peu peur que ce ne soit pas correct venant d'un élève, mais après tout, qui ne tente rien n'a rien.
Dernière édition par Tom Natsworthy le Dim 6 Fév - 17:19, édité 1 fois
Invité
Dim 30 Jan - 9:23
La tête dans les nuages
feat. Tom
« Parfait, une élève en plus, c’est tout bénef’ pour moi », répond Poe avec humour quand Tom observe qu’il espère de tout cœur retrouver cette fameuse Hester, qui par ailleurs aime autant voler que lui.
Évidemment, Poe n’est pas le mieux placé pour faire des promesses, et sous aucun prétexte il ne peut prétendre être capable de se mettre à la place de son interlocuteur, ou présumer du fait que la jeune femme lui reviendra ou non, mais il est certain que sa propre expérience aura tendance à le rendre plutôt optimiste à ce sujet. S’il a été capable de retrouver Finn et bon nombre de ses proches, il n’y a pas de raisons pour qu’un brave gaillard tel que Tom soit moins bien loti. Oui, il va trouver son bonheur, tôt ou tard. Il va seulement falloir qu’il s’arme de patience, et ça, bien sûr, c’est une autre paire de manches, c’est le moins que l’on puisse dire. En tous les cas, le jour où ces retrouvailles auront lieu, Poe sera ravi d’en être informé, parce que pour sa part, il sera toujours heureux, sincèrement heureux, de savoir que son nouveau protégé a trouvé le bonheur. C’est qu’ils viennent à peine de faire connaissance, c’est vrai, mais le pilote se prend d’ores et déjà d’affection pour lui. Et pour cause, il y a beaucoup de lui qu’il reconnaît en lui, même s’il ne pense pas qu’ils aient le même caractère pour autant.
« Bien sûr qu’il y a des formations pour être pilote. C’est sûr qu’on ne va pas bien loin, ici, mais bon, même si le ciel a apparemment des limites, ici, on a au moins le mérite de prendre un peu de hauteur sur cette île, et ça fait jamais de mal », répond Poe à la question de son interlocuteur.
Bien sûr, il fallait bien qu’il y en ait un en premier pour lancer ces formations, et Poe s’est dévoué, n’empêche qu’il encouragera toujours les passionnés à emprunter la voie des airs, même s’il est toujours frustrant de ne pas pouvoir s’échapper par ce biais. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, et plus d’une fois, dans un premier temps, mais il y avait toujours quelque chose pour le ramener sur le plancher des vaches. On ne quitte pas cette île, fin de l’histoire. Et maintenant que Poe sait que tous ceux qu’il aime s’y trouvent, ce n’est plus tant un fardeau que cela.
« Ce serait un honneur pour moi de te former, si c’est vraiment ce qui t’intéresse. En attendant, je pourrais toujours avoir un petit job à l’aérodrome, si ça te dit. On aurait bien besoin d’yeux et de mains supplémentaires », reprend-il alors, bien décidé à encourager la passion et la motivation de son interlocuteur. Forcément, comment ne pas se reconnaître dans le discours du jeune homme quand il dit se sentir plus libre dans les airs. C’est très précisément ce que Poe ressent aussi, de son côté. « Je ne me serais jamais vu être autre chose que pilote, même si je ne comprenais pas grand-chose à ces engins. J’ai fait ça toute ma vie, tu sais ? »
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
J'eu un sourire, imaginer Hester dans cette ville, retrouver celle-ci se serait ... En faite se serait juste merveilleux. C'était tout de même incroyable, de voir le lien qui avait fini par se créer entre Hester et moi. J'avais toujours eu une immense joie de vivre, m'intéressant à tout, me montrant curieux, travaillant, étudiant. Je vivais peut-être avec peu, mais je ne manqué de rien, c'était ainsi, et je le vivais très bien. Puis il y avait eu cette tentative d'assassinat, avant qu'elle ne redonne un coup de poignard, je l'avais attrapé par le bras, et son regard ... Cette cicatrice ... J'avais été choqué, elle avait réussi à m'échapper et il y avait eu cette course poursuite, le reste, bien c'était toute une grande aventure et j'avais appris rapidement à aimer Hester, malgré son caractère sauvage. Une confiance mutuelle c'était installée et disons qu'après des grandes aventures, ont choisi de rester tout les deux, de parcourir le monde, ensemble ! puis j'avais fini ici, Hester n'était pas la, et je ne pouvais même plus m'imaginer vivre sans elle, malgré tout, je ne pouvais pas me lamenter ainsi, je me devais de garder le sourire, même si j'avais le coeur douloureux. "Elle en serait plus qu'heureuse" dis-je avec petit sourire, tout en croisant le regard de Poe. En ce qui concerné cette vie ici, j'étais en train de remettre en question mes études, alors j'en profitais pour demander à Poe, si il y avait des formations de pilote, ainsi je pourrais vraiment faire, ce dont j'ai toujours rêvé. J'hochais la tête aux paroles de Poe, hum, ainsi c'était à moi de bien réfléchir. "Merci, je vais bien y réfléchir, car la science quantique, certes c'est passionnant, mais ... J'adore aussi l'histoire, mais j'avais surtout suivi cette branche parce que ... C'est ce que j'étudiais de base ... C'est ce qu'avait prévu mes parents et j'ai continué ... En faite, une fois dans cette ville, je pouvais très bien choisir une toute autre voie et pourtant ... Bon d'accord, j'admet que je me complique moi-même la vie" dis je amusé par mes propres paroles. La vie pouvait être bien plus simple, mais je devais me compliquer celle ci, pourtant, ce n'était pas comme ci je n'avais le temps rien à faire, bien en contraire, j'étais toujours en train de courir partout, oubliant même de prendre soin de moi. Puis mon regard se fit plus pétillant, aux paroles de Poe. En voila une offre qui était plus qu'alléchante. "Se serait formidable ... Je pourrais déjà arrêter l'étude de la science quantique, c'est ce qui me prend le plus de temps ... Et oui effectivement, même si on ne peut pas aller loin, c'était toujours une sensation unique d'être dans le ciel" , je regardais le ciel, le regard toujours rêveur et nostalgique, ce sentiment de bonheur était unique, magnifique aussi, c'était comme oublier tout, être loin des ennuis. En ce qui concerné Poe, il avait toujours été pilote, c'était toute sa vie. "C'est dur d'être ainsi et de ne pas aller plus loin, je n'imagine même pas, quand ça concerne l'espace ... En ce qui me concerne, j'ai toujours aimé regarder le ciel, alors aviateur est un mot qui est rapidement sorti de ma bouche".
Dernière édition par Tom Natsworthy le Dim 20 Fév - 20:10, édité 1 fois
Invité
Dim 6 Fév - 20:05
La tête dans les nuages
feat. Tom
Entretenir l’espoir n’est pas toujours une bonne chose, cela peut revenir à exposer autrui à de très sérieuses désillusions. Mais par moment, c’en est une excellente, en revanche, et quand Poe constate à quel point le regard de Tom s’illumine quand il pense à la jeune femme qu’il aime, le pilote n’a aucun doute quant au fait qu’il fait bien de l’encourager à persévérer. Bien sûr, cela se ressent aussi, que l’évocation de cette Hester le rend un peu triste, mais ce vague à l’âme passera sans doute au moment opportun. A présent que Poe a retrouvé Finn, par exemple, il se félicite plus que jamais de n’avoir jamais baissé les bras et cru dans son retour… Ainsi avait-il su l’attendre le temps qui avait été nécessaire, et à présent, ces mois et années de silence n’ont plus l’air de grand-chose.
En attendant, Poe a vraiment de l’estime et de l’affection pour ce jeune homme : il sent qu’il est vraiment capable d’aller loin, et il a envie de l’encourager, ni plus ni moins… C’est pour cette raison qu’il est prêt à lui proposer une formation et même un job d’appoint ou étudiant à l’aérodrome. Il ne ment pas, ils bénéficieraient bien d’avoir de l’aide, mais il a surtout envie d’encourager ce qu’il devine être une vocation chez son interlocuteur. Il sent bien que ce dernier a besoin qu’on le motive et qu’on l’encourage dans une voie susceptible de l’enthousiasmer et de le rendre heureux : eh bien qu’à cela ne tienne, il est tout disposé à lui apporter l’aide qu’il souhaite.
« Après, rien ne t’interdit de poursuivre tes études et de venir donner un coup de main en fonction de tes études – rémunéré, bien sûr. Je ne te demande pas de lâcher tes études du jour au lendemain, bien entendu. Mais je pense sincèrement qu’il serait dommage que tu passes à côté d’une voie qui te passionne : et j’ai raison de penser que le vol te passionne, pas vrai ? »
C’est ce qu’il lui confirme en effet, au point même de suggérer d’arrêter l’étude des sciences quantiques, qui lui est chronophage. Bien sûr, comme Poe l’a dit plus tôt, son intention n’est surtout pas de pousser Tom à prendre des décisions irréfléchies (même si, à sa place, le pilote lâcherait tout pour se consacrer à l’aviation) : mais il faut savoir faire la part des choses. Et Poe a bien conscience qu’il est supposé être l’adulte du duo, et donc celui qui donne le bon conseil et le bon exemple. Jouer les mentors pour Poe ne lui déplairait pas, à vrai dire, sans doute parce qu’il se reconnaît un peu en lui, mais ne nous emballons pas.
« Ça se ressent, que tu as ça dans le sang. On peut devenir pilote, mais certains naissent pilotes dans l’âme, je suis sûr que c’est ton cas. »
Comme Poe est certain que c’est le sien, quand bien même il est naturellement biaisé, en fin de compte. Si sa mère n’avait pas été une brillante pilote, la question ne se serait peut-être jamais posé, après tout.
Dans tout bon coeur il est un sentiment noble placé par la nature, savoir qu'il ne faut pas être heureux pour soi seul, mais chercher son bonheur dans le bien être de ses semblables." Goethe
Mon but dans la vie, était sans doute de vivre à fond ! j'avais des passions, des rêves, mais j'avais aussi eu "un chemin déjà tracé", ce chemin avait été celui de mes parents, comme nous avions peu d'argent, disons qu'ils avaient déjà pris la sécurité de me mettre de l'argent de côté, alors que je n'étais qu'un enfant, puis de m'inscrire dans une école. Alors ici, même si je savourais ce vol, car voler avait toujours été un rêve pour moi, avec le Jenny Haniver, c'était devenu une passion, même si je me montrai curieux, par rapport à pas mal de sujet, je continué d'étudier l'histoire, car j'étais tout de même un membre de la guilde des historiens, et les abandonner, c'était comme abandonner une seconde famille, les personnes qui m'avaient offert un toit, une seconde chance, certes oui, c'était une école, il y avait déjà eu l'argent de verser, mais il n'y avait qu'à voir le comportement de mes professeurs, pour voir que malgré mon caractère de grand rêveur, j'avais tout de même le droit à un bon enseignement. Des élèves m'avaient clairement fait comprendre, que j'étais sans valeur, orphelin, n'ayant pour avenir que de travailler dans les toilettes du musée ... Oui, c'était ce que l'on m'avait dit et répéter ... Enfin bref ... J'étais bien la, dans le ciel avec Poe, je voyais la ville, elle était si minuscule, la nature était belle, le soleil rayonnant et j'étais bien, apaiser, à ma place ... J'étais même en train de parler de mes études à Poe, car j'avais évoquer le fait de prendre des cours ici, lorsque Poe m'avait confirmer que je pourrais même y trouver un travail, mon regard n'avait fait que s'illuminait ... C'était un rêve ! mais le seul "nuage noir" dans ce ciel, c'était qu'on ne pouvait piloter bien loin, mon rêve de voyager au bout de monde, était tomber à l'eau depuis trois ans ... Puis sans Hester, ça n'aurait pas la même saveur. Puis j'eu un sourire à la question de Poe "Oh oui ... Je me sent à ma place dans le ciel, c'est si beau ... C'est un sentiment qui reste difficile à décrire, mais je ne m'en lasse pas ... Mes études en physique quantique sont trop compliqué puis à quoi bon chercher à comprendre, quelque chose, qui n'aurait sans doute jamais lieu ici ... En faite, c'était surtout pour m'occuper et je préfère échanger ça, contre des cours de vol !" dis je avec un sourire. Garder mes cours en histoire, car c'était tout de même dans mon sang, c'était plus fort que moi, c'était un souvenir de mes parents, c'était quelque chose à laquelle j'y avais pris gout, mais la physique quantique, ça n'avait été que pur curiosité. A nouveau j'eu un sourire ému aux paroles de Poe, sa présence était bienveillante, et me faisait beaucoup de bien "Merci ... C'est le plus beau compliment que l'on puisse me dire" , oh oui ! c'était même un immense compliment, quelque chose de très gratifiant, d'euphorisant même, comme un titre honorifique, mais je devais pas non plus trop me montrer autant à l'aise, je me devais de garder la tête froide.