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Natasi Daala

Natasi Daala

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▿ Date de naissance : 21/04/1996
▿ Age : 28
▿ Métier : Directrice de campagne de Wilhuff Tarkin ▴ Militante et membre du parti politique d'extrême-droite "Nouvel Empire"
▿ Quartier : Raccoon Square
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Daala: "The Rebel Alliance won't know what hit them."
Tarkin: "Oh, they'll know, my dear. Everyone will know. That's the point."
―Admiral Daala and Grand Moff Tarkin, meeting on the Death Star
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Dim 28 Aoû - 4:17


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@Walburga Black


12 DÉCEMBRE 1959.
Au lendemain de la terrible guerre qui a frappé l’Europe à la suite des méfaits du puissant sorcier Gellert Grindelwald, le monde magique a pris un bien étrange tournant. Un né Moldu vint au pouvoir en Angleterre, au début de l’hiver 1945. Un imbécile, aux yeux des honorables sorciers de sang pur originaires des vingt-huit sacrés. Les vingt-huit plus aristocratiques, snobes et pures familles de Grande-Bretagne. Dont fait partie la famille Black. Orion est né en ces temps troublées, forcé de subir le revirement tragique d’un nouveau gouvernement aux croyances pro-Moldues. Un gouvernement extrémiste, aspirant à détruire toute trace de cette soi-disant « pureté du sang sorcier ». Orion, comme Walburga Black et bien d’autres enfants purs furent les premières « victimes » de cette politique nouvelle, et très tôt contrains au mariage avec leur exacte opposé. Arcturus et Melania Black s’y opposèrent en silence, repoussant l’échéance funeste autant que possible, avant de confier leurs deux enfants, Orion et Lucretia à deux jeunes sorciers d’ascendance Moldue. L’ironie du sort veut que ces « sang-de-bourbes », comme les Black les surnomment, furent dans la maison de Gryffindor  –  les cibles préférées de la bande des jeunes Slytherin, dont a fait partie Orion au long de sa scolarité.

Orion Black est aujourd’hui âgé d’une trentaine d’années. Marié à une femme quelconque qu’on a désignée pour lui au lendemain de ses années à l’école de sorcellerie Hogwarts. Loin d’avoir eu la vie rêvée d’un digne possesseur de sang aussi pur que du cristal, Orion Black s’est vu arraché la précieuse main de l’une de ses cousines, au profit d’une vulgaire sorcière, fille de Moldus. Aurora. Une sorcière talentueuse et même d’une certaine beauté, certes, mais qui ne lui inspire pourtant qu’un profond dégoût et une aversion incommensurable. Une rousse aux yeux verts.  Ils eurent trois enfants ensemble, forcés de procréer selon l’une des autres lois du Ministère de la Magie anglais. Fort heureusement, la jeune femme est d’apparence remarquable, ce qui lui a permis de passer outre l’acte infâme de souillure de son précieux sang. Une génération de sang-mêlés, quelle idée saugrenue. Quelle idée dangereuse. Les Black désapprouvent, mais ne peuvent s’y opposer, tout comme les autres. Les traîtres, et récalcitrants au régime sont oubliettés, avant d’être déposés dans le monde Moldu pour toujours, privés de leur baguette magique. De tout ce qui fait d’eux des « êtres exceptionnels ».

Orion consenti à cette mascarade, les yeux fermés. Il s’efforça de remplir ses devoirs politiques, en évitant soigneusement de se prêter à d’autres pratiques en compagnie de sa femme durant les premières années de leur mariage, en prétextant en public aspirer à une grande carrière au sein du département de la justice magique. Constamment occupé, en déplacement pour le compte du Ministère, ou accaparé par des nuits d’intenses travaux. Tout fut bon à prendre pour s’éviter le déplaisir de faire quoi que ce soit de dégradant avec sa femme. Une femme qu’il n’aime pas, qu’il hait par-dessus tout. De tout son cœur. De toute son âme. Orion Black, en habile menteur, fut bien accueilli par ses confrères du Ministère avec des idéaux considérés comme acceptables, novateurs. Il a prétendu aux yeux de tous ces politiciens sorciers vouloir rompre de bonne grâce avec les idéaux archaïques des familles pures, dont lui-même fait pourtant partie, afin de se créer une place de choix au Ministère. Orion a clamé durant des années avoir envie de rendre honneur à son gouvernement, et aux semblables de sa « chère et tendre épouse » avec des arrière-pensées en tête. Le pire mensonge de sa vie. Le mensonge qui lui coûta nombre de haut-le-cœur ou des vertiges puissants. Le travail est son excuse pour éviter Aurora. Un prétexte intelligent pour être régulièrement absent du manoir Black, sans éveiller l’inquiétude de sa « famille ». Afin de s’abandonner à quelques infidélités, et éventuellement maudire la politique anglaise sorcière en compagnie d’autres héritiers, comme Malefoy, Rockwood, Crabbe ou Macnair.

Ses infidélités, c’est avec sa cousine qu’il s’y livre en toute impunité, dans des lieux différents à chaque rencontre, afin de ne pas éveiller les soupçons. Un jeu sordide auquel ils se livrent tous les deux depuis des années. Et pour des raisons légitimes. Tous les sorciers sur la liste des « familles à surveiller » pour diverses raisons, notamment leur affiliation à des croyances contraires à l’idéal du gouvernement, sont étroitement surveillés pour qu’aucun d’eux ne rompt ses vœux sacrés de mariage. Walburga est plus qu’une cousine ou une amante d’exception, elle est la seule et unique sorcière qu’Orion n’a jamais aimée. Son pendant féminin. Il est séduit par sa froideur, par sa cruauté, mais également par la puissance de son amour, qu’elle n’exprime qu’avec parcimonie avec lui – suffisamment en tout cas pour le conforter dans ses intentions et pour ne pas être coupable de mièvrerie. L’exact contraire de sa femme actuelle.

Ce soir, vers dix-sept heures de l’après-midi, Orion Black déambule dans les ruelles sombres de Knockturn Alley, dans le Londres sorcier. Il recherche une très vieille taverne, c’est le prochain lieu de rendez-vous. Emmitouflé dans une cape noire, au tissu extrêmement noble et délicat, lui assurant une certaine discrétion, Orion Black pénètre dans la vieille bâtisse, sans un regard pour les quelques sorciers attablés autour d’un Whisky-Pur-Feu. Il repense encore une fois au visage de Walburga. A ses yeux pénétrants, et complexes. A cette lueur que seule elle est capable d’insuffler à ses prunelles. Il repense à elle avec l’envie que cette fois-ci, les choses seront différentes entre eux. Enfin. Il s’en persuade, car la vie qu’ils mènent est un véritable Enfer. Oui, cette fois-ci, les choses seront bien différentes. L’amour qu’ils expriment, aussi violent et passionné, entre les murs d’une chambre quelconque a besoin d’être officialisé. Dans un bain de sang. Orion pense parfois à lui proposer de mettre un terme à l’existence insipide de leurs conjoints respectifs, sans réfléchir aux conséquences, mais ne le fait pas, car la raison vient toujours le frapper au moment crucial. D’autre fois, il pense que fuir l’Angleterre est probablement leur seul moyen de salut afin de vivre vraiment ensemble. N’ont-ils pas suffisamment souffert de cette relation clandestine, dans laquelle ils ne peuvent vivre pleinement l’amour et toute la passion qu’ils se portent ?

On l’ignore, lorsqu’il traverse la salle principale, et on l’ignore une fois encore, lorsqu’il monte les escaliers. Les clients sont soit concentrés sur leurs discussions ou bien trop ivres pour se préoccuper de l’environnement. Orion est un peu en avance. Comme bien souvent. Il aime être le premier, mais cette fois-ci… Alors qu’il pousse la porte d’une chambre quelconque, la silhouette parfaite, au port altier de sa bien-aimée cousine lui fait face, près de la fenêtre de la pièce. Elle se trouve de dos, et durant quelques secondes, Orion laisse ses yeux se balader sur sa chevelure brune, élégamment coiffée, particulièrement sur sa nuque gracieuse. Dans le plus petit geste qu’elle offre au monde, dans le moindre détail de son corps ou de ses tenues, Walburga Black incarne la royauté sorcière anglaise dans toute sa splendeur. Une beauté froide, une aristocrate distinguée, une créature cruelle et épineuse. Comme une rose. Elle est à la fois belle et piquante. « Walburga. » souffle-t-il doucement en refermant la porte derrière lui. « Tu es en avance. » Orion constate, mais n’ajoute pas plus de mot. Parler est superflu, alors que la contempler est un véritable plaisir des yeux. Elle sait déjà tout ce qu’il pense. Orion ne lui cache rien. Elle peut tout obtenir de lui, sans avoir besoin de recourir à l’art de la Légilimencie. Malgré ses compétences en occlumencie, Orion aime libérer complètement son esprit, lorsqu’il se trouve avec elle. C’est un geste de confiance, de dévotion extrême. Il ne fait cela qu’avec elle et personne d’autre. Elle est la seule créature qui s’en montre, à ses yeux, suffisamment digne. En s’approchant d’un pas décidé, mais léger, Orion vient glisser une main dans le bas de ses reins, et un baiser lent dans le creux de son cou. « Combien de temps avant… que je te perde ? » renchérit-il, sans quitter la peau de son cou d’albâtre. Le goût est plus que familier, mais pas encore suffisamment à son humble avis. Il ne se lassera jamais de sa chaleur, de son parfum enivrant et sophistiqué. Orion laisse courir alors ses lèvres minces quelques secondes le long de sa jugulaire, jusqu’à se perdre dans le milieu de sa nuque. Combien de temps ont-ils avant de devoir se séparer, à regret. Combien de temps encore devront-ils jouer comme de simples adolescents, alors qu’ils incarnent tous les deux le sang le plus noble et le plus royal de toute la Grande-Bretagne. Ils ne devraient pas se cacher. Ce sont les autres qui le devraient – se cacher de leur colère, de leur cruauté.

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Lun 29 Aoû - 0:05


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@Orion Black


12 DÉCEMBRE 1959.
C'était un bien cruel coup du sort qui avait coûté à l'Angleterre sorcière sa sérénité d'esprit. Un sang-de-bourbe au pouvoir. Un gouvernement traître qui avait cédé à ses requêtes les plus insensées sans même songer à se révolter. Un véritable coup de poignard porté à l'arbre généalogique de vingt-huit familles de Sang-Pur, qui toutes avaient vues leurs espérances, leur idéologies, leurs convictions balayées d'un coup de baguette. D'un seul décret qui les avait condamnés à ce qui, en d'autres temps, leur aurait valu une mort certaine en plus du déshonneur le plus total.

Walburga avait été parmi les premières victimes, car parmi l'une des plus âgées encore dénuée de mari. Son union actuelle, c'était par la contrainte qu'elle avait été obtenue. Ses parents avaient bien tenté de lui faire entendre raison, par lâcheté. Par nécessité de survivre. Mais Walburga, farouche représente de l'idéologie des Black, avait d'abord affirmé préférer périr plutôt que de subir le déshonneur d'épouser un sang-de-bourbe et de donner naissance à d'odieux sangs-mêlés. Finalement, ce n'étaient ni les supplications de ses parents, ni les injonctions du Ministère et les menaces des Aurors qui avaient eu raison de sa résistance, mais un membre de sa famille. Et pas n'importe lequel. Orion. Orion, son cousin au deuxième degré, duquel elle s'était rapprochée d'abord lors des interminables repas de famille, puis à Poudlard, bien qu'il soit âgé de quelques années de moins qu'elle. Orion, pour qui elle avait commencé à développer des sentiments puissants, intenses, qui dépassaient l'entendement tant elle les ressentait jusque dans sa chair. Tant chaque souffle passé loin de lui était une tourmente à laquelle elle ne résistait que par nécessité de le revoir à tout prix.

C'était Orion, donc, celui à qui elle avait été promis dès sa naissance qui avait su apaiser son esprit tourmenté. Il avait avancé les bons arguments. Survivre, envers et contre tout, pour mieux se jouer des consignes du gouvernement et se retrouver, dans le plus grand des secrets, le plus régulièrement possible... Refuser d'adresser ne serait-ce qu'un regard qui ne soit pas dédaigneux à leur conjoint respectif, pour mieux se réserver les regards les plus désireux et les plus purs au sein de cette intimité dérobée qu'ils obtenaient dans des lieux de rendez-vous indignes de leur personne. Mais qui avaient le mérite d'accueillir leurs ébats et leur peine.

Son époux actuel n'est pas un homme cruel. Ni un homme violent. Il est, comme il fallait s'y attendre de la part d'un être aussi méprisable, insipide. Walburga reçoit, jour après jour, des marques d'affection qu'elle ne désire pas. Elle entend chacun de ses compliments, chacune de ses basses flatteries mais les ignore tous. Sa conversation est pauvre, ses activités sont déplorables, et les quelques ébats qu'ils ont sont courts et froids. Le gouvernement exige d'eux qu'ils conçoivent des enfants. Walburga a accepté, à contrecœur, de mettre au monde une fille dont elle méprise tout, jusqu'à l'apparence. Elle ne reconnait rien de noble en cette enfant au sang impur. Quant aux autres enfants qui auraient pu naître... La sorcière les a tous éradiqués bien avant qu'ils ne puissent naître. Bien avant que quiconque d'autre qu'elle n'en devine l'existence. Tant et si bien que les potions destinées à purger son corps de ces parasites sont devenues sa spécialité. De la magie noire. De la magie du sang... Ce sont là des extrêmes que la sombre Sang-Pur n'est pas effrayée de côtoyer. Quant à son plaisir... C'est avec Orion, son cousin et seul être qui soit digne de posséder son cœur, qu'elle le reçoit.

En cette fin d'après-midi, c'est dans une taverne de Knocturn Alley que Walburga rejoint le noble sorcier qui reçoit chacune de ses pensées. Le lieu la débecte. Elle se méfie de chaque individu qu'elle croise, craignant que l'un d'eux reconnaisse la froideur de son regard et la noirceur de ses cheveux pourtant dissimulés sous la capuche d'une épaisse cape de voyage - noire, bien sûr - au tissu noble. Elle est en avance. Plus les années passent, moins elle n'est patiente.

La chambre est fade, sans décoration excessive. C'est mieux ainsi. En attendant son cousin et amant, Walburga allume toutes les bougies de la pièce d'un simple mouvement de baguette, en sortilège informulé. Elle se perd un instant dans la contemplation des flammes, puis découvre la peau nue de ses mains en ôtant ses gants en cuir de dragon. Elle se défait enfin de sa cape, qui rejoint magiquement le porte-manteau situé à l'entrée de la pièce.

Lorsqu'Orion apparaît enfin, Walburga se trouve de dos. Muette, grave, elle contemple le monde extérieur à travers le carreau usé de l'unique fenêtre de la pièce. Chacune de ses pensées les plus mélancoliques sont interrompues par la présence du seul seigneur et maître qu'elle tolère d'avoir. L'anticipation fait battre son cœur un peu plus fort. Ce n'est pas l'une de ces anticipations teintées de nervosité, non... C'est l'anticipation d'une amante qui se sait être en présence du seul être qui sache éveiller son corps à des sensations qui lui sont d'ordinaire étrangères.

La sorcière ne répond pas à la remarque de son cousin, pas plus qu'elle ne se retourne. Mais lorsqu'elle sent ses lèvres au creux de son cou, elle incline lentement la tête sur le côté, lui permettant un plus grand accès à la peau tendre de sa gorge. Elle est persuadée que sous ces lèvres d'une étrange douceur, là où elles se sont déposées sur sa jugulaire, Orion peut sentir le battement anarchique de son cœur.

La question lui déplaît, en ce qu'elle lui rappelle que cet instant n'est qu'un instant grapillé, de ceux qui se font trop rares. Néanmoins, c'est dans un souffle qu'elle répond, tout en se laissant aller contre le corps de son amant, qui accueille délicieusement le sien.

- Plusieurs heures. La nuit, si tu le désires.

Sachant que la réponse est surprenante, elle se retourne pour, enfin, lui faire face. Plongeant son regard d'une clarté pénétrante dans le sien, elle pose les mains sur son torse. Tout en savourant la chaleur qu'elle y découvre, elle explicite de sa voix grave et basse :

- Mon mari est absent. Sans doute trop occupé à déshonorer sa pauvre femme en compagnie d'une quelconque catin de passage.

Une esquisse de sourire accompagne ses paroles amères. Ce n'est pas l'infidélité de son époux qui lui déplaît, elle-même en profitant allègrement pour s'abandonner à ses propres infidélités. C'est la situation, dans son ensemble, qui commence à peser trop lourdement sur des épaules faites pour accueillir le poids de dizaines de génération de Sangs-Purs, et non de sangs-mêlés.

Walburga rompt le contact visuel et baisse les yeux sur ses mains, qui reposent toujours sur le buste du sorcier. Elle joue avec le tissu de son haut, savoure ce qu'elle devine de musculature sous les vêtements. L'envie de le dévêtir s'impose à elle, fulgurante. Mais elle résiste pourtant, et se penche jusqu'à effleurer ses lèvres des siennes. Elle lui offre d'abord un semblant de baiser, la caresse de ses lèvres contre son menton, puis remonte jusqu'à laisser son souffle s'écraser au creux de son oreille :

- J'en ai plus qu'assez, Orion. Assez des prudences inutiles, assez du secret... Je refuse que mon corps abrite sa semence une fois de plus. Je le tuerai. Je le tuerai et je serai enfin libre de t'appartenir.

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Natasi Daala

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Dim 11 Sep - 1:19


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@Walburga Black


12 DÉCEMBRE 1959.
Ils prennent des risques depuis des années, mais c’est un mal pour un bien. Orion et Walburga sont liés, non seulement par la pureté de leur sang ou leurs liens familiaux, mais par un sentiment puissant, si fort qu’il vient à en dépasser l’entendement. L’amour. L’amour le plus pur et véritable qui soit. L’idée que le corps de Walburga soit ainsi profané par un indigne « Sang-de-Bourbe » lui fait une sainte horreur. Il remercie les astres, ainsi que leurs ancêtres de faire en sorte que les manigances de Walburga pour se débarrasser d’une éventuelle progéniture mêlée soient protégées. Walburga est sienne. Officieusement, certes, mais elle doit être sienne. Il possède son cœur, il possède son âme, et il possède de temps en temps son corps. Ce qu’il désire si ardemment, c’est de posséder son annulaire gauche et de le recouvrir d’un élégant joyau scintillant de mille feux. La faire sienne aux yeux du monde. Sa femme. La femme de personne d’autre. Elle est magnifique, et c’est une honte qu’elle ne puisse véritablement lui appartenir.

Orion se contente de l’observer longuement, de la détailler sous toutes ses coutures, en voulant mieux mémoriser la perfection de ses formes, ainsi que les traits gracieux de son visage. Cette beauté froide est à lui pour le temps qui leur est imparti, et c’est déjà un miracle en soi. Elle se laisse retomber contre lui, et le sorcier en profite pour glisser ses mains fortes sur ses hanches délicates pour la rapprocher. Elle est si précieuse, si fine, si tentante. A cette proximité, il peut savourer l’odeur sucré de son parfum, qu’il espère avoir l’occasion de goûter du bout des lèvres le long de son cou d’albâtre d’ici quelques instants. Orion ne fait aucun mouvement, alors la voix chaude et pleine d’assurance de Walburga s’élève dans l’espace de la chambre. Ce qu’elle lui répond le désarçonne. « Plusieurs heures. La nuit, si tu le désires. » Orion hausse un sourcil, étonné. Il ne s’est pas attendu à un délai aussi long. Son Moldu de mari ne va-t-il pas s’inquiéter ? Walburga semble sûre d’elle. Toujours. Elle marque une pause, pour apporter une précision, en se retournant, de manière à poser ses mains le long de son torse. La voix de sa maîtresse se fait plus grave, lorsqu’elle lui dévoile les raisons de ce sursis d’une nuit. Le Moldu est absent. Apparemment en quête de l’une de ses maîtresses. C’est habituel de sa part. Orion fulmine intérieurement. Comment peut-on avoir l’idée de bafouer une femme du rang de Walburga Black ?

Orion garde son calme olympien, loin d’être un homme colérique, c’est en fait un homme qui privilégie la réflexion et les colères froides, plutôt que les grandes démonstrations d’émotions. Ce n’est pas parce qu’il ne s’énerve pas, là, maintenant, qu’il n’est pas fou de rage. Ce n’est pas parce que son visage conserve cette même impassibilité, qu’il n’a pas envie de tout casser sur son passage, de brûler tous ces imbéciles de Moldus du Gouvernement, de torturer jusqu’à la mort cet homme – cet homme qui lui a pris son amante, qui a osé déposer sa semence en elle, qui espère la faire enfanter d’une progéniture infâme, qui en plus de cela, la trompe allégrement, alors qu’il n’existe pas d’autre beauté en ce bas monde. « Quel… imbécile… » marmonne-t-il, en savourant la pression chaude des mains de sa douce contre ses muscles abdominaux. « Ces impurs se vautrent dans les bassesses. Je ne peux concevoir qu’il te fasse honte, ma douce. Une femme telle que toi mérite ce qu’il y a de meilleur. » En soi, lui. Elle le mérite. Il la mérite. Ils se méritent tous les deux, mais ne peuvent être réunis. Quelle cruauté. « Si je le pouvais… Tu sais que je lui ferais savoir ce qu’il en coûte d’humilier une dame de ta condition, pour un pauvre imbécile de la sienne. Il devrait s’estimer privilégié, mais il préfère le lit de femmes qui jamais... n'atteindront ton degré de perfection. » dit-il dans un murmure, comme un secret, au bord de ses lèvres pleines.

Il faut dire qu’Orion enrage d’entendre que le stupide Moldu qui sert de mari à Walburga ose considérer les charmes d’autres femmes, plutôt que ceux de son épouse. Il n’existe pas de plus belle et sulfureuse créature que Walburga. Toutefois, cela l’arrange de savoir qu’ils ne couchent pas autant de fois ensemble, tous les deux. Le tempérament jaloux et possessif d’Orion s’éveille à chaque fois, lorsqu’il est question de leurs coucheries. Elles sont légitimes, pourtant. Walburga et ce Moldu sont mariés. Ce sont les siennes, de coucheries, à lui et Walburga, qui se vautrent dans la clandestinité depuis toutes ces années. Orion refuse pourtant de l’admettre, sa mauvaise foi ne veut pas envisager ce cas de figure. Ce sont les lois qui sont mal faites. Ce sont leurs mariages qui sont contre nature. Ce sont leurs partenaires respectifs qui doivent brûler vifs, pour que les deux amants passionnés qu’ils sont puissent exister ensemble.

Walburga s’amuse avec la chemise de sorcier, qui se trouve dissimulée sous sa cape noire. Elle le caresse, cherche la ligne de sa musculature avec une envie perceptible. Cela apaise l’esprit échauffé d’Orion, et lui fait fantasmer une nuit entière à ses côtés, à défaut de passer toute sa vie ensemble. Il lit dans le fond de ses yeux une lueur de désir qui est de très loin de le laisser indifférent. Orion la laisse caresser la peau sensible de ses lèvres, le contact est si doux et tentant, sans succomber à l’envie irrépressible de les sceller d’un baiser. Elle s’en éloigne ensuite pour effleurer la fossette de son menton. Orion ignore encore comment il fait pour contenir toute sa passion, alors que le désir de lui arracher ses vêtements et de la plaquer violemment au mur l’obsède. C’est ce qu’il veut, oui. Il veut la faire crier, lui faire crier son nom, lui faire oublier l’existence de ce Moldu, ou bien encore la sombre mascarade de leurs mariages respectifs… Un mince sourire se dessine sur ses lèvres. Un rictus amusé, séducteur malgré lui. « Toujours aussi… parfaite. » Orion soupire, en sentant le souffle de sa chère et tendre dans le creux de son oreille.

Et voilà qu’elle lui dévoile son intention de mettre un terme à son mariage dans un vrai bain de sang. Un objectif qui l’excite fortement. Orion est alors frappé par une vague de chaleur familière, de plus en plus agréable, se répandre dans son bas-ventre. L’entendre proférer des menaces de mort à l’encontre de son mari – un imbécile de Moldu – a de quoi émoustiller un homme de sa trempe. Aussi cruel, haineux et jaloux. « Ces prudences sont toutefois nécessaires, Walburga… Dois-je te rappeler ce qui advient des sorciers récalcitrants au régime ? » Il le sait mieux que quiconque, puisqu’il travaille pour le Ministère de la Magie. Il en voit passer… Cela l’écoeure profondément. Un Ministère de la Magie qui n'a de magique que le nom. Ces mêlés et sang-de-bourbes au pouvoir dégradent l’essence même de la magie. « Je ne veux pas à ce qu’il t’arrive quelque chose, Walburga. » Jamais. Elle est… son monde entier. Orion préfère encourir tous les risques, plutôt que de les laisser reposer sur elle. « Mais… Je ne peux le supporter davantage non plus. Je ne peux… concevoir ce mariage. Je refuse que ton corps ou ton honneur soit encore bafoué et souillé par cet être infâme, cet impur… Il ne méritera jamais la pureté de ton corps. Il ne l’honorera jamais comme je le fais. » confesse-t-il en posant délicatement deux de ses doigts sur le menton de son amante. Son index et son pouce pressent alors sa peau, pour contraindre Walburga à quitter le creux de son oreille pour revenir se positionner devant ses lèvres.

Sans plus attendre, il l’embrasse en écrasant ses lèvres aux siennes. Avec force. Possession. Il la possède. Elle est sienne. Pour l’instant, du moins. « Dis-moi… Comment tu procéderais pour achever sa pathétique existence… » murmure Orion Black entre deux baisers brûlants. Il veut l’entendre, oui. Il veut être frappé d’excitation, et parcouru de frissons en sentant le corps de son amante contre le sien, alors que sa bouche cruelle profère les pires menaces de mort possibles. Seulement… Est-ce des menaces que de vouloir simplement rendre honneur au corps abjecte d’un né Moldu ? Pas pour Orion et Walburga, qui tirent chacun un plaisir particulièrement sadique et sordide dans leurs jeux sexuels. Il ne cesse de penser aux mots de Walburga. Elle a raison, mais il est bien trop las pour se battre dans le but de laver son honneur. Un sortilège de mort est si simple à lancer. Orion a envie de le faire et réclamer ensuite son dû, en grand vainqueur de leur duel. Walburga. Pleine et entière. Il fantasme, et son rictus s’allonge encore plus. Ses mains autoritaires se referment sur sa taille élancée, et bientôt, il vient la plaquer contre le rebord de la fenêtre, pour s’en servir comme appui, alors que ses lèvres dévorent cupidement les lèvres maquillées de sa maîtresse. Sa maîtresse et amour. La seule et unique. Il s’interrompe de lui-même pour mordre la lèvre inférieure de Walburga, gratifiant son sadisme, Ô combien torride, d’une caresse de haut en bas.

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Mar 25 Oct - 17:06


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@Orion Black


12 DÉCEMBRE 1959.
Sous le calme olympien d'Orion, Walburga décèle la rage, véritable, dévorante, qui l'anime. Cette rage commence à s'exprimer dans chacun des gestes qu'il a à son encontre. Les mains d'Orion se réapproprient son corps avec possessivité, avec un brin de cruauté qu'ils ont en commun, et Walburga se délecte de chacune de ces petites marques de possessivité et de jalousie, tout comme elle se délecte de son indignation en apprenant le programme de son cher époux. Oui, ce dernier la déshonore. Oui, Walburga, les premières fois, a senti ses joues s'empourprer de rage et d'humiliation. Mais la colère a cédé la place à une froide indifférence. Et au lieu de s'en offusquer, elle en tire désormais profit, et en profite pour faire pencher la balance de son côté en retrouvant Orion sur ces instants maudits, bercés par l'adultère. Le nouveau gouvernement, dans toute sa perfidie, n'a jamais interdit l'infidélité. Au plus grand déplaisir des uns, mais au plus grand ravissement des autres. Walburga fait assurément partie de cette seconde catégorie.

Elle accueille chacune des réactions d'Orion avec un calme qu'elle ne ressent qu'en sa présence. Ce même calme qui peut devenir tempête à tout instant. Il suffirait d'un mot, d'un geste, pour que Walburga délaisse le costume soigné de l'aristocrate digne et révèle la femme tempêtueuse et impitoyable qui se dissimule sous les apparences. Attendant son heure pour frapper. Mordre. Aimer, avec une violence passionnelle et dévorante.

- Oui. Je mérite ce qu'il y a de meilleur. C'est toi, que je mérite, Orion. Qu'importe ses tromperies. Qu'importe les médisances d'une société sorcière qui se vautre dans l'indécence et l'indignité. Des hybrides, des mêlés, des impurs... Que m'importent leurs directives et leur opinion. Je tire plus d'honneur dans le fait de te retrouver, toi, que de déshonneur dans chacune des nuits qu'il choisit de passer loin de moi. L'humiliation, je l'ai déjà subie en étant contrainte de l'épouser alors que tout, chez moi, ne désirait que toi et la pureté de notre sang. Qu'importent les paroles et les gestes de cet être infâme, il n'a aucun pouvoir sur moi. Aucun. Je ne suis offerte et dévouée qu'à toi.

Alors, enfin, elle lui révèle, dans le creux de l'oreille, ses plus dangereuses et sournoises intentions. Des intentions qui pourraient bel et bien se muer en projet, pour peu qu'il l'y encourage. Mais dans un premier temps, Orion exprime son inquiétude, et prononce un rappel aussi contrariant qu'inutile, qui lui fait claquer la langue sur son palais.

- Non, tu n'as guère besoin de me le rappeler. Et donc, devons-nous accepter de courber l'échine basse ? Devons-nous continuer à supporter, inlassablement, les injures et les avanies ?

Et tandis qu'il l'oblige à soutenir son regard, elle s'apprête à enchaîner pour exprimer son déplaisir et le houspiller pour sa prudence excessive. Mais toute contrariété meurt sur ses lèvres, puisqu'enfin, Orion l'embrasse. Avec une fougue familière et obsédante. Walburga lui rend chacun de ses baisers brûlants, logeant une de ses mains au creux de son cou, tandis que l'autre se pose sur son avant-bras, prête à accompagner chacun de ses gestes. Entre deux de ces baisers, il lui réclame plus de détails. Et plutôt que de la fâcher, cette demande la fait sourire. De l'un de ces sourires carnassiers qui lui donnaient une allure toujours plus féroce.

- Je te reconnais bien là.

Il la fait reculer avec autorité, puis lui fait heurter le rebord de la fenêtre avec une certaine brutalité qui fait grimper son désir en flèche. Elle ne le repousse, non... Bien au contraire. Ses mains, avides, cherchent à le rapprocher d'elle. Ses doigts se perdent dans ses cheveux, sur sa nuque, sur ses joues... Elle veut le toucher, elle veut goûter ses lèvres, qu'elle dévore avec langueur.

Mais pour mieux s'exprimer, elle est bien obligée de modérer leur emportement, ne serait-ce que brièvement. Accueillant la morsure qu'il lui inflige finalement avec un hoquet de ravissement, elle se détourne toutefois de ses lèvres pour baiser sa gorge, et murmurer ses plus cruels desseins contre la peau de sa jugulaire, puis de son menton, de son épaule...

- J'ai d'abord songé au poison, bien sûr. Propre, discret... douloureux. Mais ce serait insuffisant. J'ai aussi été tentée de passer l'une de mes lames sur sa gorge, seulement... je refuse que son sang touche ma peau. Je refuse de voir ce sang au nom duquel j'ai été contrainte de l'épouser. Mais quelle meilleure manière de lui ôter la vie que par la sorcellerie ? Je te connais, mon amour, je sais que tu y as songé aussi. Lui faire subir des maléfices jusqu'à ce que mort s'ensuive. Une mort lente et douloureuse, mais toujours moins cruelle que la présence qu'il m'impose quotidiennement, toujours moins repoussante que l'obligation de rejoindre sa couche, soir après soir.

Ses ongles, qui pourraient tout aussi bien être des griffes, se plantent alors avec un sadisme teinté de lubricité dans la nuque de son amant, le seul être qui ait su dompter son cœur et le seul, surtout, en qui elle voue une telle confiance.

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Natasi Daala

Natasi Daala

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▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 21/04/1996
▿ Age : 28
▿ Métier : Directrice de campagne de Wilhuff Tarkin ▴ Militante et membre du parti politique d'extrême-droite "Nouvel Empire"
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
Daala: "The Rebel Alliance won't know what hit them."
Tarkin: "Oh, they'll know, my dear. Everyone will know. That's the point."
―Admiral Daala and Grand Moff Tarkin, meeting on the Death Star
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DAALARKIN.
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R PGROUPE.
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R PDUO.
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Sam 26 Nov - 20:53


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@Walburga Black


12 DÉCEMBRE 1959.
Leur amour dépasse toutes les époques, toutes les épreuves, toutes les incertitudes. Ils s’aiment comme au premier jour, comme au jour de leur rencontre, – enfants. Ils s’aiment au point de tout risquer, de tout envoyer valser autour d’eux. Il y a quelque chose d’extrêmement tragique et beau dans la manière dont leurs corps s’épousent avec empressement presque comme deux aimants. Romantique et sordide à la fois. Plus il y pense, et plus il se fait le même constat. Elle doit être sienne. Elle ne peut appartenir à quelqu’un d’autre que lui, et encore à moins à une créature aussi repoussante qu’un être apparenté à un Moldu. Un impur qu’on a forcé à épouser, tout comme lui a été forcé d’épouser son épouse actuelle. La beauté d’un corps ne vaut pas la pureté d’un sang tel que celui de l’illustre famille des Black. Un sang dont Walburga Black est l’héritière. Walburga Black possède tout pour elle. Le sang et la beauté. L’intelligence et la clairvoyance. Le sadisme et la cruauté. La froideur et la délicatesse. Une digne aristocrate. Une femme digne d’être épousée par un homme tel qu’Orion. Cette situation inextricable est frustrante à souhait, cela va même bien au-delà d’une simple frustration, c’est de la torture. Orion ne peut continuer à passer le reste de son existence loin d’elle, le simple fait d’être privé de son corps et de sa voix le ramène à un état proche de la dépression. Dire que tout cela appartient aujourd’hui à un autre. Dire que… Cette femme époustouflante qui se tient devant lui, digne et aussi brûlante que les feux de l’Enfer n’est pas sienne. Pas officiellement. Walburga lui coupe le souffle dans chacun de ses gestes, dans chaque écho de sa voix sensuelle et chaude dans son oreille. Ses baisers ont un goût de miel, de reviens-y. Elle doit être sienne. Cela ne peut être autrement entre eux. Orion ne peut cautionner cette humiliation plus longtemps. Alors oui, Orion Black a maintes fois songé à éliminer les eux obstacles que représentent leurs femme et mari. Il s’est à chaque fois ravisé en se rappelant les conséquences de leurs actes, en imaginant être privé d’elle pour toujours, ou de sa magie. Elle ou la magie. Et s’ils pouvaient finalement avoir les deux ? S’ils pouvaient duper tous ces imbéciles par des stratagèmes astucieux, s’ils pouvaient se débarrasser des liens qui les entravent ? S’ils pouvaient quitter l’Angleterre pour des terres sorcières plus dignes de leurs idéologies aussi extrémistes et terribles que les leurs, tel que le nord de l’Europe ? (viens on va en Russie /pan/)

Lorsque Walburga lui rappelle Ô combien elle lui est offerte et dévouée, Orion sent ses dernières barrières se mettre à céder au profit d’aspirations fantasques et criminelles. Le goût du sang lui manque. Le sang de ces êtres impurs, indignes. « Tu es la meilleure chose qui existe, Walburga. Tu te dois d’être un modèle pour toutes tes congénères, emprisonnées dans des mariages indignes de leur sang et de leur beauté. Tu es mienne, maintenant et pour toujours. Comprends mes réticences… Je serais incapable de me pardonner l’échec de nos projets. » souffle-t-il en prenant son menton entre deux de ses doigts, – l’index et le majeur. Orion l’effleure doucement, comme pour la préparer à la passion de leurs futurs ébats. Elle lui dévoile ses sombres intentions sans sourciller, sans même trembler. Le cœur d’Orion se serre devant l’image sordide du corps dénué de vie de cet impur. Il se contracte de plaisir, dans le même temps, chaque muscle de son corps se tend, comme au garde à vous. Walburga est contrariée par ses inquiétudes, certes légitimes, mais désuètes. Orion n’ignore pas son agacement, mais loin de là l’envie de la contrarier. Il partage les mêmes idéaux qu’elle, mais se montre clairement plus prudent sur l’expression de ces derniers. Leur sort l’affecte d’une manière considérable. Il n’ose imaginer ce qu’il peut advenir d’eux, dans un monde qui les force à courber injustement l’échine. En retrait, silencieux. Ses colères sont à l’image de son indifférence, grondantes et froides, tandis que celles de Walburga explosent tel un feu d’artifices. « Bien sûr que non, ma douce. » rétorque Orion, lorsqu’elle lui reproche de se montrer trop passif et conciliant avec leur nouveau gouvernement. « Je les méprise autant que toi, voire plus. J’attends le jour glorieux où nous pourrons nous libérer de nos chaînes et les écraser d’un simple coup de baguette magique. » Les torturer, longuement mais sûrement au passage, pour enfin les mettre à genoux à leur tour et les priver de leur liberté tant chérie. « Nous purgerons leur sang infâme. » affirme-t-il avec une lueur pleine de sadisme dans les yeux. Il observe longuement le visage de son amante, où un sourire carnassier émoustille ses sens. Plus elle répond à ses avances, plus elle approche son corps du sien à la recherche d’un contact physique, et plus Orion est submergé par des pensées toutes plus obscènes les unes que les autres. Il savoure la sensation des doigts de Walburga le long de sa nuque, de ses joues, et encore plus lorsqu’ils se perdent dans ses cheveux. Ses cruels desseins ont le don de le mettre au supplice, de lui promettre monts et merveilles. Walburga est une experte dans l’art d’attiser le désir chez un homme tel qu’Orion Black. Elle est surtout la seule qui puisse le mettre dans des états pareils. Walburga évoque les différentes manières de tuer son imbécile de mari avec tant de sensualité, que cela l’électrise. Un long frisson se meurt de sa colonne vertébrale au bas de ses reins. « Le poison est une mort bien trop douce, mon amour. » murmure-t-il, en retenant un soupir, alors que les lèvres de son amante se perdent dans le creux de son cou, titillant cette chair tendre et offerte. « J’y ai pensé. » Orion confesse ses crimes. « J’ai pensé aux moyens les plus efficaces pour me débarrasser de cet encombrant rival. » Il y a même pensé des mois entiers, avant de se raviser. « La sorcellerie nous ressemble, Walburga. Elle est notre signature. Torturons-le, avant de l’enterrer loin de notre amour. Reprends la place que tu dois occuper dans ma vie. Je le ferai. Je me salirai les mains de son sang pour que le tien puisse resplendir à mes côtés. » Une grimace s’affiche sur son visage aux traits froids. L’idée d’être souillé par l’impur le dégoûte, mais il est prêt à tous les sacrifices pour les beaux yeux de Walburga. « Quant à ma très chère femme… » ironise-t-il, sans l’ombre d’un sourire, et avec un mépris remarquable dans le son de la voix. « Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? » Que Walburga lui révèle tous ses fantasmes. Il n’attend que cela. Tout en parlant de choses atroces, ses mains se perdent le long de la robe de Walburga, caressant le tissu en velours, avant de glisser sous ce dernier pour griffer sa peau. Il la marque, jusqu’au sang. Tout comme elle est actuellement en train de faire au niveau de sa nuque. Il remonte, toujours plus loin, entre ses cuisses, afin d’effleurer de la pulpe de ses doigts le tissu délicat de son sous-vêtement en dentelle. Elle le marque de son empreinte, donc, il en fait de même en réponse. Orion et Walburga se complaisent dans cette forme de sadisme érotique, comme une version particulière des préliminaires sexuelles.

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Invité



Sam 10 Déc - 18:35


your blood like ice

@Orion Black

12 DÉCEMBRE 1959.

D'abord inquiète, profondément angoissée à l'idée qu'il se soit fait une raison, qu'il se soit résigné quant aux décisions du gouvernement sorciers, elle paraît soulagée lorsqu'il lui affirme le contraire. Orion est toujours dévoué à leur cause. À ce que leur éducation leur a toujours martelé, contribuant à leur faire penser que leur sang était le meilleur d'entre tous. C'est une certitude, pour Walburga. Le sadisme affiché et exprimé de son cousin la fait sourire, de l'un de ces sourires qui relèvent à peine le coin des lèvres, avec une cruauté assumée. Il lui parle de sang, non pas le leur, mais celui de leurs adversaires... Il n'en faut pas davantage pour qu'elle soit rassurée. Les images évoquées par le discours d'Orion lui plaisent terriblement. Elle est même... charmée. Séduite par cette violence fantasmée mais qui, dans leur cas, relève davantage d'une prédiction.

Logiquement, naturellement, après avoir évoqué le gouvernement et ses décisions infâmes, la conversation dévie sur leur mariage respectif. Elle évoque l'homicide de son propre époux avec une fierté et une envie telle que son regard y gagne en intensité démente. Ses propos sont doucereux, ses intentions, elles, sont terriblement dangereuses, car odieusement sérieuses. C'est sans surprise, mais avec un plaisir certain, qu'elle apprend qu'Orion a bien songé à se débarrasser de son rival. Elle l'imagine sans peine, lui ôtant la vie de mille et une manières, toutes plus sanglantes et cruelles les unes que les autres... Ce qu'elle imagine lui fait clore les yeux avec délectation. L'émotion est trop forte, trop savoureuse. Ses sens s'affolent. Le désir qu'elle ressent pour lui n'en est que décuplé, animé de pulsions meurtrières qu'il encourage avec tant d'ardeur qu'elle se sent toujours plus proche de lui, comme s'ils partageaient le même esprit empreint de sadisme.

- La torture... Oui, ses cris de douleur sauraient charmer mes oreilles. C'est ce que je désire, en cadeau de mariage, mon amour. Ses cris, causés par ta main. Sauras-tu m'offrir cela ? l'interroge-t-elle avec une légèreté feinte, consciente qu'ils sont en train de discuter des plus cruels desseins qui soient.

Aucune culpabilité, aucun remord ne viendra mettre un terme à ses rêveries fatales. Mais à son tour, Orion l'interroge, évoque sa femme, ce qui lui fait froncer les sourcils. Cette femme odieuse... Elle imagine Orion la besogner froidement, et ce qu'elle imagine la rend furieuse. Orion lui appartient, de sang, de chair, de tout. Cette femme doit mourir, elle aussi. Dans les plus atroces souffrances. Et tandis que Walburga songe à tous les supplices qu'elle rêve de faire subir à cette créature qui n'a eu pour seul tort que d'être mariée au mauvais homme, Orion griffe ses cuisses, la ramenant cruellement à la réalité. Un hoquet de surprise lui fait entrouvrir les lèvres, mais elle ne fuit pas ses griffures, bien au contraire. Son corps se presse un peu plus contre le sien, en quête de ces marques certes violentes, mais terriblement révélatrices d'une possessivité qu'ils éprouvent tous deux l'un à l'encontre de l'autre.

- Je suis partagée.

Sa voix, tandis qu'elle lui répond enfin, est tendue par cette délicieuse douleur qu'il lui inflige. Elle tente de se composer un masque de détachement, mais son cœur s'affole, son souffle se fait plus court. Ses gestes, ses griffures lui font mal, mais elle les accueille comme de très vieilles amies, qui échauffent ses pensées et son corps.

- Ma magie, d'abord, la défigurerait. Il me plairait de l'entendre hurler, elle aussi, encore et encore... Mais... j'imagine très aisément ma main maintenir sa tête sous l'eau, mes ongles s'enfoncer dans sa tignasse et dans son crâne jusqu'à ce qu'elle cesse, tout simplement, de respirer. Ceci étant... Notre demeure manquerait de personnel, tu ne penses pas ? Ne serait-ce pas le plus délicieux des sorts, que de la condamner à la servitude, chez nous ?

Un jouet à tourmenter jusqu'à ce qu'ils finissent par s'en lasser, comme les maîtres cruels qu'ils seraient.

(c) a m i t y
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