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I want to speak to the manager (Croco-boy)

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Emporio Ivankov

Emporio Ivankov

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▿ Ton univers : One Piece
▿ Date de naissance : 08/01/1987
▿ Age : 37
▿ Métier : Animateur dans une émission de relooking, Drag Queen
▿ Quartier : Hogwarts Place
▿ Côté cœur :
Trouver l'amour et le garder,
Entretenir la flamme
De la passion pour s'y consumer

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Ou Pas !

▿ Dons/capacités/pouvoirs : Aucun pouvoir.
▿ Pseudo : DeiDei
▿ Avatar : Jinkx Monsoon
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▿ Disponibilités rp : dispo
▿ Autre(s) compte(s) : Adam et Moxxie
▿ Messages : 19
▿ Points : 142
▿ Date d'inscription : 06/10/2024
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Another hero
Another mindless crime
Behind the curtain
In the pantomime
On and on
Does anybody know what we are living for?
The show must go on !


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Sam 16 Nov - 10:36

I want to speak to the manager !
Trust me you don't want me as Karen


Tout avait commencé par un simple petit détail. Une retouche de maquillage entre deux prises durant laquelle Ivankov avait remarqué une ligne de mascara un peu trop long d'un demi centimètre. Un détail insignifiant, mais qui lui avait fait suffit pour faire tomber le verdict. "Quelque chose ne va pas, mon chou." Ce n'était pas question. Un coup d'œil attentif auprès de sa maquilleuse et Iva feinta d'inspecter son reflet dans le miroir. "Regarde-moi ce massacre ! On dirait que j'ai pris quarante ans..." S'exclama-t-il, faussement horrifié. "Ou pas !" Il rit joyeusement, puis se concentra sur son employée. D'habitude, les victimes de l'humour si particulier de l'ancienne révolutionnaire passait de la panique au soulagement. Pas dans ce cas-ci. La demoiselle restait tendue et son regard fuyant. De quoi confirmer son intuition. "Donc... Quelque chose ne va pas, et ce n'est pas le maquillage." Commenta Iva, le regard rivé sur la demoiselle. Face au sursaut et aux bredouillements reçus en guise de réponse, l'ancien révolutionnaire leva un sourcil avec une moue dubitative. Une moue qui se transforma en sourire bienveillant alors qu'il posait délicatement une main parfaitement manucurée sur le bras de la demoiselle. "Si tu veux en parler, je ne serai jamais loin." Glissa-t-il, avec un clin d'œil, laissant sous-entendre qu'il comptait bien obtenir une explication, tout en laissant le choix à son interlocutrice concernant le 'quand'.

Le 'quand' n'arriva pas tout de suite. Il y eut d'abord une demande d'avance sur salaire, le soir même, suivit d'une deuxième demande similaire quelques jours plus tard. À ce stade, Iva n'avait pas simplement la puce à l'oreille, mais un bataillon entier d'insecte parasite qui lui hurlait qu'il y avait forcément quelque chose de louche. Iva ne dit rien, décidé à laisser le temps qu'il lui fallait à son employée pour parler. Il s'agissait forcément de quelque chose de louche et d'honteux. Il ne servait à rien de la brusquer.

Du moins, jusqu'à l'instant où un grand costaud dont la photo devait se trouver au dictionnaire pour illustrer le mot 'patibulaire' s'était pointé au studio en demandant une certaine Sharon William. Là, Iva avait fait barrage, avait chassé l'intrus et décidé qu'il avait assez attendu.

Ivankov avait passé le reste de la soirée à consoler Sharon. Entre les larmes, les excuses et les reniflements bruyants (sans parler des verres enfilés cul-sec pour l'aider à délier sa langue), il avait pu obtenir le fin mot de cette histoire. Sa maquilleuse s'était laissé prendre par le démon du jeu et était à présent couverte de dettes. Les avances demandées sur le salaire auraient dû rembourser ce qu'elle devait. Sauf que la pauvre naïve s'était laissé piéger dans la mécanique bien huilée des casinos. Elle avait été tentée de remettre son avance en jeu dans l'espoir de rembourser ses dettes et de récolter un bénéfice en prime. Résultat, les dettes se creusaient encore plus. Une vraie spirale infernale ! Iva écouta, comme il l'avait promis sans jugement. Même lorsqu'elle lui annonçant le montant à rembourser, la réaction d'Iva illustrait une retenue froide la plus compl... Bon, d'accord, lorsqu'il avait entendu la somme astronomique, Iva en était tombé de sa chaise et avait feinté d'avoir un arrêt cardiaque, avant de fièrement se relever en prétextant être immortel.

Blague à part, ils avaient réfléchi à une solution (ce qui ne manqua pas de provoquer une nouvelle série de larmes et de shot vidés de la part de son employée). Iva pouvait avoir l'argent. L'ancien dirigeant de l'île Kedétrav en gardait toujours pour aider ses petits protégés. Il plaisanta en disant que cette 'avance sur salaire là' représenterait un an de travail. "Ça va en faire des séances de maquillage gratuites, Mmmfufufu !" Rigola-t-il. Iva avait l'habitude que ses traits d'humour ne provoque qu'un vent glacial, mais, ici, la réaction de son employée était différente. L'ancien révolutionnaire reprit son sérieux disant que Sharon n'aurait rien à faire, qu'il allait régler le problème. Iva balaya les inquiétudes reçues d'un geste élégant. Ce n'était rien. Vraiment.

Le lendemain, Sharon n'était pas venue au travail. Iva aurait pu mettre cela sur le compte de la gueule de bois. Sauf qu'elle ne répondait pas au téléphone et ne se trouvait pas chez elle. Il ignorait si son employée avait fait l'erreur de croire régler ses dettes elle-même ou si elle avait été interceptée par Gros-Muscle-Boy en chemin vers le studio. L'un comme l'autre, sa prochaine destination était toute trouvée.

La personne ayant déclaré qu'il n'y avait rien de plus terrifiant qu'une ourse protégeant ses petits n'avait jamais vu Ivankov prendre la défense d'un de ses petits protégés. Sans ses pouvoirs, il ne pouvait plus donner des proportions terrifiantes à sa tête ou mettre des gens K.O d'un simple clin d'oeil. Cela n'empêcha pas Iva de franchir les portes du Rain Bars avec la même détermination farouche qu'un général s'apprêtant à faire une fulgurante percée en terre ennemie.

Il n'était plus aussi imposant que dans son monde d'origine, mais ce n'était pas le genre de chose qui pouvait l'empêcher de faire un esclandre. Il s'était chaussé de ses talons les plus hauts et pointus. Les bagues qui brillaient à sa main droite pouvaient passer pour le coup-de-poing américain le plus clinquant du monde, tandis que deux bagues à phalanges semblaient prêtes à éborgner telles deux serres d'aigles sur sa malheureusement proie. Sa robe rouge était entourée d'un corset argenté, évoquait de manière très stylisée une armure et le serre-tête qui traversait ses cheveux bouclés évoquaient autant une couronne qu'une auréole. En résumé, Ivankov était sur le pied de guerre. Le moindre doute qui pouvait substituer sur ce point était instantanément pulvériser par sa manière dont il fusillait du regard chaque personne présente dans la salle de jeux.

Iva cherchait la petite tête blonde au chignon serré de sa maquilleuse, sans pour autant la trouver. La moue de réflexion qui barra son visage exagérément maquillé se transforma rapidement en sourire éclatant. S'il ne trouvait pas ce qu'il cherchait, il n'avait qu'à invoquer la femme blanche d'âge mûr s'insurgeant de tout qui sommeillait en lui. En gros, laisser parler sa Karen intérieur.

D'une démarche impériale, Iva se dirigea vers la table où se jouait une partie de Baccara. Le temps d'un clin d'œil à l'adorable croupier et Ivankov se pencha (d'une manière volontairement provocatrice avec son faux décolleté) sur la table du jeu avant de renverser tout son contenu d'un revers de la main, s'assurant d'être le plus bruyant possible. La table dégagée dans un déluge de cartes et de jetons, Iva grimpa avec autant d'aisance que s'il portait des baskets et non des talents de quinze centimètres. "MAINTENANT, ÉCOUTEZ-MOI BIEN ! JE CHERCHE SHARON WILLIAMS ! SHARON ! MON PETIT CHOU ! TATA IVA VIENT TE CHERCHER ! SI ELLE N'EST PAS ICI, J'EXIGE DE PARLER AU DIRECTEUR ! YEEEHHHAAAA !" Claironna-t-il, une main dresser devant lui, et l'autre rivé à sa taille, dans une pose impériale digne d'un commandant venant de sonner l'assaut à ses troupes. Il se tenait prêt à accueillir comme il se doit toute personne essayant de le déloger de son piédestal.






   
Let me be a Drag Queen
I'm so beautiful that I can't stand myself. I'm sick of these queen, they all feel they're fierce. They're just piece of trash. Come on ! Drag it out ! Extravaganza ! Révolution !
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