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| ( halloween ) la table du condamné. (ft. nick) | |
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Dim 30 Oct - 9:18 |
| those great whites, they have big teeth. hope they bite you, thought you said that you would always be in love. but you're not in love, no more. did it frighten you how we kissed when we danced on the light up floor ? (music) -- ft. @nicholas miller.
T'étais en retard. Parce que t'étais pas foutue de t'organiser comme il le fallait. Ou peut-être que si. Mais que t'étais incapable de suivre un emploi du temps convenablement. Les distractions étaient trop nombreuses, même dans un endroit comme l'université où tu pensais les élèves plus indépendants. C'était le cas mais en un sens ils continuaient de te demander énormément de boulot. Après une course à peu prêt effreinée, tu finis par arriver devant le restaurant qui est à quelques mètres de chez toi. Localisation stratégique pour pouvoir s'éclipser si besoin et tu savais que tu allais devoir prendre sur toi pour ne pas prétendre partir au toilettes et disparaître d'une manière ou d'une autre. Tu reprends ton souffle et tente de remettre tes cheveux en ordre bien que malgré tout, les restes de ta journée de cours s'accrochent à ta frange. C'est donc présentable, mais des paillettes pleins les cheveux que tu entres dans le restaurant et que tu remarques l'individus que tu recherches. Tu tardes pas à le trouver, peut-être parce qu'il trouve le moyen de se démarquer lui même et tu avances, d'un pas décidé jusqu'à lui. Nicholas Miller, ton voisin de palier qui t'insupporte plus qu'autre chose. Pourtant, cette soirée était nécessaire, peut-être pour essayer une trève dans vos disputes constantes. Du moins, c'est l'idée que tu avais eu comme ça, parce que pourquoi pas après tout. T'étais une personne relativement positive Jessica et ta dernière discution avec Rebecca t'avait fait réfléchir : vous vous connaissiez pas alors pourquoi pas essayer d'apprendre à vous connaître, histoire de voir si vos disputes étaient réellement justifiées. – Miller. Tu déclares d'un ton un peu détaché, neutre tout en le saluant d'un signe de tête, essayant tant bien que mal d'éviter les gaffes qui risqueraient de l'agacer avant même que cette mise au point ne démare. Tu tires la chaise, et pars pour t'asseoir dessus. Mais que serait Jessica Day sans ses éternelles gaffes ? Alors évidemment, même si tu t'apprêtes à t'asseoir, tu loupes celle-ci et t'étale littéralement au sol dans un couinement digne d'une comédie, étalant au passage des paillettes un peu partout autour de toi. Tu jures silencieusement sur place, tes mains se balançant dans tout les sens pour retenir de balancer des jurons dans tout les sens tandis que tout les regards sont tournés vers toi. Tu te redresses précipitemment, petit air innocent au visage. – Je vais bien ! Tu dis à l'adresse des clients dont l'attention est soudainement tourné vers toi. Tu ris nerveusement avant de passer tes mains sur ta jupe, pour la lisser et simplement réussir à vraiment t'asseoir sur ta chaise. Tu te pinces les lèvres pendant un court instant tout en évitant le regard probablement plein de jugement de ton voisin et chantonne légèrement parce que tu sais pas trop quoi dire. Dans l'immédiat. Et alors qu'une serveuse t'apporte un verre d'eau, tu le bois cul sec avant de redresser le regard vers le brun et reprendre une certaine contenance. Tu viens joindre tes mains ensemble pour paraître plus sérieuse – mais c'est difficile, parce que t'es constamment distraite – et tu prends enfin la parole. – Je voulais te voir en terrain neutre parce que je pense que toi et moi sommes partis du mauvais pieds. Et en tant que personne civilisé, je me suis dis qu'il serait intelligent de mettre carte sur table et de régler ces différents pour rendre nos rapports plus … cordiaux. Après tout, on partage un palier. Tu suivais les conseils de Rebecca encore une fois et tu n'avais aucune idée de où ça allait mener toute cette histoire – et tu avais surtout aucune idée qu'entre vous, c'était bien plus complexe que ça. – Du coup, pourquoi pas commencer par dire des choses gentilles! Parce que ça fait toujours plaisir et ça changera de s'envoyer des remarques cinglantes à la figure tout les jours, hm ? Tu réfléchis un court instant, parce qu'en soit t'as pas grand chose à dire puisque tu ne le connais pas. Mais tu pouvais pas t'empêcher Jess de proposer ces trucs que tu avais cette tendance à faire à l'époque où tu ne parlais qu'à des gamins de moins de seize ans. Si il y a bien une chose que tu savais : ça marchait TOUJOURS. Alors tu réfléchis, à un truc à dire. Tu sais pas trop jusqu'à ce qu'une idée te vienne en tête. – J'ai lu ton livre et je dois avouer avoir été agréablement surprise par ta qualité d'écrivain. C'est un très bon livre. Que j'ai apparemment déjà lu y a quelques années, pour être honnête je me souviens même pas l'avoir acheté mais j'avais un arrière goût de déjà vu et je me suis rendu compte en le terminant que je connaissais déjà la fin. Et voilà, tu t'emportais, comme d'ordinaire. Tu balaies la tête de gauche à droite, levant les deux mains de manière innocente. – Je sais, je parle trop je … tu fait signe de zipper ta bouche avec ta main et tu croises les bras sur la table. – Ton tour, tu dis de manière presque incomprehensible tandis que tu gardes tes lèvres scellées. La serveuse arrive au même moment, demandant si vous saviez quoi boire et sans grande surprise – parce que tu fait jamais les choses à moitié tu fait signe de dézippé ta bouche tout en regardant la demoiselle. – J'vais vous prendre un verre de rouge s'il vous plait. Et tu tournes le regard vers ton voisin en attendant que lui prenne sa commande. (c) mars. |
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▿ Ton univers : Helluva Boss
▿ Date de naissance : 11/10/1975
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▿ Métier : Propriétaire d'un club
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs : Aucun pouvoir.
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▿ Avatar : Matt Bomer
▿ Copyright : Barbe-noire / Tumblr / Dei pour le fanart / Elune pour le moodboard
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▿ Autre(s) compte(s) : Jackson / Aidan / Scar / Alex C. D. / Carlos / Bruni / Iago / Eros / Adam A / Theodore Nott / Ayame / Crocodile / Cody
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Dim 30 Oct - 11:32 |
| Nick n'était pas vraiment quelqu'un de ponctuel et organisé encore moins, il était même tout le contraire de tout ce qu'on pouvait qualifier de mature qui savait gérer son temps et ses rendez-vous. Pour ses livres, la course à la deadline était une catastrophe et celui qui s'occupait de ses parutions s'en arrachait les cheveux et était en train de devenir chauve. Nick pourrait bientôt lui lustrer le crâne, s'il était lustreur de crâne bien évidemment. Le fait est que, bien qu'il ne comprenait pas pourquoi cette folle qui vivait de l'autre côté du palier l'avait invité à diner ensemble, de la nourriture gratuite ça ne se refuse pas, mais surtout, il ne pouvait pas lui laisser le plaisir de le dénigrer parce qu'il serait encore en retard, comme d'habitude. Il avait donc pris ses précautions, il était alors arrivé une heure à l'avance et s'était mis à écrire sur la serviette en papier en attendant que la demoiselle se décide à arriver. Autant vous dire qu'une seule feuille n'avait pas suffit et qu'il avait dû redemander des serviettes, c'est ainsi que la serveuse était au bout de sa vie lorsqu'il lui indiqua que son "amie" ne serait pas là avant une heure.
Une heure plus tard, toujours pas de Jess, et la serveuse avait dis à Nick qu'il s'était probablement fais poser un lapin. Il avait envie de lui répondre que Jess n'était pas comme ça mais franchement, qu'est-ce qu'il en savait ? Il la connaissait pas, c'était peut-être vrai après tout qu'elle lui avait demandé de venir ici comme ça pendant ce temps là elle était peinarde chez elle sans se soucier de Nick Miller. Il soupira et demanda alors un verre d'eau, s'il devait consommer alors ne consommerait que les choses gratuites. Il n'était peut-être plus aussi fauché que fut un temps dont il ne se souvenait pas, mais il n'aimait toujours pas dépenser son argent et en fait étalage, il préférait de loin rester un rat. ça ne voulait pas dire qu'il ne consommerait vraiment rien, mais il prendrait probablement le plat le moins cher, juste histoire de manger. Mais voici que la jeune femme tant attendue daigna enfin faire son apparition au grand soulagement de tous. Il fit semblant d'écrire alors qu'elle s'approcha de sa table.
- Mademoiselle Day.
Il fit semblant de regarder l'heure sur son poignet où il n'y avait pas de montre.
- Vous n'êtes pas en avance.
Il eut à peine dis cette phrase que Jess rata sa chaise par un pouvoir mystérieux et s'étala, mettant des paillettes partout comme si elle était une fée ou quelque chose comme ça. Mais qui se balade avec des paillettes, franchement !? Il l'observa tout en se retenant par on ne sait quel miracle de faire un commentaire sur tout ce qui venait de se passer devant ses yeux. Elle se releva en indiquant qu'elle allait bien, beaucoup trop énergique à son goût, il lui rappelait vraiment la fille dans son roman. Il n'arrivait juste pas à la suivre, il l'observa remettre sa jupe et ses cheveux en ordre et se demanda vraiment ce qu'il fichait là. Il fut soulagé de voir son verre d'eau arriver mais avant qu'il n'ait pu l'attraper, Jessica le prit au vol et le but cul sec. La serveuse et lui se regardèrent, tous les deux confus et Nick se contenta de hausser les épaules, que pouvait-il dire ? Enfin, la brunette se décida à lui dire ce qu'il fichait là exactement.
- Donc pour toi un terrain neutre c'est un restaurant que tu as désigné toute seule sans me consulter ? On ne partage pas un palier, il y a des zones délimités comme je te l'ai déjà indiqué, c'est juste que tu as décidé de les ignorer. C'est pas ce que j'appellerais civilisé, ma grande.
En fait, il comprenait encore moins ce qu'il faisait là, il avait l'impression d'être sur le banc des accusés et que Jess était le tribunal à elle toute seule. Comme s'il était le principal fautif de la situation, alors que c'était elle qui était une tête de mule ! C'est pour ça qu'il ne restait jamais avec une femme très longtemps, elles sont toutes folles ! Il eut une grimace de tortue fâché lorsqu'elle lui demanda de dire un truc gentil, il se sentait pratiquement agressé. Dire des trucs gentils ? Pas sûr qu'il savait faire ça, s'il ouvrait la bouche c'était pour se plaindre, pas pour dire des trucs positifs.
- Je suis biologiquement incapable de dire des trucs gentils. Je peux pas mentir, à chaque fois que je mens ça me mets dans un état que même les médecins ne peuvent pas expliquer.
Si, ils peuvent. Il se met à paniquer et son dos se retrouve trempé de sueur. Heureusement qu'il n'avait finalement pas eu son verre d'eau sinon il se serait étouffé avec lorsqu'elle lui avait dis de but-en-blanc qu'elle avait lu son livre. Et apparemment, elle l'avait apprécié. Ce qui le fit tiquer par contre c'est qu'elle lui dit qu'elle l'avait déjà lu il y a quelques années alors que son livre était seulement sorti l'année dernière.
- Est-ce que tu es en train de dire que j'ai plagié mon livre ? Fais attention, c'est une accusation très grave ça !
Il fronça les sourcils et n'aimait vraiment pas la tournure de la conversation, il ne comprenait toujours pas ce qu'il faisait ici et en plus Jessica lui indiquait que c'était son tour de parler, ce à quoi il ne savait que répondre étant donné que c'était elle qui avait organisé ce rendez-vous.
- Je veux bien mon eau.
Indiqua-t-il à la serveuse qui partie chercher leur boisson. Il reporta son attention sur Jess et lui posa cette question qui le troublait quelque peu.
- Est-ce que c'est un rencard ? |
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Dim 30 Oct - 12:37 |
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A peine tu débales ton plan que tu t'en prends déjà plein la gueule. T'es presque vexée et tu roules des yeux, vous ne trouveriez jamais de terrain d'entente sur cette histoire de palier et pourtant, c'était pas faute de faire tout les efforts du monde. – C'est pas de ma faute si je crafte plein de trucs pour mes élèves et que mon appartement est trop petit pour tout supporter ! Tes élèves qui étaient tous étudiant à l'université, c'est important d'le préciser. Aussi, même quand tu tentais d'être discrète, y avait toujours quelque chose qui te trahissait. Paillettes, traces de col, ou simplement l'oublie d'une paire de ciseaux. – Puis quand bien même, c'est un palier Nick, c'est ni à toi, ni à moi ! Quelle idée de faire des flèches au sol pour délimiter le tout ! Quand ton propriétaire t'a fait visiter, il t'a parlé du nombre de mètre carré dans ton appartement, pas à l'extérieur à ce que je sache. Tu croises les bras sous ta poitrine, essayant de paraître plus intelligente que lui. De toute manière, chacune de vos interractions se terminaient toujours par la porte qui claquait et en rancune constante. Tu lèves les deux mains, essayant de plaider l'innocence. – Nope, je vois c'qui se passe ! On est pas supposé se battre, c'est pas pour ça que j'ai organisé tout ça. Mais ce qui te tue, c'est sans doute le manque d'effort de la part du brun. Tu fronces les sourcils, vexée que ta tentative soit un échec. Et vu que tu es très mauvaise pour cacher tes émotions, la petite moue que tu tires, est la preuve que ça t'fait de la peine. – Tu pourrais au moins faire des efforts. Si la mauvaise foie avait un nom, elle s'appelerait surement Nick Miller. – Puis si tu me trouves que des côtés négatif, t'étais pas obligé de venir ce soir. Tu dis en haussant les épaules tandis que la serveuse vous ramènes vos boissons. T'en profite pour jeter un rapide coup d'oeil sur la carte mais tu sais déjà c'que tu veux, c'est pour cette raison que tu avais choisi ce restaurant d'ailleurs. C'était l'excuse parfaite pour venir l'essayer sans paraître désespérée. Mais ça t'apprendra, t'aurais dû demander à Rebecca, elle au moins, elle avait des choses gentilles à dire. Pourtant, cette histoire de plagiat te fait pencher la tête sur le côté. – J'ai jamais dis que tu l'avais plagié. Juste que … y a eu un arrière goût de déjà vu. Tu finis par expliquer en haussant simplement les épaules, préférant ne pas insister dessus. – J'ai sans doute dû lire un truc un peu similaire une fois. Je t'avoue que j'ai quelques blackout d'une période de ma vie, du coup c'est un peu délicat de savoir déméler le vrai du faux. C'est sans doute rien. Mais je doute que tu ne l'as pas plagier, si ça peut te rassurer ! Tu finis tout en attrapant ton verre apporté par la serveuse. Tu en bois une longue gorgée avant de manquer de t'ettouffer face à la question de ton voisin. Alors ça. – Un rencard ? Quoi ?! Tu peux pas t'empêcher de rire de malaise face à sa question, parce que c'est quand même malaisant. – Miller, même si tu étais le dernier homme sur terre je n'irais pas à un rencard avec toi. Puis franchement, deux personnes peuvent bien se retrouver dans un restaurant … tu regardes autour de toi pour remarquer qu'il est presque vide mais que quelques couples sont isolés dans des recoins, qu'il y a une atmsophère tamisé et qu'il y a des bougies sur votre table. Tu redresses tes grandes prunelles opales vers le brun un peu paniqué. – J'avoue que j'ai peut-être pas fait le meilleur choix de restaurant. Tu te pinces les lèvres, un peu génée. Pour deux personnes qui n'étaient pas en date, ça avait clairement un côté beaucoup trop romantique. Même si tu ne voulais pas l'admettre, peut-être aurais-dû tu le consulter pour le choix du restaurant. – Mais s'en est pas un ! Sauf si tu veux que ça en soit un, dans ces cas là … enfin, j'sais pas. Tu dis totalement perdue. Tu regardes encore un peu autour de toi, te sentant soudainement prise d'une de ces énièmes sensations de déjà vu qui te suivent un peu trop souvent. Pas nécessairement le même restaurant, mais une configuration similaire. Tu restes silencieuse tandis que t'es excessivement confuse et qu'encore une fois, ça se voit sur l'expression qui habite ton visage . – Enfin bref. Tu décides de rien dire concernant cette potentielle sensation et tu redresses ton regard vers le brun. – Tu sais c'que tu veux prendre ? Il paraît que leur pates aux truffes sont absolument délicieuse. J'avoue, c'est pour ça que j'ai choisi ce restaurant. Tu ris nerveusement, parce que maintenant t'arrive plus à te dire que c'est pas bizarre. En fait, c'est vraiment bizarre. Trop. (c) mars. |
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Mar 1 Nov - 11:54 |
| Jessica était trop de mauvaise foi, surtout quand il s'agissait de Nick Miller, c'était probablement de là que venait leurs principaux problèmes : les deux restaient sur leurs positions et ils ne parvenaient jamais à faire des compromis comme si l'un et l'autre refusaient de laisser un peu de terrain pour qu'ils puissent enfin trouver un terrain d'entente. Nick mentirait s'il disait qu'il détestait vraiment tout ça ou qu'il détestait vraiment Jessica elle-même, c'était plus compliqué que ça mais ce n'était pas comme s'il pouvait le dire parce que Nick Miller ne parlait jamais de ses sentiments. Il haussa un sourcil en se demandant ce que son histoire de papier craft venait faire dans cette histoire, se rappelant que les élèves dont elle s'occupait étaient grands et non pas des enfants de maternelle ! Il soupira, bien sûr qu'il savait qu'elle avait raison, mais ce n'était pas parce qu'elle avait raison qu'il allait lui laisser le dernier mot, ce serait bien mal le connaître.
- Et tu vois, là encore, tu me parles de civilisés : il suffirait juste de suivre les flèches pour régler au moins un de nos conflits et pourtant non, c'est trop compliqué. Moi je pense que ça te plait, tout ça, tu aimes qu'on s'engueule sur le palier. Sinon tu ferais tout pour ne pas me parler plutôt que passer dix minutes à déterminer qui a raison, qui a tort alors qu'en fait on s'en fiche.
étonnamment, il avait conscience de cette situation et qu'ils étaient en réalité tous les deux en tort, mais le savait-elle ? C'était la grande question et il avait presque hâte de voir sa réaction maintenant qu'elle était plus ou moins au pied du mur. Il roula des yeux alors qu'elle affirmait qu'elle était là pour régler leurs différends alors qu'il venait juste d'énoncer le contraire, alors il préféra ne pas répondre, il avait l'impression de parler à un mur. Un mur très bruyant. Elle ne pouvait pas s'empêcher de s'agacer dès qu'il parlait et lui ne pouvait s'empêcher de contrer tous ses arguments. Il fut presque choqué lorsqu'elle lui indiqua qu'il pourrait faire des efforts.
- Pourquoi ce serait à moi de faire des efforts ? TU pourrais faire des efforts et pour le moment je n'en vois pas le moindre donc pourquoi j'en ferais si tu n'en fais. Il va bien falloir qu'un de nous deux commence à laisser du terrain à l'autre si tu veux vraiment qu'on arrête de se prendre la tête.
Et ce n'était clairement pas lui qui allait faire le premier pas, peu importe comment elle voyait les choses.
- Je suis venu parce que tu m'as invité et que c'était impoli de refuser. Et puis, c'est pas que je te trouve que des points négatifs c'est juste que tu ressembles à un chaton blessé avec tes grands yeux écarquillés et ça me fait peur... On dirait que tu pourrais te briser juste avec une pichenette, et moi j'ai tendance à tout casser. On m'a interdit de m'approcher des photocopieuses.
Nick n'était pas le genre de gars qui savait prendre soin des choses, parfois il essayait mais ça finissait quand même casser entre ses mimines comme s'il ne pouvait rien garder d'intacte. Il s'était fait une raison, c'était pareil pour ses relations, c'est pour ça qu'il n'essayait même plus de draguer une fille depuis qu'il était ici. Il n'était plus qu'un grincheux solitaire, un peu comme le Grinch, un film qu'il aimait regarder parfois en boucle mais il n'en soufflerait pas un mot.
- Je n'aime pas beaucoup que tu dises que c'est du déjà-vu mais au moins t'as lu jusqu'à la fin donc je suppose que ce n'était pas trop mauvais. J'ai moi-même quelques défauts de mémoire alors disons que je passe l'éponge pour cette fois...
Il valait mieux prendre le compliment et passer à autre chose, il n'aimait pas trop l'idée de s'attarder sur les choses dont il ne se souvenait pas car de toute évidence elles étaient nombreuses. Il avait parfois comme des flashback lorsqu'il se disputait avec Jess mais il n'arrivait pas à faire le lien avec lui. Vraiment étrange. Cette ville était étrange. Il choisit évidemment le meilleur moment pour lui demander si c'était un rencard et elle manqua de s'étouffer, il fronça les sourcils alors qu'elle indiquait clairement qu'il la répugnait. N'était-ce pas elle qui voulait faire des compliments il y a quelques instants ?
- Sympa, je crois que pour le positif tu repasseras.
Il but son verre d'eau tout en l'observant s'enfoncer un peu plus et réaliser le lieu où ils se trouvaient.
- Sans déconner.
C'était même plus une observation à ce stade, c'était une évidence, elle n'avait vraiment pas choisis un lieu adapté pour une réconciliation à moins que ce soit une réconciliation qui se finissait dans un lit, évidemment. Il plissa ses petits yeux alors que Jess indiquait clairement que ce n'était pas un rencard, enfin à moins qu'il voulait que ça en soit un, mais ce n'était absolument pas sa question et il avait effectivement un effet de déjà-vu étant donné qu'il avait écris le même genre de scène dans son livre.
- Tu ne sais pas ? J'ai un moyen simple de le savoir. On a des serviettes, j'ai un stylo, on écrit tous les deux sur une serviette si c'est un rencard ou non, et on s'échange les serviettes pour voir la réponse de l'autre. Comme ça, pas de triche et on est fixé.
Simple et efficace et en plus pour une fois il comptait répondre franchement ! Parce qu'il n'aurait pas posé la question s'il ne pensait pas que c'était un rencard, justement ! Et puis, c'était plaisant de voir Jess prise au dépourvue et gênée qui ne savait plus parler tellement elle ne savait pas quoi dire.
- Aaaah mais t'as choisi ce resto pour la bouffe ! Fallait le dire ! Non, pâtes aux truffes, beuh. Je vais plutôt prendre un gratin de pâtes au jambon.
Exactement ce qu'il mangeait la plupart du temps par flemme de faire de la vraie nourriture. Soit il commandait un truc calorique soit il se faisait des pâtes et en général tout ce qu'il avait comme viande dans son frigo c'était du jambon. |
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Mar 1 Nov - 16:59 |
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Tu penches la tête sur le côté, observant le brun avec un air un peu désabusé. – Je sais pas si je suis supposé bien le prendre. Mais pourquoi tu penses que tu me casserais, hm ? Je suis bien plus solide que j'en ai l'air! Tu devais avouer que c'était pas la première fois qu'on te disait que tu faisais peur. En fait, c'était tout l'inverse. T'étais un peu trop habituée à ça parce que t'étais a lot Jessica. Genre, énormément. C'était complexe d'être toi pour tout dire entre tes maladresses, le fait que tu n'arrêtais jamais de parler ou de chanter. Nombres avaient été le fois où on t'avait dit que tu étais bizarre, mais ça tu l'avais accepté. Tu ne correspondait pas aux critères habituels, à ce qu'on attendait d'une simple demoiselle, t'étais tout l'inverse, la folie à l'état pure, et ça t'allait très bien. Tu l'avais accepté y a longtemps et rien ne te ferait revenir sur ça. Tu doutais encore un peu de toi, parfois, mais tu restais relativement confiante en ce qui te concernait personnellement. T'étais bizarre, mais c'était toi et tu méritais quelqu'un qui comprendrait et respecterait ça. Et t'accepterais avec toute tes bizarreries. -- Je viens d'te le dire ! Même si j'ai une sensation de déjà vu, ton livre est vraiment bien ! En plus j'me reconnais un peu dans ton personnage principal donc c'est amusant. Enfin, j'ai conscience d'être un peu à l'ouest de temps en temps et je sais que ça plait pas à tout l'monde. Moi ça m'plait, c'est ennuyant la normalité, mais du coup voir un personnage totalement décallée dans la culture populaire c'est plaisant. Vraiment. Tu hausses les épaules face à tes explications et analyse un peu diverses. Tu pouvais passer des heures à t'expliquer sur pourquoi ce personnage te ressemblait un peu trop. Les actions, la manière de dire les choses où de se mêler à des sujets qui ne la concernait pas, s'impliquer, ne pas respecter des ordres de restrictions. C'était toi. Dans toute ta totalité. Tu t'étais même demandée si tu n'avais pas un peu servit d'inspiration en le lisant, où si il cherchait à se moquer de toi. T'avais préférée mettre ça sur la simple coïncidence. Il te connaissait pas assez pour savoir tout les trucs chelous que tu faisais. Ou que tu pleurais comme un vrai bébé après chaque rupture en regardant dirty dancing. Parce que ça aussi, ça avait été assez similaire. Sa proposition d'écrire sur la serviette te fait un peu hausser un sourcil. Tu l'avais spécifiquement lu cette scène dans ton livre et tu plisses un peu les yeux. – Vraiment ? Tu demandes simplement. – On est pas les protagonistes de ton livre, on peut parler normalement et dire clairement les choses tu sais. Ou peut-être que si ? Peut-être que tout ça n'était que le subconscient de Miller qui s'amusait à simplement ressortir sous forme d'inspiration mais que derrière ses écris se cachait bien plus que de simple mots, idées sorties de nulles part. Tu sors un stylo de ton propre sac en l'observant, appuyant sur le bout de celui-ci faisant alors ressortir la mine du stylo. – Et j'ai pas besoin de ton stylo. Le miens est peut-être plein de paillettes mais au moins je suis certaine de savoir où il a traîné. Tu hausses les épaules avant de regarder ta serviette sans vraiment savoir quoi écrire. Parce que concrètement, c'était délicat. T'y avais jamais vraiment pensé. Tu redresses rapidement les yeux par dessus tes lunettes pour l'observer, lui même était un peu bizarre en soit et il était pas spécialement désagréable à regarder. Mais t'étais pas vraiment certaine. Tu savais pas. Tu savais rien. Alors tu commences à écrire la première lettre d'un « yes », que tu voulais faire suivre par un point d'interrogation. Mais tu te revises en chemin. Au lieu de continuer la queue du « y » tu rajoutes un pieds pour former un simple « n » et ainsi écrire un « no » catégorique. Tu retournes ta serviette précipitemment et l'observer. T'étais pas certaine. T'étais pas convaincu du tout. Parce que le truc, c'est que d'un côté t'avais vraiment fait ça de manière innocente, mais de l'autre, pourquoi se retenir ? Après tout, y avait rien à perdre. Aucune amitié à mettre en péril. Est-ce que dans l'fond, tu t'étais pas toi même bercé d'excuse pour simplement chercher à pénétrer le mur qu'était nicholas miller ? Tu te pinces les lèvres, prête à revenir sur ce que tu as écris. Et alors que tu observes légèrement ta réponse, apportant ton stylo à cette feuille, une chaise en plus est ajouté à votre table et un individu s'installe là. Tu reposes ta serviette, fière de ne rien avoir modifié tandis que tu redresses tes yeux curieux vers cet inconnu puis vers Nick. Il vous regarde tout les deux, et toi, ton air chaleureux se transforme rapidement. Qu'on s'le dise, t'as plus l'air d'un chaton enragé quand t'es en colère mais quand même. – Miller ! Tu clâmes. – T'as cherché à me piéger, avoue ? Tu oses me poser la question de si c'est un date alors que tu t'es permis d'inviter un ami à toi ici ! Et bien devine quoi ! Tu retournes la serviette, montrant le « no » écrit en noir sur le tissus blanc. – Non, c'est pas un rencard, et y en aura probablement jamais entre nous de toute manière !C'que tu savais pas, c'est que cet inconnu n'était ni avec toi, ni avec lui. Juste un inconnu lambda, piège de cette île. Les troubles ne faisaient que commencer et probablement que vous ne seriez pas au bout de vos surprises avec les révélations qu'il allait faire ce soir. Parce qu'on s'le dise : il en connaissait plus sur vous que vous mêmes. – J'arrive pas à croire que j'ai pu hésiter pendant un court instant, omg ! (c) mars. |
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Mer 2 Nov - 16:21 |
| - Tu viens littéralement de t'étaler par terre toute seule et tu me demandes à moi pourquoi je pense que je te casserais, vraiment ? Non mais j'hallucine. T'es comme une poupée en porcelaine toute mignonne et toute maladroite avec ses dentelles et ses paillettes partout. Je pense qu'avant d'arriver ici, tu devais être une fée !
Le plus amusant dans l'histoire c'est que tout ça pouvait paraitre négatif dans la bouche de Miller alors que dans la bouche de n'importe qui d'autre ça serait des compliments. Il ne comprenait pas vraiment ce que Jessica essayait de faire ou dire en réalité, surtout quand elle disait qu'elle était plus solide qu'elle en avait l'air : littéralement, pas du tout. C'était même un miracle qu'elle soit encore toute entière maintenant et qu'un cannibale ne l'ait pas pris pour son gouter. Oui, son gouter, parce que clairement il n'y avait pas assez sur elle pour un vrai diner et puis elle faisait plus "gouter" même son sang devait être sucré et ses cheveux sentir la cannelle ou un truc comme ça. Il picorait un bout de pain qu'il avait gardé depuis une bonne heure alors qu'elle essayait de dire du bien de son livre.
- C'est vrai que tu fais pas mal pensé à la fille du livre, c'est pour ça que j'ai décidé de te donner une chance, après tout, je me dis que tout ça c'est peut-être un malentendu...
Il n'y croyait même pas qu'à moitié mais bon, elle lui avait demandé de faire un effort donc il fallait bien qu'il essaie au moins un peu au moins pour se donner bonne conscience et aussi pour voir ce que ça donnait s'il essayait vraiment, est-ce qu'elle serait même capable de constater qu'il faisait preuve de bonne foi ? Il avait un doute mais bon, il parait que "qui ne tente rien n'a rien" et elle avait bien tenté de l'inviter aujourd'hui ici, il fallait au moins lui en donner pour son argent. Il tente un autre truc, on sait jamais après tout, autant continuer sur sa lancée, il termine son verre d'eau en essayant de garder son calme et ne pas s'énerver comme à chaque fois qu'il est à une distance beaucoup trop courte de Jessica Day. Il propose alors, pour que tout soit clair entre eux, de mettre la réponse sur papier, ce qui lui parait plutôt simple. Et pour une raison qu'il ne comprend pas, elle le prend mal.
- C'est vrai que jusqu'ici ça nous a tellement réussi, de discuter. Mais bon, on fait comme tu veux.
Il haussa les épaules, après tout ce n'était qu'une proposition, elle avait sûrement ses raisons pour refuser à moins que ce soit juste pour aller dans son contresens. Cette conversation était trop bizarre, et là revirement de situation, elle voulait bien mais seulement si elle utilisait son stylo à elle, il roula des yeux en entendant son explication houleuse.
- Tu sais pour quelqu'un qui voulait dire du positif, tu t'en sors franchement mal. Je t'ai proposé le mien parce que je ne savais pas si t'en avais un sous la main, pas la peine d'être aussi blessante à chaque fois que je te propose un truc. Je me demande vraiment pourquoi t'as voulu qu'on se voit si c'est pour être aussi désagréable.
Malgré tout, elle semblait bien concentré sur son bout de papier maintenant et lui se sentait un peu con d'avoir proposé cette idée. Parce que clairement, ce n'était pas un rencard, mais il aurait aimé que ça en soit un. Ou plutôt, il aurait aimé qu'une fille comme elle espère un rencard avec un pauvre type comme lui, même juste une fois. Il n'avait plus eu personne depuis... il ne se souvenait pas. Il avait juste cette alliance, sans savoir qui pouvait être au bout de sa jumelle, et son cœur se tordant à chaque fois qu'il y pensait. Et alors qu'il se jetait à l'eau et décidait d'écrire oui sur cette fichue serviette, un mec chelou vint s'incruster à leur table et sans avoir le temps de dire quoique ce soit, Jess piqua sa crise. Il était resté là, les mains écartés, comme s'il demandait au monde ce qu'il avait bien pu faire pour mériter autant de haine.
- Mais est-ce que t'es cinglé ? Tu piques ta crise comme ça alors que j'ai littéralement rien fais ! C'est toi, Jessica Day, qui m'a invité ici je te signale, et c'est moi qui ait l'impression de me faire piéger vu ce que tu me mets dans la gueule depuis que je suis là ! Je le connais pas ce mec, je connais même personne dans ce bled pourri !
Puis le gars, un genre de vieux, avec une barbe d'un mois grisâtre et une veste rouge délavé qui ressemblait quand même vachement à celle de Nick se mit à parler.
- Aaaaah l'appartement 4D tout une histoire, c'était calme c'est sûr jusqu'à ce que Jessica rompe avec Spencer et vienne s'incruster dans votre colocation entre mec. ça a foutu le bordel, surtout quand Schmidt et Cece ont commencé à coucher ensemble.
- Mec, j'ai pas la moindre idée de ce que tu racontes... Tu peux aller voir ailleurs si j'y suis ?
- Nicholas Miller, ton père était ce qu'on peut appeler un arnaqueur. Quant à toi, Jessica Day, tes parents sont divorcés et tu as une sœur insupportable. Et à chaque fois que vous vous rencontrez ça fait... BRAOUUUUM !
Dit-il tout en mimant ce qui semblait être une explosion ou Nick ne savait pas quoi en tout cas il faisait ses grands yeux de tortue fâchée effrayée. |
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Mer 2 Nov - 18:51 |
| those great whites, they have big teeth. hope they bite you, thought you said that you would always be in love. but you're not in love, no more. did it frighten you how we kissed when we danced on the light up floor ? (music) -- ft. @nicholas miller.
Tu pointes le brun du doigt. – Ah ! Voilà, tu viens de dire que j'étais mignonne ! Je le savais que t'étais pas seulement ce grumpy cat et que sous tes airs de grognon se cachait la possibilité de faire des compliments ! Tu disais, fière d'avoir réussi à lui tirer un compliment. Pour toi, qui avait une fâcheuse tendance à aimer tout le monde et à tenter de t'accrocher à quelqu'un jusqu'à ce qu'on t'apprécie. Comme avec … la mère de schmidt par exemple mais ça tu t'en souvenais plus vraiment. Pourtant il t'exaspère et tu l'observes comme ça, avec un air un peu stupide au visage. – Mais je partais vraiment d'une bonne volonté mais dés que je suis arrivée t'as commencé à être méchant encore, alors j'veux bien être gentille mais je suis bien plus redoutable que j'en ai l'air quand on me respecte pas ! Non. T'avais l'air d'un chihuahua avec tes grands yeux et tes airs boudeurs. Alors forcément, il t'attaquait, tu répondais. Et ce que tu savais pas c'est qu'entre vous, c'était un peu trop courant. Pourtant tu t'énerves un peu quand ce mec s'incruste, et vu sa dégaîne ça t'étonnerait même pas que ça soit bel et bien un ami de Nick. Enfin non, il avait l'air un peu plus propre que ça mais quand même. Mais tu te ravises bien vite avec les explications du brun : soit il te prends pour une idiote, soit il est sincère mais vu son air perdu t'as l'impression qu'il comprend rien à tout ça. – Attend une minute … Tu dis en baissant soudainement le ton. – Si il est pas avec moi … et qu'il est pas avec toi alors pourquoi … ? Tu le pointes du pouce avant que cet inconnu se mette à parler. Et là, les informations qu'il balance, elles te clouent le bec. – Vous connaissez Cece ?! Tu clâmes, presque choquée d'une telle révélation. – Oh god, comment elle va ? Vous pourrez lui dire de retourner mes appels, je sais pas c'que je lui ai fait pour qu'elle m'ignore à ce point ! C'est la première chose qui te vient en tête, forcément tu penses à ta meilleure amie puisque tu n'as pas de nouvelles depuis si longtemps. Tu pourrais t'arrêter là sauf qu'il continue à déblaterer des informations, sur ta famille, ta sœur. Tu fronces les sourcils et relève le regard curieux vers Nick, voir si lui comprenait quelque chose à tout ça. – Mais Cecilia et Schmidt c'est pas la meilleure partie. J'crois que celle que je préfère c'est vraiment la manière dont tout s'est passé entre vous ! Il explose de rire, un rire d'un vrai fou et toi ça te rassure pas pour le coup. Tu regardes autour de toi, mais tu remarques bien vite que le restaurant est totalement vide. Tu cherches une serveuse, mais rien. – Je crois que mon moment favoris c'était surtout quand Sam était dans ta vie Jessica. Ah, ce pauvre Sam ! Qu'il dit en tapant sur la table tout en riant toujours. – Le pauvre garçon est tombé pour toi deux fois, tu l'as accroché à ton crochet à deux reprises au point qu'il a baissé toute sa garde. Et deux fois d'affiler, BAM ! Il retape sur la table, tu sursautes et tu recules très légèrement ta chaise . – Nick Miller fou tout en l'air ! Ahah, en plus ça rime ! Ton couple et la confiance de ce pauvre Sam. Qui l'aurait cru ? Dans les films, les filles choisissent tout le temps les chirurgiens beaux et sexy. Un peu comme Grey's Anatomy. Personnellement, si j'aimais les hommes j'aurais choisi Sam. Beau et séduisant Sam. Tu attrapes ton verre en le terminant d'une traite pour essayer de te réveiller de ce potentiel cauchemar. [i]– Mais bon, si vous avez fini par vous marier tout les deux c'est que ça marchait peut-être mieux qu'entre toi et Sam. Mais personnellement, j'vous préférez, vous étiez vraiment mieux ensemble que toi et … Il pointe Miller du doigt. Mais à l'instant où il a commencé cette phrase en mentionnant le mariage, tu manques de t'etouffer avec ta boisson et tu tousses à ne plus en pouvoir pendant de longues secondes. – Quoi ?! Tu l'observes lui, puis Miller, puis lui, puis Miller. – Moi et … ? Tu laisses ton doigt aller de toi à lui. – Ewh, Non !
Au même moment une serveuse vous pose vos plats devant et repars avant même que tu ai le temps de l'interpeller. Et pourtant, c'est pas faute d'essayer. Mais elle t'ignore royalement et tu t'retrouves là. – C'est pour ça que les aventures de votre appart était cool. Vous vivez ensemble et vous étiez ex ! Dites, ça fait quoi de vivre littéralement à l'autre bout du couloir l'un de l'autre alors que vous avez littéralement partagé un lit ? C'était pas un peu compliqué d'entendre l'autre faire des choses sexuelles avec les nouvelles conquêtes ?Tu clignes plusieurs fois des yeux avant de redresser ton regard vers Nick et de l'observer. – Est-ce que, par pur hasard, ça serait une blague que tu as toi même décidé de mettre en scène ? Parce que si c'est le cas Miller, elle est très bonne et t'as gagné! J'arrêterais de venir prendre de la place sur ton pallier, je trouverais de la place dans mon appartement. J'abandonne ! Tu enroules ta fourchette autour de pâtes et tu manges enfin une première bouchée de tes pâtes qui au moins, elles, sont particulièrement bonne.
(c) mars. [/i] |
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▿ Ton univers : Helluva Boss
▿ Date de naissance : 11/10/1975
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▿ Autre(s) compte(s) : Jackson / Aidan / Scar / Alex C. D. / Carlos / Bruni / Iago / Eros / Adam A / Theodore Nott / Ayame / Crocodile / Cody
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Ven 4 Nov - 10:30 |
| Nick allait commettre un meurtre avant la fin de ce repas, c'était sûr ! Il ne savait pas quel était le but de cette rencontre à part l'envie de lui faire péter les plombs. Il fallait toujours que Jess en fasse des tonnes.
- évidemment que tu es mignonne, c'est pas un compliment ça, c'est la réalité, n'importe qui avec des yeux peut le voir.
étrangement, Nick voyait plutôt les compliments comme quelque chose de faux, surjoués, des courbettes qu'on faisait aux autres pour être bien vu. Il n'était pas le genre de personne à se forcer à faire des compliments, à dire du bien des autres, donc il était normal qu'il soit aussi bougon lorsqu'on essayait de lui forcer la main pour dire quelque chose de gentil au sujet de quelqu'un, bien qu'il le regrettait déjà vu comment Jessica fanfaronnait et vu ce qu'il se prenait dans la gueule depuis tout à l'heure.
- C'est pas une question de respect, je suis comme ça avec tout le monde au cas où tu ne l'aurais pas remarqué. Je suis aigri et je passe mon temps à râler, je suis comme un grand-père et tu me changeras pas.
Il haussa les épaules de toute façon pourquoi elle le changerait ? C'était pas comme si elle voulait être son ami ou quelque chose comme ça, certainement pas sa petite amie vu comment elle venait de le pourrir sans même qu'il n'ait fais quoique ce soit. Alors qu'il avait essayé, pour une fois, de montrer un peu patte blanche, voilà le résultat ! C'est sûr que ça donnait franchement envie de faire des efforts. Il venait de se prendre un râteau en pleine face comme s'il avait marché dans un champ sans faire attention. Et l'autre là, qui racontait une histoire dont il faisait parti comme s'il le connaissait !
- Alors ça veut dire qu'un inconnu s'est incrusté à notre table. Un clodo, probablement.
Il plissa les yeux alors que le gars continuait son histoire, parlait de Cece qu'il ne connaissait pas mais de Schmidt qui était son meilleur ami qu'il n'avait pas vu depuis des lustres et qui était le roi des blaireau. Mais toute cette histoire qu'il racontait, cela lui rappelait quelque chose, comme si c'était vraiment arrivé. Et c'est là qu'il se souvint de son livre, il y avait ce personnage, un beau et séduisant médecin pour enfant, charismatique et trop gentil, il l'avait appelé Jack. La personnage principale l'avait laissé tomber plusieurs fois pour cet abruti de personnage principal qui ne savait pas ce qu'il voulait. Est-ce que ce gars était un fan et qu'il associait Nick et Jess à son livre qui n'avait rien à voir ? Mais pourquoi il parlait de Sam, d'où il sortait de Sam ? Et pourquoi Schmidt ??
C'était trop compliqué pour lui et de ce qu'il racontait, Jessica aurait laissé un médecin pour lui ? Non mais la blague, il était certain que même dans un monde alternatif ça n'arriverait jamais. Il suffisait de voir sa réaction et rien que voir comment elle était lorsqu'il était dans la même pièce que lui. Il n'était pas assez bien et classe pour Jessica Day, il le savait, alors pourquoi il fallait qu'un clodo vienne le lui rappeler ? ça faisait longtemps qu'il avait laissé tomber l'amour, pourquoi enfoncer le couteau dans la plaie maintenant ? Parce qu'il avait toujours gardé cette bague comme un espoir secret ? Il serra la serviette où il avait écris oui dans sa main alors que l'idée que Nick puisse sortir avec elle le dégoutait au plus haut point. Quelle idée ridicule il avait eu, comme d'habitude, c'était couru d'avance. Qu'est-ce qu'il fichait là, vraiment ? Qu'est-ce qu'il espérait ? Il était scandalisé à l'idée qu'elle prenne toujours tout ceci comme une blague de sa part. Comme s'il avait que ça à faire, tiens ! Il secoua la tête d'un air incrédule.
- Pardon mais t'as vraiment l'impression que je me marre depuis tout à l'heure ? Vraiment ?
Il profita du faire que la serveuse lui donne son plat de pâtes mais au lieu de les manger, il prit son assiette et la retourna contre le visage de l'inconnu.
- S'il y a bien quelqu'un qui doit se marrer depuis tout à l'heure c'est toi vu les horreurs que tu me sors, pour quelqu'un qui voulait soi disant dire des trucs "gentils". Alors bravo, t'as réussi à me faire dire un truc gentil et par la suite j'ai pu comprendre à quel point j'étais horrible, répugnant, que même si j'étais le dernier homme sur terre, tu préférerais te taper une femme. Maintenant que tu t'es bien moqué de moi, tu m'excuseras mais je dois rattraper ma confiance en moi et mon amour propre.
Il prit les serviettes sur lesquelles il avait écris pendant plus d'une heure pour l'attendre, tout ça pour se faire descendre comme ça, c'était bien la dernière fois qu'il se laissait inviter par une folle ! Il se leva et parti en laissant les deux autres qui avaient visiblement beaucoup de choses à se raconter sur le beau médecin.
- Non mais quel con ! |
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Ven 4 Nov - 16:38 |
| those great whites, they have big teeth. hope they bite you, thought you said that you would always be in love. but you're not in love, no more. did it frighten you how we kissed when we danced on the light up floor ? (music) -- ft. @nicholas miller.
Si il y avait bien une chose que toi, Jessica Christopher Day tu détestais : c'était bien de faire du mal aux gens. Alors quand Nick littéralement explose devant tes yeux, la culpabilité s'empare presque immédiatement de toi. Tu fixes ton plat dans lequel tu avais déjà pioché, puis l'inconnu. Et t'essaie de te dire que ça va aller. Mais en fait non, ça va pas aller et tes grands yeux de biches démontrent bien que les émotions qui te traversent font que tu te sens mal. Un peu. Beaucoup. Alors tu sors de ton sac à main un billet de cinquante dollars que tu jetes sur la table avant de te lever et de t'empresser de sortir du restaurant pour aller retrouver ton voisin qui partait d'un pas décidé. Tu manques évidemment de trébucher, puis tu regardes à droite et enfin à gauche avant d'appercevoir sa silhouette et te mettre à lui courir après. – Nick ! Tu clames en trottinant après lui. – Attends, s'il te plait.Tu attends qu'il se retourne enfin et prenne la tête de te regarder. Et là tu sais pas quoi dire encore, parce que tu parles trop et que tu sais jamais quoi dire. – Je suis désolé. Tu dis simplement. Tu sais pas c'qui est pire pour toi, le fait qu'il t'en veuille ou la culpabilité de l'avoir potentiellement blessé. Parce que c'est quelque chose qui te rends si malheureuse que tu pourrais littéralement te rouler en boule dans ton lit et pleurer de honte : parce qu'on s'le dise tu sais c'que ça fait d'être blessée et tu veux pas faire du mal aux autres. C'est même insurmontable qu'on puisse t'en vouloir. Ou plutôt qu'on puisse t'associer à quelque chose de mauvais. – J'voulais vraiment tenter d'arrondir les angles entre nous mais j'fait tout de travers à chaque fois. Parce que j'suis la personne la plus maladroite de la galaxie, c'est déjà un miracle que j'ai réussi à survivre aussi longtemps sans mourir à cause d'une chute ridicule. Genre de mon lit. Tu dis simplement en ayant encore et toujours un visage un peu trop expressif. Preuve que t'étais sincèrement blessée par le fait d'avoir pu le froisser. – Je voulais mettre oui. Sur la serviette. J'me suis juste défilé. Tu avoues, exposant ta vulnérabilité alors que c'était clairement quelque chose que tu voulais éviter justement car tu te savais relativement fragile. -- T'as raison. Quand tu dis que j'pourrais facilement me briser. J'ai un nombre incalculable de bleus sur les genoux parce que passe pas une seule journée sans que je me cogne quelque part ou que je tombe au sol. Faudrait mettre une sécurité enfant partout dans mon appartement parce que je suis pas très bien équilibré. Tu hausses les épaules, petite voix un peu tremblante, cherchant impérativement à te racheter en lui donnant toute les cartes en main si il désire contre attaquer en baissant littéralement ta garde. – Mais si j'me brise un jour, ça serait certainement pas à cause de toi. Ca serait plus à cause de mon éternelle maladresse qui fait partie de moi. Et malheureusement, mon cerveau fonctionne plus vite que le flot de mes pensées alors parfois j'dis des trucs stupides, et j'fait des trucs stupides. Et comme l'héroïne de ton roman je peux littéralement pas passer vingt quatre heures sans toucher des paillettes, sans mettre en chanson mes propres actions et je déteste les trucs trop unis. J'ai besoin de rubans, ou de trucs colorés parce que ça m'rend joviale.Tu te pinces les lèvres en redressant ton regard vers ton voisin, allant croiser tes bras sous ta poitrine. – J'aime juste pas être vulnérable. Parce que j'ai conscience que j'suis pas la personne la plus normale qu'il soit et que j'me fait toujours remarqué même dans le vouloir. Et la dernière fois que j'ai vraiment été moi même avec quelqu'un, c'était Spencer, mon ex qui m'a littéralement trompé pendant une excursion à Portland. Et après j'ai que de vagues souvenirs sur les dernières années d'ma vie alors qui c'est c'qui s'est passé ? Ca s'trouve, j'ai été victime d'un trafic de femmes et je le saurais jamais ! Toujours dans l'exagération, un peu trop. Beaucoup trop. Tu soupires légèrement, te rapprochant définitivement de lui espérant ne pas t'en reprendre plein dans la gueule après. – Si t'es partant pour me laisser une seconde chance j'adorerais sortir avec toi, un soir. Parce que c'est pas vrai, j'ai pas besoin que tu sois le seul homme sur terre pour aller à un rencard avec toi. Tu te pinces les lèvres en évitant son regard et haussant les épaules. Mais tu sais pas trop quoi dire de plus. Alors tu restes silencieuse, pendant un court instant et enfin tes prunelles opales se redressent encore vers Miller. – Maintenant si tu veux me laisser en plan, et faire un départ encore dramatique, vas-y, j'bouge pas. J'te laisse dix minutes d'avances, mais on va dans la même direction dans tout les cas alors j'serais obligé de te suivre quoi qu'il arrive. (c) mars. |
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Dim 13 Nov - 14:29 |
| Bien que Nick s'était déjà très souvent disputé avec Jess, ça n'avait jamais été à ce point-là, il n'avait jamais eu l'impression d'être une merde à ses yeux, juste un homme qui la rendait dingue et cela lui convenait étrangement bien. Il ne savait pas vraiment à quoi s'attendre lorsqu'elle l'avait invité dans ce restaurant, il se doutait évidemment que ça n'allait pas forcément bien se passer mais il ne se doutait pas que ça prendrait ces proportions et que Jessica pourrait se montrer encore plus méchante que lui. Il n'avait pas envie de le prendre personnellement, après tout c'était peut-être juste pour que Nick ne se fasse pas des films à leur sujet surtout après qu'il avait demandé si c'était un rencard ou pas. Et vraiment, il avait bien compris que ça n'était pas un rencard, il avait pu intégrer l'information entre deux insultes. Il avait légèrement pété un plomb avant de partir du restaurant avec aucune envie d'y revenir un jour. Il ne s'attendait pas à ce que Jess le suive, après tout elle avait été assez claire sur le sujet, il ne voyait vraiment pas ce qu'elle pouvait bien vouloir rajouter.
Contre toute attente, lorsqu'il l'entendit l'appeler, il décida de s'arrêter et de l'attendre, la regardant arriver vers lui, les bras croisés et probablement sur la défensive. Il écouta ses excuses et ce qu'elle avait à dire au sujet de tout ce qu'il venait de se passer dans le restaurant parce que clairement, il avait bien besoin d'une explication et qu'on le réconforte un peu, parce qu'il ne s'était pas levé ce matin en pensant qu'on allait le descendre de cette façon, lui qui n'avait déjà pas confiance en lui. Il fallait avouer que l'inconnu n'avait en rien arrangé les choses, bien au contraire, probablement que s'il n'avait pas été là alors les choses n'auraient pas explosés à ce point. Il apprend des choses inédites sur Jessica et une part de lui ne peut pas s'empêcher d'être heureux qu'elle admette qu'elle avait voulu mettre oui sur la serviette, mais elle avait juste peur, comme lui. Peur de laisser ses sentiments exposés pour finalement être rejeté. Il comprenait ce sentiment alors il sortit la serviette en papier où il avait indiqué oui pour lui mettre dans la main pour qu'elle voit que lui, pour une fois, ne s'était pas défilé et avait accepté de s'exposer.
Il ne sut quoi dire de plus à ça, après tout la serviette parlait d'elle-même. Et comme il l'avait dis, il trouvait Jessica mignonne, ce n'était vraiment pas le problème dans l'histoire. Il la laissa continuer, vider son sac, lui dire tout ce qu'elle avait sur le cœur, la laisser dire ce qu'elle pensait vraiment sans l'interrompre. Elle avait besoin de cet instant, du moins il le pensait, pour qu'il puisse enfin la découvrir réellement. Nick n'avait jamais été très "dialogue" et leurs conversations n'avait jamais durée si longtemps auparavant, ils se disputaient pendant cinq minutes sur le palier puis claquaient leurs portes, pas de quoi découvrir réellement quelqu'un. Mais là, Jessica semblait vraiment chamboulé par tout ce qui venait de se passer et avait décidé de montrer une autre facette d'elle que Nick n'avait encore jamais vu. Il pinça les lèvres alors qu'elle avouait finalement qu'elle était effectivement capable de se briser facilement. Bien sûr, c'était un miracle qu'elle ait réussi à survivre sans se briser par sa simple maladresse, mais sa chance ne subsisterait pas plus longtemps avec un Nick dans les pattes. Une fois qu'elle eut terminée sa tirade, il l'attira pour lui faire doucement un câlin. Déjà, parce qu'elle en avait visiblement besoin, et ensuite pour lui montrer qu'il ne comptait pas la planter là. Même si elle l'aurait mérité vu ce qu'elle lui avait dis avant, mais elle s'était excusée et il ne lui en voulait pas tant que ça non plus.
- Tu devrais juste être toi-même sans te soucier du regard des autres. Il faut de tout pour faire un monde, et il y a des fous aussi pour aimer les folles.
C'était un compliment dans sa bouche même si on ne dirait pas. Nick aimait les gens un peu excentrique qui ne se prenaient pas toujours au sérieux et qui sortait un peu des carcans de la société. S'il ne l'appréciait pas alors il ne perdrait pas son temps à s'engueuler avec elle pour des broutilles. Il la relâcha pour la regarder, un étrange sentiment dans le ventre, comme s'il avait déjà vécu ce genre de choses avec elle et que ce n'était pas la première fois qu'ils étaient aussi proche l'un de l'autre.
- Je casse tout ce que touche, c'est pas avec un gars comme moi que tu devrais sortir mais quelqu'un qui saura prendre soin de toi, qui ne te fera pas pleurer à chaque fois qu'il ouvre la bouche. Tiens, tu devrais finir avec le docteur Sam, lui au moins il est pété de thunes mais en plus il peut te soigner quand t'es malade ! Moi tout ce que je sais faire c'est ... raconter une histoire et certainement te renverser de la soupe brulante dessus.
Il haussa les épaules, après tout c'était bien comme ça qu'il était. |
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Lun 14 Nov - 18:16 |
| those great whites, they have big teeth. hope they bite you, thought you said that you would always be in love. but you're not in love, no more. did it frighten you how we kissed when we danced on the light up floor ? (music) -- ft. @nicholas miller.
Voir le oui sur la serviette te surprend, et tu sais même pas trop quoi dire sur la situation. Parce que ça restait assez maladroit et que tu savais pas trop c'que c'était vouloir dire. Et pourtant, il s'approche de toi et viens enrouler ses bras autour de toi. Tu peux pas t'empêcher te sourire quand il vient simplement te faire un câlin. Parce que même si tu ne l'avouais pas toujours : tu étais une fan des câlins. Tu aimais un peu trop ça. Alors sans grande surprise, tu viens vite enrouler tes bras autour du brun, parce que toi même tu pouvais pas résister à répondre à cette étreinte. Tu l'écoute, attentivement et tu hausses les épaules avec un petit sourire en coins et un peu gêner parce que c'est vrai que t'étais pas très normale mais tu t'étais jamais vraiment caché dessus. Et qu'en soit, dans quatre vingt dix pour cent du temps, ça t'allait. Les dires de Nick étaient dans un sens possiblement véridique. Il pourrait sans doute te briser mais toi, tu voulais essayer de pas songer à ça, aux potentiels risques. Parce que dans tout les cas, sans prendre ce genre de risques, on pouvait jamais vraiment savoir. Alors tes là, à essayer de réfléchir à ce qui serait le plus logique à faire. Le plus saint serait probablement de jeter l'éponge et d'en rester là mais au moins vos rapports s'étaient apaisés. Pourtant, d'un autre côté, ça rendrait les choses un peu bizarre et même si vous aviez vécu bien pire sans même que tu le saches, dans l'immédiat, ça paraissait presque insurmontable. Mais le truc chez toi Jess, c'est que ta constamment l'impression de vivre dans une comédie romantique. Un truc à l'eau d'rose qui fait secrètement rêver et que tu regardes en espérant toujours qu'une opportunité de ce genre se présenterait un jour ou l'autre. Tu voyais tout le monde autour de toi adorer sa vie, profiter, Rebecca qui elle même semblait perdue mais trouvait, peu à peu, son chemin dans le méli-melo qu'était sa vie amoureuse. Elle t'avait parlé de ce genre de truc, de sensations d'être dans un film et toi, ça t'avait toujours fait envie. C'est peut-être pour ça que tu fais le truc le plus stupide de l'univers. Ou peut-être pas, enfin, dans l'immédiat, ça paraît pas stupide mais tu peux pas t'empêcher. Parce que toi aussi, tu veux vivre ça. La comédie romantique ultime, les papillons dans l'ventre et tu étais une croyante dure que ça existait, qu'il y avait une personne pour toi quelque part. Et sans savoir pourquoi, pendant un court instant, tu te demandes presque : et si c'était Nick ? Alors, tu le laisses finir sa phrase et tu viens réduire la distance qu'il y a entre vous. Tes deux mains se posent sur chacune de ses joues et tu viens coller tes lèvres contre les siennes. Parce que pourquoi pas. Et si tu t'attendais à pas grand chose, parce que dans l'fond, tu le connais à peine, ça t'électrise d'une manière dont toi même t'es incapable de comprendre. C'est comme si ton corps entier était parcouru de milliard de petites décharges électriques. Mais y a surtout un potentiel arrière goût de déjà vu que t'es incapable d'expliquer. Un mécanisme que ton corps retrouve, une familiarité certaine, une chaleur réconfortante. Et tu finis par le relâcher après quelques secondes, reculant soudainement d'un pas, le rouge te montant instantanément aux joues. Peut-être car tu avais apprécié ça d'une manière que toi même, tu n'avais pas anticipé. – Je … tu sais pas quoi dire, tu évites même un peu son regard parce que là, c'est l'moment génant. – Excuse moi. J'ai tendance à me croire un peu trop protagoniste de ma propre comédie romantique et ça semblait être le moment approprié où... tu te stoppes dans ta phrase, ne cherchant pas à t'enfoncer plus que tu l'étais déjà. Et quand enfin tes yeux se redressent vers lui, tu lui sors l'éternel finger guns. Sauf que c'est ridicule. T'es ridicule et tu sais plus quoi dire. Et tu oses encore moins avouer que c'était vraiment cool. Alors tu jauges la réaction de ton voisin, simplement. Parce que tu sais pas à quoi t'attendre, mais surtout, tu sais pas si tu le vivrais bien si tu t'en prenait plein la figure. Vraiment. Encore moins après avoir osé un geste aussi osé. Pourtant, ton cerveau marche plus rapidement que le fil de tes pensées, au point que tu peux pas t'empêcher d'en rajouter une couche. -- Et je suis prof. Alors j'trouve que savoir raconter des histoires c'est relativement ... je sais pas trop comment dire ... mais attirant ? tu te racles la gorge, te taisant pour ne pas enfoncer ton cas. Tu avais fait ton point, et c'était probablement mieux de te taire désormais. (c) mars. |
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▿ Ton univers : Helluva Boss
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Ven 2 Déc - 17:39 |
| Nick ne savait pas trop ce qu'il lui était passé par la tête, il avait l'habitude se disputer avec Jess, mais pas à la voir triste, il avait eu alors cette envie de la consoler et de la protéger. C'est ce qui avait traduit ce câlin, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas serré quelqu'un dans ses bras et ce matin, il n'aurait pas imaginé que ce serait Jessica la première depuis trois ans. Et avant ? Il ne savait pas, il ne savait plus, il avait comme un sentiment de vide lorsqu'il essayait de s'en rappeler. Et étrangement, en serrant Jess dans ses bras, il y avait quelque chose de familier, de réconfortant, comme si c'était déjà arrivé par le passé. Inexplicable, n'est-ce pas ? Et cette douce odeur qu'elle dégageait, il avait l'impression d'être un animal en rut qui venait de trouver son herbe à chat.
Alors qu'il la relâchait, il passa sa main dans ses doux cheveux pour remettre sa mèche derrière son oreille. Elle était si belle, si mignonne et si tarée. Il n'était pas mieux, il fallait bien avouer qu'il craquait complétement pour elle, ça n'empêchait pas qu'elle le rendait dingue et qu'il préférait lui dire très clairement que c'était une très mauvaise idée d'être ensemble surtout étant donné qu'il était du genre à casser les choses plutôt que de réussir à les réparer, c'était pareil pour les relations, ici c'était encore pire puisqu'il n'avait plus ses amis qu'il connaissait depuis si longtemps. Il n'avait personne. Il était triste, aigri, il se sentait comme le Grinch qui vivait loin des autres. Son seul réconfort était l'écriture et d'avoir tant de fans, même s'il ne comprenait pas cet engouement.
Il fut vraiment pris de court lorsqu'il l'observa réduire la distance entre eux et qu'elle vient attraper ses joues pour l'embrasser, ça, il ne l'avait vraiment pas vu venir. Pas surpris dans le mauvais sens, au contraire, c'était encore mieux que tout ce qu'il aurait pu imaginer jusque-là. Il ne savait pas ce qui se passait dans la tête de Jessica surtout après ce qu'il venait de lui dire, mais ça n'avait pas l'air de l'arrêter en tout cas. Lui-même ne savait pas exactement ce qu'il se passait dans la sienne alors qu'il répondait au baiser comme si c'était la chose la plus évidente du monde. Son esprit était complétement vide, il aurait pu la repousser après tout, il était visiblement le seul qui savait que tout cela était une mauvaise idée et une perte de temps, mais il n'en faisait rien.
L'instant d'après, elle n'était déjà plus sur ses lèvres et il avait du mal à réaliser ce qu'il venait de se passer. Si Jessica n'avait pas l'air si gênée, il jurerait avoir rêvé. Il resta un peu pantois, ne sachant pas vraiment ce qu'il était censé faire après ce retournement de situation. Comment les choses avaient pu se terminer comme ça ? La situation lui échappait totalement, comme d'habitude en faire, pourquoi il en était encore étonné ? Il pencha légèrement la tête sur le côté, alors qu'elle expliquait qu'elle se croyait visiblement être comme une héroïne dans une romance, un peu comme dans son livre au fond ? Cela voulait dire qu'il était la personne pour qui Jess craquait ? Il se posait beaucoup de questions dont il n'avait aucune réponse de toute façon. Il cligna des yeux et cette fois, la jeune femme semblait trouver attirant le fait qu'il lui raconte des histoires plutôt que réussir à prendre soin d'elle. Il ne comprenait pas trop cette façon de pensée.
- Tu me rassures alors, tu es vraiment folle, en fait.
Répondit-il non sans un certain amusement avant de réduire la distance à son tour pour l'embrasser comme elle venait juste de le faire. Cette douce sensation qu'elle lui procurait, il n'était pas sûr de vouloir s'en passer par la suite, alors si elle proposait si ouvertement qu'il y ait quelque chose entre eux et ce malgré ce que venait de lui dire Nick pour la mettre en garde. Mais il n'était qu'un homme, faible, et très attiré par sa voisine, peu importe à quel point il avait essayé de le nier.
- Il est possible qu'on soit coincé dans une comédie romantique, alors qu'est-ce qu'on fait ? On joue le jeu ? |
| | | | | | | | ( halloween ) la table du condamné. (ft. nick) | |
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