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Allons y (Doctor) Alonzo ! } feat Doctor Ten

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Anonymous

Invité



Ven 16 Sep - 19:27

Athénaïs

Ten


Allons y (Doctor) Alonzo !



Athénaïs ne prenait que très rarement de jours de repos et pour cause, elle était si perfectionniste dans son travail qu’elle préférait arpenter les couloirs de l’institut médico-légal en pleine nuit plutôt que de lever le pied. Heureusement pour elle, son système immunitaire était solide et elle passait les hivers sans être malade. Mais là, il avait fallu d’un changement brutal de température ces derniers jours pour qu’elle le soit. C’était incompréhensible. C’est vrai, qu’elle reconnaissait que de passer de 30° à 9° pour repartir sur des températures avoisinantes les 26° n’était pas très bon. Surtout qu’elle passait quand même pas mal de son temps dans la salle d’autopsie qui était toujours à la température de 16 ° pour que les corps ne se décomposent pas trop vite lors de leurs examens. Elle avait voulu rester. Ce n’était qu’un petit mal de gorge de rien du tout, ce n’était pas ça qui allait l’empêcher d’effectuer son travail. Surtout que le lendemain, une affaire complexe était apparue. Pensant d’abord que c’était un simple kidnapping avec une demande de rançon, la police finit par découvrir le corps de l’enfant dans les sous-sols de la maison requalifiant l’affaire. Cependant, l’état d’Athénaïs s’était dégradée et tout le monde s’était ligué contre elle. Que ce soit Fatim, Eddy, Morgan et même Rory sa toute nouvelle stagiaire tous n’avaient pas arrêté de lui dire de rentrer chez elle et de prendre soin d’elle. Bien entendu, la Mort avait refusé. Ce n’était pas un simple rhume qui l’a mettrait ko. Elle avait tort et du finalement renoncer à continuer quand la fièvre grimpa dans l’après-midi. Même Malone et Skye, les deux fantômes qui étaient avec elle lui avait dit de faire une pause. Mais Athénaïs était comme ça, n’écoutant personne à part elle-même. Elle du donc avouer qu’elle n’était plus en état. Même conduire fut une tâche compliquée, elle qui pourtant était un as du volant. Quand elle rentra dans son appartement, elle s’écroula sur le canapé, ne se réveillant que tard dans la nuit, la gorge douloureuse, le nez coulant et toussant comme une tuberculeuse. Elle s’était fait un bon grog avant d’aller se mettre dans son lit pour ne plus en sortir du week end. Bien entendu qu’elle n’y resta pas totalement. Elle se traînait comme une âme en peine dans les différentes pièces pour trouver un semblant d’activité tout en maudissant sa condition d’humaine. Jamais elle n’avait été malade de la sorte et c’était vraiment très nul ! La seule lumière dans son week end fut le samedi soir où Gabriel l’appela en visio pour faire un apéro skype en regardant America Got Talents. Visiblement Lucifer avait une conférence, Gabriel se retrouvant seul, en convalescence lui aussi. Athénaïs voulu d’ailleurs vérifier l’état de sa plaie au grand regret de l’archange qui arriva à détourner l’attention de son amie. La soirée l’avait mis de bonne humeur, ce qui avait continué le dimanche vu qu’elle sentait qu’elle allait mieux.

Ainsi, en ce lundi matin, elle avait repoussé son réveil à 7h du matin. Elle n’était pas guérie mais elle allait mieux et elle allait retourner travailler. D’ordinaire, elle se serait levée à 5h pour faire son jogging mais elle n’était pas totalement inconsciente. Elle reprendrait doucement. Sifflotant, elle se fit un thé darjeeling au lait et au miel, un sucre au thé comme disait Eddy, prenant son petit déjeuner tout en checkant les nouvelles que Fatim lui avait envoyées. L’enquête n'avait pas avancé. Même elle avait reculé, ce qui n’avait pas arrangé la colère d’Elohim. Tous ses suspects avaient des alibis en bêton et ils devaient tout recommencer de zéro, y compris l’autopsie. Athénaïs venait d’envoyer un message rapide en disant qu’elle s’en occupait. Ils étaient certainement passés à coté de quelque chose et sans se jeter des fleurs, elle n’était pas directrice de l’IML pour rien. En soit, elle pensait naïvement que sa journée allait être vraiment bien. Elle avait un sentiment d’allégresse assez agréable. Elle s’était même dit en mettant la vaisselle dans l’évier, qu’elle passerait bien voir Sally à la fin de la journée. En soit, rien ne laissait présager la catastrophe qu’elle allait découvrir en arrivant.

Toujours à l’heure, avec une précision exceptionnelle, Athénaïs arriva à l’IML dans sa belle Ferrari rouge. Elle salua quelqu’un de ses collègues, principalement des chercheurs, qui arrivaient en même temps qu’elle. D’un pas décidé, elle traversa le couloir principal poussant les doubles portes qui le séparait du couloir qui menait aux salles d’autopsies, son bureau se trouvant dans la salle principale. S’arrêtant, elle fronça les sourcils, frappé par un sentiment de malaise.

– T’aurais dû rester encore au lit !

Malone venait d’apparaître devant elle, flottant doucement comme l’ectoplasme qu’il était, un petit sourire en coin. C’était vrai qu’il lui avait encore répété quand elle s’était levée qu’il fallait qu’elle se repose mais Athénaïs savait qu’il lui avait dit ça parce qu’au moins, elle passait du temps avec eux alors qu’en travaillant, elle n’avait pas l’esprit à discuter et jouer avec des fantômes.

– Je me sens bien !
– Alors pourquoi tu t’es arrêtée en plein milieu du couloir ?

Bonne question. Mais elle était sûre et certaine que ce n’était pas son état. Elle allait bien. Elle n’avait plus mal à la gorge, son nez avait des écoulements clairs et d’accord, elle toussait encore un peu mais ce n’était pas bien grave. Non la sensation avait été étrange, comme si elle pressentait une grande catastrophe. Cela ne lui était pas arrivé depuis l’épisode avec Jack et elle espérait se tromper. Secouant la tête, elle finit par reprendre sa marche, passant dans Malone pour le faire disparaître alors qu’elle entendait son soupir au loin. Elle arriva devant la salle d’autopsie principale, qu’elle déverrouilla pour rentrer dedans. C’était bizarre. Normalement Eddy aurait dû s’y trouver. Sur le moment, elle pensa simplement que le jeune homme, qui était de garde cette nuit, avait du aller aux distributeurs de nourriture. Ou même, sachant que sa boss allait revenir, il était parti lui chercher des croissants. Voila, c’était ça. Souriante de cette pensée, Athénaïs passa tranquillement dans la salle pour rejoindre la pièce aux grandes verrières, qui était son bureau. Elle avait le rapport d’analyse dessus et quelques notes écrites sans importance. Une attira son attention, celle écrite en majuscule et qui lui fit rouler des yeux. Il avait osé rentrer dans son bureau alors qu’il n’était pas là pour écrire qu’il fallait qu’elle lui envoyât le prochain rapport d’autopsie.

– Quel connard celui-là.
– Hum laisse moi deviner … Un grand blond aux yeux bleus, athlétique et …
– Malone. Si tu ne veux pas disparaître dans les limbes. Boucle là.
– Oui c’est bien d’Elohim ! Y a que quand je parle de lui que tu me menaces de la sorte ! Hihi

Athénaïs froissa la note avec rage. Est-ce qu’elle, elle allait dans son bureau quand il était absent pour écrire des choses qui allaient de soi ? Non ! Alors le moindre respect était de faire pareil. Elle allait passer un savon à Fatim pour l’avoir laissé faire. Jetant le bout de papier dans la corbeille, elle attrapa sa blouse pour l’enfiler. Plus vite elle se mettrait au travail et plus vite elle pourrait amener le rapport elle-même à Elohim pour lui dire sa façon de penser !

– Je suis certain qu’il était très triste de ton absence de ces quatre jours !

– Je sais que tu es mort jeune Loonie, mais tout de même, ta connerie m’épatera toujours.

Sans un regard pour le fantôme, elle traversa la pièce pour se diriger vers les frigos. C’est à ce moment là qu’elle sentit l’odeur caractéristique de la décomposition. Fronçant les sourcils, elle trouva ça très étonnant. C’était impossible. Entre les soins qui étaient fait après l’autopsie et surtout la température négative, la décomposition ne se faisait pas. De plus, les frigos étant hermétiques, rien ne devait sentir. Sauf que quand elle finit par ouvrir la porte concernait, tout le gaz sorti, lâchant ainsi une odeur nauséabonde qu’elle se prit en pleine face. Le parfum de la mort ne l’a dérangeait pas du tout. Elle était la Mort, il n’aurait manqué plus que ça qu’elle ne supporte pas la putréfaction. Non, ce qui l’a rendit furieuse fut l’état dans lequel le corps de l’enfant était. La sortant sur le brancard pour la transporter, elle toucha l’intérieur du frigo. Il était à température ambiante. Elle vérifia les autres et se rendit compte que c’était le seul dans ce cas-là. Ce n’était pas normal. Transportant le corps jusqu’à la table d’autopsie, elle tenta de déterminer depuis combien de temps la décomposition avait commencé.

– Ils vont mourir.

En parlant d’ils, Athénaïs parlait bien entendu de ses assistants. À la vue des vers et larves qu’il y avait dans le corps, la panne remontait à samedi. Le corps n’était plus exploitable et cela la rendait folle de rage. Délaissant son macchabé, elle attrapa son téléphone pour appeler la centrale qui s’occupait de la gestion technique, demandant qu’on lui envoie au plus vite un technicien.

– Et ils sont où en plus ces deux petits cons ?

Malone refit son apparition, faisant une grimace en voyant le corps tout en se rapprochant d’Athénaïs qui tentait de joindre Fatim et Eddy, insultant leurs boites vocales. Fatim avait osé lui dire que tout allait bien. C’était impossible qu’ils ne se soient pas rendu compte de la panne. Qu’ils n’aient pas senti l’odeur émaner des frigos.

– J’ai vérifié à la cafet et ils sont pas là …

Fatim n’était jamais en retard vu qu’elle savait à quel point l’heure était un concept important pour son boss. Quant à Eddy, c’était étrange. Il aurait du être là. Son téléphone sonnait dans le vide. Rapidement, elle envoya un sms à Elohim pour l’avertir qu’elle avait un mauvais pressentiment pour ses assistants.

– Que Eddy laisse passer ça, je veux bien, c’est dans son tempérament. Il aurait voulu régler ça avant que je rentre pour faire comme si de rien n’était mais Fatim ? Elle est trop consciencieuse.
– Oh bah Eddy a pu l’entraîner tu sais. Lui dire que tu allais la virer si jamais et elle l’a suivi. Regarde, j'entrainais toujours Skye dans mes bêtises.

Athénaïs fit une grimace, peu convaincue par ce que lui disait le fantôme. Elle ne voyait pas la jeune femme de cet œil mais bon, l’humain pouvait être si imprévisible. Dans tous les cas, elle finit par se rapprocher du corps. Tant qu’à attendre le technicien, autant être utile et tenter de voir si elle pouvait ressortir quelque chose qui pourrait les aider.

Deux heures passèrent avant qu’elle n’entende un toquement sur les doubles portes de la salle.

– C’est ouvert ! Vous pouvez rentrer !

Se relevant du tabouret sur laquelle elle était assise, elle s’étira de tout son saoul pour faire craquer son dos. Elle avait été tellement concentrée, dos courbé pour passer tout le corps au peigne fin qu’elle s’en était oubliée, comme toujours. Un homme rentra, certainement le technicien.

– Si tu veux mon avis, il ne prend pas que du café lui.

N’écoutant pas Malone qui voletait à coté d’elle, Athénaïs enleva ses gants souillés pour rejoindre l’homme et lui serrer la main.

– Je suis le docteur Athénaïs Marban, directrice de l’institut. C’est moi qui vous ai appelé.

Ne sachant pas si la centrale avait donné toutes les informations, elle préféra le faire elle-même. Elle se tourna vers les frigos en faisant un geste de la main.

– C’est celui du milieu qui est tombé en panne. C’est étrange parce qu’ils fonctionnent tous ensemble et nous avons plusieurs générateurs de secours en cas de crise.

Elle n’arrivait pas à comprendre comment tous les autres marchaient parfaitement, sauf celui-là.

– Grâce à l’analyse du corps qu’il y avait, j’ai pu déterminer que cela avait lieu samedi. J’étais en arrêt maladie pour quelques jours et visiblement mes assistants ont tenté de réparer ça eux même …

Son ton était devenu plutôt froid, une certaine pointe de colère à la fin des mots alors qu’elle regardait son téléphone. Personne ne lui avait répondu, ce qui lui fit serrer les poings.

– Des idiots que voulez-vous, qui sont si au courant de la bêtise qu’ils ont faites qu’ils ne sont même pas là aujourd’hui. La jeunesse d’aujourd’hui …


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Doctor Ten

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▿ Date de naissance : 05/02/1984
▿ Age : 40
▿ Métier : technicien de maintenance, spécialisé en électronique et en informatique
▿ Quartier : Hogwarts Place
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Dim 18 Sep - 14:54



Travailler dans le merveilleux monde de la technologie humaine, c’était ce qui m’était sans doute arrivé de mieux ces derniers temps. Avec mon tournevis sonique, je parvenais à rapidement détecter les problèmes dans les machines et les ordinateurs, toutes les sortes de pannes plus ou moins habituelles et plus ou moins normales… ça me permettait, aussi, d’avoir un bel aperçu de ce qu’étaient les troubles technologiques actuels.
Je m’étais ainsi aperçu que le principal problème était l’obsolescence programmée. De nombreux appareils qui passaient entre mes mains présentaient des pièces qui étaient de mauvaise qualité, comme si les fabricants faisaient exprès de mettre en place des éléments qui allaient lâcher après un certain laps de temps de bons et loyaux services.

Quand j’eus l’appel de l’Institut Médico-Légal, il me sembla que c’était assez urgent, mais mon patron avait voulu que je passe d’abord réparer la télévision chez sa mère. Une gentille dame déjà un peu âgée, qui m’avait proposé du thé et des petits gâteaux avant de me raconter sa vie et de m’expliquer comment était son cher fils quand il était enfant. Des jeux, des souvenirs, des anecdotes… Elle aimait bien avoir de la visite, cette dame, et moi j’étais assez gentil pour rester un peu plus de temps qu’il ne fallait, parce que je savais que si mon patron m’avait envoyé ici, c’était surtout pour que sa chère maman ait de la compagnie pendant plus d’une heure.

C’était à l’autre bout de la ville et j’y étais resté environ une heure et quart. Ça me laissait juste le temps de me dépêcher pour rejoindre l’Institut Médico-Légal. Sans mon TARDIS, j’étais moins rapide, parce qu’ici, même les taxis trainaient un peu, mais j’avais fini le trajet en courant. J’adorais ça, courir, et je courais donc bien souvent, dès que je le pouvais.

Et quand j’arrivais à l’IML, je dus d’abord m’enregistrer à l’accueil, en sortant la traditionnelle réplique de l’entreprise de dépannage, sur un ton enjoué qui laissait entendre à quel point j’étais heureux de venir travailler ici pour le bien de l’humanité.
On m’indiqua le chemin à suivre, chemin que j’empruntai en courant, pour arriver devant la bonne porte, à laquelle je frappais quelques coups rapides.

« Bonjour, docteur Athénaïs Marban ! Je suis le Docteur. » Je reconnaissais la voix qui avait demandé une intervention et je la suivais bientôt vers le lieu du… carnage.
Je ne savais pas trop si le fait d’avoir cette odeur de décomposition était une norme dans un endroit comme celui-ci, mais si c’était le cas, il fallait sûrement un moment pour s’y habituer…

Elle me montra le frigo qui était en panne. Un seul frigo avait lâché. Elle me parla du corps qui était à l’intérieur et qui avait avancé d’un bond dans son processus de décomposition. D’où l’odeur pestilentielle.
J’écoutais en m’approchant de la bête. « Ils ont tous été installés en même temps ? »
Une installation d’un circuit en parallèle pouvait expliquer que seule une machine avait un souci, mais s’il y avait des générateurs de secours, c’était peu probable que le système devienne défaillant.

« Je vais regarder ça. » Les assistants qui prenaient des initiatives, c’était aussi bien que mal, visiblement, et les patrons n’étaient pas très compréhensifs quand c’était comme ça.
Je me dirigeai vers les frigos et je sortis mon tournevis sonique. « C’est la première fois que ça arrive, je suppose ? » Je dirigeai mon tournevis vers le frigo incriminé et j’écarquillai soudain les yeux. « Vous avez un stéthoscope ? »

Je devais en avoir les cœurs nets. Mais si c’était bien ce que je pensais, le docteur Athénaïs Marban allait devoir secouer le cocotier un peu plus fort à ses assistants que ce qu’elle avait sans doute déjà fait.

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