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(abandonné) Revenge is a dish best served cold [Mercer]

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Anonymous

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Dim 20 Nov - 12:00



Revenge is a dish best served cold



feat. Mercer



Paisible. C’est probablement l’adjectif qu’il emploierait pour qualifier sa nouvelle vie. Paisible. Au point d’en être par certains aspects frustrants, quand bien même il éprouve une satisfaction certaine dans cette humanité regagnée, dans cette nouvelle condition de vie. Ici, il pourra se targuer d’avoir obtenu absolument tout ce qu’il désirait. Calypso est à ses côté, la mer à portée d’horizon presque de n’importe où qu’il se trouve sur cette île improbable. Ici, il peut sentir de nouveau son cœur cogner contre sa cage thoracique. Ici, il accuse les affres du temps et doit supporter les désagréments de l’âge, quand le temps avant cela n’avait guère d’impact sur lui jusqu’alors… ici, il fait face à sa mortalité mais serait presque prêt à l’accueillir sereinement. Ici, tout semble aller mieux… mais ici, Davy conserve le sentiment, déplaisant mais ô combien inextinguible que quelque chose détonne, au fond… comme s’il effleurait du doigt la perfection d’une vie qui ne serait pas tout à fait la sienne, couverte d’un voile de mensonges à peine tangible mais bien réel, un voile de mensonges qui à tout instant pourrait se déchirer.

Et comment ne pas redouter que cela finisse par être le cas ? Les jours, les semaines, les mois, les années, même, s’écoulent, et ne lui apportent pas de réconfort total. Il ne peut oublier le sentiment d’imposture qu’il éprouve quand il se trouve en présence de Calypso. Et bien sûr, ce sentiment de fragilité qui ne peut pas lui échapper… Son cœur est à la bonne place, ça ne signifie pas pour autant qu’il agisse toujours de la meilleure des manières. Et c’est rien de le dire compte tenu de tout ce qu’il dissimule, et de ces couches de mensonges qu’il accumule pour dissimuler une vérité qu’il estime positivement inacceptable. Paisible, oui… Mais fragile. Un édifice proche de s’effondrer.

Et s’il devait avoir le moindre doute à ce sujet, ses rencontres consécutives avec des fantômes de son passé (au demeurant bien trop vivants pour être de simples fantômes) devraient avoir tôt fait de l’en convaincre. Davy Jones ressent une appréhension nouvelle depuis que son chemin a recroisé celui de Jack Sparrow, Will Turner et, bien sûr de Cutler Beckett. Tout ceci doit naturellement l’inviter à croire que l’équilibre ô combien précaire de sa nouvelle existence se retrouve à présent compromis… et il ignore encore que les rencontres de cette nature vont encore se multiplier.

Loin de lui l’idée de s’imaginer, par exemple, que cet homme dont il découvre la silhouette sur la plage, alors que lui-même y amarre son bateau après une virée en mer qui n’aura eu d’autre but pour lui que de le rapprocher de son élément de prédilection, puisse être une déplaisante et vieille connaissance… dont il avait su allègrement se débarrasser dans leur ancienne vie.

« Vous voulez ma photo ? » il demande d’un ton bougon, armé du désagréable sentiment que cet homme, jeune et inconnu au bataillon (en tout cas c’est ce qu’il croit), le dévisage.

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Mer 25 Jan - 6:15




ϟ Revenge is a dish best served cold. ϟ
« Hate looks just like everybody else until it smiles. Until it spins around and lies with lips and teeth carved into the semblance of something too passive to punch. »



Ian Mercer


Après ses retrouvailles avec Beckett, il y a bien un nom de son passé que Mercer a tenté de retrouver dans cette ville. Il avait utilisé ses talents d’espions, son réseau d’information tout à s’en rendre malade pour avoir la trace de cet homme. Une obsession malsaine nourrit par une haine qui ne pensa pas un jour ressentir envers un autre être humain. Etre humain… Pourquoi utiliser un tel terme pour décrire un monstre comme Davy Jones. Ce n’est qu’une chimère répugnante, un pirate sans honneur. Habituellement, l’écossait n’en a que faire des personnes qui l’entourent. Ce ne sont que des pions, des mouchoirs jetables dont il faut se débarrasser lorsqu’ils ne sont plus utiles. Actuellement (bien que la liste risque de s’allonger), il n’y a deux exceptions à cette constante qui s’était installée dans sa vie, Cutler Beckett, son seul véritable ami ainsi que Davy Jones pour une raison complètement différentes. Le sort d’une personne qu’on hait ne peut nous indifférer. Il ne veut pas se tuer l’ancien pirate d’un coup bien placé dans ce cœur longtemps perdu, non. Trop simple, trop rapide, il veut le voir souffrir un maximum avant qu’il ne rende son dernier souffle. Après tout, il lui a ôté la vie, d’une manière cynique, malsaine et douloureuse. Alors, même si c’est contraire à ses habitudes, les choses ne seront pas aussi simples lorsqu’il s’agira de Davy Jones, au risque de se brûler les ailes une nouvelle fois.

Une plage comme il en avait si souvent vu. Son accoutrement est comme à l’accoutumé très peu pratique pour ne pas accueillir les nombreux grains de sable qui s’infiltrent entre les plis de ses vêtements. Il n’en a que cure, l’ancien corsaire à l’habitude. Il ne fait que marcher et observe ce navire au loin. Tel l’homme très sain pas du tout flippant qu’il était, Mercer a « stalker » l’ancien capitaine du Hollandais Volant durant des mois. Il a épié les moindres faits et gestes du bonhomme sachant notamment qu’il avait repris une relation avec la déesse de la mer, Calypso. Des nausées, voilà ce que lui causait le simple fait d’imaginer Davy Jones heureux. Il avait obtenu tout ce dont il avait toujours rêvé n’est-ce pas ? Tandis que lui devait sans cesse se battre pour obtenir un centième de ce dont il avait besoin. La vie n’est pas juste, il a toujours su, dès sa naissance et avec ce simple fait, elle venait lui rappeler de manière violente.

La haine est un sentiment qui peut vous rendre plus fort mais aussi, j’ai envie de dire surtout dans le cas d’une machine froide efficace comme Mercer, faillible. Elle peut obscurcir votre jugement, vous rendant capable de faire des erreurs stupides que vous ne feriez pas à l’accoutumé. C’est ce qui s’est passé lorsque Davy Jones réussit à prendre conscience de sa présence sur les lieux. Il se braque instantanément, entendre sa voix le met dans une colère noire. Il ferme son poing pour se calmer, l’homme de main ne peut entamer une confrontation armée, pas maintenant, il désirait que le pirate souffre davantage.

« Et pourquoi voudrais-je votre photo ? »


Une rhétorique qui ne sert qu’à lui faire gagner du temps. De loin, il continue à le dévisager, son dégout ne se montrant plus sur son minois. Non, bien que rare, il savait garder ses émotions cachées. Il le jauge, tout comme lui, l’ancien capitaine du Hollandais Volant devait bien avoir une rapière ou autre arme qui trainait sur lui. Il se devait de rester méfiant comme toujours, voilà quelque chose qui ne changerait pas de l’accoutumé.

« Quel vaisseau ridicule. »


Qu’allait-il faire maintenant ? Uniquement se moquer de lui tel un adolescent puéril ? Les mots se sont échappés de sa bouche et cela ne lui plait pas. Mercer n’aime pas être un esclave de cette haine. Il veut tout contrôler comme à son habitude mais malheureusement il n’y arrive pas. Il ne fait que cracher son venin à coup accompagné de son accent écossait qui pouvait trahir son identité. L’homme à tout faire était conscient maintenant qu’il était perdu. Autant ne plus perdre de temps et directement confronter celui qui est aujourd’hui son plus grand ennemi.

« Me reconnais-tu Davy Jones ? »

Fiche par Millaby sur Kitten-LS • Ne pas retirer les crédits
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Mer 1 Fév - 18:20



Revenge is a dish best served cold



feat. Mercer



Un sourire empreint de cynisme, qui ressemble bien davantage à une grimace, étire les lèvres de Davy Jones au moment d’entendre la réponse de son interlocuteur. Même s’il n’a pas la moindre idée d’à qui il a affaire (il se montrerait autrement plus virulent s’il en avait ne serait-ce qu’un peu conscience), ce n’est pas pour autant qu’il se montre spécialement affable. Quand bien même cette nouvelle vie lui a offert des opportunités qui auraient naturellement de quoi le rassurer et lui plaire, l’on n’oublie pas des décennies d’aigreur et d’amertume en un claquement de pinces, ces choses-là prennent du temps… Quand elles se résolvent seulement. Pour cette raison, oui, aucune lueur de sympathie n’anime le regard de l’homme qui ignore toiser celui qu’il avait autrefois tué et se ferait un main plaisir de tuer encore si l’occasion devait se présenter.

Ceci dit, si son interlocuteur avait eu l’intention de s’attirer autre chose de sa part que des envies de meurtre tout intuitives, il devrait probablement se fendre d’un autre commentaire que de celui qu’il venait tout juste de lui adresser. Quel vaisseau ridicule, venait-il d’asséner. Vraiment ? Il osait. Alors qu’il ne le connaît même pas – c’est du moins ce que pense Jones, tout en se sentant piqué d’une curiosité allant de pair avec son animosité. Cet homme semble avoir une dent contre lui. Et si ce n’est pas le cas, alors il doit avoir une dent contre le monde entier tant il manque singulièrement de civisme et de sympathie.

Le pire, c’est que Jones n’est pas complètement en désaccord avec les propos de son interlocuteur. Bien sûr, il n’en dira rien. Il serait proprement déshonorant pour lui que d’admettre trouver aussi le bateau qui lui sert à présent d’embarcation de proprement ridicule. Un vaisseau de fortune, qui n’a rien à voir avec celui dont il fut si longtemps le capitaine. Certes, débarrassé du Hollandais volant, il l’est aussi de la charge confiée par Calypso et de la malédiction que cette dernière avait fait peser sur lui, mais l’on ne renonce pas si facilement à ce à quoi l’on a consacré tant d’années de sa vie (si on peut appeler ça une vie)… Le navire dont il fut si longtemps capitaine garde quelque chose de profondément ancré en lui. Et oui, ce vaisseau ne fait clairement pas le poids en comparaison de son précédent bâtiment.

Jone fronce les sourcils, soudainement plus curieux, quand son interlocuteur lui demande s’il le reconnaît. D’ordinaire, ce sont les autres qui ne le reconnaissent pas, débarrassé qu’il est de ses ignobles tentacules, mais en l’occurrence, non, il ne reconnaît pas cet homme. Quelque chose dans son regard eou dans le ton de sa voix pourrait vaguement lui mettre la puce à l’oreille, mais certainement pas au point qu’il sache reconnaitre en lui Ian Mercer, le fidèle bras droit de Cutler Beckett.

« Je devrais ? » demande-t-il en se rapprochant de plusieurs pas, l’air méprisant. « Si vous faites partie de mes nombreuses victimes, je suis au regret de vous apprendre que votre mort ne m’aura pas laissé un souvenir aussi marquant qu’il a dû l’être pour vous. »


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Sam 18 Fév - 3:06

D.Jones
« Hate looks just like everybody else until it smiles. Until it spins around and lies with lips and teeth carved into the semblance of something too passive to punch. »
Et dire que dans cette ville ce monstre pouvait passer pour un humain. Dénué de ses horribles tentacules (dont Mercer a un très mauvais souvenir), Davy Jones trompait le monde entier. Il passait pour un vieillard un peu bougon qui aime la navigation. Pourtant, le mercenaire connaissait son vrai visage, celui d’un pirate répugnant et déshonorant. Bien qu’il ait fait ses recherches, l’écossait n’en aurait probablement pas eu besoin pour reconnaitre. Son regard, ses manières de rustres, à ses yeux, tout trahissait l’ancien capitaine du Hollandais Volant et il ne comprenait pas pourquoi il était le seul à le voir.

En entendant sa remarque, Mercer se fait violence pour ne pas craquer. Son visage ne trahit pas l’extrême colère qui vient l’assaillir d’un coup. Aucune de ses zygomatiques ne s’activaient bien que son regard noir montrait la grande haine que le corsaire éprouvait pour l’ancien capitaine du Hollandais Volant. Il désirait tant sortir sa rapière et transpercer la poitrine de ce Davy Jones. Le 9 millimètre qu’il cachait également dans une des poches de son long trench-coat noir pourrait probablement faire l’affaire. Ian vivait avec son temps. Ces nouvelles armes étaient bien trop utiles pour laisser une fausse nostalgie l’empêcher de s’en servir. Et lorsqu’il est question de faire du mal au pirate, Mercer est capable de tout. Cette enflure le méprisait ! Quelle audace ! Lui de toutes les personnes peuplant cette ville ! Il avait osé appuyer sur un point sensible. Bien sûr que sa mort avait été marquante. Il sentait encore les tentacules entrer lentement par tous les orifices de son visage. De sa trachée incapable de trouver de l’air à cause de l’obstruction. C’est une sensation et un souvenir qui ne s’effaceront jamais.

« Quel genre de souvenir te marque donc Davy Jones ? Celui d’une seule journée à pouvoir marcher sur la terre ferme au bout de dix années sur les flots à attendre ? »

Il ne le vouvoie plus. Offrir une quelconque marque de respect à cet être lui avait brûlé la langue. Mercer savait très bien ce qu’il disait. Le pirate avait touché un sujet sensible, il en ferait de même. Ses yeux ne quittent pas son interlocuteur tandis que ses pieds commencent une marche de leur propre initiative. Tel un lion avec sa proie, le corsaire tourne autour de son interlocuteur. Il n’aimait toujours pas ce que la haine faisait de lui, un être pathétique qui ne sait quand se retirer. L’homme de main sait qu’il devrait s’en aller loin de la plage. Pourtant il restait, ilvoulait voir de la peine dans les orbites de Davy Jones.

« Que faisait-elle ce jour là ? Ou plutôt avec qui ? Au bout de dix ans, quelle femme n’aurait pas trouvé mieux que toi pour partager sa couchette.»

Revenge is a dish best served cold.
「R」


Dernière édition par Ian Mercer le Lun 13 Mar - 5:28, édité 1 fois
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Dim 26 Fév - 17:19



Revenge is a dish best served cold



feat. Mercer



Jones se crispe au moment d’entendre la réplique de son interlocuteur. Si lui-même avait pour habitude d’appuyer où cela fait mal, il doit reconnaître que son interlocuteur ne manque pas de repartie lui non plus et sait tout à fait afficher précisément les mêmes talents. Si l’on veut toucher Davy Jones, il faut savoir l’atteindre en plein cœur, un cœur qui peut à nouveau battre au cœur de sa poitrine. Oui, ces souvenirs-là, ceux d’un jour sans fin au cours duquel il l’avait attendue, désespérément attendue, pour être atrocement déçus, restent atrocement douloureux.

Encore aujourd’hui, alors que Calypso fait à nouveau partie de sa vie, à présent qu’il peut l’aimer comme bon lui semble, l’amertume liée à ce souvenir le prend encore à la gorge. Il passe outre… L’amnésie de sa très chère l’arrange bien… mais ses souvenirs, à lui, sont intacts. Parfaits. Pour une remarque pareille, Davy Jones, sous sa forme la plus cauchemardesque, n’aurait sans doute pas résisté à l’envie d’attraper la gorge de ce minot entre ses pinces tranchantes afin de le décapiter d’un coup sec… Mais Jones n’est plus ce qu’il était… étrangler cet homme sur la place publique ici et maintenant ne lui apporterait rien, si ce n’est des déconvenues judiciaires qu’il préfère largement s’épargner.

« A l’évidence, tout ceci est derrière moi, à présent »,
se contente-t-il de rétorquer.

Ce qui est vrai, à présent, il peut fouler la terre ferme autant qu’il le désire. A présent, il peut avoir un semblant de vie décente. Ironiquement, il a plutôt tendance, maintenant que sa place peut aisément être sur la terre ferme, à chercher la compagnie des eaux tumultueuses, à bord du bateau de fortune qu’il s’est trouvé sur cette île… Au fond, il aurait pu passer sa vie sur l’océan, ce n’est pas ce qui le dérangeait. Ce qui le troublait, au plus profond de ses chairs, c’était le fait de ne pas pouvoir la voir, elle.

« Qu’est-ce que tu penses accomplir, hein ? » réplique Jones, piqué à vif par les réflexions de Mercer.

Il se rapproche de lui pour planter son regard dans le sien et comprendre de qui il s’agit. Comment peut-il en savoir tant sur lui ? Qui est-il ? Il lui semble reconnaître ce regard mais il est pourtant convaincu de ne pas connaître cet homme. Bien sûr, il ne retient pas les visages de tous ceux qu’il a tués. Mais pour qu’un homme en sache tant sur sa vie, il ne peut s’agir d’un simple quidam qu’il aura jeté par-dessus bord sans y réfléchir à deux fois.

« Garde-toi de la moindre insinuation concernant ma femme. »
Oh, comme il brûle d’envie de l’étrangler. « Qui es-tu ? »

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