Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(abandonné) The sea could be at our feet. feat Cutler Beckett
AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  



 


DANS CE PETIT TABLEAU, TU TROUVERAS TOUS LES LIENS UTILES QUAND TU ES EN TRAIN DE RP.
▿ N'oubliez pas de recenser
vos personnages dans le bottin des personnages


— VOIR LE RÉPERTOIRE DES PERSONNAGES A-H & I-P & Q-Z
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €

(abandonné) The sea could be at our feet. feat Cutler Beckett

Aller en bas
Anonymous

Invité



Lun 20 Mar - 5:51

Beckett
« Sometimes, letting go and realizing that things will unfold as they should is the best thing you can do for yourself»
Et le soleil disparaissait s’engouffrant de plus en plus dans l’horizon. Ses rayons se reflétaient sur cette grande étendue d’eau bleue offrant aux observateurs extérieurs un spectacle de toute beauté. Pourtant, Ian Mercer ne contemplait pas ce paysage. Non, ce mercenaire en avait déjà beaucoup trop vu. Il ne pouvait plus être ébloui par les merveilles de la mer. L’avait-il jamais été ? Soyons honnête, sa froideur naturelle l’avait rendu tout bonnement incapable de profiter des petites beautés que la vie offre parfois. Non, sur le pont du navire, sa longue vue ne servait pas à observer des quelconques sottises que l’on pourrait trouver dans nos cartes postales contemporaines. Si son regard était bel et bien poser sur la grande bleue il ne recherchait pas à admirer une quelconque merveille de la nature, non, le corsaire était à la recherche d’un vaisseau, celui du Wicked Wench. Malheureusement, ces grandes voiles n’étaient pas à sa portée. La frustration le prit de court pourtant aucun de ses traits le trahissaient. Les hommes qui s'activaient sur le pont comme à leur habitude ne pouvait estimer l'ampleur de l'agacement qui s'installait dans le cerveau de l'écossait. Mercer se contenta uniquement de quitter les lieux préférant se diriger vers les quartiers de Beckett.

Devant cette étendue de bois verticale la bienséance le fit toquer. Nombreux sont ceux à qui il n’aurait pas octroyé un tel privilège. Le mercenaire ne respectait pas l’intimité des êtres qui peuplaient ce monde. La politesse ? Peu lui chaut ! La seule chose qui importe pour ce cher Mercer est son sacré saint travail, celui qui l’élèvera socialement et qui l’éloignera à jamais de la grande faim. Il pouvait bien faire des efforts pour remplir sa mission mais rien d’autre, sa sociopathie empêcherait le reste. Pourtant, avec Beckett, tout était différent. Déjà, un élément important et crucial : le Lord était son patron. Celui qui à la fin de la journée le rétribuait pour ses valeureux services. Le corsaire lui aurait toujours dû un respect de façade. Cependant, l’écossait se l’avoua très vite, la déférence qu’il offrait à Cutler était loin d’être factice. Leur duo n’était pas formé depuis si longtemps que cela, pourtant, une véritable complémentarité s’installa rapidement de leur relation. Il était le bras armé et Beckett le cerveau. Ses plans toujours si brillant étaient sincèrement admirés par l’homme plus âgé. Le noble possédait une tête pleine qui ne redoutait pas de prendre des décisions périlleuses et difficiles. Alors oui, cela méritait du respect.

« Monsieur. »

Voici le premier mot que Mercer prononça après qu’il ait entendu à travers la porte de la cabine de son patron une autorisation orale qui lui permettait de rentrer dans ses quartiers. Une salutation courte mais plus que suffisante pour être une marque de politesse surtout lorsqu’elle était accompagnée d’un léger hochement de tête. Dans l’étroitesse de cette cabine, le peu de rayon de soleil restant se reflétaient sur les différents objets en verre de la pièce permettant un magnifique visuel sur le visage du noble. Voilà peut-être un spectacle qu’il se plaisait à regarder.

« J’ai pu récupérer l’artefact que vous recherchiez à un prix plus que raisonnable. »

Le jour ou Mercer ne serait plus efficace il arrêterait de respirer. Dans sa main gauche, le corsaire tenait un sac en tulle, contenant du fameux artefact tant désiré. Dans celle de droite, la bourse contenant le reste de pièce en or qui revenait à Beckett. Ces deux mains étant tendues en direction du Lord. Toute cette histoire avait commencé grâce à l’intérêt que portait le noble aux reliques antiques de la civilisation des Kerman. Si tout se passait comme prévu, le contenu de ce sac serait multiplié par million.

« En ce qui concerne Sparrow, je n’ai reçu aucune nouvelle du Wicked Wench. Cela devient inquiétant. »

Le mercenaire s’inquiétait de l’intégrité physique de son collègue ? Absolument pas, le capitaine Sparrow n’était un élément essentiel pour la réussite de leur plan. Sans lui, il n’aurait jamais les informations nécessaire pour se rendre jusqu’à Kerman. Une opération qui se serait révélée tout bonnement inutile. Il transmit donc ce fait à Beckett, les neurones de son supérieur sauraient qu’elle serait la prochaine marche à suivre.


The sea could be at our feet.
「R」
Revenir en haut Aller en bas
 
(abandonné) The sea could be at our feet. feat Cutler Beckett
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MAD WORLD :: FLOOD :: Archives-
Sauter vers: