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La force de l'habitude PV Libre (Abandonné)

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Anonymous

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Jeu 30 Avr - 13:40

 



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Pour l'amour d'une rose, le jardinier est le serviteur de mille épines. Proverbe Turc.


Cette habitude de voir les routes désertes. Pendant des années, mise à part croiser des échoués, je n'avais plus jamais croisé ne serais-ce qu'un seul véhicule, du moins pas un véhicule en état de marche sur la route. Même avant "l'apocalypse", j'ai toujours été le genre à rouler vite sur les routes, j'aimais cette sensation de liberté, le vent dans mes cheveux et l'air qui pouvait parfois être piquant sur mon visage. Puis il y a eu les échoués, le manque d'essence mais aussi, une nouvelle façon d'en fabriquer, ainsi je pouvais toujours me déplacer en moto. A présent je devais à nouveau m'habituer à voir du monde sur la route, si j'avais aussi le malheur de rouler trop vite comme j'en avais pris l'habitude, j'étais à nouveau pourchassé par les poulets, pour une contravention, voir pire. Parfois ce monde apocalyptique arrivé à me manquer, disons que je n'ai jamais eu besoin de grand chose, alors il était vrai, que j'en avais pas tellement souffert, je mettais même fait des amis, à présent j'étais à nouveau seul. Roulant toujours bien trop vite, tout en étant perdu dans mes pensées, je n'eu pas le temps de voir la voiture devant moi freiner. La première chose que j'eu le temps de ressentir, ce fut un immense choc et tout c'était passé comme au ralentis. J'avais été propulsé dans les airs, avant de rencontrer le sol et de faire plusieurs roulades. Toujours au sol, je pouvais déjà m'estimer heureux d'être en vie, seulement je ne pouvais plus bouger et membres était douloureux. Je pouvais entendre du monde autour de moi, un publique, c'était vraiment la dernière chose que je voulais autour de moi. Toujours à moitié assommé, cette fois-ci j'entendis une sirène que je pouvais reconnaître parmi tant d'autre, c'était le retour à la vie sans les rôdeurs ... Qu'est ce que je pouvais espérer de mieux ? Une ambulance qui arrive après un coup de téléphone, j'eu un soupire, non, le monde apocalyptique me manqué, je pouvais passer pour un fou mais qu'importe, ce ne serais jamais arrivé si j'aurais été seul sur la route.

CODE  ϟ VOCIVUS  -  IMAGE ϟ KANE..


Dernière édition par Sam P. Bridges le Lun 31 Aoû - 21:29, édité 2 fois
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Anonymous

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Lun 25 Mai - 9:10

Un type blessé et Leon se devait de le conduire à l'hôpital afin qu'il soit soigné. Avec son collègue ils l'avaient conduit à l'hôpital, aux urgences pour être plus précis et l'avait fait voir par un docteur. Bien entendu le type n'étant pas mourant ils avaient du attendre leurs tours. Et c'était ennuyeux de devoir attendre, encore et toujours pour un type qui faisait du zèle et qui ne cessait de pleurnicher qu'il avait mal. Leon et son collègue n'avaient rien fait de particulier, mais Leon avait remarqué que de plus en plus de suspects agissaient ainsi, histoire de peu être gagner un peu de temps ou de faire croire qu'ils avaient été maltraités.

Le temps passé, ils avaient fini par être vu par un médecin et tandis que le docteur s'occuper du type Leon était aller se chercher un café et revenait dans les couloirs afin de retrouver la salle d'examen où se trouvait son collègue et leur suspect. C'est là qu'il vit arriver un mec sur un brancard, sans doute un motard au vu du casque qui trônait sous ce dernier. Leon était devenu très observateur avec le temps.
Il fit un signe au type qui semblait le regarder sans pour autant le voir, mais au moins il ne serait pas dit que Leon se montrait impoli.
Lui aussi allait être vu par un médecin et peu être même qu'il aurait droit à quelques examens et une nuit de surveillance. Il ne semblait pas plus blessé que ça, au premier abord en tous cas.
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Anonymous

Invité



Lun 25 Mai - 10:23


A présent j'étais à moitié drogué par la morphine, quelque part ce n'était pas plus mal, surtout quand on souffre de aphénphosmphobie, une phobie qui restée assez rare, mais qui existé, la peur d'être touché et disons qu'avec cet accident, j'allais y avoir le droit et je n'aurais pas le choix, après tout, je l'avais bien cherché. Evidemment, depuis l'accident, ça faisait des heures et des heures que j'étais en train de penser à Lou,  j'avais tellement été en état de choc, que je n'avais pas encore réussi à parler correctement. Il y avait bien trop de question ... J'avais retrouvé un peu l'usage de la parole dans l'ambulance, me contentant juste par répondre oui ou non, je n'aimais vraiment pas tout ce monde, oui c'était pour mon bien, seulement c'était plus que stressant et angoissant. Le casque de moto était loin d'arranger les choses, je voulais retirer celui-ci, seulement je n'avais pas la force de lever les bras, ou j'allais finir ? Maintenant il y avait trop de lumière, trop de bruit, je voulais retirer ce casque, j'allais étouffer. Chance ou pas, c'est en détournant légèrement la tête que je reconnu un homme, Claire m'avait parlé de lui, c'était son collègue et visiblement, elle était amie avec lui. Je l'avais déjà croisé plusieurs fois en ville, sans vraiment lui adresser la parole, après tout, il était une connaissance de Claire, mais la, tout était différent. Je ne pouvais même pas contacter la baby-sitteur de Lou, alors je tentais d'appeler l'homme, au début d'une petite voix, que je réussi à retrouver après plusieurs reprises.

-Léon Kennedy ?
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Anonymous

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Mer 10 Juin - 15:11


Leon ne s'attendait absolument pas à ce que l'homme qui passait devant lui le connaisse et donc encore moins qu'il l'appel. Leon ne le connaissait pas, du moins il ne le reconnaissait pas s'il l'avait déjà vu c'était rapidement parce que son visage ne lui disait rien.
Il le regarda donc un peu surpris avant de répondre.

"- Oui, c'est moi. Et vous êtes ?"


Il ne connaissait pas toutes les connaissances de Claire non plus et c'était normal, après tout ils n'étaient qu'amis bien qu'ils se rapprochent de plus en plus ces derniers temps. En tout cas cet homme là Leon le savait il ne le connaissait pas du tout, mais alors pas du tout. Etonnant que ce dernier le connaisse lui, peu être qu'il avait vu son nom ou son visage au poste, là où Leon bossait, il ne voyait que ça. Il ne faisait pas de tournois, son visage n'était pas affiché dans un club ou autre, alors il ne voyait que ça. Et bien alors ils se connaissaient d'un autre monde mais Leon n'en avait pas le souvenir. C'est donc assez curieux qu'il observait l'homme en attendant d'avoir une réponse de sa part.
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Anonymous

Invité



Dim 28 Juin - 21:19

Une chance ? Je n'en savais rien, mais je n'étais pas encore assez drogué pour me retrouver complètement dans les vapes. Je ne pouvais pas dire non plus que ma vision était parfaite, mais j'avais bien reconnu l'ami de Claire. Tentant de l'appeler, je fini par retrouver un peu de ma voix, et celui-ci fini par se détourner vers moi. J'étais à la fois soulagé et mort de peur, Lou avait besoin de moi, j'avais été un terrible idiot sur ce coup la ... Ma fille ... J'en avais les larmes aux yeux. Aux paroles de l'homme, malgré le brouillard qui venait m'entourer, je réussi à l'entendre, et je repris d'une voix assez pâteuse.

-Sam ... Sam Bridges, je connais Claire .... Ma fille ... Ma fille ... J'ai personne


Certes j'avais la baby-sitteur, mais celle-ci devait retourner chez elle, puis j'étais parti pour deux heures, pas pour autant temps, je n'avais pas l'habitude d'être aussi longtemps séparé de Lou. Toujours dans le brouillard, je ne savais pas par quoi commencer, si j'arrivais à bien m'exprimer, si j'allais garder connaissance, j'étais épuisé et j'avais très mal au thorax, ma respiration devenait difficile à mesure que je voulais parler.
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