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(abandonné) Everything Black [Walburga & Orion]

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Anonymous

Invité



Sam 20 Aoû 2022 - 0:35


Everything Black

@Orion Black

En près de quinze ans de mariage, les époux Black tardaient toujours à concevoir un hériter. Tant et si bien qu'ils commençaient à s'attirer les moqueries des autres membres de la famille, en plus de celles, plus humiliantes, des autres cercles de familles de Sang-Pur. Cygnus, le frère de Walburga, était déjà père de trois enfants. Trois filles. Quant à Alphard, nul ne se fiait à lui pour concevoir un héritier. Le destin de la famille Black reposait donc entièrement sur les épaules d'Orion et Walburga Black, aînés de cette famille, et pourtant retardataires en termes de descendance.

Si on l'avait interrogée, Walburga aurait farouchement réfuté l'hypothèse qui entendait affirmer qu'elle-même était préoccupée par cette absence d'héritier. Et pourtant... Les rumeurs disaient vrai. La sorcière était préoccupée. Car si elle ne concevait pas d'enfants, le noble nom des Black s'effacerait, à jamais. La tapisserie ancestrale qui ornait les murs du salon du 12, Square Grimmauld serait alors dénuée de tout sens. Leur nom, même, ne serait plus prononcé que pour rappeler à qui voulait bien l'entendre que cette famille avait subi une cuisante humiliation.

Naturellement, la question de la fertilité s'était posée. Walburga avait enduré les conseils de sa mère, avait tenté tous les sortilèges, toutes les potions et toutes les solutions soi-disant miraculeuses. Rien n'y avait fait. Jusqu'à ce jour.

Ce matin-là, Walburga s'était rendue à l'hôpital sorcier le plus proche. Elle avait tu les raisons de son absence à son époux, Orion, craignant que la déception d'une possible erreur de sa part le rende d'humeur maussade. Et pourtant, certains signes ne trompaient pas. La sorcière était presque certaine que leurs souhaits avaient enfin été exaucés. C'était ce que son instinct lui soufflait. C'était, de plus, une nécessité. Trente-trois ans, c'était un âge considéré tardif pour tomber enceinte. Plus encore dans leur famille, où les mariages avaient lieu tôt. Confirmer une telle suspicion auprès d'une Médicomage lui semblait donc être une décision plus qu'appropriée à la complexité de la situation.

Et les résultats avaient été d'une clarté telle que le doute n'était plus permis. Walburga Black était enceinte.  

C'est en fin d'après-midi qu'elle revient à son domicile, discrète et silencieuse, comme à son habitude. Avec distinction, elle défait les attaches qui retiennent sa cape de voyage et suspend celle-ci au porte-manteau dans l'entrée. La sorcière est extatique. Mais, comme toute femme de bonne famille, elle contient chacune des petites excitations qui l'incitent pourtant à esquisser exceptionnellement un sourire qui ne soit pas cruel.

Elle attend plusieurs longues minutes avant de se rendre à l'étage supérieur. Plusieurs minutes durant lesquelles elle consulte le journal, donne quelques sèches instructions à Kreattur, et s'accorde la fantaisie d'une tasse de thé.

Puis, lorsqu'elle estime enfin que l'attente n'a que trop duré, Walburga monte les escaliers et rejoint le bureau du sorcier avec qui elle partage sa vie. Celui à qui elle a offert le peu qu'elle pouvait se permettre de révéler de cœur, père de leur enfant à naître.

Orion est là, penché sur son bureau, comme à son habitude. Cette vision lui arrache un sourire discret. Walburga s'approche jusqu'à se tenir auprès de lui. Avec lenteur, comme pour ne pas le brusquer, elle pose une main sur son épaule et attend qu'il relève son visage vers elle pour prendre la parole :

- Mon noble époux aurait-il du temps à accorder à sa femme ?

La main qui s'est posée sur l'épaule d'Orion dérive jusqu'à crocheter la nuque du sorcier. Son interrogation n'est qu'une formalité, et elle est déterminée à ne laisser aucun doute planer quant à ce fait. Son regard accroche le sien, le coin de ses lèvres se relève en une ébauche de sourire complice. Elle fait glisser la pulpe des doigts de son autre main le long du bras de son époux puis, avec une délicatesse calculée, s'empare de la plume qu'il tient en main et la dépose sur son bureau, là où devrait être sa place si Orion ne passait pas un temps considérable à rédiger lettres, avis ou encore résultats de recherche. L'intention de la sorcière est explicite : aucune distraction ne doit pouvoir permettre à Orion de se dérober à son regard ou à ses paroles.

Du bout des doigts, elle relève le menton du sorcier. Ses yeux bleus, perçants, brillent d'une lueur inhabituelle. Lorsqu'elle reprend la parole, c'est d'une voix basse, grave et caressante. Walburga est radieuse, Walburga est enjouée et donc, Walburga est charmante.

- Ce soir, j'exige ta pleine et constante attention. Et la soirée... Débute maintenant, intime-t-elle posément, avec ce calme qu'ont les êtres qui se savent dotés de l'autorité nécessaire à imposer leur volonté sans difficulté.

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Dernière édition par Walburga Black le Ven 22 Déc 2023 - 16:45, édité 1 fois
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Natasi Daala

Natasi Daala

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▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 21/04/1996
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Daala: "The Rebel Alliance won't know what hit them."
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Dim 28 Aoû 2022 - 3:39


Everything Black

@Walburga Black

Cela fait bien longtemps qu’ils essaient d’avoir un enfant. N’est-ce pas la finalité de toute union charnelle et maritale pour une famille aussi ancienne et célèbre que la noble famille des Black ? Cela fait des années, des mois qu’ils espèrent que cet heureux événement puisse faire la une de tous les journaux sorciers mondains. Malgré tous ses efforts, ou la fréquence empressée de leurs rapports, Walburga ne parvint jamais à tomber enceinte. Jusqu’à maintenant. Orion l’ignore encore, mais sa cruelle et séduisante épouse est enfin tombée enceinte de ses œuvres. Depuis des mois, Orion cesse de lui poser la question fatidique. Est-ce pour maintenant ? Est-ce que tu me donneras un fils ? Il a cessé, parce que la réponse lui broie toujours le cœur avec autant d’intensité. Le fait que Walburga ne parvienne pas à tomber enceinte de lui est en soi un échec personnel. C’est un échec tragique. Pour un homme aussi machiste, conservateur, de la vieille école. Orion cesse donc de lui poser cette question, même si celle-ci se lit de manière claire dans le fond de ses yeux glacés. Avoir un héritier est tout ce qu’il désespère d’avoir enfin dans sa vie. Son couple le rend heureux, épanoui. Walburga est la femme de sa vie, son âme-sœur. Il trouve cela bien cruel de ne pas réussir concrétiser leur amour par la venue d’un enfant. Tout Black doit donner une suite à sa branche de l’arbre généalogique. Walburga est préoccupée, même si elle affirme le contraire à leurs « proches amis ». Orion l’est tout autant, et en réponse à cette angoisse constante de ne jamais parvenir à accoler un prénom d’enfant à la frise gigantesque qui décore un pan du mur du hall de leur maison ancestrale, il s’enferme durant des heures dans son bureau pour travailler. Travailler est un bien grand mot. Il rédige des missives, entretient ses contacts au Ministère de la Magie, lit des articles et en propose également pour quelques journalistes mondains, ainsi que multiples avis et notes techniques à destination de certaines têtes politiques pensantes de la société. Orion ne travaille pas. Un Black n’en a pas besoin. Il ne demeure toutefois pas inactif, son intelligence rare a besoin d’être stimulée régulièrement. Ses activités se cantonnent à la sphère politique et scientifique. Orion participe à bon nombre de groupuscules, de réunions entre politiciens et puissants aristocrates aspirant à rendre le monde magique « meilleur ». Une société magique dépourvue de sang impur, ou mêlé, parmi les têtes gouvernantes. Nombre de pamphlets ont été rédigés de sa plume acérée, et destinés à convaincre les esprits les plus fragiles de conserver l’héritage du sang et d’en faire une législation ferme et décisive. En vain. Les sorciers au sang pur les plus extrémistes ne sont malheureusement pas ceux à la tête du Ministère. Alors, les partisans – ces vieux aristocrates – espèrent pouvoir le renverser. D’une manière ou d’une autre. D’où l’objet de leurs réunions, avec du Whisky-Pur-Feu dans une main et un vieux cigare sorcier dans l’autre, maudissant le laxisme politique de la nouvelle génération sorcière. Ces « amis des Moldus », comme ils aiment les appeler.

Ce soir encore, Orion Black se trouve devant son bureau, une plume magique en main. Cela fait trois heures qu’il s’y trouve, sans idée des activités de sa cruelle et sadique épouse depuis le début de l’après-midi. Il l’a côtoyée brièvement au déjeuner, cette dernière a par ailleurs affirmé avoir une sortie. Orion lui voue une confiance absolue, il n’a donc pas jugé nécessaire d’interroger sur l’objet de sa sortie. Il ignore que Walburga est en réalité partie à l’hôpital sorcier le plus proche, en voulant confirmer son état de grossesse. Orion ne désire plus entendre quoi que ce soit au sujet de leur désir d’enfant. La honte recouvre les murs de la noble maison des Black depuis des années. Les rumeurs circulent également, et évoquent une potentielle stérilité de sa part. Ne pas avoir d’enfant, ne pas réussir à mettre sa femme enceinte est le pire affront qu’on puisse vivre, selon lui. Une humiliation cuisante, pour n’importe quel homme aux convictions traditionnalistes comme Orion Black. Il vit extrêmement mal cette situation, si mal que le simple fait d’aborder le sujet le met dans un état de colère froide, presque hivernale. Orion refuse l’idée de ne jamais posséder d’héritier. Un enfant est en quelque sorte une extension de sa propre personne. Une extension qu’il désire si ardemment, qu’il en a le souffle coupé. Il lui arrive de penser que son union avec Walburga est maudite, dans ses pires instants de doute et de désespoir. Du fait d’avoir épousé sa cousine, son propre sang. Leur amour interdit ne peut conduire à la naissance d’un ou de plusieurs héritiers.

Installé avec dignité sur son fauteuil en velours vert bouteille et en bois vernis, Orion Black se montre indifférent aux bruits de pas qui se rapprochent des portes non verrouillées de son bureau. Alors qu’il termine un courrier de la plus haute importance – encore une fois, selon ses exigences démesurées –, la silhouette gracieuse de Walburga Black se glisse dans l’entrebâillement des portes et s’approche de lui, dans son dos. Orion entend les talons claquer contre le parquet sinistre de ses appartements, mais n’interrompe pas un seul instant la fin de sa missive. Ses doigts épais dessinent de gracieuses arabesques, en signature. « Orion Black. » Il conclut, avant de sentir une main agripper doucement son épaule. D’un simple coup d’œil, il s’aperçoit qu’elle appartient à Walburga. Fine, pâle et parfaitement manucurée. Une main parfaite, délicate et féminine. Une main de femme. Walburga. Il reste toutefois inexpressif, même si au fond de lui, c’est un feu d’artifices qui explose dans son corps, à chacune des caresses discrètes et lascives de sa chère et tendre épouse. Un léger rictus vient orner le coin de ses lèvres minces, jusqu’à s’agrandir, alors que Walburga capture son attention en le débarrassant de sa plume, ainsi que de ses écrits. Walburga impose, Orion lui concède toutes ses excentricités. Dignement. Comme maintenant. « Mon noble époux aurait-il du temps à accorder à sa femme ? » souffle-t-elle. Orion répond par un léger rire cynique. Son sourire devient alors amer, tristement vide de tout enthousiasme. Il craint durant une fraction de seconde que l’objet de la visite de sa femme soit de remettre le couvert, pour la énième fois. Il ne se sent pas d’humeur à une quelconque relation charnelle entre eux, pour le moment. Comment l’être, alors que l’idée de se laisser nourrir du mince espoir que leurs prières soient exaucées cette fois ne lui inspire désormais qu’un profond dégoût. Ils n’y arriveront jamais. Jamais. Son dégoût de toute relation charnelle en vue d’une procréation vient d’atteindre son paroxysme. Cela ne marche pas. Cela ne fonctionne pas entre eux, malgré la puissance de leurs sentiments. Orion a tout essayé. Potions de fertilité, sortilèges divers, mais rien n’a jamais fonctionné. Il a presque abandonné. Vraiment presque. Ils ne doivent peut-être pas être ensemble.  Ils ne sont peut-être pas faits pour être ensemble, et voilà comment les astres le leur démontrent, chaque jour que Dieu fait.

Les échanges entre eux sont compliqués depuis des mois, faute de frustrations et de désillusions. Orion désespère de ne pas avoir de nouvelle de grossesse. Cet état d’anxiété grandissante aveugle parfois son jugement, en le rendant encore plus stricte et sinistre qu’il ne l’est en temps normal. Plus froid, moins tendre. Ses pensées sont de plus en plus obscures, tournées sur le destin humiliant qui s’approche à grands pas pour eux. Il entend déjà leurs détracteurs dans un coin de sa tête. Walburga et Orion Black ne peuvent avoir d’enfant. Triste ironie, pour cette union de consanguins ? Orion sent les doigts fins et délicats de Walburga se positionner le long de son menton, afin de le relever doucement, pour imposer son autorité. Il ne dit rien et ne fait rien d’autre que d’ancrer le marron glacé de ses orbes avec plus d’intensité dans le bleu profond de ceux de son épouse. Elle s’exprime à nouveau d’une voix posée, et fidèle à elle-même – son autorité est naturelle et non fabriquée, c’est même ce qui a pour la première fois séduit Orion Black. « Ce soir, j’exige ta pleine et constante attention. Et la soirée… Débute maintenant. » Ce qu’il ne comprend pas, c’est l’éclat mystérieux qui luit dans le regard de sa chère et tendre épouse. Walburga semble d’excellente humeur. De trop bonne humeur, d’ailleurs. C’est plus que suspect. La cruauté de Walburga, comme sa froideur, lui semblent révélatrices d’un état d’euphorie particulier. Une pensée incroyable traverse son esprit, mais Orion l’élude aussi vite qu’elle est arrivée. Non, elle n’est pas enceinte. (si, elle l’est) Sûrement qu’elle… espère obtenir ses faveurs pour la nuit. « Tu l’auras, ma chère. Tu viens de la gagner. » répond-il en marquant une courte pause, un silence solennel s’installant entre eux, dans l’obscurité du bureau ancien, seulement éclairé par une lampe magique. « Tu auras mon attention pleine et entière pour ces prochaines heures. Jusqu’à l’aube, c’est bien ce que tu recherches ? » Orion hausse un sourcil, sous-entendant avec élégance connaître déjà les pensées obscures et sensuelles de sa femme. Elle le veut, quoi d’autre, sinon ? Pourquoi requérir son attention, si ce n’est pour vouloir une fois encore concevoir un héritier, lequel, de toute manière, n’arrivera jamais ? Orion la désire, bien sûr, mais ses désirs se heurtent à cette réalité tragique et cruelle. L’absence d’enfant pèse sur leur couple, sur l’avenir de leur famille. Sans enfants, la branche de leur lignée s’éteindra. Une pensée inconcevable, n’est-ce pas ? « Je dois avouer que… l’autorité naturelle qui émane de ta personne a quelque chose… d’enivrant. » confesse-t-il dans un souffle, si proche de ses lèvres colorées, sans pour autant rompre ces derniers millimètres pour les embrasser avec toute la dévotion qu’elles méritent. Orion conserve au lieu de cela une distance décente entre eux.

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Invité



Jeu 1 Sep 2022 - 0:33


Everything Black

@Orion Black

Le sorcier est d'humeur maussade, possiblement même défiante, ce soir. Walburga le perçoit mais garde le silence, quoiqu'elle prenne bonne note de l'hésitation qu'elle décèle dans son attitude ainsi que dans ses intonations lorsqu'il lui affirme, enfin, qu'elle possède toute son attention. La supposition qu'il fait tout naturellement est attendue, même charmante dans son caractère prévisible. Et c'est avec une satisfaction qu'elle ne prend pas la peine d'étouffer que Walburga corrige les sous-entendus de son époux :

- Je te désire en permanence, très cher. Même lorsque tu le soupçonnes le moins. Mais ce n'est pas exactement ce que je recherche. Pas maintenant.

Le regard qu'elle lui adresse, sur ces derniers mots, est éloquent. Walburga estime qu'Orion lui appartient autant qu'elle-même lui appartient. Son cœur doit être sien, son corps également. Et en ce domaine, Walburga ne manque guère d'appétit ou de patience. La sorcière s'enorgueillit très régulièrement de l'expertise qui est sienne lorsqu'il s'agit de faire languir son époux pour une union tant attendue, un moment de sensualité si intense que par moments, et dans ces instants là, elle ne les reconnait plus tout à fait.

La proximité qu'Orion impose est envoûtante. Il apprécie, lui aussi, de la faire languir lorsqu'il se sait en position de le faire. A ce jeu-là, Walburga se laisse parfois aller. Car si elle sait être d'une patience remarquable lorsqu'il s'agit de tourmenter de la plus charnelle des manières son superbe époux, elle sait en revanche moins accueillir les attentions de celui-ci sans impatience. C'est ainsi qu'elle est. Lorsqu'elle exige, elle s'attend à ce que l'on se plie à ses ordres. Et lorsque l'on a le malheur de lui résister... Mieux vaut porter le nom d'Orion Black, le seul être à qui elle accepte de laisser, par moments, le contrôle. De son désir comme de son intégrité physique.

Walburga fait miroiter l'idée de réduire la distance qui les sépare et de réclamer ce baiser qu'Orion lui refuse. Mais, après avoir frôlé ses lèvres des siennes, la sorcière se redresse et recule, baissant sur lui un regard dont l'éclat est trop joueur pour être annonciateur de simplicité à venir dans leurs échanges. Elle est déterminée à garder une part de mystère, à encourager Orion à s'interroger sur l'humeur de son épouse et sur les raisons d'un tel comportement. Pour le simple plaisir d'observer sur ce visage aristocratique la surprise, d'abord, puis la pointe d'excitation et de réprobation et enfin, elle l'espère, la compréhension. Orion est un homme terriblement intelligent. Il saura apprécier l'attente qu'elle lui impose lorsqu'il entendra enfin l'annonce qu'elle compte lui faire.

L'ombre d'un sourire narquois aux lèvres, elle s'exprime enfin, d'une voix doucereuse :

- Dînons ensemble. Ensuite, si tu le souhaites toujours, tu pourras me posséder... Jusqu'à l'aube, c'est bien cela ?

Elle n'attend pas la réponse pour lui tourner le dos et quitter le bureau, persuadée qu'elle est qu'Orion la suivra... Tôt ou tard. Son humeur ombrageuse ne lui a pas échappé, et elle en devine parfaitement les raisons, pour avoir succombé au désespoir et à la mélancolie durant toutes ces semaines où l'angoisse de ne pouvoir concevoir d'héritier s'était faite plus lourde, plus... Oppressante. Car la nécessité de procréer était devenue plus urgente à mesure que les années passaient.

Rejoignant le rez-de-chaussée, Walburga ordonne sèchement à leur elfe de maison de dresser la table et de les servir durant le repas. Elle prend place à l'une des extrémités de la table rectangulaire et patiente jusqu'à voir apparaître Orion, à qui elle continue d'adresser des sourires énigmatiques tout en refusant de répondre à la moindre de ses questions, muettes comme exprimées. Et ceci dure... la totalité du repas. Walburga ne reste pas silencieuse, pourtant. Elle lui donne les nouvelles qu'elle a reçues de chaque membre de leur famille, ainsi que les dernières rumeurs et scandales de l'aristocratie sorcière. Mais, à aucun moment, elle n'assouvit véritablement la curiosité qu'elle devine tenace de son époux. Qu'il considère ceci comme un juste châtiment pour l'hésitation dont il a fait preuve, un peu plus tôt.

Finalement, le dîner est savouré, terminé, et ils se retrouvent de nouveau plongés dans le silence. C'est alors que Walburga se lève et contourne la table jusqu'à rejoindre son époux. Pendant qu'elle s'avance, elle laisse le bout de ses doigts glisser le long du bois de la table. Enfin, lorsqu'elle se tient face à lui, elle claque des doigts. Le geste suffit à étouffer chaque source de lumière de la pièce, excepté celle provenant des flammes du candélabre posé au centre de la table. Se délectant de la vision que lui offrent les ombres mouvantes sur le visage d'Orion, Walburga patiente quelques secondes avant de saisir la main de son époux et de la poser sur son bas-ventre. Elle lui adresse, pour la première fois depuis bien longtemps, un sourire qui ne soit ni enjôleur, ni cynique, ni même cruel. C'est un sourire... Rayonnant, qui a le mérite d'insuffler un peu de chaleur à sa voix. Il est grand temps d'annoncer, enfin, ce qui la plonge dans une humeur aussi joviale et imprévisible. :

- Nous aurons un fils, Orion.

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Natasi Daala

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Dim 11 Sep 2022 - 1:10


Everything Black

@Walburga Black

L’attitude sulfureuse, quelque peu autoritaire de Walburga Black est loin de le surprendre, ou même de lui déplaire. Il ne l’admettra probablement pas en volant préserver son égo de mâle conservateur, mais elle seule parvient à éveiller ses bas instincts de sa cruauté comme aucune autre femme. Walburga est une femme très persuasive. Une beauté glaciale capable d’enflammer son être tout entier de son timbre de voix. De ses œillades appuyées, de ses légères caresses et effleurements superflus qui le font la désirer encore plus fort. Lorsqu’elle cherche à montrer qu’il lui appartient, elle lui prouve sans cesse qu’elle lui appartient tout autant. Cela a bien souvent fonctionné avec cette configuration de jeu et de persuasion entre les deux amants. Walburga est la maîtresse de la maison Black. Walburga est la maîtresse de sa vie et de ses nuits. Elle est un excitant cauchemar déguisé en un merveilleux rêve. Walburga Black est une sorcière divine, pleine de grâce et de condescendance. Tous les membres de la famille Black le sont. Orion ne lui jettera jamais la pierre pour faire preuve d’une telle arrogance, parce que c’est de cette manière qu’elle attire son regard. Orion méprise toutes ces créatures faibles, ou timides. Il aime la grandeur, la beauté sanglante, toute expression de royauté ou de suffisance. Walburga dicte sa loi d’un seul de ses regards froids, et Orion s’en délecte dans le plus grand secret.

Orion Black aime profondément sa ravissante épouse. Elle incarne un idéal de perfection et de pureté jamais égalé jusqu’à maintenant, et qui ne le sera fort heureusement, jamais. Il l’aime sincèrement, d’une manière étrangement pudique et glacée, comme l’exige son éducation aristocratique sévère et sans pitié. Il l’aime, mais cette fois-ci, il se montre bien amer. « Je te désire en permanence, très cher. Même lorsque tu le soupçonnes le moins. Mais ce n'est pas exactement ce que je recherche. Pas maintenant. » Orion ne dit rien, car il n’a pas besoin d’ouvrir la bouche. Walburga sait. Elle sait tout de lui. Elle a toujours su lire en lui comme dans un livre ouvert depuis leur toute première rencontre. Malgré leurs jeunes années, Walburga a exprimé à l’époque un véritable don pour manipuler et envoûter son monde, tous les garçons aux alentours. Ses cousins particulièrement. Orion, surtout. Il demeure interdit, alors qu’elle entreprend de réchauffer leurs rapports, malgré la gravité de leur situation. Orion reste silencieux, mais contemplatif devant ce mélange de lubricité et de classe chez une seule et même personne. Il veut lui résister et échapper à son étreinte, mais le pauvre homme est déjà sous sa coupe. Il lui refuse ce baiser, il lui refuse sa chaleur. Il est agacé, troublé et défait. La chose qui l’obnubile à toute heure du jour et de la nuit, c’est l’absence d’héritier au sein de leur foyer. Un Black ne peut échouer. Orion Black ne peut être stérile. Walburga Black ne peut l’être non plus. Il y a forcément une explication rationnelle, et une solution qui en découle. Faute d’annonce satisfaisante, Orion a perdu toute envie de jouer avec sa cruelle épouse. Leurs jeux Ô combien excitants du chat et de la souris, toutes ces tentations sensuelles le blessent et le ramènent à sa propre incompétence.

« Walburga. » gronde-t-il, doucement. Orion devine très bien à quel jeu elle compte jouer avec lui – le tenter, pour mieux l’appâter et lui faire abandonner toute volonté. Est-il seulement encore prêt à opposer la moindre résistance devant ces cils noirs et suffisants ? Son souffle se brise, alors qu’elle vient effleurer ses lèvres avec les siennes, sans toutefois lui céder le moindre baiser, ou une quelconque étreinte brûlante. L’ombre d’un rictus se dessine au coin de sa bouche. Ce qui l’emporte à cet instant, c’est un sentiment d’intense frustration. Il l’a refusé, mais maintenant qu’elle le lui refuse à son tour, Orion Black regrette quelques secondes de ne pas avoir répondu à cette invitation délicate. « Dînons ensemble. Ensuite, si tu le souhaites toujours, tu pourras me posséder... Jusqu'à l'aube, c'est bien cela ? » poursuit Walburga, de sa voix si sulfureuse, qu’elle fait mourir un frisson agréable le long de son échine. Bien sûr qu’il en a envie. Il désirera toujours la posséder – jusqu’à l’aube, et même au-delà. Malgré son tempérament très lunatique de ces dernières semaines, Orion Black reste profondément et amoureusement attaché aux faits et gestes de sa gracieuse moitié. Il ne répond pas dans l’immédiat, ou même tout court, son humeur ne le met malheureusement pas dans les meilleures dispositions. Walburga n’attend de toute manière pas de réponse de sa part, puisqu’elle s’en va, en l’abandonnant seul dans son bureau sinistre. Elle le quitte, avec une étrange lueur dans les yeux. Orion demeure perplexe. Sa femme n’est pas aussi froide qu’au quotidien, quelque chose est… différent chez elle. Orion est incapable de mettre le doigt dessus, mais cela l’obsède déraisonnablement, bien qu’il s’efforce de dissimuler son inquiétude derrière une expression impassible.

Dans un premier temps, cela semble lui convenir, parce qu’au fond, Orion essaie ne pas compter le nombre de missives qu’il doit terminer d’ici la fin de soirée. Rien que de se dire qu’il en a pour tard l’horripile. Orion adore écrire ses courriers, parfois mielleux, d’autres fois assassins. Depuis quelques mois déjà, cela devient un calvaire. Orion ne pense qu’à cela. A sa descendance qui ne vient toujours pas. Une humiliation cuisante qu’il essaie d’enfermer dans une boite mentale, verrouillée à clé. Il est incapable de ne pas la dévorer longuement des yeux, jusqu’à ce que cette ombre sensuelle se soit glissée dans l’entrebâillement de la porte. Orion est en pleine réflexion. Dîner… Il pense ne remettre cet aparté avec elle pour plus tard, mais l’idée creuse lentement son chemin. Quoiqu’il puisse dire, la faim prend le pas sur son orgueil. Quelque part, l’envie de la retrouver le titille également beaucoup. Orion se lève, en bougonnant. Il se sent faible, si faible de lui céder aussi facilement. Ce qui le pousse pour de bon à quitter son bureau est lié à l’humeur étrangement mystérieuse de son épouse. La suivre est en soi le meilleur moyen d’obtenir des indices sur ce revirement aussi inattendu qu’inquiétant. Alors qu’il longe les couloirs qui le conduisent au rez-de-chaussée de la maison ancienne, Orion ne jette qu’un regard furtif au petit elfe de maison qui l’accueille avec une révérence grotesque, avant de pénétrer dans la salle à manger. Il déambule d’une démarche fière, alors qu’un silence presque religieux s’installe entre eux. Pas un mot ne s’échappe de ses lèvres, pas un regard non plus pour sa sulfureuse et cruelle épouse. Orion patiente. Il cherche à étudier chaque détail de la décoration et du dressage des assiettes, en quête d’un moindre faux-pas afin de se donner une raison de fulminer contre son elfe de maison. (pauvre elfe, le punching ball de la maison)

La frustration d’Orion Black est telle, qu’elle plante un décor froid entre eux au cours de ce dîner Ô combien savoureux. Orion essaie à maintes reprises d’obtenir une indication sur l’état de son épouse, cherchant à creuser ce changement d’humeur, sans obtenir gain de cause. Malgré tous ses efforts, Walburga Black refuse de lui apporter la moindre satisfaction. Cela ne fait qu’amplifier sa frustration, si bien qu’il songe durant une seconde à se lever de table pour reprendre l’écriture de ses courriers entre les murs de son bureau privé. Ce qu’il ne fait pas. C’est impossible, Walburga l’ensorcèle par cette aura magnétique et le ton énigmatique de certaines de ses réponses. Elle lui donne quelques nouvelles de leur précieuse famille, mais cela indiffère sincèrement Orion Black. Il n’éprouve aucune fascination quelconque pour une autre information que pour celle concernant l’humeur imprévisible de Walburga. Durant une fraction de seconde, un mince espoir s’engouffre dans ses pensées – l’espoir fou qu’elle puisse porter leur premier enfant. Orion veut croire en ce fantasme désespéré. Il fulmine intérieurement, avant d’éluder cette possibilité. Walburga lui en aurait parlé un peu plus tôt dans son bureau. Quelle erreur. Walburga le fait en réalité mariner. Lorsqu’enfin, cette mascara de dîner se termine, le couperet s’apprête à tomber. Quelques regards furtifs s’échangent entre mari et femme, mais ni l’un ni l’autre ne daigne briser le poids de ce silence solennel.

Elle se déplace de nouveau, de sa démarche féline. Orion reste où il est, sans prononcer le moindre mot. Il se contente de la déshabiller des yeux, en cherchant un indice sur ce qu’elle s’apprête à lui annoncer avec un sourire rayonnant encadré sur son visage. Un sourire éclatant, comme il n’en a que trop rarement aperçu. « Nous aurons un fils, Orion. » confesse-t-elle, alors qu’elle vient poser une main sur son bas-ventre, à travers son vêtement. Il cligne des yeux, interloqué à la fois par son geste et par son aveu. De l’incompréhension se découvre dans ses prunelles, puis de la satisfaction, du soulagement… et une pointe de frustration. Une part de lui se sent dupée, mais une autre est bien incapable de lui en vouloir. Ses doigts se referment sur ce ventre plat, qui bientôt, portera le fruit de ses œuvres. Il attrape un bout du tissu de sa robe dans le creux de sa main, pour l’enserrer avec possessivité et désir. La réaction d’Orion Black est alors immédiate. Il se lève rapidement et agrippe le poignet de sa délicieuse épouse, afin de la ramener contre la fermeté de son torse. Leurs lèvres se scindent en un baiser heureux. Orion n’attend pas, il l’embrasse avec force, d’où sommeille une certaine tendresse. Ce baiser est long, possessif et exigeant. Orion lui témoigne toute sa colère d’avoir été cruellement privé de la vérité, tout en exprimant l’ampleur de son amour éternel. Lorsqu’il en eu terminé, que son souffle se soit suffisamment mélangé au sien, Orion écarte son visage. Il demeure contre ses lèvres en voulant les caresser, alors qu’elles se mouvent progressivement pour former des mots. « Merveilleux. » Les mots sont de trop. Un seul suffit amplement à signifier à Walburga son plaisir. Le bonheur irradie sur chaque trait de son visage, lequel se déride et se détend après de très longs mois d’anxiété sévère et de fatigue. Le voile présent dans ses orbes se réchauffe miraculeusement, une lueur d’euphorie éclatante de vie s’y dépose instantanément. Orion Black est heureux, vraiment heureux pour la première fois de sa vie, il est heureux, non seulement parce que Walburga, son âme-sœur, est celle qui va porter sa progéniture, mais parce qu’il se prépare à connaître les joies de la paternité. Il n’est pas stérile. Ni lui, ni elle. Ils ne sont pas non plus maudits, bafoués par les dieux. Leur amour est plus fort que tout. Leur persévérance a porté ses fruits.

Il l’aime tant. Leur premier enfant. Le premier de ce qu’il espère être une très grande dynastie. Que ce soit un garçon ou une fille, – bien qu’il espère fortement que ce soit la première hypothèse – cet enfant est une bénédiction pour leur famille. « Tu es dans mon sang. » admet-il. Une manière de dire... Je t'aime. Ce n’est pas dans ses habitudes d’en arriver à… de telles extrémités sentimentales, mais les évènements grisants l’imposent. Elle mérite une confession particulière, en réponse à cette annonce tout autant particulière. Ce moment est sacré pour eux deux. Il garde sa main à plat contre son bas-ventre, tandis que son autre main se glisse au niveau de ses hanches, remontant le long de sa colonne vertébrale, jusqu’à agripper sa chevelure noir corbeau par l’arrière. De cette prise ferme, il écrase une fois encore sa bouche dans une sulfureuse et langoureuse étreinte, en l’attirant contre le bois vernis de la table à manger. Lorsque sa croupe parfaite rencontre le rebord, Orion en profite pour déplacer la main qui caresse le futur réceptacle fait de chair et de sang de sa progéniture, pour se mettre sous ses fesses. D’un geste, Orion l’invite à s’asseoir sur la table, et lui écarte les cuisses avec autorité. Il grogne entre ses lèvres, toujours plus cupides. « Plus que tout. » souffle-t-il entre deux baisers brûlants. Orion rompt les derniers centimètres qui les séparent, en s’installant entre ses jambes, sans interrompre leur échange langoureux. Ses mains se déplacent alors de sa chevelure soyeuse, jusqu’à ses hanches, puis ses cuisses – qu’il enserre dans ses paumes, se refermant avec impatience sur les plis de sa jupe. C’est sa manière de la remercier de lui donner enfin un héritier digne de son sang, de son nom. Il temporise son impassibilité habituelle pour exprimer une fougue inattendue, dévorante. Orion désire la posséder, ici et maintenant. Avec passion et sauvagerie.

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Mar 25 Oct 2022 - 12:05


Everything Black

@Orion Black

La sorcière se délecte de chacune des merveilleuses émotions qui traversent tour à tour le visage d'ordinaire si peu expressif de son époux. La colère, la frustration, le soulagement... puis le bonheur... Les doigts d'Orion se referment fermement sur son poignet, et Walburga se laisse ramener contre lui, posant le plat de sa main sur le buste du sorcier. Les gestes d'Orion ne sont pas délicats. Ils sont possessifs et exigeants, tout comme lui, l'est. Mais sous cette cruauté apparente, Walburga décèle le bonheur et l'amour qu'il lui voue, à elle, et qu'il voue à leur fils à naître. Celui qu'ils ont tant attendu et sur qui reposent déjà toutes leurs espérances. Cet enfant, ils l'ont désiré avec acharnement... et à présent, à présent... c'est leur désir à eux deux qui peut, enfin, s'exprimer librement. Orion l'embrasse avec une ferveur qui s'était dissipée avec le temps, mais qui semble retrouver la passion de leur jeunesse, celle de leurs premières années de mariage.

Sa déclaration, elle l'accueille en conservant un mince, très mince sourire en coin qui assombrit ses yeux d'un bleu profond.

- Et toi dans le mien, répond-elle en glissant ses doigts le long de sa mâchoire.

Une caresse aux allures de tendresse qui est pourtant possessive, sombre, même, dans sa sournoiserie. Elle veut, cruellement, que cet instant soit pour lui d'une telle intensité qu'il en oublierait les dernières semaines, où ils osaient à peine se regarder dans le blanc des yeux tant leur relation était voilée de non-dits, de questionnements et de reproches à peine déguisés.

Son époux l'embrasse, et Walburga répond à chacun de ses baisers avec fièvre, supportant sans hésitation la brûlure caractéristique qui s'installe lentement dans ses poumons à mesure que le souffle lui manque, à mesure qu'elle privilégie le contact de ses lèvres contre les siennes à la nécessité mortelle et triviale de respirer. Orion la contraint à reculer, il l'enferme entre son corps et la table, et Walburga est une captive volontaire. Tant qu'elle sent le buste de son époux contre le sien, tant que ses lèvres ne quittent pas les siennes, ou seulement pour s'attarder sur sa peau, elle peut tout accepter. Tout encourager. Cette passion renouvelée l'envoûte, éveille ses sens à des désirs qu'elle avait étouffés pour mieux se focaliser sur la nécessité de tomber enceinte.

Pourtant, alors que leur envie commence à se manifester, Walburga s'aperçoit de l'empressement de son époux. C'est un empressement qui lui plaît, car il est la preuve la plus précise qui soit des pensées et des envies qui traversent l'esprit d'Orion en cet instant. Cependant, elle s'était attendue à ce qu'ils montent dans la chambre à coucher. La sorcière se laisse pourtant faire au moment où il l'incite à s'asseoir sur la table. La volonté et la fermeté de ses gestes font céder sa résistance, petit à petit. Orion, de par ses gestes, de par cet amour qu'il exprime avec une telle impétuosité, l'apprivoise progressivement. Mais lorsqu'il écarte ses cuisses, Walburga se redresse et pose sur lui un regard voilé par une lubricité qu'elle peine à contenir.

- Ici ? Orion, c'est...

Surprenant. Obsédant.

- C'est terriblement indécent.

Et pourtant, elle n'esquisse pas le moindre geste pour le repousser. Bien au contraire. Ses mains agrippent le tissu de son haut avec force et l'incitent à s'avancer, à franchir le peu d'espace qui les sépare encore. Ses lèvres, elles, s'écrasent sans ménagement contre les siennes, attisant une passion qu'elle lui devine sans peine. Elle-même brûle d'un désir qui ne demande qu'à être satisfait. L'annonce de cette nouvelle qu'ils attendaient l'a étrangement émue. Quant à cette passion dévorante qui s'empare d'eux, elle s'est fait trop rare, ces derniers mois. À présent qu'ils ont obtenu ce qu'ils désiraient, l'heure est venue de laisser un autre type de désir, plus primal, moins noble mais bien plus délicieux, s'emparer de leur être. Jusqu'à ce qu'ils soient unis, aussi bien par la chair que par le sang.

Par Morgane. La sauvagerie et la passion d'Orion sont contagieuses. Il serait plus juste d'affirmer qu'elles sont similaires en tous points à celles de Walburga, qu'elle exprime moins ouvertement, mais qui pourtant régissent chacun de ses gestes et chacune de ses réactions. À lui et à lui seul, elle accepte de s'offrir sans pudeur, excessive et hypocrite après tant d'années de mariage et d'ardeur.

Très vite, l'impatience d'Orion égale la sienne, et Walburga, plutôt que de tempérer cet emportement, cherche au contraire à l'attiser. D'un geste brusque, elle empoigne le tissu de son haut afin de le garder au plus proche. Ses lèvres baisent la zone qui se situe juste en-dessous de son oreille, avant qu'elle n'y murmure d'une voix séductrice qui détient toutes les tentations les plus cruelles et sinistres du monde :

- Possède-moi. Je te veux, toi, uniquement toi, je te veux tous les jours, à chaque instant... Célébrons la venue de cet enfant. Notre enfant. Je t'appartiens, prends-moi, Orion.

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Natasi Daala

Natasi Daala

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▿ Ton univers : Star Wars
▿ Date de naissance : 21/04/1996
▿ Age : 28
▿ Métier : Directrice de campagne de Wilhuff Tarkin ▴ Militante et membre du parti politique d'extrême-droite "Nouvel Empire"
▿ Quartier : Raccoon Square
▿ Côté cœur :
Daala: "The Rebel Alliance won't know what hit them."
Tarkin: "Oh, they'll know, my dear. Everyone will know. That's the point."
―Admiral Daala and Grand Moff Tarkin, meeting on the Death Star
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﹣﹣﹣﹣

R PDUO.
﹣﹣﹣﹣



Sam 26 Nov 2022 - 20:47


Everything Black

@Walburga Black

« Et toi dans le mien. » Son souffle se coupe au moment de sentir les doigts délicats de son épouse se promener le long de sa mâchoire, dans un geste qu’il interprète comme l’une de ses innombrables marques discrètes de possessivité et de sordidité. Elle l’observe avec une intensité qui ne laisse aucun homme de marbre. Et encore moins lui, qui lui est dévot, qui est attentif à chacun de ses gestes et de ses mots, qui boit ses paroles comme un précieux Whisky-Pur-Feu. Il la laisse le caresser, une manière pour elle d’instaurer un début d’intimité entre leurs corps. Des préliminaires qui s’annoncent, loin d’être glaciales, mais explosives, d’un instant à l’autre. Ce n’est qu’une danse sensuelle qu’ils se livrent tous deux, en se cherchant après des mois d’amertume et de lassitude de leurs chairs meurtries et fatiguées, de leurs esprits échaudés par des fantasmes fous de grossesse. Orion Black ne déplace pas une seule seconde son regard d’elle. Quoiqu’elle fasse, quoiqu’elle dise. Il contemple cette créature divine qu’il a pris pour femme, il y a bien longtemps. Enfin, Orion a le sentiment salvateur de pouvoir respirer. Ces semaines sombres, faites de reproches et de non-dits sont désormais loin derrière eux, Orion et Walburga redeviennent enfin vraiment eux. Il se fait cette réflexion, au rythme de ses lèvres qui se meuvent avec fiévreux contre les siennes, alors que ses mains agrippent fermement les hanches délicates de son épouse. Elle est somptueuse, séduisante, cruelle et pure. Elle est surtout sienne. Pour toujours. Elle porte le fruit de ses œuvres, la chair de son sang, son premier né. Leur premier enfant. Cette pensée, loin de le dégoûter, redouble ses ardeurs. Il brûle littéralement de lui faire l’amour avec toute la passion et la dévotion dont il est capable. Ce soir, ils ont bel et bien quelque chose à fêter. Ce soir, ils fêteront leurs retrouvailles sur tous les plans et surtout le plus charnel. Ce soir, ils s’aimeront comme au premier jour. Ce soir, ils fêteront l’arrivée de cet enfant. (ils le fêteront pas longtemps)

Alors que ses mains s’affairent à déplacer ses cuisses parfaites, afin de l’attirer toujours plus près de lui, Orion perçoit une pointe d’hésitation dans le son de sa voix, lorsqu’elle se redresse pour verbaliser son étonnement. « Ici ? Orion, c’est… » l’entend-il souffler, avant de s’interrompre quelques secondes, et de reprendre avec une conclusion exquise : « C’est terriblement indécent. » Walburga lui accorde un regard non pas choqué, mais fortement intrigué. Ces propos contrastent toutefois fortement avec ses actes. Elle ne bouge et ne le repousse. Il saisit là l’occasion inestimée de la surprendre. Il interprète cette absence de rejet comme la preuve ultime qu’elle le désire tout autant que lui. Oui, c’est indécent, oui cela ne leur ressemble pas, mais après ces semaines de reproches et de froideur, cette chute doit être à la hauteur de leur supplice. Orion reste stoïque durant quelques secondes, avant de s’emparer d’elle avec ferveur en la plaquant toujours plus fortement contre le bois vernis de la table. « Je ne t’entends pas t’en plaindre, très chère… » répond-il avec un léger rire brûlant, tout contre sa peau. Lorsqu’elle répond à ses avances en apportant autant de force au ballet sensuel de leurs langues, c’est le geste en trop, celui qui fait céder toutes ses résistances. Elle embrase le feu ardent en lui. Il grogne légèrement entre ses lèvres, qu’il possède avec toujours plus d’envie. Orion marque son territoire de ses mains et de ses lèvres, il la marque comme sienne, parce qu’elle l’est. Il domine leur échange, il la veut si puissamment que s’en est électrisant. Lui-même n’est pas certain d’être en mesure d’en revenir de sitôt. Pas indemne, en tout cas. La passion qu’ils expriment tous les deux maintenant, entre les murs de leur salle à manger sinistre, est bien trop rare à son goût. Orion compte remédier à cela. Maintenant et brutalement. Passionnément et avec le plus grand dévouement. Il la vénère, il aime chaque détail de son corps, chaque particularité d’elle, chaque perfection et imperfection, chaque soupir et hurlement. Il l’aime dans ses bons jours, comme dans ses ouragans de froideur et de colère sourde. Il l’aime pour sa cruauté, pour ses idéaux si nobles. Walburga est sa femme. La pureté de leur amour n’a d’égal que celle de leur illustre lignée sanguine.

Orion apprécie plus que tout de la sentir s’abandonner progressivement à lui, sans retenue ou pudeur. Elle empoigne le tissu de son chemisier sorcier, d’un geste qu’il qualifie d’autoritaire. Il adore sa possessivité. Lorsqu’elle l’exprime de cette manière, dans leurs ébats, cela a toujours le don de renforcer sa propre excitation. Il se nourrit comme un insatiable du fait qu’il lui appartient autant qu’elle est sienne. « Walburga… » marmonne-t-il au creux de son oreille, après avoir interrompu leurs échanges brûlants, juste un instant. En l’espace d’une caresse tendre du bout de ses dents. Il fait glisser ses lèvres le long de la ligne osseuse qui recouvre son menton et sa joue droite, jusqu’à capturer son lobe, alliant gourmandise et expertise. Elle en fait rapidement de même, lui soufflant à l’oreille la plus terrible des requêtes, une de celles qui embrase son être tout entier au simple son de son timbre séducteur : « Possède-moi. Je te veux, toi, uniquement toi, je te veux tous les jours, à chaque instant... Célébrons la venue de cet enfant. Notre enfant. Je t'appartiens, prends-moi, Orion. » On ne le lui dira pas deux fois. Orion ne répond pas, mais sa réponse est plus gestuelle que verbale. Il referme ses mains puissantes sur sa taille pour la presser d’un coup sec contre son entrejambe, encore dissimulée sous son pantalon d’une grande marque sorcière. (c’est bon de le préciser, c’est pas du made in moldu) Il en crève d’envie depuis l’instant où ses yeux sombres se sont posés sur les courbes exquises de sa poitrine, ainsi compressée dans cette élégante et luxueuse robe sorcière. Un sourire se niche au coin de ses lèvres, enjôleur et amusé. Il la prendra, c’est certain. Il la prendra si fort, qu’elle réveillera tous les elfes de maison encore assoupis dans les maisons aux alentours. Il la prendra par amour, par possession, par soulagement. Leur enfant doit être dignement célébré. Ses doigts se glissent entre les plis nobles et soyeux de sa robe, afin de les écarter le plus loin possible. Ils poursuivent lentement leur exploration entre ses cuisses brûlantes, en caressant leur intérieur et en dessinant comme des arabesques qui n’existent pas sur sa chair tendre. Une chair qu’il malmène du bout de ses ongles et de la pulpe de ses doigts, une chair qu’il chérit tout en se l’appartenant toujours plus de la marque de quelques griffures empressées. Il est pressé, impatient et pour l’une des rares fois de son existence, véritablement instable. Son indécence n’a d’égale que sa cruauté, et la chaleur qui converge en son bas-ventre fait rapidement fondre l’épaisseur de toutes ses barrières mentales, surtout de la glace qui protège son cœur de toutes interférences.

Orion promène ses lèvres de la zone entre son oreille et son nez, arpentant sa joue, tout en appréciant de sentir le grain lisse de sa peau blafarde sous celles-ci. Il se mouve dans une lente agonie, tout en pressant davantage les hanches de Walburga dans le creux de ses mains tremblantes. Il tremble d’excitation, malgré lui. Orion savoure et prend tout son temps pour humer le délicat parfum fleuri qui s’échappe des pores de sa peau. Cette odeur entêtante est celle de sa peau naturellement sucrée, ainsi que des effluves de son parfum et de ses produits de soins. Lèvres entrouvertes, désormais contre sa bouche, ne l’embrassant pas encore tout à fait, Orion a le sentiment fou que le temps s’est brusquement arrêté autour d’eux, juste quelques secondes avant que leurs corps ne se rejoignent dans une seule et même étreinte. Corps contre corps. Il délaisse les hanches de sa femme pour déboucler sa ceinture d’un geste rapide, bien que précautionneux. Il ouvre la bouche, en cédant enfin à l’appel de la sienne. Ses lèvres s’écrasent sur les siennes, au même moment où il termine de libérer sa virilité enflée des plis d’un tissu beaucoup trop encombrant. Enfin. Un râle de satisfaction, puissant et heureux s’extirpe de ses lèvres, alors que sa langue étreint férocement celle de Walburga. Il la prend sans plus de cérémonie avec sensualité, mais surtout impatience. Elle est aussi excitée que lui. Ils savent prendre ce qu’ils désirent ardemment, sans s’embarrasser de mots ou de préliminaires surfaits. Ils ne font désormais plus qu’un. C’est une sensation de soulagement inattendu qui s’engouffre en lui, alors que la chaleur humide des murs intimes de son épouse enferme précautionneusement le point le plus sensible de son anatomie d’homme. Confiné comme dans un étau brûlant, comme fait de velours. Il glisse remarquablement dans son antre, chaque mouvement et ondulation de son bassin chaud le fait soupirer d’aise entre ses lèvres meurtries par ses baisers. Pendant ce temps, Orion caresse ses beaux cheveux noirs, aussi doux que de la soie sauvage. Elle sent bon, elle est exquise. Elle l’envoûte sans difficulté par ce mélange de sensations physiques, vertigineuses et olfactives. Il rêve alors que ce moment se fige pour l’éternité, et que jamais plus, ils ne se séparent l’un de l’autre. Cette scène d’eux est terriblement indécente, faire l’amour ici, sur cette table, dans leur immense salle à manger, à quelques centimètres d’une bouteille de vin rouge. Il la prend d’abord doucement, afin de se familiariser une fois encore à la forme exceptionnelle de son corps. Il l’embrasse toujours fiévreusement, sans la moindre hésitation, hormis celle d’être bien incapable de quitter ce petit coin de paradis. Orion reprend enfin possession des hanches de son épouse, afin de guider le mouvement de leurs intimités, ainsi pressées l’une contre l’autre, avec toujours plus de profondeur et de brutalité. Ils s’aiment dans la passion et dans la violence. Et il en sera toujours le cas.

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