Quand on prend son rôle trop à coeur (Luisa&Hector)
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Hector Rivera
▿ Ton univers : Coco
▿ Date de naissance : 30/11/1983
▿ Age : 40
▿ Métier : Aide Bruno dans son entreprise de temps à autre (relation clientèle) et musicien de rue
▿ Quartier : Raccon Square (il squatte)
▿ Côté cœur : " Bruno, Todos piensan que saben todo sobre mí. Me abofetean con etiquetas, escupen sus fábulas. Llegaste, sabías que estaba mintiendo. Viste el yo ideal. Y sí, ese es el verdadero yo. "
" Imelda...Si sólo supieras cuánto te he amado todos estos años, pero... ya lo superé. Entiendo lo que te hice... "
" Coco, Miguel, Mi hijos. Sabéis que siempre puedes contar conmigo, pase lo que pase. "
Celà lui faisait une éternité qu'il n'avait plus rien à faire... Enfin dans le sens où il n'était plus là pour rendre service à grand monde. Alors l'enthousiasme d'Hector battait son pleins quand il se retrouva à pouvoir aider Bruno dans sa petite entreprise. Et aussi... parce que c'est Bruno, il voulait faire ca bien. Il voulait réellement l'aider et se rendre utile.
Il avait besoin de voir dans son regard une certaine fierté ou du moins le fait qu'il soit heureux qu'il soit près de lui. En temps normal, Hector n'est pas autant attaché à celà mais dans ce cas de figure... oui. Parce que Bruno était devenu important pour lui très rapidement. Parce que peut être est-ce le premier réellement qui lui a tendu la main quand il en avait besoin.
Quoi qu'il en soit, il était décidé à ne pas rester les bras croisés et vouloir aider... Il le faisait gratuitement vu que de toute manière, il était logé chez lui. C'était un peu un bon retour des choses. (en plus)
Aujourd'hui, c'était les impayés dont il s'occupait ! Parce qu'il a bien vite compris que Bruno et devoir taloner les gens pour avoir son dû... C'était compliqué pour lui. Et Hector était prêt à le faire ! Il n'en avait pas peur et il mettrait tout ce qu'il a pour arriver à ses fins. Alors il reprend la pile de dossiers. (parce qu'il en avait visiblement beaucoup qui profitait de la gentillesse de Bruno. Mais ce temps là c'est terminé.) Et il commence à passer ses appels.
Jusqu'à ce qu'il arrive à une fiche avec un nom, une adresse mais sans numéro de téléphone. Hector ne fait absolument pas attention au fait que le nom de famille coordonne avec celui de Bruno. Et après en avoir eu assez de téléphoner sans cesse, il décide de se diriger vers le foyer de cette fameuse personne pour lui soutirer son argent.
Il prend son courage à deux mains. Se prépare son speech... Fait des exercices d'articulation avant de sonner à la dite porte. Il se racle la gorge, se redresse et attend avec un large sourire ironique qu'on vienne lui ouvrir. Une porte qui s'ouvre sur une jeune femme assez impressionnante au niveau du gabarit. Bien plus grande que lui et qui pourrait peut être lui faire décoller la tête en une baffe.
Son sourire se perd alors qu'il arbore un visage totalement décontenancé en remontant des pieds à la tête du regard sur la silhouette de son interlocutrice. Il en perd même son discours. Il reste là, avec un air tout sauf intelligent pendant quelques secondes.
Il n'allait quand même pas se dégonfler ? Non non non... Il finit par se ressaisir à temps.
" Bonjour ! Je travaille pour... la société de... " Il a un nom de société Bruno ou pas ? Il sait plus. Il réfléchit l'espace d'une seconde en se grattant la tête. " ... Oui de la dératisation de votre appartement et... je dois vous annoncer qu'il y a une facture impayée à votre nom ! Je viens vous prévenir que nous ne sommes pas très content de... tout ça et que... Ca serait... " Peut être devrait-il se calmer un peu pour la suite. Il venait de ressusiter, ca serait bête de perdre la vie aussi rapidement... " ... ca serait gentil de payer... Sachez que j'ai un cousin Julio pas très commode et... plus grand et baraqué que vous ! Alors j'ai pas peur ! Non ! " Le fameux cousin imaginaire d'Hector Rivera. Il a bon dos.
Luisa était de ce genre de personnes qui accordait une grande importance à sa famille, quel quelle soit, chaque membre avait sa place, un rôle à jouer et elle les aimait tous alors lorsqu'elle est arrivé dans ce monde, être séparé d'eux avait été très difficile. Heureusement aujourd'hui ce temps était révolu et elle avait retrouvé une bonne partie de sa famille, même si elle n'était pas encore complète, elle savait que ça allait venir, il fallait s'armer encore de patience, certes c'était long mais elle gardait espoir. Elle pouvait compter sur Stitch pour la soutenir et puis ils avaient le Malekai qui était également très important pour elle, c'était bien plus qu'un complexe sportif. C'était une sorte de deuxième maison, où elle pouvait exercer ce qu'elle aimait le plus, où elle pouvait rencontrer des gens et leur permettre d'avoir un havre de paix, un endroit où ils pouvaient se sentir bien. Luisa appréciait sa vie désormais même si il y avait encore certaines ombres au tableau, c'était de mieux en mieux.
La brune était en train de faire le ménage dans son appartement lorsqu'on sonna à la porte, elle éteignit l'aspirateur, le fit tomber par terre en douceur et alla à la porte afin d'ouvrir. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle tomba sur quelqu'un qu'elle n'avait jamais vu auparavant. En la voyant le gars perdit son sourire et ne dit rien pendant quelques secondes ce que Luisa ne comprit pas pendant un court lapse de temps jusqu'à ce qu'il prenne la parole et lui explique le pourquoi de sa venue. Elle fronce les sourcils, ce gars travail alors pour Bruno mais pourquoi ce dernier l'aurai envoyé chez elle pour réclamer une facture alors qu'il ne la faisait pas payé. "Pardon mais vous devez surement vous trompez." Commença t'elle à expliquer mais son interlocuteur n'avait l'air commode et insista sur le fait qu'ils n'étaient pas très contents pour tout ça, et là il fit quelque chose qui la surprit. "Est ce que vous êtes en train de me menacer ?" Répondit la jeune femme sur le même ton, les sourcils toujours froncés, là c'était elle qui n'était pas contente, le gars se permettait de dire des choses alors qu'il ne la connaissait même pas, bon encore une fois son gabarit impressionnait souvent en premier lieu. Puis elle se calma un peu comprenant que tout ceci était un quiproquo et que le gars en question ne devait pas savoir son lien de parenté avec Bruno parce qu'elle était sur que ce n'était pas ce dernier qui l'avait envoyé ici. "Bon je pense qu'il y a un sacré malentendu. Mon oncle ne m'a pas prévenu de votre visite." Lui énonça la brune afin de remettre le contexte dans le bon ordre.