Depuis que j'ai ouvert ma maison des poupées, j'ai eu de nombreux clients qui m'ont confié leurs poupées mal au point, et cassées pour que je les répare et les restaure pour leur redonner vie. Ses pauvres poupées mal entretenues, traitées comme des vulgaires objets, ça me donne juste envie de faire beaucoup de mal à leurs propriétaires inconscients du mal qu'ils font à ces pauvres poupées. Oui, moi l'entité démoniaque, je fus scellé dans une poupée Annabelle, que je fus liée à cette poupée depuis qu'elle en est devenu mon identité.. A l'intérieur de cette poupée, j'ai pu ainsi jouer et manipuler nombreuses âmes faibles… les malheureux qui m'ont eu comme poupée de décoration dans leurs chambres, l'ont vite regretté, car j'ai rendu leurs vies impossibles, une vie remplie d'angoisse et de peur. C'était amusant, j'aime tellement jouer avec les âmes humaines.. Et même si je ne suis plus une entité démoniaque, j'aime toujours prendre ce plaisir. J'ai tué et blessé, mais depuis mon arrivée mystérieuse sur cette île, je n'ai fait aucune victime, je me contente de jouer avec le mental et les nerfs des âmes errantes. Pour revenir aux poupées, j'en prends énormément soin, et je les traite comme mes propres filles… Ce qui me rend particulièrement étrange aux yeux des humains, mais j'en ai que faire de leur regard qu'ils portent sur moi.
J'ai dû restaurer une poupée pour une cliente spéciale, cette dernière ne peut pas se déplacer jusqu'à la boutique, coincée dans un fauteuil roulant : une femme qui collectionne les poupées en porcelaine. Son fils était venu dans ma boutique, pour me confier une poupée cassée, que je devais restaurer. Je suis douée dans mon domaine, alors j'ai redonné une seconde vie à cette poupée, néanmoins, le fils de la dame n'est pas disponible pour récupérer la poupée en boutique, alors ayant les coordonnées de la cliente, je l'ai appelé au téléphone pour la prévenir que sa poupée était prête. Impatiente de retrouver sa petite poupée, elle me propose de la lui rapporter directement à domicile, mais je n'ai pas vraiment l'envie : ma boutique ne fait pas dans la livraison, et j'ai la flemme putain de merde ! Mais elle me propose un joli bonus, en plus du coût des réparations ! Ce qui me donne une certaine motivation à me déplacer jusqu'à chez la femme. Alors, je finis par accepter, et je suis dans l'obligation de fermer ma boutique le temps de mon absence. Nous sommes en fin d'après-midi, et je quitte ma maison des poupées, avec la poupée de la femme contre moi.
Cette femme habite dans un building du centre ville, et je me rends là-bas en métro. Je fais attention à la poupée, même si celle-ci est protégée par un plastique de protection. Alors non, je ne fais pas ça de bon cœur, car mon cœur est uniquement démoniaque et malveillant. Je fais évidemment ça uniquement pour l'argent, car elle m'a promis un bonus : et elle a intérêt à me filer un bon bonus.. Sinon.. Sinon.. Je n'aime pas qu'on se joue de moi. Mais je dois surtout garder mon calme, et ne pas tuer, pas pour le moment, jusqu'à que je retrouve mes dons pour pouvoir de nouveau dévorer les âmes humaines. Ainsi, me voilà devant le gigantesque building, mes yeux se lèvent, ne voyant pas le sommet. Il n'y a que des appartements à l'intérieur, mais pour sur que le loyer n'est pas à la portée de tous pour pouvoir habiter ici. Bref, ce n'est pas une question que je me pose, moi je suis là professionnellement : je rapporte cette poupée à sa propriétaire. Ainsi, à l'intérieur de la tour, je ne perds pas une seule seconde pour emprunter l'ascenseur, il y a au moins… une dizaines d'étages, et la femme habite à l'un des derniers.. Alors pas question que je prenne les escaliers. Je n'aime pas les ascenseurs, car à l'intérieur, je me sens particulièrement oppressée par le peu d'espace, exactement lorsque j'étais enfermée dans un placard bénie par Dieu, retenant mes forces démoniaques, ou bien lorsque les Warren m'ont enfermé dans leur vitrine pour me contrôler. M'enfin bref, je ne vais pas m'emporter, c'est juste un mauvais moment à passer, et j'arrive à l'étage en question.
Après plusieurs dizaines de minutes, j'ai pu remettre la poupée à la dame, qui m'a remercié de milles feux, et m'a bien donné un bonus. Un bonus qui suffit à me faire quitter le grand appartement avec un large sourire sur mon visage. Je glisse l'enveloppe dans ma petite bandoulière tout en entrant dans l'ascenseur, j'appuie sur le bouton de rez-de-chaussée, et je me pose contre une barre horizontale de l'ascenseur, tapent impatiemment mon pied contre le sol. Mais l'ascenseur s'arrête en cours de route, puisqu'une personne l'a appelé : Lorsque les portes s'ouvrent, un homme entre à l'intérieur. Je souffle silencieusement, il fait chier celui-là. Mais l'ascenseur reprend sans que je porte un seul regard sur cet individu. Brusquement, l'ascenseur s'arrête, comme-ci il tombait en panne, plus de lumière, et l'ascenseur est à l'arrêt. Ça a don de me faire réagir, car immédiatement, je pars appuyer sur le bouton de l'étage 0, ainsi que le bouton d'urgence, mais rien ne se passe. On dirait vraiment que tout le bâtiment est tombé en panne ? Ça me met particulièrement sur les nerfs, et j'appuie d'une manière plus conséquent sur les boutons en serrant des dents. "Je savais que j'aurais du prendre les escaliers !" Dis-je d'un ton frustré. Pas de ça ! Je refuse de rester coincée ici ! Comme-ci on me contrôlait de nouveau.
Oh Johnny ! Sacré Johnny ! Mon Johnny ! Mon frere de coeur ! Depuis un petit moment deja , ce mec et moi on s'était tellement bien dégoté. On était devenu proche au point que celui-ci connaissait mon ombre. Il était informé de mon plus lourd secret. : l'existence de Karen. Pour connaitre ce passage de ma vie , il fallait que je sois proche de cette personne. Je ne confiais pas mes tourments du passé a n'importe qui. Donc je pouvais confirmer que j'étais fan de lui. Je ne lui résistais pas. N'importe quelle route qu'il prenait , il savait que pour lui j'allais n'importe ou aveuglement depuis notre premier -rencard- . Rencard amical je précise, car même si celui ci n'avait aucune limite dans le choix de ses partenaires de coeur. Moi ma frontiere se limitait a toi . Toi qui a travers le temps et le monde, j'explorais tous les recoins , a ta poursuite sans te dénicher. C'était pour toi femme , que je fréquentais avec Johnny des lieux de fêtes. Et même sans lui , je cotoyais d'autres places animés par la gente féminine mais tu y n'étais pas.
Encore une fois c'était pour toi , que je m'étais joint a mon meilleur ami hier soir pour une soirée festive a la discotheque de la ville: le Scarlet . Cet endroit qui était un nid pour faire des rencontres avec un potentiel - amoureux- . Mais sans victoire, mes approches s'achevaient toujours avec un mot doux sur l'oreiller a l'aube. Un mot pour réveler qu'il n'aurait pas de prochains lendemains. Et surtout aucune conclusion. Mais personnne sauf mon amie Marlene qui avait des qualités de guérisseuse, était au courant de ma problématique du bas du bassin. Des soucis dont j'avais honte de discuter avec une autre personne qu'elle. Pour un enchanteur comme moi , c'était un scandale. Mais de son aide , je possèdais des suivis médicaux avec mon aide soignante , on cherchait un remede. Mais ensemble on espérait que mon tracas était de droit émotionnel. On aspirait que celui ci soit relier au fait que je désirais la - bonne- personne qui pourrait me faire ressentir de nouveau des pulsions entre les cuisses. Le conflit etait l'engagement - amoureux- . Ma crainte était de finir médicamenter comme les vieilles personnes, même si d'âge céleste : j'étais un senior.
Dans un espoir , Johnny et moi on avait cloturé la sauterie a un immeuble du quartier +de Baker Street l'une de nos rencontres nous avait invités a y passer la nuit dans son appartement . T'évitant les détails du crepuscule , dans l'apres -midi je quittais le logement sans mon acolyte , celui ci avait dut s'enflammer pour un autre projet . Moi je devais rentrer a mon domicile, car il fallait que je présente des nouvelles a ma colocataire car avec mes antécédents passés de fugitif : elle pourrait s'inquiéter. Même si elle savait que je vagabondais souvent en ville dans mes périodes de rute. Mais je voulais surtout éviter le sermon de la grande soeur de coeur.
Dans une apparence délabrée ,voici une description de mon allure : Chevelure enflammée peignée involontairement de maniere ébourrifée. Dans ce renouveau ma criniere d'hérisson, était devenue bouclée . Veston qui tenait sur mes épaules. Chemise couleur azure maladroitement boutonnée en jaloux .En queue de chemise ,mon pantalon était entre-ouvert laissant voir la marque et la teinte de mon calfouette. Moccassins en main, je vadrouillais dans une démarche ébrieuse dans le couloir direction l'ascenseur. Impossible pour moi de prendre les escaliers au risque de trebucher dans celles-ci . Trop fatigué , j'avais de la difficulté a mettre un pas en avant de l'autre. Et souffrant de myopie - être humain m avait abimé- ma vue n'était pas en état de se concentrer sur des tonnes de marches. L'élévateur était la meilleure option pour me déposer devant l'entrée de l'immeuble. De la , je pourrais me téléphoner un taxi . Écouteurs stéréos dans les oreilles , j'écoutais ma chanson du moment - avec la chance- elle te plairait peut-être et elle deviendrait peut-etre une de nos musiques. Dans un mouvement de tête et d'épaules , je me dandinais en coqueriquant les paroles , tout en guettant les portes de l'ascenseur. Apres plusieurs minutes d'attente, celles -ci s'ouvraient devant moi . Contrairement a toi qui exprimait l'indifférence . Un ressenti que je n'apprécie pas avoir conscience , car partout ou je passais je voulais qu'on s attarde sur ma personne. Envie de chouiner. Je ressentais ce besoin d' attirer ton attention, car je n'appréciais pas ce sentiment de rejet. Pour te taquiner, je continuais a fredonner mes paroles d'amour . Des paroles -legerement- modifiées car je m'associais toujours a des chansons: Surtout les quétaines ! Mets moi à genoux, Donne moi une gorgée de ta potion secrète, pour je puisse me faire tomber amoureux .Un sort qui ne peut être rompu. Une goutte devrait être suffisant .Chérie, je t'appartiens. Tu as trouvée la recette et ça s'appelle magie noire. Chantant me dirigeant vers le fond de la cabine pour mieux t'analyser et reluquer. Je faisais expres de t'agacer. Pour être plus vulgaire , dans tes pensées tu pourrais raisonner comme suit : Je faisais chier ! Est ce que j'aurais le droit a un juron ? Tu semblais préférer l'ignorance. Desespéré , face a cela, je décidais de me taire. Et taire la musique.
Adosser contre le mur du fond, juste derriere toi. tête légérement pencher sur le coté. Je me questionnais sur le fait que mon charme habituel et instanné n'avait pas opérer. Ce fait m'intriguait . Il avait surement une raison logique a ce rejet . Je ne pouvais pas être aussi moche que Natsu dans ce nouveau corps ! Toi ton corps était agréable a dévorer. Tu n'étais peut-être pas une princesse bombasse comme Lucy , mais tu possedais une beauté tenebreuse comme mon premier - amour- . Ma Karen ! D'ou l'attirance subite. Pendant que tu attendais avec impatience ton départ de cet endroit, moi je divertissais avec ta beauté.
Mais avec regret , je ne pourrais pas continuer a t'admirer car une secousse inattendue m'ébranlait. Un : - Oh! s'échappait d'entre mes lèvres. Je perdais legerement l'equilibre , qu'involontairement par la surprise je laissais l'emprise sur mes souliers. Ceux ci tombaient sur le sol dans un bruit lourd. Pour me tenir s'aggripait solidement au passage un morceau de ta tenue par reflexe.
L'ascenseur était a présent en panne. Une seconde j'aurais pu croire que c'était la faute de Johnny car sa présence attirait les pires castatrophes. Mais un instant plus tard , je pensais a une manifestation de mon - Pere Céleste- le Roi mais il était un peu tard pour s'invoquer devant moi . J'avais perdu espoir de retrouver les miens et de retourner chez moi. J'avais du m'adapter a cette vie humaine. J'avais du faire mon deuil de ma vie céleste. Mais les bavardages de la ville offrait un mince espoir . Un souvenir de notre vie d'antan. On racontait que certains avaient retrouver leur magie .
Moi je languisais pour ravoir la mienne, car ma photokénésie - Regulus- aurait été utile face a notre situation car on était a présent dans une pénombre totale . Une étincelle aurait été suffisante , j'aurais pu me rassurer , car je craignais t'avoir mis la main aux fesses en harponnant ta tenue , quand tu t'étais avancer pour t'acharner avec colere sur les touches secours de notre cage. Est-ce que je devais m'attendre a une claque ? Sans doute que oui ! Mais toucher a une parcelle de toi , créait une reaction organique dans le bas de mon corps. Miracle , penserait Marlene. Mais pourquoi toi ? Un mystere de la vie , non résolu. A ce moment la , je priais pour que les lumieres restent éteintes, pour eviter un malaise cocasse. Pour te distraire face a ce détail..
Dans l'action pendant que tu pestais contre l'événement : Je savais que j'aurais du prendre les escaliers . Repliquant : Ca aurait été dommage! Je n'aurais pas pu faire votre connaissance et venir en aide a une belle demoiselle en détresse. Chevaleresque. Ma voix a cet instant était devenue différente. C'était cette voix que j'utilisais pour me donner de l'assurance mais aussi pour draguer . Et la je faisais un peu les deux ! Si vous me laisser telephoner , j'ai l'homme de la situation pour nous sortir de cette prison. J'appréciais avoir le controle sur la situation . Ca compensait pour la situation incontrolable de mon corps face a cette femme. Il ne fallait surtout pas qu'elle remarque que ma condition ressemblait a un epsiode de - sex education-. Mes pensées s'acheminaient vers Natsu, le héro de toutes les situations critiques. Mais je ne pouvais pas garantir les dégats pour nous sortir de la. Pour moi Natsu etait le maitre de la destruction. Mais il ne devait pas nous libérer toute suite . Il le savait que je l'enleverais bouler quand j'étais en bonne compagnie. Surtout cette compagnie la était une femme divine. Elle avait creer un miracle dans mon calecon. Telephone tombe en panne toi aussi..
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Loke Lionstar le Lun 20 Juin - 0:54, édité 1 fois
Peu importe le comportement qu'entrevoit l'individu qui pénètre à l'intérieur de la cabine d'ascenseur, je ne me laisse en aucun cas distraire par ce type. Mon esprit est bien trop occupé pour réagir à son chantonnement qui n'atteint même pas mes oreilles, ou encore de son regard déplacé qui me reluque. Ouais, mon esprit se sent déstabilisé par le peu d'espace qu'offre cet ascenseur. Je croise délicatement mes bras sous ma poitrine, et je taponne doucement mes pouces contre mes bras pour essayer de m'occuper, signifiant que quelque chose me stresse. Durant mon existence, on m'a enfermé, on m'a scellé dans des endroits clôt bénie par Dieu, car ma présence démoniaque fut trop dangereuse : Oh, mais ils n'ont pas eu tord, je suis dangereuse, mais j'ai toujours trouvé le moyen de sortir de mes cages pour propager de nouveau le mal et la peur dans l'atmosphère. Mais il faut croire que dans cette vie, j'ai gagné le droit d'être claustrophobe : quelle plaie ! Ça me rend particulièrement sur les nerfs, et j'ai les yeux rivés sur les étages qu'indique l'ascenseur n'ayant qu'une hâte, c'est d'arriver au bout de ce tunnel pour que je puisse sortir de cet ascenseur.
Une légère secousse survient subitement, signifiant que l'ascenseur s'est arrêté ? Une panne ? Je sentis pas la même occasion que cet individu s'était agrippé à moi. Ça a pour don de me faire froncer les sourcils, et je fais en sorte qu'il lâche prise dans un geste violent du bras. Mais je ne jette absolument aucun regard en sa direction, et je lui dirige aucune parole vers lui. Je l'ignore totalement, qu'est-ce que j'en ai que faire de ce gars ! Il a certainement pris la plus mauvaise de ses décisions en prenant l'ascenseur maintenant ! Il suffit que je me mette en colère, pour pousser mes pulsions meurtrières en marche. Même si je n'ai plu ma puissance démoniaque en moi, mes petites mains féminines pourront faire l'affaire ! Mais là, je n'ai qu'une envie, c'est de sortir de cette cage, je prie intérieurement que la panne ne dure que quelques minutes. Je prie moi ? Maintenant ? Oh non, je ne prie pas Dieu, je ne vais pas me rabaisserai à ça. Il fait plutôt sombre, car la lumière de l'ascenseur s'est éteinte suite à la panne.. Il ne fait pas non plus complètement obscure, mais la vision est terriblement limité. Je sens alors que quelque chose m'effleure l'arrière-train ? Vraiment ? Je me mordille la lèvre inférieure, même si au fond, je m'en fiche. Pourquoi je devrais me mettre en colère ? Qu'il touche mes fesses ou mon épaule, c'est pareil : un corps humain pour moi, tout est pareil, je ne fais pas de différence. Mais, j'espère pour lui que ce n'était pas volontaire, car j'aime pas qu'on me touche quand même, un regard noir se dirige donc vers lui. "Tu ferais mieux de rester à ta place, et de te faire tout petit." Je m'adresse donc directement à lui d'un ton sec, montrant mon côté désagréable et autoritaire, mais ma claustrophobie reprit le dessus, ce qui me retient de lui foutre une droite : je ne me sens pas à mon aise, j'ai exactement la même sensation lorsque je me suis retrouvée emprisonnée : sans défense, vulnérable. Alors ce type, il a intérêt à faire attention à ce qu'il fait.
Je me presse d'appuyer sur les boutons de l'ascenseur, mais évidemment ça ne marche pas ! J'ai beau appuyer rapidement sur le bouton, l'ascenseur ne va pas se remettre en marche comme par magie. Je panique ? Non je ne panique pas. Je sens juste mon cœur qui s'accélère ! "Venir en aide de quoi ? T'es coincé comme moi." Dis-je de nouveau d'un ton sec en répondant à ses paroles puériles, alors que je continue désespéramment à appuyer sur les boutons, mais sans succès. Venir en aide à une femme en détresse, mais quel abruti celui-là. Plus les secondes défilent, plus je me sens mal au fond de moi, me sentant oppressée par le peu d'espace. Je veux sortir de là dans la minute qui suit, sinon mes nerfs vont lâcher, c'est insupportable. L'individu émet l'hypothèque qu'il a l'homme de la situation pour sortir de cette prison. Ca me fait limite grogner, car il mentionne "prison" dans sa phrase. Mais ce type me rend juste plus nerveuse ! Pourquoi faut qu'il dise "prison" cet imbécile. "Mais ta gueule !!" Dis-je en haussant le ton montrant ainsi mon instabilité psychologique. J'abandonne, je n'appuie plus sur les boutons de la cage comme une idiote, cela ne mène à rien. Je me glisse contre la parois de la cabine, finissant pas poser mes fesses au sol. Je me tiens la tête, en espérant que les paroles de ce type ne soit pas en l'air, au fond, j'ai envie de vraiment croire qu'il a l'homme de la situation. "Tu connais quelqu'un qui pourrait nous sortir de là comme par magie ? Bah vas-y." Dis-je comme-ci je donnais un ordre. Pff, mais je n'y crois pas tellement, il va ramener un magicien peut-être ? "Je veux vite sortir de là, je suis claustrophobe." Finis-je par avouer à l'individu, peut-être que parler à quelqu'un, ça peut m'aider à faire abstraction de ce détail. J'ai surement plus besoin de me défouler, c'est plus dans mes gènes. Bon sang, pourquoi cela m'arrive à moi ? J'aurai préféré éviter ça.
J'avais certainement pris la plus mauvaise des décisions en prenant l'ascenseur maintenant , tu pensais. Mais détrompe toi , c'était le meilleur choix a prendre. En tant qu'époux de mes pensées spirituelles et avec la mésaventure hormonale qui s'était produit a ton contact comme preuve. Souvient toi de mes mains déposées sur tes fesses avaient creer une réaction a l'endroit de mon jardin secret, était pour moi un signe du destin, car depuis la malédiction écarlate, je souffrais d'un maux d'impuissance. Une émotion qu'on partagera , sans aucun doute, vu la situation qu'on devait confronter ensemble. On était impuissants , car on était coincé dans un ascenseur en panne . Vunérable sans magie. Dépouillé de notre nature qui aurait .été d'un grand secours. Prisonnier avec nos tourments, car cet endroit clos nous concentrait sur nos tracas , Denudé par la faute du sortillege de la lune. Mais dans un court espoir , tu avais comblé un vide . Mais c'était avant que tu ruines l'effet . Mais il fallait que tu le fasses car je craignais le malaise qu'une érection aurait pu creer si tu étais apercu que te reluquer - sans ton consentement- et t'effleurer était la cause d'une activité perverse dans le bas de mon corps.
Ce corps qui demandait qu' on le désire par amour . Et non seulement par une attirance ephemere. Mais si j'aurais percu le mordillement de tes levres, ma peur de devoir de te confronter aurait baisser d'un cran, car pour moi c'était un indice que tu aurais apprécié notre intimité. Mais avec le peu de luminosioété dans la - piece- je n'avais pas vu cette réaction de ta part. Je preferais donc me taire sur le sujet , surtout que tu me repoussais d' 'un mouvement de bras ce qui me faisait lacher prise du morceau de tissus que j'avais aggrippé- involontairement- pour m'empecher de m'écraser contre le sol a cause des répercussions de la panne de l'immeuble. Culpabilisant pour diverses raisons comme par tes expressions faciales , ton geste , tes paroles mais surtout par le ton autoritaire de ta voix . Ce timbre qui rememoirait l'existence de Karen. Intimidé et terrifié par ta replique car cette parole aurait pu sortir de la bouche de mon ancienne -maitresse- et j'aurais dut rester a ma place car il lui était arrivé malheur. Et je ne souhaitais pas revivre ce cauchemar avec toi.
Tu ferais mieux de rester à ta place, et de te faire tout petit. Tu avais raison je devrais m'excuser de mes comportements déplacés pour avoir ton attention. Une attention que n'avait pas réussi a avoir. Tu avais raison mes comportements étaient lourds. Je devais prendre la situation avec sérieux surtout si je ne voulais pas qu'on me punisse d'une claque ou autres punitions coleriques, comme tes mains autour de mon cou. Trop souvent , j'étais victime de maltraitance par mon comportement intense . Le pire était que mon penchant était attiré par les femmes au caractere destestable. Me reculant de ton atmosphere. Avalant de travers ma salive. Dans un murmure je te disais : - Désolé
Mais dans une derniere tentative de tentation , je profitais de ta perche pour flirter avec toi , mais aussi de prendre la situation en main d'une facon maladroite , car tu m'ordonnais de me taire. A cet instant, je croisais les bras m adossant contre la parois du fond de l'ascenseur. Je te laissais exprimer tes pensées Venir en aide de quoi ? T'es coincé comme moi.
Ne pouvant pas ressentir tes ressentis , meme si a une époque je pouvais ressentir quelques auras par ma nature d'esprit stellaire. Je t'observais et je remarquais certains détails physiques qui me décrivait ton état . Ton attitude avec moi n'était pas en réalité ma faute , mais celle de la réalité. Ce n'était pas le fait que tu étais coincé avec moi , le problème comme je croyais au début. Mais le fait que tu sois encabanée dans un endroit clos. Mais tu avais raison sur un point, impuissant en - humain- . Toi et moi on était bloqués dans un ascenseur en panne. Et je ne pourrais pas être le héro de la princesse en détresse, comme je l'étais avec ma Lucy , mon ancienne maitresse , car je n'étais plus celui que je devais être. Je n'étais plus Léo du Lion . Je le regrettais ! Sous un vent de colere , je t'exposais ma frustration . J avais parfois des bulles depressives . - Vous avez raison . Je suis inutile dans cette situation et dans ce monde. Je suis qu'un humain incapable de faire mon devoir céleste celui de proteger. Autrefois, j'aurais pu nous sortir ici par ma magie. Désolé. Maudit soit cette lune ! Je venais t'avouer par imprudence ma véritable nature. Celle que j'étais un être particulier: une entité.
Malgré mon amour pour l'espace , je maudisais l'astre. Et vu que j'étais devenu un etre médiocre je confiais mon rôle - hero- au véritable héro : Natsu. Mais avant que tu m'avoues ta faiblesse , je souhaitais que la salamandre ne soit pas l'homme de la situation en réalité , car dans toutes les histoires connues de sauvetage de princesses c'est toujours - le brave- qui récolte l'affection de la femme a la fin . La preuve avec Lucy. Il n avait pas encore découvert qu'elle avait de l'intéret pour lui . Et lui n'avait pas réaliser que ses sentiments étaient complémentaire avec les siens. Et moi dans cette histoire , il avait juste le chat qui ronronnait la lettre de R du mot amour qui avait saisi les émois de mon coeur pour la Miss. Aujourd'hui mon ami n'était plus mon rival . J'avais renoncé a Lucy. Mais je possédais une hantise que s'il venait a notre rescousse que je sois encore - le perdant- . La competition je haissais ca. J'avais tendance a lacher prise quand il avait rivalité. Mais pourquoi ressentir cette trouille alors qu'on ne se connaissait - a peine- ? A ton contact , je désirais deja que tu sois mienne. Quand je voulais quelqu'un c'était toute suite, je ne savais pas attendre. Je te convoitais aussi car fataliste, je croyais au destin.
Sortant mon téléphone portable d'une de mes poches arrieres de mon pantalon. Appareil en main, je cherchais dans mes messages de ma soirée d'hier, l'adresse de l'immeuble ou on se trouvait pour la mémoriser et ensuite la communiquer a notre -sauveur- . J'écrivais un texto a celui-ci lui expliquant la situation. Envoyé . En même temps, tu t'abandonnais a ta phobie. Tu laissais percevoir ta vunérabilité, avec ton desespoir en m'ordonnant - attitude que je connaissais trop bien- pour être un esclave des humains depuis longtemps. - "Tu connais quelqu'un qui pourrait nous sortir de là comme par magie ? Bah vas-y'' T'ayant deja devancée je rangeais mon appareil telephonique a sa place, toujours a une poche arrière. Ensuite je repondais a ton interrogation, tu voudrais - peut- etre - connaitre le prénom du magicien. - J'ai envoyé un texto a mon ami Natsu. Vous pouvez avoir confiance il vient toujours a la rescousse de ses copains . L'amitié c est sacré pour lui. C etait sa force magique autrefois. Et même sans magie , il trouve toujours une solution a tous les problemes.
Le hic dans notre aventure c'est que je ne savais pas que lui et toi , vous êtiez deja croiser auparavant dans un autre moment. Pour te rassurer car je voyais que tu étais en train de dijoncter, car tu balancais que tu souffrais de clautrophobie. Touché par cette revelation, je pardonnais a cet instant toute -ta dureté - a mon egard. Je comprenais mieux ta conduite. Mais..
Oh par le Roi Céleste, est ce que je serais a la hauteur de prendre soin de toi ? - Il devrait arrivé rapidement. Je vous le promets. Parlant de Natsu. Je le souhaitais, car a cet instant mon bien être n'avait plus d'importance. Le tien prenait toute la place. Je faisais toujours passer les autres en priorité, oubliant que parfois je devais être égoiste pour trouver le -bonheur- un jour. Mais cette fois je ne devais pas rejeter mon ami seulement parce que j'étais en présence d une demoiselle qui me plaisait physiquement.
En attendant que - le magicien- se pointe, je quittais mon coin pour me rapprocher en douceur de toi. A présent debout devant toi ,par reflexe que la situation était sérieuse de deux doigts je remontais ma paire de lunettes sur mon nez. D'un sourire léger par la minute suivante, je retirais ma veste - favorite- de mes épaules. Mon veston d un teint vert olive avec de la peluche comme contour au capuchon. Cette veste qui pourrait -parler- a ta narractrice. Me penchant vers ta personne, je passais mon manteau entre le mur et toi pour te couvrir de celui -ci. C'était un geste rassurant. Ce n'était pas pour proteger de l'ambiance hivernal. Même si tu pouvais te réchauffer avec le vêtement enemmitouflant dans celui-ci. Ce cache-misere, était une cape pour te préserver des ondes négatives que représentait cet endroit. Pour t'éloigner du mal. J'espérais que sans un mot de ma part , tu captes mon intention de vouloir veiller sur toi. D'être présent en étant a tes petits soins. Même si on était deux étrangers l'un pour l'autre , je considérais que tu faisais pitié recoquillée sur toi-même. Cette pitié me donnait envie de te caliner, mais tu m'avais demandée de garder mes distances. Dur de résister quand , tu sais que tu étais une personne tactile.
A présent, je déposais a mon tour mes fesses contre le sol a tes cotés. Légérement nerveux d'approfondir notre rencontre. Espérons que mon corps ne le démontre pas . Il fallait que j'évite les situations honteuses. Sinon ma séduction et mon ego allaient en prendre un coup. Mais attendre la salamandre , était l'occassion parfaite pour faire d'avantage ta connaissance. Enfin si tu avais envie de me parler . Me parler de toi , je préférais qu'on se concentre sur toi. Moi je voulais garder un peu de mystere , technique de séduction. Donc peut-etre que discuter pour te divertir te ferait oublier ton mal être. Mais comment t'aborder sans tu pognes les nerfs sur moi . - Au faites, on n'a pas fait les présentations, moi c est Loke mais mon entourage me surnomme Loki et vous, vous avez un prénom ? Tout en te posant la question, tu pouvais entendre le bruit métalique de ma ceinture. J'étais en train de me remettre en beauté pour toi ? Peut-être. Mais en réalité c'était pour etre présentable devant Natsu car il pourrait se faire des idées sur toi et moi a son arrivé vu mon apparence peu alléchante. Ne voulant pas être intépréter comme un pervers même si notre début de contact avait été cocasse. Je devais aussi re-boutonner ma chemise correctement : - Ne vous inquietez pas . Ne prenez pas peur je veux etre présentable quand notre sauveur arrivera car il pourrait se faire un film dans sa tête. Et me connaissant , il pourrait penser que vous et moi on a fait l'amour dans l'ascenseur en l'attendant ce qui n est pas le cas. Et vous êtes devez avoir un homme dans votre vie. Belle comme vous êtes c est sur vous avez un petit ami. A la derniere parole mon ton se modifiait. Je prenais encore une fois ma voix de séducteur. Mais ta gueule Loke , elle t'a dit de garder tes distances, j allais encore tout faire foirer. Pourtant l'approche de compliments fonctionnait parfaitement dans mon ancien monde sauf sur Erza ma coloctaire.. C'était a se demander si les femmes ne l'attirait pas. Mon charme n'opérait jamais sur elle. C'était a se poser des questions car l'idée de ne pas être de son gout ne m'avait jamais effleuré l'esprit. Espérant que sur toi cet interet t'envoute. Est ce que j'étais assez divertissant pour que tu oublies cette panne épouvantable ? - Désolé je m'emballe il ne faut pas m'en vouloir j'angoisse un peu . Que je te disais de ma voix habituelle. Sans te donner de la véritable raison de mon stress. Cet instant me rappelait la fois ou j avais invité Lucy a aller au restaurant. Je faisais les premiers pas vers elle , puis me rectifiait dans mon effort , me justifiant. A cet instant je voulais fuir ...Mais j'allais me prendre des portes closes. Et j allais finir étaler comme une carpette sur le sol. Et cela ne devait pas arriver, on ne pouvait pas etre vunerable tous les deux.
Ce type ne réalise pas qu'il se trouve coincé avec le mal incarné. Si l'envie me prends, je le tue sans aucun remord, et aucune hésitation. Après tout, c'est surement la meilleure activité que je trouve, qui pourrait me faire passer le temps sans penser une seule seconde à ma claustrophobie : C'est sur, en me défoulant ainsi, ça m'occuperait l'esprit. Désolé ? Je ne que faire de son désolé, j'espère simplement pour son bien, et sa sécurité, qu'il a compris qu'il ferait mieux de garder la distance avec moi. Je n'aime pas spécialement les inconnus un peu trop collants. En tout cas, je lui donne aucun signe de pardon contre son geste déplacé… Je cherche pas non plus à comprendre si cela s'est produit maladroitement ou non. Je lui fais ensuite comprendre que son manège de chevalier servant est juste ridicule, et que cela n'a aucun effet sur un démon. M'enfin, je l'aide à prendre conscience qu'il est exactement dans la même situation que moi, non ? Sinon quoi ? Il va ouvrir la porte de l'ascenseur à la seule force de ses bras ? Tiens donc, j'aimerais bien voir ça, juste pour rigoler un bon coup. Il arrive à attirer une certaine curiosité de ma part, lorsqu'il mentionne "humain incapable", "devoir céleste" ou encore "magie" : beaucoup de suppositions qui laissent à penser qu'il n'est pas qu'un humain ? Néanmoins, moi je crois que ce que je vois ! "T'es entrain de me dire que t'es un ange peut-être ?" Étant démon, je ne porte pas vraiment les entités célestes dans mon cœur, ce sont clairement mes opposés en tout point.
En tout cas, je reste recroquevillée contre la parois de l'ascenseur, attendant juste une chose, que l'ascenseur redémarre. Je crois que je ne vais plus jamais reprendre l'ascenseur, même si je dois monter des centaines de marches, je le ferai ! En tout cas, je passe un mauvais moment, clairement, je déteste me sentir impuissante. Lui il affirme avoir quelqu'un pour nous sortir de là, qu'il se fasse plaisir, et appelle son magicien. Un Natsu apparemment, j'espère qu'il n'est pas aussi idiot que lui, et qu'il peut défoncer les portes d'ascenseur, sinon, je ne vois pas comment ce Natsu peut nous aider. Au vu de mon expression, je donne l'impression de ne pas croire à son appel, et que sa tentative est juste vouée à l'échec ! "J'espère que tu lui as dit de se ramener avec une tronçonneuse, ou un marteau piqueur !" Dis-je avec une touche d'humour, montrant ainsi que je ne le prenais pas vraiment au sérieux. Mais si jamais il venait à réussir à faire démarrer l'ascenseur, je serai la première heureuse, et je me jetterai dans les bras de ce Natsu pour le remercier !
En tout cas, j'essaie de tendre l'oreille, pour essayer d'entendre des voix de l'autre côté de la porte métallique. Sait-on jamais ! Une fois de nouveau le silence installé, je ne prends plus la peine d'adresser la moindre parole à ce type, il devrait comprendre que je suis pas quelqu'un de loquace, et que je préfère qu'on me fiche la paix, si je ne décide pas autrement. Mais visiblement, il n'a rien compris ! Il continue à me faire chier, en me coltinant sa veste puante sur le dos. Il s'impose trop, il m'étouffe plus que ma claustrophobie ! Je ne semble pas greloter, et au contraire, à force de stresser et d'angoisser à cause de mon problème, ça me rend juste bouillonnante.. J'ai le crâne qui chauffe, portée par mon angoisse. Alors, sa veste me gêne. "Mais tu me prends pour quoi au juste ?" Dis-je d'un ton sec, en agrippant sa veste et la lui balançant celle-ci dans la tronche. "Arrête de jouer ta comédie, ça ne fonctionne pas sur moi. Je suis loin d'être une petite princesse écervelée." Je n'ai jamais été la meilleure pour socialiser depuis que je suis arrivée dans cette ville. Ma mature démoniaque fait partie de moi, mon air hautain, ma méchanceté et mon arrogance font partis de mon ADN démoniaque. D'autant plus que je le suis bien plus, lorsque je suis sur les nerfs et stressée. Je me décale légèrement de lui par la même occasion, alors qu'il est assis à mes côtés : au moins peut-être il va rester tranquille pour un moment. L'ignorant, je saisis l'une de mes longues couettes, la posant sur l'une de mes paumes de main, je passe mes doigts entre mes mèches, pour occuper mes mains.
Maintenant il fait les présentations, et j'ai très envie de lui dire que je n'ai pas nom ! Néanmoins, simplement discuter, m'occupe l'esprit, au final, il peut être utile, tant qu'il reste gentiment assis. "Annabelle" Et voilà, je n'ai pas grand-chose d'autres à dire. Prendre peur ? Ça me fait légèrement grincer des dents.. Un démon n'a jamais peur. Ça me répugne au fait qu'il rabaisse sans cesse mon égo et mon arrogance… Surtout l'être supérieure que je suis. Du moins, je crois qu'il doit penser que j'ai peur, parce que nous sommes coincés, je ne comprends absolument pas son charabia du film là, mais ce qu'il dit par la suite me fait sortir de mes gonds. Il est osé ce type. "J'ai pas peur ! Mais qu'est-ce que tu racontes ? Il faut effectivement arrêter de croire que t'es un dans un film de boules, redescend sur Terre l'être "céleste" Dis-je en accentuant le terme céleste. Je vais finir par croire que ce type n'est qu'un pervers. "S'il me connaissait, ton pote, il saurait que ce n'est pas mon genre... Un petit-ami ? Non, j'ai pas d'esclave." Dis-je en paraissant sérieuse dans mes propos. Un petit-ami ? Il parle d'esclave non ? C'est comme-ça que ça se passe sur les Terres Infernalles. En tout cas, j'ai très bien entendu qu'il m'a complimenté de "belle", mais ce genre de compliment n'a aucun effet sur moi. On ne dit pas à une entité démoniaque qu'elle est belle… Un démon ce n'est pas beau, mais juste cruel, méchant et malveillant. En tout cas, je continue à passer mes doigts dans ma couette, ne prenant pas la peine de jeter un seul regard vers lui. Faut pas t'en vouloir ? Je t'en veux pour déjà pas mal de choses, en à peine 20 minutes : c'est beaucoup. "Tu sais ce qui pourrait me plaire chez toi ! C'est ton âme, et uniquement ton âme !" Je finis par porter un regard mystérieux vers lui, s'il veut autant avoir de mon attention, il peut me vendre son âme. Oh, ça se fait pas comme ça, dans un ascenseur, pour ça, il faudrait qu'on se voit dans un lieu mieux adapté. Ainsi, son âme m'appartiendra ! J'ai l'impression que ce type se laisse facilement mener par le bout du nez ! Trop facile, s'il suffit juste d'être une femme pour ça.
Déséquilibré par ta présence. Comme tu le pensais, j'étais en train de t'embêter et tu avais les nerfs acérés envers moi,peut-etre a cause de la situation. Peut etre a cause de moi. Tu souffrais deja de ma présence depuis vingt longues minutes . D'ou le fait que tu étais désagréable ! Mais je te pardonnais a cause de la révélation de ta clautrophobie. Mais dans certaines situations, comme - celle qu'on s'imaginait tous les deux a propos du fameux magicien- Kirby pour toi- un conflit s'imposerait entre nous. Nous , des vieux amis qui se confrontaient sur le plan - chasse- . Je ne pourrais pas endurer qu'il devienne le - hero- récompensé pour notre sauvetage. Une reaction de ta part envers lui me renderait - mauvais- . Surtout que Lucy était -presque- deja sienne. Il manquait seulement de l'assumation pour les deux. Donc je devais expulsée mon hantise au loin. Et je devais me dépêcher a faire de toi : mienne, car le pardon de Natsu ne serait pas a porter de mains. Contre ma volonté mon ami était lègerement un ancien rival , même si j'avais délaissé la -partie- avec Lucy. Et que finalement je souhaitais que leur couple devienne réaliste. Mais pour toi , je ne voulais pas d'un - game over-. Même si tu pouvais m'assasiner d'un remous de chevelure. Référence a ton doigté dans ta crinière.
Tu étais difficilement approchage. Tu avais du mal a me supporter, car ma personnalité était difficile a tolorée, je te l'accordais. Mais tu devais m'accepter comme j'étais. Mais qui j'étais ? Une découverte que je t'apprétais a découvrir avec ta question : "T'es entrain de me dire que t'es un ange peut-être ?" Tu étais proche de la vérité mais encore loin de cerner ma- nature-. Je n'étais pas un - ange- enfin physiquement j'étais -divin- mais je n'avais pas l'apparence de l'invocatrice de Soprano. Mais tu étais sur le bon chemin en mentionant ce -mot- car tu mentionnais symboliquement - des cousins d'artefacts -. Mais ne voulant pas te perdre dans des explications sur les diverses créatures que certains mages sont capables d'invoquer. Des informations que tu trouverais ennuyeuses, sans aucun doute . Je décidais de faire court pour te répondre : - Non je ne suis pas un ange, je suis une constellation. Je suis Léo du Lion, esprit du lion. Est-ce que cette révélation allait altérer ton opinion ?
Nous constellations , nous sommes ce que nous sommes. Lors de notre création, nous avons subi un rituel, par qui ? Je ne souvenais pas de mon créateur. Mais celui ci a choisi que nous serions des êtres qui faisait de nous des êtres au caractere particulier, ayant certains traits amplifiés. Pas de chance pour toi, moi c'était ma- facette amoureuse- qui avait été infectée par l'intensitée. Donc en ta présence , je me comportais avec une vif énergie., pour ton attention. Incapable d'exaucer ton voeu de rester tranquille dans mon coin , le temps de la situation se règle et qu'on reprenne le train de nos vies. Je t'offrais une mauvaise image de ma personne. Incapable de me comporter comme un -être- sain d'esprit. Est-ce que je l'étais? Moi -même je me posais souvent la question ! Mais aucune reponse répondait a cette interrogation.
Naif , je ne captais pas tous les signaux qui démontrait ta nature de démone. Et avec regret , dans mon univers , je n'avais pas eu l'opporturnité d'en croiser - beaucoup- car mon père Céleste - nous- avait recommandé de se méfier de certains. Pour plus de précision , ceux de la Guilde clandestine de Tartaros. Une guilde de demons gouverné par une vieille connaissance du Roi Céleste. Mais je savais qu'il existait un peuple de demons sur une ile. Loin des regards de la Guilde: Curieux. J'avais courtisé quelques diablesses. Et celles-ci possedaient que l'apparence maléfique, rien de bien méchant. D'apparence ,la tienne etait trompeuse donc je ne réalisais pas que je me retrouvais en présence du -mal incarné- et que - vunérable- entre tes délicates mains, ma vie était piégée. Je n'avais pas conscience que c'était moi la poupée que tu pouvais chiffonnée. Que tu pouvais même déchiqueter en lambeaux. Mais tu n'avais pas encore passée a l'acte. Malgré tout, tu étais patiente. Mais si je pouvais me permettre si tu désirais m'éliminer, car j'étais -trop épuisant - pour toi : arrache moi le coeur pour que symboliquement, il batte pour toi dans le paume de ta main. Mourir -amoureux- était la meilleure fin de vie que je pourrais vivre. Mais est-ce que tu étais vraiment ce que tu prétendais être le -pire fléau- que ce re-nouveau pourrait connaître ? Ou tu serais comme le mal de mon univers , une mechante qui pourrait se repentir de ses pêchés ? Pour moi la frontière entre lumiere et tenebre n'existait pas , car nous avons tous une raison de faire du mal. Et moi cette cause était l'amour. L'amour est une tentation aguichante et dangeureuse.
Dans le feu de l'action, tu me balancais en plein tronche mon manteau . La lune écarlate m'avait peut-être dépourvu de ma nature céleste , de mes pouvoirs et le reste. Mais pas de mes réflexes de combattant . Aggripant en plein vol d'un mouvement de main , ma veste qui dégageait aucune mauvaise odeur détrompez-vous ! Si tu l'avais reniflée tu aurais peut-etre trouver la fragrance a ton gout. Mais j'espèrais que le parfum avait accomplit son oeuvre en s'imprégnant sur ta personne. Comme les félins, il fallait que je détermine mon - territoire-. Mais légérement décu , j'aurais souhaiter que tu prennes possession de mon veston. Mais tu ne désirais pas mon offrande. Tu voulais me démontrer que malgré ta faiblesse et ton -petit - gabarit , tu étais une femme - forte-.
Dans le scénario , tu me neutralisais avec tes mots. ''J'espère que tu lui as dit de se ramener avec une tronçonneuse, ou un marteau piqueur '' Sourire en coin a cette replique. Tu avais un humour cassant. Non le message texte , ne faisait pas mention de venir nous secourir avec un arsenal de guerre. Mais avec Natsu il fallait s'attendre a tout, c'était un expert en destruction. Voyant sur l'expression de ton visage , que tu avais de la méfiance a mon égard. Tu - semblais- me prendre pour un homme - faible- . Non vexé par ce ressenti , mais ce que ton attitude me démontrait était déplaisant. Mais ton humour m'exprimait peut-être le besoin de te faire rassurer car contrairement a moi , cet ascenseur etait ta prison. Débile , moi j'appréciais notre sejour - intime- dans cette cage. - Mon ami est maitre dans la destruction . Ne vous inquietez pas il aura l'arme parfaite pour nous preter main forte.
En train de revetir ma fourure- manteau- pour mieux comprendre la métaphore . "Mais tu me prends pour quoi au juste ?" Question interressante. Les mots se bousculaient dans mes pensées. Confus , je me sentais impuissant face a ce piege que tu me tentais. Et je ne voulais surtout pas formuler une connerie pour empirer la situation. Dans un bon temps, involontaire tu me sauvais les miches en repliquant. ''Arrête de jouer ta comédie, ça ne fonctionne pas sur moi. Je suis loin d'être une petite princesse écervelée. ''
Princesse écervelée, était un mot qui avait effleurer mon esprit.pour te décrire. Mais tu avais raison je te traitais comme une - Princesse-. J'agisais de la -même- maniere avec Lucy mais mon amie était véritablement une bourgeoise. Mais difficile de ne pas te considérer comme une royauté, vu ton apparence de poupée. Tu étais tellement - mignonne- que n'importe quel homme agirait de la sorte avec toi. Ton image n'était pas a ton avantage, si tu désirais qu'on te traite autrement. Mais tu n'avais pas tord avec Lucy et les autres femmes , je me croyais acteur d' une comédie romantique. Mais tu ne semblais pas fan des comédies de filles. A ce moment la , je me remettais en question. Comment voudrais tu que j'agisse envers toi ? Il était impossible pour moi de te demander cette question. Elle était trop gênante. Mais peut-être un jour , je découvrirais ton genre de films pour y jouer un rôle qui te plairait dedans. Mais a mon oreille, ta parole decelait un double sens qui m intriguait, faute du mot -loin- qui sonnait comme si tu avais envie de m'avouer une information sur toi. Et si tu n'étais pas une - Princesse- tu étais quoi . Je ne pouvais pas laisser planer un moment mystérieux. - Alors si vous n'êtes pas une Princesse vous êtes quoi ? A cette question, tu me releveras -peut-etre ta véritable nature- pour que je capte -enfin la vérité-. Et que j'en apprenne d'avantage sur mon béguin. Ce coup de tonnerre du prénom d'Annabelle. Un prénom que je chérirais. Un prénom que je ne confonderais pas avec un autre.
Toujours assis a tes cotés malgré la distance qui nous séparait. Ceinture bouclée. Esssayant de boutonner ma chemise d'une méthode adéquate, impossible d'accomplir cet exploit car ta conduite de succube me déconcentrait. Tes cajoleries dans ta toison me séduisait. Pervers , mes pensées se concentraient sur tes mains occupées. Me mordillant la levre inférieure, je me projetais dans un mirage, celui ou tes mains cessaient leur occupation pour venir se poser sur moi. Je m'imaginais tes mains s'emparer de ma personne pour accueillir de tendres caresses. Osé ce type, tu m'avais -parfaitement- cerné. J'ai pas peur ! Mais qu'est-ce que tu racontes ? Je te racontais l'effet que je chopais certaines filles quand je me comportais avec un comportement déplacé. Certaines demoiselles réagiraient mal en présence d'un mec qui batifolait avec sa ceinture. Mais toi tu me rassurais en me disait que tu ne craignais pas les satyres. Il faut effectivement arrêter de croire que t'es un dans un film de boules, redescend sur Terre l'être "céleste" Tu insistais sur le -theme- céleste, ce qui m'arrachait des lèvres un sourire en coin. Redescendre sur terre en ta présence était compliqué , car la réalité était que j'étais chaud a cause de notre rencontre. Et je n'avais qu'une envie t'emmener dans mon monde spirituel. Donc non merci pour la descendente sur terre.
"S'il me connaissait, ton pote, il saurait que ce n'est pas mon genre... Contradictoire. Un instant, je ressentais un espoir que tu pourrais être mienne, quand tu m'allumais avec des images sensuelles de toi. Oui , le tripotage de meches de tes couettes me faisait de l'effet. Tu me donnais aussi de l'espérance , quand tu me confiais que tu ne craignais pas les hommes lubriques. Mais la seconde d'apres, tu me trompais. Mais pour toi c'était peut-etre juste un effet : une forme de résistance. Mais sache j'étais tenace avec les femmes qui me faisait croire qu'elles étaient inaccessibles. Mais je me fourvoyais souvent sur leurs intentions aussi. Je devais faire attention a ma perception ! J'étais le genre de mec a me faire des tournages de films dans mes pensées.
Dommage pour la requête discrête. Je n'étais pas décu par cette révélation, qui cachait peut-etre le fait que tu étais une demoiselle qui n'avait jamais gouter cette tentation humaine. Tu n'avais peut etre jamais tenter le plaisir de la chair. Et tu etais peut etre une femme qui n'avait jamais connu l'amour, non plus. Mais si tu n'étais pas le style de filles a te dévergonder dans un ascenseur avec un - étranger-, je respectais ton genre . Et j'aimerais bien connaitre ton genre..
Un petit-ami ? Non, j'ai pas d'esclave. Étonné. Je ne comprenais pas ton - célibat- . Soulagé dans un certain sens, c'était un espoir ! Mais le propos d'après , tu me détabilisais. Est ce que j'avais compris la tournure de ta parole ? C'était une métaphore, n'est ce pas. Ton image du petit ami était un esclave. Ce qui signifiait que tu désirais un toutou. Je comprenais maintenant le pourquoi , le statut de célibataire. Les hommes sont des imbéciles , mais peu d'entres eux appréciraient être tenu par les roubignoles. Mais nous c'était le Destin ! Comme par hasard , tu te retrouverais avec une entité stellaire dont leur fonction était l'esclavagiste. Même si cela avait été différent a l'époque ou Lucy et moi on était connecté par une amitié d'esprit. Aujourd'hui, elle n'était plus ma maitresse, seulement mon amie car ce renouveau m'avait transformé en un humain. Mais comme certaines créatures , le besoin de retrouver un maitre était ancré a eux. Et c'était mon cas , car même si ta réplique aurait pu paraitre dès plus étrange pour quelqu'un d'autre que moi. Moi j'y voyais une opportunité de saisir l'occassion , de devenir ton -homme- enfin ton esclave. Encore plus avec la suite . Continuant de m'agacer avec ton indifférence, car mon compliment ne t'avait pas atteint. Même si ton corps du moment était qu'un receptable, une fois révélée : ton apparence de démone ne me dégouterait pas , car tu n'étais pas le - premier monstre- de ma vie. Karen était tellement belle pourtant elle était aussi le mal incarnée. Mais spontanément de tes prunelles mysterieuses , tu me dévisageais . Tu avais ce regard intimidant Tu sais ce qui pourrait me plaire chez toi ! C'est ton âme, et uniquement ton âme !" Surpris par cette révélation. On était vraiment dans un jeu de séduction. On etait en train de - jouer- au chat a la souris toi et moi. Je te faisais des avances, tu me repoussais. Et maintenant c'était ton tour de flirter avec moi, car ta parole était pour moi une replique de drague.
Cela voulait dire que tu voulais ma personne. Que tu brûlais d envie de posséder tout mon être, sauf mon physique. Pourtant j'étais bel homme , le magazine de mon univers, le -Sorceleur- pouvait le confirmer. Et même aujourd'hui je pouvais te le prouver car ma profession était mannequin pour Evil Style. Un style qui te plairait, j'en étais sur ! Et si ma mode ne te convenait pas, je te permetterais de choisir ma mode.
Estomaqué par tes dires, mais a cet instant je me sentais briller interieurement. Ce sentiment que tu avais crée en moi , réveillant ma nature que je ressentais une sensation froide et métalique dans l'une de mes paumes de mains. Un court instant, je détournais mon regard de toi pour apercevoir une ombrage de ma clé se dessiner dans ma main, mais j'étais incapable de m'en emparer. Cette sensation durait quelques secondes avant qu'elle ne disparaisse. Mais je comprenais que c'était toi la source de mon éclosion. Le fait de vouloir t'appartenir . Et le contraire , que tu sois ma propriété rompait la malédiction de la lune écarlate.
Quelqu'un de sain d'esprit développerait une phobie a tes paroles . Et voudrait te fuir a jamais . Mais moi je commencais a comprendre que tu n'étais pas - humaine- car tu avais un langage - semblable- au mien. Donc je savais que tes mots étaient du - sérieux- . Et dans mes futurs propos le seraient aussi. - Mon âme te plait Flatté. Je peux te la promettre. Un mot que tu trouvais plus poetique que -te donner, t'offrir- Je peux même vouer mon âme a vous Cette parole aurait -peut etre- plus d'impact. Mais je veux devenir votre esclave. Ce mot était puissant. Au fond de moi avoir une maitresse comblerait le vide dans mon coeur , car durant toute ma vie , j'avais vecu trois ans de liberté. Et si tu croyais que j'étais un imbécile . Non ma demande était brillante , car je te demandais de - m'épouser- non je rigole ! J'avais assimilé que le mot - esclave- pour toi , était un petit ami. Alors - Annabelle- est ce que nous avons conclu un marché ? La reponse était -surement- non , car tu voulais un lieu plus approprier. Il fallait donc se revoir. Un premier rencard ne se refuse pas. Surtout pour un contrat, car j'avais l'habitude des engagements , par rapport a ma nature d'entité stellaire. Et avec un peu de chance , ma clé pourrait réparaitre une fois le contrat scellé, pour que je puisse officialisé notre lien.
Heureusement pour moi , mes - amis- de Fairy Tail n'étaient pas présent pour juger la situation, car ce pacte était de la folie. Et ils m'empêcheraient d'accomplir notre - rituel- . Mais au nom de l'amour je me metterais dans le trouble. Et ce n'était pas nouveau, l'ancien maitre de ma - Guilde- avait toujours des plaintes du conseil des mages a mon sujet. Mais pour devenir ton amant je ferais n'importe quoi.. Mais pour avoir une âme de valeur , tu devais la gardée pour toi car la puissance de mon - ame- vient de l'amour. Un amour que je voudrais te transmettre, car ensemble nous serons le pire fléau de ce renouveau monde. Mais détrompe toi ton impression était mauvaise. Oui j'étais ce type qui se laissait facilement mener par le bout du nez ! Mais il ne suffissait pas juste de tu sois une femme pour ça. Il fallait que tu sois la bonne !
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Loke Lionstar le Mar 19 Juil - 0:00, édité 3 fois
Une constellation ? Vraiment ? Je peux réellement me poser la question s'il se paye ma tête ou s'il est vraiment sérieux, ou bien qu'il s'imagine encore quelque chose. De toute manière, moi je crois que ce que je vois : alors tant qu'il ne m'aurait pas montré une preuve de ses dires, j'aurais dû mal à le croire mot sur mot. Une constellation ? Un Etre venu du ciel, l'un des douze signes du zodiaque ? Donc la représentation du Lion serait qu'un obsédé en réalité ? Ca ternit un peu l'image du lion : fort, courageux et royal. C'est vrai, je constate juste l'image qu'il me présente : aussi faible qu'un humain inférieur, porté par leurs vulnérabilités. C'est ce que je ressens personnellement, il suffit d'avoir de la poitrine et des formes généreuses pour mener cet homme comme une marionnette, et si je peux en jouer pour en faire mon esclave, je ne risque pas de me priver. Nous les démons, nous profitons de chaque faiblesses, nous poussons les âmes vers leurs péchés, leurs émotions négatives : nous rendons leur vie une souffrance, un calvaire, un enfer, au point que ces âmes passent l'arme à gauche et deviennent damnées. En tout cas, je n'accorde pas plus d'importance à sa soi-disant révélation : pour moi, il est toujours le même. Une âme tellement naïve.
Mais plus le temps passe, plus j'ai l'affirmation que je ne devrais pas laisser partir ce type. Il est limite précieux pour un démon, au vu de son comportement irréfléchi, qu'on peut mener en bateau. Il suffit que je déploie la voile, pour diriger cette âme comme je l'entends : c'est si excitant et exaltant, que je risque jamais de m'en lasser. Il n'a aucune conscience dans quel pétrin il s'est mis : un démon n'est jamais rassasié, il va souffrir pour son imprudence. Dans le fond, je n'oublie pas ma claustrophobie, mais j'essaie de faire en sorte de pas montrer mon angoisse, j'ai fait une grave erreur en lui dévoilant ma faiblesse : J'ai été faible sur le coup, et je le regrette amèrement. Il faut jamais dévoiler ses faiblesses ! J'espère ce qu'il dit sur son ami est vrai, mais le terme qu'il utilise "maitre de la destruction" me fait bien rire sur le coup. "Ton ami est pas humain peut-être ?" Réplique-je l'air moqueur : un humain maitre de la destruction ? C'est juste dérisoire, tellement je considère tous les humains sans exception des moins que rien. Mais il a conscience qu'il s'agit d'une porte de métal ? Il a intérêt à se ramener avec un pied-de-biche bien solide et des biceps. En tout cas, d'un côté j'ai envie que ça soit vrai pour sortir le plus rapidement de là, et de l'autre j'ai tellement hâte de voir cet "ami" mystérieux. J'étouffe de plus en plus à l'intérieur de cette cage, mon sang-froid est mis à rude d'épreuve. En tout cas, son intention avec sa veste je le prend mal, et avec déplaisance au fait qu'il me traite comme toutes les autres. Non, moi je suis différente et bien loin de ce qu'il peut imaginer. Ce genre de geste n'est pas à faire avec moi, et je le mets en garde avec autorité. "Je suis le Mal" Dis-je en répondant à sa question avec un fin sourire au coin de mes lèvres. Je le dis avec beaucoup de mystère dans ma voix, le laissant peut-être imaginer ce qu'il souhaite.
Même si ce type est une victime parfaite, il me désespère de plus en plus, je me demande même si moi, je serai capable de le supporter encore plus longtemps. Il est lui-même "infernal" à s'imaginer tant de choses tellement ridicules et improbables. Il se prend pour un Don Juan, ce n'est pas possible autrement. S'envoyer en l'air dans un ascenseur ? Il pense vraiment qu'il avait la moindre chance ? Il a une chance que je sois pas comme toutes ces coincées, et que je ne lui en colle pas une juste pour ça. Lorsque j'étais démon, c'était une chose à laquelle je ne pensais jamais : mes pensées furent que de manipuler, tuer, manipuler, tuer.. Propager le mal, et m'amuser en propageant ce mal. Depuis que j'ai ce corps avantageux, mes principes ont nullement changés, je reste une démone qui est attirée par les âmes submergées par la négativité. Pour moi, le seul plaisir est de tuer et de pousser les humains dans leurs souffrance et leur négativité. Pourtant, les démons aiment le sexe, certains d'entre eux : forcément, c'est un péché. Je lui fais comprendre ma vision des choses, en lui dévoilant que seul son âme m'intéresse, et pas sa petite saucisse. Flatté ? Celui-là est vraiment un numéro : je crois bien que c'est bien la première fois que je tombe sur une âme aussi naïve et manipulable que la sienne. Je risque… de beaucoup m'amuser. "Pas seulement ton âme, ta vie m'appartiendra et j'en ferai ce que je veux. Tu me devrais obéissance et allégeance. Si je t'ordonne de te taire, tu te tais, si je t'ordonne de te coucher, tu te couches, si je veux te torturer, je te torture... Si je veux .. que tu me procures du plaisir, t'as intérêt à être à la hauteur." Je démontre une nouvelle fois mon autorité, l'affirmant qu'il pourra me donner du plaisir : Avec cet info, il sera apte à vendre n'importe quoi, j'en suis sure. Esclave d'un démon ce n'est pas la joie, c'est torture et souffrance sous les jougs des flammes. Évidemment, je ne vais pas aller dans les détails et je compte pas lui dire ce qu'est ma mature : au risque qu'il réalise la situation et que ce n'est pas un jeu. Mais à mon avis, vu son Q.I, même si je l'informe de ma nature démoniaque, j'ai comme le sentiment qu'il continuera à voir ça comme une récréation. Mais il le découvrira bien assez tôt puisque vendre son âme, sans que la cible meurt, ne se fait pas ainsi.
Un marché ? Il est vraiment à l'ouest, ce n'est pas un marché : C'est un marché peut-être, mais dans un sens unique. Lui il m'offre son âme, mais moi je lui offre que dalle. "Non" Je réponds donc brusquement à sa question idiote. Mais je finis par me glisser près de lui, posant ma main délicatement sur l'une de ses cuisses, près de son entre-jambe, caressant légèrement avec le bout de mon pouce afin de lui procurer une certaine sensation. Je surélève légèrement mes fesses du sol, afin d'atteindre son oreille droite, portant mon visage près de celle-ci afin de lui caresser quelques mots au creux de son oreille d'une voix suave. "On ne marchande pas ainsi avec une démone. Le sang doit couler" Je réplique donc en montrant mon côté joueur, lui dévoilant ainsi ma nature, finalement. Je suis certaine que cela devrait plutôt le galvaniser, alors que je recule mon visage, lui offrant un sourire sadique.
-Une constellation ? Vraiment ? Je peux réellement me poser la question s'il se paye ma tête ou s'il est vraiment sérieux, ou bien qu'il s'imagine encore quelque chose. De toute manière, moi je crois que ce que je vois : alors tant qu'il ne m'aurait pas montré une preuve de ses dires, j'aurais dû mal à le croire mot sur mot. - Citant ta pensée. Je te l'accordais avec ma personnalité enfantine, il était difficile de cerner mon taux de Sériosité. Pourtant même avec mon imagination fertile , j'étais un homme -souvent- sérieux, malgré mes écarts de conduites. Mon coté étourdi était un entre deux entre mon ami Grey et Natsu. Par contre avec moi , le mensonge n'était pas une option, surtout dans cette situation. Malgré mon appréciation pour - l'espece humaine- , en être un était un fardeau. Même si pour le moment , je n'avais pas plus mon statut d' entité stellaire, je m'identifiais encore fièrement a mon titre. Et je n'avais aucune raison de croire que je devais maquiller le - véritable- moi . J'avais en digne estime l'honnêté , donc malgré le fait que tu étais une démone , je croisais les doigts pour tu sois franche avec moi. Avec toi , pénible ou non je serais disposé a encaisser les vérités de marbre. Moi je n'avais pas besoin de preuves oculaires pour avoir confiance en tes révélations. Mais si tu désirais une assurance de la vérité, tu étais sur la bonne voie , car ta personne n'éveillait pas seulement de mon instinct féline. Tirait du sommeil , l'être céleste endormi en moi, était ce que tu étais en train d'accomplir car notre pacte avait été l'élément déclencheur qu'il me fallait pour ma renaissance. Ma relique dorée était l'artefact idéale pour le gage. Mais aussi un outil pour achever -la promesse - que je t'avais miroité. Pour moi il était - vital- d'appartenir a autrui. C'était ma missive ! Dans un moment improbable, ma clé s'était présentée dans l'une des paumes de ma main, avant de se dissoudre. Un court instant que tu avais manquée. Mais l'espoir était la. Mais avec de la patience, cet objet culte pourrait te convenir. Enfin, si tu voulais prendre - totalement- emprise sur moi . Et dans l'attente de retrouver mes capacités magiques , et si dans un futur proche , tu étais toujours présente dans ma vie, je pourrais te démontrer d'autres arguments comme mon -apparence- astrale qui te prouverait - ma nature- .
C'est vrai, je constate juste l'image qu'il me présente. Et de la manière que se griffonnait notre -racine-, tu pourras t'intoxiquer du reste de mon caractère. Embabouiné à cause de cette -panne épouventable- , tout comme toi je t'avais dévoilé une -parcelle- de la représentation de mon être : celle du lion. Tu subisais la vunérabilité de mon animal. Mais comme tes pensées le révélaient, ma déficience pourrait être dans ton intéret. Facile a cerné. Tu avais eu une prise de conscience. Toi détentrice de poupées, tu pourrais aggrandir ta collection. Toi l'héritière , tu pourrais acquérir une marionnette. Toi ventriloque, il suffisait seulement de manipuler avec tact, tes ficelles de la luxure. Mais détrompe toi , car ce gagne-pain aura peut-être son lot de dramas car le charnel n'était pas uniquement mon seul intérêt. Tu devras être rusée, car l'amour était mon addiction. Chacun sa dépendance! Toi ta toxicomanie était les âmes. Et moi , j'étais épris de ce ressenti , de vouloir aller droit devant moi car je savais toujours ou aller quand je cherchais l'amour car pour l autre a retenir , j'étais prêt a tout offrir . Le fait d'aimer quelques secondes , de pouvoir boulerverser le monde et pour se poser enfin je pouvais aller bien plus loin comme être un damné, quand je cherchais l'amour. Et toi démone dépourvue d'une âme pour posséder la mienne, serais-tu capable de me persuader que tu cherchais toi aussi l'amour , car la luxure n'était pas uniquement de la perversité. C'était une magie aussi puissante que la magie des rois.
"Ton ami est pas humain peut-être ?" Envieux de mon ami pour cette ancienne- histoire avec Lucy, mais aussi du fait que ton attention se portait - a l'exces- sur - le héro -. Tu ne cessais pas de m'épingler de questions sur lui. Et même si ta parole était narquoise a mon égard, car tu doutais de l'authencité a mes dires a propos de la décision prise pour notre souci. Mon problème n'était pas ta réaction mais l'inverse - Natsu- était le noyau de nos conversations. Et par ta faute, c'était mon camarade qui allait se faire cogner par mes pensées bagarreuses, car impossible pour moi de te demander de te taire sur ce sujet. J'étais inquiet par les répercussions de ta réaction. A cet instant présent, je regrettais - presque- de faire appel a lui pour notre - sauvetage- . Je serrais les poings. A l'habitude, ceux -ci seraient enflammés d'une vif lueur solaire. Mais cet effet allait revenir non ? Et si son intention était de briser- encore- une fois mon - coup- je pourrais le catapulter a la vitesse lumiere, loin de ma fascination. Pour résumer , loin de toi. Légérement en rogne. Mon visage était inexpressif. Ma voix ne laissait rien paraitre, gardant un ton neutre . Ayant de la difficulté m exprimer sur mes sentiments, autre que l'amour. C'était compliqué pour moi de citer mes émotions a autrui, sauf sur l'oreiller. - Mon ami est un magicien .
Cette révélation était une vérité, avec un fond fallacieux. En réalité, il était de la même souche que toi. Notre sauveur était un '' dragon '' . Le pire dans le récit de sa vie était - que ce renseignement serait un - scoop- pour lui. Ne connaissant pas le sommet de sa création. Je détenais ce -mystere- a cause de cette aventure ou maladroitement , il avait invoqué le - désorbre- sur sa bande d'amis et moi en tant que victime colatérale. Sortillège en place , je m'étais retrouvé coincé dans l'enveloppe corporel du - maitre de la destruction- . Malgré le fait que je me souciais que de ma - personne- et en secret de mon egnime sur ma -véritable âme-. En plus d'être moche , car dans le corps de - Natsu- la gente féminine me rejetait, preuve que Lucy a des gôuts -particuliers-. Mais les miens n'étaient pas mieux , quand on connait mes liaisons avec Zira et Love. Et maintenant toi , une démone -gothique- ! Mes préférences en femmes, devait venir de l'influence de Karen.
Pour en rajouter une couche, je régurgitais des grumeaux infernaux. C'était l'enfer ! Mais en dehors de ses détails, je me souciais en cachette de cet aura différent, que je partegeais avec mon ami . Au fil du temps, quand la poussiere se consummait, je prenais conscience de l'existence démoniaque de mon copain. Mais en tant qu'ami , ce n'était pas le rôle que je devais endosser. Surtout qu'il était interdit selon la loi céleste d'en dévoiler sur notre propre création. Donc je renoncais de le faire pour lui. Et ce n'était pas le mandat de Natsu, de divulger la mienne. Même si de jutesse il a failli tout balancer a mon sujet. Mais je lui souhaitais de découvrir la vérité, mais moi je garderais les lèvres closes. Pour cette raison , pour une autre et une suivante , je décidais de conclure la conversation sur - le maitre la destruction- pour préserver le secret, par crainte de te perdre, car entre démons , il devait avoir peut-etre une -certaine- complicité. Mais par jalousie , cette conversation devait mourir, car c'était seulement mon prénom qui devait être sur tes lèvres, et pas le sien. - Mais je dois vous avouez que la dernière fois qu'on s'est croisés , il était dans la même situation que moi dépourvu de sa magie , donc humain mais il a toujours ses biceps. Satisfaite demoiselle , tu avais la réponse a ton interrogation.
S'envoyer en l'air dans un ascenseur ?Est ce que je pensais vraiment avoir la moindre chance ? Non, puis indécis la seconde d'après. Tu ne voulais pas être qu'une banale aventure dans un ascenseur. Tu méritais mieux ! Mais j'aimerais avoir mes chances dans un endroit magique. Malheureusement, je ne pourrais pas t'emmener plus loin que les satellites. Mais ensemble on pourrait trouver notre antre pour se donner une chance.
"Je suis le Mal" Me disais-tu - en répondant à ma question avec ton fin sourire au coin de mes lèvres. Tu le disais avec beaucoup de mystère dans ta voix, et tu me laissais imaginer ce que ce je souhaitais. J'etais moi-même "infernal" à m'imaginer tant de choses tellement ridicules et improbables. Enjoleuse, forcant la dose. Toi qui insistait sur - le fait- que tu ne passerais pas dans une action coquine, chaque parcelle de ton corps me traduisait le contraire. Du remous de ta chevelure a ce message , mon être sécrétait cette sensation de vertige. Étourdi , je refusais de fureter d'avantage ta personne. Lâchant ainsi prise a te comprendre , je m'abandonnais a -l'ivresse -, laissant ruisseler le feeling sur moi. Freiné par ta négativité, je ne m'imposais plus dans la négociation de notre pacte . Satisfait d'entamer une liaison de -petit ami- enfin esclave dans ton language. Dans ton chabraba de démone, cette conversation - sur la vente- de mon âme je l'avais comprise ainsi. Sans un mot, mon regard était rivé sur toi. De marbre face envers ton comportement autoritaire, car la tyrannie était un phénomène familier, dans ma vie. T'exposer comme une - souverraine- m'invoquait a l'époque ou Karen était vivante. Cette femme était animé par - un aura tenebreuse-, comme toi. Dans le doute , c'était - peut- être- pour sa mémoire que je m'engageais dans cette - folie-. Dans un état sérieux, j'avais conscience que la cloche de la récrétation avait retentit. Attentif a ta gourmadise: Sous ta joug , tu me domptais a tes lois : "Pas seulement ton âme, ta vie m'appartiendra et j'en ferai ce que je veux. Tu me devrais obéissance et allégeance. Si je t'ordonne de te taire, tu te tais, si je t'ordonne de te coucher, tu te couches, si je veux te torturer, je te torture... Si je veux .. que tu me procures du plaisir, t'as intérêt à être à la hauteur ''.
Avec cet info, il sera apte à vendre n'importe quoi, j'en suis sure. Presque! Mais il le découvrira bien assez tôt puisque vendre son âme, sans que la cible meurt, ne se fait pas ainsi. Toi qui voulait dominer la situation, trouve moi un remede a la situation. Tu proposes quoi ? Mais sache que pour moi , la mort n'était pas une option car doté d'un coeur je voulais le conserver, donc si tu voulais - absolument- mon âme il fallait qu'on se retourne vers la magie. Malgré le taux élévé d'humains ici. Parmi eux se terrait des êtres magiques . Mais avant de demander de l'aide ,aurais tu un rituel a me soumettre ? Même si pour l'achèvement de notre but , il suffisait que tu' t'embrase pour mon âme. Par amour , je pourrais plier genou , et d'une clé pour pourrait te faire une déclaration d'appartenance.
En silence, succombant a ton commandement. Obéissant a ma hiérarchie, en me calant contre la parois de l'ascenseur, je me muselais. Fléchissait a cet ordre: Si je t'ordonne de te taire, tu te tais, si je t'ordonne de te coucher, tu te couches, Ébauhi par la tournure du script, le démon déployait son plumage séraphique, inspiration de ton tatouage. Ta brutalité s'était s'envolée a l'instant ou Je finis par me glisser près de lui, posant ma main délicatement sur l'une de ses cuisses, près de son entre-jambe, caressant légèrement avec le bout de mon pouce afin de lui procurer une certaine sensationIntrigué par cette -soudaine- complicité entre-nous. Tu ne me favorisais pas : a l'idée de me détacher de cette utopie ou toi et moi on se retrouvait dans -un film de boules-. Finalement la - petite saucisse- tu la convoitais ! Ne pense et ne dit pas le contraire, je ne pourrais pas te croire. Peut-être que finalement, la vision pecherresse de tes consoeurs te tentait. Sensible a ton approche. Au contact de ta main , je perdis instantanément le souffle. Puis dans une bouffée, ma nervosité apparaissait. Ne t'inquiete pas il n'aurait pas de scandales! Pourtant j'étais rarement fébrile en présence d'une femme. A part toi, il n'avait eu que Lucy qui a eu droit a cette réaction. Tu m'intimidais..En positif!
Frissonnant sous tes doigts qui se faufilaient vicieusement vers la zone a illuminer. Pour mettre un peu d'humour ,ce n'était pas une métaphore , si je possèderais de nouveau - Regulus- (ma photokénésie), pour toi je pourrais faire étinceler mon entre-jambe pour t'exprimer mon bien -être de cet instant. Un bonheur que cette fois , je ne pourrais pas planquer dans l'ombre, car tu avais le pouce - directement- dessus. Sous celui-ci , tu pouvais apprécier ton triomphe. Ta cajolerie, avait actionner la sensation que tu désirais. Pas besoin de plus de détails émoustillant pour comprendre ! Mais au fond de mon être, j'aspirais a ce que tes caresses durent une -éternité- . Me galvaniser, d'une sensation passagère serait un chatiment. Mais c'était ton but de me torturer n'est-ce pas ?Si je veux te torturer, je te torture...
Incertain de te témoigner la bonne décision, je déposais ma main pardessus la tienne en effleurant du bout des jointures pour te témoigner mon affection, car laisser ma partenaire sans attention, ce n'était pas mon style, mais je ne voulais pas te brusquer car tu étais entreprenante et dominante. Alors je profitais du temps que tu m'accordais, j'écartais toujours un peu plus mes jambes , pour signe d'extase. Aussi , je savourais le peu de distance qu'il avait entre nous, car levant lègèrement tes fesses, tu blottisais ta bouche sur l'une de mes oreilles, pour rendre l'ambiance bouillante. Toutes mes anciennes conquêtes pourraient le confirmer que les confidences dans le creu de l'oreille m'excitait. Mais ce qu'il me renderait dingue serait que tu t'amuses a tripoter avec mes -oreilles - de chaton, malheureusement tu devras peut-etre te contenter de flatter ma criniere pour que je continue de ronronner, car le sortillege de la lune m'avait kidnappé un de mes atouts physiques préférés.
Dans ta voix délicieuse , je percevais - mais je pouvais me tromper- une envie de rendre -notre- moment encore plus caliente. Me mordillant d'une maniere ferme ma lèvre inférieure a cette parole On ne marchande pas ainsi avec une démone. Le sang doit couler
. Ca y est , il n'avait plus de soupçons entre nous, tu me dévoilais -enfin- ta nature. Reculant ton visage, pour me montrer ton envie de jouer sadiquement, en un sourire. Au mot -démone- je me pincais -volontairement- la lèvre pour te provoquer, car enfantin moi aussi j'étais un - grand joueur- . Et dans le règne du lion, tes -chaudes- caresses était pour moi le consentement qu'on pouvait s'amuser, ensemble. En machouillant ma babine, je m'étais blessé donc un mince filament de sang ruisselait de ma lèvre a mon menton. Donc en effet, le sang devait couler. Sans délai, je m'imaginais une scene de baiser ensanglanté entre nous, car ce sang pourrait -peut-être- t'aguicher. - Alors dites-moi comment on marchande avec une démone, pour que je puisse lui démontrer que je suis a la hauteur de son plaisir ? Je jouais avec tes mots , pour les utiliser en ma faveur.
Tu achevais ou débutait notre conversation - a toi de décider si tu continuais de batifoler- avec une parole qui rendait ma soeur céleste - Virgo- envieuse ; Le sang doit couler. Tu pensais m'effrayer avec cette replique ? Souvient-toi le lion était courageux, et tu n'étais pas ma première - fréquentation- saugrenu. Mais serais-tu a la hauteur de Love et Karen? - Et c est le mien qui va couler? Alors que mon sort soit scellé ! Ma vie est votre Annabelle. Pour toi , j'étais prêt a tout abandonné pour croire que tu étais a -moi-. Et de toute maniere, elle ne m'a jamais appartenue. Derriere moi j'avais des décennies d'esclavage..
Son ami est un magicien, son ami est le meilleur, son amie est le roi de la destruction ??? Je vais clairement finir par croire que son "ami" est bien plus excellent et meilleur que lui. Mais ce qui est certain, c'est qu'il a intérêt à se grouiller afin de nous sortir de là, parce que j'ai beau me divertir, et que ce malheureux imprévu m'est mise sur la route d'une âme totalement manipulable qui me rend totalement diabolique à l'idée d'en faire mon esclave. Je n'oublie pas que je suis enfermée dans une "cage" et que je ne supporte pas cela. Visiblement, la panne n'est pas prête de s'annuler, et l'ascenseur ne va pas redémarrer. Je me demande si on serait tout simplement pas mieux d'appeler les pompiers : après tout, j'aurais certainement plus confiance à des professionnels, qu'à son "magicien". En tout cas, lui faisant un léger signe de la main, afin de lui comprendre -ouais ouais c'est ça- Dans le fond, cette conversation ne m'intéresse absolument pas, j'apporte aucune importance aux autres. La seule personne digne d'intérêt de ma personne, ce sont ceux que je peux manipuler et jouer à ma guise, et encore : la seule chose qui m'intéresse ce sont les âmes et pouvoir me diversifier sadiquement pour mon plaisir personnel. Alors, son magicien, qu'il arrive et nous sorte de là le plus rapidement s'il en est vraiment capable. Mon silence accablant montre que je m'y désintéresse totalement.
Je lui dévoile que je suis le mal en laissant plainer un certain mystère au dessus de ces mots. Je peux affirmer que personne d'autre peut se désigner comme le mal, autre qu'un démon. Tout ces petits prétentieux humains qui jouent les méchants ne sont rien d'autre que de la souillure profanant le Mal Incarné : il s'agit d'une insulte, où ces inconscient mériteraient qu'on leur montre ce qu'est vraiment le Mal. Les humains sont tous que des cafards qui demandent qu'à ce qu'on leur arrache leurs âmes : ce sont que des simples jouets pour les entités démoniaques. De ma nature démoniaque, j'approuve le fait de trouver une âme qui deviendra damnée sous mon commandement… Passer un pacte avec moi, il me devra obéissance jusqu'à la fin de sa vie, et pas seulement, même après : pour l'éternité ! Je lui fais comprendre cela à partir de simples mots, puisque cela suffit à le mener du bout du nez. Mais si son retard intellectuel l'affecte, et montre des signes d'incompréhensions de sa part, je peux clairement lui faire voir mon autorité d'une autre manière. Mais cette forme d'autorité serait plus "violente", mais au moins, il comprendra certainement que tout cela n'est pas qu'un jeu, parce que clairement, il me laisse à penser que tout cela n'est qu'un jeu pour lui. En tout cas, mon sourire malicieux s'illumine sur mon visage, puisqu'il n'ajoute pas un mot de plus démontrant certainement une forme d'envoutement. Mon regard posé sur lui, un lourd regard ferme qu'on pourrait lire comme dans un bouquin ouvert. Les pages de mes yeux décrivent ma supériorité et ma souveraineté, mais surtout, que cet échange n'est pas un jeu. Un démon arrive parfaitement à capter les faiblesses de ses cibles, et sa faiblesse à lui, ce sont les mots accrocheurs, parfumé d'amour et de désirs : Je l'ai parfaitement compris. Pour l'emprisonné encore plus dans ma prison infernale, je n'hésite pas à jouer des gestes entreprenants pour mieux le magnétiser à travers mes caresses et la chaleur de ma voix qui lui offre une chaude pression. Ce manège de ma part est uniquement pour mieux le manipuler, et évidemment il n'y a rien de sérieux. Enfin oui, le sérieux d'en faire mon esclave, rien de plus, rien de moins.
Oh, je les sens les vibrations de son corps, je sens son cœur battre en rythme de mes caresses et son souffle est si soutenu et charnel. Un simple contact suffit pour le mettre dans tous ses états ? Ce Loke est un diamant brut pour une entité démoniaque. Je peux réaliser tous ses moindres péchés comme par magie… Il suffit juste que je mette en avant mes formes généreuses, et que je lui offre des caresses plus féroces. Mais j'interromps mes caresses, reportant ma main près de moi. Mon regard suit la mince filament de sang qui coule le long de son menton. Vraiment ? Il s'est tellement mordu la lèvre qu'il s'en est fait saigner la lèvre. Quelle vision excitante ! Ce léger liquide suffit pour me retourner complètement… Mon regard enjôleur ne se détache pas de ses lèvres au point que je finis par essuyer le bout de son menton avec mon index pour récupérer un peu de sang. Mon regard se plonge dans le sien alors que je porte mon doigt à l'intérieur de ma bouche pour savourer d'une traite le sang que j'ai pu récupérer d'un air provocateur et attractif. Comment on marchande avec un démon ? En voilà une question intéressante. "Tu m'offres ton âme. Voilà la seule méthode pour marchander avec nous." J'essuie mon doigt sur sa veste avec laquelle il a voulu me couvrir un plus tôt après cette scène. L'âme, c'est tout ce qui importe les entités démoniaques, la seule marchandise que les démons acceptent. Il y a plusieurs manières à cela, soit la cible offre son âme en s'enlevant la vie, soit la cible confit un objet précieux avec son âme à l'intérieur au démon en question. Mais pour cela, il faudrait que je redevienne une entité démoniaque pour pouvoir accomplir ce contrat. "Ton sang coule déjà un peu." Dis-je accompagné d'un regard de braise afin de l'informer de son inadvertance. Mais je suis tellement satisfaite de l'entendre dire que sa vie est mienne, ça me procure une sensation de plaisir : Aaahh, dans le fond je peux le comprendre qu'il soit si stimulé par des simples mots, ça peut me faire le même effet ! Il faut l'avouer, il a eu le don de me divertir, au point de ranger ma claustrophobie au fond d'un placard. "Vraiment ? Et bien cela ne risque pas de changer." Sa vie ne lui a jamais appartenu ? Ooh, j'espère qu'il va pas commencer à chialer, ou commencer à me raconter une histoire chiante. Je préfère passer ce moment. Mais après notre échange, il semble adorer ça être enchainé comme un esclave. "Il est temps que ton ami arrive, tu ne crois pas ? On pourrait sortir de là, et… passer notre pacte loin de cette "cage"."
Je vais clairement finir par croire que son "ami" est bien plus excellent et meilleur que lui. Heureusement qu'a cet instant présent, nous n'avions pas encore achevé notre pacte avec l'artefact en question que tu avais besoin pour que je devienne ton - amoureux- . Cette relique te procurerait des -capacités- magiques en tant que propriétaire. Un -pouvoir- que tu découvriras au fil de notre -relation- , car ton évolution surnaturel dépendra de - nous- . Mais étant une - Diablesse- je serais convaincu que tu ne refuserais pas ces aptitudes que les - malveillants- convoitaient, pour devenir - des êtres supérieurs- dans mon univers. Dans ce renouveau , la magie invocatrices des constellations était - inconnue- . En plus d'acquérir des talents particuliers, tu gouverneras un - valet-. Enfin un souverrain - car mon âme a une valeur royale- , je me tiendrais a tes cotés quand tu auras -besoin-. Mais pour revenir a ton - pouvoir- l'un d entre eux était - la télépathie- . Tu pourras avoir accès a mon - esprit- et moi au tien. Un don traitre ! Mais a cet instant, je pouvais me considérer comme - verni- car je pouvais m'épargner des pensées douleureuses, qui ferait -saigner- mon ego. Pour la simple raison , que je désirais - être ton idéal- . Donc le -meilleur- a tes yeux ! Et j'exigeais que - personne- d'autre enrôle - lien- ! Surtout pas cet - ami- que je jalousais , depuis - une certaine évidence, mentionnée plus tôt. Mais trop - sympathique- j'étais incapable de manifester de - la mechanteté- dans mes paroles . Mais trop - humble- était un défaut désagréable a -supporter- , je restais dans les coulisses attendant mon moment de - gloire-. Je me laissais - souvent- pietiner, au lieu d'extérioriser tous mes maux que mon - envie- provoquait. Mais un -le jour- viendra ou je ne pourrais plus contenir mon mal. Et je m'exprimerais sans filtre, car tu étais la -sorciere- qui m'enchanterait de cette malédiction -éclipse-. Et il suffisait d'une pensée comme celle-ci pour que je disjoncte.
Je me demande si on serait tout simplement pas mieux d'appeler les pompiers. Si j'avais su..Su ce que tes pensées me réservait dans un futur -proche-. L''idée de téléphoner aux pompiers aurait été préférable, en plus tu aurais fait la connaissance de mon meilleur ami : Johnny. Mais ne t'inquiète pas, si ce n'était pas aujourd'hui que tu faisais sa connaissance. Cela serait pour bientôt , sauf si Natsu s'était perdu dans les rues de la ville. On fera appel a mon - frère de coeur- , car avec le magicien , on pouvait s'attendre au pire ! Et a son arrivée , j'étais certain qu' il allait -nous- sortir une excuse ridicule pour son retard. Et s'il n'arrivait jamais, je n'étais pas a blâmer car je lui avais adressé a la bonne adresse par messagerie. Et si - notre héro- avait retrouvé sa nature de chasseur de dragon, il lui suffisait - juste- de renifler un bidule ou mes phéromones étaient dessus. Ou situation encore plus facile, il avait qu'a faire remuer sa- truffe- sur -la plupart- de filles que - j'aurais pu draguer-. Qui se résumait -peut-être- a la moitié de - la ville- . Il aurait ainsi mon parfum dans les narines pour retrouver ma piste. Parmis nos compagnons de - Guilde- ici j'étais le plus -simple- a trouver car tel un chat je m'aventurais -partout-. Mais dans ma -nouvelle vie- j'avais désiré suivre les traces de Karen, car même Lucy avait été une maitresse et une amie exemplaire. Karen avait toujours été ma référence pour me construire une vie parmi les - humains-. Et comme elle, je faisais souvent la couverture des magazines, surtout le Évil Style. Donc, mon ami et les autres de la Guilde n avait aucune excuse, pour me dire - on t'a cherché - sans succès. Mais peut-être que la - ville- donnait du fil a retordre a Natsu. On racontait qu'elle était - particuliere- même magique selon le contexte ! Peut-être que celle-ci était ma bonne étoile. Et elle voulait qu'on passe une nuité ensemble, ce qui me plairait , car dans les romances ciménatographique, des histoires -amoureuses- sont nés dans un ascenseur comme dans le film - A Christmas Kiss- . Mais pas besoin de - me le dire , ni même de le penser - ce n'était pas ton style de spectacles. Mais je pouvais l'espérer , qu'une soirée on pourrait se visionner une vue romantique, coller sous une couverture. Après tout cet événement de l'ascenseur était que le début entre - nous- . Vu que nous étions condamnés a - se cotoyer- pour l'éternité. Nous nous sommes piégés l'un et l autre!
Mais revenons a mon meilleur ami, car la discussion sur le -sauveur- était close grâce a ton gestuel. Johnny - le professionnel- ! Le pompier qui avait allumé le -feu entre nous- . Il fallait qu'on le remercie -un jour- car c'était celui-ci qui m'avait emmené jusqu'à toi. Il m'avait lâché au soleil couchant pour aller- je ne sais pas ou- en m'abandonnait a cette soirée - avec toutes ses personnes- que je ne connaissais pas. Mais mes proches savaient que faire du social n'était pas un tracas pour moi. Surtout avec les filles ! Et finalement en début d'après-midi, je fassais ta rencontre dans un ascenseur dysfonctionnel. Merci Johnny ! Par contre lui n'aurait jamais céder a tes - futures- mauvaises pensées. Donc en accord avec cette pensée.. J'aurais du téléphoner a mon pompier ! Mais trop tard..
Ce manège de ma part est uniquement pour mieux le manipuler, et évidemment il n'y a rien de sérieux. Enfin oui, le sérieux d'en faire mon esclave, rien de plus, rien de moins. Comme mentionné, de mon plein gré , j'avais accepté de devenir - ton esprit céleste- en adoptant le statut d'ami de coeur, esclave dans ton language démoniaque. Mais j'avais l'impression que tu craignais que je revienne sur ma décision. Mais j 'avais lâché prise a comprendre - le jeu- qui en réalité en n'était pas -un-. Je n'avais même pas conscience que tu me manipulais pour m'incarcérer dans - ton ascenseur infernale- . Synonyme de - prison- Cet ascenseur qui m'offrait un accès aux enfers pour l'éternité . A cet instant, je savourais le -moment- présent , sans vouloir -en savoir- d'avantage- sur mon destin car ta conduite endormait mon - instinct- sauvage. Étant un diamant - pierre précieuse lier au signe du lion- je te permettais de me convoiter. Mais aussi tenter de me -dérober- a mon ancienne maitresse : Lucy, car ta manipulation m'avait rendue vunérable. A voir comment la -constellationniste- allait prendre cet affront de ta part, car autrefois je lui appartenais , sous une promesse faites a mon -père spirituel-. Aujourd'hui ,j'étais infidele a cette promesse ! En plus j'étais irremplacable étant une clé unique. Mais je restais toujours son ami. Un ami - en péril- désormais. Mais -Fairy Tail - était toujours la pour sécourir l'un des leurs. Est ce qu ils seront la dans ce nouveau monde pour moi ?
Un simple contact suffit pour le mettre dans tous ses états ? Tu avais parfaitement cerner le personnage , que j'étais. Sensible aux mots - accrocheurs- parfumés d'amour et désirs. Réceptif au moindre toucher placé a la bonne place. De ton pouce tu avais effleuré une zone fragile. Mais tu n'avais pas atteint mon point faible, qui se trouvait dans un endroit inattendu. Ton contact me mettait dans un état -amoureux- . Mon esprit s'était évadé dans mon -paradis utopique- ou je fantasmais sur - plusieurs réalités- de nous. Et mon corps t'exprimait l' envie précoce avec -une forme imprevu -de m'aventurer plus -loin- avec toi dans notre relation. Garcon fougueux. Gourmand, plein d'appétit pour - l'amour-. Je m'emballais pour un - rien-. Surtout - a ce moment précis- car mes dernieres relations - sérieuses- dataient de -longtemps-. Zira était ma premiere - copine- dans ce renouveau. Nous sommes quittés , car elle me mentait sur une vérité évidente, celle que son coeur était toujours épris d'un autre lion. Pour me réconforter de cette liaison, il avait eu ce plan C régulier jusqu'a je n'arrive plus a faire réagir mon bassin pour - Love- . Heureusement pour moi, elle n'avait pas ébruiter le scandale dans - la presse-. Et surtout pas entre les mains de Clover, la présidente de mon fanclub. Ma réputation d'étoile en prendrait un coup ! Même si , je savais que j'étais une vedette a scandales! Sans comprendre l'origine de mon souci de santé, Love avait été ma meilleure aventure de lit jusqu'a aujourd'hui . Étiqueté connard, tous les soirs jusqu'a maintenant, je tentais de retrouver ma virilité avec des -filles -dont je me -contrebalancais.- de leurs prénoms. Mais sans espoir jusqu'a ce que ma main empogne ton fessier qui révélait qu'il fallait éloigner l'idée que j'étais un -garcon- puceau. Même si dans une réalité alternative, je ne refuserais pas l'opporturnité de t'offrir en offrande ma -pureté- car mon baptème au sexe était oubliable. Mon inauguration était banal , je le regrettais -presque- ! Mais il était trop tard ! Les bonds dans le passé sont imprudents. C est une magie complexe...Aussi compliqué que l'amour. Et dit -moi est ce que j'avais l'air d'un puceau ? J'étais juste un -miaou- en rut .
Je peux réaliser tous ses moindres péchés comme par magie… Vraiment ?! Exigeant et farfelu , tu te sentais capable d'exaucer tous mes -caprices- dans les moindres détails ? Alors qu'attendais-tu pour me maléficier ? Qu'est ce qui t'empêchait de me dévoiler tes courbes endiablées ? Ta Claustrophobie -peut être-. Qu'est ce qui te freinait a me caliner férocement pour je puisse t' octroyer l'essence de tout mon amour pour toi. Le fluide de ma vie t'avait discrète . Que tu avais capitulé m'interrompait ton toucher. Ainsi , je me retrouvais dans une position coquine et délicate. Privé de mon intimité, il était impossible d'allégé ma passion, au risque de jouir d'une mauvaise réputation. J'allais devoir endurer l'etat d'être enjoué. Sentant ta main sous la mienne se faufiler pour fuir. Je la laissais décamper contre ma volonté car je voulais qu'elle demeure sur ma l'aine. Mais ce n'était pas mon style d'enchainer une fille a ma personne. Intimidé par cette oeillade. Tes prunelles étaient rivées sur ma bouche. Des levres que tu dévorais . Mais qu'est ce que tu attendais pour t'engouffrer sur moi , et épouser mes babines . Hypnotisé par la provocation de ton regard, j'étais dans un état de transe quand je discernais ton doigt s'imprégnait de mon sang. Ton sang coule déjà un peu. De manière subtile ,vu qu'on s'était tue pour s' insuffler de facon gestuel .J'nsistais pour que tu m'embrasses , sensuellement je lêchais ma lèvre inférieure, pour légérement me nettoyer. Mais aussi pour t'exprimer mon envie de te bécoter. Quand tu insérais ton doigt dans ta bouche, je déposais une main contre la boucle de ma ceinture pour légérement la déserrer , car l'ambiance prenait une tournure -torride- . Et avec celle-ci je me sentais coincé dans mon pantalon. Pour poursuivre, je levais les yeux au plafond en signe d'impuissance face a ce martyr car si j'obéissais a mes pulsions, entre mes mains j'aurais -soumise- la situation a ma volonté. Mais en fuyant la scene , je m'empêchais de craquer , car tu serais trop - satisfaite- de ton triomphe.
Tu m'offres ton âme. Voilà la seule méthode pour marchander avec nous. Comme mentionné sous promesse mon être était déja - tien- . Il fallait - maintenant- procéder a la cérémonie sacrifielle. Pas de questions pour toi , je savais - déja- comment on accomplir un rite. Ce n'était pas mon premier rituel , car ma création en était -un-. J'avais conscience des conséquences et des risques ! Mais mon entourage pourrait témoigner que j'étais - suicidaire - . Ma seule exigeance était que mon sacrifice soit mémorable , contrairement a ma perte de virgnité. Donc je te confiais ma confiance pour ce - moment - soit magique . - Et c'est tout ce que vous désirez de moi mon âme et ma vie ? Donc ce qu'on raconte sur les démons est un mensonge , vous ne venez pas dans le monde des - hommes - pour engendrer le mal en vous accouplant avec un mortel ? Mais pourquoi entamer cette conversation sur la copulation démoniaque. Certes un bon jour , j'avais espoir de fonder une famille mais il fallait que ma problématique de ma santé se soigne. Je voulais aussi fonder une famille vue que la mienne était disparue et que ma famille adoptive ne faisait pas trop - attention- a moi . Peut etre une raison -pourquoi- je ne t'offrais aucune résistance a devenir ton pantin.
En plus , une connaissance du prénom Kenna , une mere monoparentale avait éveillé l'envie d'être un pere pour son fils . Surtout que j'avais l'âge permise pour concevoir un avenir, depuis fort longtemps. Il était temps pour moi de cloturer un chapitre de ma vie qui avait assez durer. Enfin si j'étais capable ! La routine est devenue ennuyante et soulante! Mais je ne te posais pas cette question pour te mentionner qu'un mal enfanté serait le bienvenu. C'était vraiment prématuré ! Et pas dans mes projets pour le moment, ma carriere d'étoile etait ma prioriété et est ce que tu étais reelement a la femme a marier ? La demande était de savoir si tu étais suceptible de réussir a déclencher un facteur pour ma clé se dévoile a nous. Souvient toi, mon artefact c'était fait découvrir quand ton attention s'était rivé sur moi. L'amour était la clé ! Pour que mon âme soit votre , j'ai ce qu'il faut pour le rituel , en tant que constellation , je suis lier a une relique qui pourrait vous convenir pour le marché. Mais seul hic , je ne l'ai pas en ma possession car ma magie s'éveille a l'amour.
"Vraiment ? Et bien cela ne risque pas de changer." Ma vie était la signature a ce pacte. Par le biais de cette parole, tu étais satisfaite de ma révélation. Mais tu n'allais pas t'épargner de mon histoire -chiante- car contrairement a toi qui était -tres- célébral. Un de nous deux devaient être bavard pour que tu mettes ta claustrophobie au placard. Oui vraiment, nous constellations de ce monde , nous avons comme devoir d'appartenir a nos humains au péril de notre vie . Notre mission est de veiller sur notre - humain - de le servir , divertir , combattre pour certains en son nom , mais le plus important l'aimer . Nous sommes leur être de lumiere .
"Il est temps que ton ami arrive, tu ne crois pas ? On pourrait sortir de là, et… passer notre pacte loin de cette "cage '' . Et .. Ce mot laissait planer - peut- etre- une arriere pensée qui m intriguait. Ce mot était mysterieux. Mais un sourire en coin s'inscrutait sur mon visage, car - peut-être- que notre conversation t'avait fait réaliser que tu devais être - mienne- pour posséder - ta marchandise- . - C'est vrai que mon ami se fait attendre ! A ce moment la, on pouvait entendre du tapage a l'exterieur. Surement lui ! A la seconde partie de ta parole, je fouillais dans une des poches de mon froc pour te tendre un porte clé. Les clés de la boutique et de mon logement .- Je t'invite chez moi. Vient me chercher quand tu seras disponible a me revoir. J'habite dans un appartement en haut de la boutique - Evil Style-. On pourrait par la suite se rendre chez toi pour passer notre pacte tu en dis quoi ? Et pour être sur qu'on se revoit .. Je.. Je tendais imprudament ma main en ta direction pour dérober l'un de tes rubans de ta chevelure. C'était mon espoir d'avoir un second rencard avec toi. C'était mon gage !Et depuis de longues minutes, je désirais avoir un souvenir de toi. Prends ça. J'enroulais le -chou- autour de l'un de mes poignets. Ce n'était pas une alliance, mais tout comme car pour moi c'était un symbole de notre engagement. Puis je te murmurais pour que la finale reste entre nous : - Et Fait moi plaisir quand tu viendras chercher ton ruban, met toi en beauté . Vetue toi d une tenue qui pourrait me plaire. Seras-tu porter la tenue de mes rêves ? Je veux que la fin de mon célibat soit inoubliable. Souvient toi , esclave symbolisait - petit ami- pour moi. Je m'attendais a ce que tu m'organises une ceremonie épique surtout que bientot c'était mon anniversaire. Une date qui fallait célébrer comme le jour de ce pacte. Par mauvaise habitude, je déposais ma tête sur ton épaule . C'est a ce moment que - notre sauveur - entrait dans le jeu
Il a suffi d’un texto pour l’embêter dans sa journée. Une journée prévue pour tout simplement dormir, manger, jouer et dormir encore. Mais non… Il faut croire que Loki adore se mettre dans des situations cheloues. Aujourd’hui c’est de resté bloqué avec une femme dans un ascenseur. Natsu s’est donc dépêché comme il le pouvait pour s’habiller et traverser une partie de la ville à la recherche de ce fameux bâtiment. Il met plus de temps que prévu, n’ayant pas un bon sens de l’orientation et n’ayant pas Happy comme moyen de locomotion. C’est avec du retard donc qu’il retrouve l’ascenseur. Il tape dessus pour indiquer sa présence. « Eh oh ! Vous êtes pas morts c’est bon ?? » Il attend d’entendre une réponse et, enfin, grâce à ses flammes, il finit par faire fondre la porte métallique. Le visage de Loki apparaît devant lui, et… What. Le rose fixe longuement la jeune femme qui se trouve à côté de lui. « Eh mais c’est la folle dingue ! Non. Annamoche. Pardon… Annabelle. » il sourit en coin et se recule après être fier d’avoir sortie sa connerie, les laissant sortir de cet endroit un peu trop confiné à son goût. « Comment vous avez fait pour vous retrouver coincé, franchement… Vous avez de la chance que je sois aussi gentil. » Oh oui. Parce qu'il aurait très bien pu ignorer ce sms pour une fois et se reposer comme il se doit. Vu comment il bosse dur pour sa boss ces derniers jours... Eh bien ça en devient lassant.
Si on m'avait dit que j'allais dégoté une âme si manipulable au point que je puisse en faire mon jouet avec un simple regard aguicheur et séduisant, je me serai moi-même mise à l'intérieur de cet ascenseur. Cette cabine devenue une prison pour moi, mais aussi un enfer pour cet homme qui fait face au mal incarné. C'est quelque chose qu'il ne semble pas réaliser, tellement il s'ouvre à moi comme une pochette surprise. Tant mieux, il ne pouvait pas me faire meilleure surprise car les démons vicieux et joueurs de mon genre adorent jouer pour arriver à leurs fins. Manipuler et influencer les humains, cela fait partis de ma nature, j'existe uniquement pour ça ! Même si lui il n'est pas si humain que ça, d'après ses dires; j'ai retenu qu'il était un être céleste, la constellation du Lion… Dans ma vision, la constellation du Lion est un être puissant, une étoile brillante qui pourrait m'éblouir par son éclat. Pas aussi puissant que moi, mais quand même, ce n'est pas l'image que j'ai de lui actuellement. Je vois pour l'instant qu'un obsédé porté par sa faiblesse qui est visiblement la luxure : il totalement vulnérable à mes moindres gestes et paroles. Lui dévoiler ma nature d'un long soupire chaud, ne me semble pas dangereux… Je suis même persuadée que cela risque de lui plaire. Quel idiot.
Le seul moyen de marchander avec nous les démons, est de mettre sur le plateau son âme. Cela peut être fait en deux manières : en se donnant la mort, ce que personnellement je préfère, ou d'offrir une relique assez personnelle et puissante pour contenir une partie de l'âme de l'individu, à travers un rituel satanique. Vraiment, je n'ai pas besoin de forcer pour qu'il m'offre littéralement sa vie… Ce type est mon cadeau de Noël avant l'heure. Ce qu'on raconte sur les démons est un mensonge ? Engendrer le mal en nous accouplant. Je me frotte le front désespéramment, mais il est encore plus idiot que je le pensais. "Tu sais ce qui m'énerve actuellement ? C'est que tu tapes la causette avec un démon comme-ci c'était normal !" Il ne semble pas effrayé par ma présence, comme-ci il avait l'habitude de trainer avec des démons. C'est complètement absurde, mais je devrais plutôt m'en satisfaire, il me facilite tellement la tâche ! Ainsi, je force pas pour le forcer à m'obéir. Concernant son histoire d'engendrer, je n'ai pas très envie de lui faire un cours sur ma nature… Puisque déjà parce que les démons sont un sujet très vaste et complexe, que cela ne se résume pas qu'à une seule phrase… Il me faudrait des heures pour lui expliquer les différents types de démons, les malveillants, comme les bienveillants et le devoir de chacun. "Dans le fond, tu n'as pas tort, mais si tu réfléchissais un minimum, tu pourrais savoir que seuls les démons au sexe masculin engendre le mal. Seulement certains, comme les Incubes, ou pour faire plus vaste, les démons de la luxure. En soit les démons peuvent être liés à l'un des 7 péchés capitaux. Certains démons vont sur Terre pour qu'une humaine porte le mal, exacte." J'explique briévement. "Ce qui n'est pas mon cas, ma "fonction" est différente. Je fais partie de la famille des Daemonum, et mon nom démoniaque est Malthus, d'autres m'appellent Malphas. je suis un démon qui n'a pas sexe, donc je peux pas m'accoupler." J'ajoute un clin d'œil mystérieux pour accompagner la fin de ma phrase. Mais je ne vais pas lui dévoiler entièrement que ma fonction à moi est d'influencer et de manipuler les humains pour qu'ils offrent leurs âmes… que j'amène la mort, mais que je dois aussi trouver des bons serviteurs, comme Lui. C'est mon seul désir.. J'amène la négativité par n'importe quel moyen pour arriver à mes fins. J'apparais uniquement lorsqu'on m'invoque à travers des rituels sataniques. C'est ainsi que j'ai pu posséder la poupée Annabelle grâce à une secte satanique dans un second temps, mais la première fois, c'est un couple ayant perdu leur fille qui ont appelés inconsciemment n'importe quelle aide pour faire revenir leur fille. J'ai senti leur négativité, la tristesse, et c'est ainsi que j'ai apparu pour œuvrer, en me faisant passer par leur fille disparue afin de les manipuler. "Mais bref, les entités démoniaques sont complexes" Dis-je en secouant légèrement les mains, mais j'aimerais qu'il évite ce genre de supposition stupide. Un être comme lui ne peut pas comprendre l'étendue de la nature démoniaque.
Puis je préfère revenir sur le sujet qui m'attire, son âme. C'est pour ça que je suis dans le monde des mortels moi ! Ma seule envie, mon seul désir est que sur son âme m'appartienne. C'est alors qu'il mentionne quelque chose qui me dessine un fin sourire désireux : il me parle d'une relique dont il est lié ? C'est fort intéressant ! "Je veux absolument posséder cette relique. Si ce que tu dis est juste, cette relique sera la clé de notre contrat." J'informe donc mon envie de voir de mes propres yeux cette relique. J'espère pour lui qu'il ne raconte pas de bobards. "T'as intérêt à l'avoir en ta possession, sinon je trouverai un autre moyen." Je m'en contre-fiche que sa "magie" s'éveille avec l'amour. Maintenant qu'il en a parlé, il n'a plus le choix que de trouver le moyen de posséder sa relique. Sinon, je vais le faire souffrir. "Je te demande pas de me raconter ta vie, je veux juste que tu me montre cette relique." Je roule des yeux en soupirant parce que sa vie, sa nature de constellation ne m'intéresse pas. Je comprends juste qu'il est lié à être un exclave point. Eh bah, la vie de constellation n'est pas fameux, mais ce qui est certain, c'est que je convoite sa relique. J'émets ensuite l'idée que son soi-disant ami devrait arriver, car j'en ai ma claque d'être coincée ici. Il se fait attendre, et visiblement, la panne s'étend sur les minutes. J'arque les sourcils surprise de son geste, il me file directement les clés de son logement ? Il est vraiment inconscient donc ? Je pourrais donc entrer en pleine nuit chez lui pour le tuer durant son sommeil ? Bref, sans dire un mot, je saisie sa clé en laissant un regard énigmatique vers lui. Je n'ai vraiment jamais eu une cible aussi facile à influencer, c'est presque trop simple. "Ouais ouais." Dis-je donc briévement, il peut se rassurer, je ne compte bien aller le retrouver. Je m'attendais encore moins à ce qu'il saisisse sans ma permission l'un de mes rubans qui me servent à faire mes couettes. Comment ose t-il ? Alors, oui ça m'énerve, je serre des dents, mais je n'agis étonnement pas. Si cela lui fait plaisir, et si cela lui permet de jamais m'oublier, il peut l'emporter. Mais la prochaine fois il ferait mieux de demander l'autorisation. Je détourne juste le regard, un regard évasif, je me contente de défaire mon autre couette, passer mes doigts dans ma longue chevelure afin de laisser mes cheveux détachés. "C'est moi qui décide comment je m'habille ! Evite de prendre trop tes aises, c'est pas un plan cul non plus." Dis-je en portant un regard hargneux sur sa personne. Nan mais il a rien compris ou bien ? C'est moi qui donne les ordres. Je compte m'habiller normalement, a t-il conscient ce qu'est un contrat démoniaque ? Non, car c'est bien loin d'être un rencard. "MAIS…" Je finis par lui attraper le colle en serrant bien fort, montrant une certaine rage. Qu'est-ce qu'il est énervant quand il s'y met ! Il est lent à la détende celui-là, j'ai le sentiment d'avoir parlé dans le vide depuis le début… Ou alors mon charme a tellement fait effet qu'il est devenu aussi intelligent qu'une huitre. Mais au fond, s'il pense être mon petit-ami... qu'importe ? Au final, tant mieux, ainsi il va tellement s'attacher à moi, que je pourrais en faire ce que je veux.
Bref, une voix à l'extérieur de l'ascenseur se fait entendre, et vu les mots prononcés, ça peut être que l'ami de ce guignol. Sans qu'il le sache, il vient de sauver son ami d'une mort certaine. En tout cas cela attire mon attention, je décompresse ma pression sur le colle de Loki, puis je me dirige immédiatement vers la porte "Ta gueule et fais nous sortir de là." Je réponds directement montrant mon impatience. Enfin je vais sortir de cette "cage", il était temps. Je me demande comment il compte se prendre mais je recule instantanément lorsque je constate que des flammes font fondre la porte métallique. Cette bouffée de chaleur que je reçois en plein visage est si… excitant. Je sors après Loke, mais je respire de nouveau ! Quel plaisir de se sentir de nouveau libre… J'ai eu le sentiment d'être enfermée pendant des heures dans cet ascenseur, et des mauvais souvenirs ont refais surface pendant ce temps. Je pose mon regard curieux sur la personne qui nous a sauvé, et je le reconnais pas directement. "Hein quoi ?" Le surnom qu'il me donne me fait aucun effet. S'il croit que ce genre d'idiotie m'affecte… Mais j'ai le regard qui s'illumine d'un coup, puisque je le reconnais ! Ouais, c'est le serveur du dimanche que j'ai rencontré dans son bar de merde. "Kirby ? Oh mon Kirby ?" Je semble montrer une certaine joie de le revoir si rapidement ! Il était si amusant lors de notre rencontre ! En tout cas, je m'approche de lui avec un sourire malicieux, puis je pose mes mains sur ses joues pour ensuite lui offrir un baiser succulent sans lui laisser un seul instant le choix. Mouaaahhh ! "Mon héros… Merci de m'avoir libéré de ma prison métallique, un méchant dragon me gardait prisonnière…" Dis-je en me comportant faussement comment une enfant. Le dragon, c'est Loke, le chevalier c'est Natsu, et moi je suis la princesse en détresse, amusant. Evidemment, ce baiser est avant tout pour rendre jaloux Loke, car je suis persuadée que cette négativité va l'emporter en voyant cette scène, au vu du moment qu'on a partagé dans l'ascenseur. Mes pupilles se dirigent d'ailleurs malicieusement vers lui, pour voir son visage jalousé.
AVENGEDINCHAINS
Contenu sponsorisé
Une panne épouvantable (Loke)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum