▿ Notes : I don't want to be afraid
The deeper that I go
It takes my breath away
Soft hearts, electric souls
Heart to heart and eyes to eyes
Is this taboo?
Baby, we built this house on memories
Take my picture now, shake it 'til you see it
And when your fantasies become your legacy
Promise me a place in your house of memories
You're moving foward deciding not to look back, your weakness is your greatest strength
Love is just a history that they may prove
And when you're gone
I'll tell them my religion's you
When Punktious comes to kill the king upon his throne
I'm ready for their stones
I'll dance, dance, dance
With my hands, hands, hands
Above my head, head, head
Like Jesus said
I'm gonna dance, dance, dance
With my hands, hands, hands above my head
Hands together, forgive him before he's dead, because
I won't cry for you
I won't crucify the things you do
I won't cry for you
See, when you're gone, I'll still be Bloody Mary
the breakout Family business Say I'm cold hearted
But I'm just getting started
Got my eyes on the the target
They say I'm dangerous, 'cause I
Broke all the cages
No I, won't sit and take it
Now, now
They left me for dead, I guess they'll never learn
Every time I break there's just more pain to burn
They'll never, never, never learn
the broken Family - Lost & fallen, but connect by a invisible et strongest link
Ven 2 Fév - 23:54
Les liens familiale sont bien plus complexe que n'importe quel autre famille.
Il n’avait aucune pause pour l’ancien Vilain, bien que ce terme soit lourd de sens et sans doute assez peu conventionnel, depuis qu’il vit dans cette ville du moins. Si au début, Dabi vivait assez mal cette vie sans aucun alter, il avait fini par s'adapter. Puis ses pouvoirs ont retrouvé leur propriétaire initial, c’était sans doute le sentiment le plus mémorable dont il se souviendrait toujours. C’était la satisfaction de savoir qu’il était encore utile dans ce monde, même si cela voulait dire continuer de vivre comme tout le monde. Cela n’a pas empêché le pyromane de poursuivre un peu sa véritable identité, reprenant peu à peu celle de crématorium au point ou son Salon de Tatouage portrait son pseudonyme de vilain. En quelque années seulement il n’est pas parvenu à retrouver un membre de son groupe, encore moins l’un des membres de sa famille? Cependant, cela laisse largement le temps à Toya d'élaborer un nouveau plan et de prendre un peu plus d'expansion. Vivre ici lui avait permis d’échapper à ces héros de pacotille, mais cela lui a valu beaucoup de changement et d’adaptation, comme sa nouvelle identité sans toutes ces cicatrices sur le corps.
La ville se montrait un peu trop calme selon lui, cela le força à poursuivre son quotidien d’homme normal, vivre de son tatouage était un bon moyen de subvenir à ses besoins. Dabi avait l’opportunité d’avoir dans son salon quelques clients, la plupart ne connaissait aucunement ses activités nocturne et illicite. C’était très bien ainsi, si cela lui permettait de faire les choses tranquillement sans avoir la police sur le dos, de véritable harpie, presque autant que ces héros. Cependant, il était même parvenu à retrouver la trace d’un ennemi de son monde, étrange lorsqu’il repensait à cette soirée dans un bar, à prendre un verre en sa compagnie comme si rien ne s’était jamais passé. Contrairement à certains membres de son groupe, le meutre ne faisait pas partie de ses priorités actuelles, il se fichait éperdument de comment se finissait un combat ou un contrat, tant qu'il accomplissait en bien.
Dabi trainait dans son salon de tatouage, il s’occupait des clients qui étaient venus sur rendez-vous, il faisait ce qu’on attendait de lui, exposer son art particulier sur la peau. Il avait l’avantage de pouvoir travailler assez tard, rare sont les endroits comme Cremation Tattoo qui peuvent demeurer ouverts jusqu’à pas d’heure. En tant que propriétaire, il avait l’avantage des horaires largement flexibles et puis, s’il avait quelque chose d'important à faire en ville, il pouvait toujours transmettre tout le taff à quelque employé qui bossait pour lui. Pour l’instant, il s’occupait à nettoyer tout sur son passage, Dabi avait au moins l’avantage de pouvoir rendre son lieu de travail particulièrement propre. Comme quoi il ne faut jamais se fier au apparence et puis, avec son alter, il pouvait se permettre de réchauffer plus rapidement ses instruments baignant dans l’eau et une solution stérile. Puis il entendit le carillon de la porte d'entrée se faire aller, ses mains étaient toujours dissimulé sous la paire de gant en latex noir tandis qu’il déposa tout ce qu’il avait entre les mains.
“C’est pourquoi? Si vous avez envie d’un tatouage ou d’un piercing, je ne prend que les rendez-vous.”
Dit-il suffisamment fort pour se faire entendre, son regard finit par capter la présence de la silhouette derrière lui, mais un seul suffit à changer son état d’esprit. Malgré les apparences, Dabi savait parfaitement reconnaître un membre de sa famille, alors voir son jeune frère si près de lui suffit à confirmer son questionnement.
“ Tien tien ça pour une surprise! Ça fait un Bail.. Shoto..”
En arrivant dans ce monde sans alter, Shoto s'est libéré d'un certain destin, ou plutôt d'une destinée écrite par son propre père. Celle de surpasser All Might, et de devenir le futur numéro un. Néanmoins, Shoto s'est aussi libéré d'un destin potentiellement tragique, et d'un fardeau d'être le "chef-d'œuvre" de son père, suite à l'échec de l'ainé de la famille. La famille justement, la famille Todoroki est certainement unique dans son genre, car il s'agit d'une famille accablée par un passé mouvementé, des devoirs , une réputation et des difficultés. Les relations furent particulièrement difficile au sein de cette famille, principalement à cause d'un père obsédé et trop rigoureux. Le paternel est le seul responsable, et les enfants de cette famille en font principalement les frais des mauvaises décisions du père.
Shoto est arrivé dans ce monde après que Toya Todoroki se soit révélé au yeux d'un jeune frère perdu et d'un père hanté par son passé. Cela fut donc sous le choc, et l'inquiétude que Shoto a du s'adapter à sa nouvelle vie. Après des années, il n'a pas oublié Toya, et même s'il n'a plus eu de nouvelles, il est persuadé que cela finira par arriver. A-t-il envie de retrouver son frère ainé ? Lui un vilain qui se faisait appeler Crématorium ? Lui qui désire tant tuer le "chef-d'œuvre" ? C'est clair, retrouver Toya c'est se mettre en danger, mais c'est aussi son frère. Enfin, est-ce toujours son frère ? Ou un simple inconnu ? Ou pire, un ennemi. Shoto n'a jamais vraiment pu le connaitre, mais il se rapprocherait plus d'un ennemi, que d'un frère. Mais lui qui a aussi subi les entrainements intensifs de son père, et sa sévérité, est-il apte à comprendre son frère ainé ? Même si sa relation avec son père fut mieux au fil du temps, il ne le pardonnera jamais pour tout ce qu'il a fait subir à la famille, à sa mère, et à lui-même. Néanmoins, c'est clair qu'il deviendra jamais comme Toya.
Il a fini par entendre parler d'un Salon de tatouage se nommant "Crématorium", et surtout que le proprio s'appelait Toya. Créma, Toya, c'est trop louche pour que ça soit qu'une coïncidence. Il n'a pas entendu le nom de famille du proprio, mais afin de laver tout doute, Shoto a décidé de se rendre sur les lieux. Shoto espère que c'est juste une grosse coïncidence, car il ne se fait pas la raison que son frère ne trempe plus dans le crime, et qu'il se soit offert un travail honnête. Aurait-il changé ? Ce monde peut tout à fait changer un homme, surtout sans alter. Shoto vient de retrouver son alter, même si celui-ci est encore bien faible et qu'il ne peut utiliser tout l'étendu de ses capacités.
Shoto se rend dans ce Salon avec la boule au ventre. Et si c'était vraiment lui ? Comment cela va se passer ? Shoto n'y va pas inconsciemment, il sait qu'il se met en danger, mais il a l'espoir qu'après ces années passées sur cette île, son frère ainé ne soit plus rongé par la haine et la vengeance. Il arrive devant l'enseigne, et il observe un court instant la façade avant de mettre les pieds à l'intérieur. Shoto a toujours l'air sérieux, et dans ce qu'il s'apprête de faire, c'est important pour lui. La présence de Toya sur cette île risque de changer beaucoup de chose. Il a le sentiment qu'il devra surveiller ses arrières, et il doit absolument récupérer tous ses pouvoirs. Après avoir inspiré longuement, il pousse la porte du Salon pour faire face à son destin. La première chose que Shoto remarque, c'est la propreté du lieu. Ca l'étonne. Pas qu'il imagine Toya sale, mais… Il a l'air de beaucoup d'entretenir son buisines. Voilà, son regard se pose sur l'homme qui dirige ce Salon, et Shoto est particulièrement perturbé et perplexe. Là comme ça, il ne reconnait pas Toya, il a le sentiment de voir un autre homme. Mais peut-être que ses brulures ont aussi disparues ? La brulure sur l'œil gauche de Shoto ayant également disparue.
Shoto n'est absolument pas là pour un tatouage alors qu'il glisse ses mains dans ses poches. Il allait lui répondre, mais ce qui suit le scotch sur place. Ces paroles angoissantes que prononce Toya ne donnent plus aucun doute à Shoto. C'est bien lui. Shoto sent comme un coup de froid lui traverser le corps car ça y est. Il est de nouveau devant son frangin. "Alors c'est donc vrai. Le certain Toya qui dirige un Salon qui se nomme "Cremation Tattoo" est … mon vieux frère. Evidemment, c'était trop gros." Annonce-t-il en lui offrant un regard méfiant et sur ses gardes. "J'espérais jamais te retrouver. Mais au final, c'est moi qui viens vers toi." Shoto fait une légère grimace frustré. C'est totalement ironique. Shoto lui-même ne sait pas pourquoi il fait ça. Peut-être qu'il espère certaines choses. "Je me demandais, mais as-tu retrouvé Endeavor ?" il est curieux et intéressé. Même si sa relation avec son père fut toujours aussi tendue, il ne souhaite pas son malheur non plus. Shoto veut retrouver chaque membre de sa famille. "ça fait combien de temps que tu es là ? Dans cette ville. Tu as ... changé. Je ne te reconnais plus." Lui demande t-il alors qu'il le fixe d'un long regard. Shoto ne bouge pas d'un cil. "Enfin... je t'ai jamais reconnu." Dit-il en soupirant.
▿ Notes : I don't want to be afraid
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And when your fantasies become your legacy
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You're moving foward deciding not to look back, your weakness is your greatest strength
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And when you're gone
I'll tell them my religion's you
When Punktious comes to kill the king upon his throne
I'm ready for their stones
I'll dance, dance, dance
With my hands, hands, hands
Above my head, head, head
Like Jesus said
I'm gonna dance, dance, dance
With my hands, hands, hands above my head
Hands together, forgive him before he's dead, because
I won't cry for you
I won't crucify the things you do
I won't cry for you
See, when you're gone, I'll still be Bloody Mary
the breakout Family business Say I'm cold hearted
But I'm just getting started
Got my eyes on the the target
They say I'm dangerous, 'cause I
Broke all the cages
No I, won't sit and take it
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Lun 19 Fév - 18:11
Les liens familiale sont bien plus complexe que n'importe quel autre famille.
Personne dans cette ville n’était aussi stupide et suicidaire pour osé connaître l’homme qui se cache derrière ses faux air désintéressé. Toya pouvait vivre une nouvelle vie sans voir son passé le rattraper, il en avait assez de ces héros à devoir constamment jouer les fiers et à l’héroïsme, pour parvenir à leur fin. Pourtant, revoir des visages familiers l’amusait énormément, comprendre qu’ils avaient face à eux, un vilain qui n'hésiterait pas à mettre le feu à tout ce qui bouge. Crematorium devait cependant faire attention à ses arrières, bien qu’il ne s’est jamais réellement soucié du monde qui l’entourait, il devait reconnaître que cette ville grouillait énormément d'argent de l’ordre. Toya se souvenait d’un monde où la criminalité et le désespoir s'étaient emparé peu à peu du pays, un monde ou c’était eux qui faisait régner la loi. Malgré tout ce qu'on pourrait lui dire, ce qu’il appréciait davantage fut de voir le désespoir et l’impuissance dans le regard de son paternel. Dabi alimentait une haine féroce envers ce pseudo héros, Endeavor, les gens devaient savoir qui était l’homme derrière ce héros qui recevait tant d’admiration, qui il était réellement.
Dabi avait eu ce qu’il voulait, certes, mais sa mission personnelle s’était terminée de manière assez surprenante, mais ô combien décevante. Il n’a jamais pu accomplir sa propre mission, cela l'avait mise dans une colère qui était difficile à éteindre. Maintenant, devait-il se permettre de rattraper tout ce qu’il avait manqué?, maintenant qu’il avait en face de lui le fils prodige de la famille? Un titre qui aurait dû lui revenir en tant qu’aîné? Malheureusement la nature avait fait de lui un paria, sa différence l’avait condamné à être l’homme qu’il était devenu au fil des ans. Toya est devenue une véritable déception au yeux d’un père qui aspirait à en faire un grand héro, à sa génétique défectueuse qui avait condamné son propre corps à souffrir de son alter de flamme.
Cette différence qu’il bénéficiait dans cette ville était presque devenue une bénédiction à ses yeux, l’effet de pouvoir se balader dans ce monde sans attirer les regards. Dabi gardait parfois une impression étrange sur son corps, mais son visage immaculé portait à confusion chez ceux qu’il connaissait de sa vie d'avant. Toya parvenait à reconnaître son jeune frère grâce à sa chevelure particulière, c’était le signe de l'alliance parfaite entre deux entités qui ne pouvait coexister. contrairement à lui qui avait vu la progression du blanc sur le rouge, la domination de sa constitution sur sa capacité à contrôles des flammes devenue d’un bleu glacial, si pur, mais si puissante, intense, douloureux.
“Tu me surprend là Shoto… T'as du courage de venir jusqu’ici.”
Dans un sens, voir débarquer Shoto était une opportunité pour Dabi, cela lui évitait de parcourir la ville dans une recherche qui lui serait sans doute inutile. Il ne s’attendait pas du tout à ce que son frère ose venir prendre la parole, mitigé dans son interprétation, après tout il avait tenté de l'éliminer. Dabi avait que faire de la présence des autres héros dans cette ville, déjà qu'il se fichait éperdument du monde qui l’entourait, il ne faisait confiance à personne, il aimait jouer selon ses propres règles.
“Tu me poses vraiment cette question? à moi? j’ai une tête à vouloir revoir Endeavor? Quoi que c’est bien dommage qu’il ne soit pas là, on aurait pu terminer cette discussion qu’on avait commencé.”
Dit-il en laissait paraître un sourire carnassier sur son visage, lui qui n’a jamais supporté d’être relayé au second plan, lui qu’on avait trop longtemps sous-estimé sa puissance. Tout cela était à cause de son père, cette soif de puissance qui lui avait fait oublier sa famille au profit de ce prodige qui se trouvait face à lui.
“Et à qui la faute? Oh il faudrait sans doute demander à celui qui nous a servis de père, mais ça, tu devrais le savoir mieux que quiconque.. petit prodige. Enfin, cela fait bien longtemps que je ne suis plus celui que j’ai été, mais pour répondre à ta question, ça fait 5 ans que je suis coincé ici, mais je m’en sors pas plus mal, on me laisse tranquille et personne ne sait qui je suis, mais ont dirait bien que je ne suis pas le seul qui n’a plus de cicatrice.”
Effectivement, il lui a fallu du courage pour venir ici, car Shoto s'est littéralement aventuré vers l'inconnu. Il ne savait absolument pas à quoi s'attendre, mais… il en avait besoin, pour confirmer ses doutes, ses craintes, et ses questions. Maintenant que c'est confirmé, Toya est en ville, il a le sentiment qu'il devra surveiller ses arrières. C'est clair, il le perçoit toujours comme un ennemi. Forcément, Shoto est un héros, et lui un vilain. Mais le lien du sang est sensé surpasser tout ça ? Pas dans certains cas de figure. Shoto pourrait être apte à comprendre la haine qu'a son frère ainé envers son père, lui-même déteste son père pour tout ce qu'il a fait subir à lui et à la famille. Mais il ne cautionne pas la manière dont Toya s'y prend pour montrer ça. C'est un homme dangereux, et Shoto pense qu'il l'est toujours dans ce monde. Shoto n'est qu'une victime dans ce conflit, il n'a pas choisi d'être le fils prodige. S'il devait choisir, il aurait choisi une famille banale sans alter.
Shoto fronce les sourcils perplexe, il ne sait pas tellement comment agir avec Toya, et il est actuellement comme il fut lors de leur première rencontre. Figé, ne répondant vraiment plus à rien. C'est sur, Shoto ne sera pas celui qui attaquera en premier, il se contentera de se défendre. A vrai dire, tant que Toya ne se montre pas agressif avec lui, Shoto ne lèvera pas la main sur son frère. Oui, juste la main, parce que Shoto n'a pas retrouvé son alter en cet instant, du moins, pas l'étendu de ses capacités. Il imagine surement que ça doit être pareil pour Toya. Alors, c'est certainement le meilleur moment pour le confronter, avant qu'il récupère ses flammes bleues.
Shoto lui demande s'il a retrouvé Endeavor pour s'assurer que son père va bien. Du moins, qu'il soit toujours en vie. Visiblement, Toya ne l'a pas retrouvé, et c'est une bonne nouvelle. "Je suis pas certain qu'il ait envie de poursuivre cette discussion. Laisse le en dehors de ça. Si tu veux t'en prendre à quelqu'un, prends toi à moi." Shoto défend t-il son père ? Oui. Même s'il ne le pardonnera jamais, il reste son père. Et ce dernier a montré qu'il voulait se faire pardonner et recoller les morceaux avec sa famille ces derniers temps. Shoto tient à son père, cela s'est vu lorsqu'il a vu son père combattre un Brainless à la télévision et qu'il a failli y passer. Shoto fut très inquiet pour son paternel. Il incite Toya à s'en prendre à lui, et qu'à lui. Endeavor est déjà trop hanté par son passé, et il se morfond déjà beaucoup sur ce qu'il a fait par le passé.
Shoto observe un court instant autour de lui, analysant le lieu de travail de son frère. C'est vrai il s'en sort bien, puisqu'il dirige un commerce. Shoto se demande si son frère traine toujours avec ses complices de l'alliance, ou même s'il trempe toujours dans le crime. En l'absence de ses brulures totalement disparues, Toya avait l'opportunité d'être un homme nouveau, de recommencer à zéro sa vie. C'est ce que Shoto pense. "Je vois ça, tu t'en sors bien. Sans tes brulures, j'ai le sentiment de voir un autre homme, mais je n'ai pas l'impression que tu es un autre homme. Tu es toujours… Crématorium…" Annonce t-il avec une touche de déception dans sa voix. Mais peut être qu'il se trompe. "Ce monde avait l'opportunité de nous offrir une seconde chance, et une nouvelle vie. Surtout sans alter, car je suppose que tu as aussi perdu le tiens. Personnellement, je suis bien content de m'en être débarrassé, car sans ça il n'est plus question de savoir qui est le plus fort." Tente-t-il de raisonner Toya ? Peut-être, mais il essaye de le juger, de savoir si c'est toujours un ennemi. Voir ce que la vie lui a offert en ces quelques années ici. "Alors, es-tu toujours Crématorium ?" Une question simple, qui en dira beaucoup.
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