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| [TERMINÉ] Fading Light (ft Anakin) | |
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Mar 5 Jan - 22:36 |
| anakin & alice / janvier 2021dans le jaillissement du volcan de notre être, le venin accumulé en nous ne suffirait-il pas à empoisonner le monde entier ?
Entre le boulot et les cours, Alice avait besoin de se détendre et même si elle aimait le calme et la solitude, il lui arrivait de se sociabiliser et d’aller écouter de la musique au Pandemonium. Ce qu’elle aimait particulièrement, c’était les soirées à thème. Elle découvrait ainsi ce nouveau monde et ce qui existait dans celui des autres. Autant que certains sons qu’elle entendait n’étaient pour elle que cacophonie, mais d’autres étaient intéressants. Surtout ce qu’elle aimait, c’était des chansons dans lesquelles elle se retrouvait, et qui était souvent d’un genre musical appelé rock. Elle avait d’ailleurs adopté un style vestimentaire qui allait dans ce sens. On lui avait dit un jour que c’était gothique, pour elle c’était surtout un style dans lequel elle se reconnaissait et qu’elle aimait. Certes les habits londoniens des années 1800 étaient jolis aussi, mais la jeune femme préférait se défaire de ce qu’elle avait connu, comme un nouveau départ. Ce soir-là il n’y avait pas de thème, mais les musiques étaient tout à fait supportables. Alice décida donc de rester, mais à peine eut-elle fait quelques pas dans la pièce qu’un type éméché s’approcha un peu trop d’elle et se montra familier. Il faut croire qu’elle avait le chic pour s’attirer tous les tordus qui puissent exister dans ce monde, dans le siens, et dans ceux des autres… Néanmoins elle avait maintenant l’habitude de ce genre de dégénérés, et sans se laisser impressionner, Alice le repoussa avant d’aller s’installer au bar pour commander à boire. A force de n’être qu’au contact de ces mâles en rut qui ne voient dans les femmes qu’un objet sexuel, Alice se demandait si être un homme englobait forcément le fait d’être un pervers. Son père ne l’était pas pourtant… Profitant de sa soirée sans se soucier outre-mesure des imbéciles qui avaient décidé de venir se distraire ici aussi, Alice resta cependant vigilante, sachant que ce genre d’incident pouvait se répéter, voire pire, que ce soit le même naze qui vienne retenter sa chance. Déjà qu’un homme sobre ce n’était pas la gloire, mais avec un coup dans le nez… Finalement, après un moment à écouter la musique proposée et trois cocktails plus tard, Alice décida qu’il était temps de rentrer chez elle. Elle s’était assez détendue pour la soirée et ne devait pas oublier qu’une bonne nuit de sommeil était plus importante que toute sorte d’amusement, surtout lorsqu’on avait un travail où il fallait s’occuper d’enfants. Hors de question de ressembler à un mort-vivant, surtout lorsqu’on avait déjà une peau pâle et des cheveux couleur de jais, et d’effrayer ces petits cœurs. Et puis elle voulait être parfaitement alerte pour eux, or à cet âge-là, ces petites terreurs possédaient beaucoup d’énergie. Il lui fallait donc suivre le rythme, et rien ne devait se mettre sur sa route. Il fallait aussi qu’elle soit suffisamment reposée pour être capable de suivre ses cours. Mais une fois dehors, Alice se rendit compte que quelqu’un la suivait. Après tout ce qu’elle avait vécu, son instinct ne pouvait pas la tromper et elle fit donc aussitôt volte-face. Sans grande surprise, c’était le pervers de tout à l’heure, celui qui l’avait déjà pris pour une poupée avec laquelle il pourrait s’amuser avant de la jeter tout en l’insultant. Le regard noir, prête à se défendre, la jeune femme dans le corps d’une trentenaire ne ressentait aucune peur. A la place, c’était plutôt le même dégoût qu’elle avait eu face à Bumby, et la même volonté de l’empêcher de nuire. Pourtant, avant qu’une empoignade se fasse, ils se retrouvèrent bientôt à trois dans cette ruelle mal éclairée, et vu le regard de l’ivrogne, ce n’était pas un de ces amis… De là à savoir si c’était une bonne ou une mauvais nouvelle, Alice préférait s’attendre au pire. De toute façon, dès qu’il s’agissait d’homme, il y avait un moment maintenant qu’elle avait perdu tout espoir. (c) mars.
Dernière édition par Alice Liddell le Lun 13 Sep - 21:17, édité 1 fois |
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Ven 22 Jan - 21:08 |
| ϟ Ma vie entant que chevalier Jedi me manquée, si au début, j'avais retrouvé mes repères en retapant des véhicules, à présent je trouvais le tout redondant. Fouiller les décharges, comme lorsque j'étais enfant, ramener des pièces qui pourraient fonctionner, puis créer à nouveau. Je mettais même donné comme objectif de fabriquer un droïde, tout comme je l'avais fait pour C3PO, seulement dans ce monde, le technologie n'était pas assez avancée. Puis j'étais rentré dans le monde de la course, que se soit en moto ou en voiture, j'adorais ressentir l'adrénaline monter en moi avant chaque course, la vitesse, aller toujours plus vite, toujours plus loin. Dans mon garage, j'étais toujours autour de mon véhicule de course, pour en faire une bête de vitesse, rangeant mes outils, je me redressais tout en me passant une main sur le visage. Ce véhicule ne serait jamais aussi rapide, que ceux que j'avais pu fabriquer sur Tattoine, j'avais bien besoin d'un bon remontant, sinon j'allais à nouveau sombrer dans la nostalgie.
Le Pandemonium, un endroit parfais pour oublier, un lieu que Obi-Wan n'aurait jamais approuvé, sauf pour y faire des affaires. Oui même entant que Jedi, il arrive, qu'on soit obligé de travailler avec de la racaille, enfin dans mon cas, c'était loin d'être le cas, on pouvait même dire que c'était moi la racaille ici. Ayant pris une douche avant de venir, j'avais enfilé des vêtements amples, le genre que j'avais l'habitude de porter, la d'où je venais. Puis il y avait bien un accessoire qui me manqué, mon sabre laser, sans lui, j'avais la sensation d'être nue. Commandant un verre de whisky, j'aperçus au loin un homme, qui venait d'être remis en place par une femme, j'eu un sourire en coin, bien fait pour sa gu*ule. En aucun cas je ne voulais devenir ce genre d'homme, j'en étais même dégoûté, pour ce qui était de la femme, je devais admettre que son style, son regard me rappelait des souvenirs ... Sombre, les ténèbres, la folie ... Me perdant dans mes pensées, je me rendis compte que je venais de me voir, comme dans un miroir, mais en version féminine. Relevant la tête, celle-ci n'était plus la, de même pour l'autre homme d'ailleurs, soupirant, je payé ma consommation, avant de sortir.
Je n'avais pas perdu de mon sens de l'orientation, encore moins de mes compétences en pistage. Quand on reçoit une formation de Jedi, il n'y a pas que la force qu'on nous enseigne. La nuit était sombre, la lune absente, mais je pouvais tout de même voir une silhouette titubante, s'approcher d'une autre, plus fine, plus élancée. Pressant le pas, je reconnu l'odeur fétide d'un ivrogne, bousculant celui-ci, pour l'éloigner de la femme, je regardais celui-ci, comme ci il était le plus grand déchet du monde.
-Alors, tu n'a pas compris la première fois ? Non cette fois-ci tu as choisi de te faufiler comme un rat, tu as peut-être besoin qu'on te rappel les bonnes manières ? Je pense que se sera à la dame de choisir
Dis-je en regardant la brune, m'inclinant, l'invitant à coller une râclée à cette ordure, sauf si elle préférée que je m'en charge, à moins qu'on laisse juste cet ivrogne décuvé dans le caniveau.
H. P. Lovecraft
Dernière édition par Anakin Skywalker le Sam 6 Fév - 19:55, édité 1 fois |
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Ven 29 Jan - 11:23 |
| anakin & alice / janvier 2021dans le jaillissement du volcan de notre être, le venin accumulé en nous ne suffirait-il pas à empoisonner le monde entier ?
Attendant de voir ce que les deux hommes allaient faire, bien qu’elle ait une idée précise pour au moins le premier, Alice fut surprise lorsqu’elle entendit la voix du second homme s’élever dans la nuit. Il parlait d’un ton calme et menaçant, le genre qui ne donne pas envie de le contrarier mais plutôt de partir le plus rapidement possible, tout en priant pour ne pas mourir au moment où l’on détournerait le regard pendant sa fuite. Une façon de parler qui lui rappelait celle qu’elle-même pouvait utiliser face à des individus qui la dégoutaient, comme cet ivrogne ici présent. « Alors, tu n’as pas compris la première fois ? Non cette fois-ci tu as choisi de te faufiler comme un rat, tu as peut-être besoin qu'on te rappelle les bonnes manières ? Je pense que ce sera à la dame de choisir. » Ainsi l’homme encapuchonné avait suivi celui qui était ivre en s’apercevant qu’il la filait. Inutile de s’interroger sur ses intentions. Mais s’il pensait pouvoir obtenir ce qu’il voulait une fois à l’extérieur, loin des regards, il se trompait lourdement. Loin de témoins oculaires, Alice n’aurait aucun scrupule à l’envoyer rejoindre ses ancêtres, comme elle l’avait fait avec Bumby. Elle n’était pas d’une nature violente, mais face à ce genre d’individu, elle pouvait facilement replonger en pleine hystérie. Plus jamais elle ne se laisserait abuser, et plus jamais elle ne laisserait d’autre personne être victimes de tels mécréants. Pas tant qu’elle aurait le pouvoir d’agir. Aussi, devant la généreuse proposition de l’homme en noir – qui lui était surprenante puisque dans son monde d’origine on estimait que les femmes étaient trop fragiles pour mettre un soufflet à un homme – Alice, qui était déjà en colère devant la bassesse et la perversité de l’ivrogne, s’approcha et mit un monumentale coup de pied dans les bijoux de famille de son harceleur. Ce dernier tomba direct en avant, le visage déformé par la douleur. Et ce n’était sûrement pas son taux d’alcoolémie qui allait l’aider à garder la face. Désormais à sa place, c’est-à-dire allongé près des détritus, Alice laissa échapper un soupir de satisfaction avant de se tourner vers l’homme toujours debout. « Je… Merci. » fit-elle, ne sachant trop comment se comporter, maintenant qu’il avait pu constater qu’elle n’avait rien de la femme en détresse et qu’elle savait parfaitement se défendre. « Je m’appelle Alice. » reprit-elle, sans savoir si elle devait se présenter où simplement écourter la conversation et se dépêcher de rentrer chez elle. Elle n’était déjà pas très douée socialement dans son monde, alors dans ce celui-ci où chacun avait une manière de vivre différente… (c) mars. |
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Sam 6 Fév - 19:56 |
| ϟ J'en avais vue des ordures de ce genre, j'en avais été écœuré, comment on pouvait traiter ainsi une femme ? Lorsque je n'étais qu'un petit garçon, je voyais les esclaves, la peur dans leurs regards, l'horreur de ce qui pouvait leurs attendre, ça n'arriverait plus, pas en ma présence. Ce genre d'homme, avait besoin qu'on lui rappel ou était sa place, je proposé à la brune de s'en charger, j'avais bien lu son hésitation dans son regard, pire, la peur, puis son regard changea, elle était déterminée et je ne pouvais que lui laisser place. J'eu un sourire en coin, devant l'attaque de la brune, c'était plus que bien visé et à présent, l'ivrogne se retrouvé à même le sol, la ou devait être sa place. Déchet, qu'il reste ainsi échoué sur le trottoir, je n'avais qu'à le regarder gémir de douleur, pour ne ressentir que du dégout envers ce qu'on pouvait appeler "un homme". Gardant mon calme, même dans le noir, mon regard voulait tout dire. A présent, je gravais le visage de cet homme, si je le recroisais à faire la même erreur, cette fois-ci, il ne pourrait plus jamais se relever.
La femme fini par se retourner vers moi, des paroles fragiles sortants de sa bouche, je ne pouvais que me contenter de hocher la tête, c'était ainsi qu'on m'avait appris à accepter un "merci". Aucun Jedi ne doit se vanter, la violence ne devait être utilisée qu'en cas de danger immédiat, oui, pour moi le danger avait plusieurs définitions. D'ailleurs je me considérais comme un Jedi, mais n'avais je pas fini Sith ? Ce n'était pas le moment de me poser ce genre de question, alors que la brune venait de se présenter, j'en fis de même.
-Enchanté Alice, je me nomme Anakin Skywalker, j'ai vue cet homme vous suivre à la sortie du bar ... Ce genre d'être me répugne, alors j'ai préféré le suivre, je dois admettre, que je suis heureux de l'avoir fait
Puis je regardais le sol, un petit sourire en coin, avant de regarder Alice.
-Maintenant que cet ivrogne a retrouver sa place, voulez vous que je vous raccompagne ?
H. P. Lovecraft
Dernière édition par Anakin Skywalker le Dim 25 Avr - 12:25, édité 1 fois |
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Ven 12 Mar - 19:40 |
| anakin & alice / janvier 2021dans le jaillissement du volcan de notre être, le venin accumulé en nous ne suffirait-il pas à empoisonner le monde entier ?
Il n’était jamais évident de savoir ce qu’un homme allait tenter dans ce monde. Alice en connaissait quelques-uns qui étaient gentils, mais pour elle, la plupart ne restait que des monstres en sommeil. Ce qu’elle avait appris de sa vie à la maison de redressement continuait de façonner son esprit, et ce serait le cas jusqu’à son dernier souffle, à n’en pas douter. Les hommes se considéraient comme des dieux tandis que la femme n’était qu’un objet créé pour leur seule satisfaction. Elles n’avaient pas le droit de penser, de protester et encore de se rebeller. A les entendre, elles devraient même se réjouir de cet état d’esclavage dans lequel elles étaient maintenues. N’était-ce pas à cette vie que Bumby tentait de la préparer ? Mais Alice, malgré tout ce qu’elle avait pu subir et continuait de subir sous son emprise, avait été plus forte. La vérité à fleur de peau ne demandait qu’à éclater au grand jour, et elle était parvenue à déjouer les méandres de son esprit pour vaincre sa folie comme son psychiatre. Désormais libre, elle comptait bien utiliser son émancipation pour vivre, pleinement et réellement, mais aussi et surtout pour venir en aide aux autres. Plus question de laisser les autres décider pour elle, et encore moins de les laisser la réduire une fois de plus au statut de victime. Elle préférait mourir debout que vivre à genoux. Or, en venant se frotter à elle avec autant d’indécence, cet ivrogne avait signé son arrêt de mort, ou plutôt le droit de finir exactement là où était sa place : dans les poubelles. Néanmoins, Alice préféra se méfier du second homme arrivant derrière le premier. Peut-être étaient-ils complices ? La trentenaire eut rapidement sa réponse, qui était négative. Au lieu de prêter mainforte à ce déchet humain, l’inconnu encapuchonné prit sa défense et lui permit de se venger. Après une brève hésitation, Alice lui assena donc un puissant coup de pied dans les bijoux de famille. Avec un peu de chance, il ne pourrait jamais se reproduire et sa génétique de pervers s’éteindrait avec lui. Relevant son regard vers le second homme, Alice le remercia et se présenta. Elle n’était pas encore certaine de ce qu’elle devait penser ou attendre de lui, mais elle lui accordait le bénéfice du doute. Jusqu’ici, elle n’avait encore jamais croisé des larrons qui se trahissaient de cette manière. Harceler et agresser les femmes étaient bien plus divertissant pour eux. « Enchanté Alice, je me nomme Anakin Skywalker. J'ai vu cet homme vous suivre à la sortie du bar... Ce genre d'être me répugne, alors j'ai préféré le suivre. Je dois admettre que je suis heureux de l'avoir fait. » L’intéressée l’observa sans mot dire, cherchant à jauger à quel degré il pouvait mentir. Car s’il était venu à son secours, peut-être était-il un prédateur encore plus dangereux. Alice avait appris à ne pas se fier aux apparences et à tout ce qu’on lui racontait. Bumby n’avait-il pas prétendu pendant des mois vouloir l’aider, alors qu’au final il voulait simplement la transformer en épouse-jouet ? Tandis qu’elle l’observait, Anakin regardait l’ivrogne. Étrangement, même si elle ne pouvait voir son regard, elle y devina tout le mépris qu’il affichait à l’homme étendu dans les poubelles. Puis il en revint à elle. « Maintenant que cet ivrogne a retrouvé sa place, voulez-vous que je vous raccompagne ? » Instinctivement, Alice eut envie de répondre par la négative. Accepter la protection d’un homme ? Plutôt mourir ! Néanmoins, elle ne tenait pas à le vexer. « C’est aimable, mais je pense pouvoir m’en sortir. Comme vous le constatez, je vise assez bien le point faible des hommes. » fit-elle avec un sourire en coin. Et puis la conversation aurait pu se terminer là. Alice aurait pu tourner les talons et s’éloigner tandis que cet homme rebroussait chemin jusqu’au bar. Mais une question lui vint. « Un doute me titille. Si vous avez remarqué que cet homme me suivait, c’est donc que vous m’espionniez aussi ? » s’enquit-elle en croisant les bras sur sa poitrine, curieuse d’entendre les explications de ce fameux Anakin. Certains la traiteraient sûrement de parano, et certainement qu’ils auraient raison. Mais Alice avait trop souffert pour laisser les choses au hasard. Méfiante, elle se devait de l’être surtout lorsqu’elle se retrouvait seule dans une ruelle sombre avec un parfait inconnu. (c) mars. |
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Dim 25 Avr - 12:26 |
| ϟ Il n'y avait qu'à voir le regard de cette jeune femme, pour comprendre que son passé était lourd, c'était aussi écrit sur son visage, qu'avait-elle vécu ? J'étais curieux, mais je devais me montrer respectueux, c'était ce que m'avait pris maître Obi-Wan, si je voulais retourner du côté de la lumière, je devais à nouveau suivre ses conseils. Cet homme avait à présent retrouver sa place, dans les ordures, il devrait bien s'entendre avec, pensais-je avec un petit sourire en coin, après tout, entre ordures, c'est comme ci il venait de rentrer chez lui, pour y retrouver sa famille. J'étais encore "gentil" dans mes propos, car je voyais celui-ci pire qu'une ordure, mais je ne devais pas sombrer. Me retournant vers la jeune femme, celle-ci venait de se présenter et j'en fis de même, j'admettais l'avoir suivi, oui ça pouvait paraître bien étrange, mais si sur le moment cette femme m'avait intriguée, lorsque j'avais vue l'homme la suivre, j'avais eu un mauvais pressentiment. Faire confiance en la force, elle est partout en nous, je devais lui faire confiance, je devais veiller sur cette jeune femme. Du haut de mon mètre 85, je voyais un petit bout de femme face à moi, pourtant, il y avait quelque chose de très fort en elle, c'était même toute autour elle, elle avait crée cette force. Proposant à la brune de la raccompagner, je ressenti du doute, chose normal, qui souhaite qu'un inconnu nous approche ? Je n'avais pas encore retrouvé ma force Jedi, mais je pouvais sentir quelque chose, c'était fort ... Lorsqu'elle reprit la parole, j'eu un rire, ah oui effectivement, une battante, elle me rappelait Padmé, le genre de femme qu'il est préférable de ne pas embêter. J'hochais la tête, respectant son choix, mais Alice n'avait pas fini, je l'écoutais alors attentivement, comprenant ou elle voulait en venir. "Je comprends parfaitement ... J'étais au bar tout comme vous, lorsque je vous ai vue, j'ai ressenti une grande force, c'est ici que je passe pour un idiot" dis-je avec un léger rire, car ici, personne ne connaissait la force. "Puis lorsque vous avez quittez ce bar, j'ai vue l'homme vous suivre et ... Quelque chose m'a dit que je devais vous protéger, que ça n'allait pas bien se passer". Les visions de ma mère, de Padmé ... Je fermais les yeux, je devais contrôler la force, heureusement celle-ci était encore peu présente, alors je devais me préparer, surtout lorsque j'allais retrouver celle-ci. Je n'avais plus ce droit de sombrer.
H. P. Lovecraft
Dernière édition par Anakin Skywalker le Ven 23 Juil - 13:46, édité 1 fois |
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Sam 19 Juin - 20:11 |
| anakin & alice / janvier 2021dans le jaillissement du volcan de notre être, le venin accumulé en nous ne suffirait-il pas à empoisonner le monde entier ?
Qu’un homme veuille l’aider, Alice avait beaucoup de mal à y croire. Ceux qu’elle avait approcher n’était que des lâches, des pervers, des manipulateurs, des imbéciles… La liste de leur « qualités » pouvait être longue. Aussi, bien qu’il prétende s’être inquiété pour elle en voyant l’autre homme sortir, la brune restait sur ses gardes, prête à bondir au besoin. Il ne fallait jamais baisser sa garde en présence du sexe fort. Une expression qu’elle trouvait amusante d’ailleurs, vu la rapidité avec laquelle on pouvait les mettre à terre en frappant justement un grand coup dans ces fameux bijoux de famille. Enfin, il fallait bien qu’ils se rassurent comme ils peuvent. Toujours est-il que la jeune Alice avait appris à les affronter très tôt et qu’elle ne comptait pas s’arrêter maintenant. Donc, même si ce second homme affirmait être là pour la protéger, elle le mit au pied du mur en lui faisant remarquer qu’il devait forcément l’observer aussi pour s’apercevoir de la scène. Une question piège, en somme, et il avait intérêt à choisir les bons mots s’il ne voulait pas se retrouver allongé à côté de l’autre. « Je comprends parfaitement... J'étais au bar tout comme vous, lorsque je vous ai vue, j'ai ressenti une grande force, c'est ici que je passe pour un idiot. » Alice fronça les sourcils et croisa les bras. Il y en avait un qui n’allait pas tarder à rejoindre les poubelles… Pourquoi le prendrait-elle pour un idiot ? Elle trouvait au contraire que c’était plutôt cohérent qu’on la trouve forte. Elle l’était, et nul doute que ça transparaissait sur son visage et dans son attitude. Et maintenant qu’il se mettait à rire tout seul, Alice se dit qu’elle avait bien fait de rester sur ses gardes. Cet homme qui lui avait paru sensé l’espace d’un instant était peut-être un cinglé en fin de compte. « Puis lorsque vous avez quitté ce bar, j'ai vu l'homme vous suivre et... Quelque chose m'a dit que je devais vous protéger, que ça n'allait pas bien se passer. » Alice l’observait, immobile. Elle ne savait quoi penser de cet homme. Une partie d’elle avait tendance à vouloir accepter son explication ; après tout, s’il avait voulu lui faire du mal ils ne seraient en train d’avoir cette conversation. Pourtant, une autre partie d’elle entrevoyait son côté sombre et l’obligeait à rester méfiante. « Très bien, disons que je vous crois : qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » l’interrogea-t-elle. « Vous me raccompagnez chez moi et on devient amis ou chacun repart de son côté maintenant que le vilain monsieur est hors d'état de nuire ? » reprit-elle avec cynisme. Une fois encore, Alice lui posa une question piège. Si elle cherchait à le faire fuir, elle ne pouvait s’y prendre mieux. Néanmoins, elle préférait se dire que c’était une façon de le jauger car au-delà de la réponse qu’il donnerait, ce serait sa manière de réagir qui en dirait long sur lui. Définitivement, sa méfiance envers les hommes était infinie. A sa décharge, ils avaient presque réussi à la détruire. (c) mars. |
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Ven 23 Juil - 13:47 |
| ϟ Attention, cette jeune femme avait peut-être des allures de poupée de porcelaine, il n'y avait qu'à croiser son regard, pour voir qu'elle pouvait être redoutable. Ayant encore du Vador en moi, je savais ce que c'était que d'être poussé à bout, puis de finir par craquer. La brune avait déjà vécu ce genre d'expérience, comment je le savais ? C'était difficile à dire, la "force" était quelque chose qu'on ne pouvait expliquer aussi facilement, mais j'avais ressenti quelque chose de fort chez la brune, puis en voyant cet homme la suivre, disons que j'en avais eu la nausée, j'avais eu peur pour elle et ce besoin de la protéger, alors oui, je l'avais suivi. A présent que j'étais face à la brune, ayant eu raison sur cet homme, je pouvais encore mieux voir les blessures de son âme, je ne pouvais la brusquer, je devais mesurer chacune de mes paroles, je tenais à mes "bijoux". J'avais été très honnête envers elle, sâchant aussi que cette ville était pleine de surprise, bonne ou mauvaise, j'avais tout de même fait attention à mes paroles, après, disons que je n'étais pas non plus tout ce qu'il avait de plus doué, concernant la diplomatie, enfin j'étais direct, voir un peu trop, certes j'avais appris à mesurer mes mots, mais je devais m'en donner des gifles mentales. Puis aux paroles de la brune, surtout sa question, j'eu un sourire en coin, ouh la ... En voila du répondant, alors je me contentais de hausser les épaules, finalement peut-être que c'était moi qui finirait tuer, pensais-je assez amusé, même si il n'y avait pas grand chose de joyeux à cette pensée. "Ouahou ça pique" dis-je avec un rire, me passant une main dans les cheveux. "Je peux vous raccompagnez si vous le voulez, tout comme nos chemins peuvent se séparer ici, chacun repartant de son côté". J'avais un micro appartement dans ce quartier, alors je serais rapidement rentré chez moi, pour ce qui était de la brune, non je ne voulais pas la brusquer, après, si j'apprenais le lendemain matin, qu'elle avait été agressée en rentrant chez elle cette nuit, une chose était sur, je m'en voudrais énormément.
H. P. Lovecraft
Dernière édition par Anakin Skywalker le Ven 3 Sep - 12:30, édité 1 fois |
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Ven 27 Aoû - 22:32 |
| anakin & alice / janvier 2021dans le jaillissement du volcan de notre être, le venin accumulé en nous ne suffirait-il pas à empoisonner le monde entier ?
Un homme qui ne cherchait pas à la manipuler ou à obtenir quelque chose d’elle, ça ne pouvait pas exister à ses yeux. Ça n’existait pas dans son monde originel, et ça ne pouvait pas l’être ici non plus. Il y avait toujours eu un rapport de force ascendant de la gent masculine envers les femmes, visant à les réduire à l’état d’objet, et ce n’était pas cette île qui allait la faire changer d’avis. Non, quelle que soit cette nouvelle illusion qu’elle était en train de vivre, elle savait qu’elle allait devoir continuer de se méfier et de se battre pour survivre. Certes elle était débarrassée de son faux psychiatre et avait appris la vérité sur son passé, ce qui lui permettait maintenant d’avancer librement. Mais Alice n’était pas stupide. Elle savait parfaitement que si elle voulait continuer de jouir de sa liberté, elle allait devoir conserver un fort tempérament et imposer sa différence. Son aversion envers les hommes l’aiderait, de même que son caractère franc ou ses tendances psychotiques. Comme quoi, être cinglé avait des avantages. Bref, Alice avait appris à la dure qu’on ne pouvait compter que sur soi-même pour se sortir des situations dangereuses. Donc non, face à l’aide que cet homme lui proposait, elle ne sautait pas de joie ni de soulagement. Elle ne l’envisageait que comme une menace potentielle supplémentaire. Alors quand il proposa de la raccompagner, elle ne se gêna pas pour se montrer cinglante. « Ouahou, ça pique. » répliqua-t-il en riant. La brune l’observa, bras croisés et aucunement vexée. Si ça le faisait rire, tant mieux pour lui. Du moment qu’il n’insistait pas et qu’il ne se montrait pas menaçant, c’était tout ce qu’elle demandait. « Je peux vous raccompagnez si vous le voulez, tout comme nos chemins peuvent se séparer ici, chacun repartant de son côté. » Était-ce un vrai choix ou allait-il la suivre de loin, si jamais elle décidait de rentrer seule ? Vu qu’il avait déjà tenté de jouer les héros en sortant du bar à sa suite - enfin de celle du pervers présentement assommé dans les ordures - elle n’était pas à l’abri qu’il recommence. Ce ne serait pas le premier qu’elle verrait faire ça. Se retournant, Alice avisa la ruelle. Difficile de dire ce qui serait le plus risqué. S’y aventurer seule et tomber sur un gang de pervers ou faire marche arrière et se faire accompagner par cet homme. Reportant son attention sur celui qui se faisait appeler Anakin, elle pencha la tête de côté. C’est vrai qu’il avait l’air sincère en prétendant vouloir l’aider. Malheureusement pour lui, elle n’avait eu que de mauvaises expériences avec l’espèce humaine en générale et avec les hommes en particulier. Il lui faudrait donc plus que cette simple conversation pour qu’elle accepte de faire un effort, surtout si cet effort impliquait qu’il connaisse son adresse. Dans le doute, elle préféra ainsi s’en tenir à sa première idée. « Vous pouvez m’accompagner jusqu’au bout de cette ruelle sordide, mais ensuite on se séparera. A moins que vous ne préfériez retourner au comptoir. » C’était la meilleure proposition qu’elle puisse faire sans passer pour une totale sauvage. Et c’était également à prendre ou à laisser. Dans tous les cas, elle comptait bien rentrer chez elle et terminer gentiment sa soirée en plongeant dans son lit pour rejoindre son pays des merveilles. (c) mars. |
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Ven 3 Sep - 12:46 |
| ϟ J'avais toujours eu beaucoup de respect pour la gent féminine, lorsque je voyais un salopard s'en prendre à une femme, ça avait le don de me mettre hors de moi. Ma mère avait vécu des choses horribles, quand je n'étais qu'un enfant, disons que je n'avais pas été d'une grande aide, malgré tout, je n'avais pas hésité à foncer dans le tas, même si je devais finir tabassé, personne ne levé la main sur ma mère ... Pourtant lorsque j'étais parti, c'était arrivé, j'étais arrivé trop tard ... Il y avait le non respect concernant ma mère, mais j'avais aussi peur pour Padmé, certes elle avait des gardes du corps, mais on avait tout de même voulut la tuer plusieurs fois. Lorsque je l'avais retrouvé, j'étais moi même devenu son garde du corps, c'est la que je mettais encore plus rapproché d'elle, elle m'avait aussi montré de quoi elle capable, surtout dans cette arène, en y repensant, j'eu un léger sourire. Oui j'avais le respect de la femme, car j'avais même sombré pour sauver Padmé, oh j'en étais pas fier, mais j'avais eu si peur ... Alors cette jeune femme ne craignait rien avec moi, mais je pouvais comprendre sa méfiance. Alors que je lui avais tout de même proposé de la raccompagner, je laissé la brune réfléchir, je me voyais très mal la forcer, bien au contraire, se serait vue comme une agression d'insister. Finalement j'hochais la tête à sa réponse, elle acceptée que je l'accompagne dans cette sombre ruelle, avant que nos chemins ne finissent par se séparer, sauf si je préféré retourner au comptoir. Arquant un sourcil, j'eu à nouveau un sourire "Non je préfère savoir que vous êtes en sécurité" dis-je en commençant la marche, puis je repris "N'avez vous jamais penser à investir dans un taser ? Une bombe à poivre ? Si vous vous retrouvez face à une mauvaise personne, au moins, vous auriez quelque chose pour vous défendre" dis-je en haussant des épaules, car après tout, ici il y avait de quoi s'équiper, bon je doute que se soit très légal, mais c'était toujours mieux que se faire agresser.
H. P. Lovecraft
Dernière édition par Anakin Skywalker le Lun 13 Sep - 14:46, édité 1 fois |
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Mer 8 Sep - 22:13 |
| anakin & alice / janvier 2021dans le jaillissement du volcan de notre être, le venin accumulé en nous ne suffirait-il pas à empoisonner le monde entier ?
Difficile de savoir jusqu’où on pouvait se montrer méfiant sans tomber dans la paranoïa. Surtout lorsqu’on avait déjà fait un long séjour dans un asile et qu’on était atteint de psychose. Il faut dire que le monde n’aidait à se montrer plus amical. Entre les pervers, les violents, les hypocrites, ceux qui cherchaient quelque chose à obtenir de vous… Tout était fait pour nous obliger à blinder notre cœur à la gentillesse. Pour survivre, c’était chacun pour soi. Alice n’était pas entièrement contre cette idée, mais pas entièrement d’accord non plus. Avec ses expériences personnelles, elle avait appris à faire la part des choses. Oui, il fallait se montrer extrêmement prudent. Mais à être excessif, on risquait de devenir égoïste et de laisser les autres souffrir sans même se rendre compte de leur détresse. Une leçon qu’elle avait apprise durement. Aujourd’hui, dans ce monde, elle ne pouvait faire autrement qu’aider les enfants et les protéger du mieux qu’elle puisse. Même si ça impliquait de malmener des adultes, ou de donner un coup de pied dans le système judiciaire. Ou dans les rotules d’un parent. Tout ce qui lui importait, c’était que justice soit faite et que les petites gens ne deviennent pas des laissés pour compte. Ainsi, elle approuvait totalement l’utilisation de moyens peu conventionnels envers les vicieux et autres raclures humaines. Désormais débarrassée de l’importun, Alice faisait toujours face à l’homme qui était sorti de la boîte de nuit pour lui porter secours. Une chose qu’elle n’avait jamais vu. Un homme qui se déplace pour l’aider, elle, sans rien attendre en retour ? Impossible. Le monde ne fonctionnait pas ainsi. Pourtant, elle ne pouvait nier que cet homme était bel et bien là et qu’il n’avait pas chercher à lui faire de mal. Que ce soit en parole ou en acte, tout était cohérent avec son discours de chevalier protecteur. Alors après un instant de réflexion, Alice décida de ne pas sombrer dans la paranoïa et d’accepter son offre. Cependant, elle refusait qu’il sache où elle habitait et proposait donc qu’il l’accompagne uniquement jusqu’au bout de cette ruelle. Si seulement tout cela se passerait dans sa tête… Elle aurait accès à ses armes et tout serait plus facile… « Non, je préfère savoir que vous êtes en sécurité. » assura-t-il lorsqu’elle évoqua la possibilité qu’il retourne jouer les piliers de comptoir. La brune hocha la tête et se mit en marche sans plus attendre. « N'avez-vous jamais pensé à investir dans un taser ? Une bombe à poivre ? Si vous vous retrouvez face à une mauvaise personne, au moins, vous auriez quelque chose pour vous défendre. » Alice haussa un sourcil. Elle n’avait décidément jamais rencontré quelqu’un comme ça, qui se soucie à ce point de sa sécurité. L’espace d’un instant, elle songea même à Bumby à cause du niveau d’insistance dont Anakin faisait preuve à son égard. Heureusement pour lui, il n’essayait pas de lui faire oublier la réalité. Sinon, elle serait déjà à la recherche de la gare la plus proche à se renseigner sur les prochains horaires de train… « Je ne sais pas de quoi vous me parler. » fit-elle en haussant les épaules. « Cela dit, j’ai déjà eu une arme avec du poivre et c’est vrai que c’était efficace. » fit-elle en repensant à son moulin à poivre, un sourire nostalgique et énigmatique aux lèvres. Car non, elle n’allait pas ni lui raconter sa vie, ni lui conter ses aventures psychologiques au pays des merveilles lorsqu’elle avait dû se battre contre le marionnettiste. (c) mars. |
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Lun 13 Sep - 14:47 |
| ϟ Tout en regardant la brune, je pouvais lire son malaise, son hésitation, elle ne savait pas quoi faire. En faite, elle était même en train de m'étudier, si j'étais apte à lui faire du mal, si j'étais vraiment honnête, en faite ... Je ne savais pas dans quel genre de monde elle avait grandit, mais il n'y avait qu'à voir sa méfiance, pour deviner que les hommes n'avaient pas forcément un bon rôle. C'était tout de même horrible d'en arriver la ... J'avais grandi dans la "misère", et personne n'était tendre avec les plus faibles, ma mère qui n'avait pas de quoi payer, juste une esclave, et moi, fils d'une esclave, rêveur, se voyant pilote, libérant sa mère de cette planète de sable. C'est en rencontrant les jedis qui ma vie avait changé, mais pas pour ma mère ... J'avais appris le code jedi, je respectais celui-ci, de plus, ce n'était pas dans mon genre, de venir faire du mal à la gent féminine, je n'en voyais aucun intérêt. D'ailleurs, c'était quoi cet intérêt à faire le mal ? Oh oui j'avais sombré du côté obscur, mais de base, c'était pour sauver Padmé, je ne cessais de la voir mourir, je ne voulais pas que ça arrive, j'avais déjà perdu trop de monde, alors pas ma femme. Bref, je revins à l'instant présent, je venais tout de même, de me montrer honnête avec la brune, je me sentirais mieux si celle-ci finissait en sécurité, d'ailleurs, je lui proposa même des petites armes de défense, car oui, les couteaux visiblement c'était mal vue ... Alors si elle pouvait au moins repousser la personne en question, puis fuir. J'arquais un sourcil à sa réponse, quelque part, je n'étais pas étonné, surtout qu'elle ne venait pas du même monde que moi, concernant cette ville, il y avait encore des choses qu'elle ne connaissait pas, ça aurait pu attiser ma curiosité, seulement je n'allais parler davantage, il n'y avait qu'à voir sa méfiance, pour savoir quand il faut se stopper et se taire. Puis j'eu un sourire à sa réponse "Dans ce cas ... Gardez la tout le temps sur vous la prochaine fois" dis-je en haussant les épaules, n'ayant aucune idée de à quoi pouvait bien ressembler cette arme. Même si j'aurais voulu en savoir davantage sur cette femme, je respectais sa méfiance, me contentant de l'accompagner dans les ruelles sombre, jusqu'à notre destination, tout en continuant de laisser celle-ci, choisir ce qui lui convenait le mieux, peut-être qu'un jour je pourrais la revoir ? Se serait pas si mal d'en connaitre plus sur son monde.
H. P. Lovecraft
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| | | | | | | | [TERMINÉ] Fading Light (ft Anakin) | |
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