tree little birds - daryl

Une routine bien huilée était désormais ton lot depuis quelques temps désormais. Quand tu n'étais pas à l'hôpital pour soigner des patients, tu étais dans la forêt afin de chercher des plantes pour pouvoir préparer des remèdes. C'était étrange, ici, la médecine était très développé, tu avais du te former pour utiliser certaines méthodes, tu t'étais améliorée et tu étais bein heureuse d'avoir à disposition tous les médicaments qui étaient nécessaires. Cependant, tu devais bien admettre qu'il y avait des plantes et des moyens bien plus agréable et que les promenades, loin de la foule et du bruit de la ville te faisait énormément de bien. Cette fois-ci Brianna ne t'accompagnait pas. Passer du temps avec ta fille était précieux, un lien avec le passé que tu avais et qui parfois te manquait. La solitude était désormais pesante et tu repensais souvent aux souvenirs que tu avais en compagnie de l'amour de ta vie, Jamie. Il te manquait, tu ne pouvais pas nier le sentiment que tu avais à son égard, il te manquait mais tu espérais qu'il était apaisé là où tu étais, et tu avais vu la tombe des Fraser à Culloden, une page s'était tournée. Mais le vide qu'avait provoqué la séparation était toujours très présente et parfois insupportable.

Un peu moins lorsque tu te baladais, en prenant et trouvant les plantes sur ton chemin. C'était très agréable et tu laissais ton esprit se vider d'une plenitude. Tu laissais tes pensées se rappeler des moments agréables d'une vie passé. Tu te demandais si tes proches étaient toujours vivant, tu te demandais où ils étaient et tu avais hâte de pouvoir retrouver Roger, pour que Brianna puisse vivre apaisée également. Cependant, la tu cherchais une plante en particulier qui permettait de descendre très rapidement une fièvre. Tu te pensais seule lorsque tu entendais un bruit. Tu t'arrêtais nette.

« Il y a quelqu'un ? » Aucun bruit, tu ne savais pas si ton imagination avait joué un mauvais tour ou si au contraire, tu avais très bien entendue quelque chose. Rien ne pouvait prévoir cela, cependant tu entendis de nouveau du bruit. « Montrez vous que je puisse vous voir ? » Finissais-je par dire, histoire de me rassurer sur l'identité de la personne présente. Au même moment trois oiseaux, se mirent à voler dans le ciel, trois merveilleux oiseaux, libre... Comme le vent.