Une journée de repos, ce devait être précieux et il devrait en profiter, pourtant, il n’arrivait pas à le faire. Comme souvent, c’était à l’aube qu’il s’était levé, presque avant le lever du jour. Il avait commencer par lire en buvant du café, Yang posé sur ses genoux. Mais il y avait beaucoup trop de question qui tournait encore dans son esprit. Bien sûr, la première était de savoir où était Bepo. Il était sûr que c’était lui qui l’avait déposé à l’hôpital, il devait donc être là… mais pourquoi n’avait il pas eut de piste avec tout ce temps depuis lequel il était là. Il grogna, luttant contre une envie de s’énerver. Non, ça n’en valait pas la peine. Est-ce qu’ils reverraient le reste de son équipage ici ? Avaient-il seulement réussit à survivre à Teack ? Il s’inquiétait pour eux, il ne le niait pas, quel capitaine digne de ce nom ne se soucierait pas de ses hommes ?
Il avait besoin de se changer les idées, alors il avait besoin de se changer plus les idées que ça. Alors, il avait renoncer à lire et avait refermer son livre pour le poser sur la table basse. Puis, il avait pris le chaton avant de le lever au niveau de son regard dur. Le félin l’avait regardé, puis avait miauler avant de se lécher les babines, Le médecin avait alors rit, puis, il l’avait posé au sol. Il avait bien repris du poil de la bête. Il se dirigea vers les gamelles de son protégé, attrapant une bouteille d’eau en court de route. Il s’assura qu’il ne manque pas d’eau et qu’il ait de quoi manger sans pour autant se goinfrer. Mais le chaton couleur de la nuit bondit sur le canapé pour s’y rouler en boule. Law souffla, Puis secoua la tête avant de se diriger vers l’entrée de l’appartement. Il enfila une paire de botte, puis son épais blouson. Il vérifia qu’il avait tout dans ses poches, puis, il récupéra son casque et fila jusqu’au garage qu’il avait dans les sous-sol.
Quelques instants plus tard, il roulait sans se soucier d’où il allait. Il voyait le temps passé quand il se rendit compte qu’il arrivait près de la plage. Il s’était garé, vérifiant son niveau d’essence, puis chercha un endroit où il pourrait sa moto le temps qu’il trouve quelque chose à manger – tout sauf des sandwich ou ce qui pouvait contenir du pain. Il trouva un endroit qui sembla lui convenir et laissa son véhicule après y avoir enclencher des sécurité. Après avoir fouiner un peu, il était tombé sur une sorte de petite supérette où il trouva une salade et des boule de riz. La journée n’était peut-être pas si mal. Il avait manger, assis sur la table, accompagnant son repas d’un thé glacé non sucré… Mais d’autres question avait assaillit son esprit.
C’était ainsi qu’après s’être défait des vestiges de son repas. Il s’était avancé vers la mer, restant hors d’attente de ce liquide qui le rejetait depuis tellement d’année maintenant. Pourtant, son fruit ne semblait plus être là. Alors c’était le moment de tester cette théorie. Pourtant, avant ça, il esquissa un mouvement en murmurant un mot. « Room », mais rien ne se passa. Voilà pour la phase un. Il restait donc la phase deux maintenant. Il déglutit. La prudence aurait voulu qu’il ait quelqu’un de confiance avec lui, mais le Chirurgien de la Mort n’aimait pas afficher de faiblesse… ou alors uniquement à de très rares personnes et il n’y avait besoin que d’une main pour en faire le décompte. Il garda le dos droit, les épaules hautes. Pourtant, il regardait l’élément liquide comme un serpent qui s’apprêtait à le mordre. Il avança d’un pas, heureux que ses bottes soient imperméable. Il se baissa et ses doigts effleurèrent la surface, planant au-dessus sans permettre de contact. Il inspira profondément et établi le contact.
Il ne fallu pas beaucoup plus de temps pour que son énergie soit drainée. Merde. Il bondit rapidement en arrière pendant qu’il lui restait encore des forces et au diable le fierté, il se retrouva assis dans le sable, juste en dehors de la portée de l’eau. Il était essouffler, ce qui pouvait sembler ridicule à qui n’avait pas de Fruit du Démon, lui chercha plutôt de quoi essuyer sa main. Effacer toute trace de ce contact serait ce qui lui permettrait le plus facilement de se reprendre vite. A condition que l’eau ne monte pas, bien entendu.