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so, how do i erase you ? (ft. poe)

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Anonymous

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Mer 1 Juin - 8:51


so lock me here in my bedroom, i like it here without you. i know you know i hate you, so how do i erase you ? and i know my mistakes were made but there's nothing left to say. i always knew that you were a fucking liar.  -- ft. @poe dameron.

Y avait beaucoup de choses que tu avais accepté Layla. Plus qu'avec n'importe qui. Parce que pour moins que ça, tu étais partie, tu avais envoyé des poings, hurler ou tu t'étais faite entendre.
Pour Marc, t'avais jamais rien dit. Tu t'étais énervée quand après avoir disparu il avait fait ré-apparition. Puis quand tu avais appris qu'il avait été présent lors de la mort de ton père. Puis tout ses mensonges.
Concrètement, tu avais été beaucoup plus clémente qu'avec n'importe lequel des hommes que tu avais pu fréquenter et c'est peut-être pour ça que là, tu regrettais que Taweret ne soit pas là pour te retenir : parce que tu étais prête à littéralement lui exploser les rotules.

Tu stoppes ton deux roues, coupant le moteur et balançant ton casque sur le siège de celui-ci sans la moindre délicatesse. Tu avances, d'un pas rapide et décidé, bien déterminée à faire entendre ton point de vue. Les deux portes coulissantes s'ouvrent sur ton chemin tandis que presque immédiatement tu te fait remarquer pour débouler telle la furie que tu es. – Marc ! Tu clâmes, observant chaque visages présent. Personne ne réagit, outre te regarder avec des grands yeux surpris probablement à se demander qui peut bien être cette nana plus ou moins étrange qui déboule comme ça. Tu prends même pas la peine de passer par l'accueil, tu pousses la porte qui mène aux pistes et très vite on t'interpelle, te demandant sans doute de te calmer. Tu sais pas, t'entends pas et t'es déjà bien avancée tellement tu marches rapidement, le talon de tes doc martens s'ancrant dans le sol et trouvant le moyen de faire grincer le caoutchou de tes semelles sur le sol ciré. Tu observes autour de toi, remarquant un nombre incalculable d'appareil parqué. Ca t'étonne qu'à moitié, tu l'connais. Il a plus d'un tour dans sa poche et probablement qu'il sait faire voler un de ces appareils, sans compter sur l'aide de Khonshu pour le guider.

Tu cherches, tu fouines et très vite tu repères une silhouette de dos que tu ne peux que trop bien reconnaître. Ca pourrait te calmer, et pourtant ça t'énerves car tu sens ton p'tit cœur se briser au passage. Preuve que tes questionnements étaient fondés, ou du moins, tu le penses. Tu fronces les sourcils, faisant ressortir des rides d'expressions toujours aussi en colère. – Hey ! Tu continues de clamer t'avançant jusqu'à lui. Et quand il se retourne, tu es presque prise d'une hésitation. Mais ça serait pas dans ta nature de te laisser impressionner, avatar du dieu de la lune ou pas. – Vraiment ? Tu demandes en ouvrant les bras, comme totalement désabusé par  un tel comportement et une telle négligence. Tu sais rien sur les mystères de cette île, alors t'es persuadé que c'est Marc que t'as enfin de toi. Ou Steven.
Mais t'espères quand même Marc. Parce que Steven c'est toujours plus difficile de lui en vouloir.
Alors t'espères un peu.
Mais qu'importe.

– J'ai accepté les mensonges, j'ai accepté la mort de mon père, j'ai accepté absolument toute la bullshit que tu m'as balancé et le pire c'est que j'ai été assez stupide pour croire que encore une fois t'étais honnête avec moi ! Ta voix raisonne dans le hangar, preuve que t'es énervée, excitée, prête à tout. Tu ramènes tes mains sur ton visage, preuve d'un agacement certain et d'une contenance que tu gardais un minimum – mais vu ton air de furie, ça restait difficile quand même. – Omg, je pourrais te tuer, là, maintenant tout de suite ! Tes deux mains glissent, se retrouvant tandis qu'elles sont là, parfaitement parallèle à ton nez. Et tu l'observes avec une certaine .. déception dans l'regard. – C'est quoi ton excuse cette fois, hm ? Tu demandes en l'attente d'une potentielle réponse. Sauf qu'en fait, tu veux même pas avoir une excuse pour flancher et le prendre en pitié. Tu balaies la tête de gauche à droite avant de tirer de la poche arrière de ton jean des papiers qui avaient été vulgairement plié. – Tu sais quoi, en fait je veux même pas savoir. Tu t'avances jusqu'au brun, plaquant les papiers contre son torse tout en l'observant droit dans les yeux. – Si tu veux divorcer ait au moins les couilles d'être honnête Marc. Parce que je commence sincèrement à en avoir marre de tes mensonges à répétitions. Je croyais qu'on était passé outre, mais apparemment j'avais tord. Bon courage pour ta vie, Khonshu si il est encore là, j'en ai plus rien à faire. En fait ouais, t'es juste déçue. Tu hausses les épaules avant de simplement te retourner, prête à repartir. T'as dis ce que t'avais à dire, mais t'abandonne. Et probablement que tu t'écrouleras un peu, quand même. Parce que c'est douloureux mais tu feras ça en temps et en heure. Il veux te protéger ? Et bien, il te verra pas verser une seule larme pour lui et pourtant, c'est pas l'envie qui te manque là, tout de suite tandis que tu voyais encore tes espoirs d'avoir enfin une relation approximativement normale balayé d'un simple revers de main.

(c) mars.
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Jeu 2 Juin - 18:35



So, how do i erase you ?



feat. Layla



Il en a croisé, des énergumènes, depuis son arrivée dans cette ville, de tous les mondes, de tous les lieux et de toutes les époques, mais Poe, malgré tout, réussit encore à se laisser surprendre par le comportement de certains. Il y a ce que l’on peut imputer aux us et coutumes d’autres civilisations, d’autres dimensions… et il y a ça, le comportement de cette véritable furie qui vient l’alpaguer sur son lieu de travail comme s’ils étaient supposés se connaître depuis une éternité. Sauf que Poe en est convaincu, cette femme, il ne l’a jamais vue de toute sa vie, et dans le cas contraire, très clairement, il s’en serait souvenu… Il veut répondre quelque chose, lui faire comprendre que d’une, il ne s’appelle pas Marc, et que de deux…. Il ne s’appelle pas Marc, putain !

Mais il n’a pas le temps d’en placer une, voilà qu’elle enchaîne, et elle lui déballe sa vie comme s’il était capable d’y comprendre quoi que ce soit. Alors il ne sait pas qui est le Marc en question, mais si la mort de son père et il ne sait quels autres mensonges doivent rentrer en ligne de compte dans leur relation, peut-être que leur relation est très franchement déséquilibré et qu’elle devrait éventuellement choisir de ne plus revoir cette personne. Elle pourrait le tuer, là, maintenant, c’est ce qu’elle dit… Oui, eh bien, de préférence, il voudrait bien qu’elle s’abstienne… Bon, il a pas le sentiment que la miss veuille réellement le tuer, ou tuer le type pour qui elle le prend, mais quand même, il ne se risquerait pas à l’approcher de trop près, il sent que la demoiselle serait quand même capable de gentiment le remettre à sa place s’il s’y risquait trop. Le genre de tempérament de feu qu’il a tendance à apprécier, vraiment… Mais qui le dépasse un peu, là, tout de suite.

C’est quoi, son excuse ? Eh bien, elle est très bonne, son excuse : son excuse, c’est qu’il est pas celui qu’elle croit, et qu’il s’en mange plein la figure absolument sans raison. Poe envisage de lui répondre quelque chose de cet acabit, mais la furie ne lui en laisse même pas le temps qu’elle a déjà enchaîné. Elle ne veut même pas savoir, prétend-elle… Elle n’est pas crédible une seule seconde, c’est rien de le dire. Clairement, elle a les nerfs, et c’est Poe qui paie les pots (jeu de mot involontaire) cassé. Oui, elle veut savoir, le souci, c’est qu’elle s’en prend à un type qui n’a pas la moindre idée de ce qu’elle raconte… Mais ressent néanmoins un élan sincère d’empathie pour elle au moment de comprendre que ce Marc avec qui elle le confond depuis tout à l’heure n’est autre que son mari.

Pour avoir passé plus de deux ans loin de la personne qu’il aimait, Poe peut complètement s’identifier à la détresse émotionnelle que l’on éprouve quand on est séparé si longtemps de quelqu’un qu’un n’est jamais qu’une part de soi… Sauf que de son côté, elle a visiblement épousé un menteur à répétition, et ça, ça l’arrange pas. Si le type ment comme un arracheur de dents, comment la convaincre qu’elle fait totalement fausse route.

« C’est bon, t’as fini, j’ai le droit de parler ? » finit par réussir à l’interrompre Poe quand son interlocutrice semble enfin être parvenue à bout de ses arguments (ce n’était clairement pas gagné). « Alors vu la manière dont tu le présentes, ton Marc a l’air absolument charmant. En même temps… » d’un geste, il se désigne, comme pour confirmer le fait qu’un physique similaire au sien ne peut être que considéré comme charmant. « Mais tu fais erreur sur la personne, je ne connais pas de Marc. Mon nom est Poe Dameron. Je voudrais ajouter enchanté mais je suis pas sûr que le terme soit approprié. »


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Sam 11 Juin - 10:34


so lock me here in my bedroom, i like it here without you. i know you know i hate you, so how do i erase you ? and i know my mistakes were made but there's nothing left to say. i always knew that you were a fucking liar.  -- ft. @poe dameron.

Ton monologue terminé, tu t'retrouves bien vite le bec cloué. Tu hausses un sourcil tandis que tu regardes l'homme en face de toi. Tu clignes plusieurs fois des yeux, parce que tu t'étais attendu à tout, sauf à ça. – Quoi ? Tu dis, d'une simple voix, presque surprise d'une telle répartie. Marc t'aurait soit repoussé, soit il t'aurait évité mais il te serait pas rentré dedans comme ça et Steve aurait été … Steve. Fidèle à lui même, à se morfondre d'excuse. T'es presque certaine qu'il aurait pu se mettre à pleurer dans tes bras. – Quoi ?! Tu répètes, d'un ton bien plus fort. Comme totalement perdue, perturbée. Comme si toute cette histoire n'était déjà pas assez compliqué, il faut qu'elle se complique encore plus.
Tu t'étais déjà tellement énervée contre Steve avant de comprendre que c'était bien plus complexe que ça, qu'il ne s'agissait pas d'une couverture mais d'un problème bien plus profond et interne. Tu avais appris à vivre avec et à devoir alterner entre l'un ou l'autre, le ton que tu employais avec Steve et les mots étaient bien souvent différents de ceux que tu avais avec Marc avec qui tu n'hésitais pas à rentrer dans le tas. Steve était trop précieux, il devait être protégé, Marc lui … était fidèle à lui même. Tu penches la tête sur le côté en l'observant. – Vous êtes combien là dedans ? Tu demandes. Tu pouvais pas t'en empêcher. Parce qu'il pourrait te refaire le coup, sauf que le plus simpliste serait peut-être de ne pas s'emporter comme tu l'avais fait aussi violemment.

Tu ramènes tes deux mains sur ton visage, presque prête à hurler mais tu n'en fait rien. Tu prends sur toi et tu prends une grande inspiration. Si il s'agissait ici d'un alter, peut-être qu'il faudrait prendre des pincettes parce qu'on sait jamais comment quelqu'un pourrait réagir. Alors tu essaies de te calmer, de reprendre tes esprits et enfin tu libères ton visage, tentant de paraître plus apaisé. – Marc possède un trouble dissociatif de l'identité. Tu lâches ça comme ça, et probablement que le monde n'avait pas besoin de le savoir mais en soit, ça paraissait plus ou moins légitime pour le coup. – Pour simplifier, c'est un corps qui partage plusieurs personnalité. Marc, l'alter principal, ensuite y a Steve. Tes explications paraissaient sans doute étrange, mais qu'on s'le dise, pour toi, c'était tout aussi étrange. T'avais pas besoin de gérer ce genre de chose toi, tu avais juste à parler à l'alter présent à résoudre les soucis avec un ou l'autre. Rien d'autre.
Mais tu devais en avoir le cœur net, quand tu avais rencontré Steve lui même avait ignoré tout ça, et tu l'avais accepté parce que tu n'avais pas eu d'autres choix. Alors qu'est ce qui te garantissait qu'en fasse de toi il n'y avait pas une troisième personnalité ? Sachant qu'en plus, tu avais toi même été spectatrice de choses étranges, des moments où ni Marc ni Steve disaient avoir eu recourt au corps lors des affrontements contre Ammit et Harrow, conclusion, quelque chose se tramait. Et si cette réponse à la question était là, sous tes prunelles brunettes ? – Est-ce que tu as des pertes de mémoires ? Des choses totalement inexpliqués qui se passent ? Tu t'endors et tu te réveilles trois jours plus tard ? Une sensation d'être constamment fatigué ? Tu l'analysais, cherchait à comprendre et probablement que oui, tu avais l'air d'une personne totalement stupide. Mais tu devais en avoir le cœur net, tu devais savoir. Est-ce qu'on pouvait vraiment t'en vouloir ? Sans doute que non, après tout, Marc et toi vous étiez passé la bague au doigt, vous vous étiez promis pour le meilleur et pour le pire, et autant dire que depuis qu'il s'était éclipsé une première fois, il te faisait plus vivre le pire. – Je sais que ça paraît totalement fou, vraiment. Mais … je... enfin, j'veux dire... tu sais plus quoi dire, quoi faire, tu restes totalement prise au dépourvu. T'as probablement l'air d'une timbré, et t'en as conscience. T'es pas le genre à te préoccuper de ce genre de choses, mais t'es tellement fatiguée psychologiquement par la manière dont cette relation tourne. Tu peux pas l'gérer. Tu peux pas gérer quelqu'un avec autant de troubles qui ne cesse de te laisser, sans rien dire, sans rien faire et qui se contente de simplement disparaître et réapparaître quand ça l'enchante.

Tu décides d'opter pour la solution la plus simple, tu sors de la poche arrière de ton jean ton téléphone et commence à fouiner dedans pour finalement trouver une photos de la page d'identité d'un de ses nombreux faux passeports. Tu zoomes sur la photo et retourne l'écran pour lui montrer. – Je pense que n'importe qui dans ma situation aurait le droit de se poser, des questions ? Maintenant, j'ai peut-être été un peu agressive, et je m'en excuse mais honnêtement ? Il n'y a littéralement aucune différence entre cette photo et … tu te contentes de le montrer de ta main. Tu observes de nouveau l'écran de ton téléphone, passant d'une photo à l'autre. – Et si vraiment tu veux comparer, j'en ai plein d'autre. Qu'il s'agisse de photos d'identités ou de photos plus personnels, genre, mariage, voyage de noce, site de fouilles.  On a l'embarra du choix si on veux essayer de trouver une différences sous plusieurs angles. Tu dis en retournant ton téléphone sur le côté et en penchant de nouveau la tête sur le côté pour observer simplement les détails qui se présentaient à toi.

(c) mars.
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Dim 12 Juin - 15:36



So, how do i erase you ?



feat. Layla



A chacun son tour d’être sonné, visiblement. Poe avait eu le sentiment d’être complètement pris de court et de ne pas pouvoir en placer une, voilà à présent, et sans avoir à dire ou faire grand-chose, que c’est son interlocutrice qu’il laisse sans voix, en ne faisant au passage que lui dire des choses qui ne sont que de l’ordre de la plus stricte des vérités. Elle peut répéter « Quoi ? » autant qu’elle veut, ça ne change rien à l’affaire. Poe ne sait pas exactement à quoi elle s’attendait – à l’évidence pas à ça –, mais en tout cas, il sera sans doute grand temps qu’elle se fasse une raison. Bon, Poe est sans doute relativement injuste envers elle. S’il avait dû croiser l’exact sosie de Finn sans l’avoir retrouvé au préalable, il ne présume pas du fait que sa réaction aurait forcément été plus… confortable pour le concerné, mais en attendant, il a vraiment de grandes difficultés à se mettre à la place de son interlocutrice et à comprendre plus précisément tout ce qui lui passe par la tête à l’heure de comprendre – ou pas – qu’il n’est pas celui qu’elle croit.

« Je te demande pardon ? » fait Poe, qui ne sait pas s’il doit être amusé ou bien seulement estomaqué quand, tête penchée sur le côté et sans cesser de la fixer, elle lui demande littéralement et sans sourciller combien ils sont là-dedans.

Pas le temps de demander plus d’explications, elle finit par les lui adresser d’elle-même dans tous les cas. Poe n’a jamais entendu parler de ça, de ces troubles dissociatifs de l’identité. Il ignore de quoi il s’agit et comment cela fonctionne précisément. Un corps qui partageraient plusieurs personnalités distinctes au point d’avoir leur identité propre… Pas simple à intégrer, comme info, mais ce qui est clair, c’est que ça explique tout un tas de choses, en revanche. Mais dans son esprit, ni Marc, ni Steve. Il y a assez de lui-même dans sa tête sans devoir s’ajouter il ne sait quels alter-egos.

« Ma mémoire se porte très bien, et je peux t’assurer que je ne partage pas mon cerveau avec Marc, Steve, Eugène ou je sais pas qui d’autre »
, reprend-il, songeant que si c’est vraiment ça, le quotidien de ce pauvre Marc, de perdre ses souvenirs, de ne pas avoir idée de ce qui se passe, de laisser son corps à la merci d’un autre… bah il est bien mieux dans ce corps (d’athlète) qui n’appartient qu’à lui et à lui seul. « Et la seule chose qui me fatigue, là, tout de suite, c’est cette conversation », admet-il pas tant contre elle en réalité que parce que tout ceci l’a définitivement pris de court, et qu’il doit à présent faire de son mieux pour parvenir à l’intégrer.

Au final, ce n’est pas tant que ça paraît fou – au point où il en est, plus rien ne lui paraît vraiment fou, à ce stade –, c’est surtout que c’est inattendu, un peu brutal, et qu’il ne sait pas trop quoi faire de la possibilité que Marc-Steve-Eugène (pourquoi Eugène, on sait pas mais c’est comme ça) puisse tranquillement faire sa vie avec son apparence, et que d’autres comme elle puissent se méprendre.

Parce que oui, quand elle lui montre les photos du type en question, Poe est bien obligé d’admettre que c’est son portrait craché, très clairement. Il a envie de lui prendre le téléphone des mains pour zoomer encore davantage, essayer de déceler l’un ou l’autre très léger détail qui éventuellement les distinguerait l’un de l’autre, mais il s’abstient, et ce qu’il constate en tout cas, c’est qu’il n’y a vraiment rien, définitivement aucune différence.

« Bon, je peux reconnaître que y avait de quoi prêter à confusion mais… » Mais il ne sait pas quoi dire, parce que quand elle lui parle de tous ces souvenirs personnels qu’ils ont en commun, ce Marc et elle, il oublie davantage sa petite personne et daigne se concentrer sur elle, et comprend d’office la douleur qu’elle peut éprouver, celle d’une femme privée depuis trop longtemps de l’homme qui partageait sa vie. « Je suis désolé. » Il pousse un soupir. « Je peux te proposer de boire un truc, un café peut-être ? Tu pourras me parler de lui autant que tu veux si ça peut te faire du bien… ou juste te défouler, au choix. »

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