Sujet aléatoire - Astoria & Ben Hargreeves

▿ Date d'inscription : 08/02/2019

Une douce mélodie s'échappe de derrière cette porte verrouillée. Une voix tendre fredonne une chanson. La respiration bruyante d'un enfant qui vient de s'endormir vous parvient. Tout semble merveilleux. Parfait. Reposant. Apaisant.

Mais, tout à coup, vous ouvrez les yeux. Un cri perçant, terrible, insupportable vient de vous déchirer les tympans. La tendre voix s'est muée en voix pleine d'horreur et de terreur. Des mots incompréhensibles. Des supplications. Des prières. La mère réclame de l'aide. Elle réclame qu'on vienne la secourir, elle et son bébé. Vous essayez d'ouvrir la porte ? Impossible, elle est verrouillée. Vous essayez de la défoncer ? Impossible, elle résiste à tous vos assauts. Vous essayez de parler à cette femme, de l'autre côté ? Impossible, elle ne semble pas vous entendre.

Vous êtes deux dans cette pièce qui ressemble au salon d'une maison : canapé, télévision, meuble... Tout semble normal, à l'exception qu'il n'y a ni électricité, ni autre porte que celle qui mène à la pièce où la femme se trouve. Derrière, vous ignorez à quels monstres la femme doit faire face, mais vous sentez l'urgence de la situation. Vous devez trouver une solution.

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sujet aléatoire

Astoria & Ben

Astoria avait arrêté de se demander comment cette ville pouvait continuer à la surprendre. Déjà son impression d'être réincarné, puis le fait d'avoir retrouvé son fils et ex-mari. Puis apprendre que les souvenirs qu'elle avait avec son époux actuel n'étaient pas vrais. Et surtout qu'il était très proche de lui niveau monde d'avant. Deux sorciers, désormais sur le chemin d'être parents. Et maintenant, elle se retrouvait dans cet endroit sans vraiment savoir comment elle était arrivé. Elle s'était endormi sur le canapé, attendant patiemment que Godric revienne du travail. Elle avait rêvé de son passé, d'un après-midi qu'elle avait passé alors que Scorpius n'était qu'un bambin, il babillait et partait tranquillement dans le bras de Morphée, Astoria l'observait, elle était dans ce qui ressemblait au paradis, un endroit d'un calme royal, c'était paisible. Elle pouvait clairement entendre la respiration de son petit prince. Et puis elle l'entendit, ce cri. Ses yeux s'ouvrirent, son cœur battant violemment dans sa poitrine, ses sens étaient en alerte total. La première chose qu'elle capta, c'était la présence de ce jeune homme à ses côtés, mais il disparu rapidement de son champ de vision alors qu'elle se jetait sur la porte en entendant cette femme. Astoria attrapa la poignet et la tourna dans tout les sens, essayant désespérement de l'ouvrir. Rien. Si seulement elle avait retrouvé ses pouvoirs... Elle aurait pu gérer la chose en quelques secondes.

Elle frappa à la porte. « On va vous aider !» Cria-t-elle à l'intention de l'inconnue derrière la porte, puis elle se retourna vers le brun, plongeant son regard dans le sien. « Il faut qu'on l'aide, trouve quelque chose pour défoncer cette porte !»

copyright : Laueee ─ ft. @Ben Hargreeves

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Sujet aléatoire.

Astoria et Ben.

Ben ne pouvait pas haïr cette ville. Il serait bien ingrat si ce sentiment avait le toupet de se retrouver dans son cerveau. Elle l’avait ressuscité et offert une vie avec sa famille. Rien que pour cela, il devait à cet univers amour et fidélité. Et pourtant, en voyant le malheur qu’elle avait apporté à certains des autres habitants de cette ville, il est difficile pour Numéro Six de profiter pleinement de sa seconde chance.

La légère musique douce qui berçait les oreilles de Ben fut très vite remplacée par des cries. Des supplications qui arrachaient le cœur de Numéro Six. Il fallait qu’il vienne en aide à cette jeune femme ainsi qu’à son enfant. Ses réflexes de super héro mirent du temps à revenir. Une autre jeune femme était déjà debout entrain martyriser la poignée de la porte pour tenter de l’ouvrir. Elle ne rencontrait malheureusement aucun succès dans son office. Un scan rapide de la pièce lui permit de voir qu’ils n’étaient que deux coincés dans ce qui semblait être un salon.

« Essayez de vous mettre à l’abri le temps qu’on défonce cette porte ! »

Ses mots étaient destinées à la victime qui se trouvait dans la pièce d’à côté. Ben était déjà entrain cherché tout objet qui pourrait être utile quand l’autre âme présente dans la pièce lui demanda de trouver quelque chose pour défoncer la porte. Tenter de le faire avec son épaule ne servirait probablement pas à grand chose. Malheureusement, avait-il d’autre solution ? Ils étaient coincés dans un salon des plus classiques. Pas de pied de biche, de bélier ou de boite à outil qui pourrait leur être utile. Son regard s’arrêta quelques secondes sur l’un des fauteuils qui ne semblaient pas bien lourd. Il attrapa par les accoudoirs et se dirigea avec jusqu’au niveau de la porte.

« Écartez-vous ! »

Le trentenaire hurla cette phrase pour la brune qui se trouvait à ses côtés. Les pieds du fauteuil rencontrèrent violemment le bois de la porte à plusieurs reprises. Le bruit que cela créait était presque suffisant pour étouffer ceux des cris qui persistaient. Ben répéta cette action, un grand nombre de fois, jusqu’à ce qu’il soit lui-même à bout de souffle. Il se tourna vers la brune, allaitant légèrement.

« Ça ne sert à rien. Il faudrait trouver un moyen s’attaquer aux gonds de la porte. »

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