Tu te réveilles au beau milieu d’un étrange jardin. Les uniques fleurs de ce jardin sont des roses blanches peintes en rouge. Premier fait étrange. Quand tu regardes un peu plus loin, tu remarques qu’il y a d’étranges personnages : des soldats en forme de carte. Second fait étrange. Par curiosité, tu t’avances pour essayer d’en apprendre plus, mais tu aurais dû rester à ta place et te faire discret. Voilà que les cartes se mettent à te pourchasser. Leur reine vient d’ordonner qu’on te coupe la tête. Tu n’as plus qu’à combattre une armée de carte pour t’en sortir vivant.
Invité
Lun 9 Oct - 18:14
Alice in wonderland
Elektra
Tout devient sombre et d'un coup, je me réveille, comme après une longue sieste, je reprends mes esprit quand soudain je m'aperçois que quelque chose cloche. Je suis au milieu d'un jardin étrange, où des roses blanches sont peintes en rouge, une vision surréaliste digne d'un conte de mon enfance. Je me relève essayant de comprendre ce qu'il se passe. En m'approchant, je remarque des soldats en forme de cartes à jouer? des cœurs, des carreaux, des piques et des trèfles. Mon cœur s'accélère, et je réalise que je suis plongé dans un monde étrange, presque féérique? Est-ce que je rêve encore? ou cette ville de dingue a encore des plans machiavéliques à nous réserver?
Curieuse, j'essaie d'approcher les cartes pour en savoir plus, mais soudainement, elles s'animent et se mettent à me pourchasser. La Reine de Cœur, vêtue de rouge, ordonne qu'on me coupe la tête. L'horreur m'envahit, et je comprends que ma vie est en danger. Je ne peux pas me laisser exécuter sans réagir. Pourquoi je me trouve dans le comte d'Alice aux pays des merveilles?
Je me mets à courir, mes pieds martelant le sol du jardin de cartes, les roses blanches peintes en rouge devenant un véritable labyrinthe. Les soldats en forme de carte me poursuivent avec une détermination effrayante. J'entends leurs cris, leurs ordres, et je sais que je suis maintenant plongé dans une bataille pour ma propre survie. Dans ce monde étrange, au milieu de ces cartes vivantes, je suis résolu à défendre ma tête, à échapper à la fureur de la Reine de Cœur, et à découvrir les mystères cachés derrière ce rêve éveillé. C'est peut-être une illusion, mais ma détermination est bien réelle, et je suis prêt à tout pour m'en sortir vivante. Je tentais de me dissimuler dans les buissons. Une chose était sûre, je n'avais pas peur de ces cartes...mais ils étaient nombreux pour les affronter seule.
Les cartes poursuivent leur course folle derrière moi, je dois sortir de ma cachette. Je me fraye un chemin à travers le labyrinthe de roses blanches peintes en rouge. Je dois échapper à la Reine de Cœur et à son sinistre décret.
Alors que je m'échappe de justesse d'une embuscade de cartes piques, je me demande comment j'en suis arrivée là. Est-ce un rêve ? Une hallucination ? Ou peut-être un tour de la ville qui manipule mon esprit de manière insidieuse, comme elle sait si bien le faire ?
Le jardin sans fin semble n'avoir ni début ni fin, et chaque coin recèle un danger. Les cartes sont déterminées à me capturer, à m'arracher la tête, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Je sens monter en moi une colère froide et une détermination à échapper à ce destin macabre.
Soudain, une idée me traverse l'esprit. Si je suis dans un monde de conte, alors peut-être que je peux utiliser les règles du conte à mon avantage. Je cherche désespérément un moyen de jouer ma propre carte dans ce jeu démentiel. Peut-être que si je parviens à trouver la Reine de Cœur, je pourrais la convaincre...de changer de vie..ou tout simplement lui briser le coeur en lui arrachant le coeur de la poitrine.
J'entends le tonnerre des pas des cartes qui se rapprochent, je me dissimule derrières des buissons
Sebastian Michaelis
▿ Ton univers : Kuroshitsuji (Black Butler)
▿ Date de naissance : 10/05/1985
▿ Age : 39
▿ Métier : chef cuisinier au restaurant gastronomique "Les Délices de l'Âme"
▿ Quartier : Baker Street
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Démon
▿ Réflexes surhumains
▿ Force surhumaine
▿ Sens aiguisés
▿ Immortalité
▿ Manipulation des ténèbres
▿ Maîtrise des arts martiaux
▿ Pseudo : Ameknos
▿ Avatar : Matt Bomer
▿ Copyright : un tas d'artistes sur Bazzart
▿ Disponibilités rp : un peu de patience
▿ Autre(s) compte(s) : Duncan & Martin & Doc' Ten & House & Zeus & Eric & Crowley & Papy & Jiraya & Sebastian & Severus & Jürgen & Kaecilius & Sweeney & Gomez & Nigel & Kristoff & Ezio & Corto & Beetlejuice & Garrett & Owen & Spencer
Dans la pâleur du crépuscule, Sebastian se réveillait lentement, une légère brise caressant sa peau. Il observa d'un regard affûté les environs, et réalisa qu'il se trouvait au beau milieu d’un jardin singulier. Tout autour de lui, de magnifiques roses blanches avaient été méticuleusement peintes en rouge. Intrigué, il se leva avec grâce, ses chaussures noires ne faisant aucun bruit sur le sol couvert de pétales. Le parfum entêtant des roses effleura ses narines, mais il détecta rapidement une odeur moins naturelle, celle de la peinture fraîche. En s'approchant d'une des fleurs, Sebastian remarqua que quelques gouttes de peinture étaient encore humides au toucher. Un geste récent, se dit-il. Il entendit alors un léger bruissement provenant d’un buisson voisin. Dans un mouvement fluide, Sebastian se tourna vers le bruit.
Ignorant où il était, ainsi que les raisons de sa présence ici, l’ancien majordome se demandait s’il était ici pour remplir une mission ou répondre à une demande en particulier. Peut-être avait-il été mandé d’urgence pour des motifs pas forcément très clairs au départ ? Un être excentrique ayant des fonds suffisants pouvait s’offrir ses services de traiteur gastronomique, mais cela ne se faisait généralement pas par enlèvement, il y avait tout de même un minimum d’administratif à faire avant de se lancer dans un projet de collaboration entre un client et un chef cuisinier.
Sebastian observa attentivement la silhouette qui émergeait du buisson. Contrairement à ses premières suppositions, ce n'était pas une jeune fille innocente, mais plutôt une femme d'une présence imposante, ses mouvements pleins d'assurance et de grâce. Ses longs cheveux contrastaient avec sa peau d'olive, et ses yeux brûlaient d'une intensité sauvage.
« Mademoiselle ? » Ne perdant jamais de son flegme ni de sa bonne éducation, Michaelis se montrait poli et affable, prêt à venir en aide à cette femme. Au vu du lieu dans lequel ils se trouvaient, il était évident que cette personne devait être dans le même genre de situation que lui. « Ce jardin est pour le moins... atypique. Avez-vous trouvé une sortie quelque part ? »
Sebastian n’avait pas encore eu l’occasion de tout analyser de cette situation, mais l’aspect angoissé de son interlocutrice laissait penser que ce jardin n’était pas peuplé que d’êtres animés de bonnes intentions à nos égards.
Soudain, des cris et des pas martelant le sol se firent entendre. Et Sebastian vit des soldats, aux tenues semblables à des cartes à jouer, armés jusqu’aux dents, s’avancer vers eux. D’une voix suave, l’ancien majordome de la maison Phantomhive questionna : « Les connaissez-vous ? On dirait qu’ils vous cherchent… »
Un fin sourire se dessina sur les lèvres du démon. Il aimait le mystère, il aimait l’action et il avait le sentiment que cet endroit était de ceux qui allaient leur apporter un lot d’imprévus et d’aventures… Mais les cris “Qu’on lui coupe la tête ! " se changèrent bien vite en "Coupez-leur la tête !" Sebastian fronça les sourcils un bref instant. Dans le lointain, le cliquetis régulier des bottes retentissait, devenant de plus en plus fort. Des rangées impeccables de soldats se dessinaient à l'horizon, tous habillés en cartes à jouer. « Auriez-vous froissé quelqu’un ici, mademoiselle ? »
Vérifier cela semblait important pour savoir un peu de quoi il retournait. Sebastian n’était pas du genre à se battre sans raison, il n’avait rien contre le fait d’user de violence pour tirer son épingle du jeu, mais il aimait connaître les tenants et aboutissants de tout ce qui concernait ce genre de conflits.
Sa main, habillée de gant de cérémonie, plongea dans une poche de son frac et Michaelis sortit trois couteaux en argent, l’une de ses armes de prédilection depuis qu’il avait opéré comme le majordome impeccable et irréprochable de la maison Phantomhive.
Alors que les soldats-cartes se rapprochaient, formant un cercle autour du duo, Sebastian analysa rapidement la situation. Il y avait une trentaine de soldats, certains armés d'épées, d'autres de lances. Leur formation suggérait qu'ils avaient l'intention d'encercler et de submerger leurs cibles par le nombre. Sans un mot, Sebastian se plaça dos à dos avec Elektra, assurant ainsi une couverture complète.
Alors que la situation devient de plus en plus désespérée, le jardin étrange qui nous entoure semble se refermer sur nous. La peur me serre le cœur, et je réalise que nous sommes pris au piège dans cet endroit cauchemardesque. Je traverse un buisson quand soudain un homme étrange s'interroge sur ma présence.
."Qui êtes-vous? je m'appelle Elektra...ne me dites pas que vous traitez avec fous?"
Le majordome, Sebastian , m'adresse la parole d'une voix polie et contrôlée. Sa présence calme est un réconfort dans ce monde de folie. Je lui réponds, tentant de garder mon calme malgré l'angoisse grandissante "C'est une situation des plus étranges, monsieur . Je ne connais ni cet endroit ni ces soldats-cartes. C'est comme si nous étions plongés dans un cauchemar issu d'un conte de fées dément. Celui d'Alice au pays des merveilles"
Les soldats-cartes se rapprochent rapidement, et leur intention est claire, nous faire subir le même sort que la Reine de Cœur m'a réservé plus tôt dans cette histoire étrange. Les cris de "Coupez-leur la tête !" résonnent de plus en plus fort, et la menace devient palpable.
Sebastian me demande si j'ai froissé quelqu'un ici, suggérant que c'est peut-être la raison de cette persécution. Je secoue la tête, essayant de comprendre ce qui se passe. "Non, je n'ai aucune idée de pourquoi nous sommes ici ni de qui pourrait nous en vouloir. Tout ce que je sais, c'est que nous devons nous défendre."
Nous nous tenons dos à dos, prêts à affronter la marée de soldats-cartes qui se rapproche. Je décide de dégainer mes deux sai pour attaquer les cartes soldats, et bien que nous soyons étrangers dans ce monde, nous n'allons pas nous laisser faire.
"Prêts, monsieur Michaelis ?" Je lui adresse un sourire tendu, prête à affronter cette épreuve aux côtés de cet étrange et mystérieux majordome. Nous sommes peut-être les acteurs involontaires d'un conte de fées macabre, mais nous allons écrire notre propre destinée dans cet univers délirant.
Sebastian Michaelis
▿ Ton univers : Kuroshitsuji (Black Butler)
▿ Date de naissance : 10/05/1985
▿ Age : 39
▿ Métier : chef cuisinier au restaurant gastronomique "Les Délices de l'Âme"
▿ Quartier : Baker Street
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Démon
▿ Réflexes surhumains
▿ Force surhumaine
▿ Sens aiguisés
▿ Immortalité
▿ Manipulation des ténèbres
▿ Maîtrise des arts martiaux
▿ Pseudo : Ameknos
▿ Avatar : Matt Bomer
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▿ Disponibilités rp : un peu de patience
▿ Autre(s) compte(s) : Duncan & Martin & Doc' Ten & House & Zeus & Eric & Crowley & Papy & Jiraya & Sebastian & Severus & Jürgen & Kaecilius & Sweeney & Gomez & Nigel & Kristoff & Ezio & Corto & Beetlejuice & Garrett & Owen & Spencer
« Sebastian Michaelis, pour vous servir.» se présenta-t-il avec un salut d’un autre temps qui trahissait ses habitudes de l’époque victorienne et son respect pour la bienséance et les bonnes manières.
Il écouta la jeune femme, sans en apprendre plus pour autant sur la situation. Il allait falloir que notre diable de majordome se montre plus perspicace. Alice au pays des merveilles était une référence qu’il connaissait, puisque le roman de Lewis Caroll avait été publié au beau milieu du séjour de Sebastian à Londres, auprès du comte de Phantomhive. « Si vous avez raison, alors… notre seule présence en ce lieu est une raison suffisante pour que la Reine de Cœur veuille nos têtes. »
Dans les souvenirs du démon, le personnage de la Reine de Cœur était une monarque acariâtre dont la fureur aveugle prenait tout le monde et n’importe qui pour cible. A moins de trouver une parade digne de ce nom, il était évident qu’Elektra et lui étaient dans une assez mauvaise posture.
Dans le jardin labyrinthique qui s'animait d'une étrangeté sans nom, Sebastian se tenait droit, l'image même de la contenance et de la discipline. Les cris lointains qui se faisaient entendre n'avaient sur lui aucun effet visible. Il observa Elektra, ses yeux rougeoyants cachant les calculs d'un prédateur dans l'ombre. « Votre état d'esprit est tout à fait justifié, Mademoiselle Elektra, » répondit-il avec une voix qui trahissait une confiance imperturbable. « Nous nous trouvons, je le crains, dans un tissu de réalités qui dépasse la banale existence à laquelle nous sommes accoutumés.»
Alors que les soldats-cartes se rapprochaient, menaçants, Sebastian ajusta les manches de son costume impeccable. « Je n'ai guère l'habitude de froisser les individus sans une raison valable, » dit-il calmement. « Cependant, je ne peux nier le charme de résoudre des énigmes aussi... capricieuses. »
Quand Elektra secoua la tête en signe de confusion et d'incompréhension, un fin sourire étira les lèvres du démon. « La peur et l'ignorance sont des luxes que nous ne pouvons nous permettre en ce moment critique » constata-t-il. « Le savoir est l'arme la plus aiguisée, et notre ignorance ici est un désavantage certain.» Face à la marée montante de leurs adversaires, Sebastian se tint prêt, ses mains se mouvant avec la grâce d'un danseur et la précision d'un chirurgien. « Vos armes sont charmantes, Mademoiselle Elektra, mais permettez-moi de vous montrer comment un majordome de la maison Phantomhive gère de telles trivialités. »
Lorsqu'elle sourit et l'interrogea sur sa préparation, Sebastian inclina légèrement la tête, ses cheveux noirs comme l'ébène se balançant subtilement. « J’ai été le majordome des Phantomhive, » rétorqua-t-il avec une légère inclinaison de tête. « Je suis toujours prêt. »
Et alors que les soldats-cartes fondirent sur eux, Sebastian s'élança avec une vitesse surnaturelle, ses mouvements n'étant qu'un flou dans l'air frais du jardin. Chaque geste était un ballet mortel, chaque attaque une démonstration de la puissance cachée derrière le vernis de serviteur. Il était le chat parmi les corbeaux, et ce jardin de folie n'était qu'un échiquier de plus pour le majordome démoniaque. Pour lui, ce n'était pas une question de survie, mais un spectacle, un jeu macabre dont lui et la jeune Elektra écrivaient ensemble l'issue inévitable.
Alice in Wonderland Dans l'obscurité grandissante du jardin de cartes, je me tiens aux côtés de Sebastian, ce majordome mystérieux au comportement aussi raffiné qu'aux travers insoupçonnés. Son salut d'une autre époque et son élégance transpirent le respect et la discipline, une présence rassurante dans ce cauchemar surréaliste. Sebastian réagit avec une assurance inébranlable, analysant la situation avec une perspicacité que je ne peux que reconnaitre. Son identification de la Reine de Cœur comme la source possible de notre malheur résonne dans l'air, et je m'efforce de comprendre les règles de ce jeu étrange auquel nous sommes forcés de participer.
"Nous vivons pour de vrai le comte d'Alice au pays des merveilles..c'est totalement fantasque, est-ce une illusion? dans tous les cas, nous allons devoir passer à l'attaque".
Selon lui, notre simple présence ici suffit à attirer la colère de la Reine de Cœur. Un dilemme aussi étrange que le son roman auquel il faudra trouver une solution. Son sourire imperturbable et ses mots empreints de confiance me poussent à puiser dans la résolution qui sommeille en moi. Je n'ai pas l'habitude de dévoiler mes émotions, mais dans cette situation étrange, je ne peux m'empêcher de ressentir une pointe d'admiration pour la sérénité de Sebastian.
Lorsqu'il me complimente sur mes armes, je lui adresse un léger sourire, un rare éclat d'humanité dans mes traits habituellement impassibles.
"Si vous êtes sage, vous aurez peut-être le privilège de manier l'un de mes sai" Sa proposition de montrer comment un majordome de la maison Phantomhive gère de telles situations capricieuses ne fait que renforcer ma curiosité.
"Et bien, Monsieur Michaelis, montrez-moi comment vous maniez vos couteaux avec tant d'efficacité" réponds-je, adoptant une attitude calculatrice. Ma main se pose instinctivement sur la poignée de mes sai, des armes que j'ai maniées avec habileté au fil des missions. Mon respect pour la discipline et la précision guide mes actions. Les soldats-cartes se rapprochent, mais au lieu de la peur, je ressens une étrange excitation. La présence de Sebastian à mes côtés me confère une confiance inattendue. Alors que son corps devient un éclair noir dans l'obscurité du jardin, je me prépare à affronter cette marée de cartes avec toute la froide détermination qui me caractérise. Mon regard fixe les ennemis approchant, mes mouvements calculés et précis, à l'image de la danse mortelle que Sebastian a initiée.
Nous écrirons notre propre destinée dans ce conte de folie, naviguant entre l'ombre et la lumière, dans l'espoir de trouver une issue à ce labyrinthe insensé. Mon caractère impénétrable se mêle à la détermination de survivre, même dans ce jardin de cauchemar, où la seule règle qui compte est celle de la survie. Nous sommes loin d'être de simples civils, dans cette situation, nous devons affronter les cartes. J'accompagne mon partenaire dans cette bataille, les soldats ne sont pas si forts que cela, ils sont imposants mais cela s'arrête à leurs lances. Je décide de faire un peu pour propager le chaos dans cet univers parallèle.
"Ils veulent de la magie, ils vont s'amuser".
Le feu se répand rapidement sur cet univers floral fictif, certains soldats s'embrassent en quelques secondes.
"Vous êtes fort élégant et doué Monsieur Michaelis, que diriez-vous de leur montrer le vrai visage de la peur? allons à la rencontre de cette reine de coeur pour lui fendre la poitrine"
J'étais une anti héros, une mercenaire, un assassin, une ninja, affronter la mort n'était pas nouveau pour moi, je savais soigner mes entrées. Sebastian était un homme d'une autre génération, d'une très bonne éducation. J'avais grandie dans le milieu mondain, mon père était un homme d'affaires riche et ambassadeur Grecque à New York, faire preuve de courtoisie et de bien séance étaient innées pour moi. Faire preuve d'un grand respect pour cet homme était la moindre des choses.
▿ Métier : chef cuisinier au restaurant gastronomique "Les Délices de l'Âme"
▿ Quartier : Baker Street
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▿ Réflexes surhumains
▿ Force surhumaine
▿ Sens aiguisés
▿ Immortalité
▿ Manipulation des ténèbres
▿ Maîtrise des arts martiaux
▿ Pseudo : Ameknos
▿ Avatar : Matt Bomer
▿ Copyright : un tas d'artistes sur Bazzart
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Dans le jardin énigmatique d'Alice au Pays des Merveilles, Sebastian Michaelis, le majordome des ténèbres, contemplait la scène avec une finesse aristocratique. Il était un être hors du temps, dont l'élégance et la prestance se mêlaient à la nuit naissante, tissant autour de lui et d'Elektra un voile d'invincibilité face à l'adversité.
« Mademoiselle Elektra, » commença-t-il, sa voix aussi suave que le velours pour aborder cette ire qui était née chez ces gens dès le moment où Elektra et Sebastian avaient atterri dans cet endroit, « c’est une situation fort délicate, mais loin d'être insurmontable pour des âmes aussi aventureuses que les nôtres. »
La lune éclairait leur chemin à travers le labyrinthe de haies, projetant des ombres fantaisistes qui semblaient danser autour d'eux. Elektra, guerrière aux armes létales, était un portrait de détermination et de grâce, une compagne de bataille que Sebastian trouvait à la fois intrigante et digne d'admiration. « Votre aisance avec ces sais est remarquable, Mademoiselle. Une maîtrise qui, j'en suis certain, pourrait faire vaciller le cœur de nos adversaires bien avant que le combat ne soit engagé. »
Leurs pas les menèrent bientôt devant un échiquier gigantesque, où les pièces, animées d'une vie propre, se déplaçaient avec une intention sinistre. « Ce jeu, » observa Sebastian, un sourire en coin, « nous offre une métaphore exquise de notre situation. Chaque mouvement doit être calculé, chaque stratégie, réfléchie. Permettez-moi, Mademoiselle, de suggérer une approche qui pourrait bien déstabiliser notre reine de cœur autoproclamée. »
Alors qu'ils avançaient, les soldats-cartes s'amassaient, menaçant de les submerger par leur nombre. « Observez bien, Mademoiselle Elektra, » dit Sebastian en se préparant à l'affrontement. Sa démarche, d'une grâce mortelle, était un spectacle en soi. Il déploya une série de mouvements si rapides et si précis que les assaillants tombaient avant même de comprendre leur fatalité.
« Votre bravoure et votre art me poussent à me surpasser, » admit-il tout en parant une attaque surprise. « Votre proposition de faire face à la reine de cœur elle-même est audacieuse. Une audace que j'admire et que je suis prêt à soutenir. Ensemble, nous pourrions non seulement survivre à ce conte de folie mais le redéfinir à notre image. »
Le combat terminé, Sebastian ajusta sa veste avec une nonchalance étudiée, comme si l'affrontement n'avait été qu'un léger contretemps. « Vers la reine, alors, » annonça-t-il, offrant son bras à Elektra dans un geste de camaraderie noble. « Mais permettez-moi d'ajouter une nuance à tout cela. Au-delà de la confrontation, cherchons à comprendre le cœur de ce monde, ses désirs et ses craintes. Peut-être découvrirons-nous des alliés inattendus dans les recoins les plus sombres de ce labyrinthe. »
Et c'est ainsi qu'ils s'avancèrent, un duo improbable, lié par le respect mutuel et un but commun. Sebastian, le démon majordome, et Elektra, la guerrière sans pareille, prêts à déchiffrer les mystères d'Alice au Pays des Merveilles et à affronter leur destin, quelle que soit la forme qu'il prenne. Sebastian était tenté par les sai, bien sûr, mais toute tentation n’était pas forcément le genre de choses auxquelles il fallait céder.
Quant à la magie… Sebastian Michaelis n’était pas un démon pour rien et il était tout à fait capable de comprendre où voulait en venir sa partenaire de combat. Les flammes se mirent à dévorer le décor des lieux et Sebastian, tel un oiseau de proie, fondit sur une carte représentant un valet qui se retrouva très vite le couteau sur la gorge. « Chuuuut, ne criez pas… écoutez plutôt le crépitement des flammes… N’aimeriez-vous pas vous laisser embraser par ce feu si ardent ? »
Voir brûler une personne ou voir brûler une carte… pour ce qui concernait l’ancien majordome, c’était du pareil au même. Seules les âmes l’intéressaient et ces cartes n’en semblaient guère dotées. « Pensez-vous que la Reine de Cœur ait une âme aussi délicieuse que ce que suggère son statut ? » Tuer des humains, cela n’avait jamais été compliqué pour Sebastian, car en tant que démon, il n’avait aucun intérêt à garder en vie des personnes qui n’avaient rien de pertinent à lui proposer… Les âmes, c’était bien ce qui comptait le plus…