Le temps n’est pas vraiment au rendez-vous ce soir. Il pleut et j’ai encore quelques colis à livrer et ensuite je pourrais rentrer chez moi. Avec un peu de chance, j’aurai terminé avant que le soleil ne commence à se coucher. Plus vite j’aurai fini et plus vite je pourrai rentrer me mettre à l’abri et me sécher. Je ne suis pas vraiment bien habillé face au temps, ce dernier m’a pris au dépourvu, un peu plutôt dans la journée. Je me retrouve dans le quartier de Lockwood Hill et contrairement à ce que j'espère, le soir comment à tomber peu à peu, ayant eu un peu de misère à trouver l’adresse où je dois déposer le colis. Je ferais donc mieux de me dépêcher de livrer ce colis puis de rentrer chez moi.
Le colis déposé, je m'apprête à sortir du quartier lorsque je fus interrompu par deux, trois jeunes hommes. Sur le coup, je me demande ce qu’ils me veulent et je ne tarde pas à le savoir. L’un d’eux propose de me reconduire chez moi. Je sais que je ne devrais pas me trouver dans le coin, parce qu’il fera bientôt nuit et qu’en plus de ça, il pleut et je n’ai rien pour me protéger. Cependant, je décline poliment leur invitation, leur disant alors que je n’ai rien pas besoin de leur aide et que je suis parfaitement capable de retrouver ma route toute seule. Je repris donc mon chemin, tout en pensant leur avoir fait clairement comprendre que je n’ai pas besoin de leur aide. Malheureusement pour moi, le leader de la bande revient à la charge après qu'eut fait à peine quelques pas.
« Sérieusement, qu’est-ce vous n’avez pas compris dans “non merci” ? Allez vous en, je n’ai vraiment pas besoin de votre aide. »
Malheureusement pour moi, ces jeunes sont bien décidé à me suivre. Continuant à regarder devant moi, je ne me retourne pas, ne leur adressant même pas la parole. Je les laissent simplement parler, en espérant qu’ils se lassent, à force de parler dans le vide. Tout ce que je veux, c’est rentrer chez moi. Au moins, je serais au chaud.
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Dernière édition par Morgana Pendragon le Ven 29 Déc - 14:05, édité 1 fois
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Jeu 24 Nov - 12:49
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ft. Morgana Pendragon
La pluie tombait depuis quelques heures et ne semblait pas vouloir s'arrêter avant le lendemain ce qui au début m’avait bien été égale puisque je me trouvais dans le confort de ma demeure isolée du reste du monde afin de profiter d’une journée de congé imposé bien mérité après une série de long contrats. C’est ce que je pensais faire toute la journée, mais alors que le soleil laissé tranquillement place à son amie la lune, je réalisa que je ne pouvais plus me permettre de rester en mode ermite dans le fond de ma maison et que je devais sortir afin d’aller faire quelque courses avant le lendemain. Ce qui voulait dire, en gros, devoir traîner mon cul sous la pluie battante alors que la nuit tombait. Fantastique, j’avais clairement besoin de ça. J’avais développé des habitudes depuis le temps alors je savais dans quel parti de Lockwood Hill aller pour trouver ce que j’avais de besoin. Il y avait encore quelques petites épiceries spécialisées, surtout avec de la nourriture russes, qui étaient encore ouvertes à cette heure. Olga, une femme clairement originaire de terres reculés de la russes, semble toujours apprécier ma venu. Elle prend le temps de discuter avec moi à propos de ses nombreux enfants, petits-enfants et bien entendu, de son défunt mari. Il ne faut pas être une lumière pour comprendre après notre deuxième discussion qu’elle semble faire tout son possible pour me pousser à rencontrer son troisième fils, Constantin. Je semble entré directement dans les critères de cette femme pour être l’épouse parfaite pour lui. Je me suis bien gardé de lui dire que je n’étais pas intéressé. Enfin, pas avant ce soir. Le fils en question se trouvait dans l’épicerie. Sans doute une nouvelle tentative de la part de sa mère. C’était un homme ma foi charmant et très beau, mais malheureusement je n’avais pas le cœur à m’engager avec qui que ce soit. Heureusement, lui-même ne semblait pas non plus très intéressé par une quelconque relation comme il pleurait toujours la perte de son épouse décédée l’année d’avant.
Au moins, ça n’avait pas fini par quelques os cassés et moi étant banni pour toujours de l’épicerie. Ce qui aurait été franchement dommage puisque j’adore cette endroit malgré les magouilles de cette vieille femme. Le temps n’était pas mieux quand je quittai les sacs en mains me dirigeant vers ma voiture. Je venais de fermer la portière arrière quand des bruits de conversation attiraient mon attention. En levant les yeux de l’autre côté de la rue, je vis un groupe de jeunes hommes poursuivre une jeune femme, la factrice. Ils semblaient insister sur quelque chose en particulier alors que la femme hochait la tête avec un air clairement pas intéresser sur son visage. Je connaissais très bien ce genre de comportement pour l’avoir très souvent vu et je ne pouvais pas rester les bras croisés sans rien faire. Me glisser derrière le petit groupe de l’autre côté du trottoire fut d’une facilité ridicule tellement aucun d’entre eux ne prêtait attention à rien d’autre que la pauvre femme qui tentait de leur faire comprendre son point de vue. « Sérieusement, qu’est-ce vous n’avez pas compris dans “non merci” ? Allez vous en, je n’ai vraiment pas besoin de votre aide. » C’était clair comme le jour. Elle leur avait dit non, ils avaient décidé d’insister et manque de chance pour eux, la veuve noire se trouvait sur leur chemin. Je n’avais aucune pitié pour ce genre d’homme. Alors que la femme continuait son chemin en les ignorants, le leader du groupe décida de prendre les choses en main.
Malheureusement pour lui, je fus plus rapide. Je l’attrapai pas le colet de sa chemise et le tira violemment vers l’arrière me propulsant entre les attaquants et leur victime. « La demoiselle a dit de la laisser tranquille, alors vous la laissez tranquille. » L’homme s'écrase brutalement sur le sol en gémissant ce qui prend par surprise ses deux complices me laissant le temps d'envoyer celui de gauche au tapis avec un coup de pied retourné au visage et celui de droite avec un coup de coude. Le leader se releva avec mal sortant un couteau de sa poche. « Tu comptes faire quoi avec ce cure-dent? » Frustré par ma moquerie, il se jeta sur moi maladroitement me laissant une belle ouverture pour lui prendre son couteau que je retournai contre lui en le pointant directement sur ses parties intimes. « À quel point tu tiens au peu de masculinité que tu as hein? Je te donne une chance de partie avec tes amis, prends là parce que je vais t’ouvrir du nombril jusqu’à la gorge si tu décides de continuer à te battre. Est-ce que c’est vraiment ce que tu veux mon garçon? » Ma voix était basse, menaçante. Je pouvais le sentir trembler dans ma poigne. Il pleurnicha littéralement pour que je le laisse partir ce que je fis. Les trois idiots décampèrent comme si le diable était à leur trousse ce qui me fit sourire quelque peu. Je me débarrassa du couteau dans une poubelle et réalisa que la jeune femme était toujours figé au même endroit. Elle devait avoir tout vu ce qui me fit grimacer. J’aurais sans doute nettoyé le sol avec ses idiots et réellement mit mes menaces à exécution s’ils avaient insisté. « Vous ne risquez plus rien maintenant. » C’était un peu maladroit et je ne m’étais pas considérée comme une protectrice depuis longtemps, mais ça faisait du bien de savoir que j’avais fait quelque chose de bien ce soir.
Au vue de la situation, un miracle ne serait franchement pas trop, mais la rue semble être déserte, alors que la pluie continue de tomber. Je ne vois pas comment être plus claire, pensant leur avoir bien fait comprendre qu’il est inutile de continuer à insister et que je ne changerai pas d’avis. Malheureusement, je ne vais pas faire longtemps le poids contre les trois hommes en l’état actuel des choses. Ignorant les trois hommes après avoir réitérer mon désintéressement, j’entends alors une voix, qui m’est inconnu, s’élever et en me retournant, constate qu’une jeune femme à pris la situation en main. D’où sors-t-elle ? Je jurerai qu’elle n’était pas là il y a à peine quelques minutes de ça. Ou peut-être étais-je trop occupé à ignorer mes interlocuteurs pour remarquer son arrivée, sa présence. Restant figé sur place, je ne bouge pas me contente d’observer ses mouvements. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour faire déguerpir les trois hommes qui me suivent depuis tout à l’heure. Le ton qu’elle emploie et ses menaces semblent les avoir fait changer vite fait d’avis.
Alors qu’ils prennent tout les trois la fuite, il ne reste que moi et la femme qui vient de les faire fuire en prenant ma défense. Quelque chose me dit que je ne les reverrai pas de si tôt et c’est tant mieux. Une fois, cela m'a largement suffit. Je ne veux pas les revoir de ma vie. J’ai eu de la chance cette fois, mais cette femme ne sera pas toujours là pour leur tenir tête et leur dire de dégager. Encore perturber par ce que je viens de voir, il me faut un petit moment avant de réaliser que la femme en question est toujours là et vient probablement de se rendre compte que j’ai vu toute la scène. Je ne sais pas quoi dire, la moindre des choses serait tout de même de la remercier, mais comment ? Étrangement, lui dire me semble être encore bien insuffisant. Je ne sais pas ce que j’aurais fait ou comment la situation aurait tourné si elle n’était pas intervenue.
« Merci, je… merci, je ne sais pas comment vous remercier de les avoir fait partir. »
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Sam 10 Déc - 22:26
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ft. Morgana Pendragon
Je ne pouvais pas supporter de voir des hommes prendre le dessus sur une femme. Pendant une bonne partie de ma vie, j’avais subi les abus d’hommes comme eux. J’avais été forcé à faire des choses pour survivre que je voulais oublier, mais aussi qui me dégoûtait encore à ce jour. On apprenait aux veuves à être des assassins de hauts niveaux, oui, mais ce n’était malheureusement pas la seule chose qu’on nous avait appris. On nous apprenait aussi à séduire nos cibles, à commettre des actes qu’on ne ferait sans doute jamais si on avait eu le choix. Au cours de ma carrière, j’étais trop souvent intervenu pour venir en aide à des jeunes femmes comme elle qui avait juste le malheur d’être au mauvais endroit au mauvais moment et croiser une bande de porc sans âme. Je ne vais pas cacher pendant un instant que j’avais réellement voulu lui casser le cou et le balancer dans une benne à ordure parce que s’il avait tenté d’agir ce soir de la sorte, il l’avait peut-être fait avant avec une autre femme ou il allait pouvoir le refaire. Pendant des années, j’avais pensé que tuer réglait complètement un problème dans ce genre de cas, mais j’avais compris avec le temps que ce n’était pas la bonne voie à emprunter. J’avais acquis une boussole morale au courant de mes années au Shield. De plus, ça aide d’être tombée profondément amoureuse de la directrice adjointe qui était connu pour être une femme droite et juste par tout le monde. L’amour vous change dit-on et c’est vrai, pour le mieux comme pour le pire dans certains cas. Heureusement, c’était uniquement pour le mieux dans le mien.
« Merci, je… merci, je ne sais pas comment vous remercier de les avoir fait partir. » Je me retourne vers la femme. Elle semble si jeune, trop jeune pour voir sa vie être marquée par les actes hideux de ses hommes. La pluie tombe de plus en plus fort et je peux voir qu’elle frissonne. Je suis moi-même complètement trempé alors que quelque instant plus tôt je me trouvais sous le confort de mon parapluie. D’ailleurs, je tiens toujours celui-ci dans ma main prête à l’utiliser comme arme contre les agresseurs. Heureusement, ce ne fut pas nécessaire. Ça aurait été dommage de briser un si beau parapluie sur la tête de ses idiots. Je l’ouvre et m’approche d’elle afin de lui offrir une couverture contre la pluie. « Pas besoin de me remercier. Quelqu’un devrait leur apprendre que non veut dire non. Je suis contente d’avoir pu éviter que vous soyez blessé. » Je lui offre un sourire rassurant alors que ma voix a clairement perdu toute trace de menace dont j’avais fait preuve avec le groupe de jeunes hommes quelques secondes plutôt. Je ne voulais pas qu’elle ait peur de moi après tout. « Le temps devient de pire en pire. Je peux vous offrir de vous raccompagner pour garder les idiots loin ? » Je regarde par dessus mon épaule en disant ça afin de me rassurer qu’ils n’étaient pas revenu entre temps dans l’espoir idiot de vouloir prendre leur revenche sur moi. Je ne serais pas aussi gentille s'ils décidaient de le faire. Je ne proposais généralement pas aux gens de les raccompagner, mais j’avais le sentiment que c’était la chose à faire avec elle alors je proposais.
Laueee
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Ven 27 Jan - 18:44
I don't know how to thank you for this Morgana Pendragon & "Natasha Romanoff"
L’intervention de la jeune femme rousse tombe pile au bon moment. Je me dis que j’ai de la chance qu’elle soit justement passée dans le coin à ce moment-là. Parmi les rares passants, elle est la seule à s’être arrêtée pour me porter secours, tandis que les autres ont tout simplement passé leur chemin. Pourtant, la plupart d’entre eux sont passés à mes côtés, mais m’ont ignoré, faisant semblant de ne rien avoir vu. Heureusement que le monde n’en fait pas autant ! Me revoilà donc débarrasser de ses indésirables individus, alors que la femme dont j’ignore complétement l’identité les a menacer juste sous mes yeux. Il est clair que toute autre personne qui se serait retrouvée face à elle aurait bien vite eu l’envie de fuir le plus loin possible. Cette femme est très… intimidante. Oui voilà c’est bien le mot: intimidant. Je dois bien admettre que dans un premier temps, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, une fois qu’elle en eut fini avec des trois hommes, mais étrangement, elle me paraît comme une toute autre personne alors qu’elle s’adresse à moi. Son ton de voix est différent. Elle n’est plus menaçante, mais plutôt bienveillante.
« Une chance que vous passiez dans le coin. Merci de vous être arrêtée et de leur avoir fait comprendre. Au moins cette fois ils ont bien compris, je l’espère. »
La pluie, elle, en revanche ne s’est pas arrêtée et le temps n’a pas changé. La proposition de ma sauveuse me surprend sur le coup. Il me faut quelques minutes pour y réfléchir. C'est bien aimable de sa part d’ailleurs, de proposer de me raccompagner, et dans le fond, ce n’est pas une mauvaise idée. Je ne veux pas risquer de retomber sur ces hommes en rentrant chez moi. Certes, ils se sont enfuis, parce que l’inconnue a fait en sorte qu’ils lâchent l’affaire, mais qu’est-ce qui me garantit qu’ils ne vont pas revenir à la charge, une fois qu’elle sera partie ? Autant ne pas prendre de risque.
« Je… oui, je veux bien, merci. Est-ce que je peux au moins savoir votre nom alors ? Moi c’est Morgana. »
J’aurais pu ne pas intervenir, mais ce n’est pas dans ma nature de regarder des hommes abuser de femmes sans rien faire. J’en avais trop vu, été trop souvent victime durant mes jours dans la chambre rouge. Non, pas question que je reste là les bras croisés. Quelqu’un devrait leur apprendre à vivre à ses petits cons. Le respect est quelque chose qui semble terriblement manquer dans l’éducation de beaucoup de jeunes gens de nos jours il faut croire. Je suis contente qu’ils ne soient pas trop désireux d’aller plus loin dans notre confrontation. Je n’aurais eu aucun mal à leur foutre une raclée, ça ce n’est pas le problème. Je ne voulais tout simplement pas devoir faire preuve de trop de violence envers des gens dont la bêtise était plus grande que le bon sens. Ce n’était pas des assassins, des soldats ou des criminels. Juste des pauvres gosses qui ne pensent pas.
Je soupire de soulagement en les voyant fuir à toutes jambes. Mon corps reste tendu pendant un court instant alors que mes yeux regardent autour afin de m’assurer qu’il n’y a pas d’autre danger qui va nous tomber dessus. Quelques passants qui on vu la scène de loin me regarde toujours, mais il ne semble pas avoir de danger et je peux soupirer finalement de soulagement alors que la jeune femme que je viens d’aider m’adresse la parole. « Une chance que vous passiez dans le coin. Merci de vous être arrêtée et de leur avoir fait comprendre. Au moins cette fois ils ont bien compris, je l’espère. » J’espère qu’ils ont bien compris parce qu’il est possible que la prochaine personne n’est pas ma retenue et ils finiront par tomber sur quelqu’un de beaucoup moins gentil qui leur fera mal pour qu’ils comprennent bien le message. Une petite frousse me semblait la meilleure solution pour ce soir tout du moins. « Je suis contente d’avoir pu intervenir. Ce sont des petits voyous. Ils ont eu de la chance que je ne sois pas de mauvaise humeur. »
La pluie continu de tomber à un rythme soutenu alors que je marche vers la jeune femme pour être à sa hauteur. Il me semble naturel après ce qu’elle vient de vivre de lui offrir de la raccompagner peu importe si elle va chez elle ou ailleurs. Je veux vraiment m’assurer qu’elle puisse rentrer en sécurité. « Je… oui, je veux bien, merci. Est-ce que je peux au moins savoir votre nom alors ? Moi c’est Morgana. » Je lui offre un sourire qui se veut rassurant alors que je me mets à marcher à ses côtés tout en gardant un œil discret sur les alentours. « Pas de problème. Je n’aurais pas voulu être seule après un tel événement. Ravis de vous rencontrer Morgana. Je m'appelle Natasha. » Je lui offre ma main avec un sourire.
Laueee
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Jeu 20 Juil - 13:52
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Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. -- feat. @Natasha Romanoff
Après avoir été témoin de cette petite scène, je ne doute pas un seul instant qu’elle puisse faire “pire”, si jamais l’idée de revenir à la charge leur traverse la tête. Je la trouve en effet plutôt de bonne humeur, alors je n’ose pas imaginer ce qu’elle est capable de faire et jusqu’où elle peut en effet aller avec une mauvaise humeur. Quoi qu’il en soit, je lui suis grandement redevable pour l’aide qu’elle vient de m’apporter, mais comment la remercier ? Là est en effet toute la question. Cela me semble tout de même être la moindre des choses, même si selon elle, ce n’est pas nécessaire. D’autant plus qu’elle me propose de me raccompagné, peu importe où je vais. Enfin, ma journée est terminée, alors oui je m’apprêtais à rentrer chez moi avant d’être interrompu. Je pourrais très bien rentrer seule, mais il pleut et c’est si gentiment proposé de sa part, que je ne peux pas dire non. Je réalise alors que je ne sais pas comment elle s’appelle, pas plus qu’elle ne sait qui je suis, alors je me suis présentée et espère pour qu’elle soit d’accord pour au moins me dire son prénom. Après tout, elle pourrait très bien refuser, pour une raison ou pour une autre, c’est son choix, mais ce serait tout de même bien si je peux mettre un nom sur la personne qui m’est venu en aide.
« C’est mon jour de chance alors. Je ne connais pas grand monde ici, enfin je crois. Je ne serais même pas reconnaître les gens que je connais s’ils sont aussi ici. »
C’est donc en marchant pour rentrer chez moi, accompagné par cette dernière que j'apprends son prénom.
« Enchanté Natasha. »
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Invité
Mer 27 Déc - 20:55
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ft. Morgana Pendragon
Les hommes étaient clairement pareil dans ce monde que ce que je me souvenais du mien. Rien ne change vraiment. Des connards, il y en a clairement partout peu importe l’endroit où l'on se trouve, l’époque ou le monde. C’est à la fait vraiment exaspérant, mais aussi terriblement frustrant de voir que rien ne change vraiment. Des types comme eux, il va toujours en avoir parce que les cafards ne vont jamais disparaître de ce monde. C’est pourquoi, je n’avais aucun mal à les retourner et leur faire comprendre que je n’avais non seulement nullement peur d’eux, mais qu’au contraire c’est eux qui devraient clairement avoir peur de moi à la fin. J’étais bien plus dangereuse que ces idiots même blessés gravement. C’était risible qu’ils se prennent pour des dures alors qu’ils n’étaient à peine que des adultes. Les faire fuirent fut donc facile et ça évita aussi à une pauvre jeune femme d’être leur victime pour la soirée. Je ne comprenais pas l’intérêt de vouloir faire du mal à une étrangère. Surtout qu’elle semblait assez banale, jolie, mais tout de même elle ne semblait pas avoir de richesses sur elle ou quoi que ce soit du genre.
« C’est mon jour de chance alors. Je ne connais pas grand monde ici, enfin je crois. Je ne serais même pas reconnaître les gens que je connais s’ils sont aussi ici. » Après un dernier regard en direction des voyous pour m’assurer qu’ils étaient complètement hors de vue. J’ai porté mon attention sur la jeune femme. « Je n’aime pas ce genre de voyous. » Je me glisse à ses côtés pour marcher avec elle me disant que c’est sans doute mieux de ne pas la laisser seule. « Il faut voir ça comme un nouveau départ. Parfois, c’est mieux ainsi que de traîner des visages avec des souvenirs douloureux. » Je sais que je préférais ne pas oublié parce que je veux faire mieux donc pour ça j’ai besoin de me souvenir de ceux à qui j’ai fais du mal. Je me présente avec un sourire et une poignée de main qu’elle me rend. « Enchanté Natasha. » Je remets les mains dans mes poches alors que nous marchons toujours côte à côte. « Maintenant, vous ne pouvez plus dire que vous ne connaissez plus personne n’est-ce pas? »
Laueee
Invité
Mar 13 Fév - 21:13
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Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. -- feat. @Natasha Romanoff
En résumé, je suis très chanceuse que Natasha, puisque c'est son prénom donc, soit passé par là au bon moment. Nos chemins auraient pu se séparer une fois sa bonne action accompli, mais elle me propose de me raccompagné. C'est fort aimable à elle et je ne peux donc qu'accepter. En plus, cela nous permet de faire un peu plus ample connaissance, ce qui n'est pas une mauvaise chose, loin de là même ! C'est plutôt agréable, de faire une nouvelle rencontre et d'apprendre à la connaître. Peut être à t-elle raison, ou peut être pas. Je donnerai n'importe quoi pour me souvenir
« Peut être oui, à vrai dire je ne sais pas. J'aimerai bien me souvenir. »
Natasha à cependant raison sur un point: si je suis arrivée ici sans connaître personne, sans me souvenir de ma vie, sans savoir si des gens que je pourrais connaître ce trouvent, eux aussi, dans cette ville, ma rencontre avec Natasha change quelque peu la donne. Je ne peux effectivement plus dire que je connais personne.
« En effet, je ne peux plus dire que je ne connais personne. »
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