▿ Côté cœur : Cette histoire tumultueuse entre nous... On s'aime, on s'aime plus, je te tue, tu reviens, je te tue encore... L'amour fou !
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Ven 25 Aoû - 21:06
"Hey tu fais quoi habillé comme ça ?" s'exclame la poupée Good Guy en s'adressant à sa version humaine. C'était bien la première fois de sa vie, qu'il se voyait aussi fringuant. Costume élégant, bien que pas taillé sur mesure. Ceci annonçait une sortie dans une sphère de la société qui n'était pas des plus habituelles pour le tueur en série. "Je pars en éclaireur au théâtre. Ça pourrait être intéressant un massacre là bas ?" La poupée rousse sembla réfléchir un instant, l'idée lui rappelait de vieux souvenir. "Un peu comme ce qu'on avait fais au cinéma ?" demande t'il. "Il faut que ce soit plus grandiose ! Ceci prendra le temps qu'il faut et on est pas assez nombreux, toi et moi pour faire comme à Hackensack, on va devoir être... plus créatif !" Sur ce point là, Charles avait raison, là ou il avait une armée de lui version poupée dans sa ville natale, ici, il n'y a que sa version jouet en un seul exemplaire et sa version humaine. C'est plutôt limité. "Je peux venir ?" Le regard qu'il se porta à lui même via sa version humaine voulait tout dire : non. Pas de poupée ce soir. "Putain, t'es pas drôle, t'es qu'un sale con." déclare la poupée avant de sauter de sa chaise pour aller sur le canapé et allumer la télévision sur une émission de téléréalité débile pour se moquer des candidats.
Charles arriva à l'heure de la présentation, deux petites minutes en avance ce qui lui laissa tout juste le temps de s'installer avant le lever de rideau. Le spectacle en lui même ne l'intéressait pas tant que ça. Il observait les lieux, les gradins, les sorties de secours, les projecteurs et un tas d'idée machiavélique fleurissait dans son esprit diabolique. Pourquoi tuer le public, quand on peut faire un grand show sur scène... Ceci serait poignant et marquant de massacrer les comédiens. L'idée devra encore germer un peu plus, mais il tenait un truc.
A la fin de la représentation, il laissa les gens sortir, ne se précipitant pas vers la sortie. Ceci lui donnait l'occasion de continuer d'observer les lieux la lumière allumée. C'était un endroit sympathique, entre modernité et ancienneté. Un endroit parfait pour marquer les esprits en tuant c'était certain. Presque le dernier dans la salle, il prit quelques photos pour montrer à Chucky, enfin son autre lui version poupée, il aura surement de belles idées également. Prendre des photos ne le rend pas suspect, il ne doit pas être le seul à avoir fait ça.
-”Vous êtes certain que personne ne peut nous voir ?” Son de tissue qui se froisse et de corps qui roulent sur le sol. -”Certain. De toute façon vu le silence, tout le monde a quitté la salle. Laissez-vous aller.” Pendant quelques minutes il n’eut presque pas de bruit jusqu'à ce qu’une expression étouffée se fasse entendre. -”Vous avez vu ? C’était quoi ? Un flash ? C’est mon époux !?” Henry se redressa un peu et glissa un œil vers le bas du balcon sur lequel il était. Il y avait bien un homme, mais ce n’était pas le mari de sa conquête du soir. -”Ce n'est rien, un touriste.” Mais la femme allongée sur la moquette rouge ne semblait pas rassurée et elle était en train de réajuster sa robe. -”C’est peut-être un détective privé ! Faites-moi partir d’ici discrètement !” Henry se retient de faire remarquer qu’un privé ne prendrait pas en photos les dorures, mais il se redressa en rattachant sa chemise avant de glisser sa cravate dans sa poche. -”Partez par la sortie des artistes, personne ne vous verra.” Une fois la femme partie lui, se glissa dans les escaliers pour rejoindre le trainard qui paraissait se plaire dans la salle de spectacle principale. Il ajusta un peu ses bouclettes en passant dans leurs courbes ses doigts fins à la peau douce. -”Monsieur, puis-je vous êtres utiles ?” Puis se rendant compte que c’était sûrement un peu étrange vu qu’il ressemblait à n’importe quel autre spectateur, en plus débraillé, il tendit la main un petit sourire sur les lèvres. -”Henry Crowford, je suis le propriétaire de ce lieu. Je n’ai pu m’empêcher de remarquer que vous sembliez intéressé par l’architecture de ce lieu magnifique. Voudriez-vous une visite guidée ? Je connais cet endroit sur le bout des doigts.” Comme le corps des femmes, mais il ne dit pas la dernière partie de sa phrase. -”Vous êtes ici dans la salle de spectacle principale, la plus grande. Mais il y en a trois autres, plus petites, mais plus richement décorées. Elles sont souvent louées pour des représentations privées ou pour des événements personnels comme des demandes en mariage.” Il observa un peu l’homme devant lui et se glissa à ses côtés. -”Les fresques sont inspirées de scènes de la mythologie greco-romaine.” Il tendit le doigt pour porter le regard de l’inconnu sur ses scènes favorites. Venus sortant des eaux, Apollon et son amant Hyacinthe. -”L’une des petite salle à une décoration moins… Poétique. Ce sont des scènes de guerres et de batailles sanglantes. Car après tout, le théâtre ne montre par que les beaux côtés de la vie. Voulez-vous les voir ?”
Henry n’était pas avare quand il s’agissait de faire découvrir son théâtre, c’était son joyau, son enfant. Et puis à travers ce lieu, c’était sa réussite qu’il lançait aux yeux des autres. Les compliments étaient pour lui au final. Et Henry vivait pour les compliments. -”Il y a même des passages secrets, cela titille un peu votre curiosité ?”
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Dim 3 Sep - 23:19
Chucky n’était pas le seul encore présent dans cette immense salle. Un homme fit son apparition, très discrètement, c’est à peine s’il l’avait entendu arriver. Tout de suite, il se présenta, il n’était pas un spectateur, mais le propriétaire de ce charmant endroit. Voilà qui était fort intéressant et tout des plus imprévus. Jamais il n’aurait pu imaginer rencontrer l’homme à qui appartenait ce lieu. Ce dernier proposait même une visite des lieux, une aubaine pour Chucky un était venu en repérage pour un futur massacre. Enfin, il faudra qu’il ait plus de lui version poupée pour ce faire, car juste lui et l’autre Chucky c’était bien trop peu pour l’idée qu’il avait en tête. En attendant en apprendre plus était le bienvenue. “Enchanté de faire votre connaissance Monsieur Crowford. Je ne m’attendais pas à rencontrer le propriétaire de cet endroit, vous devez en être très fier ?’’ demande t’il, le brosser dans le sens du poil lui semblait être une bonne idée. “Je suis Charles Lee Ray, mais tout le monde m’appelle Chucky.’’ Autant se présenter pour paraître plus poli. Et puis, il doutait que son nom soit connu ici comme celui d’un tueur en série. Dans son monde, aux yeux de tous Charles Lee Ray était mort. C’est ce que tout le monde croyait, son corps humain était mort, mais il avait eu le temps de transférer son âme dans le corps d’une poupée via un rituel vaudou.
Le propriétaire lui proposait une visite, c’était totalement inespéré. L’idiot ne s’imaginait pas qu’il était en train d’offrir à Chucky sur un plateau en argent les clefs de sa future réussite sanglante. “C’est vrai ? Vous pouvez vraiment me faire visiter ?’’ demande t’il en tout innocence et avec surprise. Si cette salle était la plus grande, il en demeurait trois autres plus petites. Voilà qui était intéressant à entendre. Ceci méritait d’être visité. Il parla de la déco qui avait un petit quelque chose d’ancien, comme ce qu’on pouvait voir dans les châteaux européen. Ceci avait un certain charme, mais la décoration et l’art n’était pas vraiment quelque chose qui intéressait notre serial Killer. Chucky voulait tout voir, pas les œuvres, mais les salles pour se donner une idée de ce qu’il serait possible de faire, comment attaquer, comment faire le plus de victime. Il avait déjà en tête les lustres qui ornait le plafond de cette salle. Vous imaginez si un ou plusieurs d’entre eux venaient à tomber. L’idée le fit sourire intérieurement. C’est un tueur créatif, il n’a pas de modus operandi défini, il tue avec tout ce qu’il trouve. Le mot « passage » secret attira particulièrement attention, ça c’était un truc qu’il lui fallait connaître. “Des passages secrets vraiment ! Bien sûr un j’aimerais voir ça. Cet endroit à l’air incroyable. Cela est un plaisir de pouvoir le découvrir. Rassurez vous, je ne dirais rien à personne pour les passages secrets,’’ assure t’il pour avoir l’air d’être un type ultra sympa et surtout fiable.
Fier ? Ho que oui, Henry était fier de son endroit. Il était surtout fier des compliments qu’on lui faisait. Il se nourrissait de tout ça. Il aimait être au centre, récolter les compliments. Il était facile à flatter Henry. Facile, mais pas naïf non plus. Puisqu'il utilisait lui-même la flatterie pour obtenir ce qu’il voulait, il fallait se montrer circonspect et subtil pour qu'il ne remarque pas qu’on tentait de l’avoir avec sa propre médecine. Cependant, il était heureux d’entendre les compliments et il n’avait aucune raison de se méfier du jeune homme devant lui. Après tout, ils n’étaient pas rares, ceux qui après une représentation s’attardaient pour prendre des photos ou avoir la chance d’avoir une visite et une conversation avec le propriétaire des lieux. Même si c'étaient plus souvent des femmes qui s’attardaient. -”Je vous en prie, appelez-moi Henry. Chucky ?” Il trouvait ce surnom un peu étrange, mais qui était-il pour juger. -”Très bien Chucky. Et bien sûr que je peux vous faire visiter. C’est toujours une grande joie pour moi quand on apprécie mon théâtre.” Henry ne voyait pas de malice dans les questions ou le comportement de l’homme devant lui. Pourquoi se méfierait-il ? Lui qui avait toujours eut une vie simple, qui n’avait jamais eu à souffrir de quoi que ce soit, mis à part d’une peine de cœur. Henry, qui avait toujours évolué dans les cercles les plus hauts de la société n’avait jamais été témoin de cruauté sanglante ou d’esprit véritablement pervers qui vivaient pour la douleur des autres. Innocent du pire et de la noirceur, il avait peut-être tendance à ne pas se méfier assez des autres.
Caresser dans le sens du poil par la curiosité à peine dissimulé de ce fameux Chucky, Henry sentit son égo gonfler. Il guida donc l’inconnu dans les différentes salles de représentations. Parlant avec plaisir et sans ambages. Il parlait des techniques de peintures, il parlait des bois utilisés, des tapisseries, des représentations données. Puis il guida le jeune homme dans les coulisses de la salle la plus petite. -”Ho, mais je vous fais confiance pour garder le secret.” Il sourit légèrement et appuya sur une partie du mur qui ressemblait à toutes les autres. Cependant, un mécanisme était caché derrière et un petit clic se fit entendre. Il glissa ses doigts le long d’une rainure qui venait d’apparaitre dans le bois brut et appuya à un point précis pour ouvrir une porte. -”Entrez, mais faite attention, il y a une marche.” Un boyau c’était ouvert devant les hommes, mais il n’était pas sombre, car parfois ouvert sur l’extérieur, cependant les ouvertures étaient tellement bien faites qu’on n’y faisait pas attentions de l’extérieur et qu’on ne se douterait pas qu’il y avait ici un couloir secret. -”En suivant le couloir, vous pouvez passer d’une salle à l’autre sans êtres vue. Il faut cependant connaitre les différentes sorties, car sans savoir où appuyer, vous n’arriverez jamais à trouver les mécanismes à tâtons, où il vous faudrait des heures”.
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Mer 20 Sep - 23:13
Ce type était du pain béni pour Chucky. Sans même l'avoir demandé, il avait l'opportunité de découvrir les lieux, même les endroits les plus secrets qu'il n'aurait jamais dû connaitre. Pour lui qui projetait de faire une massacre quand il sera prêt, il allait pouvoir agir sans qu'on ne le voit venir. Le pire dans tout ça c'est que l'homme, Henry, était tellement content de pouvoir parler de son théâtre, de montrer tous les coins et recoins de ce dernier. Le tueur en série avait même le droit à des explications sur la peinture. Bordel qu'est-ce qu'il n'en avait rien à foutre de la peinture. Intérieurement, il insultait cet imbécile heureux, mais extérieurement faisait mine de s'intéresser avec un large sourire, des "oh", des "ah", des "ah bon"... Cependant, il ne posait pas de question sur l'art ou le type de bois, franchement, ça ne lui disait rien et ce n'est pas ça qui l'aidera à tuer. Une petite idée sadique lui disait qu'il pourrait rependre ces murs avec du sang, histoire de laisser une belle œuvre d'art à ce monsieur Crowford. Est-ce qu'il continuerait à se vanter autant de ça après ?
Ainsi, il visita plusieurs salles, ça lui permettait de voir un peu ou pourrait fuir les gens ou se cacher. Lui même ça lui donnait une idée d'échappatoire et de cachette. Cet endroit était vraiment intéressant. Le plus intéressant était à venir, ce qu'il devait garder secret ! Ce secret, il sera partagé avec ses autres lui, histoire qu'ils puissent naviguer ici librement. Henry toucha le mur à un endroit précis et quelques secondes plus tard se dessina une porte. Ce mur qui quelques secondes avant était "normal" venait de laisser apparaitre une porte qui s’entrouvrait. Intéressant et vraiment invisible. "Je comprends quand vous parliez de passage secret. Si on ne connait pas, c'est impossible de connaitre. C'est très bien fait, l'illusion est parfaite, impressionnant !" dit Charles en y allant dans le sens du poil histoire de gonfler l'égo de son interlocuteur qui semblait déjà si fier.
Voilà qu'ils s'engouffraient dans un passage très sombre, un couloir dont il ne voyait pas la fin et devait surement rejoindre divers endroit du théâtre. Histoire d'y voir plus clair, Chucky sortit ton téléphone pour utiliser la lampe torche de ce dernier. "Les autres portes sont aussi bien caché que la première ? C'est identique ici, si vous voulez en sortir ?" demande t'il. C'est vrai que le mur semblait lisse, sans réelle aspérités. Difficile de savoir ou ça va et ou sont les "portes". "Il y a une raison à ce passage secret ? Tous les théâtres en ont ?" demande t'il histoire de s'intéresser. Est-ce que les lieux modernes avaient ça ? C'était peut être pratique pour aller d'une scène à l'autre sans passer par les coulisses ou la salle et ainsi, déranger personne, sans faire de bruit en plus de ça.