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La réalité qui te rattrape ft. Ben

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Anonymous

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Mer 18 Mai - 16:23


La réalité qui te rattrape
I never let it show But I feel like a missed call on a phone Tryna live my life
Non je ne l'avais pas volé cette bouteille, elle était juste venu à moi, le genre de chose qui arrive très souvent à des bouteilles d'alcool, elles semblent si attirées par moi, que je ne peux leur dis non après tout. Oh évidemment à la caisse, ce n'était pas la même chose, on voulait toujours me les retirer, mais comment pouvais je les abandonner, alors que je venais de répondre à leurs appels ? Non, alors oui je fuyais et je pouvais même dire que je courrais très vite, pensais-je avec un sourire en coin. Bon d'accord, revenons au chose sérieuse, sans d*conner, j'avais couru tellement vite, que j'avais réussi à avoir une pointe de côté, c'était si rare chez moi, c'était peut-être l'âge ? Oh non quelle horreur, ne jamais penser à l'âge. J'allais d'ailleurs vite l'oublier, en ouvrant l'une de mes chéris, pour boire une bonne rasade, tout en me dirigeant en direction de l'extérieur de ville, pour une petite promenade quotidienne. Une petite cigarette au passage, et voila comment on commence la journée, en voila un excellent petit déjeuner, vodka et nicotine .... Attendez voila que je parle trop vite ...
Souriant face à mon butin, j'eu ... Attendez c'était quoi ça ? Ouh des gros nuages et aïe aïe mais ... Mais ... C'est que ça pleut fort, non mais à ce stade ce n'était pas de la pluie ! je courus dans une ruelle, dans l'espoir d'y trouver une maison vide, un endroit à squatter, mais rien ... Et c'est que ça pleuvait de plus en plus fort ... Je me voyais mal courir à nouveau, j'avais vraiment une pointe de côté (ou un manque de petit déjeuner ? Bien non la vodka c'est mon petit déjeuner pfff). Bon ... J'allais m'asseoir contre un mur, puis attendre que ça passe, après tout ... Ce n'était qu'une petite pluie, aïe ... Une grosse pluie ! et j'étais sans aucun doute bien trop ivre pour ressentir quoi que se soit (rigole) , bien trop ivre ... Ce matin j'avais tout de même mis le paquet ! je ne savais même pas si je devais rire ou en pleurer ? Han j'en avais marre ... Je voulais juste, ne plus rien ressentir.

Deux heures plus tard :

Bouteille vide, j'abandonne, je suis crevé, je suis tremper et la seule chose que je voulais c'était dormir. Une pluie bien glacée, non merci mais très peu pour moi, d'habitude j'arrivais à me cacher dans des hangars, mais cette fois-ci j'avais trop bu, sans doute trop vite aussi, le bruit des grêlons sur contre les poubelles venaient à me rappeler les missiles sur le terrain ... J'étais fatigué et je n'avais plus envi de rire, reniflant, je remontais mon genoux contre moi, baissant la tête pour protéger de la pluie, peut-être que je pourrais m'endormir ? Oublier ? Ma bonne humeur était parti bien trop vite, une pluie, et je devais repenser à cette vie que je ne pouvais que détester.
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Dernière édition par Jack Lynch le Jeu 23 Juin - 20:16, édité 2 fois
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Jeu 26 Mai - 7:07

La réalité qui te rattrape.
Jack et Ben.
Il pleuvait vraiment des cordes cet après-midi. Les gouttes étaient telles des pierres qui tombaient du ciel et lapidaient le monde alentours. Alors qu’il marchait dans les rues de Raccoon Square, ce temps maussade mimait parfaitement l’humeur de Numéro Six. Ce genre d’aléas météorologique réveillait des vieux traumatismes. Ben oui, il était entouré de parapluie! Il était lui-même obligé d’en tenir un pour ne pas finir tremper. De tous les objets existant sur cette Terre, sont sociopathe de père avait été obligé de choisir celui qu’il devait se trimballer à chaque mauvais temps. Connaissant son paternel, le trentenaire ne serait pas surpris d’apprendre que c’était calculé. Ben allait très vite rentrez chez lui comme-ça il n’aurait plus à observer ce triste paysage dominé par les parapluies noirs. Pourquoi le noir ? Les habitants de cette ville s’étaient accordés sur cette triste couleur ? Ils auraient dû opter pour le rouge comme Ben. Numéro Six détonait vraiment dans son environnement. Une tornade vermeille qui évoluait à toute vitesse dans la ville.

Le trentenaire continuait sa marche maussade. Il tirait les manches de manteau vers le bas, recevant quelques gouttes de pluies. Ce temps lui donnait plus qu’envie de cacher ce tatouage incrusté à son poignet, marqué dès l’enfance tels du bétail. Le jeune homme soupirait, les larmes du ciel continuaient à être des épées qui le transperçaient. Il voulait juste être dans son petit appartement et boire un délicieux chocolat chaud. Malheureusement pour lui, ses plans ne pourront pas être réalisés à l’instant qu’il le souhaitait. Alors qu’il marchait entre deux ruelles son œil droit fut attiré par une silhouette qui lui semblait familière. Qu’elle ne fut pas sa surprise en voyant son frère assit à terre, la pluie n’épargnant pas les vêtements ou les cheveux de celui qu’il pensait être Numéro Quatre.

« Klaus ! »

Instinctivement, Ben courut vers lui sans réfléchir. Il le protégea avec son parapluie comme-ci l’eau de pluie avait été remplacé par de l’acide. S’oubliant d’ailleurs dans l’équation, ses vêtements commençaient à s’incruster d’eau. Ce spectacle horrifiait Numéro Six. Comment est-ce que son frère adoré avait-il encore une fois fini dans une telle situation ? Le cadavre de bouteille qui se trouvait à ses côtés n’annonçait rien de bon. Donc, c’est fini, Klaus n’était plus sobre. Ils allaient devoir repartir dans la bataille de toute une vie. Comme à son habitude, Ben serait à ses côtés.

« Viens, on s’en va. »

Son ton n’était désapprobateur mais plutôt remplit de compassion et d’inquiétude. Il le jugerait plus tard, pour le moment, il devait sortir son frère de ce pétrin. Alors qu’il s’apprêtait à tirer le jeune homme vers le haut pour qu’il commence à marcher, Ben eut un très vite aperçue sur l’une des paumes de main du brun. Il arrêta son mouvement et regarda à nouveau l’individu en face de lui. Ni l’iconique « Hello » ou le mythique
« Good Bye » ne se trouvèrent tatoué sur l’extrémité du membre du jeune homme qu’il venait de trouver. Ben ne pouvait en conclure qu’une chose, ce n’était pas son frère. C’était peut-être un peu égoïste mais le voilà soulagé. Il ne voulait vraiment pas que Numéro Quatre reparte dans ses vieux travers. Il avait donc à faire à l’un des nombreux sosies de Klaus. Mais lequel ?

« Nathan ? »


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Jeu 23 Juin - 20:17


La réalité qui te rattrape
I never let it show But I feel like a missed call on a phone Tryna live my life
Alors que je ne voyais que les ombres, que j'entendais le bruit de la pluie, humant l'air humide, j'entendis une voix ... Je ne connaissais pas cette voix, je ne connaissais pas non plus ce nom, c'était forcément une erreur. Qu'est ce que je pouvais faire ? J'étais mort de froid, alors je ne réagissais pas, je voulais m'endormir à nouveau, ne plus ressentir l'effet de cette pluie sur ma peau. Puis je ne senti plus l'eau sur ma peau, je pouvais aussi sentir une présence, à nouveau cette voix, cette personne était vraiment en train de se tromper, le pire, je n'avais pas la force de le lui dire. Garder les yeux ouverts était déjà compliqué, alors parler ... L'homme fini par m'aider à me redresser, et celui-ci se montra silencieux, avant de me donner un autre nom, j'eu un rire sans joie, qui ne ressemblait en rien à un rire, à la limite un gémissement. "Jack" me contentais je de répondre à cet homme, qui avait déjà la bonté de me venir en aide. Peut-être que celui-ci allait me relâcher, je finirai à nouveau dans le caniveau, non protéger de cette pluie battante. Fermant les yeux, disons que j'avais beaucoup de mal, à les garder ouverts. Ma chemise était en train de me coller à la peau, tout comme mon pantalon, c'était désagréable. En ce qui concerné mes souvenirs, disons que je ne faisais que errer, vivre dans vraiment vivre, c'était lamentable n'est ce pas ? Puis j'avais aussi retrouvé ce don ... Malédiction, enfin bref, moi qui avait voulut aider la police, puis qui avait fini par se faire une raison, qu'il était temps de tourner la page, voila que je pouvais à nouveau revoir les morts. La position debout était difficile pour moi, j'allais m'écrouler, ça n'allait sans doute pas tarder, de plus il faisait si froid, j'avais sommeil, j'avais besoin de dormir, de fermer les yeux, juste un tout petit peu. Un peu de repos ne me ferait pas de mal, d'ailleurs je pouvais sentir ma tête basculer, contre l'épaule de l'homme, petit à petit, je me sentais aussi partir, je n'avais plus de force de les jambes, plus rien, j'avais seulement besoin de dormir, j'étais au bout de mes forces.
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Dernière édition par Jack Lynch le Dim 17 Juil - 16:33, édité 1 fois
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Dim 3 Juil - 10:31

La réalité qui te rattrape.
Jack et Ben.
Les yeux de Numéro Six analysaient l’individu qui se trouvait en face de lui. Quand il déclina son identité, Ben eut la confirmation, il ne connaissait pas cette personne. Par politesse, le trentenaire retint un soupire de soulagement. Il en était sûr, ce n’était pas son frère qui se trouvait dans cette position si délicate. Il pouvait rajouter ce Jack à sa liste un peu trop longue des sosies de Klaus. En voilà un énième. Il semblerait d’ailleurs qu’ils ont tous des problèmes avec l’alcool, ça doit venir avec le corps.

« Et bien enchanté Jack, je suis Ben. Comment avez-vous fini dans… »

Le trentenaire n’eut pas le temps de finir sa phrase que le jeune homme commença à s’écrouler sur son épaule. Le pauvre, il n’allait vraiment pas bien. Devait-il appeler une ambulance ? Pour avoir déjà vu son frère faire des comas éthyliques, ils ne ressemblaient pas à ça. Le brun donnait plus l’impression d’être épuisé et affamé. Ben réfléchit, même si cet homme n’était pas son frère il ne pouvait pas le laisser dans un tel état. Il avait clairement besoin d’aide, s’il restait encore sous la pluie, là il aurait besoin d’une ambulance. Numéro Six plaça le parapluie au-dessus de la tête du jeune homme. Il était déjà bien trempé, mais le trentenaire voulait limiter la casse. Il soutient son poids assez facilement, il n’est pas bien lourd après tout et commence à marcher avec lui.

« Et Jack, ça va aller ? Je sais pas ce qui vous êtes arrivé, vous êtes vraiment pâle. Vous avez peut-être besoin de consommer autre chose qu’une bouteille d’alcool. »


Les deux hommes rentèrent dans un restaurant. Une sorte de petit « diner » qui fera complètement l’affaire. Ici, le pauvre gars pourra se restaurer ici. La serveuse leurs lança des regards intrigués voir méchants. Toute l’eau qu’il faisait rentrer à l’intérieur de l’établissement devait bien l’agacé. La débonnaireté naturelle de Ben devait se ressentir car la jeune femme les laissa tout de même rentrer. Le trentenaire installa l’âme égarée sur un siège avant de s’asseoir en face. Son parapluie avait été laissé à l’entrée, il ne le gênerait pas.

« Bon, ne vous inquiétez pas, je vais régler l’addition. Juste prenez de quoi vous requinquez un peu. »


Ben lui sourit. Il avait rarement vu son propre frère aussi pâle. Cela l’inquiétait. Peut-être que ce type avait vraiment besoin d’une ambulance. Dans tous les cas,il vaudrait mieux l’appeler ici bien au chaud que dans une ruelle au milieu de nulle part et sous la pluie.


Code by Reira


Dernière édition par Ben Hargreeves le Sam 23 Juil - 3:01, édité 1 fois
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Dim 17 Juil - 16:35


La réalité qui te rattrape
I never let it show But I feel like a missed call on a phone Tryna live my life
Je me contentais de retenir Ben, avant de me sentir complètement partir dans les ombres. J'étais tellement épuisé, que c'était compliqué pour moi de garder les yeux ouverts. J'avais la nausée puis je me rappelais vaguement mon début de journée, mais ce qui était sur, c'est que j'en avais eu tellement assez d'être aussi morose, que j'avais payer de quoi me défoncer, ensuite tout était si flou ... Ce n'était pas me genre de faire ce genre de c*nnerie, la drogue, je l'évitais, mais cette fois-ci, je voulais passer une journée à oublier, ne plus rien avoir en tête, seulement voila, le retour à la réalité est toujours tellement dur ... La drogue, en plus de l'alcool et des médicaments que je prenais déjà, je pouvais dire que j'avais bien jouer au c*n. A la limite, j'aurais pu m'endormir, la souffrance aurait peut-être pris fin ? Puis il y avait eu cet homme, il m'avait confondu avec un autre, ce qui aurait pu me faire sourire, tellement on me confondait, mais j'étais loin d'être en état de rire, j'étais juste crevé. L'homme qui était en train de m'aider, pris à nouveau la parole, j'écoutais celui-ci, même si je garder les yeux fermer. Consommer autre chose que de l'alcool, j'aurais aussi pu rire, il avait raison, au lieu de me défoncer, j'aurais du acheter de quoi manger, seulement l'appétit n'était pas la, il était rare, si rare. "Pas faim" dis je dans un murmure, tout en voyant le sol bouger, ce qui avait le don de me donner encore plus la nausée, j'avais mal aux jambes, c'était trop dur de tenir debout, je n'arrivais pas à avancer et je voulais seulement m'allonger. Cet homme ne me faisait pas de mal, mais quelque chose en moi avait peur, je n'avais pas l'habitude qu'on me vienne en aide, mais dans cette ville, visiblement tout pouvait changer, je n'avais pas l'habitude de recevoir de l'aide. Voila que tout deux entrions dans un endroit chaud, je senti l'odeur de la nourriture et j'eu encore plus la nausée. Puis maintenant que je pouvais sentir quelque chose ou m'asseoir, j'en profitais pour reposer ma tête contre le mur, tentant d'ouvrir les yeux, pour voir l'homme en face de moi. Secouant la tête aux paroles du brun, je savourais la chaleur de l'endroit, avant de chercher à me relever pour partir, j'allais finir malade, hors de question de vomir devant tout le monde. Alors que je tentais de me relever en vint, j'eu un soupire "Je vais être malade" , ça me faisait ch*er de le dire, mais c'était ça ou ... Me foutre la honte, quoi que j'en avais déjà connu des hontes, mais je n'avais pas besoin qu'on rajoute ça sur ma liste.
code by bat'phanie


Dernière édition par Jack Lynch le Jeu 25 Aoû - 11:49, édité 1 fois
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Sam 23 Juil - 3:26

La réalité qui te rattrape.
Jack et Ben.
Les yeux de Ben s’écarquillèrent en grand quand Jack luit dit qu’il allait être malade. Au final oui, il aurait dû appeler une ambulance. Il se dirigea vers le brun et l’examina à nouveau. Sa main droite attrapa le bas de son menton. Il était livide. Cela ne plaisait absolument pas du tout à Numéro Six. Il l’aida l’homme pour qu’il puisse se lever après cela, Ben tenta de l’emmener au toilette. Quand ils se dirigèrent vers les toilettes des hommes, le trentenaire put croiser le regard mauvais de l’une des serveuses. Il leva les ses yeux vers le ciel avant de répliquer, sachant exactement ce que la femme allait lui dire.

« Je vous commande un café, comme ça je peux utiliser vos toilettes. »

Oui bien entendu qu’ils ne pouvaient se servir des toilettes de la sorte sans consommer quoi ce soit sur les lieux. Néanmoins, un peu de charité ne ferait pas de mal à cette bonne dame. Ils entrèrent dans la petite pièce arrière et Ben ouvrit directement l’une des portes ou derrière se trouvait une cuvette de porcelaine.

« Bon, si vous voulez vomir, allez-y, sinon, je pense que vous devriez vous mettre un peu d’eau sur le visage. »

Numéro Six s’était légèrement éloigné pour lui laisser un peu de place. Il retint un rire quand une constatation vint à son esprit. Il devrait être chez lui, probablement entrain de lire un livre passionnant et en buvant un délicieux chocolat chaud, pas dans les toilettes d’un diner miteux à aider une personne avec un visage si familier. Il avait sincèrement l’impression que certains schémas étaient destinés à se répéter en boucle. Il n’y a rien qu’il pouvait faire pour changer cela. Ben n’allait pas abandonner cette pauvre âme uniquement car il préférait se reposer. Ses principes lui interdisaient ce genre d’horreur. Ce Jack avait besoin de son aide. Même si ils ne se connaissaient pas, le trentenaire serait là pour lui.

« Est-ce que vous voulez que j’appelle une ambulance ? »



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Jeu 25 Aoû - 11:51


La réalité qui te rattrape
I never let it show But I feel like a missed call on a phone Tryna live my life
Grâce à l'aide de Ben, je réussi à atteindre les toilettes à temps. D'ailleurs, j'avais pus entendre celui-ci répliquer, comme quoi il allait prendre un café, ce qui aurait pu me faire sourire, car oui effectivement, du moment qu'on ne consomme pas, pourquoi utiliser les toilettes de cet endroit ? Atteignant les toilettes, c'est encore une fois grâce à l'aide de Ben, que je pu limite me jeter sur les toilettes, sentant la nausée monter. J'avais hocher la tête à ses paroles, mais je n'eu pas le temps de faire quoi que se soit d'autre, mise à part rendre l'alcool. J'avais trop bu ... Bien trop bu, je m'en étais rendu complètement malade et malheureusement, ce n'était pas la première fois. Mon régime alimentaire se composer souvent de malbouffe, quelque frites, parfois des plats à emporter, de la bière, de la bière et des médicaments, ah oui, encore de la bière ... La situation n'avait rien de drôle, c'était même lamentable, mais qu'est ce que je pouvais y faire ... Que se soit le monde d'où je venais, puis celui-là, il n'y avait pas grande différence. Si, au début je n'entendais plus, et ne voyait plus les morts, ça m'avait comme manqué, quel c*n. Finalement, la crise fini par passer, en même temps, je n'avais plus rien dans mon estomac, ni même dans le reste de mes entrailles eurk ... Tirant la chasse d'eau, je me reculais, avant de m'asseoir contre le mur, reprenant une profonde inspiration, puis soupirant de fatigue. Lorsque Ben me proposa d'appeler une ambulance, je ne pouvais que secouer la tête "Non ... Merci, ça va passer ... Je ... J'ai juste trop bu" dis je dans un soupire, bien épuiser par le fait d'avoir été malade, avant de me sentir complètement geler ... Ah oui ... Je mettais endormi dehors, ou la pluie avait commencée à tomber, la joie. Me relevant doucement, c'est à dire en m'appuyant bien contre le mur, j'avançais vers les lavabos, pour me passer de l'eau au visage, puis me rincer la bouche. Rien que ça, j'étais essoufflé, je n'osais même pas me regarder, il était toujours préférable que j'évite mon reflet, sous peine de me faire peur, ou de me faire pitié, je ne serais que dire. Me prenant la tête entre les mains, j'étais complètement épuiser, et si je n'avais pas des frissons du au froid, je pouvais aussi ressentir des vagues de chaleurs. "Merci" dis je doucement, mais sincèrement. C'était quasiment inexistant qu'on ne me vienne en aide, alors oui, je ne pouvais que remercier ce jeune homme, homme, bref ... Il était loin d'être vieux. A nouveau j'eu un soupire, ça faisait du bien quand la nausée, venait à s'arrêter, qu'est ce que je donnerais pas, pour retrouver mon vieux fauteuil.
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Mer 7 Sep - 9:02

La réalité qui te rattrape.
Jack et Ben.
Cette scène était si familière. Le bruit de l’eau se déversant dans l’évier en porcelaine accompagnait la jolie réminiscence de l'ancien fantôme. Une sensation de déjà-vu s’empara de Ben tandis qu’il observait le jeune homme lui dire qu’il avait trop bu. Combien de fois avait-il retrouvé Klaus dans un état similaire ? Beaucoup trop pour qu’il puisse les compter. Treize années à voir Numéro Quatre s’empoisonner avec des substances diverses sans pouvoir rien faire. Aujourd’hui, Numéro Six avait pu agir et aider cet individu. La satisfaction prit d’assaut le cerveau du trentenaire qui devrait certainement un peu moins projeter sur cet inconnu le visage de son cher frère.

« C’est normal, il n’y a pas besoin de me remercier. »


Oui, il voyait Klaus et ce n’était pas bon. Jack était un individu distinct avec sa propre personnalité. Il ne devrait pas être une opportunité pour Ben de sauver son frère. Il était capable de dissocier Klaus de Nathan, il ferait de même avec Jack ! Le trentenaire devait se ressaisir, il avait sincèrement envie de venir en aide à ce pauvre jeune homme, il méritait que ce geste soit purement motivé par l’altruisme.

« Du coup, il y a un café qui m’attend là-bas. En général je préfère le chocolat et je vais pas laisser à la bonne dame qui tient l’endroit donc si vous voulez le prendre. »


Eh ben oui Numéro Six n’était pas très café, c’est beaucoup plus la spécialité de son frangin Five. Autant le laisser à cette pauvre âme en peine, il en avait besoin. Il venait de régurgiter tout le peu de nourriture qu’il y avait dans son estomac, un tasse café ne lui ferait pas de mal. Il devrait même manger un véritable repas complet !

« Mon offre de plus tôt tient toujours d’ailleurs. »

Ben parlait du repas qu’il avait proposé de payer à Jack. L’offre tenait toujours, le jeune homme devait reprendre des forces après tout. Les lèvres de Numéro Six s’étendirent, il voulait paraître sympathique pour ne pas que sa proposition soit refusée. Certaine personne pouvait avoir une grande fierté alors que c’est bien bête de refuser une main tendue.



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